19-12-2020, 01:05 PM
(Modification du message : 21-12-2020, 10:13 AM par Philou0033.)
Chapitre 3.
Au petit matin, alors que nous étions encore endormis, Stéphane avait quitté la chambre qu’il occupait avec ses deux jeunes cousins. Il était sorti de la maison sans faire de bruit en passant par la buanderie qui donnait directement au jardin. Il est directement allé vers la tente dans laquelle je dormais à côté d’Henri. J’ai été réveillé par la tirette de la porte de la tente, un bruit si souvent entendu quand j’étais sous tente chez les scouts. J’ai ouvert les yeux et j’ai vu la tête de mon cousin Stéphane passer entre les deux battants de toile de la porte de tente. Stéphane me regardait avec des yeux envieux, il venait de voir qu’Henri et moi avions dormi dans le même sac duvet (nous avions relié nos deux duvets pour ne plus en faire qu’un) et il pensait que nous avions certainement passé un bon moment la veille au soir. Stéphane entra dans la tente. (C’était une tente de trois personnes et il y avait donc assez de place) Stéphane était encore en pyjama, plus exactement en pyjama short. Je lui fis signe de venir près de moi. Il se place à côté de moi, au-dessus du duvet. Il me murmura à l’oreille « As-tu passé une bonne nuit ? » je lui répondis « oui, très bonne ». Il ajouta alors « As-tu passé un bon moment avec Henri ? », je lui répondis « oui, un très bon moment ». Il me dit encore « Phil, (il m’appelait par mon surnom) il faut que je te dise, j’ai aussi envie de passer un bon moment avec toi, j’ai rêvé de toi hier soir et j’ai envie de … » Je venais de mettre ma main sur sa bouche pour qu’il ne dise plus rien. Je lui ai alors donné un baiser sur les lèvres. Je lui ai ôté sa veste de pyjama et son short. Mon cousin Stéphane bandait déjà, son sexe n’était pas très long, un peu fin, il n’était pas circoncis et était à demi bandé. Il avait déjà une belle toison au niveau du pubis et il avait quelques poils aux jambes. Son visage était fin, et un fin duvet naissait sous le nez. Un fois nu, j’ai fait un peu de place à côté de moi dans le sac duvet pour que Stéphane puisse y entrer. Stéphane a vu que nous étions aussi à poil dans le duvet que nous avions passé la nuit dans cet état. Stéphane mis alors une main sur ma cuisse. De mon côté j’avais aussi placé une main sur son torse. La main de Stéphane se glissa vers mon entrejambe. Je me laissais faire. La main de Stéphane remonta vers le périnée. Sa main buta sur mes bourses. Je me suis mis aussi à caresser le torse de Stéphane, descendant vers le ventre et ensuite vers le bas du ventre. Stéphane pris dans sa main mon sexe bandé et se mit à faire de mouvement de va et vient. Ma main descendit plus bas et vient enserrer le sexe bandé de Stéphane. Je me suis mis à branler la queue de mon cousin. Je sentais que la respiration de Stéphane était de plus en plus rapide, je sentais son sexe palpiter dans ma main, je sentais qu’il allait bientôt arriver au point de non-retour, j’ai ralenti le mouvement pour qu’il ne jouisse pas trop vite. De mon côté je sentais que ma sève n’était pas encore prête à jaillir. Je laissais Stéphane me donner du plaisir, mais je sentais qu’il était proche de l’orgasme et qu’il allait lâcher son foutre d’un moment à l’autre. C’est alors qu’Henri, qui venait d’ouvrir les yeux, nous dit « Alors les cousins, un peu d’aide ! » C’est à ce moment précis que Stéphane éjacula dans ma main. Il lâcha ma queue, rompu par le plaisir qu’il venait d’avoir. Je me suis retourné vers Henri et je lui ai donné un baiser sur les lèvres. Échauffé par ce qu’il venait de voir, Henri se saisi de mon sexe et se mit à me branler. J’ai avancé ma main et j’ai découvert le sexe d’Henri déjà bien dur, je l’ai saisi et je l’ai branlé. Du coin de l’œil je voyais Stéphane nous regarder avec plaisir. Henri et moi nous nous sommes fait plaisir devant Stéphane. Nous avons profité du moment présent, nous nous sommes fait monter, nous avons senti monter nos sèves dans nos queues, nous avons éjaculé presque au même moment dans un gémissement de bonheur. Ensuite nous nous sommes roulés une pelle, nous titillant la langue. Puis une fois la tension redescendue, nous sommes restés coucher une demi-heure en compagnie de Stéphane.
Nous nous sommes ensuite levés. Nous sommes allés prendre une bonne douche dans la salle de bain, douche que nous avons pris à trois. Nous nous caressions les uns les autres, nous avons une nouvelle fois rebandé et nous nous sommes masturbés mutuellement à trois. Je masturbais Henri, Henri s’occupait de Stéphane et finalement Stéphane me branlait. Nous avons éjaculé presque en même temps. Nous avons fini par nous laver.
La journée s’est déroulée à jouer dans le jardin, nous avons été faire une ballade en vélo, nous avons mangé une glace à la boulangerie du village. Nous étions contents d’être ensemble. Mais je savais que notre séjour allait toucher à sa fin, je savais que Henri et moi nous devions bientôt partir pour rentrer chez nous.
Le soir Henri et moi nous avons rejoint la tente. Nous nous sommes couchés dans notre grand duvet. Nous avons discuté du fait que nous devions bientôt repartir et nous avons calculé qu’il ne restait plus qu’un jour complet à passer en compagnie de mon cousin Stéphane. Comme j’allais m’endormir, j’ai senti sur ma cuisse la main d’Henri, elle me caressait la cuisse. Ce seul contact me fit bander très vite. Je me suis retourné vers Henri et je lui ai donné un baiser sur les lèvres. Puis nous nous sommes embrassés, nous nous sommes caressés les fesses, le dos. J’aimais bien qu’Henri me caresse de la sorte, il avait l’art de faire passer le temps, de revenir sur une partie du corps pour ensuite la quitter et puis une nouvelle fois y revenir. J’ai alors eu envie de goûter au sexe d’Henri. Je lui ai dit que je voulais le sucer, il m’a dit oui et nous nous sommes retrouvés têtes bêches. Je donnais des baisers à la queue d’Henri, je laissais ma langue aller de bas en haut et haut en bas sur elle, je titillais de temps à autre son gland. Henri de son côté calquait ses caresses buccales sur les miennes. Il avait fait beaucoup de progrès. Nous nous sucions avec avidité lorsque j’ai vu la tête de Stéphane passer sous la porte de la tente. J’ai poursuivi la pipe que je faisais à Henri et Henri de son côté n’avait pas vu Stéphane. Stéphane est entré et s’est placé à côté de nous. Il avait le sexe bandé sous son short de pyjama. Il l’a ôté et s’est masturbé en nous regardant nous sucer. Ça m’a fait décharger assez vite dans le fond de la gorge d’Henri qui lui est venu quelques instants après moi. Voyant ça Stéphane a déchargé dans sa main. Nous nous sommes essuyés et nous nous sommes couchés tous les trois pour reprendre nos esprits. Stéphane était heureux, ça se voyait car il avait un large sourire aux lèvres. Je lui ai demandé si ce qu’il avait vu lui avait procuré du plaisir. Mon cousin Stéphane m’a répondu qu’il avait apprécié ce moment-là, qu’il avait aimé me voir avec Henri dans un 69 qu’il venait de voir pour la première fois. Il se demandait si ça faisait mal, si les dents pouvaient faire mal, il nous demandait quelle sensation et quel goût pouvait avoir le sperme, bref il s’intéressait à la fellation. Je lui ai dit de retourner dans sa chambre et que nous en reparlerions demain. Stéphane m’a souhaité une bonne nuit en me laissant un baiser sur les lèvres et il fit de même avec Henri.
Au matin, en nous réveillant, nous avions que ce serait la dernière journée que nous allions passer avec mon cousin Stéphane. En effet ma mère devait venir nous reprendre dans le courant de la matinée du lendemain. Bref nous comptions bien profiter de cette dernière journée. Une fois à table pour le petit déjeuné, juste avant le départ de mon oncle pour sa journée de travail, je lui ai demandé si nous pouvions partir toute la journée en vélo et pique-niquer en cours de route. Mon oncle ne dit rien durant quelques secondes, on voyait qu’il réfléchissait. Puis d’un large sourire il nous dit : « bon les enfants, c’est d’accord, mais pas de bêtises, soyez rentrés pour le goûter ». Nous étions tous les trois très heureux de cette décision. Nous étions impatients de pourvoir partir avec les vélos au travers de la campagne. Nous avons préparé notre casse-croûte avec ma tante et dans les minutes qui suivaient nous étions sur la route. Nous avons roulé quelques kilomètres en direction de la rivière. Arrivés sur place nous avions trouvé un endroit calme où la rivière serpente au travers d’un petit bois. Nous avions trouvé une petite étendue d’herbe tendre. Nous nous sommes couchés sur ce doux matelas. Nous reparlions de ce nous avions vécu durant ces quelques jours. La matinée a passé très vite. Nous avons mangé notre casse-croûte en blaguant et en racontant des histoires drôles. Puis une fois le ventre plein nous nous sommes endormis dans l’herbe tendre sous un rayon de soleil tamisé par les branches des arbres qui nous entouraient. Après une bonne heure de sieste nous nous sommes réveillés. Henri nous disait qu’il avait envie d’aller un peu dans l’eau de la rivière. Nous avons aussi accepté et nous nous sommes déshabillés pour aller nager dans la rivière. Nous étions nus, pas de maillot et puis il n’y avait personne à l’horizon. Nous nous sommes éclaboussés, nous avons ris, nous avons passé un bon moment. Nous nous sommes ensuite étendus au soleil pour nous sécher. Stéphane me regardais, il regardait mon corps chauffé par le soleil. Il se rapprocha de moi. Je sentais alors la chaleur de son corps collé au mien. Stéphane m’a souri. Henri lui aussi était à côté de moi, il s’est aussi rapproché et j’avais à côté de moi mon amour de vacances et mon cousin adoré. Je voyais que leurs sexes étaient à demi bandés. Le mien se mit aussi à prendre de l’ampleur, Stéphane et Henri s’en apercevaient aussi. Stéphane me dit alors : « veux-tu me sucer », je me suis retourné vers Henri qui me fit signe oui de la tête, Henri était d’accord. J’ai donné un baiser sur les lèvres d’Henri et puis je me suis retourné vers Stéphane. Je me suis approché de sa bouche, j’ai posé mes lèvres sur les siennes, j’ai ouvert ma bouche pour laisser ma langue sortir et nos langues se sont titillées. Je me suis ensuite occupé de son sexe, j’ai placé ma bouche au dessus de son sexe, l’ai léché le bout de cette tige et puis j’ai avalé cette queue jusqu’à la garde. Je me suis mis à faire des mouvements de va et vient sur cette barre de chaire, j’ai pompé le sexe de mon cousin, j’en rêvais depuis quelques temps. Je sentais à sa respiration que Stéphane allait bientôt décharger, qu’il était au bord de l’éjaculation, j’ai accéléré mes caresses buccales et mon cousin a lâché quatre jets de sperme au fond de ma gorge. J’ai gardé cette semence dans ma bouche et j’ai donné un baiser à Stéphane qui lui aussi a pu goûter son sperme. Henri lui était toujours à nos côté, le sexe bandé attendant qu’on s’occupe de lui. Stéphane m’a fait un clin d’œil et s’est occupé du sexe bandé d’Henri. Stéphane s’est mis à faire une pipe à Henri, je voyais qu’Henri appréciait aussi les caresses buccales prodiguées par mon cousin. Cela n’a pas pris beaucoup de temps avant qu’Henri ne décharge au fond de la gorge de Stéphane. Comme avec moi, Stéphane à fait goûté à Henri son sperme par un baiser échangé. J’étais heureux de voir Henri et Stéphane s’appréciaient ainsi. Puis mes deux amis me voyant le sexe bandé et ne pouvant pas me laisser dans cet état-là, se sont mis à me caresser à deux, ils m’ont caressé partout sur le corps, ils m’ont branlé à deux et j’ai assez vite déchargé sur mon ventre. Puis avec leurs langues ils m’ont léché le ventre pour le nettoyer et aussi pour goûter à ma semence.
Nous nous sommes rhabillés et nous avons repris nos vélos pour rentrer avant le goûter à la maison.
La soirée s’est déroulée très calmement. Nous nous sommes endormis assez vite, nous étions fourbus par cette journée en plein air.
Au matin, après le petit déjeuné, Henri, Stéphane et moi nous avons replié la tente. Nous avions refait nos valises. Ma mère était annoncée pour les dix heures. A dix heures juste, elle arrive. Elle était assez pressée de rentrer car elle avait encore pas mal de choses à faire. Henri et moi avons dit au revoir à ma tante et à mon cousin Stéphane.
La fin des vacances approchait, et nous avions Henri et moi envie d’encore passer quelques bons moments ensemble. Je propose alors à Henri de venir dormir à la maison. Henri demanda à ses parents la permission de loger chez son ami Phil ; ils acceptent tout de suite voyant la mine réjouie de leur fils Henri.
Une fois arrivé à la maison, Henri fit la connaissance de ma sœur Anne, très élancée, cheveux blonds assez longs, presque 18 ans et de mon petit frère Jean âgé de 15 ans, 1,60 m, 55 kg, cheveux mi-longs châtain clair. Mes parents devaient rentrer dans une bonne heure. Henri et moi nous sommes montés dans ma chambre et nous avons mis un peu de musique et nous nous sommes assis sur mon lit pour regarder quelques BD d’Astérix.
Mes parents sont enfin arrivés. Nous sommes alors descendus pour les saluer. J’ai présenté Henri. Maman a donné une bise à Henri sur la joue ; Henri lui dit « bonjour madame », elle lui a répondu, « non pas de madame qui tienne, moi c’est Jacqueline », Henri : « oui, bonjour Jacqueline ». Mon père serra la main d’Henri et lui dit : « moi c’est Jean-Claude », Henri répondit : « bonjour Jean-Claude ». Maman l’a trouvé très mignon. Nous avons alors dîné tous ensemble et avons parlé de tout et de rien. Une fois le repas terminé nous avons débarrassé la table pour aider ma maman. Nous avons rejoint mon père, ma sœur Anne et mon frère Jean au salon où nous avons regardé la télé. Vers 22 heures nous avons souhaité une bonne nuit et nous sommes remontés dans ma chambre.
Maman avait préparé un matelas gonflable pour Henri ainsi qu’un sac de couchage. Voyant le matelas et la tête d’Henri, je lui dis de ne pas s‘inquiéter, que nous irions dans mon lit. Tout de suite Henri me pris dans ses bras et serra fort. Il déposa sur ma bouche un petit baiser plein de tendresse. Nous nous sommes allongés sur mon lit pour nous caresser et nous embrasser à pleine bouche.
Nous nous sommes déshabillés mutuellement en commençant par les t-shirts, le pantalon et ensuite les slips. Henri avait déjà la verge à moitié tendue, la mienne était dans le même état. Nous nous sommes caressés, j’ai mordillé le bout de ses petits tétons, je suis descendu jusqu’à son nombril et ensuite je suis arrivé avec la bouche à hauteur de sa hampe dressée. J’ai léché le gland déjà un peu humide pour ensuite prendre à pleine bouche la barre de chaire bandée de mon chéri Henri. Je me suis appliqué à lui procurer le plus de sensations possible et ainsi lui donner un très grand plaisir avec ma bouche. Je prenais de mon côté un très grand plaisir à jouer avec la bite d’Henri avec la bouche. Je voyais qu’Henri respirait de plus en plus vite, il se contractait au fur et à mesure que je le suçais, je savais qu’il était sur le point d’éjaculer. Henri me fit savoir qu’il allait venir en tentant de me faire reculer pour ne pas inonder ma bouche avec son foutre. J’ai continué car je voulais recevoir son nectar en entier. Henri se cabra alors et cinq jets se sont écrasés au fond de ma gorge. J’ai tout avalé pour ensuite nettoyer le pénis d’Henri avec ma langue. J’ai alors entendu d’une voix chevrotante « Merci Phil, je t‘aime tu sais ».
Henri descendit sa tête vers mon entre jambe pour y trouver mon vis dressé vers le ciel. Il happa alors mon sexe et se mis à faire de mouvements de va et viens avec sa langue dans sa bouche. Il suçait mon gland de manière divine, il alternait la pressions faite avec ses lèvres sur mon sexe, il me taillait une pipe d’enfer. Il avait pris de l’assurance ce petit mec ! Puis sentant que j’allais bientôt décharger, je fis signe à Henri que j’allais venir, il poursuivi son ouvrage autour de ma bite et malaxant mes deux boules. Puis dans un cri de grande satisfaction j’ai éjaculé comme jamais dans la bouche de mon aimé. Henri a avalé toute la quantité de sperme que j’avais laissé partir dans sa bouche. Je me suis penché vers Henri et je l’ai embrassé alors qu’il avait encore un peu de mon sperme au coin des lèvres. Nous avons donc partagé un peu de ma semence dans un baiser fougueux. Puis j’ai glissé à l’oreille d’Henri : « merci mon petit mec, c’était super, je t’adore ».
Nous sommes restés allongés l’un à côté de l’autre, sans rien dire.
Une bonne heure s’était écoulée quand nous avons repris nos caresses et nos baisers. Nos sexes se sont très vite réveillés pour pointer vers le haut. Je me suis penché vers Henri pour lui demander s’il était d’accord pour aller plus loin. Henri m’a regardé dans les yeux et j’y ai vu cette lueur angélique que le caractérisait lors du camp scout. Puis il me demande : « ça va faire mal Phil, j’ai un peu peur ». Je lui ai répondu que c’était une inconnue pour moi aussi, car je n’avais jamais sodomisé quelqu’un auparavant ! Puis avec son sourire de bel ado, il m’a fait comprendre qu’il était partant. J’ai alors pris dans la table de nuit deux capotes et du lubrifiant que j’avais piqué à ma sœur Anne. J’ai proposé à Henri de le laissé commencer, mais il a préféré que ce soit moi. J’ai enfilé le préservatif sur mon membre dressé, je l’ai enduit de lubrifiant alors qu’Henri s’était placé de façon a m’offrir son anus. J’ai placé mon sexe à l’entrée de sa grotte et j’ai progressé petit à petit dans son anus en avançant puis en reculant en lui demandant s’il avait mail. Pour finir je suis parvenu par introduire tout mon membre dans les entrailles de mon très cher Henri. De son côté mon Henri gémissait un peu, je lui redemandais s’il avait mal, et chaque fois il me disait, un peu mais ça va, continue. Puis j’ai commencé des vas et viens dans sa grotte, Henri disait : « oui, vas-y, oui, c’est super, … » Je sentais que je n’étais pas loin de tout envoyer et puis dans un râle j’ai déchargé tout mon foutre au fond la capote. Je n’avais jamais ressenti une telle jouissance. Henri de son côté était aux anges, il avait lui de son côté aussi éjaculé sur les draps de mon lit tellement il avait ressenti une grande jouissance. Henri avait aimé se faire mettre par son nouvel amant !
Puis, le temps de se remettre de nos ébats, ce fut au tour d’Henri. Il me demanda si je voulais bien qu’il me fasse l’amour, qu’il me prenne lui aussi ! Je lui ai donc passé une nouvelle capote qu’il s’appliqua à enfiler sur son sexe en érection. Puis je me suis place de façon à offrir à Henri mon derrière complètement béant pour qu’il puisse enfin me faire connaître les joies de la copulation anale. Henri se mit un peu de lubrifiant sur le sexe recouvert et aussi sur mon anus, puis le présenta entre mes fesses. Il attendit un moment, il hésitait encore. J’ai alors dis à Henri que je l’aimais et qu’il pouvait dès lors prendre possession de mon corps et ainsi passer à l’acte le plus important pour deux garçons qui s’aiment, l’amour gay. Henri se repris et pressa l’antre de ma caverne anale avec son sexe bandé, il introduisit son membre centimètre par centimètre pour finir par arriver à la garde, ses couilles venant se poser entre mes fesses. Je n’ai pas eu mal du tout, il faut dire que le sexe d’Henri est plus fin que le mien ce qui fait que je n’ai senti que le passage en douceur et volupté de son sexe bandé. Henri se mit à faire des mouvements de vas et viens dans mes entrailles, je n’ai pu m’empêcher de gémir assez fort tellement je ressentais une jouissance jamais ressentie auparavant ! Henri prenait de l’assurance et me labourait l’anus avec frénésie. Mon sexe était hyper bandé et puis au moment où j’ai senti qu’Henri éjaculait dans la capote j’ai lâché 5 jets de sperme sur mon lit dans une sensation de bien-être absolu jamais ressenti avant. Une fois qu’Henri a quitté mon anatomie, je me suis affalé sur mon lit en murmurant « merci » à mon amant !
Nous sommes restés côté à côte un bon moment pour reprendre nos esprits.
Au petit matin, alors que nous étions encore endormis, Stéphane avait quitté la chambre qu’il occupait avec ses deux jeunes cousins. Il était sorti de la maison sans faire de bruit en passant par la buanderie qui donnait directement au jardin. Il est directement allé vers la tente dans laquelle je dormais à côté d’Henri. J’ai été réveillé par la tirette de la porte de la tente, un bruit si souvent entendu quand j’étais sous tente chez les scouts. J’ai ouvert les yeux et j’ai vu la tête de mon cousin Stéphane passer entre les deux battants de toile de la porte de tente. Stéphane me regardait avec des yeux envieux, il venait de voir qu’Henri et moi avions dormi dans le même sac duvet (nous avions relié nos deux duvets pour ne plus en faire qu’un) et il pensait que nous avions certainement passé un bon moment la veille au soir. Stéphane entra dans la tente. (C’était une tente de trois personnes et il y avait donc assez de place) Stéphane était encore en pyjama, plus exactement en pyjama short. Je lui fis signe de venir près de moi. Il se place à côté de moi, au-dessus du duvet. Il me murmura à l’oreille « As-tu passé une bonne nuit ? » je lui répondis « oui, très bonne ». Il ajouta alors « As-tu passé un bon moment avec Henri ? », je lui répondis « oui, un très bon moment ». Il me dit encore « Phil, (il m’appelait par mon surnom) il faut que je te dise, j’ai aussi envie de passer un bon moment avec toi, j’ai rêvé de toi hier soir et j’ai envie de … » Je venais de mettre ma main sur sa bouche pour qu’il ne dise plus rien. Je lui ai alors donné un baiser sur les lèvres. Je lui ai ôté sa veste de pyjama et son short. Mon cousin Stéphane bandait déjà, son sexe n’était pas très long, un peu fin, il n’était pas circoncis et était à demi bandé. Il avait déjà une belle toison au niveau du pubis et il avait quelques poils aux jambes. Son visage était fin, et un fin duvet naissait sous le nez. Un fois nu, j’ai fait un peu de place à côté de moi dans le sac duvet pour que Stéphane puisse y entrer. Stéphane a vu que nous étions aussi à poil dans le duvet que nous avions passé la nuit dans cet état. Stéphane mis alors une main sur ma cuisse. De mon côté j’avais aussi placé une main sur son torse. La main de Stéphane se glissa vers mon entrejambe. Je me laissais faire. La main de Stéphane remonta vers le périnée. Sa main buta sur mes bourses. Je me suis mis aussi à caresser le torse de Stéphane, descendant vers le ventre et ensuite vers le bas du ventre. Stéphane pris dans sa main mon sexe bandé et se mit à faire de mouvement de va et vient. Ma main descendit plus bas et vient enserrer le sexe bandé de Stéphane. Je me suis mis à branler la queue de mon cousin. Je sentais que la respiration de Stéphane était de plus en plus rapide, je sentais son sexe palpiter dans ma main, je sentais qu’il allait bientôt arriver au point de non-retour, j’ai ralenti le mouvement pour qu’il ne jouisse pas trop vite. De mon côté je sentais que ma sève n’était pas encore prête à jaillir. Je laissais Stéphane me donner du plaisir, mais je sentais qu’il était proche de l’orgasme et qu’il allait lâcher son foutre d’un moment à l’autre. C’est alors qu’Henri, qui venait d’ouvrir les yeux, nous dit « Alors les cousins, un peu d’aide ! » C’est à ce moment précis que Stéphane éjacula dans ma main. Il lâcha ma queue, rompu par le plaisir qu’il venait d’avoir. Je me suis retourné vers Henri et je lui ai donné un baiser sur les lèvres. Échauffé par ce qu’il venait de voir, Henri se saisi de mon sexe et se mit à me branler. J’ai avancé ma main et j’ai découvert le sexe d’Henri déjà bien dur, je l’ai saisi et je l’ai branlé. Du coin de l’œil je voyais Stéphane nous regarder avec plaisir. Henri et moi nous nous sommes fait plaisir devant Stéphane. Nous avons profité du moment présent, nous nous sommes fait monter, nous avons senti monter nos sèves dans nos queues, nous avons éjaculé presque au même moment dans un gémissement de bonheur. Ensuite nous nous sommes roulés une pelle, nous titillant la langue. Puis une fois la tension redescendue, nous sommes restés coucher une demi-heure en compagnie de Stéphane.
Nous nous sommes ensuite levés. Nous sommes allés prendre une bonne douche dans la salle de bain, douche que nous avons pris à trois. Nous nous caressions les uns les autres, nous avons une nouvelle fois rebandé et nous nous sommes masturbés mutuellement à trois. Je masturbais Henri, Henri s’occupait de Stéphane et finalement Stéphane me branlait. Nous avons éjaculé presque en même temps. Nous avons fini par nous laver.
La journée s’est déroulée à jouer dans le jardin, nous avons été faire une ballade en vélo, nous avons mangé une glace à la boulangerie du village. Nous étions contents d’être ensemble. Mais je savais que notre séjour allait toucher à sa fin, je savais que Henri et moi nous devions bientôt partir pour rentrer chez nous.
Le soir Henri et moi nous avons rejoint la tente. Nous nous sommes couchés dans notre grand duvet. Nous avons discuté du fait que nous devions bientôt repartir et nous avons calculé qu’il ne restait plus qu’un jour complet à passer en compagnie de mon cousin Stéphane. Comme j’allais m’endormir, j’ai senti sur ma cuisse la main d’Henri, elle me caressait la cuisse. Ce seul contact me fit bander très vite. Je me suis retourné vers Henri et je lui ai donné un baiser sur les lèvres. Puis nous nous sommes embrassés, nous nous sommes caressés les fesses, le dos. J’aimais bien qu’Henri me caresse de la sorte, il avait l’art de faire passer le temps, de revenir sur une partie du corps pour ensuite la quitter et puis une nouvelle fois y revenir. J’ai alors eu envie de goûter au sexe d’Henri. Je lui ai dit que je voulais le sucer, il m’a dit oui et nous nous sommes retrouvés têtes bêches. Je donnais des baisers à la queue d’Henri, je laissais ma langue aller de bas en haut et haut en bas sur elle, je titillais de temps à autre son gland. Henri de son côté calquait ses caresses buccales sur les miennes. Il avait fait beaucoup de progrès. Nous nous sucions avec avidité lorsque j’ai vu la tête de Stéphane passer sous la porte de la tente. J’ai poursuivi la pipe que je faisais à Henri et Henri de son côté n’avait pas vu Stéphane. Stéphane est entré et s’est placé à côté de nous. Il avait le sexe bandé sous son short de pyjama. Il l’a ôté et s’est masturbé en nous regardant nous sucer. Ça m’a fait décharger assez vite dans le fond de la gorge d’Henri qui lui est venu quelques instants après moi. Voyant ça Stéphane a déchargé dans sa main. Nous nous sommes essuyés et nous nous sommes couchés tous les trois pour reprendre nos esprits. Stéphane était heureux, ça se voyait car il avait un large sourire aux lèvres. Je lui ai demandé si ce qu’il avait vu lui avait procuré du plaisir. Mon cousin Stéphane m’a répondu qu’il avait apprécié ce moment-là, qu’il avait aimé me voir avec Henri dans un 69 qu’il venait de voir pour la première fois. Il se demandait si ça faisait mal, si les dents pouvaient faire mal, il nous demandait quelle sensation et quel goût pouvait avoir le sperme, bref il s’intéressait à la fellation. Je lui ai dit de retourner dans sa chambre et que nous en reparlerions demain. Stéphane m’a souhaité une bonne nuit en me laissant un baiser sur les lèvres et il fit de même avec Henri.
Au matin, en nous réveillant, nous avions que ce serait la dernière journée que nous allions passer avec mon cousin Stéphane. En effet ma mère devait venir nous reprendre dans le courant de la matinée du lendemain. Bref nous comptions bien profiter de cette dernière journée. Une fois à table pour le petit déjeuné, juste avant le départ de mon oncle pour sa journée de travail, je lui ai demandé si nous pouvions partir toute la journée en vélo et pique-niquer en cours de route. Mon oncle ne dit rien durant quelques secondes, on voyait qu’il réfléchissait. Puis d’un large sourire il nous dit : « bon les enfants, c’est d’accord, mais pas de bêtises, soyez rentrés pour le goûter ». Nous étions tous les trois très heureux de cette décision. Nous étions impatients de pourvoir partir avec les vélos au travers de la campagne. Nous avons préparé notre casse-croûte avec ma tante et dans les minutes qui suivaient nous étions sur la route. Nous avons roulé quelques kilomètres en direction de la rivière. Arrivés sur place nous avions trouvé un endroit calme où la rivière serpente au travers d’un petit bois. Nous avions trouvé une petite étendue d’herbe tendre. Nous nous sommes couchés sur ce doux matelas. Nous reparlions de ce nous avions vécu durant ces quelques jours. La matinée a passé très vite. Nous avons mangé notre casse-croûte en blaguant et en racontant des histoires drôles. Puis une fois le ventre plein nous nous sommes endormis dans l’herbe tendre sous un rayon de soleil tamisé par les branches des arbres qui nous entouraient. Après une bonne heure de sieste nous nous sommes réveillés. Henri nous disait qu’il avait envie d’aller un peu dans l’eau de la rivière. Nous avons aussi accepté et nous nous sommes déshabillés pour aller nager dans la rivière. Nous étions nus, pas de maillot et puis il n’y avait personne à l’horizon. Nous nous sommes éclaboussés, nous avons ris, nous avons passé un bon moment. Nous nous sommes ensuite étendus au soleil pour nous sécher. Stéphane me regardais, il regardait mon corps chauffé par le soleil. Il se rapprocha de moi. Je sentais alors la chaleur de son corps collé au mien. Stéphane m’a souri. Henri lui aussi était à côté de moi, il s’est aussi rapproché et j’avais à côté de moi mon amour de vacances et mon cousin adoré. Je voyais que leurs sexes étaient à demi bandés. Le mien se mit aussi à prendre de l’ampleur, Stéphane et Henri s’en apercevaient aussi. Stéphane me dit alors : « veux-tu me sucer », je me suis retourné vers Henri qui me fit signe oui de la tête, Henri était d’accord. J’ai donné un baiser sur les lèvres d’Henri et puis je me suis retourné vers Stéphane. Je me suis approché de sa bouche, j’ai posé mes lèvres sur les siennes, j’ai ouvert ma bouche pour laisser ma langue sortir et nos langues se sont titillées. Je me suis ensuite occupé de son sexe, j’ai placé ma bouche au dessus de son sexe, l’ai léché le bout de cette tige et puis j’ai avalé cette queue jusqu’à la garde. Je me suis mis à faire des mouvements de va et vient sur cette barre de chaire, j’ai pompé le sexe de mon cousin, j’en rêvais depuis quelques temps. Je sentais à sa respiration que Stéphane allait bientôt décharger, qu’il était au bord de l’éjaculation, j’ai accéléré mes caresses buccales et mon cousin a lâché quatre jets de sperme au fond de ma gorge. J’ai gardé cette semence dans ma bouche et j’ai donné un baiser à Stéphane qui lui aussi a pu goûter son sperme. Henri lui était toujours à nos côté, le sexe bandé attendant qu’on s’occupe de lui. Stéphane m’a fait un clin d’œil et s’est occupé du sexe bandé d’Henri. Stéphane s’est mis à faire une pipe à Henri, je voyais qu’Henri appréciait aussi les caresses buccales prodiguées par mon cousin. Cela n’a pas pris beaucoup de temps avant qu’Henri ne décharge au fond de la gorge de Stéphane. Comme avec moi, Stéphane à fait goûté à Henri son sperme par un baiser échangé. J’étais heureux de voir Henri et Stéphane s’appréciaient ainsi. Puis mes deux amis me voyant le sexe bandé et ne pouvant pas me laisser dans cet état-là, se sont mis à me caresser à deux, ils m’ont caressé partout sur le corps, ils m’ont branlé à deux et j’ai assez vite déchargé sur mon ventre. Puis avec leurs langues ils m’ont léché le ventre pour le nettoyer et aussi pour goûter à ma semence.
Nous nous sommes rhabillés et nous avons repris nos vélos pour rentrer avant le goûter à la maison.
La soirée s’est déroulée très calmement. Nous nous sommes endormis assez vite, nous étions fourbus par cette journée en plein air.
Au matin, après le petit déjeuné, Henri, Stéphane et moi nous avons replié la tente. Nous avions refait nos valises. Ma mère était annoncée pour les dix heures. A dix heures juste, elle arrive. Elle était assez pressée de rentrer car elle avait encore pas mal de choses à faire. Henri et moi avons dit au revoir à ma tante et à mon cousin Stéphane.
La fin des vacances approchait, et nous avions Henri et moi envie d’encore passer quelques bons moments ensemble. Je propose alors à Henri de venir dormir à la maison. Henri demanda à ses parents la permission de loger chez son ami Phil ; ils acceptent tout de suite voyant la mine réjouie de leur fils Henri.
Une fois arrivé à la maison, Henri fit la connaissance de ma sœur Anne, très élancée, cheveux blonds assez longs, presque 18 ans et de mon petit frère Jean âgé de 15 ans, 1,60 m, 55 kg, cheveux mi-longs châtain clair. Mes parents devaient rentrer dans une bonne heure. Henri et moi nous sommes montés dans ma chambre et nous avons mis un peu de musique et nous nous sommes assis sur mon lit pour regarder quelques BD d’Astérix.
Mes parents sont enfin arrivés. Nous sommes alors descendus pour les saluer. J’ai présenté Henri. Maman a donné une bise à Henri sur la joue ; Henri lui dit « bonjour madame », elle lui a répondu, « non pas de madame qui tienne, moi c’est Jacqueline », Henri : « oui, bonjour Jacqueline ». Mon père serra la main d’Henri et lui dit : « moi c’est Jean-Claude », Henri répondit : « bonjour Jean-Claude ». Maman l’a trouvé très mignon. Nous avons alors dîné tous ensemble et avons parlé de tout et de rien. Une fois le repas terminé nous avons débarrassé la table pour aider ma maman. Nous avons rejoint mon père, ma sœur Anne et mon frère Jean au salon où nous avons regardé la télé. Vers 22 heures nous avons souhaité une bonne nuit et nous sommes remontés dans ma chambre.
Maman avait préparé un matelas gonflable pour Henri ainsi qu’un sac de couchage. Voyant le matelas et la tête d’Henri, je lui dis de ne pas s‘inquiéter, que nous irions dans mon lit. Tout de suite Henri me pris dans ses bras et serra fort. Il déposa sur ma bouche un petit baiser plein de tendresse. Nous nous sommes allongés sur mon lit pour nous caresser et nous embrasser à pleine bouche.
Nous nous sommes déshabillés mutuellement en commençant par les t-shirts, le pantalon et ensuite les slips. Henri avait déjà la verge à moitié tendue, la mienne était dans le même état. Nous nous sommes caressés, j’ai mordillé le bout de ses petits tétons, je suis descendu jusqu’à son nombril et ensuite je suis arrivé avec la bouche à hauteur de sa hampe dressée. J’ai léché le gland déjà un peu humide pour ensuite prendre à pleine bouche la barre de chaire bandée de mon chéri Henri. Je me suis appliqué à lui procurer le plus de sensations possible et ainsi lui donner un très grand plaisir avec ma bouche. Je prenais de mon côté un très grand plaisir à jouer avec la bite d’Henri avec la bouche. Je voyais qu’Henri respirait de plus en plus vite, il se contractait au fur et à mesure que je le suçais, je savais qu’il était sur le point d’éjaculer. Henri me fit savoir qu’il allait venir en tentant de me faire reculer pour ne pas inonder ma bouche avec son foutre. J’ai continué car je voulais recevoir son nectar en entier. Henri se cabra alors et cinq jets se sont écrasés au fond de ma gorge. J’ai tout avalé pour ensuite nettoyer le pénis d’Henri avec ma langue. J’ai alors entendu d’une voix chevrotante « Merci Phil, je t‘aime tu sais ».
Henri descendit sa tête vers mon entre jambe pour y trouver mon vis dressé vers le ciel. Il happa alors mon sexe et se mis à faire de mouvements de va et viens avec sa langue dans sa bouche. Il suçait mon gland de manière divine, il alternait la pressions faite avec ses lèvres sur mon sexe, il me taillait une pipe d’enfer. Il avait pris de l’assurance ce petit mec ! Puis sentant que j’allais bientôt décharger, je fis signe à Henri que j’allais venir, il poursuivi son ouvrage autour de ma bite et malaxant mes deux boules. Puis dans un cri de grande satisfaction j’ai éjaculé comme jamais dans la bouche de mon aimé. Henri a avalé toute la quantité de sperme que j’avais laissé partir dans sa bouche. Je me suis penché vers Henri et je l’ai embrassé alors qu’il avait encore un peu de mon sperme au coin des lèvres. Nous avons donc partagé un peu de ma semence dans un baiser fougueux. Puis j’ai glissé à l’oreille d’Henri : « merci mon petit mec, c’était super, je t’adore ».
Nous sommes restés allongés l’un à côté de l’autre, sans rien dire.
Une bonne heure s’était écoulée quand nous avons repris nos caresses et nos baisers. Nos sexes se sont très vite réveillés pour pointer vers le haut. Je me suis penché vers Henri pour lui demander s’il était d’accord pour aller plus loin. Henri m’a regardé dans les yeux et j’y ai vu cette lueur angélique que le caractérisait lors du camp scout. Puis il me demande : « ça va faire mal Phil, j’ai un peu peur ». Je lui ai répondu que c’était une inconnue pour moi aussi, car je n’avais jamais sodomisé quelqu’un auparavant ! Puis avec son sourire de bel ado, il m’a fait comprendre qu’il était partant. J’ai alors pris dans la table de nuit deux capotes et du lubrifiant que j’avais piqué à ma sœur Anne. J’ai proposé à Henri de le laissé commencer, mais il a préféré que ce soit moi. J’ai enfilé le préservatif sur mon membre dressé, je l’ai enduit de lubrifiant alors qu’Henri s’était placé de façon a m’offrir son anus. J’ai placé mon sexe à l’entrée de sa grotte et j’ai progressé petit à petit dans son anus en avançant puis en reculant en lui demandant s’il avait mail. Pour finir je suis parvenu par introduire tout mon membre dans les entrailles de mon très cher Henri. De son côté mon Henri gémissait un peu, je lui redemandais s’il avait mal, et chaque fois il me disait, un peu mais ça va, continue. Puis j’ai commencé des vas et viens dans sa grotte, Henri disait : « oui, vas-y, oui, c’est super, … » Je sentais que je n’étais pas loin de tout envoyer et puis dans un râle j’ai déchargé tout mon foutre au fond la capote. Je n’avais jamais ressenti une telle jouissance. Henri de son côté était aux anges, il avait lui de son côté aussi éjaculé sur les draps de mon lit tellement il avait ressenti une grande jouissance. Henri avait aimé se faire mettre par son nouvel amant !
Puis, le temps de se remettre de nos ébats, ce fut au tour d’Henri. Il me demanda si je voulais bien qu’il me fasse l’amour, qu’il me prenne lui aussi ! Je lui ai donc passé une nouvelle capote qu’il s’appliqua à enfiler sur son sexe en érection. Puis je me suis place de façon à offrir à Henri mon derrière complètement béant pour qu’il puisse enfin me faire connaître les joies de la copulation anale. Henri se mit un peu de lubrifiant sur le sexe recouvert et aussi sur mon anus, puis le présenta entre mes fesses. Il attendit un moment, il hésitait encore. J’ai alors dis à Henri que je l’aimais et qu’il pouvait dès lors prendre possession de mon corps et ainsi passer à l’acte le plus important pour deux garçons qui s’aiment, l’amour gay. Henri se repris et pressa l’antre de ma caverne anale avec son sexe bandé, il introduisit son membre centimètre par centimètre pour finir par arriver à la garde, ses couilles venant se poser entre mes fesses. Je n’ai pas eu mal du tout, il faut dire que le sexe d’Henri est plus fin que le mien ce qui fait que je n’ai senti que le passage en douceur et volupté de son sexe bandé. Henri se mit à faire des mouvements de vas et viens dans mes entrailles, je n’ai pu m’empêcher de gémir assez fort tellement je ressentais une jouissance jamais ressentie auparavant ! Henri prenait de l’assurance et me labourait l’anus avec frénésie. Mon sexe était hyper bandé et puis au moment où j’ai senti qu’Henri éjaculait dans la capote j’ai lâché 5 jets de sperme sur mon lit dans une sensation de bien-être absolu jamais ressenti avant. Une fois qu’Henri a quitté mon anatomie, je me suis affalé sur mon lit en murmurant « merci » à mon amant !
Nous sommes restés côté à côte un bon moment pour reprendre nos esprits.