26-12-2020, 12:51 PM
Chapitre 5.
Vacances en Vendée.
Le lendemain matin Henri préparait une petite valise pour la semaine avec quelques effets. Il avait également préparé quelques présents à offrir sur place pour encore une fois montrer son affection envers la famille qui l’avait invité à passer une semaine avec elle.
La maman d’Henri avait pris contact par téléphone avec ma maman. Elles avaient conversé un bon moment. Elles s’étaient très bien entendues et avaient pu mettre les choses au point concernant notre relation. Je savais que ma maman était très ouverte et elle me fit part après l’entretien téléphonique avec la maman d’Henri, qu’il n’y avait aucun problème et nous étions assez matures que pour pouvoir assumer notre relation en insistant bien sur le fait que cela ne devait pas transparaître en vers l’extérieur et les personnes quelques peu hostiles que nous aurions à affronter ultérieurement. Bref l’entretien téléphonique s’était assez bien passé.
Henri et moi nous nous étions retrouvés l’après-midi pour une séance de cinéma. Nous étions allés voir le film « Le Parrain » de Francis Ford Coppola avec Al Pacino. Nous avions très bien aimé ce film quelque peu violent.
Le départ se rapprochait de plus en plus. Henri était venu loger chez nous la veille du grand départ pour la Vendée. Il avait été convenu que nous irions Henri et moi dans le véhicule de l’oncle Pierre qui venait avec nous en vacances. Oncle Pierre était le frère de maman. Il était célibataire, mais avait la réputation d’être un coureur de jupons ! Le reste de la famille, soit ma sœur Anne, mon frère Jean, Maman et Papa dans sa voiture. Tout le monde avait rendez-vous à la maison à 07h15 pour un départ à 07h30 pétante !
Henri avait donc dormi avec moi dans mon lit. Nous avions été très sages, nous nous étions contentés de nous embrasser tendrement et nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre.
Bip, bip, bip, … le réveil, il est 06h30. Hop toute la maisonnée était levée. Papa chargeait le reste des bagages dans le coffre de la voiture tandis que maman terminait de préparer les sandwichs pour le déjeuner, nous allions manger en cours de route. Vite fait bien fait nous avions avalé le petit-déjeuner. Et comme Papa l’avait demandé, nous étions fin prêts à 07h15, au moment où l’oncle Pierre arrivait lui aussi avec sa voiture décapotable. Henri était super contant de pouvoir voyager la tête au vent jusqu’à notre destination.
Notre destination, c’est Notre Dame de Mont, en Vendée. Papa avait loué une villa avec piscine pour notre séjour. C’était à la demande de Maman, car elle n’aime pas aller sur plage et avoir du sable qui colle partout. Nous avions déjà séjourné dans cette localité balnéaire il y a quelques années, mais j’étais plus jeune et j’en avais un vague souvenir. Je me souvenais qu’il y avait une plage naturiste à proximité, en direction de l’île de Noirmoutier.
Durant le trajet Henri et moi nous nous étions placés sur la banquette arrière de l’auto d’oncle Pierre, le laissant donc seul à l’avant, côté chauffeur bien entendu. (Petit rire). Durant le trajet Henri m’avait demandé comment ça se passait sur plage naturiste, si on avait des érections incontrôlées, et ce genre de détails. Je lui avais répondu que ça n’arrivait pratiquement pas d’avoir une bandaison, mais qu’à notre âge ce n’était pas rare, mais que personne n’y prêtait attention du moment qu’on reste tranquille et assis sur une serviette ou à même le sable de la plage. Henri avait eu l’air d’être rassuré.
J’avais alors pu remarquer qu’un bosse s’était formée sur le devant du short d’Henri, moi aussi j’avais le mat de tente au milieu de l’avant de mon propre short. Le fait d’avoir parlé ensemble de bites et d’érections, nos anatomies s’étaient une nouvelle fois réveillées. Henri passait de temps à autre sa main sur sa protubérance et il en était de même pour moi. Mon oncle Pierre avait bien vu dans le rétro de son véhicule cabriolet que nous nous touchions de temps en temps l’endroit sensible des garçons, soit le sexe ! Je vis mon oncle sourire dans le reflet du rétro. Puis, mon oncle en se tournant en peu vers l’arrière, nous dit « C’est assez chaud à l’arrière, s’il faut baisser la température, ne vous gênez pas. Mais attention aux sièges ! » Je n’en revenais pas de ce qu’oncle Pierre venait de nous dire, mais finalement cela ne m’étonna point. J’étais certain que mon oncle était surement « bi » en fonction des ses réflexions et de ses attitudes un peu équivoques. Via le rétro je lui ai souri et lui de son côté me fit un clin d’œil.
Ayant l’aval de mon oncle, et sans vergogne, ne résistant pas au désir de satisfaire mon cher Henri, j’avais posé ma main sur le devant de son short. Puis je m’étais mis à caresser la bosse qui était déjà bien volumineuse. Henri de son côté n’était en reste, il avait également posé sa main sur mon anatomie dressée et dissimulée sous l’étoffe de mon short. Nous avons chacun pris soin de défaire la tirette et le ceinture de notre short afin de libérer un peu la pression. Je prenais alors de l’assurance, sachant que mon oncle Pierre allait regarder dans le rétro ce qui se passait sur la banquette arrière de sa voiture. J’avais donc fait glisser ma main entre le slip et la peau du pubis d’Henri en vue de me saisir de sa queue gorgée de sang. Henri de son côté calquait ses gestes sur les miens en regardant dans le rétro si mon oncle regardait lui vers ce qui se passait à l’arrière. J’avais alors susurré à l’oreille d’Henri de ne pas tenir compte de mon oncle car celui-ci ne dirait rien à personne au sujet de ce qu’il pouvait voir. J’avais alors baissé le slip d’Henri pour dégager sa bite et commencer une lente masturbation. Henri ayant suivit le mouvement, avait également baissé mon slip et s’attaquait à mon mat de cocagne. Nous nous masturbions mutuellement et lentement, procurant à l’être aimé des sensations nouvelles. J’avais ressenti plus de sensations à être masturbé assis à l’arrière du véhicule de mon oncle, dans le vent et exposé à l’air et au soleil qui nous chauffait. C’était une nouvelle sensation jamais connue auparavant ! Henri de son côté semblait ressentir la même chose que moi, nous étions en train de nous masturber mutuellement, à l’unisson, en ressentant les mêmes émotions au même moment. Nous nous étions astiqués un bon quart d’heure et puis nos corps s’étaient cambrés, nos sexes s’étaient une nouvelle fois gonflés au maximum pour ensuite laisser s’échapper plusieurs jets de sperme dans nos mains. J’avais alors léché mes doigts couvert de sperme d’Henri, je ne voulais pas perdre sa semence. Henri de son côté fit de même en léchant ses doigts pour goûter lui aussi à ma semence. Nous étions comme sur un nuage, nous nagions dans le bonheur, nous avions ressenti tant de sensations nouvellement partagées. Mon oncle n’avait semble-t-il rein perdu de nos exploits et il m’avait alors tendu un paquet de mouchoirs en papier pour essuyer les dernières traces de sperme. Je pense même qu’il a apprécié nos exploits.
Nous nous étions rhabillés et nous avions poursuivi la route sagement, attendant d’arriver sur le lieu de villégiature.
L’oncle Pierre, le frère de maman, est en fait un très bon ami de papa. C’est grâce à l’oncle Pierre que Maman à connu papa.
L’oncle Pierre m’avait déjà dit que lui et mon père avaient été dans les mêmes classes à l’école. Qu’ils étaient très bons amis. J’en avais même déduit de très bons amis dans tous les sens du terme. Je n’en étais pas certain, mais je soupçonne l’oncle Pierre et mon père d’avoir été « amants » durant leur jeunesse. C’était semble-t-il bien avant que papa ne fasse la connaissance de maman. Mais je n’en n’avais aucune certitude !
Finalement nous étions arrivés à destination sans encombre. Papa était déjà arrivé depuis plus de 10 minutes. Nous avions déchargé les deux voitures et placé les bagages dans l’entrée de la villa.
Nous avions directement fait le tour du propriétaire, pour moi c’était la piscine qui importait le plus et par après la chambre et le lit bien entendu. La piscine était splendide, environ 15 mètres de long sur 8 mètres de large et la grande profondeur à 2,30 mètres, le pied !!!
Concernant la chambre, Henri et moi nous avions pu avoir une chambre avec un grand lit de deux personnes. Nous étions ravis et avions directement remercié maman et papa pour ce geste très apprécié.
Nous nous sommes installés Henri et moi, nous avions défait nos bagages et rangés nos effets dans l’armoire. Une fois l’installation terminée, Henri m’avait pris par la main et m’avait conduit jusqu’au lit. Nous nous étions couchés sur le lit et avions pu sentir que le matelas était des meilleurs, nous pourrions passer de très bonnes nuits sur ce lit double.
Dans la villa il y avait trois salles-de-bain, l’une pour les parents qui était attenante à leur chambre, une pour l’oncle Pierre, juste en face de sa chambre et enfin une dernière qui était située en face des trois chambres utilisées par les plus jeunes, soit ma sœur, mon frère Jean et moi et mon amant Henri. Ma sœur avait une chambre à un lit simple ainsi que mon frère Jean.
Henri et moi nous nous étions redressés et Henri avait envie de prendre une douche à l’issue du trajet que nous avions fait dans la voiture de l’oncle Pierre. Nous nous étions déshabillés dans la chambre pour nous rendre à la salle de bain.
Dans le couloir, nous avions vu que l’oncle Pierre avait eu la même idée et qu’il allait lui aussi vers sa salle de bain entièrement nu. On nous voyant, il nous lançait : « Une bonne douche vous fera du bien les amoureux ! »
Je m’étais tourné vers Henri et je lui ai donné un baiser sur la bouche, geste que l’oncle avait bien remarqué avant d’entrer dans la salle d’eau. Nous étions alors dans la salle de bain où nous avions poursuivi notre baiser qui devenait de plus en plus fougueux. Nos anatomies n’étaient pas restées de marbre non plus, elles pointaient fièrement vers le ciel. Nous nous étions glissés sous la douche et nous avions poursuivi nos caresses.
A un moment mon frère Jean entrait lui aussi dans la sale de bain, il avait eu la même idée que nous, prendre une douche. Nous n’avions pas arrêté nos caresses et Jean était venu nous rejoindre dans la grande douche italienne à trois pommeaux de douche. Jean s’était lui aussi mis à bander. Nous nous étions tous les trois regardés et nous nous étions mis à rire en voyant nos virilités dressées. Nous avions chacun pris notre sexe en main et nous nous étions mis à nous masturber langoureusement. Puis, j’ai placé ma main sur le sexe d’Henri, il s’était alors mis à me branler doucement. Jean de son côté s’était enhardi, il avait pris sa main et la posait sur le sexe d’Henri et il commença à le masturber. J’avais alors regardé tour à tour Henri et Jean, Henri me fit un clin d’œil et avec un peu de peur, j’avais posé ma main sur le sexe de mon petit frère Jean. J’avais alors commencé une lente et douce masturbation de sa pine. Nous nous regardions sans rien dire, en nous faisant tous les trois plaisir.
Nous avions éjaculé tous les trois presque en même temps au moment où ma sœur Anne entrait nue dans la salle de bain.
Anne : « Alors on ne s’embête pas les mecs ! Vous êtes incroyables ! »
Anne sortait de la salle de bain, nous laissant le temps de nettoyer nos traces de semences qui ornaient la douche.
Une fois que nous nous étions acquittés de la remise en ordre de la salle d’eau nous étions allés prévenir Anne que la salle de bain était libre. Ma sœur Anne, toujours nue, nous avait dit en passant : « La prochaine fois verrouillez la porte les gars. ».
J’avais alors dit à Henri : « Tu vois, ce sont les vacances et nous sommes tout le temps tous à poil ! »
Henri : « Oui Phil, je vois bien, mais cela ne me dérange pas, je pense que j’y prends goût ! »
Jean : « Oui, Henri, c’est très bien et ça prouve que tu es très bien intégré et accepté par la famille. »
Moi : « Et la même chose dans l’autre sens ! »
Nous nous étions mis rire de bon cœur.
Nous nous étions rendus sur la terrasse pour y prendre le souper. C’était un repas assez simple mais très gouteux. Il était constitué de pain frais, de fromage de la région et de charcuteries. Bien évidement il y avait des fruits de saison.
Nous avions passé la fin du repas à discuter de chose et d’autre. Mon oncle Pierre parlait de son cabriolet, dont il était assez fier (il y a de quoi), papa parlait des prochaines activités à faire pour le séjour, maman voulait savoir ce qu’il nous ferait plaisir pour les prochains repas, bref une cacophonie magistrale !
Nous avions alors laissé carte blanche à maman en ce qui concerne les repas, en précisant que nous étions disponibles pour l’aider, bien entendu ! Éclats de rire général !!!
J’avais ensuite pris la parole pour demander à papa si nous pouvions aller à la plage de la Barre de Mont pour y passer une après-midi avec qui voulait me suivre, je voulais dire, « nous suivre », Henri et moi. Papa m’avait répondu pas de problème, nous pouvions y aller et c’était même très facile à vélo. Des chemins cyclables avaient été aménagés à cet effet au travers des pinèdes. Papa nous avait aussi signalé qu’il était possible d’aller sur l’Ile de Noirmoutier pour fréquenter le parc aquatique « Océanile » pour y passer une journée. Nous avions tous dit oui à cette proposition.
Avant d’aller nous coucher, Henri, Jean et Anne nous avions donné un coup de main à maman pour débarrasser la table du dîner.
Ensuite, J’avais proposé à Henri et mon frère Jean d’aller piquer une tête dans la piscine. Comme un seul homme, nous nous étions débarrassés de nos vêtements et nus nous nous étions plongés dans l’eau tiède de la piscine de la villa. Nous nous étions amusés, nous nous étions éclaboussés l’un l’autre et même mon oncle Pierre est venu nous rejoindre.
Une fois la baignade terminée, nous nous étions séchés et avions regagnés nos chambres.
Henri et moi nous nous sommes couchés dans notre grand lit, côte à côté. Nous nous étions regardés, nous nous sommes embrassés langoureusement. Henri m’avait alors susurré à l’oreille : « Comme je suis heureux d’être avec toi et ta famille, ici en vacances ! ».
Nous nous étions ensuite endormis sagement dans les bras l’un de l’autre.
Nous nous étions réveillés vers huit heures. Il faisait très beau, le soleil était déjà bien présent. Je m’étais tourné vers Henri et je lui avais donné un baiser sur la bouche. Nous nous étions alors embrassés laissant nos langues se toucher sensiblement ; Ayant une trique matinale d’enfer, nous nous étions occupés de la tige de notre amant respectif. Nous nous étions masturbés allègrement. Nous avions joui sur nos ventres et sur la main de notre branleur dans un râle commun.
Puis une fois debout, j’avais dit à Henri de me suivre car j’avais envie d’aller barboter dans la piscine. Nous avions donc gagné la piscine, nus comme des vers. A peine étions-nous dans l’eau que mon frère Jean et ma sœur Anne étaient venus nous rejoindre. Nous nous amusions à nous éclabousser joyeusement. Un bon quart d’heure après, maman et papa étaient également venus nous rejoindre en tenue d’Adam et Eve ! Il ne manquait plus que l’oncle Pierre à l’appel. A mon avis il devait encore être dans les bras de Morphée.
Maman avait interrompu la baignade en nous disant que le petit déjeuner était prêt sur la table de la terrasse. Nous nous étions séchés pour rejoindre la table, toujours nus !
Nous avions donc mangé de bon appétit les petits pains et les croissants tout frais apportés pas le boulanger du coin. Le café était fumant dans les tasses et maman et Anne, elles avaient leur chocolat-chaud.
Anne, Jean, Henri et moi nous étions retournés à la piscine pour une nouvelle fois faire les fou-fous, nous éclabousser mutuellement, sauter et plonger, bref nous étions super bien et de plus le temps était de la partie, il y avait déjà 23°c à l'extérieur.
Une fois la petite baignade terminée, papa nous proposait d’aller vers La Tranche sur Mer pour y passer la matinée et ensuite l’après-midi sur la plage de la Faute Sur Mer. Nous étions tous emballés par cette proposition. Nous avions décidé de changer de véhicule pour nous y rendre, Anne et Jean allaient dans le véhicule de l’oncle Pierre tandis que moi et Henri nous irions dans celui de papa.
Papa avait également dit que ceux qui voulaient, pouvaient aussi à la plage « des Lays » à la Barre de Mont, avec moi et Henri, le lendemain, et ce suite à ma sollicitation auprès du patriarche de la famille.
Tout le monde avait l’air d’accord sur le programme des premiers jours.
Hop, une fois tous habillés, nous nous étions répartis dans les deux véhicules tels qu’il avait été décidé.
Vacances en Vendée.
Le lendemain matin Henri préparait une petite valise pour la semaine avec quelques effets. Il avait également préparé quelques présents à offrir sur place pour encore une fois montrer son affection envers la famille qui l’avait invité à passer une semaine avec elle.
La maman d’Henri avait pris contact par téléphone avec ma maman. Elles avaient conversé un bon moment. Elles s’étaient très bien entendues et avaient pu mettre les choses au point concernant notre relation. Je savais que ma maman était très ouverte et elle me fit part après l’entretien téléphonique avec la maman d’Henri, qu’il n’y avait aucun problème et nous étions assez matures que pour pouvoir assumer notre relation en insistant bien sur le fait que cela ne devait pas transparaître en vers l’extérieur et les personnes quelques peu hostiles que nous aurions à affronter ultérieurement. Bref l’entretien téléphonique s’était assez bien passé.
Henri et moi nous nous étions retrouvés l’après-midi pour une séance de cinéma. Nous étions allés voir le film « Le Parrain » de Francis Ford Coppola avec Al Pacino. Nous avions très bien aimé ce film quelque peu violent.
Le départ se rapprochait de plus en plus. Henri était venu loger chez nous la veille du grand départ pour la Vendée. Il avait été convenu que nous irions Henri et moi dans le véhicule de l’oncle Pierre qui venait avec nous en vacances. Oncle Pierre était le frère de maman. Il était célibataire, mais avait la réputation d’être un coureur de jupons ! Le reste de la famille, soit ma sœur Anne, mon frère Jean, Maman et Papa dans sa voiture. Tout le monde avait rendez-vous à la maison à 07h15 pour un départ à 07h30 pétante !
Henri avait donc dormi avec moi dans mon lit. Nous avions été très sages, nous nous étions contentés de nous embrasser tendrement et nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre.
Bip, bip, bip, … le réveil, il est 06h30. Hop toute la maisonnée était levée. Papa chargeait le reste des bagages dans le coffre de la voiture tandis que maman terminait de préparer les sandwichs pour le déjeuner, nous allions manger en cours de route. Vite fait bien fait nous avions avalé le petit-déjeuner. Et comme Papa l’avait demandé, nous étions fin prêts à 07h15, au moment où l’oncle Pierre arrivait lui aussi avec sa voiture décapotable. Henri était super contant de pouvoir voyager la tête au vent jusqu’à notre destination.
Notre destination, c’est Notre Dame de Mont, en Vendée. Papa avait loué une villa avec piscine pour notre séjour. C’était à la demande de Maman, car elle n’aime pas aller sur plage et avoir du sable qui colle partout. Nous avions déjà séjourné dans cette localité balnéaire il y a quelques années, mais j’étais plus jeune et j’en avais un vague souvenir. Je me souvenais qu’il y avait une plage naturiste à proximité, en direction de l’île de Noirmoutier.
Durant le trajet Henri et moi nous nous étions placés sur la banquette arrière de l’auto d’oncle Pierre, le laissant donc seul à l’avant, côté chauffeur bien entendu. (Petit rire). Durant le trajet Henri m’avait demandé comment ça se passait sur plage naturiste, si on avait des érections incontrôlées, et ce genre de détails. Je lui avais répondu que ça n’arrivait pratiquement pas d’avoir une bandaison, mais qu’à notre âge ce n’était pas rare, mais que personne n’y prêtait attention du moment qu’on reste tranquille et assis sur une serviette ou à même le sable de la plage. Henri avait eu l’air d’être rassuré.
J’avais alors pu remarquer qu’un bosse s’était formée sur le devant du short d’Henri, moi aussi j’avais le mat de tente au milieu de l’avant de mon propre short. Le fait d’avoir parlé ensemble de bites et d’érections, nos anatomies s’étaient une nouvelle fois réveillées. Henri passait de temps à autre sa main sur sa protubérance et il en était de même pour moi. Mon oncle Pierre avait bien vu dans le rétro de son véhicule cabriolet que nous nous touchions de temps en temps l’endroit sensible des garçons, soit le sexe ! Je vis mon oncle sourire dans le reflet du rétro. Puis, mon oncle en se tournant en peu vers l’arrière, nous dit « C’est assez chaud à l’arrière, s’il faut baisser la température, ne vous gênez pas. Mais attention aux sièges ! » Je n’en revenais pas de ce qu’oncle Pierre venait de nous dire, mais finalement cela ne m’étonna point. J’étais certain que mon oncle était surement « bi » en fonction des ses réflexions et de ses attitudes un peu équivoques. Via le rétro je lui ai souri et lui de son côté me fit un clin d’œil.
Ayant l’aval de mon oncle, et sans vergogne, ne résistant pas au désir de satisfaire mon cher Henri, j’avais posé ma main sur le devant de son short. Puis je m’étais mis à caresser la bosse qui était déjà bien volumineuse. Henri de son côté n’était en reste, il avait également posé sa main sur mon anatomie dressée et dissimulée sous l’étoffe de mon short. Nous avons chacun pris soin de défaire la tirette et le ceinture de notre short afin de libérer un peu la pression. Je prenais alors de l’assurance, sachant que mon oncle Pierre allait regarder dans le rétro ce qui se passait sur la banquette arrière de sa voiture. J’avais donc fait glisser ma main entre le slip et la peau du pubis d’Henri en vue de me saisir de sa queue gorgée de sang. Henri de son côté calquait ses gestes sur les miens en regardant dans le rétro si mon oncle regardait lui vers ce qui se passait à l’arrière. J’avais alors susurré à l’oreille d’Henri de ne pas tenir compte de mon oncle car celui-ci ne dirait rien à personne au sujet de ce qu’il pouvait voir. J’avais alors baissé le slip d’Henri pour dégager sa bite et commencer une lente masturbation. Henri ayant suivit le mouvement, avait également baissé mon slip et s’attaquait à mon mat de cocagne. Nous nous masturbions mutuellement et lentement, procurant à l’être aimé des sensations nouvelles. J’avais ressenti plus de sensations à être masturbé assis à l’arrière du véhicule de mon oncle, dans le vent et exposé à l’air et au soleil qui nous chauffait. C’était une nouvelle sensation jamais connue auparavant ! Henri de son côté semblait ressentir la même chose que moi, nous étions en train de nous masturber mutuellement, à l’unisson, en ressentant les mêmes émotions au même moment. Nous nous étions astiqués un bon quart d’heure et puis nos corps s’étaient cambrés, nos sexes s’étaient une nouvelle fois gonflés au maximum pour ensuite laisser s’échapper plusieurs jets de sperme dans nos mains. J’avais alors léché mes doigts couvert de sperme d’Henri, je ne voulais pas perdre sa semence. Henri de son côté fit de même en léchant ses doigts pour goûter lui aussi à ma semence. Nous étions comme sur un nuage, nous nagions dans le bonheur, nous avions ressenti tant de sensations nouvellement partagées. Mon oncle n’avait semble-t-il rein perdu de nos exploits et il m’avait alors tendu un paquet de mouchoirs en papier pour essuyer les dernières traces de sperme. Je pense même qu’il a apprécié nos exploits.
Nous nous étions rhabillés et nous avions poursuivi la route sagement, attendant d’arriver sur le lieu de villégiature.
L’oncle Pierre, le frère de maman, est en fait un très bon ami de papa. C’est grâce à l’oncle Pierre que Maman à connu papa.
L’oncle Pierre m’avait déjà dit que lui et mon père avaient été dans les mêmes classes à l’école. Qu’ils étaient très bons amis. J’en avais même déduit de très bons amis dans tous les sens du terme. Je n’en étais pas certain, mais je soupçonne l’oncle Pierre et mon père d’avoir été « amants » durant leur jeunesse. C’était semble-t-il bien avant que papa ne fasse la connaissance de maman. Mais je n’en n’avais aucune certitude !
Finalement nous étions arrivés à destination sans encombre. Papa était déjà arrivé depuis plus de 10 minutes. Nous avions déchargé les deux voitures et placé les bagages dans l’entrée de la villa.
Nous avions directement fait le tour du propriétaire, pour moi c’était la piscine qui importait le plus et par après la chambre et le lit bien entendu. La piscine était splendide, environ 15 mètres de long sur 8 mètres de large et la grande profondeur à 2,30 mètres, le pied !!!
Concernant la chambre, Henri et moi nous avions pu avoir une chambre avec un grand lit de deux personnes. Nous étions ravis et avions directement remercié maman et papa pour ce geste très apprécié.
Nous nous sommes installés Henri et moi, nous avions défait nos bagages et rangés nos effets dans l’armoire. Une fois l’installation terminée, Henri m’avait pris par la main et m’avait conduit jusqu’au lit. Nous nous étions couchés sur le lit et avions pu sentir que le matelas était des meilleurs, nous pourrions passer de très bonnes nuits sur ce lit double.
Dans la villa il y avait trois salles-de-bain, l’une pour les parents qui était attenante à leur chambre, une pour l’oncle Pierre, juste en face de sa chambre et enfin une dernière qui était située en face des trois chambres utilisées par les plus jeunes, soit ma sœur, mon frère Jean et moi et mon amant Henri. Ma sœur avait une chambre à un lit simple ainsi que mon frère Jean.
Henri et moi nous nous étions redressés et Henri avait envie de prendre une douche à l’issue du trajet que nous avions fait dans la voiture de l’oncle Pierre. Nous nous étions déshabillés dans la chambre pour nous rendre à la salle de bain.
Dans le couloir, nous avions vu que l’oncle Pierre avait eu la même idée et qu’il allait lui aussi vers sa salle de bain entièrement nu. On nous voyant, il nous lançait : « Une bonne douche vous fera du bien les amoureux ! »
Je m’étais tourné vers Henri et je lui ai donné un baiser sur la bouche, geste que l’oncle avait bien remarqué avant d’entrer dans la salle d’eau. Nous étions alors dans la salle de bain où nous avions poursuivi notre baiser qui devenait de plus en plus fougueux. Nos anatomies n’étaient pas restées de marbre non plus, elles pointaient fièrement vers le ciel. Nous nous étions glissés sous la douche et nous avions poursuivi nos caresses.
A un moment mon frère Jean entrait lui aussi dans la sale de bain, il avait eu la même idée que nous, prendre une douche. Nous n’avions pas arrêté nos caresses et Jean était venu nous rejoindre dans la grande douche italienne à trois pommeaux de douche. Jean s’était lui aussi mis à bander. Nous nous étions tous les trois regardés et nous nous étions mis à rire en voyant nos virilités dressées. Nous avions chacun pris notre sexe en main et nous nous étions mis à nous masturber langoureusement. Puis, j’ai placé ma main sur le sexe d’Henri, il s’était alors mis à me branler doucement. Jean de son côté s’était enhardi, il avait pris sa main et la posait sur le sexe d’Henri et il commença à le masturber. J’avais alors regardé tour à tour Henri et Jean, Henri me fit un clin d’œil et avec un peu de peur, j’avais posé ma main sur le sexe de mon petit frère Jean. J’avais alors commencé une lente et douce masturbation de sa pine. Nous nous regardions sans rien dire, en nous faisant tous les trois plaisir.
Nous avions éjaculé tous les trois presque en même temps au moment où ma sœur Anne entrait nue dans la salle de bain.
Anne : « Alors on ne s’embête pas les mecs ! Vous êtes incroyables ! »
Anne sortait de la salle de bain, nous laissant le temps de nettoyer nos traces de semences qui ornaient la douche.
Une fois que nous nous étions acquittés de la remise en ordre de la salle d’eau nous étions allés prévenir Anne que la salle de bain était libre. Ma sœur Anne, toujours nue, nous avait dit en passant : « La prochaine fois verrouillez la porte les gars. ».
J’avais alors dit à Henri : « Tu vois, ce sont les vacances et nous sommes tout le temps tous à poil ! »
Henri : « Oui Phil, je vois bien, mais cela ne me dérange pas, je pense que j’y prends goût ! »
Jean : « Oui, Henri, c’est très bien et ça prouve que tu es très bien intégré et accepté par la famille. »
Moi : « Et la même chose dans l’autre sens ! »
Nous nous étions mis rire de bon cœur.
Nous nous étions rendus sur la terrasse pour y prendre le souper. C’était un repas assez simple mais très gouteux. Il était constitué de pain frais, de fromage de la région et de charcuteries. Bien évidement il y avait des fruits de saison.
Nous avions passé la fin du repas à discuter de chose et d’autre. Mon oncle Pierre parlait de son cabriolet, dont il était assez fier (il y a de quoi), papa parlait des prochaines activités à faire pour le séjour, maman voulait savoir ce qu’il nous ferait plaisir pour les prochains repas, bref une cacophonie magistrale !
Nous avions alors laissé carte blanche à maman en ce qui concerne les repas, en précisant que nous étions disponibles pour l’aider, bien entendu ! Éclats de rire général !!!
J’avais ensuite pris la parole pour demander à papa si nous pouvions aller à la plage de la Barre de Mont pour y passer une après-midi avec qui voulait me suivre, je voulais dire, « nous suivre », Henri et moi. Papa m’avait répondu pas de problème, nous pouvions y aller et c’était même très facile à vélo. Des chemins cyclables avaient été aménagés à cet effet au travers des pinèdes. Papa nous avait aussi signalé qu’il était possible d’aller sur l’Ile de Noirmoutier pour fréquenter le parc aquatique « Océanile » pour y passer une journée. Nous avions tous dit oui à cette proposition.
Avant d’aller nous coucher, Henri, Jean et Anne nous avions donné un coup de main à maman pour débarrasser la table du dîner.
Ensuite, J’avais proposé à Henri et mon frère Jean d’aller piquer une tête dans la piscine. Comme un seul homme, nous nous étions débarrassés de nos vêtements et nus nous nous étions plongés dans l’eau tiède de la piscine de la villa. Nous nous étions amusés, nous nous étions éclaboussés l’un l’autre et même mon oncle Pierre est venu nous rejoindre.
Une fois la baignade terminée, nous nous étions séchés et avions regagnés nos chambres.
Henri et moi nous nous sommes couchés dans notre grand lit, côte à côté. Nous nous étions regardés, nous nous sommes embrassés langoureusement. Henri m’avait alors susurré à l’oreille : « Comme je suis heureux d’être avec toi et ta famille, ici en vacances ! ».
Nous nous étions ensuite endormis sagement dans les bras l’un de l’autre.
Nous nous étions réveillés vers huit heures. Il faisait très beau, le soleil était déjà bien présent. Je m’étais tourné vers Henri et je lui avais donné un baiser sur la bouche. Nous nous étions alors embrassés laissant nos langues se toucher sensiblement ; Ayant une trique matinale d’enfer, nous nous étions occupés de la tige de notre amant respectif. Nous nous étions masturbés allègrement. Nous avions joui sur nos ventres et sur la main de notre branleur dans un râle commun.
Puis une fois debout, j’avais dit à Henri de me suivre car j’avais envie d’aller barboter dans la piscine. Nous avions donc gagné la piscine, nus comme des vers. A peine étions-nous dans l’eau que mon frère Jean et ma sœur Anne étaient venus nous rejoindre. Nous nous amusions à nous éclabousser joyeusement. Un bon quart d’heure après, maman et papa étaient également venus nous rejoindre en tenue d’Adam et Eve ! Il ne manquait plus que l’oncle Pierre à l’appel. A mon avis il devait encore être dans les bras de Morphée.
Maman avait interrompu la baignade en nous disant que le petit déjeuner était prêt sur la table de la terrasse. Nous nous étions séchés pour rejoindre la table, toujours nus !
Nous avions donc mangé de bon appétit les petits pains et les croissants tout frais apportés pas le boulanger du coin. Le café était fumant dans les tasses et maman et Anne, elles avaient leur chocolat-chaud.
Anne, Jean, Henri et moi nous étions retournés à la piscine pour une nouvelle fois faire les fou-fous, nous éclabousser mutuellement, sauter et plonger, bref nous étions super bien et de plus le temps était de la partie, il y avait déjà 23°c à l'extérieur.
Une fois la petite baignade terminée, papa nous proposait d’aller vers La Tranche sur Mer pour y passer la matinée et ensuite l’après-midi sur la plage de la Faute Sur Mer. Nous étions tous emballés par cette proposition. Nous avions décidé de changer de véhicule pour nous y rendre, Anne et Jean allaient dans le véhicule de l’oncle Pierre tandis que moi et Henri nous irions dans celui de papa.
Papa avait également dit que ceux qui voulaient, pouvaient aussi à la plage « des Lays » à la Barre de Mont, avec moi et Henri, le lendemain, et ce suite à ma sollicitation auprès du patriarche de la famille.
Tout le monde avait l’air d’accord sur le programme des premiers jours.
Hop, une fois tous habillés, nous nous étions répartis dans les deux véhicules tels qu’il avait été décidé.