03-12-2020, 09:37 AM
(Modification du message : 03-07-2021, 04:26 PM par Philou0033.)
Au camp scout
Tome 1.
Au camp scout.
Chapitre 1.
Découvertes
Je faisais partie d'une troupe de scouts (12-17) et nous étions au camp dans les Ardennes. C'était mon troisième camp. J'étais dans une patrouille de six. Le CP était le plus âgé, il devait avoir un an de plus que moi et se prénommait Jean. Jean était assez mince, il mesurait 1 mètre 80 et avait les cheveux noirs. Il y avait aussi Roland, plus petit, assez trapu, il avait le même âge. Les trois autres, Philippe, Marc avaient et Henri étaient à peine plus jeunes, nous avions tous plus de quinze ans.
Comme tous les scouts nous logions sous la tente. Chaque patrouille avait sa tente et son auvent. Nous faisons du woodcraft (constructions en bois), nous construisions une table avec bancs, un feu sur table, et un portique.
Après quatre jours de camp, les patrouilles partaient en hike. Pour partir en hike nous ne prenions que le minimum dans nos sacs à dos. Nous avions chacun notre sac de couchage, un pull pour le froid, une lampe de poche, la gamelle, une paire chaussette, et de la nourriture. Ma patrouille avait décidé de se rendre à plus de 25 kilomètres du camp, nous devions traverser une grande forêt avant d'arriver sur un plateau. Après quelques heures de marche nous sommes arrivés sur le plateau. Le temps s'est mis à changer. Les nuages arrivaient et le vent se levait. Ce que nous n'avions pas envie d'avoir, c'est la pluie. Rien n'y fit, la pluie s'est mise à tomber. Au fur et à mesure que nous avancions, il pleuvait de plus en plus fort. Jean, le CP, avait repéré une ferme au loin. Nous nous sommes dirigés vers cette ferme pensant avoir un toit pour s'abriter. Jean fut le premier à la porte et il prit contact avec la fermière. Nous voyant trempés jusqu'aux os, elle nous permis de nous installer dans la grange. Nous nous sommes installés dans la grange, sur la paille.
Nous étions enfin à l'abri. Pour ne pas avoir froid avec nos vêtements mouillés, nous nous sommes déshabillés. Une fois en caleçon, nous avons préparé nos sacs de couchage. Avant de nous coucher, Jean nous a dit : pas de chichi, tous à poil, on ne va pas garder notre slip mouillé pour dormir. D'un geste il ôte son slip. Jean avait un sexe assez fin mais long, ses fesses étaient bien galbées. Les autres se mirent aussi à poil ; Marc avait aussi un sexe assez fin, Philippe lui avait un petit sexe, je me suis dit c'est peut-être dû au fait que nous avions froid ; Roland, avait ôté son slip en cachant son sexe avec sa main ; quant à Henri, il avait quelques poils blonds qui poussaient, il était en pleine puberté. Je me décide alors à enlever mon slip. Nous nous sommes mis à rires en nous voyant comme ça tous à poil au milieu de la paille.
Pour ne pas avoir froid nous nous sommes couchés, de plus il se faisait tard. Une fois dans mon sac de couchage je me suis mis à bander. J'avais trouvé une place près de la porte de la grange et Henri était à mes côtés.
Marc avait froid, il tremblait tout comme Philippe. Jean se mis alors à frictionner le dos de Marc au travers du sac de couchage. Voyant ça Roland fit de même à Philippe. Je me suis tourné vers Henri. Il ne disait rien. Je lui demande s'il n'a pas froid, il ne me répond pas. Jean avait entre ouvert le sac de Marc et il lui caressait le dos, à mains nues ; Marc semblait apprécier les caresses de Jean. Roland lui aussi s'était en partie relevé pour réchauffer Philippe, il lui réchauffait les pieds en passant les bras dans le sac de couchage de Philippe. Je fis signe à Henri de se rapprocher de moi. Je me suis penché vers lui et je lui ai soufflé à l'oreille « veux-tu que je te réchauffe ? » Henri, fit oui de la tête. J'ai ouvert mon sac de couchage, ensuite j'ai ouvert le sien. Je lui ai fait signe de venir se blottir près de moi dans mon sac de couchage. Henri ne se fit pas prier, il se glissa auprès de moi et se blotti tout de suite contre mon corps. Il me susurra à l'oreille « que tu as bien chaud, … heu… merci ». Les autres ayant vu ce que Henri et moi avions faits, firent de même de leur côté. Philippe alla rejoindre Roland et Marc alla rejoindre Jean dans son sac de couchage.
Henri était aux anges, il se blottissait tout contre moi, cherchant la chaleur de mon corps. Je caressais le dos, les bras et le ventre d'Henri. Henri se réchauffait petit à petit. Il ne tremblait plus et semblait apprécier mes caresses. Moi de mon côté, j'étais heureux d'avoir Henri dans mon sac de couchage. Je bandais à mort et j'essayais de ne pas le montrer à Henri.
Il faut avouer que j'avais déjà eu des pensées envers Henri, j'avais rêvé de le serrer dans mes bras, j'avais rêvé de lui faire découvrir mon corps, j'avais rêvé de lui donner du plaisir, en un mot le masturber, le faire jouir.
Henri s'est mis à son tour à me caresser le dos, à me « réchauffer », comme il disait ; or, je n'avais pas froid, dans l'état d'excitation dans lequel j'étais. Mon sexe était dur et semblait vouloir éclater à la suite des sensations que j'éprouvais à l'égard d'Henri. Je me mis à caresser ses jambes, ses cuisses. Henri m'imitant fit de même ; il se mit à me caresser les jambes, les cuisses et il remontait vers le dos en passant par mes fesses. Mon sexe quant à lui palpitait, se gonflait d'avantage. Je me mis alors à caresser les fesses d'Henri et n'y tenant plus je mis ma main sur son sexe. Henri ne broncha pas, je sentais son sexe dur, il était assez petit, dur et dressé, n'attendant plus qu'on s'occupe de lui. Je me suis mis à décalotter sa verge, je me suis mis à faire de mouvements de va et vient sur sa tige, je voyais qu'Henri fermait les yeux, il semblait apprécier. Durant plus d'un quart d'heure j'ai branlé la tige d'Henri. Je multipliais les mouvements lents et rapides sur sa tige, je lui caressais les couilles à peine couvertes de poils blonds, je me rapprochais de lui, je le serrais dans mes bras, je lui procurais tout le plaisir possible. La respiration d'Henri se fit de plus en plus rapide, il gémissait de plus en plus, je sentais son sexe gonflé au maximum, prêt à répandre toute sa sève. D'un coup, Henri se mit à me crier, « je vais pisser » ! Il n'en était rien, je sentais son corps se contracter, et d'un coup il éjacula dans ma main cinq à six longs jets de sperme. En fait c'était la première fois qu'Henri éjaculais en dehors de ses rêves nocturnes et humides.
Henri me demanda pardon pour avoir ainsi sali mon sac de couchage. Je lui ai répondu en lui donnant un baiser sur la bouche. Il a fait un petit mouvement de recul et puis il s'est rapproché de moi. Il a tendu ses lèvres et nous nous sommes embrassés, il laissait ma langue titiller la sienne, il laissait la sienne passer dans mes lèvres. Nous nous sommes embrassés ainsi quelques minutes. Les autres de leur côté n'étaient pas en reste, ils se caressaient bien la tige mutuellement et ne s'intéressaient pas à ce que Henri et moi faisions.
Après ce long baiser, Henri posa sa main sur mon sexe encore dur et dressé. Il me rendit les caresses que je lui avais faites auparavant. Il s'y prenait maladroitement, et me faisait un peu mal. Je lui ai dit de ne pas s'énerver, de prendre tout son temps, de se relâcher, d'y aller voluptueusement. Henri prenait de plus en plus d'aplomb, il se concentrait pour me faire plaisir, pour me donner du plaisir. Je sentais qu'il aimait me branler, qu'il aimait me caresser, qu'il aimait le contact avec un autre garçon. Il me fit monter au ciel, il me fit décharger comme je n'avais encore fait, j'ai éjaculé à grand renfort de gémissements, j'étais en extase, Henri m'avait branlé comme un homme sait le faire. Il venait d'apprendre à donner du plaisir à un garçon.
Les autres avaient arrêté de se caresser, ils avaient assisté à mon émoi, ils n'en revenaient pas. Henri et moi, nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre jusqu'au matin.
Henri avait passé la nuit avec moi dans mon sac de couchage. Au matin il s'était blotti une nouvelle fois dans mes bras. Il m'avait regardé me réveiller et il m'avait souri, il avait l'air angélique et ses yeux étaient pétillants, il y avait comme une douce chaleur qui se dégageait de son corps collé au mien. Il m'avait dit au creux de l'oreille « merci », merci pour ce qu'il avait vécu la veille au soir, merci pour la nuit qu'il avait passée avec moi, merci d'être encore dans mes bras au réveil.
Nous nous sommes tous levés et nous n'avons pas parlé de ce qui c'était passé entre nous. Nous avons bouclé nos sacs et après le petit déjeuné, nous avons remercié la fermière pour son accueil. Nous avons poursuivi notre chemin pour nous retrouver au soir au camp.
A la veillée, les CP des patrouilles racontaient au reste de la troupe le déroulement du hike. Jean, notre CP, a raconté le déroulement de notre hike ; il racontait notre marche sous la pluie, notre rencontre avec la fermière qui avait proposé de loger dans une grange, le retour au camp après avoir ramassé des fleurs et des feuilles pour notre herbier. Jean n'avait pas parlé de nos ébats dans la paille de la grange. Après avoir chanté à tue-tête autour du feu de camp, après avoir salué les chefs, chaque patrouille regagna sa tente.
Contrairement à la nuit précédente, il faisait assez chaud. Jean se mis à se déshabiller, il ôta tous ses vêtements pour se retrouver nu comme un ver. Il se glissa dans son sac en tenue d'Adam. Chacun de nous fit de même et nous nous sommes tous retrouvés nus dans nos sacs respectifs. Nous nous sommes endormis assez vite après le hike qui nous avait épuisé.
Au matin, alors que je dormais encore, j'ai senti un frôlement, plutôt une présence à côté de moi. Je n'y fis pas attention. Quelques minutes après, le frôlement se fit plus précis, je sentais qu'une main s'était introduite dans mon sac de couchage, elle remontait le long de mon dos, elle redescendait vers mes fesses, passait dessus, et elle poursuivait le long des cuisses. Ces caresses ne me laissaient pas indifférent, je me mis à avoir la trique. Je ne bougeais pas, je me laissais caresser, je sentais cette main voyager sur mon corps, elle passa alors sur mon ventre pour descendre vers mon intimité dressée, elle s'arrêta sur mon sexe en érection, elle l'enveloppa et se mis à faire des mouvements de va et vient. Je commençais à gémir tellement la caresse était voluptueuse, je me demandais qui était à côté de moi, je me souvenais que je dormais à côté d'Henri. Je me suis mis à chercher d'une main l'ouverture du sac de couchage de mon branleur, ma main trouva le ventre de mon voisin, elle descendit directement vers l'intimité dressée d'Henri. En fait dès que j'ai posé la main sur son sexe, j'ai su que c'était Henri. J'avais pu avoir son sexe en main lors du hike et ma main se souvenait de ce contact doux avec cette peau lisse et des quelques poils blonds qui poussaient au-dessus de ce sexe d'adolescent que je caressais avec volupté. Henri avait fait des progrès, il alternait les mouvements lents et rapides, au bout de quelques minutes, il senti que j'allais déverser ma semence sur sa main, il resserra sa main sur mon sexe, et termina lentement sa masturbation. De mon côté je sentais qu'Henri était sur le point d'éjaculer, il se cambrait, il respirait plus fort, il se cabrait. D'un coup j'ai senti son sperme se répandre dans ma main et moi je me laissais aller dans la sienne. Henri avait le même regard, le regard qu'il avait au matin de notre réveil dans la grange, Henri était encore aux anges, il avait découvert le plaisir entre garçon et montrait qu'il y avait pris goût. Nous venions de vivre un moment très plaisant. Les autres dormaient toujours et n'avaient pas entendu nos ébats.
Avant ce camp je ne connaissais pas bien Henri, pour moi il était simplement un jeune scout dans ma patrouille et rien en lui n'avait de quoi m'attirer. Je ne savais pas que j'allais ainsi découvrir qu'Henri était un garçon assez timide, gentil et qui était toujours de bonne humeur. Il se rapprochait de moi, il m'étonnait de plus en plus. Chaque jour il progressait, il faisait tout pour plaire, pour me plaire. Moi je n'étais pas insensible à la façon de se comporter d'Henri. Je cherchais sa compagnie, je voulais l'accompagner pour la corvée bois ou la corvée eau. J'étais finalement attiré par Henri, par sa jeunesse, par sa sensibilité, par ses gestes précis et calmes, par ses attitudes, par ses sourires, par sa joie de vivre, par sa vitalité, insouciant de l'avenir.
Le soir suivant, nous nous retrouvions dans nos sacs de couchage, nus. C'était devenu une habitude, nous nous retrouvions nus dans la tente, nous avions surmonté nos pudeurs, nous pouvions nous montrer tels que nous étions, de beaux ados pleins de vie. Philippe dit alors, « j'ai la trique ». Nous nous sommes tous mis à rire. Jean lui a dit « branles-toi alors ». Philippe se mit sur son sac la queue en l'air et se mit à se masturber. J'avais la queue qui se dressait, je bandais aussi. Roland se mis aussi sur son sac et se mis à se caresser. Finalement nous étions six la queue en l'air en train de nous masturber. Ce fut Jean qui déchargea le premier suivi de Roland et moi, les autres éjaculèrent chacun à leur tour. Nous nous sommes ensuite couchés.
Au matin, avant le levé, j'ai senti la main d'Henri me caresser le dos, les fesses. Je me suis retourné face à lui, il avait encore ce regard d'ange, son visage était illuminé. Je me suis rapproché de son visage, mes lèvres se sont posées sur les siennes, j'ai ouvert ses lèvres avec ma langue, il me laissa fouiller sa bouche et à son tour il laissa sa langue aller dans ma bouche. Nous nous sommes enlacés, nous nous sommes étreints, nos mains se promenaient sur nos corps, sur nos fesses, sur nos jambes. Nos sexes étaient plaqués l'un sur l'autre, ils étaient dressés, ils étaient tendus à l'extrême par cette chaleur qui montait de nous, de nos ébats. Nous nous sommes masturbés mutuellement, nous nous sommes fait monter, nous avons laissé libre cours à nos instincts, nous avons jouis presque en même temps. Reprenant nos esprits, nous nous sommes rendus compte que Marc se branlait, il nous avait vu nous étreindre, nous donner du plaisir, il était sur le point de cracher toute sa semence, il se contractait, et d'un coup six longs jets tombèrent sur son ventre. Marc aussi était heureux, il venait de ressentir des émotions nouvelles, il venait de découvrir qu'il aurait aimé être à la place de l'un de nous pour connaître lui aussi cet émoi entre garçons.
Chaque matin c'était le réveil en douceur, les caresses échangées avec Henri sous les sacs de couchages avant que les autres ne se réveillent. Henri et moi nous étions devenus les meilleurs amis du monde. Nous ne redoutions qu'une chose, c'est que le camp finisse trop tôt.
Voici un récit qui a été revu et relooké.
Il est composé de plusieurs tomes. Il raconte la vie de Phil, scouts dans les années 1970.
L’histoire commence en 1973.
Ce récit comporte des parties ou événements réels ainsi que des parties fictives et romancées.
Il traite donc d'homosexualité concernant des ados avec tout ce que cela comporte comme bonheur, larmes, déceptions, harcèlement, tentative de suicide et autres sujets importants.
Très bonne lecture à toutes et tous !
Il est composé de plusieurs tomes. Il raconte la vie de Phil, scouts dans les années 1970.
L’histoire commence en 1973.
Ce récit comporte des parties ou événements réels ainsi que des parties fictives et romancées.
Il traite donc d'homosexualité concernant des ados avec tout ce que cela comporte comme bonheur, larmes, déceptions, harcèlement, tentative de suicide et autres sujets importants.
Très bonne lecture à toutes et tous !
Tome 1.
Au camp scout.
Chapitre 1.
Découvertes
Je faisais partie d'une troupe de scouts (12-17) et nous étions au camp dans les Ardennes. C'était mon troisième camp. J'étais dans une patrouille de six. Le CP était le plus âgé, il devait avoir un an de plus que moi et se prénommait Jean. Jean était assez mince, il mesurait 1 mètre 80 et avait les cheveux noirs. Il y avait aussi Roland, plus petit, assez trapu, il avait le même âge. Les trois autres, Philippe, Marc avaient et Henri étaient à peine plus jeunes, nous avions tous plus de quinze ans.
Comme tous les scouts nous logions sous la tente. Chaque patrouille avait sa tente et son auvent. Nous faisons du woodcraft (constructions en bois), nous construisions une table avec bancs, un feu sur table, et un portique.
Après quatre jours de camp, les patrouilles partaient en hike. Pour partir en hike nous ne prenions que le minimum dans nos sacs à dos. Nous avions chacun notre sac de couchage, un pull pour le froid, une lampe de poche, la gamelle, une paire chaussette, et de la nourriture. Ma patrouille avait décidé de se rendre à plus de 25 kilomètres du camp, nous devions traverser une grande forêt avant d'arriver sur un plateau. Après quelques heures de marche nous sommes arrivés sur le plateau. Le temps s'est mis à changer. Les nuages arrivaient et le vent se levait. Ce que nous n'avions pas envie d'avoir, c'est la pluie. Rien n'y fit, la pluie s'est mise à tomber. Au fur et à mesure que nous avancions, il pleuvait de plus en plus fort. Jean, le CP, avait repéré une ferme au loin. Nous nous sommes dirigés vers cette ferme pensant avoir un toit pour s'abriter. Jean fut le premier à la porte et il prit contact avec la fermière. Nous voyant trempés jusqu'aux os, elle nous permis de nous installer dans la grange. Nous nous sommes installés dans la grange, sur la paille.
Nous étions enfin à l'abri. Pour ne pas avoir froid avec nos vêtements mouillés, nous nous sommes déshabillés. Une fois en caleçon, nous avons préparé nos sacs de couchage. Avant de nous coucher, Jean nous a dit : pas de chichi, tous à poil, on ne va pas garder notre slip mouillé pour dormir. D'un geste il ôte son slip. Jean avait un sexe assez fin mais long, ses fesses étaient bien galbées. Les autres se mirent aussi à poil ; Marc avait aussi un sexe assez fin, Philippe lui avait un petit sexe, je me suis dit c'est peut-être dû au fait que nous avions froid ; Roland, avait ôté son slip en cachant son sexe avec sa main ; quant à Henri, il avait quelques poils blonds qui poussaient, il était en pleine puberté. Je me décide alors à enlever mon slip. Nous nous sommes mis à rires en nous voyant comme ça tous à poil au milieu de la paille.
Pour ne pas avoir froid nous nous sommes couchés, de plus il se faisait tard. Une fois dans mon sac de couchage je me suis mis à bander. J'avais trouvé une place près de la porte de la grange et Henri était à mes côtés.
Marc avait froid, il tremblait tout comme Philippe. Jean se mis alors à frictionner le dos de Marc au travers du sac de couchage. Voyant ça Roland fit de même à Philippe. Je me suis tourné vers Henri. Il ne disait rien. Je lui demande s'il n'a pas froid, il ne me répond pas. Jean avait entre ouvert le sac de Marc et il lui caressait le dos, à mains nues ; Marc semblait apprécier les caresses de Jean. Roland lui aussi s'était en partie relevé pour réchauffer Philippe, il lui réchauffait les pieds en passant les bras dans le sac de couchage de Philippe. Je fis signe à Henri de se rapprocher de moi. Je me suis penché vers lui et je lui ai soufflé à l'oreille « veux-tu que je te réchauffe ? » Henri, fit oui de la tête. J'ai ouvert mon sac de couchage, ensuite j'ai ouvert le sien. Je lui ai fait signe de venir se blottir près de moi dans mon sac de couchage. Henri ne se fit pas prier, il se glissa auprès de moi et se blotti tout de suite contre mon corps. Il me susurra à l'oreille « que tu as bien chaud, … heu… merci ». Les autres ayant vu ce que Henri et moi avions faits, firent de même de leur côté. Philippe alla rejoindre Roland et Marc alla rejoindre Jean dans son sac de couchage.
Henri était aux anges, il se blottissait tout contre moi, cherchant la chaleur de mon corps. Je caressais le dos, les bras et le ventre d'Henri. Henri se réchauffait petit à petit. Il ne tremblait plus et semblait apprécier mes caresses. Moi de mon côté, j'étais heureux d'avoir Henri dans mon sac de couchage. Je bandais à mort et j'essayais de ne pas le montrer à Henri.
Il faut avouer que j'avais déjà eu des pensées envers Henri, j'avais rêvé de le serrer dans mes bras, j'avais rêvé de lui faire découvrir mon corps, j'avais rêvé de lui donner du plaisir, en un mot le masturber, le faire jouir.
Henri s'est mis à son tour à me caresser le dos, à me « réchauffer », comme il disait ; or, je n'avais pas froid, dans l'état d'excitation dans lequel j'étais. Mon sexe était dur et semblait vouloir éclater à la suite des sensations que j'éprouvais à l'égard d'Henri. Je me mis à caresser ses jambes, ses cuisses. Henri m'imitant fit de même ; il se mit à me caresser les jambes, les cuisses et il remontait vers le dos en passant par mes fesses. Mon sexe quant à lui palpitait, se gonflait d'avantage. Je me mis alors à caresser les fesses d'Henri et n'y tenant plus je mis ma main sur son sexe. Henri ne broncha pas, je sentais son sexe dur, il était assez petit, dur et dressé, n'attendant plus qu'on s'occupe de lui. Je me suis mis à décalotter sa verge, je me suis mis à faire de mouvements de va et vient sur sa tige, je voyais qu'Henri fermait les yeux, il semblait apprécier. Durant plus d'un quart d'heure j'ai branlé la tige d'Henri. Je multipliais les mouvements lents et rapides sur sa tige, je lui caressais les couilles à peine couvertes de poils blonds, je me rapprochais de lui, je le serrais dans mes bras, je lui procurais tout le plaisir possible. La respiration d'Henri se fit de plus en plus rapide, il gémissait de plus en plus, je sentais son sexe gonflé au maximum, prêt à répandre toute sa sève. D'un coup, Henri se mit à me crier, « je vais pisser » ! Il n'en était rien, je sentais son corps se contracter, et d'un coup il éjacula dans ma main cinq à six longs jets de sperme. En fait c'était la première fois qu'Henri éjaculais en dehors de ses rêves nocturnes et humides.
Henri me demanda pardon pour avoir ainsi sali mon sac de couchage. Je lui ai répondu en lui donnant un baiser sur la bouche. Il a fait un petit mouvement de recul et puis il s'est rapproché de moi. Il a tendu ses lèvres et nous nous sommes embrassés, il laissait ma langue titiller la sienne, il laissait la sienne passer dans mes lèvres. Nous nous sommes embrassés ainsi quelques minutes. Les autres de leur côté n'étaient pas en reste, ils se caressaient bien la tige mutuellement et ne s'intéressaient pas à ce que Henri et moi faisions.
Après ce long baiser, Henri posa sa main sur mon sexe encore dur et dressé. Il me rendit les caresses que je lui avais faites auparavant. Il s'y prenait maladroitement, et me faisait un peu mal. Je lui ai dit de ne pas s'énerver, de prendre tout son temps, de se relâcher, d'y aller voluptueusement. Henri prenait de plus en plus d'aplomb, il se concentrait pour me faire plaisir, pour me donner du plaisir. Je sentais qu'il aimait me branler, qu'il aimait me caresser, qu'il aimait le contact avec un autre garçon. Il me fit monter au ciel, il me fit décharger comme je n'avais encore fait, j'ai éjaculé à grand renfort de gémissements, j'étais en extase, Henri m'avait branlé comme un homme sait le faire. Il venait d'apprendre à donner du plaisir à un garçon.
Les autres avaient arrêté de se caresser, ils avaient assisté à mon émoi, ils n'en revenaient pas. Henri et moi, nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre jusqu'au matin.
Henri avait passé la nuit avec moi dans mon sac de couchage. Au matin il s'était blotti une nouvelle fois dans mes bras. Il m'avait regardé me réveiller et il m'avait souri, il avait l'air angélique et ses yeux étaient pétillants, il y avait comme une douce chaleur qui se dégageait de son corps collé au mien. Il m'avait dit au creux de l'oreille « merci », merci pour ce qu'il avait vécu la veille au soir, merci pour la nuit qu'il avait passée avec moi, merci d'être encore dans mes bras au réveil.
Nous nous sommes tous levés et nous n'avons pas parlé de ce qui c'était passé entre nous. Nous avons bouclé nos sacs et après le petit déjeuné, nous avons remercié la fermière pour son accueil. Nous avons poursuivi notre chemin pour nous retrouver au soir au camp.
A la veillée, les CP des patrouilles racontaient au reste de la troupe le déroulement du hike. Jean, notre CP, a raconté le déroulement de notre hike ; il racontait notre marche sous la pluie, notre rencontre avec la fermière qui avait proposé de loger dans une grange, le retour au camp après avoir ramassé des fleurs et des feuilles pour notre herbier. Jean n'avait pas parlé de nos ébats dans la paille de la grange. Après avoir chanté à tue-tête autour du feu de camp, après avoir salué les chefs, chaque patrouille regagna sa tente.
Contrairement à la nuit précédente, il faisait assez chaud. Jean se mis à se déshabiller, il ôta tous ses vêtements pour se retrouver nu comme un ver. Il se glissa dans son sac en tenue d'Adam. Chacun de nous fit de même et nous nous sommes tous retrouvés nus dans nos sacs respectifs. Nous nous sommes endormis assez vite après le hike qui nous avait épuisé.
Au matin, alors que je dormais encore, j'ai senti un frôlement, plutôt une présence à côté de moi. Je n'y fis pas attention. Quelques minutes après, le frôlement se fit plus précis, je sentais qu'une main s'était introduite dans mon sac de couchage, elle remontait le long de mon dos, elle redescendait vers mes fesses, passait dessus, et elle poursuivait le long des cuisses. Ces caresses ne me laissaient pas indifférent, je me mis à avoir la trique. Je ne bougeais pas, je me laissais caresser, je sentais cette main voyager sur mon corps, elle passa alors sur mon ventre pour descendre vers mon intimité dressée, elle s'arrêta sur mon sexe en érection, elle l'enveloppa et se mis à faire des mouvements de va et vient. Je commençais à gémir tellement la caresse était voluptueuse, je me demandais qui était à côté de moi, je me souvenais que je dormais à côté d'Henri. Je me suis mis à chercher d'une main l'ouverture du sac de couchage de mon branleur, ma main trouva le ventre de mon voisin, elle descendit directement vers l'intimité dressée d'Henri. En fait dès que j'ai posé la main sur son sexe, j'ai su que c'était Henri. J'avais pu avoir son sexe en main lors du hike et ma main se souvenait de ce contact doux avec cette peau lisse et des quelques poils blonds qui poussaient au-dessus de ce sexe d'adolescent que je caressais avec volupté. Henri avait fait des progrès, il alternait les mouvements lents et rapides, au bout de quelques minutes, il senti que j'allais déverser ma semence sur sa main, il resserra sa main sur mon sexe, et termina lentement sa masturbation. De mon côté je sentais qu'Henri était sur le point d'éjaculer, il se cambrait, il respirait plus fort, il se cabrait. D'un coup j'ai senti son sperme se répandre dans ma main et moi je me laissais aller dans la sienne. Henri avait le même regard, le regard qu'il avait au matin de notre réveil dans la grange, Henri était encore aux anges, il avait découvert le plaisir entre garçon et montrait qu'il y avait pris goût. Nous venions de vivre un moment très plaisant. Les autres dormaient toujours et n'avaient pas entendu nos ébats.
Avant ce camp je ne connaissais pas bien Henri, pour moi il était simplement un jeune scout dans ma patrouille et rien en lui n'avait de quoi m'attirer. Je ne savais pas que j'allais ainsi découvrir qu'Henri était un garçon assez timide, gentil et qui était toujours de bonne humeur. Il se rapprochait de moi, il m'étonnait de plus en plus. Chaque jour il progressait, il faisait tout pour plaire, pour me plaire. Moi je n'étais pas insensible à la façon de se comporter d'Henri. Je cherchais sa compagnie, je voulais l'accompagner pour la corvée bois ou la corvée eau. J'étais finalement attiré par Henri, par sa jeunesse, par sa sensibilité, par ses gestes précis et calmes, par ses attitudes, par ses sourires, par sa joie de vivre, par sa vitalité, insouciant de l'avenir.
Le soir suivant, nous nous retrouvions dans nos sacs de couchage, nus. C'était devenu une habitude, nous nous retrouvions nus dans la tente, nous avions surmonté nos pudeurs, nous pouvions nous montrer tels que nous étions, de beaux ados pleins de vie. Philippe dit alors, « j'ai la trique ». Nous nous sommes tous mis à rire. Jean lui a dit « branles-toi alors ». Philippe se mit sur son sac la queue en l'air et se mit à se masturber. J'avais la queue qui se dressait, je bandais aussi. Roland se mis aussi sur son sac et se mis à se caresser. Finalement nous étions six la queue en l'air en train de nous masturber. Ce fut Jean qui déchargea le premier suivi de Roland et moi, les autres éjaculèrent chacun à leur tour. Nous nous sommes ensuite couchés.
Au matin, avant le levé, j'ai senti la main d'Henri me caresser le dos, les fesses. Je me suis retourné face à lui, il avait encore ce regard d'ange, son visage était illuminé. Je me suis rapproché de son visage, mes lèvres se sont posées sur les siennes, j'ai ouvert ses lèvres avec ma langue, il me laissa fouiller sa bouche et à son tour il laissa sa langue aller dans ma bouche. Nous nous sommes enlacés, nous nous sommes étreints, nos mains se promenaient sur nos corps, sur nos fesses, sur nos jambes. Nos sexes étaient plaqués l'un sur l'autre, ils étaient dressés, ils étaient tendus à l'extrême par cette chaleur qui montait de nous, de nos ébats. Nous nous sommes masturbés mutuellement, nous nous sommes fait monter, nous avons laissé libre cours à nos instincts, nous avons jouis presque en même temps. Reprenant nos esprits, nous nous sommes rendus compte que Marc se branlait, il nous avait vu nous étreindre, nous donner du plaisir, il était sur le point de cracher toute sa semence, il se contractait, et d'un coup six longs jets tombèrent sur son ventre. Marc aussi était heureux, il venait de ressentir des émotions nouvelles, il venait de découvrir qu'il aurait aimé être à la place de l'un de nous pour connaître lui aussi cet émoi entre garçons.
Chaque matin c'était le réveil en douceur, les caresses échangées avec Henri sous les sacs de couchages avant que les autres ne se réveillent. Henri et moi nous étions devenus les meilleurs amis du monde. Nous ne redoutions qu'une chose, c'est que le camp finisse trop tôt.