12-12-2020, 12:57 PM
Chapitre 3.
Bientôt la fin du camp.
Le lendemain matin, avant le lever, alors que j’étais le seul à être réveillé, je me suis rapproché du sac de couchage d’Henri. Comme toutes les nuits nous dormions tous à poil, nus comme des vers, nous en avions pris l’habitude. Je regardais Henri qui dormait, je voyais son visage de jeune ado avec ce petit duvet qui naissait sous son nez, je pouvais presque deviner son sourire angélique. Je suis resté de longues minutes à observer Henri, a écouter sa respiration régulière, à rêver de ce que nous ferions après le camp. Je me posais un tas de questions, aurions-nous encore le temps de nous voir ? Où habitait-il ? Avait-il des frères ou des sœurs ? Quelle sera sa réaction si je lui avoue que je suis fou de lui ? comment pouvais-je être tombé amoureux d’un garçon comme Henri ? Bref je suis sorti de ma rêverie car Henri commençait à se retourner, signe qu’il allait bientôt se réveiller. C’est ce moment-là que j’ai choisi, alors qu’il était tourné vers moi, pour passer ma main dans l’ouverture de son sac de couchage. Je sentais la chaleur qui se dégageait du corps d’Henri, cette chaleur caractéristique au bout d’une nuit. J’ai pris peur, je me demandais si ma main n’allait pas le réveiller en sursaut, je croyais qu’elle était trop froide. Je me suis quand même mis à caresser son bras, son épaule. Je suis descendu le long de son torse, je sentais qu’il allait se réveiller. J’étais rassuré, ma main n’était pas trop froide, mon audace m’avait également donné chaud. Je me suis ensuite dirigé vers ses jambes, je remontais le long de ses cuisses, attendant avant de lui casser l’entre jambe, je suis redescendu vers ses mollets pour remonter vers ses cuisses et puis ma main s’est glissée dans son entre-jambe, elle est remontée vers ses bourses, et puis elle a rencontré son pénis déjà tendu. J’ai alors pu me rendre compte qu’Henri n’était pas insensible à mes caresses. Ma main s’est posée sur son sexe bandé et s’est mise à le caresser ; d’abord doucement et puis mes doigts se sont serrés sur ce pénis en érection et je me suis mis à faire des mouvements de va et vient. Henri a ouvert les yeux et m’a souri, ce même sourire angélique que je retrouvais, ce sourire qui m’avait fait craquer pour lui. J’ai su qu’il aimait mes caresses, j’ai su qu’il m’aimait. Nous nous sommes encore rapprochés et Henri s’est occupé de mon sexe qui ne demandait que ça. Nous nous sommes masturbés divinement, essayant de donner le maximum de plaisir à l’autre, essayant d’être le plus doux possible. Nos bouches se sont rapprochées, nos lèvres se sont ouvertes et nos langues se sont cherchées, se sont trouvées, se sont titillées. Nos mains étaient occupées à prodiguer mille caresses, nos corps étaient collés l’un à l’autre, nous étions au nirvana.
Nous faisions attention de ne pas réveiller les autres qui dormaient encore. Les doigts agiles d’Henri parcouraient ma hampe dressée, et le bout de ses doigts titillait à chaque passage le gland de mon sexe qui me brûlait de plaisir. Je continuais à masturber le pénis d’Henri avec volupté, je sentais que sa respiration s’accélérait, se sentais que les battements de son cœur tout contre mon torse, Henri cherchait sa respiration, il était au bord de l’éjaculation ; moi-même je n’en étais pas loin, je prenais du plaisir à procurer du plaisir. Puis dans un râle contenu, nous avons déchargé presque en même temps. Henri s’est approché de moi et m’a dit à l’oreille « je t’aime ». C’était la première fois qu’un garçon me disait ça, je lui ai répondu doucement à l’oreille « moi aussi ». Je me mis à repenser aux pensées qui m’avaient traversé l’esprit avant de réveiller Henri. Je crois qu’Henri a senti mon trouble, il m’a souri. Nous nous sommes recouchés et nous avons encore dormi une bonne heure.
Le moment tant redouté est arrivé, c’est la fin du camp. Nous avions rangé tout le matériel, tout était dans le camion. Nous, les scouts nous devions prendre le train pour rentrer chez nous. Le voyage m’a semblé long, je ne savais que dire à Henri qui avait pris place à côté de moi sur la banquette du compartiment. Au bout de deux heures nous étions arrivés à destination. Nos parents nous attendaient sur le quai de la gare. Nous prenions nos sacs à dos pour rejoindre notre famille. Nous racontions nos activités (pas toutes évidemment) avec fébrilité. Au moment de quitter la gare, Henri est venu vers moi. Il avait un bout de papier et un crayon en main. Il m’a demandé d’y inscrire mon adresse et mon numéro de téléphone. Ce que je fis, me disant "il veut me revoir". Je lui ai demandé aussi son adresse et son numéro de téléphone. Puis pour prendre congé l’un de l’autre, nous nous sommes serrés la main d’une façon étrange, nous avions difficile à nous séparer. Nous ne pouvions faire autrement devant nos parents. Nous aurions bien voulu échanger un baiser, mais ce n’était pas possible. Il me restait l’espoir de revoir Henri, je pensais le revoir dans quelques jours le temps de laisser le temps faire son œuvre. Henri penserait-il encore à moi dans quelques jours ? Quelle sera mon attitude envers Henri après quelques jours sans le voir ?
Le soir dans mon lit, je me suis mis à penser à Henri et je me suis masturbé en ayant son visage en tête.
Bientôt la fin du camp.
Le lendemain matin, avant le lever, alors que j’étais le seul à être réveillé, je me suis rapproché du sac de couchage d’Henri. Comme toutes les nuits nous dormions tous à poil, nus comme des vers, nous en avions pris l’habitude. Je regardais Henri qui dormait, je voyais son visage de jeune ado avec ce petit duvet qui naissait sous son nez, je pouvais presque deviner son sourire angélique. Je suis resté de longues minutes à observer Henri, a écouter sa respiration régulière, à rêver de ce que nous ferions après le camp. Je me posais un tas de questions, aurions-nous encore le temps de nous voir ? Où habitait-il ? Avait-il des frères ou des sœurs ? Quelle sera sa réaction si je lui avoue que je suis fou de lui ? comment pouvais-je être tombé amoureux d’un garçon comme Henri ? Bref je suis sorti de ma rêverie car Henri commençait à se retourner, signe qu’il allait bientôt se réveiller. C’est ce moment-là que j’ai choisi, alors qu’il était tourné vers moi, pour passer ma main dans l’ouverture de son sac de couchage. Je sentais la chaleur qui se dégageait du corps d’Henri, cette chaleur caractéristique au bout d’une nuit. J’ai pris peur, je me demandais si ma main n’allait pas le réveiller en sursaut, je croyais qu’elle était trop froide. Je me suis quand même mis à caresser son bras, son épaule. Je suis descendu le long de son torse, je sentais qu’il allait se réveiller. J’étais rassuré, ma main n’était pas trop froide, mon audace m’avait également donné chaud. Je me suis ensuite dirigé vers ses jambes, je remontais le long de ses cuisses, attendant avant de lui casser l’entre jambe, je suis redescendu vers ses mollets pour remonter vers ses cuisses et puis ma main s’est glissée dans son entre-jambe, elle est remontée vers ses bourses, et puis elle a rencontré son pénis déjà tendu. J’ai alors pu me rendre compte qu’Henri n’était pas insensible à mes caresses. Ma main s’est posée sur son sexe bandé et s’est mise à le caresser ; d’abord doucement et puis mes doigts se sont serrés sur ce pénis en érection et je me suis mis à faire des mouvements de va et vient. Henri a ouvert les yeux et m’a souri, ce même sourire angélique que je retrouvais, ce sourire qui m’avait fait craquer pour lui. J’ai su qu’il aimait mes caresses, j’ai su qu’il m’aimait. Nous nous sommes encore rapprochés et Henri s’est occupé de mon sexe qui ne demandait que ça. Nous nous sommes masturbés divinement, essayant de donner le maximum de plaisir à l’autre, essayant d’être le plus doux possible. Nos bouches se sont rapprochées, nos lèvres se sont ouvertes et nos langues se sont cherchées, se sont trouvées, se sont titillées. Nos mains étaient occupées à prodiguer mille caresses, nos corps étaient collés l’un à l’autre, nous étions au nirvana.
Nous faisions attention de ne pas réveiller les autres qui dormaient encore. Les doigts agiles d’Henri parcouraient ma hampe dressée, et le bout de ses doigts titillait à chaque passage le gland de mon sexe qui me brûlait de plaisir. Je continuais à masturber le pénis d’Henri avec volupté, je sentais que sa respiration s’accélérait, se sentais que les battements de son cœur tout contre mon torse, Henri cherchait sa respiration, il était au bord de l’éjaculation ; moi-même je n’en étais pas loin, je prenais du plaisir à procurer du plaisir. Puis dans un râle contenu, nous avons déchargé presque en même temps. Henri s’est approché de moi et m’a dit à l’oreille « je t’aime ». C’était la première fois qu’un garçon me disait ça, je lui ai répondu doucement à l’oreille « moi aussi ». Je me mis à repenser aux pensées qui m’avaient traversé l’esprit avant de réveiller Henri. Je crois qu’Henri a senti mon trouble, il m’a souri. Nous nous sommes recouchés et nous avons encore dormi une bonne heure.
Le moment tant redouté est arrivé, c’est la fin du camp. Nous avions rangé tout le matériel, tout était dans le camion. Nous, les scouts nous devions prendre le train pour rentrer chez nous. Le voyage m’a semblé long, je ne savais que dire à Henri qui avait pris place à côté de moi sur la banquette du compartiment. Au bout de deux heures nous étions arrivés à destination. Nos parents nous attendaient sur le quai de la gare. Nous prenions nos sacs à dos pour rejoindre notre famille. Nous racontions nos activités (pas toutes évidemment) avec fébrilité. Au moment de quitter la gare, Henri est venu vers moi. Il avait un bout de papier et un crayon en main. Il m’a demandé d’y inscrire mon adresse et mon numéro de téléphone. Ce que je fis, me disant "il veut me revoir". Je lui ai demandé aussi son adresse et son numéro de téléphone. Puis pour prendre congé l’un de l’autre, nous nous sommes serrés la main d’une façon étrange, nous avions difficile à nous séparer. Nous ne pouvions faire autrement devant nos parents. Nous aurions bien voulu échanger un baiser, mais ce n’était pas possible. Il me restait l’espoir de revoir Henri, je pensais le revoir dans quelques jours le temps de laisser le temps faire son œuvre. Henri penserait-il encore à moi dans quelques jours ? Quelle sera mon attitude envers Henri après quelques jours sans le voir ?
Le soir dans mon lit, je me suis mis à penser à Henri et je me suis masturbé en ayant son visage en tête.