29-03-2023, 01:43 PM
Je pris la pochette qui renfermait les quelques photos que j'avais de Victoria, le médaillon et les tests ADN. Le premier domestique que l'on croisa nous guida jusqu'à leur suite.
Son oncle et sa tante nous firent asseoir sur le canapé alors qu'ils s'installaient dans les fauteuils. Et la tante de Hans, d'une voix légèrement agacée, demanda.
Nick n'avait vraiment rien à voir avec ses parents. Il était réellement peiné par la mort de sa sœur. On respecta son silence. Puis petit à petit il commença à parler de lui, de sa vie. Hans avait eu la même. Je ne les enviais pas, loin de là. Et je ne voulais surtout pas que les jumeaux connaissent ça.
Le téléphone de Nick sonna. Il regarda qui s'était et ne répondit pas.
Pour une journée de merde, c'était vraiment une journée de merde. Finalement un gendarme moins con que les autres chercha sur le net et y trouva des photos de moi avec mes médailles. Mais ça avait pris trois heures… et quand on arriva il fallut la bonne humeur des garçons pour me changer les idées.
Mon père et son frère n'étaient pas des philanthropes, mais comme il bossait pas mal, ils lui firent un contrat de deux mois pour commencer.
C'est ainsi que tous les matins on partait ensemble au boulot. Sur les réseaux sociaux, sa disparition de la vie du London by night commençait à faire des vagues. Sa 'fiancée' se désespérait de ne plus avoir de ses nouvelles. Aussi elle annonça qu'elle rompait leurs fiançailles et alla rendre la bague qu'il lui avait donné, à sa famille.
On approchait de Noël. Les jumeaux étaient surexcités. Adeline n'était pas mieux et c'est sans compter les enfants de mon frère et de ma sœur. Ce n'était pas des listes mais des romans qu'ils avaient faits. Ils allaient être déçus.
Cette Année, Gaston ne passerait pas Noël avec nous. Gilles viendrait le chercher le 24 en début d'après-midi, le soir il mangerait chez son petit-fils, avec son fils et sa famille et le lendemain tout ce monde sera chez son fils.
Depuis qu'il était parti avec nous, Nick n'avait plus eu de nouvelles de ses parents. La seule chose qu'ils avaient faite avait été de bloquer ses comptes… comme nous l’avions prévu. Il ne savait pas quoi faire pour Noël.
Ce n'est pas qu'il n'aimait pas me prendre, loin de là, c'est juste que ça l'excitait tellement qu'il jouissait trop vite à son gout. Et dix minutes après il dut se retirer à l'extrême limite de l’éjaculation.
À mon tour j'investis son fondement et je le baisais. J'étais plus endurant que lui. Et je me retirais aussi limite de l’éjaculation.
Et ce fut au tour de Hans de me reprendre. Et au bout de la quatrième fois je le fécondais en même temps qu'il jouissait.
On se fit des câlins et on s’endormit.
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Son oncle et sa tante nous firent asseoir sur le canapé alors qu'ils s'installaient dans les fauteuils. Et la tante de Hans, d'une voix légèrement agacée, demanda.
- De quoi veux tu nous parler de si important Hans ? Si c'est pour t'aider à convaincre tes parents qu'ils se trompent et qu'ils doivent te laisser faire ce que tu veux, c'est hors de question.
- Non ma tante. Ça n'a rien à voir avec ça. On veut vous parler d’Anna.
- Tu es sûr que c'est le même, Hans ?
- Oui mon oncle. Je vous montre.
- Mon dieu ! Comment va-t-elle ? Où est-elle ?
- Je suis désolé de vous annoncer qu'elle est morte depuis bientôt trois ans.
- Êtes-vous bien sûr qu'il s'agisse de notre fille ?
- Oui Monsieur. Il y a une chose dont je ne vous ai pas parlé, encore. Nous avons eu des jumeaux. Nous avons fait faire des tests ADN en utilisant celui de Hans pour comparer. Et il y a des similitudes entre eux qui confirment que leur mère et Anna sont la même personne.
- Je vous demande de bien vouloir nous laisser seuls un moment. Nous avons à discuter entre nous. On vous contactera plus tard pour vous donner notre décision.
- Avant que vous preniez une décision comme vous dites, je tiens à préciser que c'est parce que Hans m'a demandé de vous mettre au courant que je l'ai fait. Je n'attends rien de vous et ne veux rien de vous, mes enfants non plus. Depuis qu'ils sont nés je m'en occupe. Ils grandissent heureux et ne manquent de rien. Si vous désirez les rencontrer je ne m'y opposerai pas et j'en serai heureux. Mais ce sont mes enfants et ils le resteront.
- Personne ne nous a jamais parlé comme ça Monsieur.
- Je suis Français et républicain. Alors vos simagrées, vos titres, je m'en tape complètement. Et Hans, ce n'est pas la peine de me donner des coups de coudes pour que je me taise parce que je ne le ferai pas.
- Alors, c'est vrai que ma sœur est morte ?
- Oui Nick, je suis désolé.
- Je m'en doutais, mais j'avais toujours espoir de la voir revenir un jour.
- Tu sais que tu as les mêmes yeux qu’elle ? C'est pour ça que j'ai été aussi troublé, en te voyant, hier.
- Oui, notre nurse me l'a souvent répété. Jean-François, je peux venir avec vous quand vous allez rentrer, j'aimerai bien rencontrer mes neveux. Et ne t'en fais pas, je ne suis pas comme mes parents.
- Alors, va faire tes valises, parce qu'on part, le temps que j'aille remercier son altesse de son hospitalité.
Nick n'avait vraiment rien à voir avec ses parents. Il était réellement peiné par la mort de sa sœur. On respecta son silence. Puis petit à petit il commença à parler de lui, de sa vie. Hans avait eu la même. Je ne les enviais pas, loin de là. Et je ne voulais surtout pas que les jumeaux connaissent ça.
Le téléphone de Nick sonna. Il regarda qui s'était et ne répondit pas.
- Bé, tu voudras bien t'arrêter j'ai envie de faire pipi.
- Tu es comme les gamins toi. Tu ne pouvais pas y aller avant de partir ?
- Hans, excuse-moi de t'avoir parlé comme ça. Je m'arrête dès que possible. Tu pourras prendre le volant quand on repartira ?
- Oui, pas de souci et tu es tout excusé.
Pour une journée de merde, c'était vraiment une journée de merde. Finalement un gendarme moins con que les autres chercha sur le net et y trouva des photos de moi avec mes médailles. Mais ça avait pris trois heures… et quand on arriva il fallut la bonne humeur des garçons pour me changer les idées.
- Papa, c'est qui lui.
- Tu n'as qu'à le lui demander, Gus, mais il ne parle pas français. Il ne parle que l’anglais.
- Ok. Tu m'aides si je n'y arrive pas. Hi, i'm Gus. Who are you? Ça va comme ça Hans ?
- Très bien Gus.
- Hi Gus, i'm Nick, your uncl.
- Ça veut dire quoi uncl.
- Ça veut dire oncle, Gus.
- Mais c'est même pas vrai, ce qu'il dit. Des tontons on n'en a que deux et c’est Antho et Pierrick.
- Non Gus, Nick est bien ton tonton aussi. C'est le frère de votre maman.
- Ah, c'est vrai. Il a des enfants, lui aussi ?
- Non Chip, pas encore.
- Papa, on va se baigner ?
- Si vous voulez. Je monte poser mes affaires et j’arrive. Mais avant on va aussi installer Nick. On le met où ?
- Dans la chambre où on dort.
- Mais vous, vous allez dormir où ?
- Dans ta chambre.
- Pas question, les voyous. Choisissez-lui une autre chambre.
- Papa, je veux te dire quelque chose à l’oreille.
- Tu as vu son zizi, il est pas comme le nôtre.
- Oui, Chip, c'est normal. Il a été circoncis.
- Ça veut dire quoi circoncis Papa.
- Ça veut dire qu'on te coupe la peau du zizi.
- Oh ! Mais pourquoi on lui a fait ça ?
- Parce qu'il est Anglais et que les Anglais coupent la peau du zizi des garçons. Tu sais, ils sont un peu fous les Anglais. Bon ! Les garçons vous essayez la traversée sans les brassards ?
- C'était mon frère aîné. Les parents de Nick ont téléphoné à nos parents pour demander conseil et mon frère m'a appelé pour me demander des trucs sur toi. Et je l'ai envoyé chier.
- C'est ce que j'aurai dû faire avec mes parents aussi, quand ils ont voulu me fiancer avec ma copine.
- Tu es toujours à temps, pour le faire.
- Oui, mais si je fais ça, ils vont me couper les vivres.
- Et tu feras comme tout le monde, tu travailleras.
- Mais je ne sais rien faire de mes dix doigts.
- Si tu changes d’avis, j'ai un boulot à te proposer.
- Ah oui et c'est quoi ?
- Empiler des moellons sur des palettes.
- C'est dur à faire ça ?
- Non, c'est juste fatigant et salissant.
- Ok, je prends. Enfin un essai sur une semaine et je te dis ça vendredi.
- Si tu as des comptes où tu as de l'argent tu devrais les vider parce que ton père va faire comme le mien, cousin, il va les bloquer.
- Je peux vous emprunter votre ordinateur ?
- Oui, vas-y.
- Voilà, c'est fait. Par contre, Jeff, tu me réveilles demain, parce que le matin et moi, on n'est pas très copain.
- Ok pas de soucis.
Mon père et son frère n'étaient pas des philanthropes, mais comme il bossait pas mal, ils lui firent un contrat de deux mois pour commencer.
C'est ainsi que tous les matins on partait ensemble au boulot. Sur les réseaux sociaux, sa disparition de la vie du London by night commençait à faire des vagues. Sa 'fiancée' se désespérait de ne plus avoir de ses nouvelles. Aussi elle annonça qu'elle rompait leurs fiançailles et alla rendre la bague qu'il lui avait donné, à sa famille.
On approchait de Noël. Les jumeaux étaient surexcités. Adeline n'était pas mieux et c'est sans compter les enfants de mon frère et de ma sœur. Ce n'était pas des listes mais des romans qu'ils avaient faits. Ils allaient être déçus.
Cette Année, Gaston ne passerait pas Noël avec nous. Gilles viendrait le chercher le 24 en début d'après-midi, le soir il mangerait chez son petit-fils, avec son fils et sa famille et le lendemain tout ce monde sera chez son fils.
Depuis qu'il était parti avec nous, Nick n'avait plus eu de nouvelles de ses parents. La seule chose qu'ils avaient faite avait été de bloquer ses comptes… comme nous l’avions prévu. Il ne savait pas quoi faire pour Noël.
- Tu ne restes pas avec nous ?
- Mais vous serez en famille.
- Mais, idiot, tu es de notre famille. Tu es mon beau-frère et l'oncle des jumeaux. Et même si tu n'avais rien été pour nous, on t’aurait invité quand même.
- Mais pourquoi, vous tous, vous êtes si gentils avec moi ?
- Et pourquoi on ne le serait pas ?
- Je ne sais pas. Je viens d'un milieu où on ne fait rien pour rien. Je ne suis pas habitué à ça. Tu me prêtes même ton fourgon le week-end pour que je sorte.
- Ça, c'est juste pour que tes couilles n'éclatent pas, ou que tu attrapes des ampoules, à force de te branler. Mais c'est juste pour que ça ne nuise pas au boulot.
- Hé, hé ! T'es con, toi.
- Qu'est-ce-qui ne va pas, Hans ? Et ne me dis pas rien, je le vois à ta mine.
- C'est les jumeaux. Je crois qu'ils sont surdoués.
- Et qu'est-ce-qui te fait dire ça ?
- Je leur ai lu une histoire en anglais. Et ils l'ont comprise, de bout en bout.
- Mais ils ne me parlent qu'en anglais quand ils sont avec moi, cousin. C'est vrai qu'ils parlent comme des enfants de leur âge. Mais c’est vrai qu'ils sont doués.
- Et ils me font la même chose en hollandais quand je suis seul avec eux. Et je ne vous l'ai pas dit. C'est une surprise qu'ils vont vous faire à Noël. Ils savent lire l’heure. Mais pas que ça. Ils ont trouvé un cahier de brouillon chez tes grands-parents. Derrière il y a les tables de multiplications. Ils m'ont demandé à quoi ça servait et je leur ai expliqué. Ils les savent par cœur. Ils savent faire des additions et des soustractions aussi. Je pense qu'il faudrait les faire tester pour voir leur QI.
- À quoi ça servirait ?
- Ça aiderait à leur éducation. Comment je pourrais t’expliquer ? Bé, à des moments tu t'ennuyais à l'école, pas vrai ?
- Oui, souvent même.
- Et je parie que tu faisais le con avec Tim. Et que le soir quand vous rentriez en car tu lui expliquais ce qu'il n'avait pas compris alors que tu n'avais pas suivi en cours.
- Heuuu ! Oui, mais comment tu sais ça, toi ?
- C'est parce que tu es comme eux, Bé. Ou plutôt ils sont comme toi ! Je suis sûr que tu aurais pu faire médecine sans problème, si tu avais voulu.
- Oui, mes parents, les profs me poussaient à faire des études longues. J'en avais les capacités. Enfin c'est ce que les profs disaient. Moi je voulais faire infirmier.
- Mais tu aurais pu faire médecine !
- Oui, mais je ne voulais pas. La flemme et aussi un ras le bol de l'école où je m'ennuyais tarpin trop.
- C'est justement parce que tu t'y ennuyais trop que tu n'as pas voulu continuer. Mais je suis sûr que si tu étais allé en médecine comme tes parents et tes profs te le conseillaient tu serais en train de t’éclater. Et tu aurais presque fini.
- Je ne regrette pas la vie que j'ai eu. Elle m'a permis de rencontrer Liam, puis Anna et enfin toi. Alors non je ne regrette rien.
- Et moi je regrette la mienne.
- Comment ça, Nick ?
- Tu vois, ça fait trois mois que je vis et que je travaille de mes mains. Jusqu'à présent tout me tombait tout cuit dans le bec. J'en chie parfois, c'est vrai, mais je n'ai jamais eu de si bonnes relations avec les gens. Le week-end Tonin et moi on sort ensemble, on rigole, on se refile nos coups si on peut, ça nous arrive même de baiser la même fille l'un après l'autre ou de la baiser à deux. Mais ma vie en Angleterre ne me manque pas du tout. Loin de là.
- Je suis d'accord avec toi Nick. Depuis que je suis ici et que j'ai mis les choses au point avec lui, tu vois je n'ai plus du tout envie de mon ancienne vie. Mon année sabbatique va se terminer bientôt mais je ne rentrerai pas en Hollande. Je n'ai plus envie de subir tous ces chichis et ces simagrées.
- Mais on dirait que j'ai fait de vous des républicains !
- Bé, tu sais que les jumeaux sont Ducs et par naissance, Altesses royales ?
- Pardon ????
- Oui, on fait partie de la famille royale d'Angleterre, que tu le veuilles ou non.
- Bin merde, manquait plus que ça !
- Nick, tu crois que tes parents ont parlé à ta grand-mère ?
- Je ne pense pas. Ou alors ils ne lui ont pas tout dit. Peut-être que ma sœur était morte mais sûrement pas qu'elle avait des arrière-petits-enfants. Parce que la connaissant, elle serait déjà là.
- Tu comptes le faire ?
- Si Jean-François m'y autorise, oui. Je pense qu'elle serait très contente de les connaître. Ça dérouillerait son français. Qu'en dis-tu, Jean-François ?
- Si ça ne porte pas préjudice aux garçons pourquoi pas. Eux aussi ont le droit de connaître la famille de leur mère, même si je me serai bien passé de la rencontre avec tes parents ‘’culs serrés’’, je l’avoue.
- Putain mec, je te kiffe trop. Tu es trop nature. Quand tu as quelque chose à dire tu n'y vas pas par quatre chemins.
- Je ne vois pas pourquoi je le ferai. Un chat restera toujours un chat et un con, un con. Et excuse-moi mais tes parents ne sont pas des chats.
- Bé, j'ai envie, pas toi ?
- Ah oui ? Envie comment ?
- Toi dans moi.
- Ça tombe mal parce que moi aussi j'ai envie de toi dans moi.
- Je commence et tu finis ?
- Non, je commence et tu finis.
- Allez Bé, steuplé.
- On dirait les jumeaux quand je dis non. À quatre pattes, esclave !
- Oui Maître. J'obéis même si je proteste contre cela.
- Proteste en silence esclave et pour te punir, tu vas commencer par me sucer la queue.
- Oh oui maître, tout ce que vous voudrez.
- Tu es vraiment sûr Bé ?
Ce n'est pas qu'il n'aimait pas me prendre, loin de là, c'est juste que ça l'excitait tellement qu'il jouissait trop vite à son gout. Et dix minutes après il dut se retirer à l'extrême limite de l’éjaculation.
À mon tour j'investis son fondement et je le baisais. J'étais plus endurant que lui. Et je me retirais aussi limite de l’éjaculation.
Et ce fut au tour de Hans de me reprendre. Et au bout de la quatrième fois je le fécondais en même temps qu'il jouissait.
On se fit des câlins et on s’endormit.
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