08-08-2020, 10:10 AM
(Modification du message : 10-09-2020, 01:30 PM par laurentdu51100.)
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1ere ANNEE Août : (1 /60) (Ju)
La semaine qui suit passe très vite, une certaine routine s’installe car c’est la sixième qu’ils passent tous ici. Maxime, Émilie et Julien savourent leurs derniers jours avant leur retour à Reims et profitent au maximum du beau temps pour parfaire leur bronzage sous les quolibets amicaux de leurs amis.
« Ju » regarde son petit ami avec une pointe de mélancolie, il voit venir l’heure de la séparation et se pose tout un tas de questions sur l’avenir qu’ils ont ensemble. Il ne quitte plus Maxime un seul instant mais n’ose pas lui en parler de peur de brusquer les choses.
Aurélien et lui en ont parlé et celui-ci lui a conseillé d’avoir une discussion sincère avec Maxime, mais les mots ne viennent pas et son amoureux ne fait de son côté allusion à rien quant à ses intentions de le revoir une fois rentré chez ses parents.
C’est Guillaume qui en toute innocence aborde le sujet, plus par curiosité qu’autre chose. Il vient s’asseoir près de Maxime qui est allongé sur le ventre les yeux fermés.
- Alors « Max » ? Pas de regrets d’être venu avec nous ?
- (Maxime ouvre un œil et sourit au jeune garçon) Oh que non !! Je crois bien que ce sont les plus belles vacances que j’ai passées de ma vie.
- Vous allez faire comment avec « Ju » une fois à Reims ?
- J’aimerais lui demander de venir vivre avec moi mais j’ai peur qu’il n’ose pas quitter ses parents tant qu’il est étudiant.
- Tu lui en as déjà parlé au moins ?
- (Maxime se redresse sur un coude et fixe Guillaume) C’est lui qui t’a demandé de venir ?
- Non ! Pas du tout ! Juste que je me demandais c’est tout ; et s’il reste chez ses parents tu feras quoi ?
- Je l’inviterais chez moi et puis ce n’est pas si grave, nous n’habitons pas très loin l’un de l’autre. Ce n’est pas comme s’il vivait à Aix comme Thomas, je ne sais pas comment ils font en sachant combien ils s’aiment ces deux-là.
- Ne cherche surtout pas, tu te dis que c’est « Flo » et « Thom » un point c’est tout. - - Vous devriez plutôt en parler tu sais, imagine ce qui peut bien se passer dans sa tête à se demander quoi pour vous deux.
- Toi tu sais quelque chose ?
- Non pas vraiment, mais je sais qu’il en parle avec « Aurél » et que ça le turlupine car il tient vraiment à toi, tu sais ? Il est fou de toi le Julien c’est trop visible pour que tu ne t’en aperçoives pas.
- Tu as raison (Maxime se lève souplement) D’ailleurs je voulais lui en dire deux mots, alors pourquoi attendre plus longtemps, merci de m’en avoir parlé.
Julien le voit se diriger vers lui l’air sérieux et le prendre par un bras en le faisant se lever pour l’emmener un peu à l’écart des autres afin de pouvoir lui parler tranquillement.
Maxime voit bien l’inquiétude se dessiner sur les traits de son compagnon et il se dit qu’il est temps en effet de mettre les pendules à l’heure avec lui afin qu’il se rassure sur ses intentions à son égard.
Guillaume sourit en voyant l’air décidé de « Max » et pense qu’il a bien fait de venir lui parler des inquiétudes de « Ju » même si ce n’était pas le but initial de sa conversation quand il est venu aux nouvelles sur le plaisir que « Max » a pris d’être venu passer quelques temps avec eux tous.
- (Maxime) Faut pas te faire de soucis pour nous deux « Ju », je t’aime et je veux croire que toi aussi alors sitôt rentrer à Reims je te prépare un double de mes clés d’appartement et tu fais comme chez toi. J’aimerais que tu viennes y vivre avec moi mais si tu ne te sens pas prêt tu pourras venir quand bon te semblera, et j’espère que ce sera très souvent.
- (Julien rayonnant) C’est vrai ? Merci « Max » je n’osais pas t’en parler mais moi aussi j’ai trop envie qu’on soit ensemble.
- Alors réfléchis à ma proposition, surtout prends ton temps il n’y a pas le feu et puis que tu choisisses l’une ou l’autre des solutions, le principal c’est qu’on puisse se voir quand on en aura envie (Il rit) De toute façon je me suis renseigné et je serais toujours le plus jeune infirmier de service au CHU à la rentrée, alors tu n’auras pas le choix.
- (Julien se serre contre lui) Je ne l’avais déjà plus tu le sais bien, déjà que l’idée d’être séparé de toi pendant trois semaines me noue l’estomac.
- (Maxime souriant tendrement) Il ne faut pas, profite de tes amis et nous nous reverrons sois en sûr à ton retour. À moi aussi tu vas manquer tu sais ? Mais bon ! Je dois reprendre le travail même si c’est bien la première fois que je le ferais sans réelle envie.
- (Julien reprenant le moral maintenant que les choses sont dites) N’oublie pas que je vais moi aussi commencer mon internat et que nous aurons aussi souvent l’occasion de nous voir. Peut-être même de travailler ensemble qui sait ?
- (Maxime sans réfléchir) Si tu fais toi aussi partie de l’équipe de « Flo » c’est sûr !! Tu verras c’est super et tu apprendras beaucoup de choses avec lui, juste attends toi dans ce cas-là à faire des jaloux parce qu’il y en a plus d’un qui aimerait être à ta place.
- (Julien bouche bée) L’équipe de « Flo » ?? Mais je croyais qu’il n’était qu’observateur ? Mon père ne m’a jamais parlé de ça ? C’est quoi cette histoire ?
1ere ANNEE Août : (2 /60) (Marc)
Aléxie marche au côté de Marc, il dévore des yeux son ami s’arrangeant pour être légèrement en retrait afin qu’il ne le remarque pas. Ils ont la même taille mais les vingt kilos qu’ils ont d’écart en font deux garçons très différents, lui est plutôt robuste avec ses soixante-dix kilos et son mètre soixante-quinze alors que Marc paraît chétif et presque maladif tellement sa maigreur est saisissante.
Il se dit qu’il faut qu’il en reparle à Florian afin de savoir ce qu’il en est quant aux résultats de ses examens. Lors de leurs joutes amoureuses, il est sans cesse à faire attention de ne pas lui faire mal et il y a des moments où ça lui ôte une partie du plaisir tellement son esprit en est obnubilé.
Ils arrivent au campement et constatent qu’il est vide, l’heure n’étant pas assez avancée et de loin s’en faut pour qu’ils commencent tous à revenir au camp. Une lueur coquine illumine alors son beau visage et il accélère légèrement l’allure afin de se retrouver près de lui et pouvoir doucement enlacer ses reins et se serrer contre lui.
Marc sourit en sentant ce bras doux et cette main chaude lui enserrer la taille, il connaît suffisamment bien son copain maintenant pour comprendre ce que sont ses intentions. Comme ce n’est certainement pas une chose qu’il envisagerait même quelques secondes de refuser, il attrape sa main dans l’une des siennes et la caresse doucement.
Tout naturellement ils se dirigent vers leurs chambres et une fois à l’intérieur en referment ensemble le rideau puis sans besoin d’exprimer leurs envies, ils s’embrassent en s’allongeant sur le lit. Comme à son habitude c’est Aléxie qui entame les préliminaires, il connaît suffisamment l’extrême timidité de Marc quand il s’agit de se mettre nu pour avoir pris l’habitude de s’en occuper à sa place.
Pour le plaisir de ne pas tout découvrir tout de suite, il lui conserve son caleçon et il le laisse dans cette tenue le temps d’ôter à son tour ses vêtements et de venir ensuite s’allonger sur lui en faisant très attention à ce que son poids n’écrase pas son ami.
La timidité de Marc s’arrête au déshabillage car sitôt le corps d’Aléxie sur lui, il se déchaîne et prend magistralement en main la suite des événements. Ses lèvres fines entrent en contact avec celles charnues de son amant et leurs langues s’emmêlent dans un ballet sensuel qui leur fait monter l’adrénaline dans tout le corps et déformer irrésistiblement les maigres centimètres carrés de tissu qu’ils leur restent encore.
Aléxie se frotte de plus en plus nerveusement contre le sexe de son compagnon et ses mains lui parcourent le corps en de douces caresses qui font frissonner Marc en lui arrachant de temps en temps quelques petits gloussements à cause des chatouilles qui parfois le font se raidir mécaniquement.
Marc connaît le moyen qui va stopper toutes ses papouilles en déclenchant les envies de jouissances d’Aléxie, ses mains passent sous la ceinture du sous-vêtement et malaxent fermement les deux fesses rondes et fermes. Ils les triturent en les écartant suffisamment pour que ses doigts rencontrent et massent sa rosette qui s’ouvre d’envie de façon obscène n’ayant plus qu’une attente, celle de se faire bien remplir à fond par le sexe fin qu’il a tant pris l’habitude d’apprécier depuis qu’ils ont sauté le pas lors de la nuit passée chez les parents d’Aléxie.
Cela ne rate encore pas cette fois-ci car dans un grognement d’excitation incontrôlable, Aléxie arrache littéralement son slip et sans autre forme de procès s’empale directement sur le sexe tendu sortant fièrement de l’ouverture du caleçon que Marc n’a même pas eu le temps d’enlever tellement sa rapidité l’a encore une fois surpris.
Il prend en main la hampe légèrement plus longue et plus épaisse que la sienne et tire en arrière sur la peau pour admirer le gland suintant et magnifiquement dessiné à la façon d’un casque colonial fendu en son milieu comme il se doit et qu’il ne peut s’empêcher de caresser du bout du doigt augmentant par ce simple geste l’envie de jouir qui prend les reins d’Aléxie.
Les mouvements de bassin qui rythme le va-et-vient dans son fondement s’accélèrent de plus en plus, la respiration devient haletante et la sueur s’échappant du front du jeune homme commence à tomber en goutte à goutte sur le torse de Marc qui halète lui aussi sentant son orgasme lui prendre les tripes et ses muscles se nouer du plaisir qui grandit dans son corps.
Marc accélère son mouvement de poignet pendant que son autre main couvre et masse le gland rouge carmin qui arrive à grossir encore un peu plus sous cette caresse qui l’électrise et le mène dans un état de non-retour. Une chaleur due aux frottements du sexe de Marc à l’intérieur de son ventre monte à la vitesse de l’éclair vers son cerveau exacerbé par toutes les sensations qu’il reçoit de ses zones érogènes.
Marc sent l’orgasme arriver soudainement et une de ses mains croche les reins d’Aléxie pour l’empaler à fond pendant qu’il explose et déverse sa liqueur dans le ventre de son ami qui lui masse divinement le sexe en contractant ses muscles internes pendant que lui aussi, tétanisé par l’orgasme, se déverse dans l’autre main qui cajole toujours doucement l’extrémité du gland arrivé au summum de sa grosseur.
Leurs yeux se cherchent et se trouvent rapidement, leurs lèvres s’épanouissent dans un sourire reconnaissant et rempli de béatitude. Les corps deviennent flasques et les nerfs se relâchent lentement, leurs respirations reprennent un rythme normal. Un dernier frisson traverse leur corps repu pour quelques temps mais pas trop car ils connaissent bien leurs énormes besoins sexuels, besoins qu’ils ont découverts ensemble et dont leurs corps d’adolescents en sont addicts maintenant qu’ils se sont enfin trouvés.
1ere ANNEE Août : (3/60) (Confessions)
Maurice ne peut décidément pas empêcher le sourire satisfait de s’épanouir sur son visage, le rapport qu’il lit pour la deuxième fois ne laisse aucun doute sur son choix d’envoyer cette équipe-là plutôt qu’une autre. Rien ne vient argumenter de façon positive la raison de la mission, bien sûr il connaît par les explications de Philippe la propension qu’à Florian depuis son tout jeune âge à vouloir paraître comme tout le monde, ce qui l’aide beaucoup dans le cas présent.
Seul le fait de le mettre en situation pourrait faire qu’il se découvre comme il l’a fait « malheureusement » lors des divers passages des scientifiques envoyés lui donner des cours de perfectionnement et qui sont tous revenus en se posant la question de savoir s’ils méritent réellement la renommée qu’on leur prête.
Les cinq feuillets qu’il tient en mains ne dévoilent de lui que l’exceptionnelle sympathie qu’il dégage auprès des personnes qu’il rencontre ainsi que l’amitié tout aussi inhabituelle que tous éprouvent envers lui à son contact.
Le rapport fait bien entendu mention de la tentative de vol dont ils ont été l’objet ainsi que la façon somme toute curieuse qui a fait qu’elle n’ait pas abouti. Il est aussi noté le fait qu’il soit en couple avec un garçon et que beaucoup de ses amis présents avec lui ont les mêmes spécificités sexuelles que la sienne.
Maurice range dans un dossier le premier rapport et attend maintenant plus sereinement les suivants qui il n’en doute pas un instant seront de la même teneur.
***
Dorian est avec ses collègues et amis en route justement pour rejoindre Florian et sa bande sur la plage où ils se sont rencontrés la première fois, les présentations ayant été faites le lendemain même et il sourit en constatant qu’il n’y a rien de professionnel dans l’engouement qu’ils ont depuis à les retrouver tous pour passer les après-midi avec eux .Ou du moins avec ceux qui s’y trouvent car il a remarqué avec curiosité qu’ils n’y sont pour ainsi dire jamais tous ensemble.
- (Camille) J’espère que Chloé et Carole seront là, elles doivent m’apprendre la brasse papillon.
- (Patrice) Flavien m’a promis de m’apprendre des prises de self-défense, c’est qu’il touche grave en combat le gaillard.
- (Léonie) Léa va sûrement venir encore une fois me questionner sur les garçons (Elle rit) Comme si j’étais la science infuse sur le sujet.
- (Patrice constatant que Dorian ne dit rien) Et toi Dorian tu comptes faire quoi cet aprèm ?
- (Dorian en souriant en réponse aux paroles de son ami) Nous avons prévu une partie de volley avec les garçons.
- (Léonie amusée) Tu es drôlement devenu pote avec Sylvain et Sébastien en douce !! Ça ne te dérange pas qu’ils soient en couple ?
- (Dorian étonné de la question) Bah non !! Pourquoi ? Ça devrait ? Et puis tu sais, ils y sont tous en couple de toute façon alors si cela gêne l’un d’entre vous il serait temps de le dire.
- (Camille) Moi personnellement ça ne me dérange pas, ils sont trop cool et je passe des après-midi super avec eux.
- (Patrice) C’est vrai qu’ils sont plaisants à fréquenter, on en oublie la mission qui nous a fait venir ici d’ailleurs.
- (Léonie) « Flo » est un mec génial, il n’a rien du type qui se prend la tête et ce n’est pas le dernier à déconner avec les autres.
- (Camille en riant) C’est sûr qu’il n’a rien de l’archétype de l’intello ce gamin, quel clown !! Vous savez qu’avant-hier j’en ai pissé dans mon maillot de bain, vous vous rappelez ? Quand il s’est mis à nous imiter Johnny avec sa guitare imaginaire et sa voix en pleine mue.
- (Patrice mort de rire) Déchainer qu’il était le garçon Hi ! Hi ! Son pote Thomas n’en pouvait plus à se tenir les côtes.
- (Léonie) Ils sont mignons tous les deux vous ne trouvez pas ?
- (Camille reprenant son sérieux) Dommage qu’ils ne s’intéressent pas aux filles sinon j’en ferais bien mon quatre-heures de ces deux-là.
- (Léonie en hochant la tête) Et moi donc !! Thomas est à tomber, vous avez vu comment tout le monde se retourne sur son passage ?
- (Patrice) C’est vrai qu’il en jette le mec !! Et son cousin sera de la même trempe comme il est parti là.
- (Dorian narquois) Mais ils ne seront pas pour vous les filles, Damien et Florian ont tiré le jackpot et ça a l’air d’être du solide croyez-moi.
- (Camille dépitée) J’ai vu oui !! Dommage quand même, ils sont trop canons ses deux là.
-(Patrice amusé) Eh bien les filles !! Il ne vous reste plus qu’à essayer de les convertir.
- (Dorian) Ce n’est pas gagné d’avance je vous le dis, mais bonne chance tout de même. Tu parlais de la mission tout à l’heure ? Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? Parce que je vous rappelle tout de même que nous ne sommes pas là en vacances nous !!
- (Patrice en faisant la grimace) Je vous avoue qu’elle me déplaît de plus en plus cette mission et que je n’ai qu’une hâte, c’est de la boucler au plus vite. Quoique j’aimerais encore passer un peu de temps avec eux, je ne sais pas si vous serez d’accord mais je suis bien tenté pour laisser Florian tranquille et d’oublier pourquoi nous sommes là. Suffit d’envoyer nos rapports en n’y mettant rien qui pourrait lui causer du tort.
1ere ANNEE Août : (1 /60) (Ju)
La semaine qui suit passe très vite, une certaine routine s’installe car c’est la sixième qu’ils passent tous ici. Maxime, Émilie et Julien savourent leurs derniers jours avant leur retour à Reims et profitent au maximum du beau temps pour parfaire leur bronzage sous les quolibets amicaux de leurs amis.
« Ju » regarde son petit ami avec une pointe de mélancolie, il voit venir l’heure de la séparation et se pose tout un tas de questions sur l’avenir qu’ils ont ensemble. Il ne quitte plus Maxime un seul instant mais n’ose pas lui en parler de peur de brusquer les choses.
Aurélien et lui en ont parlé et celui-ci lui a conseillé d’avoir une discussion sincère avec Maxime, mais les mots ne viennent pas et son amoureux ne fait de son côté allusion à rien quant à ses intentions de le revoir une fois rentré chez ses parents.
C’est Guillaume qui en toute innocence aborde le sujet, plus par curiosité qu’autre chose. Il vient s’asseoir près de Maxime qui est allongé sur le ventre les yeux fermés.
- Alors « Max » ? Pas de regrets d’être venu avec nous ?
- (Maxime ouvre un œil et sourit au jeune garçon) Oh que non !! Je crois bien que ce sont les plus belles vacances que j’ai passées de ma vie.
- Vous allez faire comment avec « Ju » une fois à Reims ?
- J’aimerais lui demander de venir vivre avec moi mais j’ai peur qu’il n’ose pas quitter ses parents tant qu’il est étudiant.
- Tu lui en as déjà parlé au moins ?
- (Maxime se redresse sur un coude et fixe Guillaume) C’est lui qui t’a demandé de venir ?
- Non ! Pas du tout ! Juste que je me demandais c’est tout ; et s’il reste chez ses parents tu feras quoi ?
- Je l’inviterais chez moi et puis ce n’est pas si grave, nous n’habitons pas très loin l’un de l’autre. Ce n’est pas comme s’il vivait à Aix comme Thomas, je ne sais pas comment ils font en sachant combien ils s’aiment ces deux-là.
- Ne cherche surtout pas, tu te dis que c’est « Flo » et « Thom » un point c’est tout. - - Vous devriez plutôt en parler tu sais, imagine ce qui peut bien se passer dans sa tête à se demander quoi pour vous deux.
- Toi tu sais quelque chose ?
- Non pas vraiment, mais je sais qu’il en parle avec « Aurél » et que ça le turlupine car il tient vraiment à toi, tu sais ? Il est fou de toi le Julien c’est trop visible pour que tu ne t’en aperçoives pas.
- Tu as raison (Maxime se lève souplement) D’ailleurs je voulais lui en dire deux mots, alors pourquoi attendre plus longtemps, merci de m’en avoir parlé.
Julien le voit se diriger vers lui l’air sérieux et le prendre par un bras en le faisant se lever pour l’emmener un peu à l’écart des autres afin de pouvoir lui parler tranquillement.
Maxime voit bien l’inquiétude se dessiner sur les traits de son compagnon et il se dit qu’il est temps en effet de mettre les pendules à l’heure avec lui afin qu’il se rassure sur ses intentions à son égard.
Guillaume sourit en voyant l’air décidé de « Max » et pense qu’il a bien fait de venir lui parler des inquiétudes de « Ju » même si ce n’était pas le but initial de sa conversation quand il est venu aux nouvelles sur le plaisir que « Max » a pris d’être venu passer quelques temps avec eux tous.
- (Maxime) Faut pas te faire de soucis pour nous deux « Ju », je t’aime et je veux croire que toi aussi alors sitôt rentrer à Reims je te prépare un double de mes clés d’appartement et tu fais comme chez toi. J’aimerais que tu viennes y vivre avec moi mais si tu ne te sens pas prêt tu pourras venir quand bon te semblera, et j’espère que ce sera très souvent.
- (Julien rayonnant) C’est vrai ? Merci « Max » je n’osais pas t’en parler mais moi aussi j’ai trop envie qu’on soit ensemble.
- Alors réfléchis à ma proposition, surtout prends ton temps il n’y a pas le feu et puis que tu choisisses l’une ou l’autre des solutions, le principal c’est qu’on puisse se voir quand on en aura envie (Il rit) De toute façon je me suis renseigné et je serais toujours le plus jeune infirmier de service au CHU à la rentrée, alors tu n’auras pas le choix.
- (Julien se serre contre lui) Je ne l’avais déjà plus tu le sais bien, déjà que l’idée d’être séparé de toi pendant trois semaines me noue l’estomac.
- (Maxime souriant tendrement) Il ne faut pas, profite de tes amis et nous nous reverrons sois en sûr à ton retour. À moi aussi tu vas manquer tu sais ? Mais bon ! Je dois reprendre le travail même si c’est bien la première fois que je le ferais sans réelle envie.
- (Julien reprenant le moral maintenant que les choses sont dites) N’oublie pas que je vais moi aussi commencer mon internat et que nous aurons aussi souvent l’occasion de nous voir. Peut-être même de travailler ensemble qui sait ?
- (Maxime sans réfléchir) Si tu fais toi aussi partie de l’équipe de « Flo » c’est sûr !! Tu verras c’est super et tu apprendras beaucoup de choses avec lui, juste attends toi dans ce cas-là à faire des jaloux parce qu’il y en a plus d’un qui aimerait être à ta place.
- (Julien bouche bée) L’équipe de « Flo » ?? Mais je croyais qu’il n’était qu’observateur ? Mon père ne m’a jamais parlé de ça ? C’est quoi cette histoire ?
1ere ANNEE Août : (2 /60) (Marc)
Aléxie marche au côté de Marc, il dévore des yeux son ami s’arrangeant pour être légèrement en retrait afin qu’il ne le remarque pas. Ils ont la même taille mais les vingt kilos qu’ils ont d’écart en font deux garçons très différents, lui est plutôt robuste avec ses soixante-dix kilos et son mètre soixante-quinze alors que Marc paraît chétif et presque maladif tellement sa maigreur est saisissante.
Il se dit qu’il faut qu’il en reparle à Florian afin de savoir ce qu’il en est quant aux résultats de ses examens. Lors de leurs joutes amoureuses, il est sans cesse à faire attention de ne pas lui faire mal et il y a des moments où ça lui ôte une partie du plaisir tellement son esprit en est obnubilé.
Ils arrivent au campement et constatent qu’il est vide, l’heure n’étant pas assez avancée et de loin s’en faut pour qu’ils commencent tous à revenir au camp. Une lueur coquine illumine alors son beau visage et il accélère légèrement l’allure afin de se retrouver près de lui et pouvoir doucement enlacer ses reins et se serrer contre lui.
Marc sourit en sentant ce bras doux et cette main chaude lui enserrer la taille, il connaît suffisamment bien son copain maintenant pour comprendre ce que sont ses intentions. Comme ce n’est certainement pas une chose qu’il envisagerait même quelques secondes de refuser, il attrape sa main dans l’une des siennes et la caresse doucement.
Tout naturellement ils se dirigent vers leurs chambres et une fois à l’intérieur en referment ensemble le rideau puis sans besoin d’exprimer leurs envies, ils s’embrassent en s’allongeant sur le lit. Comme à son habitude c’est Aléxie qui entame les préliminaires, il connaît suffisamment l’extrême timidité de Marc quand il s’agit de se mettre nu pour avoir pris l’habitude de s’en occuper à sa place.
Pour le plaisir de ne pas tout découvrir tout de suite, il lui conserve son caleçon et il le laisse dans cette tenue le temps d’ôter à son tour ses vêtements et de venir ensuite s’allonger sur lui en faisant très attention à ce que son poids n’écrase pas son ami.
La timidité de Marc s’arrête au déshabillage car sitôt le corps d’Aléxie sur lui, il se déchaîne et prend magistralement en main la suite des événements. Ses lèvres fines entrent en contact avec celles charnues de son amant et leurs langues s’emmêlent dans un ballet sensuel qui leur fait monter l’adrénaline dans tout le corps et déformer irrésistiblement les maigres centimètres carrés de tissu qu’ils leur restent encore.
Aléxie se frotte de plus en plus nerveusement contre le sexe de son compagnon et ses mains lui parcourent le corps en de douces caresses qui font frissonner Marc en lui arrachant de temps en temps quelques petits gloussements à cause des chatouilles qui parfois le font se raidir mécaniquement.
Marc connaît le moyen qui va stopper toutes ses papouilles en déclenchant les envies de jouissances d’Aléxie, ses mains passent sous la ceinture du sous-vêtement et malaxent fermement les deux fesses rondes et fermes. Ils les triturent en les écartant suffisamment pour que ses doigts rencontrent et massent sa rosette qui s’ouvre d’envie de façon obscène n’ayant plus qu’une attente, celle de se faire bien remplir à fond par le sexe fin qu’il a tant pris l’habitude d’apprécier depuis qu’ils ont sauté le pas lors de la nuit passée chez les parents d’Aléxie.
Cela ne rate encore pas cette fois-ci car dans un grognement d’excitation incontrôlable, Aléxie arrache littéralement son slip et sans autre forme de procès s’empale directement sur le sexe tendu sortant fièrement de l’ouverture du caleçon que Marc n’a même pas eu le temps d’enlever tellement sa rapidité l’a encore une fois surpris.
Il prend en main la hampe légèrement plus longue et plus épaisse que la sienne et tire en arrière sur la peau pour admirer le gland suintant et magnifiquement dessiné à la façon d’un casque colonial fendu en son milieu comme il se doit et qu’il ne peut s’empêcher de caresser du bout du doigt augmentant par ce simple geste l’envie de jouir qui prend les reins d’Aléxie.
Les mouvements de bassin qui rythme le va-et-vient dans son fondement s’accélèrent de plus en plus, la respiration devient haletante et la sueur s’échappant du front du jeune homme commence à tomber en goutte à goutte sur le torse de Marc qui halète lui aussi sentant son orgasme lui prendre les tripes et ses muscles se nouer du plaisir qui grandit dans son corps.
Marc accélère son mouvement de poignet pendant que son autre main couvre et masse le gland rouge carmin qui arrive à grossir encore un peu plus sous cette caresse qui l’électrise et le mène dans un état de non-retour. Une chaleur due aux frottements du sexe de Marc à l’intérieur de son ventre monte à la vitesse de l’éclair vers son cerveau exacerbé par toutes les sensations qu’il reçoit de ses zones érogènes.
Marc sent l’orgasme arriver soudainement et une de ses mains croche les reins d’Aléxie pour l’empaler à fond pendant qu’il explose et déverse sa liqueur dans le ventre de son ami qui lui masse divinement le sexe en contractant ses muscles internes pendant que lui aussi, tétanisé par l’orgasme, se déverse dans l’autre main qui cajole toujours doucement l’extrémité du gland arrivé au summum de sa grosseur.
Leurs yeux se cherchent et se trouvent rapidement, leurs lèvres s’épanouissent dans un sourire reconnaissant et rempli de béatitude. Les corps deviennent flasques et les nerfs se relâchent lentement, leurs respirations reprennent un rythme normal. Un dernier frisson traverse leur corps repu pour quelques temps mais pas trop car ils connaissent bien leurs énormes besoins sexuels, besoins qu’ils ont découverts ensemble et dont leurs corps d’adolescents en sont addicts maintenant qu’ils se sont enfin trouvés.
1ere ANNEE Août : (3/60) (Confessions)
Maurice ne peut décidément pas empêcher le sourire satisfait de s’épanouir sur son visage, le rapport qu’il lit pour la deuxième fois ne laisse aucun doute sur son choix d’envoyer cette équipe-là plutôt qu’une autre. Rien ne vient argumenter de façon positive la raison de la mission, bien sûr il connaît par les explications de Philippe la propension qu’à Florian depuis son tout jeune âge à vouloir paraître comme tout le monde, ce qui l’aide beaucoup dans le cas présent.
Seul le fait de le mettre en situation pourrait faire qu’il se découvre comme il l’a fait « malheureusement » lors des divers passages des scientifiques envoyés lui donner des cours de perfectionnement et qui sont tous revenus en se posant la question de savoir s’ils méritent réellement la renommée qu’on leur prête.
Les cinq feuillets qu’il tient en mains ne dévoilent de lui que l’exceptionnelle sympathie qu’il dégage auprès des personnes qu’il rencontre ainsi que l’amitié tout aussi inhabituelle que tous éprouvent envers lui à son contact.
Le rapport fait bien entendu mention de la tentative de vol dont ils ont été l’objet ainsi que la façon somme toute curieuse qui a fait qu’elle n’ait pas abouti. Il est aussi noté le fait qu’il soit en couple avec un garçon et que beaucoup de ses amis présents avec lui ont les mêmes spécificités sexuelles que la sienne.
Maurice range dans un dossier le premier rapport et attend maintenant plus sereinement les suivants qui il n’en doute pas un instant seront de la même teneur.
***
Dorian est avec ses collègues et amis en route justement pour rejoindre Florian et sa bande sur la plage où ils se sont rencontrés la première fois, les présentations ayant été faites le lendemain même et il sourit en constatant qu’il n’y a rien de professionnel dans l’engouement qu’ils ont depuis à les retrouver tous pour passer les après-midi avec eux .Ou du moins avec ceux qui s’y trouvent car il a remarqué avec curiosité qu’ils n’y sont pour ainsi dire jamais tous ensemble.
- (Camille) J’espère que Chloé et Carole seront là, elles doivent m’apprendre la brasse papillon.
- (Patrice) Flavien m’a promis de m’apprendre des prises de self-défense, c’est qu’il touche grave en combat le gaillard.
- (Léonie) Léa va sûrement venir encore une fois me questionner sur les garçons (Elle rit) Comme si j’étais la science infuse sur le sujet.
- (Patrice constatant que Dorian ne dit rien) Et toi Dorian tu comptes faire quoi cet aprèm ?
- (Dorian en souriant en réponse aux paroles de son ami) Nous avons prévu une partie de volley avec les garçons.
- (Léonie amusée) Tu es drôlement devenu pote avec Sylvain et Sébastien en douce !! Ça ne te dérange pas qu’ils soient en couple ?
- (Dorian étonné de la question) Bah non !! Pourquoi ? Ça devrait ? Et puis tu sais, ils y sont tous en couple de toute façon alors si cela gêne l’un d’entre vous il serait temps de le dire.
- (Camille) Moi personnellement ça ne me dérange pas, ils sont trop cool et je passe des après-midi super avec eux.
- (Patrice) C’est vrai qu’ils sont plaisants à fréquenter, on en oublie la mission qui nous a fait venir ici d’ailleurs.
- (Léonie) « Flo » est un mec génial, il n’a rien du type qui se prend la tête et ce n’est pas le dernier à déconner avec les autres.
- (Camille en riant) C’est sûr qu’il n’a rien de l’archétype de l’intello ce gamin, quel clown !! Vous savez qu’avant-hier j’en ai pissé dans mon maillot de bain, vous vous rappelez ? Quand il s’est mis à nous imiter Johnny avec sa guitare imaginaire et sa voix en pleine mue.
- (Patrice mort de rire) Déchainer qu’il était le garçon Hi ! Hi ! Son pote Thomas n’en pouvait plus à se tenir les côtes.
- (Léonie) Ils sont mignons tous les deux vous ne trouvez pas ?
- (Camille reprenant son sérieux) Dommage qu’ils ne s’intéressent pas aux filles sinon j’en ferais bien mon quatre-heures de ces deux-là.
- (Léonie en hochant la tête) Et moi donc !! Thomas est à tomber, vous avez vu comment tout le monde se retourne sur son passage ?
- (Patrice) C’est vrai qu’il en jette le mec !! Et son cousin sera de la même trempe comme il est parti là.
- (Dorian narquois) Mais ils ne seront pas pour vous les filles, Damien et Florian ont tiré le jackpot et ça a l’air d’être du solide croyez-moi.
- (Camille dépitée) J’ai vu oui !! Dommage quand même, ils sont trop canons ses deux là.
-(Patrice amusé) Eh bien les filles !! Il ne vous reste plus qu’à essayer de les convertir.
- (Dorian) Ce n’est pas gagné d’avance je vous le dis, mais bonne chance tout de même. Tu parlais de la mission tout à l’heure ? Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? Parce que je vous rappelle tout de même que nous ne sommes pas là en vacances nous !!
- (Patrice en faisant la grimace) Je vous avoue qu’elle me déplaît de plus en plus cette mission et que je n’ai qu’une hâte, c’est de la boucler au plus vite. Quoique j’aimerais encore passer un peu de temps avec eux, je ne sais pas si vous serez d’accord mais je suis bien tenté pour laisser Florian tranquille et d’oublier pourquoi nous sommes là. Suffit d’envoyer nos rapports en n’y mettant rien qui pourrait lui causer du tort.
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