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Bébé - gaetanbg - 25-04-2022 Bonjour à toutes et à tous . J'avais commencé sur Docti un texte ''Bébé'' . Suite à leur changement de politique je l'avais arrêté et depuis , à part quelques textes dans "à chacun son histoire", je n'ai plus écrit officiellement on dira . Pour rappel Bébé est l'histoire d'un garçon du sud de la France . Il y a dans le texte des scènes sexuelles hétéro , bisexuelles mais surtout homosexuelles . Je préfère en avertir les lecteurs . J'espère qu'il vous plaira autant que les autres . Je lance aussi une bouteille à la mer suite à diverses avaries informatiques d'abord le disque dur de mon ordi qui me lâche et une clef USB qui passe à la machine à laver . Je recherche les anciens textes que j'avais posté sur Docti . Si quelqu'un a ça dans ses archives je suis preneur . merci et bonne lecture . Bébé Le récit se situe de nos jours sans tenir compte du confinement. Elle aurait pu se passer avant ou après quand tout sera rentré dans "l'ordre". Dans tous les cas le covid n’en fait pas partie ! L'histoire se déroule dans les Alpilles. Pour les nordistes, c'est une petite chaine de montagnes dont les Baux de Provence est la ville principale. C'est un peu au nord de la ville d’Arles. Bébé et Timéo attendent le car qui va les conduire pour la dernière fois au lycée d’Arles. C'est enfin les vacances ! Vacances qu'ils vont passer en grosse partie dans leur petit hameau, d'une quinzaine d’âmes, perdu au milieu de nulle part. Bébé et Timéo se connaissent depuis toujours. Ils sont les deux seuls ados de ce trou perdu où leurs familles vivent depuis des générations. Timéo, dit aussi Tim mais aussi Titou est un garçon de 18 ans depuis peu. Du haut de son mètre quatre-vingt, de son corps fin mais musclé, de ses cheveux blonds en bataille et de ses yeux pervenche il serait le tombeur de ces dames, s'il y en avait ! Enfin, si il y en avait au hameau mais à part sa mère et celle de Bébé la plus jeune doit avoir facilement 70 ans passés ! Bébé, dit Bé mais aussi Jeff (prononcez d’Jef) de son vrai prénom Jean-François allait avoir 18 ans dans quelques jours. Pourquoi Bébé me direz-vous ? C'est tout simple, quand il est né son frère ainé avait dix ans et sa sœur sept. Du coup ils l'avaient appelé Bébé et ça lui était resté. Bébé c'était un peu un melting-pot de l’Europe, un condensé des gènes de la population européenne. Son arrière-grand-père était né d'un père polonais et d'une mère russe et il avait épousé en France une femme dont la mère était hollandaise et le père belge. Ils avaient eu trois garçons. Mais le malheur a voulu que le père et les deux ainés meurent dans un accident qui eut lieu dans la mine où ils travaillaient tous les trois. Le grand père de Bébé épousa lui une femme que tout le monde surnommait la bâtarde ou la boche. Elle était née des amours illégitimes d’une française, dont le mari était prisonnier en Allemagne, qui avait cédé aux charmes d'un soldat allemand. Et son père, lui, avait épousé une fille de rapatrié aux origines italo-espagnoles. Tout ça pour dire que ça avait fait de lui un garçon "hors normes". Un beau brun aux yeux vert. Du haut de son mètre quatre-vingt-quinze et de ses cent kilos de muscles Bébé était vraiment impressionnant ! Et pourtant il n'avait pas toujours été comme ça ! Jusqu'à sa puberté il avait été le petit gros de la classe, celui de qui on se moque tout le temps et Timéo le défendait. Mais la puberté arriva et il se mit à grandir tellement que ses parents devaient lui acheter des affaires plus grandes deux fois par an ! En plus de sa robuste constitution Bébé avait bien d'autres talents cachés : Un lui venait de son frère, Antho, qui pratiquait le Karaté. Et dès leur plus jeune âge Tim et lui répétaient les katas que faisaient le grand frère de Bébé. Celui-ci en rigolait et les corrigeait. Si bien que dès qu'ils eurent l'âge de s'inscrire aux cours ils y allèrent. Le second, lui venait de sa sœur, Audrey, qui faisait de la danse classique. Il l'imitait aussi et il acquit ainsi une souplesse incroyable ! Il arrivait à faire le grand écart sans effort au sol mais aussi droit sur un pied ! Il arrivait à passer ses deux pieds derrière sa tête et à marcher sur les mains ! Son père, se moquant gentiment de lui, disait qu'il finirait dans un cirque. Et le dernier et pas le moindre était que Bébé avait une intelligence et une mémoire phénoménale ! Sans jamais avoir réellement bossé en cours durant toute sa scolarité, il avait eu le bac avec plus de 20 de moyenne ! Il aurait pu intégrer n'importe quelle grande école mais depuis tout petit il voulait faire infirmier ! Et ce n'est pas que ses parents, son frère ou sa sœur n'aient pas insisté pour qu'il fasse médecine avec les facilités qu'il avait ! Mais il ne changea pas d’avis. Timéo, lui, avait opté pour un BTS agricole. Il voulait reprendre l'exploitation des terres familiales et passer au bio. Et pour la première fois, depuis une quinzaine d’années, ils ne seraient plus en classe ensemble ! Mais ils avaient réussi à aller dans la même ville pour étudier aussi les familles leur louèrent un petit appartement commun pour qu'ils ne soient pas trop dépaysés car ils remontaient dans le nord, à Valence. Avec le choix de leurs études, ça faisait la deuxième choses qui les différenciaient, l'autre étant leur sexualité ! Timéo est un hétéro qui fut curieux à l'époque de son adolescence tandis que Bébé est gay même s'il a eu quelques aventures avec des filles, d'abord pour essayer d’être comme tout le monde, et ensuite pour confirmer son choix, après avoir essayé avec des garçons. Ils n'étaient plus puceaux depuis leurs 15 ans. C’était au moment où ils avaient eu leur brevet des collèges et Antho, qui à l’époque avait quitté la maison, trouvé un boulot et une copine, leur avait proposé de venir deux semaines en vacances avec eux, en camping à la mer. Bien sûr ils avaient accepté et la veille du départ Antho était allé les récupérer au hameau. C'est en cours de route qu'il leur dit : - Au fait j'ai zappé un truc pour le camping. On a réservé au Cap d’Agde. - C'est cool, mais il est loin de la mer ? - Non, pas du tout, le truc que j'ai oublié de vous dire que c'est un camping naturiste. - Tu veux dire qu'il va falloir qu'on se balade la queue à l'air tout le temps ? - Oui c'est ça. - Mais… mais, si on bande, on fait comment nous ? - Vous serez pas les premiers ados à bander et les gens feront ceux qui ne voient pas ! Vous verrez, c'est super ! - Pff ! Je voudrais bien t'y voir toi ! - Mais tu m'y verras Bé ! Et, à poil, comme vous en prime ! Ma copine aussi ! Puis je suppose que de vous voir à poil tous les deux ça doit pas vous déranger, ça a dû arriver plusieurs fois, à la rivière où aux douches après les cours de karaté. - Oui mais c'est pas pareil, là, y'aura des gens qu'on connaît pas ! - Justement qu'est-ce que tu t'en fous des gens que tu ne connais pas ? Et puis beaux gosses comme vous êtes je suis sûr que vous allez pécho direct le premier jour ! - Non mais de quoi tu te mêles toi ! - Ho ça va les petits puceaux ! Vous verrez, on en rediscutera quand vous aurez trempé le biscuit ! - Tu en sais quoi toi d'abord si on est puceau ou pas ? - Laisse tomber Bé, oui on est encore puceau ! Tu crois vraiment qu'on pourra pécho ? - Tim, si deux beaux gosses comme vous ne se font pas alpaguer dès le premier soir, c'est que les filles du camping sont toutes lesbiennes ou aveugles ! On éclata de rire à sa comparaison. Il nous décrivit le camping où ils étaient allé la première fois en mai et c'est vrai que ça avait l'air sympa. On verra bien ! Le soir on mangea des pizzas et on se coucha de bonne heure. On dormit sur le clic-clac du salon et c'est un Antho en boxer et se marrant comme un bossu qui nous réveilla. - Debout les gosses ! ça promet au camping ! - Hein ? Quoi ? De quoi tu parles ? - De vos érections matinales voyons ! Allez, à la douche pendant que le café passe et on y va. On alla jusqu'à la douche avec nos queues raides dans nos boxers quand la porte s'ouvrit sur la copine d'Antho à poil qui se séchait la tête ! On rougit et on réussit à marmonner un "bonjour" - Allez vite vous doucher à l'eau froide car si vous rougissez un peu plus vous allez prendre feu ! Je plaisante, vous vous y ferez vite, vous verrez et ça passera. On alla dans la salle de bain et on se doucha vite fait ensemble dans la douche italienne. Mon frère entra alors qu'on en sortait et pendant qu'on se séchait il quitta son boxer et entra dans la douche à son tour. - Au fait au camping on a loué une grande tente, Il y a deux chambres, de quoi cuisiner une espèce de salon mais pour les sanitaires et les douches il faut aller au bloc sanitaire. On but le café, puis on ferma la maison après avoir chargé les sacs et quelques provisions dans le coffre. Mon frère prit le volant et on partit. On devait avoir fait une dizaine de kilomètres que Tim et moi on s’endormit. C'est la voiture qui stoppait qui nous réveilla. Encore à moitié endormis Tim demanda : - ça y est on est arrivé ? Antho et sa copine éclatèrent de rire. - Non, on a fait un peu plus de la moitié du chemin, mais là, on va se boire un café vous nous accompagnez ? - ça tombe bien j'ai envie de pisser. Pas toi Tim ? - Si aussi. On vous rejoint aux machines. - Vous faites vraiment tout ensemble, tous les deux ! - Oui même ça, ça nous arrive de le faire ensemble ! On s'installa aux urinoirs, deux places côte à côte bien sûr et on commença à pisser. Un jeune de notre âge vint se mettre à côté de moi et dégrafa sa ceinture, déboutonna son bermuda et sortit sa queue qui, comme la nôtre le matin au réveil, avait une forte propension à relever la tête. Justement Tim me disait : - Fait chier putain ! J'aime pas pisser debout quand je bande ! ça gicle partout. Tu bandes toi ? - Bin oui mais y'a pas que nous. Putain fait chier ! j'en fous de partout. Je me reculais un peu et je réussis ainsi à pisser dans l'urinoir sans m’éclabousser. Tim et mon voisin firent de même. Et on rigola parce que notre voisin recula encore plus et s'amusait à pisser à au moins 50 cm de l’urinoir. On allait faire pareil quand on entendit la porte s'ouvrir et on se recolla vite contre, morts de rire. Le papy qui entra devait bien se demander pourquoi on riait comme ça tous les trois. On se lava les mains et on alla boire un café avant de repartir. C'est Léa, la copine de mon frangin qui prit le volant. Deux heures après on arrivait. Ils allèrent faire les démarches administratives et c'est muni d'un plan qu'on trouva notre emplacement. Il y avait peu de gens à cette heure-là dans les allées, tout le monde devait être à la plage ou encore faire la sieste. Mais le peu de personnes qu'on croisait, était nues ! On arriva à l'emplacement où un mec du staff, petite vingtaine, nous attendait. Il était à poil, évidemment ! On descendit, il nous salua et il fit l'inventaire avec Léa avant de partir. Mon frère et Léa allèrent vers une chambre et nous vers l’autre. Mon frère nous cria : - Les jeunes, quand faut y aller faut y aller ! Allez, maintenant tout le monde à poil ! Re : Bébé - emmanolife - 25-04-2022 Le style est très plaisant, et il fait très "Docti"... Un style qui nous manque cruellement, ce n'est pas sur Scribay qu'on rencontre ce genre d'ambiance. Quelle est la date de publication originale ? Et merci de partager ce texte. Re : Bébé - KLO7514 - 26-04-2022 Gaëtan, mon cher ami, je suis très heureux de retrouver ce "remake" du site que je fréquentais assidûment comme toi et...beaucoup d'autres dont une grosse partie semble s'être évaporée. Quel dommage! Bon, nous ne referons pas le passé. Sache, ami, que je connais passablement bien ce lieu "agathois", ayant passé de nombreuses années de camping estival à VIAS, localité assez voisine vers Béziers. J'ai eu, en l'espace de presque 10 années, l'occasion d'explorer toute cette région à vélo et aussi un peu en automobile, R 21 Symphony conduite par madame, depuis Sète jusque Saint-Pierre-la-mer, dans le département audois. Et, de temps à autre, nous nous rendions chez...«Cul-Nu»* avec une amie qui louait un appart. au Cap. Pour passer au travers du contrôle d'entrée, nous utilisions... le bureau de poste possédant deux portes d'accès! Comme ça, nous économisions des tracas et quelques francs (C'était entre 1983 et 1989). La chose qui nous faisait bien rire était la boucherie où nous imaginions le serveur se trompant tout en découpant une andouillette ou des saucisses pour le barbecue...Mais pour éviter toute erreur, il portait un tablier : ça valait mieux pour lui! Bref, que de bons souvenirs de cet endroit et des alentours. Et je n'aurais garde d'oublier le fameux bronze de l'éphèbe romain retrouvé dans l'Hérault et figurant en bonne place au musée du Cap. Bien à toi et à te lire. KLO. ----------------------------- * dénomination que nous employions entre nous, sans aucune pensée péjorative : rien que du concret! Re : Bébé - Louklouk - 26-04-2022 Mignon et prometteur début : vivement la suite ! @KLO7514 a raison :on manque d'auteurs... Alors bon courage ! Re : Bébé - gaetanbg - 26-04-2022 Merci de vos réactions rapides . j'avais posté le premier chapitre le 22/O5/2020 [member=67]emmanolife[/member] . Et [member=156]KLO7514[/member] , je ne suis que très peu allé au camping du Cap . je fréquente plus les plages et rivières naturistes . Par contre depuis que j'ai 16 ans je bossais les vacances d'été dans un camping où je m'occupais du nettoyage des blocs sanitaires . et beaucoup d'anecdotes sont tirées de ce que j'y ai vu ou fait j'avoue ... Merci pour tes encouragements [member=87]Louklouk[/member] . j'avais été déçu par Docti et je m'étais arrêté d'écrire un moment . Mais écrire permet de me vider la tête et m'aide aussi à déstresser alors j'ai continué pour moi . j'ai rempli des pages et des pages , j'en ai parlé à notre maitre à tous [member=54]fablelionsilencieux[/member] qui m'a proposé de les mettre en français respectant les expressions et les mots franco-provençaux . je l'en remercie ici . Re : Bébé - bech - 26-04-2022 (25-04-2022, 08:39 PM)gaetanbg link a écrit : Je lance aussi une bouteille à la mer suite à diverses avaries informatiques d'abord le disque dur de mon ordi qui me lâche et une clef USB qui passe à la machine à laver . Je recherche les anciens textes que j'avais posté sur Docti . Si quelqu'un a ça dans ses archives je suis preneur . Il vaut mieux sauvegarder un disque dur avant qu'il soit mort, et avec les disques SSD les plus vendus de nos jours (TLC et QLC) ça risque d'être pire qu'à l'époque des disques mécaniques. Et pour le nettoyage de la clé USB, après avoir enlevé les traces de lessive et fait sécher l'intérieur, ça pourrait refonctionner. Pour ma part, j'ai eu un téléphone portable qui est tombé d'un short dans les WC. Après l'avoir mis à sécher, batterie enlevée, il a refonctionné pendant plusieurs années, jusqu'à ce que devant remplacer la batterie pour la 2ème ou 3ème fois, j'ai choisi de me payer un smartphone. Pour ma part, j'ai récupéré les textes qui avaient été répertoriés par fablelionsilencieux. Te concernant, ça correspond aux titres suivants :
Re : Bébé - gaetanbg - 26-04-2022 Léa sortit de sa chambre à poil et vint devant la nôtre restée ouverte. Avec Tim on avala notre salive et nos queues commencèrent à grossir. La vue des fesses poilues de mon frère ne nous fit pas débander. Malgré tout on quitta notre dernier rempart et Antho et Léa virent qu'on bandoullait. ça fit sourire mon frère et Léa nous remercia pour l'hommage qu'on lui rendait mais elle nous précisa que seul mon frère comptait pour elle. Et en entendant ça mon frère lui roula une fameuse longue pelle et, là, c'est nous qui avons éclaté de rire… sa bite n’était plus au repos ! - Bin quoi ! ça arrive à tout le monde de bander ! On fait le tour du propriétaire pour vous montrer les lieux et on finit par la plage. ça vous va ? - Ok, on vous suit. Par contre moi je prends ma serviette. - Ce n'est pas la peine Jeff, on va repasser ici pour aller à la plage. En rougissant je dis : - Oui mais c'est au cas. tu vois… où j'en aurais besoin, tu devrais faire pareil Titou. - Ho putain oui, génial comme idée ça ! Et on partit la serviette sur l'épaule visiter une partie du camping. Autant Tim que moi on reluquait tout ce qui avait deux jambes et qui était de notre âge. On matait même les vieilles de 25 ans. Notre serviette nous servit ! On était à la piscine quand Tim me donna un coup de coude et me montra de la tête une famille qui arrivait en face de nous. - C'est pas le mec qui pissait à côté de nous ? - On dirait bien oui. Et, là, ma bite fit un bon derrière ma serviette. Celle de Tim aussi mais pour la fille qui était avec eux. En nous croisant les deux jeunes nous firent un grand sourire ce qui n'échappa pas à mon frère, ni à sa copine. - Vous voyez, je vous l'avais dit, déjà deux qui vous font des sourires ! Vous allez pécho je vous dis ! Ils sont mignons en plus. Sa réponse me laissa sur le cul. Il faudra que j'en parle avec lui de ça. - Mais Antho tu vas les laisser tranquille oui ! Est-ce qu'ils se mêlent de ta sexualité eux ? On continuait de visiter quand on croisa un autre groupe d'ado qui se dirigeait vers la piscine. De les voir comme ça à poil raviva nos érections ! - Putain Tim, on est mal barré là ! ça va être la honte grave de se balader toujours avec la serviette sur l’épaule. - Surtout que la tienne pointe juste où il faut ! ça fait plus chapiteau de cirque que serviette servant à cacher ton émoi ! - Ha parce que toi tu bandes pas peut-être ? - Si mais moi j'ai un sexe normal pas une trompe ! Léa surprise d'entendre ça, leva sournoisement le coin de ma serviette, elle gloussa et dit : - C'est de famille on dirait mais Antho je crois que d'ici quelques années Bébé sera plus gros et plus long que toi ! C'est sa copine qui va se régaler ! - Ou son copain. Qu'est-ce que tu en sais de ses gouts ? Tout en disant ça, mon frère s'était approché de moi et à son tour avait soulevé ma serviette. - Putain mon cochon ! ça promet ! Il va falloir apprendre à t'en servir maintenant ! - Ho mais ça va oui ! Vous voulez pas en faire une photo aussi ? - Moi je veux bien pour mes archives secrètes ! - Ho ! Titou, tu vas pas t'y mettre aussi ! Les trois éclatèrent de rire ! - Antho, Léa, il me semblait bien vous avoir reconnu de dos. - Ah, salut Jules, vous êtes arrivés aussi. Sophie n'est pas avec toi ? Je te présente mon frangin Jean-François et son pote Timéo. Ils se firent la bise et le mec nous serra la main. - Non Sophie se fait une beauté, elle n'a pas eu le temps de passer chez son esthéticienne avant de venir alors elle s'occupe de ses jambes en ce moment. Et d’une épilation de maillot aussi. - On se voit à l'apéro tout à l'heure, Jules ? Vous venez chez nous, ça sera plus simple. On est au 108. - D'accord à tout à l’heure. Nous on est au 70. … - Bé pourquoi tu as souri bêtement quand tu as entendu le numéro de son emplacement ? - C'est une blague bête que m'a raconté Tim il y a quelques jours. Tu sais ce que c'est un 70 ? - Non, vas-y, dis-nous. - C'est un 69 avec un doigt dans le cul ! - Pff elle est nulle ta blague ! On continua notre visite et on finit par le bloc sanitaire pas loin de notre marabout. (un marabout est une grande tente) On rentra et on but un coup. Léa et Antho allèrent dans leur chambre et on les entendait discuter à voix basse. Ils en ressortirent et Antho nous dit : - Asseyez-vous on a des choses à vous dire mais je compte sur vous pour ne pas ébruiter ce qu'on va vous dire. En fait Léa et moi on est bisexuels et on vient ici pour satisfaire nos fantasmes. On a rencontré Jules et Sophie quand on est venu ici en Mai et on s'est donné rendez-vous pour les vacances d’été. On vous a malgré tout invité, car on peut compter sur votre discrétion, du moins j’espère. - Tu nous connais non ! Et à qui on va raconter ça ? Aux parents ? La mère nous passerait une engueulée en nous disant de nous occuper de nos fesses et le père il dirait que ça le regarde pas. Non mais sérieux vous êtes bi ? Tu fais des trucs avec Jules et Léa avec Sophie aussi ? - Oui c'est ça être bi Bé ! mais j'en fais avec Sophie aussi et Léa aussi bien sûr. - Mais, mais, … oh, puis laisse tomber ! - Qu'est-ce qu'il y a qui ne va pas Bé ? C'est le fait que je couche avec un mec qui te chiffonne ? - Non, ça je m'en fous, mais j'ai cru que vous vous aimiez tous les deux. C'est Léa qui répondit - Mais on s'aime Jeff, c'est juste que ton frère ne peut pas me donner tout ce que je veux sexuellement et moi non plus. - Mais, maiiis… - Tu as fini de te prendre pour une chèvre Bébé ! Bon, au point où on en est autant tout vous dire. Vous connaissez Marie, la petite fille des Martin, celle qui a mon âge ? - Oui de vue, elle vient de temps en temps au village, elle est plutôt mignonne et bien roulée. D'ailleurs les parents regrettent que tu ne te sois pas mis avec elle. - Ça ne se fera jamais ! Elle est lesbienne ! Je l'ai rencontré un soir dans une boite branchée gay et on a discuté beaucoup. On a été surpris autant l'un que l'autre de se retrouver là. Et c'est là qu'elle m'a dit qu'elle était lesbienne et que je lui ai dit que j'étais bi. Du coup le weekend suivant on est allé sur Marseille. Elle connaissait un club échangiste et on y est allé. Et c'est là que j'ai rencontré Léa. - ÇA existe ça les clubs échangistes ? il s'y passe quoi ? - Oui, Tim, ça existe ! Et comme leur nom le dit, les couples s'y rendent et les partenaires s’échangent. - Mais comment Léa et toi vous avez su que vous étiez bi ? - Tu leur racontes Léa ou je le fais ? - Je vais le faire. Alors la soirée était bien avancée et je me faisais faire un cunni par une belle rousse qui, elle, se faisait prendre par un beau gosse. Antho est arrivé, il nous matait et le mec qui prenait la fille lui a fait un sourire, il s'est approché et il lui a caressé les fesses, le gars lui a tendu une capote et ton frère l'a enfilé, avant de prendre le mec qu'il a vite fait jouir. Du coup il est parti et la fille qui me faisait un cunni l'a suivi. Ton frère a quitté son préservatif et m'a demandé s'il pouvait prendre la suite de la dame. Hum ! bon, vous bandez assez comme ça les jeunes, et toi aussi mon cochon, alors pour faire court, je vous dirai simplement qu'on s'est revu plusieurs fois chez lui ou chez moi, qu'au début on n'était que des sexfriends puis les sentiments sont venus. Mais comme on n'était pas complètement satisfaits sexuellement on a décidé de retourner de temps en temps au club. Et au mois de mai on a rencontré ici Jules et Sophie qui sont comme nous et qui n'habitent pas loin alors on a décidé de nous rencontrer régulièrement. Voilà vous savez tout. Antho se leva, la queue raide. Il prit Léa par la main et la conduisit vers leur chambre. - Si vous entendez gémir, on n'est pas malade si vous voyez ce que je veux dire. Il ponctua sa phrase d'un clin d’œil. Avant de fermer la porte il nous dit : - La plage c'est à droite après le bloc sanitaire à 500 m. On vous attend vers 20 h pour l’apéro. Il referma la porte. Avec Tim on avait la queue toute raide. Je le vis se lever et se diriger vers la chambre. - Tu vas faire quoi ? Il me mima une branlette et précisa : - On peut pas sortir comme ça et ça ne va pas passer seul, excité comme on l’est alors autant se faire du bien vite fait non ? Tu viens ou pas ? Tim et moi on s'était souvent branlé ensemble. On avait échangé nos mains de temps en temps aussi mais rien de plus. Je le rejoignis et chacun allongé sur son lit on se branla. Tim jouit en premier. - Putain fait chier je m'en suis foutu de partout ! Je me tournais vers lui et j’en rigolais. Moi aussi je jouis… jusque sur mon menton et, là, c'est Tim qui rigola ! On s'essuya avec nos serviettes et on alla à la plage après avoir pris une douche vite fait au bloc sanitaire. - Putain c'est cool Bé ! Y'a des grosses vagues ! On y va ? - Grave oui ! Le dernier à l'eau est une chochotte ! On joua un grand moment avec les vagues qui nous roulaient dans tous les sens et nous poussaient vers d’autres baigneurs. A un moment je me retrouvais avec le mec qui pissait avec nous assis sur moi et Tim se retrouva la tête coincé entre les cuisses d'une fille plutôt mignonne. Plusieurs jeunes de notre âge vinrent nous rejoindre et on fut vite une dizaine à faire les cons. Au gré des vague, on se touchait, on se frôlait, on se roulait les uns sur les autres et je n'étais pas le seul garçon à avoir une mi molle qui durcissait parfois bien plus. Au bout d'une heure on décida de sortir et les jeunes avec qui on avait fait les cons nous invitèrent à nous joindre à eux. On se présenta, et ils se présentèrent, c'était une vraie tour de Babel ! Il y avait des Allemands, des Suisses, des Hollandais, des Belges et, forcément, des Français. On parlait un mélange de toutes les langues respectives même si l'anglais prédominait. Pendant qu'on parlait je matais mes nouveaux amis le plus discrètement possible parce que j'avais énormément de mal à contrôler ma queue. Certains d'eux me plaisaient bien. Et je me surpris à trouver des mecs mignons ! Avant j'aurais dit bien bâtis, ou musclés mais là c'était mignon ! Et en particulier Frantz, nul autre que l'allemand qui avait pissé avec nous. Oups ! il fallait que je m'allonge sur le ventre et vite ! Les filles papotaient entre elles et je les regardais en coin. Certaines étaient rasées "intégral", d'autres avaient le "ticket de métro", je passais aux seins et aux fesses. Bon allez, il fallait que je pense à autre chose sinon je n'arriverai jamais à débander ! Je matais mes "potes". Certains étaient couchés sur le ventre et j'avais une belle vue sur leurs fesses rebondies tandis que d'autres allongés sur le dos montraient leurs attributs masculins dont Frantz. D'où j'étais je voyais sa toison blonde taillée court sur son pubis et il avait le gland qui dépassait un peu de son prépuce. Ses couilles étaient rasées comme toutes celles que je pouvais voir. D'ailleurs en y repensant mon frère aussi était rasé de ce côté-là ! En fait dans le groupe il n'y avait que Tim et moi à être nature. Frantz s'allongea sur le ventre et écarta légèrement les jambes. Je pus apercevoir que là aussi il était rasé. Je somnolais un peu quand une voix me dit : - Jeff, fais gaffe tu es en train de chopper un coup de soleil. Tu devrais te retourner un peu de temps en temps. - Je voudrais bien me retourner mais je peux pas. - Tu peux pas, mais pourquoi ? Discrètement je montrais mon érection à mon voisin qui pouffa et qui me montra la sienne. - On va se baigner ? Je me tournais vers Tim et je lui posais la question. Il me montra sa queue raide. - Ho, et puis merde ! C'est mon voisin de droite qui venait de dire ça. Il se leva et partit en courant vers les vagues dans lesquelles il plongea. On avait tous vu sa queue raide. Les filles pouffèrent et à notre tour Tim et moi on le rejoignit au pas de course. Ça devait être contagieux la bandaison car au fur et à mesure que les autres garçons arrivaient, ils avaient la queue raide ou mi molle. On refit les cons encore un grand moment dans les vagues avant de ressortir. Puis l'heure avançant notre groupe diminua pour finir il ne restait plus que Frantz, Ava - sa sœur jumelle -, Marie une belle brune bien roulée, Tim et moi. - On se retrouve là ce soir vers 22 h ? Il était presque 20 h et la plage était progressivement désertée. Il ne restait que quelques couples, ou groupe, par ci par là. - Putain Bé ! T'as grave morflé dans le dos ! T'as le cul tellement rouge qu'on dirait une lanterne ! - Tu peux parler ! le tien est tellement rouge que cette nuit on va même pas avoir besoin d'éclairer pour rentrer tellement il va briller ! Marie traduisait au fur et à mesure ce qu'on disait aux deux allemands. Ava parla à Marie qui nous traduisit : - Si vous voulez, son père peut vous enlever le soleil. Il est magnétiseur ou quelque chose du genre, j'ai pas trop compris le mot qu'elle a utilisé. Vous aurez plus mal. On passa par les douches pour se dessaler et c'est vrai que rien que la pression de l'eau sur nos épaules et notre dos ça cuisait. On accepta. Les jumeaux nous conduisirent jusqu'à leur emplacement et leur père voyant notre état nous engueula… en français ! Puis il nous fit nous allonger chacun notre tour sur le canapé. Je l'observais quand il le faisait à Tim. Il passait les mains sur notre corps à quelques centimètres de notre peau sans nous toucher et il transpirait beaucoup. Je voyais Tim se détendre. Il le fit se retourner et fit pareil pour le devant. - C'est bon j'en ai fini avec toi, je bois une bière et je m'occupe de toi après. Il prit une serviette et s’épongea. Il coulait l'eau ! Il but sa bière cul sec et s'occupa de moi. C'était bizarre. Quand il passait ses mains je sentais des picotements puis du frais de suite après. Quand il eut fini avec moi, il en but une autre cul sec et il me dit : - Tu es comme moi toi, tu as un don, je l'ai senti, c'est lequel ? Alors là, j'étais sur le cul ! Un don, moi ? - Heu non je crois pas, enfin j'en sais rien. - Tu ne fais rien de médical ou des choses du genre ? - Non je vois pas. - Mais si Bé ! Au karaté quand y'en a un qui se fait mal qui se fait sauter un nerf tu le remets en place vite fait mieux que le rhabilleur ! - Ha ça oui, je sais pas pourquoi. - Tu voudrais pas regarder l'épaule de mon épouse ? - Je veux bien essayer mais je ne vous promets rien. Il parla à sa femme en allemand. Elle lui répondit sèchement avant de venir s'assoir sur un tabouret devant moi. Son mari me montra où elle avait mal et c'est vrai que c'était un sac de nœuds là dessous. Doucement je faisais glisser mes doigts pour suivre les nerfs. - Vous auriez une crème chauffante ? ça m’aiderait. Il m'apporta un tube d’arnica, je lui en passais un peu et tout doucement je remis tout en place. Elle remua son épaule et me sourit et me dit quelque chose que son mari traduisit en riant. - Elle veut t’adopter, tu as des doigts de fée. Elle n'a plus mal à son épaule et elle voulait savoir si demain tu pourrais t'occuper de son dos et de son cul, pardon de son cou. Elle souffre beaucoup, elle est tombée en faisant du sport et depuis elle a mal tout le temps. - Ok demain matin si vous voulez vers 9 h. Et encore merci pour nos coups de soleil, je ne sens plus le mien. Quand on partit le père nous donna un flacon de crème de sa composition qu'on devra mettre ce soir avant de nous coucher et demain, d’après lui, on serait guéri. On le remercia et on partit. On arriva juste à temps pour l'apéro en même temps que Jules et Sophie. Mon frère pendant l'apéro nous demanda comment c'était passée notre première journée. - Mais elle n'est pas encore finie ! On te dira ça demain, ce soir on doit rejoindre des potes à la plage. Jules et Sophie restèrent manger avec nous et quand on voulut partir nus et les mains vides pour la plage mon frère nous dit : - Soyez sage et attention suivant ce que vous faites soyez couverts ! Vous avez de quoi au cas où vous en auriez besoin ? - Mais de quoi tu parles ? - Des capotes bien sûr ! de quoi tu veux que je te parle d'autre. - Bin non, on n'a pas prévu. - Jules tu peux en passer deux des tiennes à Tim, Je vais en chercher des miennes pour toi, Bé. Et le soir, sur la plage mettez au moins un short et une chemisette, on sait jamais si vous voulez remonter vous balader au club ! Tim rougit et bredouilla un merci quand Jules lui tendit les préservatifs et je fis de même quand mon frangin me donna deux des siens. Du coup on alla enfiler un short et un teeshirt surtout pour mettre nos capotes dedans. Et on partit pour la plage non sans avoir fait une halte aux toilettes pour pisser. Quand on arriva sur la plage il n'y avait que Marie et Ava. Frantz n'était pas là. D'office Tim alla s’assoir avec Ava du coup j'allais avec Marie. On discutait de tout et de rien quand la question copain ou copine vint sur le tapis. On était tous les quatre célibataires. Et quand vint la question relations sexuelles, on piqua un fard tous les deux ! Je ne sus jamais ce que les filles s'étaient dit, mais le rapprochement franco-allemand commença. Et ce soir-là, on faillit perdre notre pucelage, si Frantz n'était pas arrivé en courant poursuivit par quatre mecs qui le traitaient de pédale, de salope, de dégénéré .... Il s'arrêta à notre niveau et parla vite. Les gars étaient arrivés aussi. - Vous mêlez pas de ça tous les deux ! ça ne vous regarde pas, c'est une histoire entre lui et nous ! Un mec avança. Tim s’interposa. - Si, ça nous regarde justement, c'est notre pote alors foutez lui la paix. - Putain vous défendez les tafioles vous ? - Non, on défend notre pote ! Alors dégagez avant que ça dégénère ! Le mec voulut le pousser pour passer mais Tim le repoussa et ça partit en couille ! Ils ne faisaient pas le poids contre nous et on les aligna sans problème. Si bien que les flics, avertis par des gens qui avaient vu ce qu'il s'était passé, arrivèrent alors que je déboitais l'épaule de celui qui devait être leur chef. Ils nous séparèrent et les enfoirés dirent qu'on les avait agressé sans raison. Heureusement que les gens qui avaient téléphoné aux flics avaient aussi tout filmé ! Les flics nous convoquèrent pour le lendemain, puis les embarquèrent. Mais avant je me fis un malin plaisir à remettre en place l'épaule du gars. J'aurais pu le faire en douceur mais je n'étais pas d'humeur… Ce con là venait de me faire perdre mon dépucelage ! Re : Bébé - KLO7514 - 26-04-2022 Diable, journée bien chargée! Heureusement, on récupère vite. Alors, la mer...diterranée était à point? Nous voyons qu'il ne faut pas trop se frotter aux deux gaillards. Première nouvelle pour Bébé : il "sent" presque involontairement les fameuses "lignes de force ou d'énergie" du corps humain, celles utilisées par la médecine orientale voire extrême-orientale pour soulager les douleurs en passant les mains sur les bras, les jambes ainsi que la palpation des zones de la plante des pieds ou...de l'oreille (Cf l'ouvrage :"Le corps a ses raisons" sorti dans les années 75). Le (ou la) palpeur/palpeuse n'oubliera pas de se tremper les mains dans l'eau froide ni de les secouer hardiment. C'est un bon point pour lui, surtout pour se faire des copains. Je crois que le jeune Frantz lui sera quelque peu redevable. Ça me semble bien parti pour... Re : Re : Bébé - bech - 27-04-2022 (26-04-2022, 02:14 AM)KLO7514 link a écrit : ... nous nous rendions chez...«Cul-Nu»* avec une amie qui louait un appart. au Cap. Pour passer au travers du contrôle d'entrée, nous utilisions... le bureau de poste possédant deux portes d'accès! Comme ça, nous économisions des tracas et quelques francs (C'était entre 1983 et 1989). Je ne connaissais pas ce raccourci, mais probablement que depuis, ils se sont arrangé pour empêcher cette possibilité. Pour ma part, ce péage (qui semble être une taxe municipale) me gêne et les rares fois où je suis allé à cette plage nat, je suis arrivé par Marseillan plage. Il y a une gare, mais très peu desservie, même en plein été et je ne serai pas surpris que la ville d'Agde n'y soit pas étrangère, bien que ça n'explique pas pourquoi les gares de Vic la Gardiole et Villeneuve les Maguelone soient aussi très mal desservies, alors que celles entre Perpignan et Cerbère le sont très bien toute l'année. Je n'ai appris que tardivement qu'il y a des bus pour aller à Marseillan plage depuis Sète. Depuis la plage, il y a un accès au centre nat du cap d'Agde, mais je n'ai pas osé m'y aventurer. J'ai juste profité des douches. Re : Bébé - bech - 27-04-2022 Je ne connaissais pas cette histoire. Certains passages m'ont bien amusés. La crainte d'une érection semble être typique des non naturistes. Il en est souvent question dans la rubrique "Naturisme" de docti. Je me doutais bien qu'il serait de nouveau question du jeune qui est allé pisser avec eux lors du trajet aller. Mais là, c'est bien parti pour qu'une grande amitié (et plus si affinité, ce dont je ne doute pas) démarre entre Frantz et Bébé. Normalement, en centre naturiste, la sexualité est peu visible, mais le cap d'Agde fait exception à cette règle. L'épisode des serviette et des chapiteaux m'a fait penser à un dessin que je met pour illustrer ce récit. Re : Bébé - Louklouk - 27-04-2022 Très bien ! On manquait cruellement de ce genre d'histoire, depuis la fin de Docti ! Avec tout mon soutien et mon admiration! Re : Bébé - gaetanbg - 29-04-2022 Frantz craqua. Ses jambes vacillèrent et Marie eut juste le temps de le rattraper, avant de tomber assise le cul dans le sable, Frantz par-dessus. La première chose que l'on fit Ava, Tim et moi c'est de rire devant l'incongruité de la scène. Puis Tim se précipita sur Frantz et l'allongea sur le sable pour dégager Marie que j'aidais à se relever. Tim tapotait les joues de Frantz en lui demandant si ça allait en français. Sa sœur éclata en sanglots et Marie vint la consoler. Frantz ouvrit les yeux et commença à pleurer. - C'est le choc en retour. Il faudrait le raccompagner chez lui ou le conduire à l’hôpital, Vous avez besoin d'aide ? C'était le couple qui avait averti la police qui demandait ça. Marie traduisit pour Ava qui répondit : (chaque fois c'est Marie qui traduit mais je ne vais pas le mettre tout le temps) - Le père est médecin, je vous remercie de votre proposition, on va se débrouiller. Encore merci pour ce que vous avez fait pour lui. Frantz était incapable de marcher tout seul. On essaya de l'aider mais il faisait deux pas et il manquait de tomber. - Bé, si tu le portais ça irait plus vite. Ils l'aidèrent à monter sur mon dos et on repartit. Je ne sais pas ce que Marie dit à Ava mais elle partit en courant. Frantz sur mon dos, ses bras autour de mon cou, se cramponnait à m'en étouffer. Quand on arriva à leur mobile-home Ava et ses parents étaient en pleine discussion. Et en nous voyant arriver ils ouvrirent la porte de la chambre et je déposais délicatement Frantz sur le lit. Son père l’ausculta, il demandait des choses et Ava ou Marie répondaient. Après un long moment il se releva et dit : - C'est un choc psychologique dû à la peur qu’il a eu. Je n'ai rien ici pour le calmer. Si demain il ne va pas mieux on ira voir le docteur pour qu'il lui donne quelque chose. Maintenant il faut le laisser se reposer. On quitta la chambre et on alla au salon où les filles racontèrent ce qui c'était passé. Sa mère se leva et vint nous serrer dans ses bras en nous remerciant. On devait discuter depuis une bonne demie heure quand Frantz hurla de peur. Son père se précipita dans sa chambre suivi par nous tous. Frantz avait fait un cauchemar et était assis sur son lit les yeux exorbités. Son père lui parlait doucement. Frantz répondit quelque chose et son père se tournant vers moi me demanda : - Jeff, tu veux bien rester dormir ici cette nuit ? Il dit que tu le rassures. - Heu oui, je veux bien mais on va être serrés dans le lit. (les jumeaux avaient leurs lits accolés.) - Ava couchera sur le canapé même si ce n'est pas confortable, ça ira pour une nuit. - Si Bé reste ici, Ava n'a qu'à venir chez nous puisque son lit sera vide. Ava sourit et accepta. Tim, Ava et Marie partirent. Son père déshabilla Franz et l'aida à s'allonger sur le lit. Je me mis en boxer et je me couchais à côté de lui. Frantz se mit contre moi, je passais mon bras sur lui et le collais à moi. Il ne tremblait plus et on s’endormit. Deux ou trois fois dans la nuit, il commença à gémir et à s'agiter, mais je lui parlais doucement et chaque fois ça le calmait. C'est avec des petits yeux que je me levais le lendemain et quand je sortis de la chambre ses parents étaient déjà réveillés et discutaient sur la terrasse à voix basse. Son père me voyant se leva et me fit signe de les rejoindre. - Merci encore Jeff, tu manges quoi le matin ? - Je bois juste un café, mais ne vous dérangez pas je vais aller le boire à notre tente comme ça je pourrais rassurer mon frangin et sa copine. - Bois d'abord un café avec nous, on voudrait te parler aussi. Je m'assis et mon érection matinale contenue dans mon boxer me gênait mais bon ils avaient dû s'en rendre compte et avec Frantz ils devaient être habitué ! - On voulait te remercier pour ce que Tim et toi vous avez fait hier pour Frantz. Peu de monde l'aurait fait. Ce n'est pas la première fois que ça lui arrive, en Allemagne il s'est déjà fait agressé de la sorte, hélas il n'y avait eu personne pour le défendre cette fois-là et il est resté huit jours à l’hôpital. Tu auras compris qu'il est gay. - Oui, enfin je l'ai compris quand les autres cons l'ont insulté. Mais je ne comprends pas pourquoi ça les gêne qu'un mec soit gay. Qu'est-ce que ça peut leur faire ? - On est bien d'accord avec toi ! On change de sujet, la porte de la chambre s'ouvre il se lève. C'est un Frantz nu, la mine ravagée et qui ne bandait même pas, qui arriva vers nous ! Sa mère se leva, alla vers lui et l’embrassa. Il alla vers son père qui le prit dans ses bras et le serra très fort, ensuite il vint vers moi et s'installa comme un gosse sur mes genoux. Il me fit un bisou sur la joue. Et en anglais : - Merci mon sauveur ! Il prit le café devant moi et en but une gorgée. - Pouah ! Il est pas sucré ! Tu n'aimes pas les douceurs Jeff ? - Si mais pas le sucre ! J'étais dans la merde ! Mon érection était passée mais là avec lui sur mes genoux elle se manifestait à nouveau et Frantz devait la sentir. J'avais honte ! Enfin moins que lui parce qu'au bout d'un moment il se leva et s'installa à côté de moi et je pus voir que lui aussi n’était plus au repos ! Son père me dit en français : - Ah, on dirait qu'il va mieux. Et on éclata de rire et quand Frantz ou sa mère demandèrent ce qui nous faisait rire son père ne répondit pas. Après deux cafés je les quittais pour regagner ma tente. Je passais par les blocs pour pisser et je retrouvais mon frère et Léa sur la terrasse en train de boire le café. - C'est maintenant que tu rentres toi ? Alors ça y est ? - ça y est quoi ? - Tu t'es servi de ce que je t'ai donné hier ? - Heu, pas vraiment, non. Et je leur racontais ce qu'il s'était passé. Mon frère et Léa me félicitèrent pour ce que Tim et moi on avait fait et ils se proposèrent de nous emmener au poste de police car ici c'était lui mon "tuteur" légal. Il était 9 h et on devait y être à 10. J'allais réveiller Tim et Ava que je trouvais nus et enlacés dans le lit en bataille et par terre je vis que les 2 préservatifs avaient servi ! Le salop ! Il était plus puceau ! Je refermais doucement la porte et je frappais. - Tim faut vous lever, c'est 9 h. J'entendis remuer et il me répondit : - On arrive ! Je retournais m'assoir avec mon frère et sa copine, les avertissant que Tim était accompagné. Ils sortirent en se tenant par la main et ils étaient tout sourire. Ils nous firent la bise et Léa leur servit le petit déjeuner. Un grand bol de café bien noir et sans sucre pour Tim et un bol de thé pour Ava qu'ils avalèrent vite et on se prépara à partir. Tim raccompagna Ava jusqu'à son mobile-home et revint nous rejoindre. Alors qu'on s'habillait pour partir il me dit : - ça y est, je l'ai fait hier avec Ava, je suis plus puceau ! - Félicitations Tim, j'espérais bien le faire avec Marie aussi hier soir ! - C'est que partie remise ! Elle te mangeait des yeux. - Et toi comment ça s’est passé ? Vous avez fait quoi ? - Les garçons vous ferez les pipelettes après ! Vous avez rendez-vous ! On se retrouva donc à 10 h précises au poste de police où on fit nos dépositions, on nous présenta des photos où on reconnut les agresseurs mélangés à d'autres puis on repartit vers midi. Léa parla à l'oreille de mon frère qui stoppa devant une pharmacie et quand elle revint elle nous tendit un sachet à chacun qui nous fit rougir jusqu'aux oreilles quand on l’ouvrit. Ils contenaient chacun une boite de 24 préservatifs et un flacon de lubrifiant intime. - J'en ai pris pour nous aussi, une boite de chaque taille. On n'est jamais trop prudent ! Je vis mon frère qui souriait dans le rétroviseur. On mangea un bout vite fait et Antho et Léa partirent rejoindre Jules et Sophie. Nous, on alla voir comment allait Frantz et Ava. Marie était déjà là. On partit pour la plage mais Frantz préféra rester au mobile home malgré le fait qu'on ait beaucoup insisté pour qu'il nous accompagne. Devant nous Ava et Tim se tenaient par la main. Je sentis celle de Marie qui cherchait la mienne et la trouva. On se regarda et on se sourit avant de se faire un petit bisou vite fait sur la bouche. Je dus arranger ma serviette pour cacher mon "émotion" ! ça la fit sourire. On s'installa à notre place de la veille et comme il y avait toujours des grosses vagues on alla jouer dedans. Marie et moi on se frôlait, on se touchait par "mégarde" et finalement c'est elle qui fit le premier pas. Elle mit ses bras autour de mon cou, se hissa et entoura ses jambes autour de ma taille. On s'embrassait avec passion quand une vague plus forte que les autres nous fit tomber et nous sépara. On se releva en crachant et toussant à cause de l'eau qu'on venait d’avaler. Tim et Ava étaient morts de rire ! On alla s'allonger sur nos serviettes et, à sa demande, je lui passais de la crème dans le dos . Enfin pas que dans le dos ! Je la tartinais de la nuque aux pieds, m'attardant plus que je n'aurais dû sur ses fesses. Elle me rendit la pareille et elle non plus n'hésita pas à bien me masser de partout. Tous, on se "bisouillait" sans cesse et finalement Marie me murmura à l'oreille : - Tu ne veux pas qu'on aille jusqu'à ton mobile home, j'ai envie. Le rouge me monta aux joues ! - Marie je l'ai jamais fait. - Moi non plus mais j'ai envie de le faire avec toi. Tu en as envie aussi ? Le baiser que je lui donnais lui apporta ma réponse. - Vous allez pas baiser sur la plage quand même ! - Ta gueule Tim ! - Allez, file vite petit puceau ! On se leva et on partit. En passant par le bloc sanitaire on se rinça. Enfin on fit plus que se rincer ! A force de me coller contre Marie, d'avoir ma queue coincée entre elle et moi, j'éjaculais ! ça la fit sourire. Et on alla jusqu'à mon mobile home. Pour vous résumer mon dépucelage : on s'embrassa beaucoup, Marie m'apprit à la masturber et moi aussi, puis elle me guida lorsque je lui fis un cunni et moi je lui disais ce que je ressentais quand elle essaya de me sucer et ma première pénétration dut être reportée à quelques minutes après ma première tentative pour éjaculation précoce dans le préservatif qu'elle venait de m'enfiler ! On passa le reste de l'après-midi à découvrir nos corps. Elle me disait ce qu'elle aimait, elle m'apprit à jouer avec ses seins, son clito et je lui appris comment bien me masturber, à jouer avec mes couilles et enfin je réussis à la faire jouir ! Enfin j'espérais car j'avais lu sur le net pas mal de trucs comme quoi souvent les femmes simulaient l’orgasme. C'est fin d'après-midi qu'on rejoignit les autres sur la plage. En plus de Tim et Ava il y avait tous nos potes de la veille mais aussi Frantz. Bien sûr la discussion tournait sur ce qu'il s'était passé hier soir car le bruit s'était vite répandu dans le camping au sujet de l’agression. On était dans les derniers sur la plage quand on en repartit. On raccompagna Marie jusqu'à chez elle. Ce soir je ne pourrais pas la voir car elle partait manger en ville chez des amis à ses parents ! Puis on alla jusqu'au mobile home des jumeaux. Leurs parents étaient sur la terrasse en train de discuter. - Ha vous voilà, justement on parlait de vous. Jeff, mon épouse voudrait que tu t'occupes d’elle. ça nous fit rire quand on entendit ça et quand on dit à son père l’interprétation possible que "s'occuper d'elle" pouvait signifié, il éclata de rire et traduisit. Les jumeaux étaient pliés en deux de rire pendant que sa femme, l'air faussement outré, se retenait pour ne pas pouffer de rire. J'essayais de lui remettre les nerfs en place mais c'était pas pratique ainsi. Elle alla s'allonger sur son lit et je dus partir du bas de son dos pour y arriver. Elle me remercia et, avec Tim, on rejoignit notre mobile home où un petit mot nous annonçait qu'on serait seul à manger ce soir et pour cette nuit. On se raconta nos premières fois, ce qui nous fit bander et après avoir fait la vaisselle on alla se doucher. Pendant qu'on se douchait Tim me demanda : - ça t'ennuie de dormir chez Frantz cette nuit encore ? - Heu pourquoi ? - Bin je voudrais Ken tranquille avec Ava. Hier on n'a pas osé faire trop de bruit mais ce soir si on est seul je vais laisser s'exprimer la bête sexuelle que je suis ! J'éclatais de rire ! - Bin quoi ! Au fait tu sais que Frantz te kiffe grave toi ? - Heu non, enfin je me doute un peu. Comment tu sais ça toi ? - Pendant que Monsieur baisait on a discuté avec Ava et il lui a dit que tu lui plaisais grave. C'est pas toi qui voulait essayer avec un mec ? Il est plutôt canon je trouve Frantz. - Et toi tu ne voulais pas essayer aussi un garçon ? - Oui, un jour peut-être, mais pour le moment sa sœur me suffit. Avec Frantz et Ava on retourna sur la plage pour exorciser ce qui c'était passé la veille. Les amoureux s'assirent dans un coin sombre et avec Frantz on alla marcher le long de la plage pour ne pas jouer les voyeurs. - Frantz, tu veux bien me dire ce qu'il s'est passé hier soir enfin avant que tu arrives en courant. Il se racla la gorge et commença : - Un peu plus loin sur la plage il y a un lieu de rencontre pour les gays et comme ma sœur et Marie s'étaient arrangées pour vous et que j'avais envie de sexe aussi j'y suis allé. J'ai tourné un moment puis j'ai rencontré un mec de notre âge. Il m'a conduit dans un coin tranquille et on a commencé à s'embrasser et à se caresser. Puis il a baissé son short et il voulait que je le suce. Et quand j'ai commencé c'est là que les gars me sont tombés dessus. - Que sur toi et pas sur lui ? - Non ! Ils devaient se connaître parce qu'ils se sont dit un truc en français que je n'ai pas compris et un que j'ai compris " à plus" Et comme ils ne faisaient pas attention à moi, j'en ai profité pour partir en courant et tu connais la suite. - Tu en as parlé aux flics ? - Non je n'y ai plus pensé. Mais tu crois que c'est important ? - Oui bien sûr ! En fait les casseurs de gays sont cinq et pas quatre, tu es tombé dans un piège. Il faudrait que tu en parles à la police. Il faisait chaud et je quittais mon teeshirt pour profiter de la brise marine sur mon corps. Frantz me regarda faire et soupira. Il y avait un tronc d'arbre sur lequel on s'assit côte à côte. J'allais parler quand je sentis la main de Frantz dans mon dos qui me caressait le long de la colonne vertébrale. ça me donna des frissons dans tout le corps. Il se pencha vers moi et me donna un coup de langue sur le sein ce qui le fit durcir. Puis il le mordilla. On ne me l'avait jamais fait mais c'était trop bon ! Il descendit du tronc, se mit à genoux devant moi, m'écarta les jambes et posa sa bouche sur mon sexe qui ne demandait que ça ! Et la fellation qu'il me fit n'avait rien à voir avec celle de Marie ! Lui c’était un pro et j'adorais ça ! Il me regardait droit dans les yeux en essayant de sourire et on voyait qu'il kiffait ce qu'il faisait. Il avait sorti sa queue et il se branlait tout en me suçant. Il me fit jouir et je voulus lui rendre la pareille mais mon inexpérience était flagrante aussi je le fis jouir en le branlant. - Tu as aimé Jeff. - Oui beaucoup mais pourquoi tu as fait ça ? - J'en avais envie. Pas toi ? - Si, aussi… Frantz, tu voudrais pas m'embrasser ? Je n'ai jamais embrassé de garçons. Bien sûr il accepta et il me proposa de rentrer chez lui pour me montrer et m'apprendre d'autres choses agréable qu'on pouvait faire entre garçons. Oubliée Marie ! On dormit peu cette nuit-là ! Frantz me fit découvrir de nouvelles pratiques comme le rimming, la sodomie en actif car il n'était que passif, il me fit découvrir les joies de se faire sucer avec un massage de prostate ... Des trucs de mecs quoi. Et le lendemain matin j'eus droit à une fellation au réveil, des plus agréables ! Après avoir bu le café et discuté un peu avec ses parents qui firent allusion au bruit que l'on avait fait cette nuit, on alla jusqu'à notre tente. En chemin on tomba sur mon frangin et Léa qui avaient passé la nuit chez Jules et Sophie. - Hé, je vais finir par croire que tu couches avec lui, Bé. - Mais j'ai couché avec lui et, maintenant que j'ai testé les deux, je te comprends mieux. - Attends, j'ai dû sauter un chapitre là. Tu as aussi couché avec une fille ? - Oui hier après-midi avec Marie. - WOW ! Mon frangin n'est plus du tout puceau ! - Vas y, crie-le encore plus fort ! y'a une moitié du camping qui n'a pas entendu ! Lui et Léa éclatèrent de rire. Il s'approcha de moi et à voix basse : - Tu t'es protégé au moins ? - Oui t'inkiet enfin pas pour sucer mais quand je l'ai sodo, oui, j'avais mis une capote. Enfin, il m'a mis une capote en me l'enfilant avec sa bouche. - C'est bon, passe-moi les détails parce qu'un ado qui bande ça passe mais moi ça fait plus négligé ! Et toi t'as pas trop mal aux fesses ? Si c'est le cas j'ai une crème qui va bien. - Ha ça ! non, rien qu’un doigt, il n'est que passif. - En cas de doute ou si tu veux savoir quoique ce soit, tu demandes. N'hésite pas. On était arrivé et on vit Tim et Ava mais aussi Marie qui revenaient de la douche. Merde, Marie je n'avais plus pensé à elle ! Il fallait que je fasse quoi là ? Que je lui fasse de la peine à elle ou que j'en fasse à Frantz ? Je ne savais plus trop où j'en étais tout d'un coup ! Re : Bébé - bech - 29-04-2022 Putain, ça avance très fort cette histoire ! Re : Bébé - KLO7514 - 30-04-2022 Ah, d'ici à ce qu'on se retrouve à trois, y'a pas loin : Marie, Bé et Frantz. Comme cela, il y en aura pour tout le monde...! Je vois bien Bébé entre Marie et Frantz. Ainsi, chacun fera profiter les deux autres de ses dons et ses trouvailles. Ça ne devrait pas manquer de piquant. Merci pour cet épisode, cher GaetanBG. Re : Bébé - gaetanbg - 01-05-2022 Merci pour vos commentaires encourageants . Il faut que ça avance [member=27]bech[/member] pour vous tenir en haleine et la réponse à tes suppositions ne va pas tarder [member=156]KLO7514[/member] d'ici quelques jours ou plus tôt si vous me le réclamez . j'ai pas mal d'avance dans le récit . |