20-07-2020, 08:09 PM
(Modification du message : 25-11-2021, 03:44 PM par Philou0033.)
Voici un nouveau texte qui mélange la réalité d’une histoire vécue et la fiction.
JULIEN
Chapitre 1.
Je me prénomme Philippe et j’étais le dernier d’une famille de trois enfants. J’avais 17 ans, mon grand frère Olivier avait 23 ans et il avait quitté la maison familiale pour se mettre en ménage avec une amie qu’il connaissait de longue date, et ma sœur Delphine avait 19 ans. Nous vivions donc ma sœur et moi avec nos parents dans une grande maison avec un grand jardin avec piscine. Nous étions heureux et nous nous entendions bien ma sœur Delphine et moi.
Je n’étais ni beau ni laid, je devais mesurer 1,75 mètres et je pesais 83 kilos. J’avais quelques copains et quelques copines, mais il n’y avait rien de bien sérieux. En ce qui concerne les études, j’étais dans moyenne, sans plus. Je travaillais juste ce qu’il fallait pour avoir mes points, pour le reste basta.
Ma sœur Delphine avait quelques copains et quelques copines, il me semblait qu’il n’y avait rien de sérieux avec ses copains. Delphine était le plus souvent avec ses copines, au téléphone, ou alors elles se voyaient après les cours (Delphine est à l’unif en première année de droit) ou alors lors de week-ends à la maison ou chez une d’entre elles.
Delphine fréquentait régulièrement son amie Stéphanie, qu’elle surnommait « Stef ». Les filles se voyaient souvent et elles pratiquaient ensemble le tennis et la danse. Elles étaient dans le même cours à l’université et elles étudiaient souvent ensemble. Stéphanie était une fille au physique agréable sans pour autant être belle, elle avait suivant ce que j’ai pu voir, une belle poitrine bien proportionnée sous ses blouses, je voyais ses tétons qui pointaient au travers du tissus. Elle avait une voix agréable et sensuelle à la fois.
Découverte.
Alors que j’étais en période de révision avant les examens de juin, ma sœur Delphine était déjà en blocus. Elle étudiait comme à son habitude avec son amie Stéphanie. Stéphanie restait quelques jours à la maison et elle occupait la chambre d’ami. Stéphanie prenait donc ses repas en famille avec nous et elle profitait également des joies du jardin et de la piscine.
Un jour, ayant été lâché plus tôt que prévu des cours, car le prof de math avait dû s’absenter pour les deux dernières heures de cours, je suis rentré à la maison. Je pensais trouver ma sœur Delphine avec son amie Stéphanie occupées à étudier ou à revoir leurs cours dans le salon, car c’était la pièce de la maison où il faisait le moins chaud. Ne les voyant pas là, j’ai pensé qu’elles avaient fait un tour question de décompresser. Je voulais me changer et mettre un short car il faisait assez chaud, je voulais enlever mon jeans qui me collait à la peau. Je suis monté à l’étage pieds-nus, et en passant devant la porte de la chambre de ma sœur j’ai entendu du bruit, plus précisément des gémissements. Sans faire de bruit je me suis rapproché de la porte pour tendre l’oreille. J’entendais parfaitement des gémissements. Je reconnaissais les gémissements de ma sœur, l’ayant déjà entendu se branler alors qu’elle pensait que je n’étais pas là. Les autres gémissements devaient être ceux de Stéphanie. Je ne savais pas ce qu’elles faisaient réellement, mais en tout cas elles se donnaient de plaisir. Je me demandais si elles se branlaient séparément ou si elles donnaient l’une à l’autre. Toujours est-il que j’avais mon sexe qui avait pris une bonne dimension dans mon slip et que je bandais comme un âne. Je n’ai pas fait de bruit et je me suis rendu dans ma chambre. Je me suis mi nu sur mon lit et je me suis mis à me masturber en pensant à ce que ma sœur faisait avec son amie Stéphanie et puis je me suis souvenu d’un scène que j’avais vu quelques années auparavant dans les landes alors que j’étais en vacances. J’avais vu deux garçons d’une quinzaine d’année occupé ensemble dans une clairière. Ils gémissaient, l’un d’eux était occupé à faire une pipe à son copain, puis ils ont changé de position et c’est l’autre qui est venu enfilé par l’arrière le premier. J’avais mon sexe qui était tout dressé dans mon short de bain et sans même toucher à mon sexe, j’ai éjaculé dans mon short en voyant les deux garçons éjaculer, l’un dans le cul de l’autre et l’autre sur le sol devant lui. J’avais du sperme dans mon short de bain et il coulait le long de ma jambe droite.
A force de revoir en pensée ce que j’avais vu, j’ai éjaculé sur mon ventre et sur mon torse.
Confirmation.
Les images qui venaient à l’esprit en songeant à ce que ma sœur Delphine et son amie Stéphanie avaient bien pu faire ensemble dans la chambre de ma sœur, me laissaient dubitatif. Je me demandais si ma sœur n’était pas lesbienne. A force d’y penser, j’étais de plus en plus convaincu que ma chère sœur était devenue lesbienne et qu’elle passait du bon temps avec son amie Stéphanie. Je supposais donc que Stéphanie elle aussi était lesbienne. Durant deux jours je me suis posé cette question et je me suis alors mis à les observer.
Le troisième jour, alors que mes parents étaient partis en week-end chez des amis, que moi-même je devais être chez un copain de classe pour étudier, ma sœur Delphine et son amie Stéphanie étaient restées à la maison. Chez mon copain, nous avons revu les cours et réétudié les matières où j’avais quelques difficultés. Finalement nous avons terminé plus tôt que prévu et j’avais décidé de rentrer à la maison, pour éviter de loger chez mon copain.
Sans m’annoncer, je suis rentré à la maison. J’ai entendu en rentrant que les filles étaient dans le piscine. Je m’étais avancé pour regarder par la fenêtre de la salle à manger et j’avais vu ma sœur et son amie, nues, dans la piscine. J’étais resté ainsi un petit moment à les regarder. Ensuite elles étaient sorties de l’eau pour se mettre sur le bord de l’eau, elles s’étaient couchées nues sur un grand matelas double. J’ai pu voir qu’elles se caressaient les seins, qu’elles se bécotaient, elles s’embrassaient sur la bouche sans aucune retenue. Mon sexe quant à lui, il était au garde à vous dans mon pantalon. Puis, d’un coup ma sœur s’est relevée, elle partait en direction de la porte de la salle à manger où je me trouvais. J’ai tenté de quitter la pièce avant son arrivée, mais Delphine était entrée nue dans la pièce alors que j’allais arriver à la porte donnant sur la hall d’entrée. Ma sœur Delphine s’était arrêtée net, elle avait mis une main devant son sexe et m’a regardé. Moi je ne savais plus où me mettre, je me trouvais à trois mètres de ma sœur et une bosse était bien visible sur le devant de mon pantalon, mon sexe était prêt à exploser.
Delphine n’avait pas crié, elle m’avait regardé et puis tout bas elle m’avait dit : « Tu es là depuis longtemps ? » Je lui avais répondu : « Depuis assez de temps pour voir… » Delphine, rouge comme une pivoine ajoutait : « Je t’en supplie, ne dis rien aux parents » Moi, tout aussi rouge que ma sœur, je lui avais répondu : « T’inquiètes pas, je ne dirai rien, c’est promis juré. »
Je suis monté dans ma chambre pour me branler, j’étais super excité.
Au soir, alors que j’avais déjà mis la table pour le dîner, ma sœur et son amie Stéphanie m’ont rejoint à la salle à manger. J’avais remarqué que Stéphanie était mal à l’aise, elle n’était comme d’habitude. Elle avait les pommettes rouges. Ma sœur Delphine était moins exubérante qu’à l’habitude. Je ne savais pas si Delphine avait Stéphanie au courant de ce qui s’était passé lors de mon retour à la maison. Mais, dans l’attitude des filles, il ne faisait aucun doute sur le fait que Stéphanie était maintenant au courant de ce que j’avais vu.
Julien, le frère de Stéphanie :
Delphine était devenue un peu plus complice avec moi, elle me racontait ce qu’elle ressentait et elle appréciait que je n’ai rien dit à nos parents. Par la suite Stef est encore revenue à la maison, elle faisait comme s’il ne s’était rien passé. Elle était régulièrement en compagnie de ma sœur, elles étaient heureuses.
Pour la fin des grandes vacances, les parents de Stef devaient partir à l’étranger. Stef et son frère Julien, que je ne connaissais pas devaient restés. Nos parents eux aussi devaient aller rejoindre des amis et seraient absents pour une semaine. Pour éviter de passer la fin des vacances d’été seuls chacun chez nous, Delphine avait invité Stef à venir loger à la maison. Stef avait demandé, si cela ne dérangeait pas, que son frère julien âgé de 16 ans, puisse également venir chez nous pour passer la fin des congés. Delphine n’avait vu aucune objection, il fallait seulement que je sois d’accord. De mon côté je m’étais dit que c’était l’occasion de me faire un nouveau copain, et j’avais répondu pourquoi pas.
Le moment venu, soit un soir, Stef était arrivée à la maison avec son frère Julien. Julien était de la même taille que moi, environ 1,75 mètres, il était un peu plus mince que moi, il avait les cheveux blonds mi-longs, un petit rigolo et une bouche d’un rose éclatant. En un mot il était craquant. Il avait une voix douce qui n’était pas désagréable à entendre. Il était vêtu d’un jeans et d’une chemise style trappeur qui lui donnait un air quelque peu austère mais que le blond de ses cheveux atténuait. Nous fîmes connaissance et il me parut assez sympathique. Il avait été décidé que ma sœur Delphine resterait dans sa chambre et que son amie Stef logerait dans la chambre d’ami. Je ne compris pas pourquoi, mais je n’avais rien dit. Je suppose que c’était pour garder les apparences. Concernant Julien, il avait été convenu qu’il partagerait ma chambre à coucher et qu’un matelas pneumatique serait gonflé et posé à côté de mon lit.
Nous avions fait connaissance lors du dîner. Julien était assez sportif, il avait d’ailleurs l’allure d’un jeune qui pratique le sport. Il m’avait dit qu’il faisait du judo et de la natation. Il était aussi assez doué en math et m’a dit qu’il envisageait de poursuivre des études en faisant une licence en mathématique appliquée. Il était très affable et parlait de chose et d’autre à table. J’étais séduit par Julien, je buvais ses parles, il était lui aussi très heureux d’avoir quelqu’un qui l’écoutait et qui avait des points communs. De mon côté je lui disais que j’avais pratiqué le judo étant plus jeune et que depuis trois ans déjà je faisais de la spéléologie et que j’en retirais beaucoup de chose positive, comme l’esprit d’équipe, l’endurance, la maîtrise de soi (comme au judo d’ailleurs). Bref nous avons passé la soirée à parler de nos activités sportives et extra scolaires.
La nuit venue, nous avons rangé la table et nous sommes allés préparer la chambre pour que nous puissions passer la nuit. Je m’étais mis à gonfler la matelas pneumatique pour que Julien puisse dormir. Julien pris à un moment le relais. Je ne sais pas pourquoi, mais je m’étais mis à penser que Julien mettait ses lèvres à l’endroit où j’avais posé les miennes. Je m’étais mis à penser que Julien l’avait fait exprès pour pouvoir « goûter » ma salive, bref je gambergeais j’échafaudais déjà toutes sortes de scénarios entre Julien et moi. Mon sexe ne restait pas tranquille dans mon slip ; déjà il avait gonflé et avait déjà pris pas mal de place dans mon slip. La nuit promettait d’être assez courte.
Première nuit avec Julien.
Une fois le matelas placé, nous avions décidés de nous coucher, nous avions envisagé de faire du sport durant la journée à venir.
Comme il faisait encore assez chaud ce premier soir, nous avions été prendre une douche. J’avais laissé Julien passé en premier par la salle de bain. Il est revenu dans la chambre avec le drap de bain autour de la taille. Je pouvais deviner la taille de son sexe, j’avais envie que le nœud se défasse que pouvoir ainsi voir ses attributs. A mon tour je me suis rendu à la salle de bain où j’ai ai pris une bonne douche tiède, presque froide pour mettre un frein à mes ardeurs. Je suis revenu de la salle de bain avec également un drap de bain noué à la taille. Julien était déjà couché sur le matelas pneumatique. Il laissait passé son torse nu du duvet et attendait mon retour. Moi de mon côté je m’étais dit, je fais comme chez moi, je dormais depuis des années nu, j’avais alors défait le nœud du drap et je m’étais couché nu dans mon lit. J’avais observé d’un œil les réactions de Julien, mais celui-ci ne laissa rien paraître. J’avais coupé la lumière et ensuite nous avions continué à parler de chose et d’autre. Julien m’avait par ailleurs demandé si je dormais à poil dans mon lit. Je lui avais alors dit que c’était une habitude, que été comme hiver, je dormais nu. Julien m’avait alors confié que de son côté il dormait soit en pyjama en hiver et qu’en été il portait un slip ou un boxer pour dormir. Le fait de parler de nudité, me fait avoir une gaule d’enfer. Mais je n’osais me branler. Je suis resté excité une bonne heure environ avant que nous ne nous décidions à dormir.
Nous avons fini par nous endormir.
Au beau milieu de la nuit Julien m’avait réveillé, il m’a dit que le matelas était dégonflé et qu’il ne savait plus dormir à même le sol. Je lui avais alors proposé de finir la nuit à mes côtés. Julien accepta de bonne grâce et il se glissa dans le mon lit. Je lui avais fait un peu de place, je m’étais reculé le plus possible pour qu’il puisse être à l’aise.
Au bout de 5 minutes, j’avais senti que Julien s’était rapproché de moi. Je sentais ses jambes collées aux miennes. Puis j’avais senti ses fesses tout contre les miennes. La sensation première était qu’il avait les fesses à l’air. Je m’étais alors rendu compte que Julien avait ôté son slip pour dormir, probablement suite à notre conversation avant de dormir.
Je pouvais sentir la chaleur du corps de Julien contre le mien. Je sentais mon sexe prendre du volume, je ne parvenais plus à trouver le sommeil. Je sentais que Julien se rapprochait de plus en plus moi, il était maintenant sur le dos, moi j’étais toujours couché sur le côté gauche. Sa main gauche était posée à hauteur de ma fesse gauche, elle se rapprochait jusqu’à se poser sur elle. Sa main s’était mise à faire des caresses subtiles sur mes fesses. J’étais de plus en plus excité, j’avais le sexe dur comme un bâton. Je me demandait si Julien était homo ; Julien avait-il découvert que je l’étais ? Je me suis alors retourné pour me mettre sur l’autre côté, soit tourné vers Julien. Sa main s’est alors positionnée à hauteur de ma cuisse. Elle remontait vers ma hanche. Puis elle redescendait vers ma cuisse pour remonter ensuite vers l’aine. Elle revenait vers mon entre-cuisse pour remonter vers mes couilles. Une fois au niveau des couilles, elle s’en empara pour les masser doucement. J’avais le sexe bandé comme un âne. Puis sa main s’est placée sur mon sexe pour le caresser. Je n’étais pas insensible aux caresses de Julien, car mon sexe s’était encore gorgé de plus de sang. Il palpitait entre les doigts de la main de Julien. A mon tour ma main allait à la rencontre de l’intimité de Julien. J’allais alors découvrir son sexe en érection, il était un peu plus petit que le mien mais il était plus épais. Son prépuce recouvrait encore son gland. Du liquide s’écoulait déjà de son gland. Julien s’était alors tourné vers moi et je sentais son souffle près de ma bouche. Je m’étais rapproché de lui et nos lèvres se sont jointes. Nous nous sommes embrassés, nos langue se sont trouvées. Nous nous étions embrassés et nous nous masturbions mutuellement. Je sentais le plaisir envahir tout mon corps, je savourais la masturbation que me faisait habillement Julien. Je sentais aussi que Julien de son côté appréciait mes caresses sur sa queue bandée. Après quelques minutes, nous avions éjaculés presque ensemble. J’avais reçu quatre jets de sperme de Julien dans ma main quant à Julien, il avait reçu à son tour quatre jets de mon sperme entre les doigts.
Nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre jusqu’au matin.
JULIEN
Chapitre 1.
Je me prénomme Philippe et j’étais le dernier d’une famille de trois enfants. J’avais 17 ans, mon grand frère Olivier avait 23 ans et il avait quitté la maison familiale pour se mettre en ménage avec une amie qu’il connaissait de longue date, et ma sœur Delphine avait 19 ans. Nous vivions donc ma sœur et moi avec nos parents dans une grande maison avec un grand jardin avec piscine. Nous étions heureux et nous nous entendions bien ma sœur Delphine et moi.
Je n’étais ni beau ni laid, je devais mesurer 1,75 mètres et je pesais 83 kilos. J’avais quelques copains et quelques copines, mais il n’y avait rien de bien sérieux. En ce qui concerne les études, j’étais dans moyenne, sans plus. Je travaillais juste ce qu’il fallait pour avoir mes points, pour le reste basta.
Ma sœur Delphine avait quelques copains et quelques copines, il me semblait qu’il n’y avait rien de sérieux avec ses copains. Delphine était le plus souvent avec ses copines, au téléphone, ou alors elles se voyaient après les cours (Delphine est à l’unif en première année de droit) ou alors lors de week-ends à la maison ou chez une d’entre elles.
Delphine fréquentait régulièrement son amie Stéphanie, qu’elle surnommait « Stef ». Les filles se voyaient souvent et elles pratiquaient ensemble le tennis et la danse. Elles étaient dans le même cours à l’université et elles étudiaient souvent ensemble. Stéphanie était une fille au physique agréable sans pour autant être belle, elle avait suivant ce que j’ai pu voir, une belle poitrine bien proportionnée sous ses blouses, je voyais ses tétons qui pointaient au travers du tissus. Elle avait une voix agréable et sensuelle à la fois.
Découverte.
Alors que j’étais en période de révision avant les examens de juin, ma sœur Delphine était déjà en blocus. Elle étudiait comme à son habitude avec son amie Stéphanie. Stéphanie restait quelques jours à la maison et elle occupait la chambre d’ami. Stéphanie prenait donc ses repas en famille avec nous et elle profitait également des joies du jardin et de la piscine.
Un jour, ayant été lâché plus tôt que prévu des cours, car le prof de math avait dû s’absenter pour les deux dernières heures de cours, je suis rentré à la maison. Je pensais trouver ma sœur Delphine avec son amie Stéphanie occupées à étudier ou à revoir leurs cours dans le salon, car c’était la pièce de la maison où il faisait le moins chaud. Ne les voyant pas là, j’ai pensé qu’elles avaient fait un tour question de décompresser. Je voulais me changer et mettre un short car il faisait assez chaud, je voulais enlever mon jeans qui me collait à la peau. Je suis monté à l’étage pieds-nus, et en passant devant la porte de la chambre de ma sœur j’ai entendu du bruit, plus précisément des gémissements. Sans faire de bruit je me suis rapproché de la porte pour tendre l’oreille. J’entendais parfaitement des gémissements. Je reconnaissais les gémissements de ma sœur, l’ayant déjà entendu se branler alors qu’elle pensait que je n’étais pas là. Les autres gémissements devaient être ceux de Stéphanie. Je ne savais pas ce qu’elles faisaient réellement, mais en tout cas elles se donnaient de plaisir. Je me demandais si elles se branlaient séparément ou si elles donnaient l’une à l’autre. Toujours est-il que j’avais mon sexe qui avait pris une bonne dimension dans mon slip et que je bandais comme un âne. Je n’ai pas fait de bruit et je me suis rendu dans ma chambre. Je me suis mi nu sur mon lit et je me suis mis à me masturber en pensant à ce que ma sœur faisait avec son amie Stéphanie et puis je me suis souvenu d’un scène que j’avais vu quelques années auparavant dans les landes alors que j’étais en vacances. J’avais vu deux garçons d’une quinzaine d’année occupé ensemble dans une clairière. Ils gémissaient, l’un d’eux était occupé à faire une pipe à son copain, puis ils ont changé de position et c’est l’autre qui est venu enfilé par l’arrière le premier. J’avais mon sexe qui était tout dressé dans mon short de bain et sans même toucher à mon sexe, j’ai éjaculé dans mon short en voyant les deux garçons éjaculer, l’un dans le cul de l’autre et l’autre sur le sol devant lui. J’avais du sperme dans mon short de bain et il coulait le long de ma jambe droite.
A force de revoir en pensée ce que j’avais vu, j’ai éjaculé sur mon ventre et sur mon torse.
Confirmation.
Les images qui venaient à l’esprit en songeant à ce que ma sœur Delphine et son amie Stéphanie avaient bien pu faire ensemble dans la chambre de ma sœur, me laissaient dubitatif. Je me demandais si ma sœur n’était pas lesbienne. A force d’y penser, j’étais de plus en plus convaincu que ma chère sœur était devenue lesbienne et qu’elle passait du bon temps avec son amie Stéphanie. Je supposais donc que Stéphanie elle aussi était lesbienne. Durant deux jours je me suis posé cette question et je me suis alors mis à les observer.
Le troisième jour, alors que mes parents étaient partis en week-end chez des amis, que moi-même je devais être chez un copain de classe pour étudier, ma sœur Delphine et son amie Stéphanie étaient restées à la maison. Chez mon copain, nous avons revu les cours et réétudié les matières où j’avais quelques difficultés. Finalement nous avons terminé plus tôt que prévu et j’avais décidé de rentrer à la maison, pour éviter de loger chez mon copain.
Sans m’annoncer, je suis rentré à la maison. J’ai entendu en rentrant que les filles étaient dans le piscine. Je m’étais avancé pour regarder par la fenêtre de la salle à manger et j’avais vu ma sœur et son amie, nues, dans la piscine. J’étais resté ainsi un petit moment à les regarder. Ensuite elles étaient sorties de l’eau pour se mettre sur le bord de l’eau, elles s’étaient couchées nues sur un grand matelas double. J’ai pu voir qu’elles se caressaient les seins, qu’elles se bécotaient, elles s’embrassaient sur la bouche sans aucune retenue. Mon sexe quant à lui, il était au garde à vous dans mon pantalon. Puis, d’un coup ma sœur s’est relevée, elle partait en direction de la porte de la salle à manger où je me trouvais. J’ai tenté de quitter la pièce avant son arrivée, mais Delphine était entrée nue dans la pièce alors que j’allais arriver à la porte donnant sur la hall d’entrée. Ma sœur Delphine s’était arrêtée net, elle avait mis une main devant son sexe et m’a regardé. Moi je ne savais plus où me mettre, je me trouvais à trois mètres de ma sœur et une bosse était bien visible sur le devant de mon pantalon, mon sexe était prêt à exploser.
Delphine n’avait pas crié, elle m’avait regardé et puis tout bas elle m’avait dit : « Tu es là depuis longtemps ? » Je lui avais répondu : « Depuis assez de temps pour voir… » Delphine, rouge comme une pivoine ajoutait : « Je t’en supplie, ne dis rien aux parents » Moi, tout aussi rouge que ma sœur, je lui avais répondu : « T’inquiètes pas, je ne dirai rien, c’est promis juré. »
Je suis monté dans ma chambre pour me branler, j’étais super excité.
Au soir, alors que j’avais déjà mis la table pour le dîner, ma sœur et son amie Stéphanie m’ont rejoint à la salle à manger. J’avais remarqué que Stéphanie était mal à l’aise, elle n’était comme d’habitude. Elle avait les pommettes rouges. Ma sœur Delphine était moins exubérante qu’à l’habitude. Je ne savais pas si Delphine avait Stéphanie au courant de ce qui s’était passé lors de mon retour à la maison. Mais, dans l’attitude des filles, il ne faisait aucun doute sur le fait que Stéphanie était maintenant au courant de ce que j’avais vu.
Julien, le frère de Stéphanie :
Delphine était devenue un peu plus complice avec moi, elle me racontait ce qu’elle ressentait et elle appréciait que je n’ai rien dit à nos parents. Par la suite Stef est encore revenue à la maison, elle faisait comme s’il ne s’était rien passé. Elle était régulièrement en compagnie de ma sœur, elles étaient heureuses.
Pour la fin des grandes vacances, les parents de Stef devaient partir à l’étranger. Stef et son frère Julien, que je ne connaissais pas devaient restés. Nos parents eux aussi devaient aller rejoindre des amis et seraient absents pour une semaine. Pour éviter de passer la fin des vacances d’été seuls chacun chez nous, Delphine avait invité Stef à venir loger à la maison. Stef avait demandé, si cela ne dérangeait pas, que son frère julien âgé de 16 ans, puisse également venir chez nous pour passer la fin des congés. Delphine n’avait vu aucune objection, il fallait seulement que je sois d’accord. De mon côté je m’étais dit que c’était l’occasion de me faire un nouveau copain, et j’avais répondu pourquoi pas.
Le moment venu, soit un soir, Stef était arrivée à la maison avec son frère Julien. Julien était de la même taille que moi, environ 1,75 mètres, il était un peu plus mince que moi, il avait les cheveux blonds mi-longs, un petit rigolo et une bouche d’un rose éclatant. En un mot il était craquant. Il avait une voix douce qui n’était pas désagréable à entendre. Il était vêtu d’un jeans et d’une chemise style trappeur qui lui donnait un air quelque peu austère mais que le blond de ses cheveux atténuait. Nous fîmes connaissance et il me parut assez sympathique. Il avait été décidé que ma sœur Delphine resterait dans sa chambre et que son amie Stef logerait dans la chambre d’ami. Je ne compris pas pourquoi, mais je n’avais rien dit. Je suppose que c’était pour garder les apparences. Concernant Julien, il avait été convenu qu’il partagerait ma chambre à coucher et qu’un matelas pneumatique serait gonflé et posé à côté de mon lit.
Nous avions fait connaissance lors du dîner. Julien était assez sportif, il avait d’ailleurs l’allure d’un jeune qui pratique le sport. Il m’avait dit qu’il faisait du judo et de la natation. Il était aussi assez doué en math et m’a dit qu’il envisageait de poursuivre des études en faisant une licence en mathématique appliquée. Il était très affable et parlait de chose et d’autre à table. J’étais séduit par Julien, je buvais ses parles, il était lui aussi très heureux d’avoir quelqu’un qui l’écoutait et qui avait des points communs. De mon côté je lui disais que j’avais pratiqué le judo étant plus jeune et que depuis trois ans déjà je faisais de la spéléologie et que j’en retirais beaucoup de chose positive, comme l’esprit d’équipe, l’endurance, la maîtrise de soi (comme au judo d’ailleurs). Bref nous avons passé la soirée à parler de nos activités sportives et extra scolaires.
La nuit venue, nous avons rangé la table et nous sommes allés préparer la chambre pour que nous puissions passer la nuit. Je m’étais mis à gonfler la matelas pneumatique pour que Julien puisse dormir. Julien pris à un moment le relais. Je ne sais pas pourquoi, mais je m’étais mis à penser que Julien mettait ses lèvres à l’endroit où j’avais posé les miennes. Je m’étais mis à penser que Julien l’avait fait exprès pour pouvoir « goûter » ma salive, bref je gambergeais j’échafaudais déjà toutes sortes de scénarios entre Julien et moi. Mon sexe ne restait pas tranquille dans mon slip ; déjà il avait gonflé et avait déjà pris pas mal de place dans mon slip. La nuit promettait d’être assez courte.
Première nuit avec Julien.
Une fois le matelas placé, nous avions décidés de nous coucher, nous avions envisagé de faire du sport durant la journée à venir.
Comme il faisait encore assez chaud ce premier soir, nous avions été prendre une douche. J’avais laissé Julien passé en premier par la salle de bain. Il est revenu dans la chambre avec le drap de bain autour de la taille. Je pouvais deviner la taille de son sexe, j’avais envie que le nœud se défasse que pouvoir ainsi voir ses attributs. A mon tour je me suis rendu à la salle de bain où j’ai ai pris une bonne douche tiède, presque froide pour mettre un frein à mes ardeurs. Je suis revenu de la salle de bain avec également un drap de bain noué à la taille. Julien était déjà couché sur le matelas pneumatique. Il laissait passé son torse nu du duvet et attendait mon retour. Moi de mon côté je m’étais dit, je fais comme chez moi, je dormais depuis des années nu, j’avais alors défait le nœud du drap et je m’étais couché nu dans mon lit. J’avais observé d’un œil les réactions de Julien, mais celui-ci ne laissa rien paraître. J’avais coupé la lumière et ensuite nous avions continué à parler de chose et d’autre. Julien m’avait par ailleurs demandé si je dormais à poil dans mon lit. Je lui avais alors dit que c’était une habitude, que été comme hiver, je dormais nu. Julien m’avait alors confié que de son côté il dormait soit en pyjama en hiver et qu’en été il portait un slip ou un boxer pour dormir. Le fait de parler de nudité, me fait avoir une gaule d’enfer. Mais je n’osais me branler. Je suis resté excité une bonne heure environ avant que nous ne nous décidions à dormir.
Nous avons fini par nous endormir.
Au beau milieu de la nuit Julien m’avait réveillé, il m’a dit que le matelas était dégonflé et qu’il ne savait plus dormir à même le sol. Je lui avais alors proposé de finir la nuit à mes côtés. Julien accepta de bonne grâce et il se glissa dans le mon lit. Je lui avais fait un peu de place, je m’étais reculé le plus possible pour qu’il puisse être à l’aise.
Au bout de 5 minutes, j’avais senti que Julien s’était rapproché de moi. Je sentais ses jambes collées aux miennes. Puis j’avais senti ses fesses tout contre les miennes. La sensation première était qu’il avait les fesses à l’air. Je m’étais alors rendu compte que Julien avait ôté son slip pour dormir, probablement suite à notre conversation avant de dormir.
Je pouvais sentir la chaleur du corps de Julien contre le mien. Je sentais mon sexe prendre du volume, je ne parvenais plus à trouver le sommeil. Je sentais que Julien se rapprochait de plus en plus moi, il était maintenant sur le dos, moi j’étais toujours couché sur le côté gauche. Sa main gauche était posée à hauteur de ma fesse gauche, elle se rapprochait jusqu’à se poser sur elle. Sa main s’était mise à faire des caresses subtiles sur mes fesses. J’étais de plus en plus excité, j’avais le sexe dur comme un bâton. Je me demandait si Julien était homo ; Julien avait-il découvert que je l’étais ? Je me suis alors retourné pour me mettre sur l’autre côté, soit tourné vers Julien. Sa main s’est alors positionnée à hauteur de ma cuisse. Elle remontait vers ma hanche. Puis elle redescendait vers ma cuisse pour remonter ensuite vers l’aine. Elle revenait vers mon entre-cuisse pour remonter vers mes couilles. Une fois au niveau des couilles, elle s’en empara pour les masser doucement. J’avais le sexe bandé comme un âne. Puis sa main s’est placée sur mon sexe pour le caresser. Je n’étais pas insensible aux caresses de Julien, car mon sexe s’était encore gorgé de plus de sang. Il palpitait entre les doigts de la main de Julien. A mon tour ma main allait à la rencontre de l’intimité de Julien. J’allais alors découvrir son sexe en érection, il était un peu plus petit que le mien mais il était plus épais. Son prépuce recouvrait encore son gland. Du liquide s’écoulait déjà de son gland. Julien s’était alors tourné vers moi et je sentais son souffle près de ma bouche. Je m’étais rapproché de lui et nos lèvres se sont jointes. Nous nous sommes embrassés, nos langue se sont trouvées. Nous nous étions embrassés et nous nous masturbions mutuellement. Je sentais le plaisir envahir tout mon corps, je savourais la masturbation que me faisait habillement Julien. Je sentais aussi que Julien de son côté appréciait mes caresses sur sa queue bandée. Après quelques minutes, nous avions éjaculés presque ensemble. J’avais reçu quatre jets de sperme de Julien dans ma main quant à Julien, il avait reçu à son tour quatre jets de mon sperme entre les doigts.
Nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre jusqu’au matin.