16-03-2022, 12:04 PM
- Moi / Mais on se connaît, tu te rappelles, c'était dans ce petit restaurant où tu te trouvais avec un camarade et ma copine avait proposé qu'on ne fasse qu'une seule table. On avait passé une très agréable soirée et cela m'avait fait du bien car c'était le soir où j'avais découvert la liaison de ma mère et j'avais le moral fortement en berne ! C'est inouï ce que le monde peut être petit et le destin inattendu car je me souviens très bien que nous avions eu un bon contact et ni toi ni moi ne soupçonnions évidemment notre lien de parenté.
Je perçois chez Gérard un immense soulagement et tout le monde s'esclaffe de ce hasard presque invraisemblable. Mon père, pardon notre père a l'air très heureux car à ses yeux cette connaissance va faciliter mon adaptation dans la famille Vidal. Ce qu'il ignore bien sûr, c'est que son Gérard je le connais très bien, très intimement même. Comme dans un film à grande vitesse je le revois dans son slip bleu orné de poissons que la tempête dans son slip anime comme s'ils étaient vivants, je l'avais trouvé très mignon et j'avais rapidement baissé ce vêtement qui ne cachait pratiquement rien de son excitation. Je l'avais pris en bouche, j'avais salivé dans sa raie, il avait une entrée comme je les aime et j'avais, je crois, enfoncé un doigt qui avait dû probablement toucher sa prostate car ce bref contact avait déclenché son premier orgasme de la soirée. Je le vois encore avec la tête dans l'entrejambe de son copain et se délectant du liquide que celui-ci dispensait généreusement, sans oublier l'émanation odoriférante qui englobait sa toison presque rouge tellement elle était rousse. Et tout cela c'était avec celui qui allait devenir mon frère, un garçon avec qui j'avais pris grand plaisir, que j'avais trouvé attirant. Tout en buvant mon champagne, j'essayais de le regarder sans le regarder, il était toujours plaisant à regarder, je sentais que mon sexe ne restait pas totalement indifférent…
Le repas était fin et excellent, le vin remarquable, les parents semblaient parfaitement à l'aise. Gérard, après sa panique du début, me troublait par la manière qu'il avait de me regarder et que je ne parvenais pas à vraiment déchiffrer : était-ce la satisfaction d'avoir trouvé un frère et que notre passé commun était un accident sans conséquence du destin ou était-ce une certaine concupiscence à ce que nous pourrions faire revivre ? Il était presque minuit lorsque Laurence proposa que je dorme sur place car son fils avait trop bu pour me reconduire en voiture et son mari devait se lever tôt demain. Gérard insistait également pour que je reste mais je suis resté inflexible, il fallait que je rentre et je voulais faire le trajet à pied, même si j'en avais pour une bonne heure. J'ai marché comme un automate, je me suis fait aborder d'abord par un beau jeune homme puis, un peu plus tard, par un homme d'âge mûr ; autant pour le premier mon refus était clair, autant pour le quinquagénaire je fus plus indécis. Il m'accompagna un bout de chemin pour, quelques minutes plus tard, me plaquer sa main sur mon entrejambe. Je lui ai fait un sourire pour le remercier et j'ai terminé seul. Dans mon grand lit, j'étais seul également mais je songeais curieusement non à Gérard mais à son ami Maurice, le prénom m'était revenu, qui caressait la chevelure de Gérard dont la langue se promenait dans la raie amie. Je n'ai pas éjaculé mais le matin je me suis réveillé au moment, délicieux, où le méat de Maurice expulsait de longs et savoureux jets de sperme.
Pendant quelques temps j'ai énormément travaillé car j'avais pris passablement de retard dans mon planning mais aussi car j'étais quelque peu désemparé par les deux Gérard qui étaient entrés dans ma vie et qui se résumaient finalement à un seul Gérard. Lequel était vraiment mon frère, celui qui était entré dans le salon avant de me voir ou celui que j'avais léché, presque enculé dans une rencontre qui aurait dû être sans lendemain ? Question plus cruciale encore : duquel avais-je véritablement envie? Toutes ces questions se bousculaient dans ma tête sans que je parvienne à voir véritablement clair, même si la raison me disait d'oublier le fêtard alors que l'attirance me poussait vers l'autre. Et l'autre, qui est-ce, Gérard ou Maurice ? Ce dernier a un charme terrible avec sa spontanéité, un certain sourire désarmant, sa manière de légèrement rougir alors qu'on le sent très sûr de lui. Et il a un sexe dont la blancheur ressort de cette toison rouge si particulière par la violence de sa couleur : on pourrait y voir un tableau de Chagall avec ses taches de rouge ou même un Soutine dans l'un de ses moments d'ivresse où éclatait son génie.
Un soir alors que je m'apprête à cuisiner mon repas, la sonnette de ma porte se fait entendre. Curieux, car je n'ai pratiquement aucune visite spontanée sinon une jeune voisine à qui il manque parfois un ingrédient, je vais ouvrir. À ma surprise, c'est mon père dont le visage sérieux se transforme rapidement avec un grand sourire. Je le fais entrer, il m'embrasse affectueusement et je vois qu'il porte un regard curieux sur mon installation
- J'espère que je ne te dérange pas mais ton silence, que je ne te reproche pas car je peux le comprendre, m'inquiétait malgré tout. J'ai besoin de me rassurer que tu vas bien physiquement et moralement.
- Mon père ne me dérangera jamais, je suis trop heureux de l'avoir trouvé. Oui, physiquement je vais très bien même si je dors mal alors que normalement j'ai un sommeil à toutes épreuves. Moralement, ce n'est pas vraiment la grande forme mais je vais me remettre de toutes mes émotions qui ont traversé ma vie ces derniers temps.
- Oui, je m'en doute et c'est la raison de ma visite, tout d'un coup j'ai vraiment ressenti le besoin de te voir, pas demain mais immédiatement. Je te propose qu'on aille manger quelque…
- … pas au restaurant, je te cuisinerai ma spécialité, les spaghettis arrabiata, avec une bonne salade toute fraîche et une salade de fruits frais. Comme ça, on sera plus tranquille pour bavarder. Mais en attendant, on va prendre l'apéro, j'ai acheté il n'y a pas longtemps un carton de "petite arvine" chez un producteur local et qui est vraiment excellente.
- Avec grand plaisir et merci de ton accueil très spontané !
C'est à ce moment que je réalise que je suis en boxer et je me justifie en soulignant que je suis seul et qu'il fait vraiment très chaud. Mon père rit de bon cœur et me dit que j'ai bien raison de profiter de mon indépendance. Je n'en ai pas moins été passer un bermuda et un polo, je suis plus à l'aise même si je n'ai ressenti aucune critique. Mon père s'est également mis à l'aise, il a tombé sa veste et retiré sa cravate. C'est lui qui lave la salade alors que je prépare la sauce. L'atmosphère est très détendue et j'ai la nette impression qu'il est heureux de partager ce moment de franche intimité. À la fin du repas, il me dit, très sérieusement, qu'il y a longtemps qu'il n'a pas mangé des pâtes avec autant de plaisir et qu'une cuisine toute simple, préparée avec amour, est au moins aussi bonne que celle des grands cuisiniers, Je rougis mais je reconnais que ce compliment qui vient du cœur me fait plaisir. Chez le même producteur, j'ai acheté, à titre d'essai, un très vieux cépage rouge qui avait pratiquement disparu et que quelques petits vignerons tentent de remettre à la mode. Comme il a l'air très intéressé, je lui explique que la plus ancienne mention de "Cornalin" remonte dans un document du 14ème siècle. Nous prenons la bouteille avec nous et j'en prépare une deuxième car j'ai comme l'impression que nous allons avoir, tous les deux, une bonne et longue discussion.
- Mon père / Comme ça, vous vous connaissiez Gérard et toi avant de savoir que vous étiez frères ! C'est assez invraisemblable mais enfin c'est possible. Mais toi Matthias, autant tu avais l'air tout-à-fait à l'aise, malgré une surprise bien normale autant j'ai senti que ton frère était complètement paniqué, il a passé plusieurs fois du blanc au rouge et ce n'est que lorsque tu as donné l'explication que j'ai remarqué un immense soulagement de sa part. J'aimerais Matthias que tu me donnes la vraie version concernant votre rencontre.
- Moi / Je voudrais te répondre mais honnêtement je ne peux pas car cela concerne directement Gérard, c'est à lui de te donner l'explication à laquelle, personnellement, je pense que tu as droit.
- Mon père / J'apprécie ta délicatesse mais j'ai l'impression que c'est quelque chose de sérieux, je veux le protéger. Mais je peux te garantir que je m'arrangerai pour te protéger et que tu ne sois pas compromis.
[un long, très long silence]
- Moi / …, je peux pas…
- Mon père / Je comprends. Aussi je vais t'aider en te disant ce que je pense. Toi, Matthias, je suis à peu près certain que tu es gay, ton engagement pour ton ami Sébastien, au fait que devient-il ? est trop visible et tes yeux brillaient quand tu m'évoquais son cas. N'aie aucune crainte, cela ne me dérange absolument pas : mon meilleur ami est gay et un de mes neveux l'est également.
Dis-moi, Gérard s'est en partie confié à nous en nous faisant part de ses doutes quand à son orientation sexuelle, qu'il avait eu très jeune une expérience unique avec son meilleur ami, qu'il lui arrivait d'y songer mais que c'était son amie Amandine qu'il aimait. Dis-moi Matthias, vous avez fait quelques choses entre vous ?
Je suis au pied du mur, je ne peux pas me taire car je pense que son ami Maurice n'est pas aussi "clean" que cela et que sa fréquentation n'est peut-être pas sans danger. Je ne devrais rien dire mais s'il devait arriver quelque chose à Gérard, je ne me le pardonnerais pas. Et puis, au fond, il ne m'a jamais demandé de ne pas en parler à son père puisque notre relation familiale nous était inconnue à tous les deux.
Je perçois chez Gérard un immense soulagement et tout le monde s'esclaffe de ce hasard presque invraisemblable. Mon père, pardon notre père a l'air très heureux car à ses yeux cette connaissance va faciliter mon adaptation dans la famille Vidal. Ce qu'il ignore bien sûr, c'est que son Gérard je le connais très bien, très intimement même. Comme dans un film à grande vitesse je le revois dans son slip bleu orné de poissons que la tempête dans son slip anime comme s'ils étaient vivants, je l'avais trouvé très mignon et j'avais rapidement baissé ce vêtement qui ne cachait pratiquement rien de son excitation. Je l'avais pris en bouche, j'avais salivé dans sa raie, il avait une entrée comme je les aime et j'avais, je crois, enfoncé un doigt qui avait dû probablement toucher sa prostate car ce bref contact avait déclenché son premier orgasme de la soirée. Je le vois encore avec la tête dans l'entrejambe de son copain et se délectant du liquide que celui-ci dispensait généreusement, sans oublier l'émanation odoriférante qui englobait sa toison presque rouge tellement elle était rousse. Et tout cela c'était avec celui qui allait devenir mon frère, un garçon avec qui j'avais pris grand plaisir, que j'avais trouvé attirant. Tout en buvant mon champagne, j'essayais de le regarder sans le regarder, il était toujours plaisant à regarder, je sentais que mon sexe ne restait pas totalement indifférent…
Le repas était fin et excellent, le vin remarquable, les parents semblaient parfaitement à l'aise. Gérard, après sa panique du début, me troublait par la manière qu'il avait de me regarder et que je ne parvenais pas à vraiment déchiffrer : était-ce la satisfaction d'avoir trouvé un frère et que notre passé commun était un accident sans conséquence du destin ou était-ce une certaine concupiscence à ce que nous pourrions faire revivre ? Il était presque minuit lorsque Laurence proposa que je dorme sur place car son fils avait trop bu pour me reconduire en voiture et son mari devait se lever tôt demain. Gérard insistait également pour que je reste mais je suis resté inflexible, il fallait que je rentre et je voulais faire le trajet à pied, même si j'en avais pour une bonne heure. J'ai marché comme un automate, je me suis fait aborder d'abord par un beau jeune homme puis, un peu plus tard, par un homme d'âge mûr ; autant pour le premier mon refus était clair, autant pour le quinquagénaire je fus plus indécis. Il m'accompagna un bout de chemin pour, quelques minutes plus tard, me plaquer sa main sur mon entrejambe. Je lui ai fait un sourire pour le remercier et j'ai terminé seul. Dans mon grand lit, j'étais seul également mais je songeais curieusement non à Gérard mais à son ami Maurice, le prénom m'était revenu, qui caressait la chevelure de Gérard dont la langue se promenait dans la raie amie. Je n'ai pas éjaculé mais le matin je me suis réveillé au moment, délicieux, où le méat de Maurice expulsait de longs et savoureux jets de sperme.
Pendant quelques temps j'ai énormément travaillé car j'avais pris passablement de retard dans mon planning mais aussi car j'étais quelque peu désemparé par les deux Gérard qui étaient entrés dans ma vie et qui se résumaient finalement à un seul Gérard. Lequel était vraiment mon frère, celui qui était entré dans le salon avant de me voir ou celui que j'avais léché, presque enculé dans une rencontre qui aurait dû être sans lendemain ? Question plus cruciale encore : duquel avais-je véritablement envie? Toutes ces questions se bousculaient dans ma tête sans que je parvienne à voir véritablement clair, même si la raison me disait d'oublier le fêtard alors que l'attirance me poussait vers l'autre. Et l'autre, qui est-ce, Gérard ou Maurice ? Ce dernier a un charme terrible avec sa spontanéité, un certain sourire désarmant, sa manière de légèrement rougir alors qu'on le sent très sûr de lui. Et il a un sexe dont la blancheur ressort de cette toison rouge si particulière par la violence de sa couleur : on pourrait y voir un tableau de Chagall avec ses taches de rouge ou même un Soutine dans l'un de ses moments d'ivresse où éclatait son génie.
Un soir alors que je m'apprête à cuisiner mon repas, la sonnette de ma porte se fait entendre. Curieux, car je n'ai pratiquement aucune visite spontanée sinon une jeune voisine à qui il manque parfois un ingrédient, je vais ouvrir. À ma surprise, c'est mon père dont le visage sérieux se transforme rapidement avec un grand sourire. Je le fais entrer, il m'embrasse affectueusement et je vois qu'il porte un regard curieux sur mon installation
- J'espère que je ne te dérange pas mais ton silence, que je ne te reproche pas car je peux le comprendre, m'inquiétait malgré tout. J'ai besoin de me rassurer que tu vas bien physiquement et moralement.
- Mon père ne me dérangera jamais, je suis trop heureux de l'avoir trouvé. Oui, physiquement je vais très bien même si je dors mal alors que normalement j'ai un sommeil à toutes épreuves. Moralement, ce n'est pas vraiment la grande forme mais je vais me remettre de toutes mes émotions qui ont traversé ma vie ces derniers temps.
- Oui, je m'en doute et c'est la raison de ma visite, tout d'un coup j'ai vraiment ressenti le besoin de te voir, pas demain mais immédiatement. Je te propose qu'on aille manger quelque…
- … pas au restaurant, je te cuisinerai ma spécialité, les spaghettis arrabiata, avec une bonne salade toute fraîche et une salade de fruits frais. Comme ça, on sera plus tranquille pour bavarder. Mais en attendant, on va prendre l'apéro, j'ai acheté il n'y a pas longtemps un carton de "petite arvine" chez un producteur local et qui est vraiment excellente.
- Avec grand plaisir et merci de ton accueil très spontané !
C'est à ce moment que je réalise que je suis en boxer et je me justifie en soulignant que je suis seul et qu'il fait vraiment très chaud. Mon père rit de bon cœur et me dit que j'ai bien raison de profiter de mon indépendance. Je n'en ai pas moins été passer un bermuda et un polo, je suis plus à l'aise même si je n'ai ressenti aucune critique. Mon père s'est également mis à l'aise, il a tombé sa veste et retiré sa cravate. C'est lui qui lave la salade alors que je prépare la sauce. L'atmosphère est très détendue et j'ai la nette impression qu'il est heureux de partager ce moment de franche intimité. À la fin du repas, il me dit, très sérieusement, qu'il y a longtemps qu'il n'a pas mangé des pâtes avec autant de plaisir et qu'une cuisine toute simple, préparée avec amour, est au moins aussi bonne que celle des grands cuisiniers, Je rougis mais je reconnais que ce compliment qui vient du cœur me fait plaisir. Chez le même producteur, j'ai acheté, à titre d'essai, un très vieux cépage rouge qui avait pratiquement disparu et que quelques petits vignerons tentent de remettre à la mode. Comme il a l'air très intéressé, je lui explique que la plus ancienne mention de "Cornalin" remonte dans un document du 14ème siècle. Nous prenons la bouteille avec nous et j'en prépare une deuxième car j'ai comme l'impression que nous allons avoir, tous les deux, une bonne et longue discussion.
- Mon père / Comme ça, vous vous connaissiez Gérard et toi avant de savoir que vous étiez frères ! C'est assez invraisemblable mais enfin c'est possible. Mais toi Matthias, autant tu avais l'air tout-à-fait à l'aise, malgré une surprise bien normale autant j'ai senti que ton frère était complètement paniqué, il a passé plusieurs fois du blanc au rouge et ce n'est que lorsque tu as donné l'explication que j'ai remarqué un immense soulagement de sa part. J'aimerais Matthias que tu me donnes la vraie version concernant votre rencontre.
- Moi / Je voudrais te répondre mais honnêtement je ne peux pas car cela concerne directement Gérard, c'est à lui de te donner l'explication à laquelle, personnellement, je pense que tu as droit.
- Mon père / J'apprécie ta délicatesse mais j'ai l'impression que c'est quelque chose de sérieux, je veux le protéger. Mais je peux te garantir que je m'arrangerai pour te protéger et que tu ne sois pas compromis.
[un long, très long silence]
- Moi / …, je peux pas…
- Mon père / Je comprends. Aussi je vais t'aider en te disant ce que je pense. Toi, Matthias, je suis à peu près certain que tu es gay, ton engagement pour ton ami Sébastien, au fait que devient-il ? est trop visible et tes yeux brillaient quand tu m'évoquais son cas. N'aie aucune crainte, cela ne me dérange absolument pas : mon meilleur ami est gay et un de mes neveux l'est également.
Dis-moi, Gérard s'est en partie confié à nous en nous faisant part de ses doutes quand à son orientation sexuelle, qu'il avait eu très jeune une expérience unique avec son meilleur ami, qu'il lui arrivait d'y songer mais que c'était son amie Amandine qu'il aimait. Dis-moi Matthias, vous avez fait quelques choses entre vous ?
Je suis au pied du mur, je ne peux pas me taire car je pense que son ami Maurice n'est pas aussi "clean" que cela et que sa fréquentation n'est peut-être pas sans danger. Je ne devrais rien dire mais s'il devait arriver quelque chose à Gérard, je ne me le pardonnerais pas. Et puis, au fond, il ne m'a jamais demandé de ne pas en parler à son père puisque notre relation familiale nous était inconnue à tous les deux.