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JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) - Version imprimable

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JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) - Philou0033 - 20-07-2020

Voici un nouveau texte qui mélange la réalité d’une histoire vécue et la fiction.

JULIEN

Chapitre 1.

Je me prénomme Philippe et j’étais le dernier d’une famille de trois enfants. J’avais 17 ans, mon grand frère Olivier avait 23 ans et il avait quitté la maison familiale pour se mettre en ménage avec une amie qu’il connaissait de longue date, et ma sœur Delphine avait 19 ans. Nous vivions donc ma sœur et moi avec nos parents dans une grande maison avec un grand jardin avec piscine. Nous étions heureux et nous nous entendions bien ma sœur Delphine et moi.

Je n’étais ni beau ni laid, je devais mesurer 1,75 mètres et je pesais 83 kilos. J’avais quelques copains et quelques copines, mais il n’y avait rien de bien sérieux. En ce qui concerne les études, j’étais dans moyenne, sans plus. Je travaillais juste ce qu’il fallait pour avoir mes points, pour le reste basta.
Ma sœur Delphine avait quelques copains et quelques copines, il me semblait qu’il n’y avait rien de sérieux avec ses copains. Delphine était le plus souvent avec ses copines, au téléphone, ou alors elles se voyaient après les cours (Delphine est à l’unif en première année de droit) ou alors lors de week-ends à la maison ou chez une d’entre elles.
Delphine fréquentait régulièrement son amie Stéphanie, qu’elle surnommait « Stef ». Les filles se voyaient souvent et elles pratiquaient ensemble le tennis et la danse. Elles étaient dans le même cours à l’université et elles étudiaient souvent ensemble. Stéphanie était une fille au physique agréable sans pour autant être belle, elle avait suivant ce que j’ai pu voir, une belle poitrine bien proportionnée sous ses blouses, je voyais ses tétons qui pointaient au travers du tissus. Elle avait une voix agréable et sensuelle à la fois.

Découverte.

Alors que j’étais en période de révision avant les examens de juin, ma sœur Delphine était déjà en blocus. Elle étudiait comme à son habitude avec son amie Stéphanie. Stéphanie restait quelques jours à la maison et elle occupait la chambre d’ami. Stéphanie prenait donc ses repas en famille avec nous et elle profitait également des joies du jardin et de la piscine.
Un jour, ayant été lâché plus tôt que prévu des cours, car le prof de math avait dû s’absenter pour les deux dernières heures de cours, je suis rentré à la maison. Je pensais trouver ma sœur Delphine avec son amie Stéphanie occupées à étudier ou à revoir leurs cours dans le salon, car c’était la pièce de la maison où il faisait le moins chaud. Ne les voyant pas là, j’ai pensé qu’elles avaient fait un tour question de décompresser. Je voulais me changer et mettre un short car il faisait assez chaud, je voulais enlever mon jeans qui me collait à la peau. Je suis monté à l’étage pieds-nus, et en passant devant la porte de la chambre de ma sœur j’ai entendu du bruit, plus précisément des gémissements. Sans faire de bruit je me suis rapproché de la porte pour tendre l’oreille. J’entendais parfaitement des gémissements. Je reconnaissais les gémissements de ma sœur, l’ayant déjà entendu se branler alors qu’elle pensait que je n’étais pas là. Les autres gémissements devaient être ceux de Stéphanie. Je ne savais pas ce qu’elles faisaient réellement, mais en tout cas elles se donnaient de plaisir. Je me demandais si elles se branlaient séparément ou si elles donnaient l’une à l’autre. Toujours est-il que j’avais mon sexe qui avait pris une bonne dimension dans mon slip et que je bandais comme un âne. Je n’ai pas fait de bruit et je me suis rendu dans ma chambre. Je me suis mi nu sur mon lit et je me suis mis à me masturber en pensant à ce que ma sœur faisait avec son amie Stéphanie et puis je me suis souvenu d’un scène que j’avais vu quelques années auparavant dans les landes alors que j’étais en vacances. J’avais vu deux garçons d’une quinzaine d’année occupé ensemble dans une clairière. Ils gémissaient, l’un d’eux était occupé à faire une pipe à son copain, puis ils ont changé de position et c’est l’autre qui est venu enfilé par l’arrière le premier. J’avais mon sexe qui était tout dressé dans mon short de bain et sans même toucher à mon sexe, j’ai éjaculé dans mon short en voyant les deux garçons éjaculer, l’un dans le cul de l’autre et l’autre sur le sol devant lui. J’avais du sperme dans mon short de bain et il coulait le long de ma jambe droite.
A force de revoir en pensée ce que j’avais vu, j’ai éjaculé sur mon ventre et sur mon torse.

Confirmation.

Les images qui venaient à l’esprit en songeant à ce que ma sœur Delphine et son amie Stéphanie avaient bien pu faire ensemble dans la chambre de ma sœur, me laissaient dubitatif. Je me demandais si ma sœur n’était pas lesbienne. A force d’y penser, j’étais de plus en plus convaincu que ma chère sœur était devenue lesbienne et qu’elle passait du bon temps avec son amie Stéphanie. Je supposais donc que Stéphanie elle aussi était lesbienne. Durant deux jours je me suis posé cette question et je me suis alors mis à les observer.
Le troisième jour, alors que mes parents étaient partis en week-end chez des amis, que moi-même je devais être chez un copain de classe pour étudier, ma sœur Delphine et son amie Stéphanie étaient restées à la maison. Chez mon copain, nous avons revu les cours et réétudié les matières où j’avais quelques difficultés. Finalement nous avons terminé plus tôt que prévu et j’avais décidé de rentrer à la maison, pour éviter de loger chez mon copain.
Sans m’annoncer, je suis rentré à la maison. J’ai entendu en rentrant que les filles étaient dans le piscine. Je m’étais avancé pour regarder par la fenêtre de la salle à manger et j’avais vu ma sœur et son amie, nues, dans la piscine. J’étais resté ainsi un petit moment à les regarder. Ensuite elles étaient sorties de l’eau pour se mettre sur le bord de l’eau, elles s’étaient couchées nues sur un grand matelas double. J’ai pu voir qu’elles se caressaient les seins, qu’elles se bécotaient, elles s’embrassaient sur la bouche sans aucune retenue. Mon sexe quant à lui, il était au garde à vous dans mon pantalon. Puis, d’un coup ma sœur s’est relevée, elle partait en direction de la porte de la salle à manger où je me trouvais. J’ai tenté de quitter la pièce avant son arrivée, mais Delphine était entrée nue dans la pièce alors que j’allais arriver à la porte donnant sur la hall d’entrée. Ma sœur Delphine s’était arrêtée net, elle avait mis une main devant son sexe et m’a regardé. Moi je ne savais plus où me mettre, je me trouvais à trois mètres de ma sœur et une bosse était bien visible sur le devant de mon pantalon, mon sexe était prêt à exploser.
Delphine n’avait pas crié, elle m’avait regardé et puis tout bas elle m’avait dit : « Tu es là depuis longtemps ? » Je lui avais répondu : « Depuis assez de temps pour voir… » Delphine, rouge comme une pivoine ajoutait : « Je t’en supplie, ne dis rien aux parents » Moi, tout aussi rouge que ma sœur, je lui avais répondu : « T’inquiètes pas, je ne dirai rien, c’est promis juré. »
Je suis monté dans ma chambre pour me branler, j’étais super excité.
Au soir, alors que j’avais déjà mis la table pour le dîner, ma sœur et son amie Stéphanie m’ont rejoint à la salle à manger. J’avais remarqué que Stéphanie était mal à l’aise, elle n’était comme d’habitude. Elle avait les pommettes rouges. Ma sœur Delphine était moins exubérante qu’à l’habitude. Je ne savais pas si Delphine avait Stéphanie au courant de ce qui s’était passé lors de mon retour à la maison. Mais, dans l’attitude des filles, il ne faisait aucun doute sur le fait que Stéphanie était maintenant au courant de ce que j’avais vu.

Julien, le frère de Stéphanie :

Delphine était devenue un peu plus complice avec moi, elle me racontait ce qu’elle ressentait et elle appréciait que je n’ai rien dit à nos parents. Par la suite Stef est encore revenue à la maison, elle faisait comme s’il ne s’était rien passé. Elle était régulièrement en compagnie de ma sœur, elles étaient heureuses.
Pour la fin des grandes vacances, les parents de Stef devaient partir à l’étranger. Stef et son frère Julien, que je ne connaissais pas devaient restés. Nos parents eux aussi devaient aller rejoindre des amis et seraient absents pour une semaine. Pour éviter de passer la fin des vacances d’été seuls chacun chez nous, Delphine avait invité Stef à venir loger à la maison. Stef avait demandé, si cela ne dérangeait pas, que son frère julien âgé de 16 ans, puisse également venir chez nous pour passer la fin des congés. Delphine n’avait vu aucune objection, il fallait seulement que je sois d’accord. De mon côté je m’étais dit que c’était l’occasion de me faire un nouveau copain, et j’avais répondu pourquoi pas.

Le moment venu, soit un soir, Stef était arrivée à la maison avec son frère Julien. Julien était de la même taille que moi, environ 1,75 mètres, il était un peu plus mince que moi, il avait les cheveux blonds mi-longs, un petit rigolo et une bouche d’un rose éclatant. En un mot il était craquant. Il avait une voix douce qui n’était pas désagréable à entendre. Il était vêtu d’un jeans et d’une chemise style trappeur qui lui donnait un air quelque peu austère mais que le blond de ses cheveux atténuait. Nous fîmes connaissance et il me parut assez sympathique. Il avait été décidé que ma sœur Delphine resterait dans sa chambre et que son amie Stef logerait dans la chambre d’ami. Je ne compris pas pourquoi, mais je n’avais rien dit. Je suppose que c’était pour garder les apparences. Concernant Julien, il avait été convenu qu’il partagerait ma chambre à coucher et qu’un matelas pneumatique serait gonflé et posé à côté de mon lit.
Nous avions fait connaissance lors du dîner. Julien était assez sportif, il avait d’ailleurs l’allure d’un jeune qui pratique le sport. Il m’avait dit qu’il faisait du judo et de la natation. Il était aussi assez doué en math et m’a dit qu’il envisageait de poursuivre des études en faisant une licence en mathématique appliquée. Il était très affable et parlait de chose et d’autre à table. J’étais séduit par Julien, je buvais ses parles, il était lui aussi très heureux d’avoir quelqu’un qui l’écoutait et qui avait des points communs. De mon côté je lui disais que j’avais pratiqué le judo étant plus jeune et que depuis trois ans déjà je faisais de la spéléologie et que j’en retirais beaucoup de chose positive, comme l’esprit d’équipe, l’endurance, la maîtrise de soi (comme au judo d’ailleurs). Bref nous avons passé la soirée à parler de nos activités sportives et extra scolaires.
La nuit venue, nous avons rangé la table et nous sommes allés préparer la chambre pour que nous puissions passer la nuit. Je m’étais mis à gonfler la matelas pneumatique pour que Julien puisse dormir. Julien pris à un moment le relais. Je ne sais pas pourquoi, mais je m’étais mis à penser que Julien mettait ses lèvres à l’endroit où j’avais posé les miennes. Je m’étais mis à penser que Julien l’avait fait exprès pour pouvoir « goûter » ma salive, bref je gambergeais j’échafaudais déjà toutes sortes de scénarios entre Julien et moi. Mon sexe ne restait pas tranquille dans mon slip ; déjà il avait gonflé et avait déjà pris pas mal de place dans mon slip. La nuit promettait d’être assez courte.

Première nuit avec Julien.

Une fois le matelas placé, nous avions décidés de nous coucher, nous avions envisagé de faire du sport durant la journée à venir.
Comme il faisait encore assez chaud ce premier soir, nous avions été prendre une douche. J’avais laissé Julien passé en premier par la salle de bain. Il est revenu dans la chambre avec le drap de bain autour de la taille. Je pouvais deviner la taille de son sexe, j’avais envie que le nœud se défasse que pouvoir ainsi voir ses attributs. A mon tour je me suis rendu à la salle de bain où j’ai ai pris une bonne douche tiède, presque froide pour mettre un frein à mes ardeurs. Je suis revenu de la salle de bain avec également un drap de bain noué à la taille. Julien était déjà couché sur le matelas pneumatique. Il laissait passé son torse nu du duvet et attendait mon retour. Moi de mon côté je m’étais dit, je fais comme chez moi, je dormais depuis des années nu, j’avais alors défait le nœud du drap et je m’étais couché nu dans mon lit. J’avais observé d’un œil les réactions de Julien, mais celui-ci ne laissa rien paraître. J’avais coupé la lumière et ensuite nous avions continué à parler de chose et d’autre. Julien m’avait par ailleurs demandé si je dormais à poil dans mon lit. Je lui avais alors dit que c’était une habitude, que été comme hiver, je dormais nu. Julien m’avait alors confié que de son côté il dormait soit en pyjama en hiver et qu’en été il portait un slip ou un boxer pour dormir. Le fait de parler de nudité, me fait avoir une gaule d’enfer. Mais je n’osais me branler. Je suis resté excité une bonne heure environ avant que nous ne nous décidions à dormir.
Nous avons fini par nous endormir.

Au beau milieu de la nuit Julien m’avait réveillé, il m’a dit que le matelas était dégonflé et qu’il ne savait plus dormir à même le sol. Je lui avais alors proposé de finir la nuit à mes côtés. Julien accepta de bonne grâce et il se glissa dans le mon lit. Je lui avais fait un peu de place, je m’étais reculé le plus possible pour qu’il puisse être à l’aise.
Au bout de 5 minutes, j’avais senti que Julien s’était rapproché de moi. Je sentais ses jambes collées aux miennes. Puis j’avais senti ses fesses tout contre les miennes. La sensation première était qu’il avait les fesses à l’air. Je m’étais alors rendu compte que Julien avait ôté son slip pour dormir, probablement suite à notre conversation avant de dormir.
Je pouvais sentir la chaleur du corps de Julien contre le mien. Je sentais mon sexe prendre du volume, je ne parvenais plus à trouver le sommeil. Je sentais que Julien se rapprochait de plus en plus moi, il était maintenant sur le dos, moi j’étais toujours couché sur le côté gauche. Sa main gauche était posée à hauteur de ma fesse gauche, elle se rapprochait jusqu’à se poser sur elle. Sa main s’était mise à faire des caresses subtiles sur mes fesses. J’étais de plus en plus excité, j’avais le sexe dur comme un bâton. Je me demandait si Julien était homo ; Julien avait-il découvert que je l’étais ? Je me suis alors retourné pour me mettre sur l’autre côté, soit tourné vers Julien. Sa main s’est alors positionnée à hauteur de ma cuisse. Elle remontait vers ma hanche. Puis elle redescendait vers ma cuisse pour remonter ensuite vers l’aine. Elle revenait vers mon entre-cuisse pour remonter vers mes couilles. Une fois au niveau des couilles, elle s’en empara pour les masser doucement. J’avais le sexe bandé comme un âne. Puis sa main s’est placée sur mon sexe pour le caresser. Je n’étais pas insensible aux caresses de Julien, car mon sexe s’était encore gorgé de plus de sang. Il palpitait entre les doigts de la main de Julien. A mon tour ma main allait à la rencontre de l’intimité de Julien. J’allais alors découvrir son sexe en érection, il était un peu plus petit que le mien mais il était plus épais. Son prépuce recouvrait encore son gland. Du liquide s’écoulait déjà de son gland. Julien s’était alors tourné vers moi et je sentais son souffle près de ma bouche. Je m’étais rapproché de lui et nos lèvres se sont jointes. Nous nous sommes embrassés, nos langue se sont trouvées. Nous nous étions embrassés et nous nous masturbions mutuellement. Je sentais le plaisir envahir tout mon corps, je savourais la masturbation que me faisait habillement Julien. Je sentais aussi que Julien de son côté appréciait mes caresses sur sa queue bandée. Après quelques minutes, nous avions éjaculés presque ensemble. J’avais reçu quatre jets de sperme de Julien dans ma main quant à Julien, il avait reçu à son tour quatre jets de mon sperme entre les doigts.
Nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre jusqu’au matin.




Re : JULIEN (ado - gay) - nomato - 20-07-2020

Bon j'ai pas encore lu mais je vais m'y mettre !


Re : JULIEN (ado - gay) - Lange128 - 21-07-2020

Rebonjour Philou.
Je serai ravi de te suivre ici puisque c'est ton nouveau domicile littéraire.
Je t'embrasse.
Daniel


JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 21-07-2020

Premier réveil prometteur.

Au matin, j’avais ouvert un œil et j’ai pu voir que Julien dormait encore. Nous étions collés l’un à l’autre. Déjà un rayon de soleil passait au travers des persiennes et éclairait le lit. Je venais alors de me rendre compte que Julien avait le sexe bandé, il avait une érection matinale bien prononcée. Cette vue du sexe bandé de Julien me rendit toutes mes ardeurs, mon sexe s’était redressé en quelques instants. Je bandais bel et bien, j’étais une nouvelle fois excité à la vue de cette queue bandée. Ne pouvant résister, j’avais placé ma main sur cette colonne de chaire qui était là a attendre qu’on s’occupe d’elle. J’avais fait quelques mouvements de va et vient et déjà Julien ouvrait les yeux. Il laissa son regard rencontrer le mien et il esquissa une sourire. Déjà sa main s’était emparée de mon sexe et elle lui appliquait une lente et délicate masturbation. Nos lèvres s’étaient à nouveau trouvées, nos langues s’étaient mêlées et nous avions échangé un long baiser. Nous nous étions alors mis tête bêche et j’avais pour la première fois pu goûter le sexe d’un homme. De son côté Julien avait mis mon sexe dans sa bouche et avec sa langue, il me léchait le gland. Je calquais mes caresses buccales à celles qu’il me procurait. Je sentais ma queue se gonfler encore plus et j’appréciais cette sensation de bien-être et d’humidité à la fois. Je sentais mon bas ventre brûler au plus profond, je m’appliquais à donner à Julien des sensations pareilles à celles qu’il me donnait. Je sentais que Julien était sur le point d’éjaculer, je faisais tout pour qu’il ne sorte pas son sexe de ma bouche, je voulais goûter à sa semence, je voulais connaître le goût de son sperme, ayant déjà testé avec le mien lors d’une de mes branlettes solitaires. Puis j’avais senti des soubresauts et quatre jets de sperme étaient venu s’écraser au fond de ma gorge. J’avais pu me rendre compte que son sperme était plus âcre que le mien, mais il avait bon goût quand même, et j’avais avalé son nectar. Moi de mon côté je sentais que la sève allait monté et j’étais prêt à déverser ma semence dans la bouche de Julien, car Julien lui aussi faisait tout pour garder ma queue dans sa bouche. Puis je m’étais cabré et j’avais laissé jaillir quatre à cinq jets de sperme dans le fond de la gorge de Julien.
Une fois remis de nos émotions, nous nous sommes regardés et nous avons échangé un « merci ». Nos bouches se sont une nouvelle fois unies dans un long baiser fougueux.

Une journée de « découvertes ».


Une fois debout, nous nous sommes rendus dans le jardin pour piquer une tête dans la piscine, nus tous les deux. Nous nous sommes amusés à nous couler l’un l’autre, à nous frotter l’un à l’autre, à mieux nous connaître. Nous étions déjà depuis plus d’une heure dans l’eau lorsque ma sœur Delphine est apparue sur la terrasse près de la piscine ; elle portait un peignoir sur elle. Elle s’adressa à nous en disant : « Alors on s’amuse les mecs ! ». Un peu gêné, Julien avait mis ses mains devant ses attributs. Quant à moi, je suis resté tout à fait naturel, j’avais depuis mon jeune âge pris l’habitude de me montrer parfois nu devant mes parents, mon frère et ma sœur. Delphine s’était approchée de la piscine et avait enlevé son peignoir. Elle était maintenant nue devant nous. Elle s’est alors glissée dans l’eau pour y faire quelques brasses. Julien s’est un peu décontracté et a ôté ses mains qui cachaient son sexe, voyant que ma sœur n’y prêtait pas d’attention. Nous avons alors nagé à trois durant une bonne demi-heure. Puis c’est Stef qui est apparue sur la terrasse. Elle était vêtue de sa robe nuit. Nous lui avons demandé tous les trois de venir nous rejoindre dans la piscine. Delphine, voyant que Stef n’osait pas enlever sa robe de nuit, lui expliquait qu’il n’y avait pas à avoir honte de se montrer nue devant Julien et moi, et que pour elle, elles s’étaient déjà vues nues. Bref au bout de cinq bonnes minutes de palabres, Stef a ôté sa robe de nuit pour venir nous rejoindre nue dans l’eau. Nous avons encore joué ensemble pendant un bon moment dans la piscine.

Une fois séchés et rhabillés, nous avons pris un bon déjeuner ensemble sur la terrasse. Une balade en vélo avait été programmée pour l’après-midi. Alors que Julien et Stef préparaient les vélos, Delphine et moi nous faisions la vaisselle. Durant la vaisselle, Delphine m’a dit : « Ce matin je vous ai vu Julien et toi dans la piscine. Je vous ai vu en train de jouer, en train de vous frôler, de vous caresser ».
Puis elle avait ajouté : « J’ai aussi vu l’état de ton lit à l’issue de la nuit ».
Moi : « Tu es allé voir dans ma chambre ! ».
Elle dit : « Oui, on dirait que vous avez passé du bon temps toi et Julien. »
Moi : « Tu ne diras rien aux parents ! ».
Elle se pressa de dire : « Non je ne dirais rien aux parents, c’est promis. Et toi aussi il faut que ne dise rien sur moi et Stef. »
Moi : « Non c’est promis, juré ».
Elle ajouta : « Je trouve que Julien et toi vous allez bien ensemble ».
Moi : « Tu crois ! »

Ma sœur avait donc découvert que j’étais homo. Elle de son côté elle était lesbienne. De plus c’était avec une fille et un garçon de la même famille.

Delphine lors de cette balade en vélo, m’a aussi confié que son amie Stef ne savait rien pour la relation qui était née entre moi et Julien. Elle ajouta aussi que Stef ne savait pas non plus que j’étais au courant pour sa relation avec elle. Il fallait donc faire attention.

A l’issue de la balade en vélo, nous avions tous les quatre décidé d’aller nous baigner dans la piscine. Pour moi et Julien, ni une ni deux nous voilà nus, et hop dans l’eau. Delphine et Stef nous ont suivi, elle se sont mises nues aussi pour aller dans l’eau.
Nous avions passé encore un bon moment à quatre. Julien était souvent collé à moi mais il en était de même pour Stef et Delphine. Je n’osais pas aller trop loin avec Julien, lui aussi de son côté il se retenait d’avoir des gestes trop voyant. Il semblait qu’il en était de même pour Delphine et Stef, elles faisaient elles aussi attention à leurs gestes.

Nous sommes alors passés à table pour le dîner. Ensuite le temps a changé, il s’était mis à pleuvoir. Plus question d’aller dehors. Nous allions devoir passer la soirée à l’intérieur.

Une bonne soirée.

Nous nous sommes installés dans le salon pour passer un bon film. Delphine passa un dvd avec Louis de Funes, « Le gendarme et les gendarmettes ». Nous avions bien rit tous les quatre. J’étais dans un divan avec Julien et les filles dans un autre divan. Nous étions très près l’un de l’autre, nos mains se frôlaient souvent. Nous avions peur d’aller plus loin devant les filles.
A l’issue du film, Delphine et Stef sont montées pour se coucher. Julien et moi nous sommes restés au salon et nous avons lancé un dvd d’aventure avec des pirates. Nous étions Julien et moi blottis dans le divan devant la télévision. Nous regardions le film en nous tenant par la main, Julien avait mis sa tête au creux de mon épaule. Puis Julien a tourné la tête vers moi en me disant :
« Je suis bien avec toi, je ne savais pas que j’allais aimer un garçon comme toi. »
Je lui ai répondu :
« Moi aussi je suis bien avec toi, mais moi je savais que j’étais porté pour les garçons avant de te rencontrer. »
Julien dit :
« As-tu déjà été plus loin avec un autre garçon ? »
Je lui ai répondu :
« Oui, enfin un peu, il y a quelque temps j’ai essayé de sodomiser un de mes copains, mais je me suis arrêté car il criait de mal. »
Julien dit :
« Tu crois que ça fait mal ? »
Moi :
« Je ne sais pas, je ne me suis pas encore fait sodomiser ! »
Julien ajoute alors :
« J’ai envie d’essayer avec toi ! »
Moi :
« Tu en as vraiment envie, tu veux que je te prenne par derrière ? »
Julien dit :
« Oui, je veux faire cette expérience avec toi, car j’ai confiance en toi. »
Moi :
« Si tu le veux, c’est oui, mais je te rappelle que pour moi, c’est aussi une première fois. »
Pour toute réponse Julien pose ses lèvres sur les miennes et me donne un long et tendre baiser. Je sens déjà mon sexe prendre de la place dans mon slip. Le devant du pantalon de Julien présente une protubérance sur le devant. Nous sommes excités. Nous nous caressons le dos, nous nous embrassons, nous nous cajolons. Julien défait alors les boutons de ma chemise, j’ôte le tee-shirt de Julien. Julien défait la ceinture de mon pantalon et ouvre la braguette, je fais de même avec le pantalon le sien. Nous sommes maintenant en slip tous les deux, assis sur le divan du salon. Julien ôte doucement mon slip et mon sexe est alors libéré, il pointe vers le plafond. J’ôte aussi le slip de Julien et son sexe lui aussi regarde les étoiles. Nous nous embrassons une nouvelle fois. Nos langues se titilles, nos salives se mélangent, nous sommes sur une autre planète. Julien me demande me mettre sur le ventre dans le divan, il crache sur mon anus et il me titille la rondelle avec un doigt. Il enfonce celui-ci dans le rectum, il me branle le cul. Puis je sens que Julien se place derrière moi, je sens son sexe qui se présente à l’entrée de mon anus, il pousse et je ressens d’abord une douleur puis je sens que son sexe est entré. Julien fait que quelques mouvement de va et vient lentement pour prendre la dimension de mon rectum, ensuite Julien me lime le cul, je ressens une grand chaleur dans mon fondement, je sens la bite de Julien s’activer et bande plus fort qu’avant. Puis j’entends que la respiration de Julien s’accélère, je sens qu’il va éjaculer, puis Julien se cabre, il explose dans mon cul, dans mes intestins. Une fois remis de ses émotions, Julien se place dans le divan, dans la même position qui fut la mienne un peu plus tôt. Je mets un peu de salive sur son anus, je passe mon doigt sur sa rondelle, je caresse son trou d’amour, je remets un peu de salive et je fais entrer mon doigt dans son rectum. Julien gémit, je fais un mouvement de va et vient dans son anus. Je vois Julien se détendre, je me place alors contre lui, je présente mon membre bien bandé devant son anus et je le pénètre doucement. Julien pousse de petits cris étouffés. Puis je sens que son anus se détend un peu plus et je pénètre plus profondément mon sexe dans son cul. Je me sens bien, mon sexe est bien au chaud dans le rectum de Julien qui me sert de fourreau. Je lime le cul de Julien, je sens que le jouissance est proche, je sens que je vais exploser dans le cul de mon ami Julien. Julien gémit de plus belle, son sexe est à nouveau bandé, je passe alors ma main et je me saisit de cette hampe dressée. Je branle Julien en même temps que je lui défonce le cul. Julien semble apprécier son sort. Je sens que je suis presque arrivé au point de non-retour, je sens la sève monter en moi, je sens la pression monter, je sens que je vais éjaculer. Je me lâche et je laisse cinq jets de sperme aller dans les intestins de Julien, quand en même temps Julien éjacule sur le divan dans un râle de bonheur. C’est à ce moment-là que j’ai vu dans l’ouverture de la porte du hall Stef qui faisait demi-tour pour remonter vers les chambres à coucher.
Nous restons Julien et moi coucher sur le divan le temps de reprendre nos esprits.
Une dizaine de minutes plus tard nous plongeons dans la piscine avant de monter nous coucher dans ma chambre, ensemble dans mon lit pour une nouvelle nuit.

Une nouvelle journée.

Au matin, je suis encore dans un demi-sommeil, lorsque je sens une main sur mon sexe, une main qui me caresse. Ma bite est semi bandée mais elle retrouve vite de l’ampleur. Je me retourne et je vois Julien qui affiche un large sourire. Je prends le sexe bandé de Julien en main et nous nous masturbons mutuellement.
Après avoir jouis, nous nous levons et allons prendre une bonne douche. C’est une nouvelle fois l’occasion de nous embrasser sous l’eau tiède qui mouille nos corps d’ados.

Pour le petit déjeuner nous nous retrouvons à table avec ma sœur Delphine, Stef n’est pas encore là. Nous commençons sans elle. Quelques minutes après Stef arrive. Elle s’assied à table à côté de Delphine. Delphine se tourne vers elle et pose ses lèvres sur celles de Stef. Je regarde alors la tête de Julien, qui écarquille les yeux.
Delphine prend alors la parole :
« Hier soir Stef vous a vu dans le salon, Philippe tu étais en train de sodomiser Julien. Elle m’en a parlé et je lui ai dit que je savais que vous aviez une liaison. Philippe toi tu sais aussi que j’ai une relation avec Stef. Alors j’ai décidé de le dire à Julien qui n’était au courant de rien. Voilà qui est fait. »
Moi :
« T’inquiètes pas Julien, c’est comme ça, nous n’y changerons rien. Ta sœur sait que nous avons une relation et maintenant tu sais qu’elle aussi qu’elle en a une avec ma sœur. C’est tout, il ne faut pas se prendre la tête. »
Julien dit alors :
« Ok, pas de problèmes, mais que ça reste entre nous alors. »
Julien se tourne vers moi et me donne baiser sur les lèvres. Nous nous sommes alors tous mis à rire.

Nous n’étions plus sur la défensive car la situation était bien claire.
Nous avions terminé le séjour en couples ; d’un côté Delphine et Stef et de l’autre côté Julien et moi. Nous pouvions nous embrasser et nous caresser les uns devant les autres sans que cela n’entraîne de problème. Nous étions très heureux comme ça.



JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 21-07-2020

Chapitre 2.

Retour à la réalité quotidienne.

La rentrée scolaire battait son plein et je n’avais plus vu Julien depuis quatre jours déjà. Je ne sais pas mais j’avais une drôle de sensation, je ressentais un manque, j’avais une boule au ventre, bref Julien me manquait ! Pourtant je ne le connaissais que depuis quelques jours seulement. Nous avions pourtant déjà connu « l’amour » ensemble. Était-ce trop tôt ?
Je me posais encore des questions pour savoir si j’étais bien homo et Julien lui de son côté était-il bien homo. A-t-il seulement voulu profiter de moi pour tenter une expérience, une expérience avec un mec, comme ça, juste pour savoir comment ça fait. J’étais très troublé. Devais-je le revoir, fallait-il que je lui demande s’il avait un peu de sentiment pour moi ou non, bref j’étais perdu !
Je retrouvais mes copains de classe. Nous nous étions retrouvés dans un coin de la cours, endroit où nous avions l’habitude de nous retrouver durant l’année scolaire précédente. Chacun racontait le déroulement de ses vacances. De mon côté j’avais expliqué le séjour avec mes parents dans les landes, ensuite le camp chez les scouts et un court séjour chez nous d’un ami Julien, sans en dire plus.

La sonnerie se faisait entendre, elle avait mis fin à nos discussions. Hop nous voilà en cours de math, pfff. Encore le même prof, fait chier !!!

La matinée se passait sans problème, dans une ambiance de rentrée, chacun reprenant son rythme scolaire, comme si les vacances étaient déjà loin.
A l’heure du déjeuner je me retrouvais à la cantine pour le repas en compagnie de mes potes Jacques, Jean et Joseph (les 3 J), avec qui j’avais passé de très bons moments durant l’année scolaire précédente. Nous parlions de tout et de rien et bien sûr de filles. Chacun avait quelque chose à dire sur l’une ou l’autre de la classe, ou même sur l’une ou l’autre rencontrée lors des vacances. Moi je participais aussi en donnant mon avis pour passer pour un hétéro convaincu.

Ouf la journée de cours était terminée. Elle m’a semblé longue, surtout l’après-midi avec cours de français suivi d’un cours de chimie.
Te trajet de retour en direction de la maison m’avait semblé interminable. Je voulais rentrer chez moi pour demander à Delphine sil elle avait des nouvelle de Julien par l’intermédiaire de sa copine (amante) Steph. Je gambergeais et puis en y réfléchissant je me suis aperçu que Julien était en fait le quatrième « J » de ma bande de copains. Était-ce un hasard, ou y avait-il quelque chose de plus astral. « M’enfin quelle question, tu fais n’importe quoi et tu penses à des conneries, arrête un peu Phil » je m’étais dit dans ma tête.

Enfin me voilà la maison. J’ouvrais la porte d’entrée mais je m’étais rendu compte que j’étais seul, ma sœur et mes parents n’étaient pas présents.

J’étais déçu de ne pas avoir de nouvelle de Julien. Comme un imbécile je ne lui avais pas demandé son numéro de téléphone !!! Je me le reprochais amèrement, j’aurai déjà pu le contacter depuis plusieurs jours déjà. J’étais lamentable ! J’étais alors monté dans ma chambre pour écouter un peu de musique, j’avais mis un disque des Beatles, j’adore les Beatles !

Mes parents étaient rentrés vers 18h30. J’étais descendu pour les embrasser et les aider à préparer le dîner. J’en avais profité pour savoir à quelle heure ma sœur Delphine allait rentrer. J’avais appris qu’elle ne rentrerait pas avant deux jours, elle était chez sa copine Stef car les cours n’avaient pas encore repris à l’unif. J’étais dépité. Je demandais à maman si elle n’avait pas par hasard le numéro de téléphone de Stef, car j’avais envie de parler à ma sœur (petit mensonge de bon aloi). Maman m’avait répondu que non. Je ne pourrais donc pas prendre contact avec Julien. J’étais enragé, mais je tâchais de ne pas le monter à mes parents. Une fois le repas préparé, nous étions passés à table et nous avions dîné à trois. Nous parlions de chose et d’autre et bien sûr de la première journée de cours ainsi que du bac qui approchait à grand pas, soit pour la fin de l’année scolaire.
Une fois la table débarrassée, j’avais dit bonsoir à mes parents en les embrassant. J’avais ensuite regagné ma chambre pour la nuit.

J’avais remis un peu de musique et j’avais pris un bouquin pour passer le temps. Finalement je ne faisais que de penser à Julien. Que faisait-il en ce moment, pensait-il encore à moi, qu’est-ce que j’étais pour lui, avait-il des sentiments à mon égard, etc. Je me posais donc un tas de questions comme quand j’étais dans le bus qui me ramenait de l’école. Je ne savais que penser, je me torturais l’esprit.

Un peu avant onze heures, je m’étais rendu à la salle de bain en vue de prendre ma douche. Je m’étais glissé sous le jet d’eau chaude. Je repensais encore à Julien et ma queue avait pris de l’ampleur, je commençais à bander sec. J’avais à l’esprit l’image de son corps que j’avais caressé, que j’avais senti que j’avais aimé ! Puis j’avais laissé ma main droite s’emparer de ma virilité tendue pour y prodiguer quelques mouvements lascifs de bas en haut. Puis j’avais resserré la pression sur ma colonne de chair et je m’étais mis à me branler avec frénésie. Je sentais une vague de bien être qui commençait à monter, mon ventre était empli d’une chaleur bienfaisante puis d’dans un moment d’extase j’avais laissé partir 5 jets de sperme sur la paroi de la douche. Mon corps était comme sur un nuage, j’avais même failli défaillir et me retrouver au sol dans la douche tellement le ressenti était intense ! Je revoyais une nouvelle fois l’image de Julien. J’étais convaincu que de son côté, il avait peut-être des sentiments à mon égard, car je n’aurais pas ressenti une telle jouissante en pensant à lui ce soir. Puis après m’être essuyé, je m’étais lavé les dents. J’avais regagné ma chambre et je m’étais mis au lit. J’étais nu sous la couette comme j’en avais l’habitude depuis mes 13 ans. Je m’étais endormi assez vite.

Au milieu de la nuit je m’étais à moitié réveillé, il devait être environ 03h00, je n’avais vu que le chiffre « 3 ». J’avais envie de me soulager, je devais uriner. Puis, je ne savais pas pourquoi, je m’étais remémoré ce qui s’était passé avec mon cousin David il y a environ 3 ans.
« J'étais en vacances chez ma tante, la maman de David. Nous étions assez nombreux à ce moment-là et je dormais dans le même lit que David.
David et moi nous dormions encore, collé l'un à l'autre. David s'est réveillé avant moi. David s'était dit que c'était peut-être le moment de passer à l'action. David se mis à me caresser pour me réveiller. Voyant que je ne réagissais pas plus que ça, il se mit à me chatouiller. Je peux dire que ça m'a réveillé. Plus David me chatouillait plus je riais. A un moment j'ai dit à mon cousin d'arrêter, que je n'en pouvais plus. Je commençais à avoir mal au ventre, j'avais la vessie pleine et je devais aller aux toilettes. J'ai fait remarquer à David que je devais aller aux toilettes car je devais vraiment faire pipi. David s'est mis à rire et s'est remis à me chatouiller de plus belle. J'avais de plus en plus mal au ventre, j'éprouvais de plus en plus de difficultés à me contenir. David remarquait bien que j'étais au bord de la rupture, j'avais l'impression qu'il voulait que je me pisse dessus. Je sentais que je n'allais pas pouvoir tenir plus longtemps, un jet d'urine est parti dans mon pantalon de pyjama.
J'ai dit à David : « Oooh, je pisse ».
Puis un autre jet est parti, j'ai encore dit : « Oooh, arrête de me chatouiller David ».
Mon cousin David continuait à me chatouiller et je n'ai plus su me retenir, je me suis mis à pisser dans mon pyjama et dans le lit sans pouvoir m'arrêter. David se rendant compte de mon état, sentant l'humidité s'étendre dans le lit, arrêta ses chatouillements et me fit un sourire en me disant : « ce n'était pas grave ». David me dit alors : « Regarde ».
Il se mit lui aussi à pisser volontairement dans son pyjama et dans son lit. Voyant ça je me suis mis à bander sec. David s'est alors mis à se masturber par-dessus son pyjama mouillé, je fis de même et nous nous sommes branlés dans notre pisse.
Nous n'avions jamais fait ça avant à deux. Nous avons joui très fort. Nous avons retiré un très grand plaisir dans cette expérience.
J'ai avoué à David que parfois il m'arrivait quand j'étais seul, de me pisser dessus, debout dans mon pantalon, et de me masturber par-dessus mon pantalon mouillé. Je lui ai dit que ça me procurait beaucoup de plaisirs. Je lui ai dit aussi que je l'avais déjà quelques fois dans mon lit.
David à son tour me dit avoir déjà fait la même chose à quelques reprises. Il m'avoua que ce matin il n'avait pas pu s'empêcher de me chatouiller uniquement dans le but de me voir pisser. »

Mes vieux démons s’étant rappelés à moi, je m’étais couché et je m’étais laissé aller dans mon lit. J’étais en train de pisser au lit comme un gamin. J’avais senti l’urine s’écouler sur mon ventre et s’insinuer sous mes fesses, elle coulait sur ma raie du cul, elle humidifiait les draps. Je sentais la chaleur de ma pisse sur mon corps. J’étais comme suspendu dans les airs, comme sur un nuage. Puis de suite j’avais senti mon sexe qui avait pris un volume conséquent, j’avais une trique d’enfer, mon sexe était bandé à mort. Je m’étais alors laissé aller à une masturbation jubilatoire. Après avoir joui fortement, je m’étais endormi tel quel dans mon lit trempé d’urine et de sperme.

Il faut dire que j’aime me pisser dessus, j’aime l’ondinisme. Depuis l’âge de 12 ans, soit depuis ma puberté, je pratique le pipi volontaire, soit dans mes vêtements ou soit au lit. J’évite de la faire au lit trop souvent, vu les dégâts que ça provoque, ce n’est que 3 ou 4 fois par an et je fais passer ça pour un accident nocturne.

En descendant le matin, j’avais été salué mes parents qui étaient déjà au petit-déjeuner. Puis juste avant de quitter la maison, j’avais glissé dans l’oreille de maman que j’avais fait pipi dans mon lit par accident durant la nuit. Pour seule réponse, maman m’avait susurré à l’oreille : « Ce n’est pas grave mon grand, ça arrive, il n’y a pas de quoi fouetter un chat. »

(Que j’adore maman, elle est très compréhensive. Elle m’adore, car je suis le dernier enfant de la famille. C’est une très, très, gentille une maman comme on les aime !)

Sur ses paroles réconfortantes, j’étais sur le chemin de l’école en direction de l’arrêt de bus.

J’arrivais à l’école. A l’entrée, Jacques m’attendait. Jacques était un peu plus grand que moi, il avait les cheveux blonds, et avec le soleil, ils étaient presque blancs. Ça lui donnait l’air d’un ange, mais un ange avec de l’acné. Que voulez-vous c’est l’âge qui fait ça. Je n’étais pas en reste non plus. Jacques était assez mince, corpulence moyenne, des yeux d’un bleu profond, je m’y noyais assez souvent d’ailleurs. Je pense bien que Jacques se cherche encore, il n’a pas de copine et nous avions déjà sympathisé il y a bientôt trois ans. Il est déjà venu à la maison quelques fois et j’ai déjà été chez lui également. Je le salue et nous nous donnions une bise sur la joue.

Voilà Jean qui arrive. Je le connais depuis un an. C’est juste un copain sans plus, je me méfie de lui. Je ne sais pas, mais je ne le sentais pas très bien, il avait un air de gros macho qui veut en mettre plein la vue et qui ne semble pas apprécier qu’on puisse être différend de lui. Je pense même qu’il doit être un peu homophobe sur les bords, mais sans plus. C’est aussi un copain de Joseph. Je le saluais en lui donnant la main, il n’aimait pas qu’on lui donne une bise.

Voilà enfin Joseph. C’est un copain de classe avec qui je m’entends assez bien, il est assis à mes côté quand nous sommes aux cours. Il est un peu plus enveloppé, un peu petit, ce qui lui donne l’aire d’être assez bouffi, mais je l’aime bien car il est très sympa et qu’il est assez mature pour son âge. De plus, ce qui ne gâche rien, il est super doué dans tous les cours ; quand j’ai besoin d’une explication il est toujours le premier à venir m’aider. Je lui faisais aussi la bise.
Nous voilà donc ensemble moi et les 3 « J ». Nous discutions de tout et de rien, mais Jacques voyait bien que je n’étais pas dans mon assiette, qu’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond.
Il me dit : « Dis, Phil (il m’appelait toujours comme ça) tu n’as pas l’air d’aller bien, il y a quelque chose qui ne va pas ? »
Moi : « Mais non Jacques, ce n’est rien. »
Jean : « C’est vrai, tu n’as pas l’air bien. »
Moi : « Arrêtez, vous déconnez les gars. »
Jos : « Non, Phil, c’est vrai tu es dans la lune ce matin. »
Jac : « Tu vois, c’est juste ce que je disais. »

Dring, dring, dring !!!

Ouf : la sonnerie de début des cours. J’étais sauvé par le gong, façon de parler.



JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 21-07-2020

Nous nous dirigions vers la classe pour le cours d’histoire. Nous nous étions installés à nos places. Joseph, qui était à mes côtés, il me demandait de temps à autre si ça allait. Je voyais aussi que Jacques me regardait d’un œil de temps à autre. Jacques se posait donc des questions suite à mon attitude un peu effacée. Jean de son côté restait attentif aux explications de la prof.
La matinée s’est déroulée très lentement à mon goût, ça n’en finissait pas. Enfin l’heure du midi.
Nous nous retrouvions tous les quatre à la même table dans le réfectoire pour y prendre notre déjeuner.
Une fois de plus Jacques me demandait : « He, Phil, tu n’es pas dans ton assiette, si il y a quelque chose qui ne va pas, tu peux me le dire. »
Jean et Joseph : « Oui, nous sommes là pour toi ! »
Moi : « Non, ça va, je suis juste un peu vaseux aujourd’hui. »
Après le repas, un petit passage aux toilettes pour y satisfaire un besoin tout naturel.

Nous revoilà aux cours pour l’après-midi. Une après-midi qui n’avançait pas, c’était aussi long que la matinée. Les minutes étaient interminables.

Dring, dring, dring !!!  La fin des cours, ouf, il était grand temps !

Jean et Joseph se dépêchaient pour ne pas rater leur bus. Jacques et moi nous avions un peu plus temps. Nous étions sortis du bahut en discutant. Puis avant d’arriver à notre arrêt de bus, Jacques se tourne vers moi et me dit en me regardant droit dans les yeux : « Toi tu es amoureux que ça ne m’étonnerait pas ! »
Moi : « Mais non ! » Sans trop de conviction et en piquant un phare.
Jac : « Tu rougis Phil, je te connais bien, tu as rencontré quelqu’un durant les vacances et tu n’as plus de contact avec cette personne. »
Moi : « Mais non. »
Jac : « Tu sais Phil, tu peux tout me dire, c’est une fille ou un mec ? »
Moi : « Ben, euh, »
Jac : « Je pense que c’est un mec à ta façon de ne pas me répondre ouvertement. »
Moi : « Mais, je…ne sais ...pas…si… »
Jac : « Ne te casses pas la tête, j’ai compris va ! »
Moi : « Ca fait 5 jours que j’ai plus de nouvelle ! »
Jac : « T’as pas son numéro de téléphone ? »
Moi : « Non, comme un con j’ai oublié de le lui demander ! »
Jac : « Ne t’en fais pas, s’il tient à toi, il te contactera. »
Moi : « Merci Jacques, t’es un chouette copain tu sais. Merci de ne rien dire aux autres et surtout pas à Jean, car je n’ai pas confiance en lui ! »
Jac : « Tu as raison Phil, sur ce plan-là, je n’ai pas confiance en ses réactions. Il doit être homophobe que je n’en serais pas surpris ! »
Moi : « C’est juste ce que je pensais. »
Voilà mon bus.
J’avais donné une bise à Jacques et j’étais monté dans mon bus.

Sur le trajet de retour je pensais à Julien, bien sûr, mais encore à ce Jacques m’avait dit pour me réconforter. Jacques était un super copain, même un ami pour moi. Il était toujours présent pour donner un coup de main ou même réconforter un ami, j’étais très heureux de faire partie de ses amis et connaissances Puis je repensais à Julien, j’allais surement avoir des nouvelles de Julien ce soir, j’en étais de plus en plus convaincu.

J’arrivais enfin à la maison et une nouvelle fois je me retrouvais seul. Pas de message sur le répondeur du téléphone, pas de petit mot laissé sur la table de la cuisine comme c’est l’habitude si on veut laisser un message.
Comme il faisait encore bon j’avais décidé de piquer une tête dans la piscine. Je me désape et nu, comme d’habitude, je plonge et me voilà à l’eau. J’avais fait quelques longueurs pour décompresser. Je pensais toujours à Julien et j’en étais de plus en plus certain de pouvoir enfin lui parler avant ce soir.

J’étais sorti de l’eau et je m’étais allongé sur une chaise longue. J’m’étais mis à rêvasser. Je me remémorais les baignades que nous avions faites Julien et moi en compagnie de ma sœur Delphine et de sa copine Stéphanie. Nous n’avions aucun complexe entre nous. Rien que de penser à ces bons moments mon sexe s’était redressé. Je m’étais dit, non, pas maintenant, quelqu’un pouvait rentrer à tout moment et je ne voulais pas me retrouver dans cet état devant elle et encore moins en étant en train de me donner du plaisir. Je m’étais levé et j’avais décidé d’aller dans ma chambre.
J’ai directement mis un disque des Beatles (évidement, pas un disque de Mireille Mathieu) « Let It Be ». Je m’étais couché sur le lit, nu et je rêvassais une nouvelle fois en pensant à Julien, à ce que Jacques m’avait dit et à ce con de Jean. Je m’en méfiais comme de la peste et pourtant il avait été un super copain quand nous étions plus jeunes. Ma tête était pleines de pensées tantôt positives et parfois négatives Comment allait donc se poursuivre notre histoire, si histoire il y avait, Julien avait-il connu d’autres mecs avant de me connaître, etc.

Ah, enfin, j’entendais que quelqu’un était rentré à la maison. J’avais passé un short et j’avais descendu les marches d’escalier quatre à quatre. Maman était rentrée, j’étais content de la voir. Je lui avais demandé si elle avait des nouvelles de ma sœur Delphine. Maman m’avait alors dit que normalement Delphine allait nous téléphoner au soir. J’étais content d’apprendre cette nouvelle, je pensais qu’elle allait pourvoir me dire comment allait Julien, s’il se portait bien et s’il avait demandé de mes nouvelles. J’en profitais pour encore m’excuser pour l’état de mon lit après « mon petit accident » comme maman disait parfois. Elle m’avait une nouvelle fois dit que ce n’était rien, le linge avait été mis à la machine et voilà, c’est tout. Je lui donnais alors un gros bisou sur la joue. Elle faisait de même avec moi en me donnant un bisou sur le front.

Vers 19h45 le téléphone sonne. Hop, ni une ni deux je courais vers l’appareil et je décrochais directement en disant : « Allo, c’est toi Delphine ! »
Del : « Oui petit frérot, c’est bien moi, alors comment vas-tu ? »
Moi : « Bonjour, moi ça va, et toi tu es où, tu es avec Stéphanie ? »
Del : « Oui, je suis chez elle. Pourquoi cette question ? »
Moi : « C’est pour avoir des nouvelles de Julien, je ne sais pas le contacter, je n’ai pas son numéro de téléphone. Comment va-t-il ? »
Del : « Ah, c’est donc ça que tu es si pressé de parler, (à voix basse elle ajoute) il te manque ton petit copain, ton amoureux ! »
Moi : « T’es conne, bien sûr qu’il me manque. Dis-moi, il est là Julien ? »
Del : « Oui grand béta, je vais te le passer mais passe-moi d’abord maman, Julien c’est après. »
Moi : « Ok, mais t’es vache tu sais, me laisser pas languir comme ça, quelle torture (sur un ton humoristique). Voilà, j’appelle maman. »
Mamannnn, mamannnn, téléphone, c’est Delphine !
Maman prenait alors le combiné et je lui avais dit que je devais le reprendre car j’avais encore quelque chose à dire à Delphine.
Après dix bonnes minutes de blabla entre filles, maman m’avait appelé : « Philippe, tu peux venir pour ravoir ta sœur, elle est au téléphone ».
Enfin j’allais pouvoir entendre Julien, lui parler, lui poser un tas de questions.

Moi : « Allo, Julien ! »
Del : « Attend, je te le passe. »
Jul : « Allo, Philippe. Il y a longtemps. »
Moi : « Salut Julien, oui même trop longtemps. Et toi comment vas-tu ? »
Jul : « Moi ça va, j’ai repris les cours, mais je ne suis pas bien, je déprime un peu ! »
Moi : « Ah, mais pourquoi, tu as des problèmes avec tes parents ou autre chose ? »
Jul : « Non, ce n’est pas ça. Je…ne…sais pas…comment te    dire, je…tu…me manques ! »
Moi : « Julien…si tu savais…je ne pense qu’à toi…tu es dans ma tête tout le temps ! »
Jul : «  Je pensais que tu ne voulais plus de moi, je m’aperçois qu’il n’en est rien. Je t’aime ! »
Moi : « Oh tu sais Julien, je t’aime aussi. C’est moi qui suis con, je ne t’avais même pas demandé ton numéro de téléphone, qu’est-ce que je peux être con des fois ! »
Jul : « Ne dis pas ça, j’aurais du y penser aussi. Tu vois Phil, on est con tous les deux ! »
(Eclats de rire des deux côtés de la ligne)
Moi : « Eh, donne-le-moi, car si je dois attendre ma sœur, on n’est pas encore sorti de l’auberge ! »
Jul : « Tu as de quoi noter ! »
Moi : « Oui, vas-y »
Jul : « Voilà : ------------. »
Moi : « Merci Julien, comme ça on pourra se parler sans devoir attendre des plombes ! »
Jul : « Que je suis content de t’entendre. Dis c’est quand que tu peux venir à la maison ? »
Moi : « Je ne sais pas, le prochain week-end, si ça va pour tes parents. »
Jul : « Ok, ils ne sont pas ici maintenant, je te contacte d’ici peu. Mais je pense que ça va le faire. »
Moi : « Oh, je t’aime tu sais mon Juju, vivement qu’on puisse se voir, se toucher, se branler et même plus mon petit cochon que j’aime. »
Jul : « T’es un gros malade Phil, mais je suis partant pour faire toutes des cochonneries avec toi mon petit cochon pervers d’amour. »
Moi : « Salut mon homme, je t’aime, à plus ! »
Jul : « Salut mon Phil d’amour, je t’aime aussi. A plus. »

Nous avions raccroché en même temps.



Re : JULIEN (ado - gay) - Tonton Tim - 21-07-2020

Bonjour Philou,

Un petit mot pour t’encourager sur la nouvelle plateforme que tu as choisie... Après mon retour de la sablière ...

Dommage que tes textes ait été évincés de scribay...où je me suis également inscrit ...
J’ai changé mon pseudo de TimideBelge en Tonton Tim Au passage.

Bon travail pour la suite...

Tonton Tim


Re : JULIEN (ado - gay) - bech - 27-07-2020

Philou, je n'avais pas l'habitude de suivre tes histoires. Peut-être à cause d'un mauvais titre pour le camp scout, alors que le récit ne concerne qu'une petite partie du début.

J'avais peut être déjà lu quelques chapitres du début de Julien, mais moins que ce que tu as republié cette fois-ci.

Donc, cette réédition sera l'occasion de me pencher sur cette histoire dont le début est sympa.


Tonton Tim, tu serais donc allé à un camping du Gard près d'une rivière où on ne s'embarrasse pas de truc inutiles ?


Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 28-07-2020

Merci Bech,

je pense continuer à publier le récit, mais je dois l'adapter. Donc relire et revoir certains chapitres.
Merci de suivre le récit.
Philou


JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 28-07-2020

J’étais heureux, j’avais entendu Julien. Il m’aimait toujours, il ne m’avait pas oublié, mon cœur battait la chamade.
Il fallait que je me calme, ne pas attirer l’attention, car mes parents n’étaient pour au courant de ma liaison avec Julien ni même de celle qu’entretenait ma sœur Delphine avec Stéphanie, la sœur de Julien.

Je m’étais mis en tête de mettre la table et d’aider maman pour préparer le dîner avec elle en attendant papa qui devait rentrer dans les 20 minutes qui venaient.

Une fois le dîner terminé, j’avais aidé maman à débarrasser la table. Puis elle me regarde et me dit : « Toi tu as quelque chose à demander. »
Je lui avais répondu : « Mais non, … mais si, …mais bon, si vous êtes d’accord toi et papa, pour le week-end prochain, Julien, le frère de Stéphanie, l’amie de Delphine, m’invite chez lui. Ses parents doivent confirmer par téléphone. »
Maman : « Pour moi, pas de problème, vas demander à ton père, il est au salon. »
Moi : « Merci maman. »
Je donnais un bisou à maman et je m’étais rendu au salon pour en parler à mon père.
Moi : « Papa, maman m’a dit de venir te voir, car je dois te demander si tu es d’accord pour que je puisse aller le week-end prochain chez Julien. Julien, c’est le frère de Stéphanie, Stéphanie est l’amie de Delphine. »
Papa : « Maman est d’accord ? »
Moi : « Oui, elle voulait avoir ton avis et ton accord. »
Papa : « Pour moi c’est bon, seulement si tu fais attention à bien étudier, n’oublie pas que tu es en dernière année ! »
Moi : « Papa, ne t’inquiète pas, je sais que c’est très important pour moi et mon avenir, alors je compte bien fini l’année sans échec tu sais ! »
Papa : « Ok mon grand, je te fais confiance. Aller, viens près de moi que je te fasse un gros câlin mon fils chéri »
Moi : « Oh, merci papa, je t’aime tu sais. »
Papa : « Et moi aussi mon gros béta. »
Maman n’était pas loin, elle était venue nous rejoindre en disant :
« Tu es bête Philippe, je t’aime aussi tu sais mon grand garnement. »
Moi : « Je vous aime tous les deux très fort, merci de votre amour. Et j’aime aussi mon frère Olivier et ma sœur Delphine bien sûr ! »
Nous avions tous les trois bien rit de bon cœur.
J’avais salué mes parents avant de monter pour aller dans ma chambre et y rester jusqu’au coucher.

Je passais par la salle de bain pour y prendre ma douche et me laver ensuite les dents. Une fois mes libations terminées, je regagnais, nu, ma chambre pour me mettre dans mon lit sous la couette. J’avais pris un livre et je m’étais mis à lire durant une bonne heure.
Pour je me remis une nouvelle fois à penser à Julien, aux propos échangés avec les copains. Puis l’image de Julien au bord de la piscine il y a déjà plusieurs jours de ça, avaient fait comme un élément déclencheur, mon anatomie s’était réveillée et je bandais comme jamais. Je voulais pouvoir être dans les bras de Julien et faire avec lui la bête à deux dos ! N’y tenant plus, j’avais mis ma main droite sur mon vis et je m’étais mis à me masturber d’une façon assez lascive, prenant le temps de bien passer sur le frein, de me caresser les bourses avec l’autre main, et de me procurer des sensations forts agréables. Je titillais ma rondelle, je laissais mon doigt pénétrer mon anus et le pistonner avec des mouvements de va et vient. Puis n’y tenant plus, j’avais accéléré les mouvements masturbatoires sur mon pénis pour laisser jaillir 5 jets puissants de sperme qui vinrent s’écraser sur mon torse et mon ventre. Avec mon index je prenais mon nectar pour le porter à ma bouche. J’en pris le plus possible. J’avais pris au préalable soin d’avoir à portée de main un mouchoir pour essuyer le reste du sperme. Je ne voulais pas salir les nouveaux draps propres !

Le lendemain matin j’avais quitté la maison pour me rendre à l’école. En arrivant au bahut j’avais vu que Joseph et Jacques étaient déjà là. Ils parlaient avec Amandine, une de mes copines également. Nous nous fîmes la bise.
Puis amandine me regardait et elle m’avait dit : « Ah, voilà le Philippe que j’ai toujours connu, tu as l’air d’aller bien mieux ce matin si je ne me trompe ! »

Moi : « Oui Amandine, merci de faire attention à moi, mais c’est vrai je vais beaucoup mieux depuis hier soir que ces derniers jours. »

Jac : « Oui, Philippe, tu as l’air d’être plus relax. »

Jos : « Oui tu as raison Jacques, Philippe tu sembles aller beaucoup mieux. »

Jac : « Je pense que tu as passé une très bonne nuit et donc que les nouvelles sont bonnes ! » Jacques avait un petit rictus aux lèvres.

Moi : « Oui, c’est ça, aller les mecs, lâchez-moi la grappe ! » (Je pense que je piquais un phare à la suite des paroles de Jacques.)

Aman : « Mais t’inquiètes mon Philou, on t’aime comme tu es. »

Je me demandais bien ce qu’Amandine voulait bien dire. Se doutait-elle de quelque chose, savait-elle que j’avais une liaison avec un garçon. Je me posais de nouveau plein de questions.
Voilà Jean qui arrive. A peine le temps de la saluer que nous devions nous dépêcher pour rejoindre la salle de cours, la cloche sonnait.

La matinée s’était déroulée dans une bonne ambiance. Pour une fois les profs n’étaient pas trop sur notre dos, j’avais eu une bonne remarque relative à un devoir corrigé, bref que demander de mieux. A midi cantine et la même tablée avec Jacques, Joseph, Jean et Amandine qui pour une fois avait laissé ses copines en plan ! Nous parlions de chose et d’autre et je m’efforçais de ne pas trop regarder Jacques. Jacques est un très bon copain que je connais depuis des années, de plus c’est un beau gosse, mais je ne veux pas qu’on sache que j’aime les mecs. Puis j’ai Julien que je vais revoir le week-end. En regardant Jacques, je me disais que je préfère le garder comme très bon copain que de venir semer le trouble au sein de notre amitié.

Amandine, une nouvelle fois me regarde et me dit : « Je vois que tu es encore une fois dans la lune mon Philou, serait-ce l’amour ! »
Les autres se mettaient à rire et moi, comme un gosse pris la main dans le sac, je commençais à rougir en disant : « Mais non Amandine, que vas-tu chercher là. Et puis de qui veux-tu que je tombe amoureux si ce n’est de toi ! » Encore une fois nous nous étions mis à rire de bon cœur.
Le repas terminé nous nous retrouvions dans la cour de récré où nous nous étions installés sur un muret pour discuter de comment refaire le monde, etc. Nous attendions la sonnerie pour la reprise des cours de l’après-midi.

Contrairement à la matinée, l’après-midi était interminable. Le temps paraissait très long. Je pensais sans arrêt que ce soir j’aurai un appel téléphonique de Julien confirmant l’invitation du week-end. Nous n’étions que le jeudi après-midi. Le cours de français avait été suivi par celui de chimie. Enfin la sonnerie signalant la fin des cours avait retenti ! Il était temps, je ne tenais plus en place.

Jacques m’avait accompagné jusqu’à l’arrêt de bus. Nous bavardions ensemble quand Jacques me demanda : « Alors tu as eu des nouvelles de ton ami ? »

Moi : « Oui, j’ai pu l’avoir au téléphone, nous avons parlé et j’ai son numéro, je suis content. »

Jac : « Oui, je l’ai bien vu au matin. Amandine l’a directement remarqué. »

Moi : « Penses-tu qu’elle soit au courant de mon orientation sexuelle ? »

Jac : « Phil, je n’en sais rien et de toute façon ce n’est pas moi qui dirais quelque chose, s’il faut qu’elle soit au courant ce sera par toi ! »

Moi : « Merci Jacques, tu es un super copain, je dirais même plus, un ami ! »

Jac : « Ca va arrêtes, tu sais que je serai toujours à tes côtés ! »

Moi : « Oui Jacques, et moi c’est la même chose, si un jour tu as besoin de moi, n’hésite pas ! »

Jac : « Phil, je n’en doute pas, j’ai toujours su que tu étais pour moi plus qu’un copain, on est comme des frères ! »

Moi : « Jacques, tu vas me faire pleurer. » (Sur le ton de l’humour.)

Jac : « Bon et ton ami, je ne connais même pas son nom ! »

Moi : « C’est Julien, et tu sais quoi, on se verra tout le week-end, j’ai été invité chez lui ! »

Jac : « C’est super, je suis content pour toi ! »

Moi : « Voilà mon bus. A demain mon ami ! »

Nous nous fîmes la bise.

En entrant dans le bus, je m’étais retourné et j’ai vu que Jacques avait sorti un mouchoir de sa poche et qu’il avait essuyé ses yeux. Jacques pleurait, mais pourquoi. Je n’avais rien dit de particulier. J’avais été heureux de pouvoir parler avec lui ouvertement de notre amitié, il était content pour moi de ma relation avec Julien. Mais pourquoi pleurait-il !

Durant tout le trajet, je ne pensais qu’à Jacques. Puis en arrivant à l’arrêt de bus près de la maison j’ai pensé à l’appel téléphonique que je devais avoir de Julien.
J’étais rentré et j’avais été voir s’il n’y avait pas de message sur le répondeur. Rien, aucun message.



Re : JULIEN (ado - gay) - bech - 28-07-2020

Jacques aurait-il des sentiments non avoués pour Philippe ?


Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 28-07-2020

Salut Bech,
Jacques est dans la même classe que Phil. Ils se connaissent depuis près de six ans!
Nous en aurons plus dans les suites à venir, mais il se pourrait ....
Merci pour ton com.
Philou



JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 30-07-2020

J’étais assez fébrile, je savais que les parents de Julien devaient prendre contact avec les miens pour donner leur accord pour passer le week-end chez eux.

J’avais décidé de me délasser pour ne pas trop penser à Julien, je m’étais donc dévêtu et je m’étais plongé dans la piscine, nu comme d’habitude.

Au fur et à mesure que le temps passait, je repensais à ce que Jacques m’avait dit et à son état lorsque nous nous étions quittés à l’arrêt de bus. Pourquoi Jacques pleurait-il ?  En y repensant, nous avions parlé entre autres de Julien, Jacques était-il jaloux de Julien que j’allais retrouver ? Jacques avait-il des sentiments pour moi ? Ah merde ! Si c’est ça j’étais mal. Je n’avais rien remarqué de spécial lorsque j’étais en sa compagnie. Il me regardait souvent, mais sans plus, enfin du moins il me semblait.

Maman rentra la première, avant papa. Elle ne me trouvait pas, elle n’avait pas vu que j’étais dans la piscine. C’est lorsqu’elle appela à l’extérieur qu’elle s’est rendue compte de ma présence dans l’eau.

Mam: Bonjour Phil, je me demandais où tu étais, je n’avais pensé que tu étais à l’eau dans la piscine. Comment s’est passé la journée ?

Moi : Bonjour maman, pour moi une bonne journée sans plus ; et pour toi le boulot ?

Mam: Merci, j’ai passé une excellente journée, sans trop de problèmes avec les clients.

Moi : Je pense que c’est ce soir que les parents de Julien vont téléphoner !

Mam :  Oui, si c’est comme tu me l’avais dit.

Moi :  J’espère qu’ils diront oui, j’ai hâte de revoir Julien, c’est un chouette copain tu sais !

Mam :  Ne t’inquiète pas comme ça, je ne vois pas pourquoi il y aurait un problème pour que tu puisses aller passer le week-end chez eux.

Moi :  Merci maman, mais j’ai hâte de savoir quoi.

Mam :  Allez, sors de l’eau, nous allons bientôt préparer le repas et ton père ne va pas tarder.

Moi :  Oui maman, je sors. »  « Tu peux me passer le drap de bain s’il te plait.

Mam :  Voilà mon grand garçon.

Maman me tendit donc la serviette de bain pour que je puisse m’essuyer. Je remontais alors nu dans ma chambre pour me rhabiller.

Papa est rentré assez tôt du travail. Nous étions prêts à passer à table lorsque le téléphone retentit. C’est papa qui décrocha.

Papa :  Allo.

Mr D :  Allo, oui c’est Mr Pierre Demoulin, le papa de Julien.

Papa :  Ah oui, bonsoir.

Mr D :  J’ai appris que votre fils Philippe avait été invité par Julien pour passer le week-end prochain à la maison, pour moi il n’y a aucun problème.

Papa :  Merci, c’est très gentil d’accueillir mon fils chez vous. Je dois dire que le séjour de votre fils Julien chez nous il y a quelque temps s’était très bien déroulé. Julien est toujours le bienvenu à la maison.

Mr D :  Je vous remercie. Philippe est donc attendu demain vendredi pour souper, soit vers 19h00.

Papa :  Très bien, Philippe sera donc là vers 19h00 demain.

Mr D :  A demain et bonne soirée.

Papa :  Merci bonne soirée à vous également.

Papa revenait à table et je voyais à son regard que c’était ok pour le week-end. Papa me dit alors que je devais être chez Julien demain à 19h00. J’étais très heureux de cette très bonne nouvelle. J’avais hâte d’être à demain soir, mais bon, ne précipitons pas les choses.

Nous étions passés à table, maman, papa et moi. Nous avions parlé de mon frère Olivier qui n’était plus passé à la maison depuis plusieurs semaines. Papa pensait qu’il était encore en vacances avec sa compagne Julie. Puis nous avions discuté du week-end qui allait venir, week-end que j’allais passer chez Julien.
Une fois le repas terminé, j’ai donné un coup de main à maman pour débarrasser la table. J’avais ensuite regardé le journal télévisé avec papa. Nous avions discuté un peu des actualités. Puis j’avais salué maman et papa et je leur avais donné un bisou avant de monter dans ma chambre.
J’avais mis un disque de Neil Young pour changer. Je m’étais allongé sur mon lit et je me suis mis à penser. Pourquoi Amandine m’avait-elle dit qu’elle m’aimait comme je suis, pourquoi Jacques pleurait-il après que je sois monté dans le bus. Amandine avait-elle compris que j’aimais les garçons ! Mais le plus flippant, c’est que je ne savais pas pourquoi Jacques pleurait. Puis je me remémorais toutes les activités que j’avais faites avec lui, nous nous connaissions depuis que nous étions en classes de primaire. Nous avions régulièrement joué ensemble, il était souvent venu à la maison et moi je m’étais souvent rendu chez lui. Nous avions dormi souvent dans le même lit sans n’avoir jamais rien fait. Nous faisions du sport ensemble, nous prenions nos douches ensemble, et… Ah, voilà, je me souvenais qu’une fois je l‘avais surpris à me regarder lorsque j’étais sous la douche. Nous avions 15 ans. Je n’y avais pas prêté plus attention que cela. Puis en y réfléchissant bien, ce n’était pas la seule fois où je l’avais surpris à me dévorer des yeux. Voilà, Jacques avait des vues sur moi, il était amoureux de moi et je ne m’en étais pas préoccupé plus que ça. Je gambergeais, je savais que Jacques était quand même un beau garçon, il était aimable, gentil et très avenant. Je l’appréciais pour ça d’ailleurs. Mais c’était, pour moi, seulement un copain, même je dirais un ami. Mais pourtant j’aime Julien. Je n’avais que Julien dans la tête et maintenant voilà que Jacques avait mis le trouble dans ma tête. Puis flute, il faut que je me concentre, j’aime Julien et je devais le retrouvé demain pour passer le week-end avec lui.
Une fois un peu calmé, je m’étais mis nu, j’avais été prendre ma douche et me brosser les dents. Je me suis mis au lit et je me suis endormi en pensant tour à tour à Julien et à Jacques.



J’ouvrais les yeux, il commençait à faire très clair. Il était 06h48 au réveil. Je m’étais levé, on était vendredi et le soir je devais retrouver Julien chez lui, pour passer le week-end avec lui et sa famille.
Je m’étais préparé pour aller à l’école. J’avais avalé un bout de pain et bu une petite tasse de chocolat chaud.
Dans le bus, je m’étais mis à penser à la soirée et au week-end que j’allais passer avec Julien. Puis, je ne sais pas pourquoi, je m’étais dit, à merde, quelle va être l’attitude de Jacques ce matin ; je l’avais oublié celui-là. Hop, je descendis du bus et je m’étais rendu à l’école. De loin je vis Amandine, Joseph et Jean. Jacques n’était pas encore arrivé. Je m’étais approché et leur avais fait la bise. Nous parlions de la soirée, des cours que nous devions avoir durant la journée, etc.
Jacques était arrivé juste au moment de la sonnerie de début des cours. Nous n’avions donc pas eu le temps de parler avec lui.

La matinée s’est bien passée dans l’ensemble. A midi nous nous étions retrouvés à la cantine les 3 « J », moi et en compagnie d’Amandine.
Jacques était assez distant, il ne parlait pas beaucoup, il était comme dans la lune. Même Amandine se demandait ce qui se passait. Elle lui a même dit :
Alors Jacques, ça n’a pas l’air d’aller !

Jac :  Mais non, ça va, je suis juste un peu barbouillé !

Jean :  Oui c’est ça, il y a autre chose.

Jac :  Mais non, c’est juste un petit passage à vide !

Moi :  T’inquiètes Jacques, ça va passer !

Aman :  Allez, laissez-le, vous voyez qu’il n’est pas dans son assiette !

Jac :  Ça va, laissez-moi un peu de répits !

A l’issue du repas nous nous étions retrouvés dans la cours de récré, sur un banc. Nous avions commenté les cours du matin et nous devions nous préparer au cours d’EPS.
Perso, je n’aime pas avoir un cours d’EPS après le repas de midi. Enfin nous verrions bien ce qu’il en résultera, c’était un nouveau prof. Il s’appelait Rémi.

Juste à la sonnerie prévenant la reprise des cours de l’après-midi, nous avions entendu que l’horaire avait été changé, que le cours d’EPS aurait lieu après l’heure de philo. Bon, on verrait bien.

L’heure de philo étant passée, nous nous étions rassemblés au vestiaire de la salle de sport pour le cours d’EPS. Nous nous changions et nous mettions un short bleu et un tee-shirt blanc. Pour les baskets, c’était comme on voulait.
Le nouveau prof, Rémi, se présenta et demanda aux élèves ce qu’ils pratiquaient comme sport. Puis pour mettre tout le monde dans le bain, il avait décidé de faire un cross dans la cours de récré, soit 10 tours de la cour. Ensuite, nous nous étions rassemblés dans la salle de sport où nous avions joué au mini foot.
A l’issue du cours d’EPS nous avions été invités à prendre une douche, sous le conseil de Rémi, le prof.

Direction les vestiaires et donc vers les douches évidemment !

Comme certains, j’étais habitué et vite je me suis déshabillé pour me présenter nu dans la salle de douche. J’ai vu que Jacques traînait dans les vestiaires, avait-il peur de se montrer à poil devant les autres. Bref, il s’était désapé et était venu nous rejoindre dans les douches. Jacques avait un sexe de taille moyenne, non circoncis avec des poils noirs au pubis. Il était pas mal comme mec, mais je ne voulais pas attirer l’attention vers moi en mâtant Jacques. De son côté Jacques mâtait l’intimité des autres élèves et en particulier mon intimité. Je pouvais donc en déduire que Jacques était attiré par mon corps et donc ma personne. Je me posais donc la question du pourquoi, depuis le nombre d’années que nous nous connaissions.

Je terminais de m’essuyer quand Jacques est revenu dans le vestiaire. Il se cachait derrière son drap de bain. J’ai de suite pensé qu’il devait bander. Je l’avais laissé ayant terminé de m’habiller. J’étais sorti des vestiaires et j’avais attendu que Jacques sorte avant de rejoindre l’arrêt de bus.

J’entamais la conversation et j’osais alors lui poser quelques questions.

Moi :  Alors Jacques, ça n’a pas l’air d’aller, tu étais fort distant aujourd’hui au bahut, c’est comme si quelque chose te tourmentait.

Jac :  Mais non, que vas-tu encore penser, il n’y a rien !

Moi :  Je te connais, tu es mon ami et je vois bien que tu n’es pas dans ton assiette, as-tu un problème à la maison ?

Jac :  Non Phil, il n’y a rien, c’est que je suis un peu fatigué en ce moment.

Moi :  Si quelque chose te chagrines, n’hésites pas, je suis toujours là pour t’aider ou pour te remonter le moral !

Jac :  Non, ça ira, ne t’inquiètes pas.

Moi :  Mais Jacques, je suis inquiet !

Jac :  Phil arrête, il n’y a rien que tu puisses faire pour moi pour le moment.

Moi :  Ok, je te laisse, mais sache que je suis là et que tu peux toujours compter sur moi.

Jac :  Merci Phil, je sais que tu es un très bon copain, un ami pour moi. Ne t’inquiète pas.

Voilà le bus qui arrive et je vais donc devoir quitter Jacques à regret, ne sachant pas ce qu’il y a, mais je m’en doute très bien. Il est amoureux de moi !

Moi :  Salut Jacques. Bon week-end, à plus.

Jac: A toi aussi, passé un bon week-end.

Nous nous donnions la bise et je montais dans mon bus.
Une nouvelle fois je devinais que Jacques commençait à pleurer, car il avait pris son mouchoir dans la poche de son pantalon et  il se frottait les yeux.

Je ne savais plus que penser. Dans le bus je me posais une nouvelle fois un tas de question. Comment est-ce possible que Jacques soit amoureux de moi. Comment sortir de cette histoire, j’étais amoureux de Julien. Je ne savais plus quoi imaginer pour convaincre Jacques que ce n’est pas possible que je puisse avoir une relation avec lui. C’est mon ami, un très bon ami, mais mon cœur était déjà pris !



Re : JULIEN (ado - gay) - emmanolife - 30-07-2020

Il est un peu lourd, Phil, parfois.
Je découvre le récit, que je n'avais pas lu dans Docti.
Merci, Philou0033.


Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Ivan055 - 30-07-2020

(30-07-2020, 03:11 PM)emmanolife link a écrit :Il est un peu lourd, Phil, parfois.
Je découvre le récit, que je n'avais pas lu dans Docti.
Merci, Philou0033.

Personnellement je ne le trouve pas lourd, après chacun sa vision des choses