15-03-2022, 12:04 PM
Maman avait insisté pour que nous prenions un calmant avant d’aller dormir en vue de passer une bonne nuit et de récupérer. C’est bien entendu ce que nous avons fait. Il est vrai que d’avoir des cauchemars toute la nuit n’est pas une bonne chose. Ben est d’accord et demande également un antidouleur car il sent bien que son bras commence à lui faire mal.
Lors de la nuit, Ben a fait un cauchemar et s’est réveillé en sueur. Je me suis levé pour prendre un drap de bain et essuyer son corps rempli de sueur. Finalement Ben s’est rendormi. Ce n’est que vers neuf heures qu’il a ouvert les yeux. Il m’a directement souri. Sa tignasse blonde ébouriffée avec ses yeux bleu océan m’ont chaviré le cœur. Je n’ai pas pu résister et j’ai embrassé mon ange blond. Nos langues se sont rejointes pour se cajoler. Le fait que Ben soit porteur d’un plâtre ne nous empêche pas de ressentir de l’amour pour l’être aimé. Nos phallus sont dressés tels de mâts de cocagne n’attendant qu’on s’occupe d’eux.
Il n’en faut pas plus pour que nos mains se posent sur l’attribut tant désiré. Nous effectuons des mouvements lascifs sur nos sexes bandés. Nos regards se croisent, nos mains accentuent les mouvements effectués sur nos proéminences. Puis en regardant Ben, je lui demande s’il veut me faire l’amour, il accepte volontiers. Il prend alors le gel et enduit ma collerette. Il en met aussi sur son membre qu’il vient présenter devant mon antre d’amour. Je me relâche le plus possible. D’un et puis de deux doigts il ouvre l’accès tant désiré. Je sens ensuite son gland se présenter devant cet orifice préparé à le recevoir. Ben prend alors possession de mon corps pour ma plus grande satisfaction. Je sens bien son pénis gonflé de sang me limer les entrailles. Je suis si heureux de ressentir mon Ben m’aimer comme il le fait. Il accélère la cadence et je sens son souffle dans mon cou, il émet des sons exprimant son bonheur, le plaisir qu’il ressent. Moi aussi de mon côté je râle de satisfaction. Ma prostate est titillée lors des passages dans mon arrière-train. Je sens bien que Ben va arriver à l’extase, je le laisse faire, je veux recevoir son nectar dans mes entrailles. Voilà, je sens que les muscles de Ben se raidissent, il va jouir, il va arriver à la jouissance, je suis fin prêt à recevoir sa semence. J’entends alors des « han, han » lors de l’expulsion de son nectar d’amour. Peu de temps après, Ben se retire de mon corps satisfait et heureux.
Je laisse à mon amoureux le temps de se remettre de son don hormonal. Je sais que je vais pouvoir moi aussi lui faire l’amour, et lui montrer tout l’amour ressenti à son égard. Ben semble avoir repris ses esprits. Il prend ma queue mi-bandée et se charge de lui redonner vigueur. Je prends du gel et je prépare la rondelle de mon chéri. Je lui laisse le loisir d’enduire mon boute-joie de gel avant que j’investisse son antre d’amour. Je présente mon membre dressé à l’entrée de cette grotte qui n’attend que ça. Doucement, centimètres par centimètres je pénètre les entrailles de mon Ben. Je suis arrivé au boutoir, mes valseuses viennent de taper sur les lobes des fesses de Ben. Puis je commence mes mouvements de va et vient dans ce réceptacle naturel. Ben râle de bonheur tout comme moi d’ailleurs. Mes mouvements se font de plus en plus amples, mon sexe de plus en plus raide. Parfois c’est au ralenti que je lutine le fondement de mon amour. Je sens bien que je ne vais pas pouvoir tenir comme ça longtemps, Ben le sait, il me demande de venir en lui, il veut que je lui arrose les intestins. Il n’en faut pas plus pour que je me prépare à jouir et à répandre ma sève de vie dans la caverne d’amour de mon Ben. Ça y est, j’éjacule en râlant de bonheur. Il me faut un moment pour que je reprenne mes esprits. Je m’affale à côté de Ben. Je lui dis doucement « Je t’aime » alors il me répond qu’il m’aime aussi. Nous restons un bon moment couchés côte à côte, toujours sur notre petit nuage, dans notre bulle.
Nous ne savons pas quelle heure il peut être, nous sommes comme dans un rêve, lorsque quelqu’un frappe à la porte de la chambre. C’est Jean qui passe sa tête. Il voit que nous sommes réveillés. Il sait très bien que nous nous sommes aimés. Il nous dit que le petit-déjeuner va être prêt. Je demande à mon frère s’il peut apporter un sac poubelle pour envelopper le bras de Ben pour qu’il puisse se doucher. Jean accepte et revient deux minutes plus tard avec un sac et du scotch léger. Ben le remercie. Jean m’aide à enfiler cette « protection » pour que Ben puisse se rafraîchir sans mouiller son plâtre.
Nous allons Ben et moi dans la salle de bain et nous prenons une bonne douche pour nous rafraîchir après cette nuit et nos ébats. J’aide Ben pour sa toilette car avec son bras plâtré, ce n’est pas facile. Nous sommes finalement propres comme des « sous neufs ». Nous enfilons un tee-shirt et un short pour rejoindre la famille dans la salle à manger.
Maman est la première à demander comment va Ben. Mon chéri lui répond que ça va, qu’il n’a pas mal mais que le plâtre est par moment assez lourd. Maman lui propose de lui donner une large écharpe pour y placer son avant-bras. Ben accepte. Papa regarde Ben et le trouve reposé malgré ce qui lui est arrivé hier. C’est Anne qui vient lui donner un bisou sur la joue. André n’est pas loin et vient lui aussi nous saluer. Je suis si heureux de voir qu’André se soit si bien intégré dans la famille. Certes, parfois quand je le vois, je pense à Henri, mais cela s’est atténué avec le temps. Ma sœur semble si heureuse avec lui.
Le petit-déjeuner se passe très bien. J’aide Ben à couper le fromage ou la tranche de jambon qu’il souhaite mettre sur sa tranche de pain. Pour ce qui est de la confiture, c’est encore plus difficile pour lui et je me propose aussi de l’aider. Ben est plus souriant qu’hier. On commence à voir que des traces plus foncées apparaissent sur son bras. Ben n’a pas mal, c’est le principal.
Une fois notre repas englouti, nous débarrassons la table, seul Ben reste à nous regarder faire ! Nous nous décidons à faire un tour à pied, c’est mieux qu’à vélo pour Ben, de plus son vélo est abîmé il est chez le marchand en vue de sa réparation. Anne souhaite savoir si elle peut nous accompagner avec André. Je regarde Ben qui acquiesce. Je vois que Jean est seul. Je lui demande si Amandine vient le rejoindre, il me répond qu’il ira chez elle cet après-midi. Je propose alors à Jean de nous accompagner.
Papa nous regarde et je vois qu’il semble lui aussi intéressé à nous suivre. Maman qui n’est pas aveugle a bien vu son manège. Elle lui dit d’aller avec ses enfants faire un tour en forêt. Nous voilà donc en route. Je ne vous cache pas que j’aime ces sorties en famille, cela permet de nous aérer d’une part et d’autre part d’échanger sur l’un ou l’autre sujet qui nous vient à l’esprit en étant au milieu de la nature.
Quelle belle balade. Ben est radieux et très heureux d’avoir eu cette écharpe pour y glisser son bras plâtré. Jean est un peu plus réservé, il est vrai que son Amandine n’est pas avec lui. Ce n’est pas pour autant qu’il n’est pas attentif à Ben et à moi. Il sait très bien que ce qui s’est passé hier entraînera des répercussions tôt ou tard. Alors que nous retournons vers la maison, nous voyons que le marchand de glaces est arrêté au coin de l’avenue que nous empruntons. Papa nous demande si nous en voulons une. Inutile de dire que c’est un oui collectif qui se fait entendre. Des sourires illuminent nos visages ! Quelle très bonne idée ! Papa prend un pot spécial pour le rapporter à Maman qui est restée à la maison.
Nous sommes de retour à la maison et nous embrassons maman. Papa lui remet son pot de glace. Elle a compris que nous aussi nous avions bénéficié de ce délice. Je vois que la table est déjà dressée. Je m’enquiers auprès de maman pour savoir ce que je peux faire pour lui venir en aide. Elle me propose de couper les pommes de terre en lamelles car elle envisage de préparer un gratin dauphinois. Je sens déjà à l’odeur qui se répand dans la cuisine qu’un rôti déjà au four. Je vois que maman a déjà préparé le chou-fleur. Elle s’occupe des haricots princesse. Anne vient aussi nous aider. Nous laissons Papa, André et Jean s’occuper des boissons et de l’apéro.
Le repas est super bon. Maman est un véritable cordon bleu. Nous sommes repus et très heureux d’avoir partagé ce repas. Nous ne sommes pas pressés pour avoir notre dessert. Maman nous propose de le manger pour le goûter. Nous tombons tous d’accord.
On voit que Ben semble bien fatigué. Je me demande s’il n’a pas mal. Je lui pose la question et il me demande de lui apporter un anti-douleur. Je suggère d’aller nous reposer en nous couchant sur mon lit. Ben accepte bien volontiers, il a des cernes sous les yeux. C’est probablement le contre-coup. Nous montons nous allonger sur mon lit. Il ne faut pas deux minutes pour que Ben sombre dans le pays des rêves.
Ce n’est que vers seize heures trente que je réveille Ben pour aller goûter avec les autres. Je peux voir que mon amoureux est plus reposé, ses cernes ont un peu régressé. Le dessert est tout simplement une crêpe avec une boule de glace et du chocolat fondu par-dessus : quel délice !
Le reste de l’après-midi est consacré à la vision de quelques diapositives de nos vacances ainsi que de fêtes de famille. Je suis très heureux de revoir Mamy et Papy, j’ai très envie de les rencontrer et j’en parle avec maman. Elle me promet de les contacter pour qu’ils viennent passer quelques jours à l’occasion des congés de Toussaint.
Le souper se passe au mieux, la soirée est tout simplement une soirée télévision. Nous avons l’occasion de choisir entre deux films, le premier « La Grande Vadrouille » avec Louis de Funes et Bourvil, ou alors « Le Bon, la Brute et le Truand ». Nous sommes une majorité à vouloir regarder le second film.
Lors de la nuit, Ben a fait un cauchemar et s’est réveillé en sueur. Je me suis levé pour prendre un drap de bain et essuyer son corps rempli de sueur. Finalement Ben s’est rendormi. Ce n’est que vers neuf heures qu’il a ouvert les yeux. Il m’a directement souri. Sa tignasse blonde ébouriffée avec ses yeux bleu océan m’ont chaviré le cœur. Je n’ai pas pu résister et j’ai embrassé mon ange blond. Nos langues se sont rejointes pour se cajoler. Le fait que Ben soit porteur d’un plâtre ne nous empêche pas de ressentir de l’amour pour l’être aimé. Nos phallus sont dressés tels de mâts de cocagne n’attendant qu’on s’occupe d’eux.
Il n’en faut pas plus pour que nos mains se posent sur l’attribut tant désiré. Nous effectuons des mouvements lascifs sur nos sexes bandés. Nos regards se croisent, nos mains accentuent les mouvements effectués sur nos proéminences. Puis en regardant Ben, je lui demande s’il veut me faire l’amour, il accepte volontiers. Il prend alors le gel et enduit ma collerette. Il en met aussi sur son membre qu’il vient présenter devant mon antre d’amour. Je me relâche le plus possible. D’un et puis de deux doigts il ouvre l’accès tant désiré. Je sens ensuite son gland se présenter devant cet orifice préparé à le recevoir. Ben prend alors possession de mon corps pour ma plus grande satisfaction. Je sens bien son pénis gonflé de sang me limer les entrailles. Je suis si heureux de ressentir mon Ben m’aimer comme il le fait. Il accélère la cadence et je sens son souffle dans mon cou, il émet des sons exprimant son bonheur, le plaisir qu’il ressent. Moi aussi de mon côté je râle de satisfaction. Ma prostate est titillée lors des passages dans mon arrière-train. Je sens bien que Ben va arriver à l’extase, je le laisse faire, je veux recevoir son nectar dans mes entrailles. Voilà, je sens que les muscles de Ben se raidissent, il va jouir, il va arriver à la jouissance, je suis fin prêt à recevoir sa semence. J’entends alors des « han, han » lors de l’expulsion de son nectar d’amour. Peu de temps après, Ben se retire de mon corps satisfait et heureux.
Je laisse à mon amoureux le temps de se remettre de son don hormonal. Je sais que je vais pouvoir moi aussi lui faire l’amour, et lui montrer tout l’amour ressenti à son égard. Ben semble avoir repris ses esprits. Il prend ma queue mi-bandée et se charge de lui redonner vigueur. Je prends du gel et je prépare la rondelle de mon chéri. Je lui laisse le loisir d’enduire mon boute-joie de gel avant que j’investisse son antre d’amour. Je présente mon membre dressé à l’entrée de cette grotte qui n’attend que ça. Doucement, centimètres par centimètres je pénètre les entrailles de mon Ben. Je suis arrivé au boutoir, mes valseuses viennent de taper sur les lobes des fesses de Ben. Puis je commence mes mouvements de va et vient dans ce réceptacle naturel. Ben râle de bonheur tout comme moi d’ailleurs. Mes mouvements se font de plus en plus amples, mon sexe de plus en plus raide. Parfois c’est au ralenti que je lutine le fondement de mon amour. Je sens bien que je ne vais pas pouvoir tenir comme ça longtemps, Ben le sait, il me demande de venir en lui, il veut que je lui arrose les intestins. Il n’en faut pas plus pour que je me prépare à jouir et à répandre ma sève de vie dans la caverne d’amour de mon Ben. Ça y est, j’éjacule en râlant de bonheur. Il me faut un moment pour que je reprenne mes esprits. Je m’affale à côté de Ben. Je lui dis doucement « Je t’aime » alors il me répond qu’il m’aime aussi. Nous restons un bon moment couchés côte à côte, toujours sur notre petit nuage, dans notre bulle.
Nous ne savons pas quelle heure il peut être, nous sommes comme dans un rêve, lorsque quelqu’un frappe à la porte de la chambre. C’est Jean qui passe sa tête. Il voit que nous sommes réveillés. Il sait très bien que nous nous sommes aimés. Il nous dit que le petit-déjeuner va être prêt. Je demande à mon frère s’il peut apporter un sac poubelle pour envelopper le bras de Ben pour qu’il puisse se doucher. Jean accepte et revient deux minutes plus tard avec un sac et du scotch léger. Ben le remercie. Jean m’aide à enfiler cette « protection » pour que Ben puisse se rafraîchir sans mouiller son plâtre.
Nous allons Ben et moi dans la salle de bain et nous prenons une bonne douche pour nous rafraîchir après cette nuit et nos ébats. J’aide Ben pour sa toilette car avec son bras plâtré, ce n’est pas facile. Nous sommes finalement propres comme des « sous neufs ». Nous enfilons un tee-shirt et un short pour rejoindre la famille dans la salle à manger.
Maman est la première à demander comment va Ben. Mon chéri lui répond que ça va, qu’il n’a pas mal mais que le plâtre est par moment assez lourd. Maman lui propose de lui donner une large écharpe pour y placer son avant-bras. Ben accepte. Papa regarde Ben et le trouve reposé malgré ce qui lui est arrivé hier. C’est Anne qui vient lui donner un bisou sur la joue. André n’est pas loin et vient lui aussi nous saluer. Je suis si heureux de voir qu’André se soit si bien intégré dans la famille. Certes, parfois quand je le vois, je pense à Henri, mais cela s’est atténué avec le temps. Ma sœur semble si heureuse avec lui.
Le petit-déjeuner se passe très bien. J’aide Ben à couper le fromage ou la tranche de jambon qu’il souhaite mettre sur sa tranche de pain. Pour ce qui est de la confiture, c’est encore plus difficile pour lui et je me propose aussi de l’aider. Ben est plus souriant qu’hier. On commence à voir que des traces plus foncées apparaissent sur son bras. Ben n’a pas mal, c’est le principal.
Une fois notre repas englouti, nous débarrassons la table, seul Ben reste à nous regarder faire ! Nous nous décidons à faire un tour à pied, c’est mieux qu’à vélo pour Ben, de plus son vélo est abîmé il est chez le marchand en vue de sa réparation. Anne souhaite savoir si elle peut nous accompagner avec André. Je regarde Ben qui acquiesce. Je vois que Jean est seul. Je lui demande si Amandine vient le rejoindre, il me répond qu’il ira chez elle cet après-midi. Je propose alors à Jean de nous accompagner.
Papa nous regarde et je vois qu’il semble lui aussi intéressé à nous suivre. Maman qui n’est pas aveugle a bien vu son manège. Elle lui dit d’aller avec ses enfants faire un tour en forêt. Nous voilà donc en route. Je ne vous cache pas que j’aime ces sorties en famille, cela permet de nous aérer d’une part et d’autre part d’échanger sur l’un ou l’autre sujet qui nous vient à l’esprit en étant au milieu de la nature.
Quelle belle balade. Ben est radieux et très heureux d’avoir eu cette écharpe pour y glisser son bras plâtré. Jean est un peu plus réservé, il est vrai que son Amandine n’est pas avec lui. Ce n’est pas pour autant qu’il n’est pas attentif à Ben et à moi. Il sait très bien que ce qui s’est passé hier entraînera des répercussions tôt ou tard. Alors que nous retournons vers la maison, nous voyons que le marchand de glaces est arrêté au coin de l’avenue que nous empruntons. Papa nous demande si nous en voulons une. Inutile de dire que c’est un oui collectif qui se fait entendre. Des sourires illuminent nos visages ! Quelle très bonne idée ! Papa prend un pot spécial pour le rapporter à Maman qui est restée à la maison.
Nous sommes de retour à la maison et nous embrassons maman. Papa lui remet son pot de glace. Elle a compris que nous aussi nous avions bénéficié de ce délice. Je vois que la table est déjà dressée. Je m’enquiers auprès de maman pour savoir ce que je peux faire pour lui venir en aide. Elle me propose de couper les pommes de terre en lamelles car elle envisage de préparer un gratin dauphinois. Je sens déjà à l’odeur qui se répand dans la cuisine qu’un rôti déjà au four. Je vois que maman a déjà préparé le chou-fleur. Elle s’occupe des haricots princesse. Anne vient aussi nous aider. Nous laissons Papa, André et Jean s’occuper des boissons et de l’apéro.
Le repas est super bon. Maman est un véritable cordon bleu. Nous sommes repus et très heureux d’avoir partagé ce repas. Nous ne sommes pas pressés pour avoir notre dessert. Maman nous propose de le manger pour le goûter. Nous tombons tous d’accord.
On voit que Ben semble bien fatigué. Je me demande s’il n’a pas mal. Je lui pose la question et il me demande de lui apporter un anti-douleur. Je suggère d’aller nous reposer en nous couchant sur mon lit. Ben accepte bien volontiers, il a des cernes sous les yeux. C’est probablement le contre-coup. Nous montons nous allonger sur mon lit. Il ne faut pas deux minutes pour que Ben sombre dans le pays des rêves.
Ce n’est que vers seize heures trente que je réveille Ben pour aller goûter avec les autres. Je peux voir que mon amoureux est plus reposé, ses cernes ont un peu régressé. Le dessert est tout simplement une crêpe avec une boule de glace et du chocolat fondu par-dessus : quel délice !
Le reste de l’après-midi est consacré à la vision de quelques diapositives de nos vacances ainsi que de fêtes de famille. Je suis très heureux de revoir Mamy et Papy, j’ai très envie de les rencontrer et j’en parle avec maman. Elle me promet de les contacter pour qu’ils viennent passer quelques jours à l’occasion des congés de Toussaint.
Le souper se passe au mieux, la soirée est tout simplement une soirée télévision. Nous avons l’occasion de choisir entre deux films, le premier « La Grande Vadrouille » avec Louis de Funes et Bourvil, ou alors « Le Bon, la Brute et le Truand ». Nous sommes une majorité à vouloir regarder le second film.