17-07-2024, 06:39 AM
Coucou les gens,
Avant que le site Gay-Eros ne disparaisse, je fus le bêta-lecteur de Tom frack (l'un des auteurs de ce site) et je vais réédité ses écrits, ici, dans la rubrique gay, même si il s'y trouve parfois une (rare) présence féminine.
Bonne lecture !
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Ma copine vient de me jouer un sale tour,
Par Tom Frack
Ma copine vient de me jouer un sale tour, la garce… Nous sommes ensemble depuis un peu plus de trois mois et c’était son anniversaire. J’avais donc décidé d’organiser un dîner romantique en tête-à-tête. Malheureusement, tout ne s’est pas déroulé comme prévu.
Je m’appelle Tom, j’ai 22 ans et je suis étudiant en sciences à la fac de Montpellier. Sportif, la pratique active de l’aviron, complétée par des séances régulières de musculation, m’ont sculpté un corps musclé et ferme. Ma copine, Christelle, une blonde aux cheveux longs, m’arrive à peine à l’épaule bien qu’elle ne soit pas pour autant petite. Menue, sexy et peu farouche (comme je les aime), elle adore mes yeux bleu profond, comme elle dit, mais surtout mon torse recouvert de poils drus, aussi blonds que mes cheveux coupés courts.
La soirée avait plutôt bien commencé, je l’avais invitée chez moi pour partager un dîner commandé chez un traiteur réputé qui se révéla tout aussi exquis que ma compagne dans sa robe très ajourée. Le champagne coulait à flot et la conversation douce et sensuelle, nous échauffait peu à peu. Juste après le dessert, un délicieux fraisier que nous avalâmes les yeux dans les yeux à la seule lueur des bougies, elle me confia désirer réaliser l’un de ses fantasmes ce soir, mais que pour cela elle souhaitait que je lui donne mon accord sans en connaître la teneur. Un peu surpris, mon esprit légèrement embrumé par l’alcool n’opposa cependant guère de résistance devant son air suppliant. Devant mon acceptation, un sourire illumina son visage et je fondis de la voir si heureuse.
Elle se leva, fit le tour de la petite table ronde recouverte d’une épaisse nappe de coton rouge, et s’approcha de moi. Prenant ma main, elle la glissa sous sa robe fendue et l’apporta jusqu’à son sexe humide pour que je la caresse. Elle s’assit sur le bord de la table et se cambra et gémissant sous la pression de mes doigts, s’accrochant fermement aux bords du plateau de bois. Je ne l’avais jamais vu dans cet état, mais elle n’en était à mes yeux que plus sexy et désirable. Le boxer blanc, seul sous-vêtement que je portais sous mon costume sombre, se révélait de plus en plus étroit et inconfortable, se tendant sous la pression de mon sexe en perpétuelle expansion.
N’y tenant plus je me levai à mon tour et me plaquai contre elle, cherchant sa bouche tout en continuant de la caresser. Elle me repoussa, un sourire sensuel aux lèvres et descendit du bord de la table. Prenant ma main, elle me guida jusqu’à la chambre. Les bougies que j’avais allumées un peu partout dans la pièce diffusaient une lumière tamisée, éclairant le grand lit pourvu d’une tête en fer forgé qui trônait au centre de la pièce. Sans un mot, elle m’entraîna sur un côté du lit, l’arrière de mes mollets bloqué contre le bord du matelas et, nouant ses mains derrière mon cou, elle m’inclina la tête pour m’embrasser passionnément. Comprenant son souhait de mener le jeu, je la laissai faire, excité bien que peu habitué à la passivité. S’écartant de moi, elle me sourit, me retira la veste de mon costume, puis posa ses mains sur mon torse et poussa d’un coup sec. Surpris, je basculai, m’étalant de tout mon long en travers du lit. Elle laissa choir la veste au sol avant de s’installer à califourchon sur moi, son sexe frottant contre le mien tendu à l’extrême sous les couches de tissu. Saisissant les pans de ma chemise, elle tira d’un coup sec, arrachant les boutons qui jaillirent en tous sens à travers la pièce. Les boutons des poignets toujours attachés l’empêchèrent de me l’ôter complètement, aussi me retrouvai-je les mains bloquées dans le dos par les lambeaux du vêtement.
Ses doigts caressèrent mon torse, ses ongles excitèrent douloureusement mes tétons et je me cambrai pour plaquer mon bassin contre se sien. La boucle de ma ceinture ne résista qu’une seconde et la lanière de cuir noir glissa dans les passants quand elle tira dessus. Le bouton de mon pantalon s’ouvrit à son tour sur mon ventre plat et musclé puis le vêtement glissa le long de mes jambes et atterrit sur le sol. À cheval sur le mince rempart que constituait mon boxer de coton blanc, Christelle ondulait des hanches m’excitant à la limite du supportable. En quelques gestes, elle se débarrassa à son tour de sa robe, seul vêtement qui recouvrait son corps. Je voulais caresser ses seins, sa taille, mais mes mains prisonnières de ma chemise m’en empêchèrent. Elle s’allongea sur moi et m’embrassa furtivement sur la bouche et bien qu’en souhaitant d’avantage, je ne pus l’y contraindre à cause de mes entraves.
Elle descendit le long de mon corps, l’embrassant, le léchant. Lorsqu’elle arriva à mon boxer, elle le baissa à demi, laissant jaillir mon sexe tendu au maximum. Elle happa la vingtaine de centimètres de chair dans sa bouche me procurant des caresses buccales dont elle seule avait le secret. Les yeux fermés, je profitai de l’instant, ne sachant trop si je parviendrais à me contenir très longtemps. Elle s’exécutait encore quand je crus entendre le son de la porte. Je ne me souvenais plus l’avoir verrouillée, mais avant que je puisse réagir, elle s’empala entièrement sur moi, m’arrachant un râle de plaisir quand ses chairs humides frottèrent le long de ma hampe. Elle commença à bouger lentement, se cambrant pour me recevoir entièrement.
J’ouvris les yeux pour la regarder prendre son plaisir et crus à une hallucination lorsque je perçus un individu dans l’encadrement de la porte de la chambre et il me fallut quelques minutes encore pour me rendre compte que je le connaissais, du moins pour autant que l’on puisse connaître l’ex de sa copine. Comment s’appelait-il déjà… Franck, il me semblait, mais que faisait-il là, en jean et torse nu, en train de nous observer.
Je me redressai autant que je le pus compte tenu de mes mains liées, mais avant de parvenir à émettre le moindre son, Christelle plaqua ses mains sur mes épaules et me repoussa sur le lit avec une force que je ne la soupçonnais pas de posséder. Plongeant son regard dans le mien, elle m’intima l’ordre de me taire, après tout, n’avais-je pas donné mon accord à la réalisation de son fantasme. Je ravalai ma fierté, ne souhaitant pas la décevoir et lui rendis un sourire timide. Les mains sur mes épaules, elle me maintenait toujours fermement plaqué sur le dos tout en continuant à s’empaler sur moi. J’essayais de prendre le même plaisir qu’elle mais la situation me gênait.
Pourquoi son ex était-il ici? Je l’avais rencontré pour la première fois au cours d’une fête, un mois auparavant, bien après qu’il se soit séparé de Christelle. La trentaine ou presque, il travaillait dans le bâtiment ou dans les travaux publics, je ne savais plus très bien. Grand, brun aux yeux noirs, la peau hâlée par le soleil, Cristelle me l’avait présenté comme mon opposé, à l’exception du physique m’avait-elle dit, car elle aimait les hommes grands, bien bâtis, larges d’épaules, au ventre plat et bien membrés.
Je vis ses larges mains brunies par le soleil apparaître sur les épaules de mon amante puis descendre sur ses épaules et saisir ses seins ronds et fermes. Le matelas s’affaissa à gauche puis à droite comme il y montait à genou, collant son corps musclé et élancé contre celui plus frêle de ma compagne. Posant son menton sur l’épaule de la jeune femme, il riva son regard au mien, ses yeux sombres me paralysant presque. Il avait cette présence, cette aura que possède le mâle alpha d’une meute et qui fait que tous les autres se soumettent à sa volonté. Tout en me regardant, il chuchotait à l’oreille de Christelle des paroles que je ne perçus pas. Elle hocha la tête et exhala un oui presque suppliant à ses mots et je vis un sourire torve se dessiner sur les lèvres de l’homme.
Il se redressa légèrement, ses mains abandonnant la poitrine palpitante qu’elles caressaient puis je compris qu’il se passait quelque chose quand je perçus une pression non loin de mon sexe profondément enfoui dans celui de ma compagne et que je la vis serrer les dents et se cambrer. D’une poussée ferme et virile, il la fit s’affaler sur moi comme il se frayait un chemin entre ses fesses fermes et rebondies. La lente progression ne dura que quelques secondes avant qu’il ne la sodomise totalement en deux coups de butoir puissants. Bien au fond d’elle, il s’allongea sur nous, leurs deux corps pesant lourdement sur le mien. Cristelle redressa la tête et je compris, aux larmes qu’elle avait aux yeux et à son sourire extatique que son fantasme était en train de se réaliser. Il riva à nouveau son regard au mien et imprima son rythme à notre trio, arrachant des râles de plaisir à son ex-fiancée. Il continuait de lui murmurer des choses à l’oreille mais je parvenais à présent à en saisir des brides. Il la félicitait, la complimentait sur sa résistance, son obéissance, et de m’avoir choisi.
De mon côté, je ne parvenais pas à comprendre pourquoi j’acceptais la situation. Certes, j’aimais Christelle et en ce jour, je souhaitais par-dessus tout lui faire plaisir et mes mains ligotées limitaient mes mouvements, mais il n’empêchait que j’aurais dû réagir… Son regard mâle semblait m’en empêcher, me paralyser, me dominer… ou bien était-ce l’abus de boissons alcoolisées… Les mouvements dictés par Franck se poursuivirent, tantôt lents et puissants, tantôt vifs et rapides. Le plaisir montait et redescendait en moi comme je profitais ou m’écœurais de la situation.
Alors que je me questionnais, je sentis une modification dans nos ébats et me raidis comme une chaude pression écartait mes fesses. Je voulus faire comprendre à notre compagnon qu’il se trompait mais son regard et son sourire en coin m’apprirent qu’il n’y avait pas erreur. Christelle, libérée du sexe de son ex-amant m’empêcha de me redresser, m’envoyant un regard sévère comme j’essayais de me relever, et plaqua une main sur ma bouche pour m’empêcher de briser son fantasme d’un éclat de voix. Le membre dur et chaud essayait de pénétrer en moi. Il paraissait énorme et vu les exigences de Christelle en la matière, il devait réellement l’être. Je lui barrai le passage, resserrant mon sphincter au maximum quand d’une main ferme, Franck me tira violemment les testicules. De surprise, mon anus se relâcha et un pieu énorme s’y introduisit de force. Je me cabrai, mais fermement maintenu par mes amants, je retombai bientôt sur le dos, la main de Christelle m’empêchant toujours de crier. Je me calmai, attendant mon heure. Lorsqu’il se retirerait afin de me limer, je pourrais les repousser mais je ne pus empêcher que des larmes ne perlent aux coins de mes yeux.
Cependant, je compris rapidement mon erreur. N’ayant jamais été sodomisé, je n’en connaissais pas les sensations. Je croyais naïvement que la douleur ressentie était due à son intrusion complète dans mon fondement. Aussi, abandonnai-je l’espoir de le repousser lorsque je sentis l’énorme matraque poursuivre lentement sa progression. Je perdis toute notion du temps et je ne parvins à rassembler mes idées qu’une fois que je sentis ses testicules frapper contre moi. Il resta immobile, au fond de moi. Je respirais par à coup, encaissant le choc de me faire prendre là, dans mon lit, dans les bras de ma copine et avec son consentement. Je me sentais trahi, humilié, mais je me rendis compte que je n’en avais pas pour autant débandé et que je me trouvais toujours en elle. N’osant faire le moindre mouvement de peur de raviver la douleur qui se calmait peu à peu, je me rendis compte que Christelle me murmurait des encouragements à l’oreille. Je ne savais plus que penser d’elle, cette garce m’avait trahi pour réaliser un de ses fantasmes. Elle m’avait donné en pâture à son ex...
Mes réflexions cessèrent brusquement quand je sentis la pression à l’intérieur de moi se dissiper. Il se retirait. Mais avant que je puisse refermer mon anus, il se replanta au fond de moi. La douleur, bien que toujours présente, se fit plus supportable et se dissipa plus rapidement. Il recommença l’opération encore et encore, ses yeux dans les miens. Je me détendis malgré moi et la situation, qui quelques minutes auparavant m’apparaissait scabreuse m’excita comme jamais. Je n’avais jamais été attiré par les hommes, tout juste avais-je envié quelques corps musclés lors de mon adolescence. Mais Franck semblait m’avoir dompté et le plaisir monta en moi. Ses allées et venues s’accélérèrent. Il se déchaîna sur moi bien plus qu’il ne l’avait fait sur Christelle, il me baisait brutalement, comme si elle n’existait pas. D’ailleurs, elle n’existait plus, ni pour moi, ni pour lui. Un dernier coup et il s’immobilisa au fond de moi, m’inondant les entrailles de ses jets chauds. C’en fut trop, n’y tenant plus, je me libérai dans le ventre de notre amante avant de sombrer dans un état second, épuisé physiquement et moralement par les derniers évènements.
***
Je ne me réveillai que le matin suivant, dans la même position, entièrement nu, les mains toujours entravées par ma chemise en lambeaux. Après les premiers instants de quiétude, les souvenirs de la veille m’assaillirent violemment.
Comme je me redressai brusquement, une douleur sourde et lancinante assaillit mon anus endolori. Je me débarrassai des vestiges de ma chemise et m’approchai lentement de la salle de bain adjacente, ma démarche rendue difficile par la sodomie de la veille. J’ouvris la porte de la douche et m’y glissai, ouvrant le robinet du mitigeur à fond. L’eau très chaude roula sur mon corps nu et je restai immobile sous le jet puissant, les souvenirs se bousculant en moi.
Que s’était-il passé au juste? Que m’avait-elle fait? Que m’avaient-ils fait? Et moi, pourquoi m’étais-je laissé faire? Je m’étais laissé prendre, posséder par un homme que je ne connaissais pas et par un homme tout court. Et le pire demeurait les instants de plaisir intense que j’avais ressentis. Je ne parvenais pas à sortir son sourire, son regard de l’esprit. Il s’était déversé en moi, m’avait définitivement et irrémédiablement marqué. Son sperme se trouvait toujours en moi et j’avais presque l’impression de le sentir. Et nous n’avions pas utilisé de protection. J’étais sûr de moi et de Christelle, mais de lui, non.
Je finis par sortir de la douche 20 minutes plus tard, nouant la serviette dont je m’étais servi pour m’essuyer autour de mes hanches. Je retournais dans la chambre quand, brusquement, je m’interrogeai sur ce qu’étaient devenus mes partenaires de la nuit dernière. Étaient-ils simplement partis ensemble une fois leur forfait accompli? S’en étaient-ils allés chacun de leur côté? Étaient-ils encore ici, quelque part à me guetter pour remettre ça? En vérité, j’étais bien incapable de définir laquelle de ses possibilités je préférais.
Prenant une batte de base-ball accrochée au mur de ma chambre, souvenir d’un lointain voyage aux États-Unis lors de mon adolescence, je me dirigeai à pas de loup vers la pièce principal… Personne. Je gagnais la cuisine… toujours personne. Pas un mot, pas même une trace d’eux. Si les vestiges de notre repas de la veille et la douleur lancinante de mes fesses n’étaient pas là pour en attester, j’aurais pu croire avoir rêvé. Mais je ne faisais pas ce genre de rêve, du moins pas avec un homme.
Après avoir rangé la pièce et débarrassé la chambre des restes de mes vêtements, la fatigue me submergea. Je m’allongeai sur mon lit sans en avoir changé les draps et m’endormis sur-le-champ.
Les rêves sont des choses étranges. Certains disent qu’ils servent à évacuer les tensions de notre esprit avant qu’elles ne nous rendent fous. D’autres pensent qu’il s’agit de l’expression de nos fantasmes les plus profonds. Les miens furent étranges, comme s’ils ne m’appartenaient pas. Je me retrouvai nu sur mon lit et bien je ne sois pas attaché, je ne parvenais à esquisser le moindre mouvement. Il était là, je sentis sa présence avant même de le voir. Il s’approcha au bord du lit. Comme la veille, il ne portait qu’un jean bleu, et se tenait debout, les bras croisés sur son torse musclé recouvert d’une toison de poils bruns tondus courts. Je déglutis péniblement, incapable de parler, il me fixait, détaillant mon corps nu de son regard scrutateur. Ma terreur monta d’un cran quand il prit la parole. N’étions-nous pas dans mon rêve?
— Bonjour Tom, tu n’en as pas eu assez à ce que je vois, tu en redemandes.
Je voulais parler, lui crier que… que quoi au juste… que je ne souhaitais plus jamais ressentir un plaisir aussi intense que celui qu’il m’avait procuré la nuit dernière?
— Le doute, n’est-ce pas? continua-t-il. C’est toujours ainsi, mais habituellement, je ne m’en préoccupe guère. Mais toi… je ne sais pas… le plaisir que j’ai ressenti en entrant en toi hier… elle m’avait dit que je t’apprécierais mais elle ne savait pas à quel point…
Je ne comprenais rien de ce qu’il me racontait, je ne comprenais rien du tout d’ailleurs.
— Qui es-tu? articulai-je péniblement.
— Je suis surpris que tu parviennes à parler, dit-il calmement. Tu ne devrais pas en être capable… Mais laissons cela, je suppose que tu es venu ici pour autre chose.
Il s’assit au bord du lit et commença à me caresser le torse. Sa main descendit encore et encore et saisit mon sexe - bandé à l’extrême. Il fit quelques va-et-vient le long de ma hampe puis sa main s’engouffra entre mes cuisses et je me raidis comme deux doigts s’introduisaient en moi.
— Chut… Chut… calme-toi. On dirait que c’est un peu douloureux, je vais arranger ça.
Je sentis une légère chaleur là où ses doigts m’avaient pénétré et la douleur qui m’empêchait de me déplacer convenablement s’éteignit. Il commença à aller et venir en moi alors que son autre main caressait la toison blonde de mon torse. Cessant ses caresses, il pencha son visage vers le mien et frotta ses joues mal rasées sur les miennes qui, glabres, s’irritaient à son contact. Il prit ma bouche brusquement, y enfonçant profondément sa langue râpeuse, cherchant la mienne. Je me surpris à lui rendre son baiser, lui rendant caresse pour caresse, mordillement pour mordillement. Il se redressa haletant et surpris, et je ressentis un plaisir malsain à l’idée de l’avoir déstabilisé. Mais ce court moment d’égarement ne dura que quelques secondes avant qu’il ne se reprenne.
— Tu as vraiment l’air d’aimer ça, je vais te donner ce que tu es venu chercher.
Il se redressa puis s’installa à genoux entre mes jambes. Je le vis déboutonner son jean et un membre d’au moins 25 cm en jaillit. Je ne l’avais pas réellement vu la veille, j’avais simplement imaginé sa taille et je comprenais mieux maintenant les sensations que j’avais ressenties. Il s’allongea sur moi, son corps chaud pesant de tout son poids. Il était lourd, mais curieusement cela ne m’excitait que d’avantage. Se penchant à mon oreille, il commença à murmurer, comme s’il psalmodiait:
— Je vais te donner ce que tu es venu chercher, je vais m’introduire en toi et te remplir à nouveau, je vais prendre plaisir à me retrouver au fond de toi…
Mon esprit s’embrumait, j’étais un homme, je n’aimais pas les hommes, je ne couchais qu’avec des femmes et ce depuis des années. Je ne pouvais le laisser faire, je… Avant que mon raisonnement puisse prendre une tournure logique, je le sentis entrer puissamment en moi. J’avais bien essayé de l’en empêcher mais là, je ne maîtrisais pas mon corps qui se tendit, se préparant à une douleur qui ne vint pas. Il se redressa légèrement et me dévisagea en souriant:
— Ici je peux maîtriser ta souffrance, tu n’auras mal que si je le désire.
Il se retira doucement et revint d’un coup brutal mais indolore. Alors qu’il recommençait la manœuvre encore et encore, le plaisir monta progressivement en moi, plus puissant à chaque coup de buttoir. Je perdis tout contrôle et bizarrement je regagnai la maîtrise de mon corps. Quelques minutes plus tôt, je crois que je l’aurais repoussé, mais le plaisir était trop intense. Je nouais mes cuisses autour de ses hanches, mes bras autour de son cou et l’attirais violemment à moi. Il se déchaîna à son tour, me pilonnant tandis qu’arrivé au paroxysme du plaisir, je lui mordais l’épaule pour ne pas hurler ma jouissance. Au même instant, je le sentis éjaculer en moi pour la seconde fois.
***
Je sursautai et me retrouvai seul dans mon lit, la serviette de bain toujours nouée autour de ma taille. Dehors, il faisait nuit. Avais-je donc dormi toute la journée? Mais que s’était-il passé? Et sa voix qui me disait : à la prochaine ! Un rêve?
On sonna à la porte.
Je me levai brusquement et réalisais soudain que ma queue était toute poisseuse et qu'un liquide chaud et gluant s’écoulait d'entre mes fesses…
FIN
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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