10-10-2023, 06:14 AM
— À vous les jumeaux pour la traduction.
— Mais tu as vu tout ce qu'il y a d'écrit dessus on va en avoir pour une heure au moins.
— Hans m'a dit que vous étiez des petits génies alors on compte sur vous.
…
— Bon, c'est une épitaphe que Flavius Marcus Strabo a fait graver pour lui et les siens. Après ça explique que lui et les siens se sont retirés ici parce qu'ils étaient différents et qu'il dédiait aussi ce tombeau à tous ceux qui comme eux étaient différents…
— À la fin ça dit qu'il a fait ça pour lui, sa femme Valentina, ses fils Caius, Antonius, Lucius et ses filles, Fausta et Gaia. Mais aussi pour les autres personnes qui y reposent.
— Vous voyez, ça ne vous a pas pris une heure !
— Oui, mais on a traduit en gros et puis y'a des abréviations qu'on n'a pas comprises. Faudrait peut-être demander à Jean-Paul de nous aider à traduire.
Ensuite on alla prendre l'apéritif chez mes grands-parents et ça sentait bon la cuisine. La porte d'entrée s'ouvrit et Adeline entra. Elle resta bouche bée en voyant William et Harry.
— Eh bien rentre Adeline, ils ne vont pas te manger.
— Mais, mais, mais… c’est William et Harry ! Et vous les jumeaux, vous ne m’avez même pas dit qu'ils étaient là !
— Adeline, on n'a pas eu le temps. Ils sont arrivés hier et on ne t’a pas vu depuis.
— Gus ou Chip, vous présentez Adeline à nos invités ?
— Bon, bin elle, c’est Adeline. Elle est née le même jour que nous dans le même lit que nous. C'est notre Papa Bé qui nous a mis au monde tous les trois. Avec Gus, on se disputait pour savoir qui serait son chéri mais on a décidé que ça serait comme notre petite sœur. Son papa c'est Tim et sa maman c'est Mary et son petit frère c'est Nans mais il est beaucoup plus petit que nous.
Adeline, toujours plantée au même endroit, était d’un beau rouge. Chip la tira par la manche et lui dit :
Maintenant que tu es présentée tu peux aller leur faire la bise.
C'est plus rouge qu’une Ferrari qu'elle y alla et quand ce fut le tour de William ce fut encore pire, je crus qu’elle allait prendre feu, Ma grand-mère lui servit un grand verre de sirop, pour qu’elle se remette de ses émotions. Elle discutait avec les jumeaux mais elle n'avait d'yeux que pour William. La porte se rouvrit et Tim entra.
— Salut la compagnie. Ah merde, je n’avais pas vu que vous aviez du monde. Je repasserai.
— Assieds-toi Tim et bois un verre avec nous.
— Vous avez du monde, je ne voudrais pas déranger.
— Depuis quand tu déranges toi ? Tu sais bien qu'ici tu es comme chez toi depuis tout le temps.
— Oui je sais Mamie, bin, un pastis si tu as.
— Il m'en reste tout un stock qui date de Cyprien.
Je présentais Tim à nos invités (que ce grand couillon n’avait pas reconnu de suite) et la conversation porta sur sa production, celle de Mary. Puis sur notre trouvaille et on passa à table. Tim repartit mais Adeline voulu rester souper avec nous… comme par hasard !
Ma grand-mère nous avait fait une salade de pissenlits avec des œufs et des anchois, il me fallut aller l'aider à faire la polenta qu'elle nous servit avec une daube provençale de taureau, puis du fromage local et enfin des fraises et des œufs à la neige. Comme toujours ce fut délicieux et nos invités qui n'étaient pas habitués à ces saveurs en furent agréablement surpris.
Il faisait nuit quand on rentra et Willem poussa un cri strident qui nous fit rire quand R et R déboulèrent comme des fusées devant lui. Les jumeaux montèrent se coucher, les « toutous » sur leurs talons.
Victoria resta un petit moment avec nous et monta à son tour. Hans avait sorti différentes gnoles que nos invités apprécièrent. Puis tout le monde partit se coucher.
Durant le repas, chez mes grands-parents, j'avais dû raconter le pourquoi et le comment des pierres ainsi que notre découverte, à Hans et moi. Aussi, devant l’insistance de l’auditoire, avait-on décidé d'aller ouvrir la crypte et de l’explorer.
Le jour suivant, je finissais mon premier café quand les jumeaux arrivèrent encore endormis.
— Vous êtes déjà réveillé ? C'est à peine 7 heures.
— Oui, mais on veut t'aider à ouvrir la crypte.
— Hé bé, je comptais pas partir sans vous ! Asseyez-vous, je vous prépare votre cacao. Pour le reste c'est comme d’habitude ?
Un’’ Oui, s'il te plait ‘’ en stéréo, confirma mes dires. Ils s'assirent et attendirent que je les serve. Ils engloutirent leur petit-déjeuner et mangèrent même du pain et du pâté. Entretemps, R et R étaient descendus, en même temps que Victoria.
Puis, petit à petit, tout le monde arriva. J'étais allé m'occuper des chevaux et vers 10 heures on prit la route. Très vite, avec l'aide de Holly et de Blacky, on souleva et on déplaça la dalle. Je descendis le premier le long escalier qui s'enfonçait profondément dans le sol.
Après une trentaine de marches j'arrivais dans une vaste pièce où il y avait un énorme sarcophage au milieu et, le long des murs, il y avait des dizaines de squelettes entassés, un peu comme dans les catacombes de Rome. Seul le mur du fond n'avait pas son mur d'os mais une magnifique mosaïque qui représentait ce qu'avait dû être la villa qui était ici et les personnages qui y étaient dessinés avaient leurs noms inscrits dessous. C'est ainsi qu'on fit la connaissance de Flavius et de sa famille. C’étaient des nains. On fit tous des photos de notre découverte et on referma le tout.
Pour rentrer on passa voir les fouilles et je demandais à Jean-Paul s'il pouvait passer à la maison ce soir car je voulais lui parler.
On fit tirer jusqu'à la carrière car mes invités voulaient savoir où et comment je travaillais. William, Harry et Will s'éclatèrent à conduire la plus grosse des pelles mécaniques. J'en profitais pour inviter Tonin et Nick à manger le lendemain soir avec nous.
Dans un premier temps ils refusèrent mais le regard 14 bis des jumeaux les firent changer d’avis. J'en profitais aussi pour inviter mes parents, mes grands-parents, puis Tim et sa famille. En fait tout le plateau sauf l’équipe des fouilles. Ça serait soirée pizzas. La dernière soirée car le surlendemain nos invités partaient en début d'après-midi.
Jean-Paul arriva sur le coup des 18 heures. on buvait l'apéro sur la terrasse. Il avait l'air soucieux ou du moins intrigué de mon invitation.
— Entrez Jean-Paul, vous voulez boire un verre ?
— Une bière si vous avez. Merci.
— Voilà, si je vous ai demandé de passer c'est que je voudrais vous montrer quelques photos qu'on a prises ce matin. Pour faire court mon arrière-grand-père m'avait parlé d'une trouvaille qu'il avait faite quand il était gamin, pendant la première guerre mondiale. Il s'agissait d'une inscription dans le marbre et il en avait fait un banc de jardin. Et un jour, alors qu'on était allé ramasser des champignons, il me montra où il avait fait cette trouvaille et il me dit qu'il avait essayé de soulever une dalle. Il y avait réussi partiellement et que dessous c'était creux. Alors aujourd'hui on y est allé et on a réussi à soulever la dalle suffisamment que pour s’y glisser et voilà ce que l'on a trouvé.
Je lui tendis mon téléphone et en silence il regarda les photos. Seuls ses yeux exprimaient ses états d’âme. De temps en temps on l'entendait marmonner des 'bordel' ou des 'nom de dieu' qui faisaient rire les jumeaux. Il me rendit mon téléphone. Il resta un moment silencieux.
— Jean-François, il faut me dire où c’est. Vous le voulez bien ? Et l'inscription que dit-elle, vous le savez ?
— Oui bien sûr que je vous montrerai où c'est et je laisse les jumeaux vous dire de quoi ça parle parce que c'est eux qui l'ont traduite partiellement. Gus tu dis à Jean-Paul ce qu'il y a d'écrit dessus.
— Alors en gros ça dit que Flavius je sais plus qui a fait cette crypte pour lui et sa famille et pour tous ceux qui comme eux n'étaient pas normaux. C'est tout ce dont je me souviens.
— Vous pouvez m'envoyer les photos que vous avez faites ainsi que celle de l’inscription ? Je ne suis pas un spécialiste de la période romaine mais un de mes collègues l'est, malgré son jeune âge. Il est aussi prof à la fac mais c'est plus un homme de terrain qu'un chercheur de laboratoire. Et si vous le voulez bien, je suis sûr qu'il se portera volontaire pour fouiller votre site.
— Tu feras une autre vitrine dans ton musée ?
— Je ne sais pas, je ne crois pas. Là c'est une salle complète qu'il faudrait… peut-être que le musée d'Arles le ferait. Je vais contacter mon ami et lui dire que vous lui envoyez des photos d'une découverte fortuite que vous avez fait. Ça sera plus simple comme ça.
Tout le monde m'envoya les photos qu'ils avaient faites et je les envoyais au numéro que me donna Jean-Paul. Je m'attendais à une réponse rapide mais rien n’arriva. Jean-Paul nous quitta tout excité et on passa une soirée agréable à discuter.
…
— Bé, j'ai mal au dos, tu veux bien me masser un peu ?
On était allongés nus sur le lit, quand Hans me demanda ça. Je pris de l'huile de massage dans ma table de nuit et je lui en versais sur le dos. Je me mis à cheval sur lui au niveau de ses fesses et je commençais un massage long et langoureux.
Bien vite ma bite se mit au beau fixe et me faisait mal tellement elle était dure et tendue. Mais, stoïque, je continuais mon massage. Après son dos, je lui massais les fesses puis les jambes, les mollets et les pieds.
Et quand je lui demandais de se retourner, il ne me répondit pas. Il s'était endormi ! J'éteignis la lumière, je me callais contre lui et je finis par m'endormir aussi. Chose exceptionnelle Hans se réveilla avant moi ce matin-là et il en profita pour me réveiller de façon très agréable. Je voulais lui rendre la pareille mais il refusa et quand je fus bien dur et bien excité, il me fit m'allonger sur le dos et grimpa à cheval sur moi et s’empala sur ma queue. Il fit quelques vas et viens pour que mon sexe se mette en place et entre en plein puis il s'immobilisa et commença à contracter ses muscles anaux. C'était juste divin, ce qu'il me faisait. Je savais qu'en faisant ça ni lui ni moi ne tiendrions longtemps. Et quelques minutes après il me fit jouir en lui juste avant d'éjaculer à son tour.
Pendant quelques minutes on se fit des câlins puis on alla se doucher et on descendit. Je nous fis couler des cafés et Victoria nous rejoignit alors qu'on commençait notre petit-déjeuner.
— Restez assis. Will m'a appris à me servir de votre percolateur.
On la laissa se débrouiller et elle vint s'asseoir avec nous.
— Qu'avez-vous prévu de faire ce matin ?
— Avec Hans nous devons descendre dans la plaine faire des courses pour ce soir. On devrait en avoir pour 2 heures tout au plus. Ensuite il va falloir que je prépare la sauce pour les pizzas.
— Moi, je sais que William veut aller voir Louis pour je ne sais plus quelle raison et qu'il veut aussi tenir la promesse qu'il a faite aux jumeaux de leur faire faire un tour d’hélicoptère.
— Je peux vous accompagner quand vous irez faire vos courses ?
-- Oui, Victoria, bien évidemment, nous partirons quand les jumeaux seront levés. Je ne sais pas s'ils voudront venir avec nous.
-- Vous allez où, papa ?
— Ah, vous voilà! on va faire des courses dans la plaine. Vous voulez venir ?
— T'as envie d'y aller Gus ?
— Pas trop et toi Chip ?
— Pas trop non plus. Alors on reste ici si vous voulez bien.
— Et vous allez faire quoi comme bêtises ?
— Mais on n'en fait jamais nous !
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— Mais tu as vu tout ce qu'il y a d'écrit dessus on va en avoir pour une heure au moins.
— Hans m'a dit que vous étiez des petits génies alors on compte sur vous.
…
— Bon, c'est une épitaphe que Flavius Marcus Strabo a fait graver pour lui et les siens. Après ça explique que lui et les siens se sont retirés ici parce qu'ils étaient différents et qu'il dédiait aussi ce tombeau à tous ceux qui comme eux étaient différents…
— À la fin ça dit qu'il a fait ça pour lui, sa femme Valentina, ses fils Caius, Antonius, Lucius et ses filles, Fausta et Gaia. Mais aussi pour les autres personnes qui y reposent.
— Vous voyez, ça ne vous a pas pris une heure !
— Oui, mais on a traduit en gros et puis y'a des abréviations qu'on n'a pas comprises. Faudrait peut-être demander à Jean-Paul de nous aider à traduire.
Ensuite on alla prendre l'apéritif chez mes grands-parents et ça sentait bon la cuisine. La porte d'entrée s'ouvrit et Adeline entra. Elle resta bouche bée en voyant William et Harry.
— Eh bien rentre Adeline, ils ne vont pas te manger.
— Mais, mais, mais… c’est William et Harry ! Et vous les jumeaux, vous ne m’avez même pas dit qu'ils étaient là !
— Adeline, on n'a pas eu le temps. Ils sont arrivés hier et on ne t’a pas vu depuis.
— Gus ou Chip, vous présentez Adeline à nos invités ?
— Bon, bin elle, c’est Adeline. Elle est née le même jour que nous dans le même lit que nous. C'est notre Papa Bé qui nous a mis au monde tous les trois. Avec Gus, on se disputait pour savoir qui serait son chéri mais on a décidé que ça serait comme notre petite sœur. Son papa c'est Tim et sa maman c'est Mary et son petit frère c'est Nans mais il est beaucoup plus petit que nous.
Adeline, toujours plantée au même endroit, était d’un beau rouge. Chip la tira par la manche et lui dit :
Maintenant que tu es présentée tu peux aller leur faire la bise.
C'est plus rouge qu’une Ferrari qu'elle y alla et quand ce fut le tour de William ce fut encore pire, je crus qu’elle allait prendre feu, Ma grand-mère lui servit un grand verre de sirop, pour qu’elle se remette de ses émotions. Elle discutait avec les jumeaux mais elle n'avait d'yeux que pour William. La porte se rouvrit et Tim entra.
— Salut la compagnie. Ah merde, je n’avais pas vu que vous aviez du monde. Je repasserai.
— Assieds-toi Tim et bois un verre avec nous.
— Vous avez du monde, je ne voudrais pas déranger.
— Depuis quand tu déranges toi ? Tu sais bien qu'ici tu es comme chez toi depuis tout le temps.
— Oui je sais Mamie, bin, un pastis si tu as.
— Il m'en reste tout un stock qui date de Cyprien.
Je présentais Tim à nos invités (que ce grand couillon n’avait pas reconnu de suite) et la conversation porta sur sa production, celle de Mary. Puis sur notre trouvaille et on passa à table. Tim repartit mais Adeline voulu rester souper avec nous… comme par hasard !
Ma grand-mère nous avait fait une salade de pissenlits avec des œufs et des anchois, il me fallut aller l'aider à faire la polenta qu'elle nous servit avec une daube provençale de taureau, puis du fromage local et enfin des fraises et des œufs à la neige. Comme toujours ce fut délicieux et nos invités qui n'étaient pas habitués à ces saveurs en furent agréablement surpris.
Il faisait nuit quand on rentra et Willem poussa un cri strident qui nous fit rire quand R et R déboulèrent comme des fusées devant lui. Les jumeaux montèrent se coucher, les « toutous » sur leurs talons.
Victoria resta un petit moment avec nous et monta à son tour. Hans avait sorti différentes gnoles que nos invités apprécièrent. Puis tout le monde partit se coucher.
Durant le repas, chez mes grands-parents, j'avais dû raconter le pourquoi et le comment des pierres ainsi que notre découverte, à Hans et moi. Aussi, devant l’insistance de l’auditoire, avait-on décidé d'aller ouvrir la crypte et de l’explorer.
Le jour suivant, je finissais mon premier café quand les jumeaux arrivèrent encore endormis.
— Vous êtes déjà réveillé ? C'est à peine 7 heures.
— Oui, mais on veut t'aider à ouvrir la crypte.
— Hé bé, je comptais pas partir sans vous ! Asseyez-vous, je vous prépare votre cacao. Pour le reste c'est comme d’habitude ?
Un’’ Oui, s'il te plait ‘’ en stéréo, confirma mes dires. Ils s'assirent et attendirent que je les serve. Ils engloutirent leur petit-déjeuner et mangèrent même du pain et du pâté. Entretemps, R et R étaient descendus, en même temps que Victoria.
Puis, petit à petit, tout le monde arriva. J'étais allé m'occuper des chevaux et vers 10 heures on prit la route. Très vite, avec l'aide de Holly et de Blacky, on souleva et on déplaça la dalle. Je descendis le premier le long escalier qui s'enfonçait profondément dans le sol.
Après une trentaine de marches j'arrivais dans une vaste pièce où il y avait un énorme sarcophage au milieu et, le long des murs, il y avait des dizaines de squelettes entassés, un peu comme dans les catacombes de Rome. Seul le mur du fond n'avait pas son mur d'os mais une magnifique mosaïque qui représentait ce qu'avait dû être la villa qui était ici et les personnages qui y étaient dessinés avaient leurs noms inscrits dessous. C'est ainsi qu'on fit la connaissance de Flavius et de sa famille. C’étaient des nains. On fit tous des photos de notre découverte et on referma le tout.
Pour rentrer on passa voir les fouilles et je demandais à Jean-Paul s'il pouvait passer à la maison ce soir car je voulais lui parler.
On fit tirer jusqu'à la carrière car mes invités voulaient savoir où et comment je travaillais. William, Harry et Will s'éclatèrent à conduire la plus grosse des pelles mécaniques. J'en profitais pour inviter Tonin et Nick à manger le lendemain soir avec nous.
Dans un premier temps ils refusèrent mais le regard 14 bis des jumeaux les firent changer d’avis. J'en profitais aussi pour inviter mes parents, mes grands-parents, puis Tim et sa famille. En fait tout le plateau sauf l’équipe des fouilles. Ça serait soirée pizzas. La dernière soirée car le surlendemain nos invités partaient en début d'après-midi.
Jean-Paul arriva sur le coup des 18 heures. on buvait l'apéro sur la terrasse. Il avait l'air soucieux ou du moins intrigué de mon invitation.
— Entrez Jean-Paul, vous voulez boire un verre ?
— Une bière si vous avez. Merci.
— Voilà, si je vous ai demandé de passer c'est que je voudrais vous montrer quelques photos qu'on a prises ce matin. Pour faire court mon arrière-grand-père m'avait parlé d'une trouvaille qu'il avait faite quand il était gamin, pendant la première guerre mondiale. Il s'agissait d'une inscription dans le marbre et il en avait fait un banc de jardin. Et un jour, alors qu'on était allé ramasser des champignons, il me montra où il avait fait cette trouvaille et il me dit qu'il avait essayé de soulever une dalle. Il y avait réussi partiellement et que dessous c'était creux. Alors aujourd'hui on y est allé et on a réussi à soulever la dalle suffisamment que pour s’y glisser et voilà ce que l'on a trouvé.
Je lui tendis mon téléphone et en silence il regarda les photos. Seuls ses yeux exprimaient ses états d’âme. De temps en temps on l'entendait marmonner des 'bordel' ou des 'nom de dieu' qui faisaient rire les jumeaux. Il me rendit mon téléphone. Il resta un moment silencieux.
— Jean-François, il faut me dire où c’est. Vous le voulez bien ? Et l'inscription que dit-elle, vous le savez ?
— Oui bien sûr que je vous montrerai où c'est et je laisse les jumeaux vous dire de quoi ça parle parce que c'est eux qui l'ont traduite partiellement. Gus tu dis à Jean-Paul ce qu'il y a d'écrit dessus.
— Alors en gros ça dit que Flavius je sais plus qui a fait cette crypte pour lui et sa famille et pour tous ceux qui comme eux n'étaient pas normaux. C'est tout ce dont je me souviens.
— Vous pouvez m'envoyer les photos que vous avez faites ainsi que celle de l’inscription ? Je ne suis pas un spécialiste de la période romaine mais un de mes collègues l'est, malgré son jeune âge. Il est aussi prof à la fac mais c'est plus un homme de terrain qu'un chercheur de laboratoire. Et si vous le voulez bien, je suis sûr qu'il se portera volontaire pour fouiller votre site.
— Tu feras une autre vitrine dans ton musée ?
— Je ne sais pas, je ne crois pas. Là c'est une salle complète qu'il faudrait… peut-être que le musée d'Arles le ferait. Je vais contacter mon ami et lui dire que vous lui envoyez des photos d'une découverte fortuite que vous avez fait. Ça sera plus simple comme ça.
Tout le monde m'envoya les photos qu'ils avaient faites et je les envoyais au numéro que me donna Jean-Paul. Je m'attendais à une réponse rapide mais rien n’arriva. Jean-Paul nous quitta tout excité et on passa une soirée agréable à discuter.
…
— Bé, j'ai mal au dos, tu veux bien me masser un peu ?
On était allongés nus sur le lit, quand Hans me demanda ça. Je pris de l'huile de massage dans ma table de nuit et je lui en versais sur le dos. Je me mis à cheval sur lui au niveau de ses fesses et je commençais un massage long et langoureux.
Bien vite ma bite se mit au beau fixe et me faisait mal tellement elle était dure et tendue. Mais, stoïque, je continuais mon massage. Après son dos, je lui massais les fesses puis les jambes, les mollets et les pieds.
Et quand je lui demandais de se retourner, il ne me répondit pas. Il s'était endormi ! J'éteignis la lumière, je me callais contre lui et je finis par m'endormir aussi. Chose exceptionnelle Hans se réveilla avant moi ce matin-là et il en profita pour me réveiller de façon très agréable. Je voulais lui rendre la pareille mais il refusa et quand je fus bien dur et bien excité, il me fit m'allonger sur le dos et grimpa à cheval sur moi et s’empala sur ma queue. Il fit quelques vas et viens pour que mon sexe se mette en place et entre en plein puis il s'immobilisa et commença à contracter ses muscles anaux. C'était juste divin, ce qu'il me faisait. Je savais qu'en faisant ça ni lui ni moi ne tiendrions longtemps. Et quelques minutes après il me fit jouir en lui juste avant d'éjaculer à son tour.
Pendant quelques minutes on se fit des câlins puis on alla se doucher et on descendit. Je nous fis couler des cafés et Victoria nous rejoignit alors qu'on commençait notre petit-déjeuner.
— Restez assis. Will m'a appris à me servir de votre percolateur.
On la laissa se débrouiller et elle vint s'asseoir avec nous.
— Qu'avez-vous prévu de faire ce matin ?
— Avec Hans nous devons descendre dans la plaine faire des courses pour ce soir. On devrait en avoir pour 2 heures tout au plus. Ensuite il va falloir que je prépare la sauce pour les pizzas.
— Moi, je sais que William veut aller voir Louis pour je ne sais plus quelle raison et qu'il veut aussi tenir la promesse qu'il a faite aux jumeaux de leur faire faire un tour d’hélicoptère.
— Je peux vous accompagner quand vous irez faire vos courses ?
-- Oui, Victoria, bien évidemment, nous partirons quand les jumeaux seront levés. Je ne sais pas s'ils voudront venir avec nous.
-- Vous allez où, papa ?
— Ah, vous voilà! on va faire des courses dans la plaine. Vous voulez venir ?
— T'as envie d'y aller Gus ?
— Pas trop et toi Chip ?
— Pas trop non plus. Alors on reste ici si vous voulez bien.
— Et vous allez faire quoi comme bêtises ?
— Mais on n'en fait jamais nous !
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