Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 03-12-2020 Au camp scout Voici un récit qui a été revu et relooké.
Il est composé de plusieurs tomes. Il raconte la vie de Phil, scouts dans les années 1970. L’histoire commence en 1973. Ce récit comporte des parties ou événements réels ainsi que des parties fictives et romancées. Il traite donc d'homosexualité concernant des ados avec tout ce que cela comporte comme bonheur, larmes, déceptions, harcèlement, tentative de suicide et autres sujets importants. Très bonne lecture à toutes et tous ! Tome 1. Au camp scout. Chapitre 1. Découvertes Je faisais partie d'une troupe de scouts (12-17) et nous étions au camp dans les Ardennes. C'était mon troisième camp. J'étais dans une patrouille de six. Le CP était le plus âgé, il devait avoir un an de plus que moi et se prénommait Jean. Jean était assez mince, il mesurait 1 mètre 80 et avait les cheveux noirs. Il y avait aussi Roland, plus petit, assez trapu, il avait le même âge. Les trois autres, Philippe, Marc avaient et Henri étaient à peine plus jeunes, nous avions tous plus de quinze ans. Comme tous les scouts nous logions sous la tente. Chaque patrouille avait sa tente et son auvent. Nous faisons du woodcraft (constructions en bois), nous construisions une table avec bancs, un feu sur table, et un portique. Après quatre jours de camp, les patrouilles partaient en hike. Pour partir en hike nous ne prenions que le minimum dans nos sacs à dos. Nous avions chacun notre sac de couchage, un pull pour le froid, une lampe de poche, la gamelle, une paire chaussette, et de la nourriture. Ma patrouille avait décidé de se rendre à plus de 25 kilomètres du camp, nous devions traverser une grande forêt avant d'arriver sur un plateau. Après quelques heures de marche nous sommes arrivés sur le plateau. Le temps s'est mis à changer. Les nuages arrivaient et le vent se levait. Ce que nous n'avions pas envie d'avoir, c'est la pluie. Rien n'y fit, la pluie s'est mise à tomber. Au fur et à mesure que nous avancions, il pleuvait de plus en plus fort. Jean, le CP, avait repéré une ferme au loin. Nous nous sommes dirigés vers cette ferme pensant avoir un toit pour s'abriter. Jean fut le premier à la porte et il prit contact avec la fermière. Nous voyant trempés jusqu'aux os, elle nous permis de nous installer dans la grange. Nous nous sommes installés dans la grange, sur la paille. Nous étions enfin à l'abri. Pour ne pas avoir froid avec nos vêtements mouillés, nous nous sommes déshabillés. Une fois en caleçon, nous avons préparé nos sacs de couchage. Avant de nous coucher, Jean nous a dit : pas de chichi, tous à poil, on ne va pas garder notre slip mouillé pour dormir. D'un geste il ôte son slip. Jean avait un sexe assez fin mais long, ses fesses étaient bien galbées. Les autres se mirent aussi à poil ; Marc avait aussi un sexe assez fin, Philippe lui avait un petit sexe, je me suis dit c'est peut-être dû au fait que nous avions froid ; Roland, avait ôté son slip en cachant son sexe avec sa main ; quant à Henri, il avait quelques poils blonds qui poussaient, il était en pleine puberté. Je me décide alors à enlever mon slip. Nous nous sommes mis à rires en nous voyant comme ça tous à poil au milieu de la paille. Pour ne pas avoir froid nous nous sommes couchés, de plus il se faisait tard. Une fois dans mon sac de couchage je me suis mis à bander. J'avais trouvé une place près de la porte de la grange et Henri était à mes côtés. Marc avait froid, il tremblait tout comme Philippe. Jean se mis alors à frictionner le dos de Marc au travers du sac de couchage. Voyant ça Roland fit de même à Philippe. Je me suis tourné vers Henri. Il ne disait rien. Je lui demande s'il n'a pas froid, il ne me répond pas. Jean avait entre ouvert le sac de Marc et il lui caressait le dos, à mains nues ; Marc semblait apprécier les caresses de Jean. Roland lui aussi s'était en partie relevé pour réchauffer Philippe, il lui réchauffait les pieds en passant les bras dans le sac de couchage de Philippe. Je fis signe à Henri de se rapprocher de moi. Je me suis penché vers lui et je lui ai soufflé à l'oreille « veux-tu que je te réchauffe ? » Henri, fit oui de la tête. J'ai ouvert mon sac de couchage, ensuite j'ai ouvert le sien. Je lui ai fait signe de venir se blottir près de moi dans mon sac de couchage. Henri ne se fit pas prier, il se glissa auprès de moi et se blotti tout de suite contre mon corps. Il me susurra à l'oreille « que tu as bien chaud, … heu… merci ». Les autres ayant vu ce que Henri et moi avions faits, firent de même de leur côté. Philippe alla rejoindre Roland et Marc alla rejoindre Jean dans son sac de couchage. Henri était aux anges, il se blottissait tout contre moi, cherchant la chaleur de mon corps. Je caressais le dos, les bras et le ventre d'Henri. Henri se réchauffait petit à petit. Il ne tremblait plus et semblait apprécier mes caresses. Moi de mon côté, j'étais heureux d'avoir Henri dans mon sac de couchage. Je bandais à mort et j'essayais de ne pas le montrer à Henri. Il faut avouer que j'avais déjà eu des pensées envers Henri, j'avais rêvé de le serrer dans mes bras, j'avais rêvé de lui faire découvrir mon corps, j'avais rêvé de lui donner du plaisir, en un mot le masturber, le faire jouir. Henri s'est mis à son tour à me caresser le dos, à me « réchauffer », comme il disait ; or, je n'avais pas froid, dans l'état d'excitation dans lequel j'étais. Mon sexe était dur et semblait vouloir éclater à la suite des sensations que j'éprouvais à l'égard d'Henri. Je me mis à caresser ses jambes, ses cuisses. Henri m'imitant fit de même ; il se mit à me caresser les jambes, les cuisses et il remontait vers le dos en passant par mes fesses. Mon sexe quant à lui palpitait, se gonflait d'avantage. Je me mis alors à caresser les fesses d'Henri et n'y tenant plus je mis ma main sur son sexe. Henri ne broncha pas, je sentais son sexe dur, il était assez petit, dur et dressé, n'attendant plus qu'on s'occupe de lui. Je me suis mis à décalotter sa verge, je me suis mis à faire de mouvements de va et vient sur sa tige, je voyais qu'Henri fermait les yeux, il semblait apprécier. Durant plus d'un quart d'heure j'ai branlé la tige d'Henri. Je multipliais les mouvements lents et rapides sur sa tige, je lui caressais les couilles à peine couvertes de poils blonds, je me rapprochais de lui, je le serrais dans mes bras, je lui procurais tout le plaisir possible. La respiration d'Henri se fit de plus en plus rapide, il gémissait de plus en plus, je sentais son sexe gonflé au maximum, prêt à répandre toute sa sève. D'un coup, Henri se mit à me crier, « je vais pisser » ! Il n'en était rien, je sentais son corps se contracter, et d'un coup il éjacula dans ma main cinq à six longs jets de sperme. En fait c'était la première fois qu'Henri éjaculais en dehors de ses rêves nocturnes et humides. Henri me demanda pardon pour avoir ainsi sali mon sac de couchage. Je lui ai répondu en lui donnant un baiser sur la bouche. Il a fait un petit mouvement de recul et puis il s'est rapproché de moi. Il a tendu ses lèvres et nous nous sommes embrassés, il laissait ma langue titiller la sienne, il laissait la sienne passer dans mes lèvres. Nous nous sommes embrassés ainsi quelques minutes. Les autres de leur côté n'étaient pas en reste, ils se caressaient bien la tige mutuellement et ne s'intéressaient pas à ce que Henri et moi faisions. Après ce long baiser, Henri posa sa main sur mon sexe encore dur et dressé. Il me rendit les caresses que je lui avais faites auparavant. Il s'y prenait maladroitement, et me faisait un peu mal. Je lui ai dit de ne pas s'énerver, de prendre tout son temps, de se relâcher, d'y aller voluptueusement. Henri prenait de plus en plus d'aplomb, il se concentrait pour me faire plaisir, pour me donner du plaisir. Je sentais qu'il aimait me branler, qu'il aimait me caresser, qu'il aimait le contact avec un autre garçon. Il me fit monter au ciel, il me fit décharger comme je n'avais encore fait, j'ai éjaculé à grand renfort de gémissements, j'étais en extase, Henri m'avait branlé comme un homme sait le faire. Il venait d'apprendre à donner du plaisir à un garçon. Les autres avaient arrêté de se caresser, ils avaient assisté à mon émoi, ils n'en revenaient pas. Henri et moi, nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre jusqu'au matin. Henri avait passé la nuit avec moi dans mon sac de couchage. Au matin il s'était blotti une nouvelle fois dans mes bras. Il m'avait regardé me réveiller et il m'avait souri, il avait l'air angélique et ses yeux étaient pétillants, il y avait comme une douce chaleur qui se dégageait de son corps collé au mien. Il m'avait dit au creux de l'oreille « merci », merci pour ce qu'il avait vécu la veille au soir, merci pour la nuit qu'il avait passée avec moi, merci d'être encore dans mes bras au réveil. Nous nous sommes tous levés et nous n'avons pas parlé de ce qui c'était passé entre nous. Nous avons bouclé nos sacs et après le petit déjeuné, nous avons remercié la fermière pour son accueil. Nous avons poursuivi notre chemin pour nous retrouver au soir au camp. A la veillée, les CP des patrouilles racontaient au reste de la troupe le déroulement du hike. Jean, notre CP, a raconté le déroulement de notre hike ; il racontait notre marche sous la pluie, notre rencontre avec la fermière qui avait proposé de loger dans une grange, le retour au camp après avoir ramassé des fleurs et des feuilles pour notre herbier. Jean n'avait pas parlé de nos ébats dans la paille de la grange. Après avoir chanté à tue-tête autour du feu de camp, après avoir salué les chefs, chaque patrouille regagna sa tente. Contrairement à la nuit précédente, il faisait assez chaud. Jean se mis à se déshabiller, il ôta tous ses vêtements pour se retrouver nu comme un ver. Il se glissa dans son sac en tenue d'Adam. Chacun de nous fit de même et nous nous sommes tous retrouvés nus dans nos sacs respectifs. Nous nous sommes endormis assez vite après le hike qui nous avait épuisé. Au matin, alors que je dormais encore, j'ai senti un frôlement, plutôt une présence à côté de moi. Je n'y fis pas attention. Quelques minutes après, le frôlement se fit plus précis, je sentais qu'une main s'était introduite dans mon sac de couchage, elle remontait le long de mon dos, elle redescendait vers mes fesses, passait dessus, et elle poursuivait le long des cuisses. Ces caresses ne me laissaient pas indifférent, je me mis à avoir la trique. Je ne bougeais pas, je me laissais caresser, je sentais cette main voyager sur mon corps, elle passa alors sur mon ventre pour descendre vers mon intimité dressée, elle s'arrêta sur mon sexe en érection, elle l'enveloppa et se mis à faire des mouvements de va et vient. Je commençais à gémir tellement la caresse était voluptueuse, je me demandais qui était à côté de moi, je me souvenais que je dormais à côté d'Henri. Je me suis mis à chercher d'une main l'ouverture du sac de couchage de mon branleur, ma main trouva le ventre de mon voisin, elle descendit directement vers l'intimité dressée d'Henri. En fait dès que j'ai posé la main sur son sexe, j'ai su que c'était Henri. J'avais pu avoir son sexe en main lors du hike et ma main se souvenait de ce contact doux avec cette peau lisse et des quelques poils blonds qui poussaient au-dessus de ce sexe d'adolescent que je caressais avec volupté. Henri avait fait des progrès, il alternait les mouvements lents et rapides, au bout de quelques minutes, il senti que j'allais déverser ma semence sur sa main, il resserra sa main sur mon sexe, et termina lentement sa masturbation. De mon côté je sentais qu'Henri était sur le point d'éjaculer, il se cambrait, il respirait plus fort, il se cabrait. D'un coup j'ai senti son sperme se répandre dans ma main et moi je me laissais aller dans la sienne. Henri avait le même regard, le regard qu'il avait au matin de notre réveil dans la grange, Henri était encore aux anges, il avait découvert le plaisir entre garçon et montrait qu'il y avait pris goût. Nous venions de vivre un moment très plaisant. Les autres dormaient toujours et n'avaient pas entendu nos ébats. Avant ce camp je ne connaissais pas bien Henri, pour moi il était simplement un jeune scout dans ma patrouille et rien en lui n'avait de quoi m'attirer. Je ne savais pas que j'allais ainsi découvrir qu'Henri était un garçon assez timide, gentil et qui était toujours de bonne humeur. Il se rapprochait de moi, il m'étonnait de plus en plus. Chaque jour il progressait, il faisait tout pour plaire, pour me plaire. Moi je n'étais pas insensible à la façon de se comporter d'Henri. Je cherchais sa compagnie, je voulais l'accompagner pour la corvée bois ou la corvée eau. J'étais finalement attiré par Henri, par sa jeunesse, par sa sensibilité, par ses gestes précis et calmes, par ses attitudes, par ses sourires, par sa joie de vivre, par sa vitalité, insouciant de l'avenir. Le soir suivant, nous nous retrouvions dans nos sacs de couchage, nus. C'était devenu une habitude, nous nous retrouvions nus dans la tente, nous avions surmonté nos pudeurs, nous pouvions nous montrer tels que nous étions, de beaux ados pleins de vie. Philippe dit alors, « j'ai la trique ». Nous nous sommes tous mis à rire. Jean lui a dit « branles-toi alors ». Philippe se mit sur son sac la queue en l'air et se mit à se masturber. J'avais la queue qui se dressait, je bandais aussi. Roland se mis aussi sur son sac et se mis à se caresser. Finalement nous étions six la queue en l'air en train de nous masturber. Ce fut Jean qui déchargea le premier suivi de Roland et moi, les autres éjaculèrent chacun à leur tour. Nous nous sommes ensuite couchés. Au matin, avant le levé, j'ai senti la main d'Henri me caresser le dos, les fesses. Je me suis retourné face à lui, il avait encore ce regard d'ange, son visage était illuminé. Je me suis rapproché de son visage, mes lèvres se sont posées sur les siennes, j'ai ouvert ses lèvres avec ma langue, il me laissa fouiller sa bouche et à son tour il laissa sa langue aller dans ma bouche. Nous nous sommes enlacés, nous nous sommes étreints, nos mains se promenaient sur nos corps, sur nos fesses, sur nos jambes. Nos sexes étaient plaqués l'un sur l'autre, ils étaient dressés, ils étaient tendus à l'extrême par cette chaleur qui montait de nous, de nos ébats. Nous nous sommes masturbés mutuellement, nous nous sommes fait monter, nous avons laissé libre cours à nos instincts, nous avons jouis presque en même temps. Reprenant nos esprits, nous nous sommes rendus compte que Marc se branlait, il nous avait vu nous étreindre, nous donner du plaisir, il était sur le point de cracher toute sa semence, il se contractait, et d'un coup six longs jets tombèrent sur son ventre. Marc aussi était heureux, il venait de ressentir des émotions nouvelles, il venait de découvrir qu'il aurait aimé être à la place de l'un de nous pour connaître lui aussi cet émoi entre garçons. Chaque matin c'était le réveil en douceur, les caresses échangées avec Henri sous les sacs de couchages avant que les autres ne se réveillent. Henri et moi nous étions devenus les meilleurs amis du monde. Nous ne redoutions qu'une chose, c'est que le camp finisse trop tôt. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 03-12-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Très bonne idée que de rééditer ton récit. Je prends plaisir à le relire, sachant que tu avais commencé à le publier il y a plus de quatre ans. C'est cette découverte entre garçons des premiers plaisirs partagés. Merci pour cette suite. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 03-12-2020 (03-12-2020, 10:53 AM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Super sympa de relire le récit. Il est vrai que j'ai commencé à le publier en 2016. Bien entendu au début c'est le temps de la découverte pour Phil, Henri et les autres! Des plaisirs débutant de la chair! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un com ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 03-12-2020 Bonsoir [member=19]Philou0033[/member]. Je ne me rappelle plus si j’ai lu tous les épisodes de ton récit ou si je l’avais pris en cours de route. Je vais le relire car j’ai oublié les détails. Ça part très fort avec ce premier épisode, j’aime bien ces scouts sans complexes qui n’hésitent pas à se déshabiller et même à se masturber… Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 03-12-2020 (03-12-2020, 08:09 PM)Lange128 link a écrit :Bonsoir [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! J'ai décidé de republier le récit depuis le début, sachant qu'il n'est pas encore fini! Oui, comme tu le soulignes dans cet épisode, les scouts sont sans complexes, ils se déshabillent et se masturbent, comme si c'était quelque chose de naturel. Bien entendu il s'agit de souvenirs de cette période que je propose aux lecteurs! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un com ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 08-12-2020 Chapitre 2. De découvertes en découvertes. Le camp se poursuivait et j’appréciais de plus en plus Henri. Il me semble que je tombais amoureux de lui. Amoureux, si jeune ? Comment est-ce possible ? Je me posais milles questions. Etais-je « homo » ? Pourquoi étais-je amoureux d’un garçon ? Je me suis dit qu’il valait mieux attendre et que le temps ferait son œuvre ; et, advienne que pourra. Nous passions de bons moments ensemble. Nous avions souvent l’occasion de nous retrouver seuls. Nous nous regardions dans les yeux. Nous buvions les paroles de l’autre, nous nous sentions bien ensemble. Il suffisait de nous regarder pour nous comprendre. Nous participions avec la troupe tout entière à un jeu de 24 heures. Il s’agissait en somme d’un grand jeu de stratégo, où il fallait défendre son camp contre les attaques des ennemis. A l’issue du jeu nous étions très fatigués et nous nous sommes tous couchés dans nos sac de couchage. Au lever du jour, ou plutôt vers l’heure de midi, nous nous sommes levés. Pour nous réveiller les animateurs avaient décidé qu’il fallait que nous prenions un bon bain dans la rivière. Pour notre patrouille, nous avions décidé de nous baigner dans une petite courbe de la rivière à plus ou moins cinq cents mètres du camp, dans un endroit discret. Nous nous sommes déshabillés et nous étions tous les six nus, dans la rivière à nous éclabousser. D’immenses éclats de rire fusaient. Nous avions maintenant l’habitude de nous voir nus. Une fois les jeux d’eau terminé nous nous sommes lavés. Henri était bien entendu près de moi. Il avait avec lui un savon qui sentait bon la lavande. Je lui ai demandé s’il voulait bien me le prêter. Il m’a répondu : « Veux-tu que je te lave le dos ? » Je lui ai dit : « Si tu veux, ça me ferait plaisir ». Henri s’est mis à me laver le dos à mains nues. Il faisait passer ses mains sur mes épaules, sur mon dos, sur mes bras, dans mon cou. J’aimais ses caresses, j’aimais sentir ses mains parcourir mon corps. Je ne restais pas insensible à ses caresses. Mon sexe se mit à se dresser, il pointait vers le ciel, mais je restais le dos tourné à Henri. C’est Jean qui a remarqué le premier mon émoi. Il s’est mis à rire en disant, « Voilà Phil qui est dans tous ses états, il bande ». A ses mots, Henri passa ses mains sur le devant de mon corps et elles se placèrent sur mon pénis tendu. Dès que je senti ses mains, mon sexe se mit à se gonfler au maximum. Henri se mit à faire des mouvements de va et vient sur ma hampe dressée vers le ciel. Je me suis retourné vers lui et je vis que le sexe d’Henri était lui aussi dressé et qu’il ne demandait qu’une chose c’est qu’on s’occupe de lui. Je me suis mis à prodiguer à Henri les mêmes caresses, les mêmes mouvements de va et vient. Nous étions au milieu de la rivière, de l’eau jusqu’à mis cuisses occupés à nous donner du plaisir. J’approchais mon visage de celui d’Henri. Mes lèvres allèrent à la rencontre des siennes. Nos bouches se sont ouvertes et nos langues se sont mélangées. Cette sensation nous fit bander de plus belle. D’une main je branlais le sexe d’Henri et de l’autre je lui caressais les couilles. Il se mit à faire de même avec moi. Je sentais la sève monter en moi, j’étais au bord de l’éjaculation. Henri lui aussi était proche de l’éjaculation, il respirait de plus en plus fort, il gémissait de bonheur, son corps se cabrait, ses muscles se contractaient, son corps était parcouru de frissons qui me faisaient ressentir son prochain orgasme. Je me suis alors mis à le masturber avec volupté. J’alternais les mouvements lents et rapides, et d’un coup dans un cri de bonheur étouffé, Henri déchargea dans ma main. Moi je me laissais aller dans les secondes qui suivaient. Je déchargeais à mon tour six longs jets de sperme qui tombèrent dans l’eau de la rivière. Etant occupé, nous n’avions pas remarqué que les quatre autres étaient par deux en train de se masturber. Henri et moi nous les regardions en souriant, voyant l’effet que nous avions produit sur nos camarades. Jean était en train de branler Roland et nous remarquions que le visage de Roland se rapprochait de celui de Jean. Leurs lèvres se touchaient, leurs bouches pour la première fois se trouvaient. Ils échangèrent leur premier baiser. Nous étions heureux de voir comment notre passion s’était communiquée aux autres. Philippe et Marc de leur côté n’étaient pas en reste ils s’appliquaient à se donner du plaisir. Ils se branlaient l’un l’autre sans se soucier de ce que ce qui se passait autour d’eux. Ils étaient dans leur monde, ils se donnaient du plaisir. D’un coup Henri et moi avons entendu un bruit de branche cassée, plutôt un bruit comme si on avait marché sur une branche ou un branchage. Cela provenait de la direction du camp. Nous avons tout de suite reconnu Jean-Luc, le plus jeune des chefs, il était debout à l’orée du bois à 20 mètres de nous, le pantalon sur les chevilles, le sexe dans une main, il était en train de se masturber en regardant les gars de la patrouille se donner du plaisir. Philippe et Marc n’avaient rien entendu et continuaient à se prodiguer des caresses mutuellement. J’ai fait signe à Jean-Luc de s’approcher de nous. Je voyais qu’il hésitait. Je suis sorti de la rivière et je me suis dirigé vers lui. Arrivé devant Jean-Luc, j’ai vu qu’il était rouge, son visage était écarlate, son sexe était redevenu de taille normale. Jean-Luc ne savait pas quoi me dire, il balbutiait quelques mots, il était confus. Jean-Luc devait avoir 2 ou 3 ans de plus que moi, c’était le plus jeune des chefs, il venait d’entrer à la troupe au début du camp et il ne nous connaissait pas très bien. Il avait la même taille que moi, il avait des cheveux châtain clair et son visage était rond, quelques boutons d’acné étaient visibles au menton où un léger duvet laissait voir qu’il se rasait de temps en temps. Il était cependant plus mince que moi. Son sexe au repos était déjà d’une belle taille, assez fin. Il n’était pas circoncis comme mes autres camarades. Nous n’avions pas souvent parlé avec lui, du moins c’était mon cas. Je lui ai demandé de venir se joindre à nous. Il m’a suivi. Il a ôté ses derniers vêtement et s’est mis à l’eau avec nous. C’est à ce moment-là que Philippe et Marc ont remarqué la présence de Jean-Luc. Ils ont poursuivi leur masturbation mutuelle. Je vis le sexe de Jean-Luc se redresser, Jean-Luc était toujours aussi rouge et un peu gêné il s’est mis à se masturber en regardant nos deux compères. On voyait qu’il était excité car il est venu assez vite 5 à 6 longs jets se sont écrasés à la surface de l’eau juste avant que Philippe et Marc ne déchargent eux aussi. Nous avons terminé notre toilette à sept. Jean-Luc nous a demandé de ne rien dire aux autres sur ce qui s’était passé entre nous. Nous lui avons promis de ne rien dire et de ne parler de rien, nous même, nous n’avions pas envie que les autres gars de la troupe sachent ce que nous avions fait et surtout les autres chefs. Le soir même autour du feu de camp, Jean-Luc regardait souvent en direction de notre patrouille. Une certaine complicité s’était instaurée entre lui et nous. Ça c’est confirmé les jours qui ont suivis. Jean-Luc s’arrangeait pour faire certaines activités avec notre patrouille. Un autre soir, alors que nous étions déjà dans notre tente, il devait être vers minuit, Jean-Luc est venu nous rejoindre. Il était venu discuter avec nous. En fait nous avions compris qu’il était un peu comme nous, qu’il avait notre mentalité d’ado. Il nous expliquait qu’il avait lui aussi dans une autre troupe découvert les joies du sexe entre garçons. Il nous disait que quand il nous avait vu à la rivière ses souvenirs lui étaient revenus. Nous avons encore parlé une bonne heure. Nous parlions chacun de nos expériences. Je pouvais voir qu’une bosse était apparue au niveau du pantalon de Jean-Luc. Nous étions dans nos sacs de couchage et moi-même j’avais le sexe au garde-à-vous. Je me suis mis à ma masturber de manière que Jean-Luc s’en rende compte. La bosse au niveau de son pantalon avait grossi. Il posa une main au niveau de son sexe comme pour le mettre mieux à l’aise dans son caleçon. Il fit ce geste 3 fois avant de finalement se caresser au travers de l’étoffe de son pantalon. J’ai arrêté de me masturber. Je me suis relevé et j’ai enlevé la main que Jean-Luc avait posé sur son sexe. J’ai défait la ceinture et ouvert la braguette. J’ai enlevé son pantalon. J’ai ensuite fait glisser son caleçon. Jean-Luc avait le sexe bandé, le bout de son gland apparaissait rouge au bout de sa hampe dressée. Je me suis saisi de son sexe et je me suis mis à le caresser délicatement. Je sentais le sexe de Jean-Luc palpiter dans ma main. Son sexe se gonflait au maximum, il était tendu à l’extrême. Jean-Luc de son côté avait avancé sa main vers mon sexe, il s’était mis à le caresser aussi. Nous étions blottis l’un contre l’autre, je sentais la chaleur de son corps, je sentais son odeur particulière, une odeur mêlée de fumée de feu de bois, de transpiration et de sexe. Il s’y prenait bien, il me masturbait de façon divine, il alternait les mouvements lents et rapides, la pression faite par sa main changeait régulièrement ce qui me procurait beaucoup de plaisir. Avec l’autre main Jean-Luc s’est mis à me caresser les fesses, il allait dans ma raie, il insistait en passant sur ma rosace. Puis j’ai senti qu’il introduisait son doigt dans mon anus, je me suis laissé aller, écartant les jambes pour le laisser faire, pour qu’il introduise son doigt le plus loin possible. Il faisait tourner son doigt dans mon cul. Je sentais que l’orgasme n’était pas loin. C’était une sensation intense, une nouvelle sensation encore inconnue pour moi, c’est ce qui m’a fait jouir très vite. 6 à 7 jets de sperme se sont écrasés sur la toile de tente à environ un mètre, je n’avais jamais joui aussi fort. J’étais épuisé, j’avais arrêté de masturber Jean-Luc depuis quelques minutes déjà, tellement je n’en pouvais plus de bonheur. Les autres de la patrouille avaient assisté à la scène et ils n’avaient jamais vu quelqu’un éjaculer de la sorte. C’étaient pour eux aussi quelque chose de nouveau de que mettre un doigt dans l’anus. C’est par après que j’ai appris que c’est de cette façon qu’on stimule la prostate et que cela provoque un orgasme puissant. Voyant Jean-Luc la queue en l’air et sachant qu’il n’avait pas joui, je me suis décidé à le masturber à mon tour et de la même façon que la sienne. J’ai mis un doigt dans son anus. Il avait les même réactions que moi, son corps se cambrait, ses muscles se tendaient, sa respiration était de plus en plus rapide. Je l’ai aussi fait jouir assez vite, 6 long jets de sperme se sont écrasés sur son torse. Après quelques minutes Jean-Luc s’est rhabillé et a quitté notre tente. Nous nous sommes endormis, la tête pleine de souvenirs. Le camp allait bon train, il ne restait que quatre jours avant la fin. Nous pensions à cette échéance mais nous n’en disions rien, nous gardions ça chacun pour soi. Inconsciemment nous ne voulions pas que ce camp finisse, nous ne voulions pas que nos relations s’arrêtent comme ça. La vie du camp se poursuivait. Après le début de nuit où Jean-Luc était passé (tout jeune chef à la troupe depuis le début du camp) dans notre tente, nous nous sommes réveillés au matin. Nous étions encore à moitié endormis quand le chef de troupe nous a annoncé que la troupe allait faire une journée « BA » (bonne action) dans le village proche de notre campement. Il y avait du travail pour les quatre patrouilles. Jean le CP de notre patrouille s’était arrangé pour que notre patrouille soit seule, car il y avait un endroit où deux patrouilles devaient travailler ensemble pour donner un coup de main. Jean nous avait dit que c’était une surprise, que nous découvrirons l’endroit de notre « BA » au dernier moment. Je voyais que Jean avait l’œil malicieux, ce qui nous réservait bien sur une très bonne surprise, mais quoi ? Nous n’allions pas tarder à découvrir de quel travail il s’agissait. Nous sommes donc partis à 6 en compagnie de Jean-Luc qui avait lui aussi bien arrangé les choses pour pouvoir nous accompagner. Chemin faisant, chacun y allait avec ses questions, ses avis et son imagination pour tenter de faire dire à Jean où nous allions. En fait nous avons traversé tout le village pour prendre la direction de la campagne. Nous marchions en nous demandant quel travail nous allions bien pouvoir effectuer pour l’habitant. Qui avait bien pu accepter notre offre, ou plutôt celle des chefs. Où allions nous travailler pour rendre service. Nous arrivons à la dernière maison de la rue, c’était une grande bâtisse avec une tourelle sur le coin avant gauche. Elle était retirée de près de 50 mètres de la route et pour accéder à la porte d’entrée il fallait monté par un perron avec double escalier. Il y a avait bien 18 fenêtres sur la façade avant. C’était semble-t-il une bâtisse de notable. A notre arrivée, nous avons été accueillis par une dame très charmante. Elle devait avoir 35 ans, brune avec des yeux verts. Elle avait le teint bronzé et elle devait sûrement revenir de vacances. Elle nous a montré le petit parc situé à l’arrière de la maison. Le parc qui n’était pas visible depuis la route, car il était bordé d’une grosse haie vive. Cette dame nous montrait ce que nous devions faire pour lui rendre service. En fait il fallait tondre la pelouse, ramasser l’herbe et nettoyer le potager qui se trouvait au fond de la propriété à côté d’une serre où poussait de la vigne grimpante. La suite de la visite était assez intéressante. Elle nous a montré la piscine qui se trouvait située à l’arrière droit de la demeure. Elle était entourée elle aussi d’une haie vive, raison pour laquelle nous ne l’avions pas remarquée. La dame nous dit alors que si nous avions bien travaillé, nous pourrions y aller faire un petit plongeon. Une fois le tour de la propriété terminé, elle nous montra les outils de jardinage qui se trouvaient dans une remise située à côté de la serre. Il y avait 2 tondeuses, 3 ou 4 râteaux à herbe, des rasettes, etc. Je me suis mis avec Henri pour ramasser l’herbe que Roland coupait avec une tondeuse, il faut dire que l’autre était en panne. Jean, Marc et Philippe s’occupaient à nettoyer le potager. Jean-Luc, quant à lui, il faisait des allés et retours avec la brouette pour jeter l’herbe sur le compost qui se trouvait aussi à côté du potager. Après une heure et demie de travail, notre hôtesse nous a apporté une collation. Elle nous dit aussi que pour manger, elle avait prévu de faire un barbecue pour y cuire des saucisses. Nous avons repris le travail après une pause bien méritée de 10 minutes. A midi trente le barbecue était prêt. Nous avons mangé en compagnie d’Alexandre, le fils de la maison. Il avait mon âge à peu de chose près, tout au plus avait-il six mois de plus que moi. Il était cependant plus grand, il avait au moins 10 centimètres de plus. Il avait l’allure sportive, il était fort élancé, il avait les cheveux châtains moyens, des yeux marrons et une bouche assez sensuelle. Il était vêtu d’un short de tennis blanc et d’une blouse couleur ocre sans manche. Il portait des sandales en cuir brun. On voyait qu’il avait profité du soleil car il avait le teint halé, il avait pris le soleil. Après le repas nous avons changé les équipes. Henri et moi, en compagnie de Jean-Luc, nous avons terminé de nettoyer le potager, nous avons ensuite rangé la serre. Les autres, quant à eux, ils terminaient de tondre la pelouse et de ramasser l’herbe pour la mettre au compost. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 08-12-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Ça devient de plus en plus chaud dans la patrouille de Phil. La baignade dans la rivière en est un exemple. Le jeune chef semble attiré pas les ados. Il explique qu'il a été confronté au sexe entre garçons dans son ancienne unité et qu'il avait flashé sur les scouts en les voyants se donner du plaisir lors de cette baignade. Même dans la tente, Jean-Luc parvient à se rapprocher des ados. Finalement c'est encore un ado lui aussi. Très belle idée que cette BA et ainsi faire des travaux de jardinage en patrouille. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 08-12-2020 (08-12-2020, 03:56 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement comme tu le dis si bien, c'est de plus en plus chaud au camp, surtout dans la patrouille de Phil. Les scouts vont par patrouille donner un coup de main dans le village où ils ont implanter leur camp. C'est ça une BA! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un com ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 08-12-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Les scouts sont de plus en plus entreprenants et Phil se pose des questions au sujet de son amour naissant pour Henri. Le jardinage est un peu moins chaud, mais peut-être voudront-ils découvrir ce qui se cache dans le short d’Alexandre. Aussi 10 cm de plus ? Cela m’étonnerait quand même. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 08-12-2020 (08-12-2020, 07:26 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui c'est de plus en plus chaud, les scouts sont effectivement plus entreprenants. Phil découvre et apprécie Henri, il commence à avoir des sentiments pour lui, c'est le moment des premiers émois qui semblent partagés par les deux garçons! Effectivement le jardinage est nettement moins chaud que les soirées sous la tente ou la baignade dans la rivière! Il est certain que le fils de la maison, Alexandre semble bien plaire aux scouts, arriveront-ils à voir ce qu'ils veulent? Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un com ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 10-12-2020 De découvertes en découvertes. (suite) Ah ! Enfin fini ! Il était presque 16h00. Alexandre était venu nous trouver pour nous dire que nous pouvions aller à la piscine. Il nous a dit aussi de ne pas nous inquiéter, que nous pouvions profiter de la piscine et de la terrasse pour nous reposer. Alexandre nous dit aussi qu’il serait heureux de pouvoir jouer avec nous dans l’eau. Nous avons accepté avec joie. Nous arrivons à la piscine. C’était une piscine qui devait avoir environ 12 mètres sur 6 mètres. La grande profondeur avait plus ou moins 2 mètres. Alexandre nous montre alors un chalet jouxtant la terrasse. Il nous dit de nous déshabiller là. Nous lui avons dit ne pas avoir de maillots de bain avec nous. Ce qui ne nous dérangeait pas du tout entre nous. Il nous répondit : « ça n’est rien, nous nageons souvent nu en famille ». Il ajoute alors : « vous pouvez faire de même, il n’y a pas de problème ». Hop, en trente secondes nous voilà tous les huit à poil. Alexandre n’était pas gêné pour un sou. On voyait qu’il avait l’habitude d’être nu car il avait un corps bien bronzé et on ne voyait pas de marque de maillot, il était sûrement naturiste. Il avait une queue assez fine mais longue, environ 12 centimètres. Il avait une toison d’un noir intense au niveau du pubis. On voyait ses pectoraux bien dessinés, il avait la cage thoracique en forme de « V » comme les grands sportifs. Il avait de superbes fesses bien galbées. Alors, bronzé comme il était il avait tout d’un bel adonis. Nous voilà donc à l’eau. Nous nous éclaboussions, nous riions ensemble, nous étions heureux de pouvoir nous délasser ainsi dans un endroit calme et à l’abri des regards. Dans l’eau nous nous frôlions, nous nous caressions, il y avait des mains qui traînaient et qui se posaient sur nos sexes. Je sais qu’à un moment Alexandre faisait la même chose que nous, il participait lui aussi à nos jeux sensuels, à nous jeux sexuels. Il m’avait aussi mis la main au panier. Je me suis dit : « toi mon ami, tu es comme nous aussi, tu aimes le sexe, tu aimes sûrement le sexe entre garçons ». Après 20 minutes de jeu, nous avons décidé de nous étendre au soleil, sur la terrasse. Nous voulions profiter du soleil, du calme du parc, bref nous détendre avant de retourner au campement. Des grands matelas étaient disposés en demi-cercle. Il y en avait quatre. Henri et moi nous avons pris place sur le premier, Jean et Marc en firent autant, suivis de Roland et Philippe. Alexandre invita Jean-Luc sur le dernier matelas, matelas situé à côté du mien. Au bout de quelques minutes on voyait que Jean-Luc et Roland bandaient, ils avaient le sexe dressé vers le ciel. On s’est tous mis à rire, même Alexandre. Dans les minutes qui ont suivis, nous étions tous les huit avec le sexe bandé, en train de rire. Je ne me souviens plus, je ne sais plus qui a commencé, mais nous avions chacun une main sur notre queue et nous faisions des mouvements de va et vient. Alexandre n’était pas en reste, il s’astiquait avec raffinement, il prenait son temps. Henri me demanda alors s’il pouvait me branler, sans attendre ma réponse il posa sa main sur celle qui tenait mon sexe, il l’a retirée et commença à me masturber. Alexandre qui était près de nous pris un air amusé. Il ne perdait rien de la scène qui se déroulait sous les yeux. Sans rien demander à Jean-Luc, il vient lui prendre le sexe de la main pour le masturber à son tour. Il semblait bien s’y prendre lui aussi. Nous étions tous les huit occupés à nous branler mutuellement, deux par deux. Après un moment Alexandre nous dit que ça serait bien de changer. Je me suis levé pour rejoindre Alexandre. Je croix que c’est ça qu’il voulait, il n’avait pas arrêté de me regarder quand je m’occupais d’Henri. Henri était rejoint par Roland, je savais que Roland avait lui aussi envie de mieux connaître Henri. Marc allait rejoindre Philippe, tandis que Jean-Luc rejoignait Jean, notre CP. Nous avons poursuivi nos masturbations mutuelles. C’est Jean qui éjacula le premier, suivi d’Henri. Moi de mon côté j’étais heureux d’être avec Alexandre, je le découvrais, il était doux, câlin même. Il avait ce côté d’adonis qui me plaisait. De plus, il savait y faire, je pouvais me rendre compte que je n’étais pas le premier garçon qu’il masturbait. Il tenait mon sexe en main avec une grande délicatesse. Il me masturbait délicatement, dévoilant mon gland à chaque mouvement descendant et le recourant à chaque mouvement montant. Il me caressait les boules, il passait aussi sa main sur le galbe de mes fesses. Moi de mon côté je n’étais en reste, je lui rendais ses caresses, le m’attardais aussi à ses fesses, elles étaient parfaites, bien galbées, douces au toucher. Alexandre avait aussi l’haleine fraîche et je rapprochais ma bouche de la sienne pour voir sa réaction. Nos bouches étaient tout près l’une de l’autre. Alexandre posa ses lèvres sur les miennes, j’ai ouvert ma bouche, j’ai passé la langue et j’ai forcé le passage pour l’introduire dans la bouche d’Alexandre. Il n’a pas résisté longtemps. De son côté il fit de même, il mit sa langue dans ma bouche pour venir titiller ma langue. Nous avons échangé un long baiser. Nous avons continué à nous branler avec intensité, je sentais que j’allais venir, j’avais le souffle de plus en plus court. Alexandre de son côté respirait de plus en plus fort. Nous avons émis chacun des râles de bonheur. Nous nous sommes cabrés, nous avons jouis presque en même temps. Son sperme s’est écrasé sur ma main, le mien en partie sur le ventre et sur sa main. Nous avons alors échangé à nouveau un long baiser mouillé, nos salives se mêlaient. Les autres avaient eux aussi jouis. Ils étaient heureux de ce qui venait de se passer. Après les galipettes, nous avons plongé à nouveau une tête dans la piscine avant de nous essuyer et de nous rhabiller. Au moment de partir, j’ai bien vu qu’Alexandre était un peu triste. Il semblait regretter notre départ. Il aurait voulu que nous restions encore un peu, mais le repas nous attendait au camp. Nous avons repris le chemin du retour, heureux d’avoir vécu ce moment de repos et de bonheur inattendu. Au soir, après le feu de camp nous avons rejoint notre tente pour y passer la nuit. Nous avons parlé entre nous de ce que nous avions vécu durant la fin de journée. J’avais encore à l’esprit le visage d’Alexandre, j’avais encore en souvenir son odeur, le goût de sa salive, l’image de son pénis qui se laissait caresser par ma main. Bref je me suis endormi avec ses pensées sensuelles, avec le visage d’Alexandre en mémoire. Au réveil les gars de la patrouille étaient encore tout heureux d’avoir passé une très bonne journée « BA ». Nous en parlions comme si nous avions vécu un rêve, comme si ça n’avait pas été réel. Bref nous conservions chacun un très bon souvenir de cette journée. Certains semblaient dire que c’était la meilleure journée du camp. Pour moi, je savais que c’était le meilleur camp auquel j’ai participé. J’avais vécu tellement de moments de grandes intensités que ce camp resterait déjà pour moi un souvenir impérissable. Aujourd’hui c’est la journée olympiade. C’est le jour où les patrouilles peuvent se mesurer et voir laquelle est la plus forte en sport. Nous avons participé à dix épreuves. Pour commencer nous avons couru le 100 mètres, puis le saut en hauteur, le lancer du poids, le parcours d’obstacles, le saut en longueur, la course du tronc (il s’agit d’une course relais dans laquelle il faut porter un tronc d’arbre de 2 mètres de long sur une distance de 15 mètres et le remettre à son coéquipier qui à son tour parcours les 15 mètres et ainsi de suite jusqu’au moment où les six membres de la patrouille sont passés deux fois), le ramping, la natation, la traction à la corde et pour conclure le cross sur environ six kilomètres. A l’issue de cette journée nous étions très contents d’être second à trois points seulement de la première patrouille. Les gars de la patrouille se sont très bien comportés et nous n’avons pas à rougir de notre seconde place. Bien sûr nous aurions pu être premiers, mais en fin de compte, ce n’était qu’un jeu. Après le cross, nous sommes allés nous laver à la rivière. Nous avons été retrouver notre petit coin à l’abri des regards, dans la courbe que fait la rivière à proximité du camp. Sans aucune pudeur nous nous sommes déshabillés, nous étions à nouveau six, nus et content d’être entre nous. Nous avions pris l’habitude d’être nus et de nous voir ainsi l’un l’autre. Nous étions tous des ados qui vivions ensemble une belle aventure. C’était devenu également une habitude de nous laver l’un l’autre. Henri me lavait et ensuite c’est moi qui lavais Henri. Marc et Philippe faisaient de même, ainsi que Jean et Roland. Nous étions tous en érection, et c’était aussi le moment des caresses et des baisers. Henri était face à moi et prit l’initiative. Il avait posé sa main sur mon sexe déjà à la verticale et il me masturbait voluptueusement avec une main tandis que l’autre main caressait mes fesses. Il avait fait de réels progrès, il avait compris comment donner du plaisir à un garçon, comment se faire désirer aussi. Il avait toujours son air angélique et ses yeux pétillants, il semblait vivre intensément chaque moment, chaque instant. Les mouvements de va et vient le long de mon pénis tendu se faisaient parfois lents, parfois rapides, la pression exercée par la main était changeante, cela procurait un plaisir un peu plus subtil. Je me suis approché de son visage, j’ai posé mes lèvres sur les siennes, doucement. Henri a voulu ouvrir la bouche pour inviter ma langue à aller titiller la sienne, mais je ma suis reculé, j’ai reculé mes lèvres. Il m’a regardé, il avait l’air de se demander pourquoi je ne le laissais pas faire. Il me regardait intensément avec une lueur particulière dans les yeux. Après un petit moment, j’ai reposé mes lèvres sur les siennes doucement, je lui ai donné une série de petits baisers sur les lèvres et petit à petit les baisers se faisaient de plus en plus fougueux. J’y allais crescendo, puis nous avons ouvert nos bouches et nos langues se sont trouvées. Elles se roulaient et se déroulaient dans nos bouches, elles se cherchaient, elles s’écartaient pour revenir ensuite. Je retrouvais cette lueur d’extase dans les yeux d’Henri, cette lueur candide que j’étais habitué à voir dans ses yeux. Nos salives se mêlaient, nos sexes étaient de plus en plus gros. Henri continuait à me masturber, moi je me suis mis à caresser son pénis doucement, lentement, avec des mouvements de va et vient très subtils, décalottant doucement à chaque passage le gland violet d’Henri. Henri de son côté s’appliquait pour me faire plaisir. Effectivement ses caresses me procuraient beaucoup de plaisir, je sentais la sève monter en moi, je savais que j’allais bientôt arriver à l’éjaculation. J’ai demandé à Henri d’y aller plus doucement, de ne pas y aller trop vite et de me faire durer encore un peu de temps. De mon côte je m’appliquais à donner de plaisir à Henri, je sentais à sa respiration que le plaisir montait aussi chez lui, je sentais que lui aussi n’étais pas loin d’arriver à l’éjaculation. Je sentais que nous allions bientôt jouir ensemble, je me suis rapproché de lui, je me suis collé à lui, nos sexes se sont rejoints, ils étaient collés l’un à l’autre et nos deux mains se sont unies pour masturber nos deux sexes réunis. Nous avions pris le même rythme, nous exercions la même pression, nous étions à l’unisson, nous vivions intensément ce moment, nous étions au bord de l’extase, nous sentions ce que l’autre ressentait aussi au même moment, à la même seconde. Nos deux corps se sont raidis et ensuite ils ont été pris de spasmes, nous nous sommes laissés aller et nous avons enfin joui ensemble, nos spermes se sont libérés en jets qui sont retombés sur nos doigts et nos mains. Nous avons encore échangé un long baiser avant de nous relaver mutuellement. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 10-12-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] c'est de plus en plus chaud, les scouts et le fils de la famille chez qui ils faisaient leur BA s'en donnent à cœur joie. C'est pour eux une découverte, c'est ce qu'on appelle "touche pipi" pour certains, pour d'autres, comme Phil, c'est déjà une étape plus loin. Merci pour cette suite et d'avoir repris le récit sur ce forum. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 10-12-2020 (10-12-2020, 02:59 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement, comme tu les dis, c'est de plus en plus chaud pour les scouts. Phil lui découvre l'amour avec Henri. Il commence à se rendre compte qu'il l'aime! Merci Philippe de suivre le récite et de laisser à chaque fois un commentaire ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 10-12-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Je me demandais si Alexandre se joindrait aux scouts, j’ai eu la réponse et je n’ai pas été déçu. Si cela continue comme cela, je pense que Phil va expérimenter encore d’autres choses avec Henri avant la fin du camp. Tu vas me faire regretter de ne pas avoir été scout. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 10-12-2020 (10-12-2020, 10:08 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Voilà la réponse à ta question, oui Alexandre s'est joint aux scouts pour profiter de la chaleur ambiante et ainsi savourer les joies du sexe en garçons! Il est clair que Phil et Henri sont de plus en plus "soudé" et ils découvrent ce qui donne du plaisir! Désolé de te faire regretter de ne pas avoir été scout ! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire ! Je t'embrasse! Philou |