01-03-2022, 11:31 AM
Enfin nous sommes tous présents. M-A explique que certains d’entre nous sommes allés faire de la spéléo et que cette activité sera à nouveau mise sur pied pour tous ! Puis nous commençons par préparer le programme qui sera appliqué dans les jours et les semaines qui suivent. C’est d’abord la mise en route de la collecte des papiers. En fait il s’agit de récolter des vieux papiers (journaux, revues, annuaires téléphoniques, etc…) en vue de les revendre à une entreprise de recyclage de papiers pour en faire du papier recyclé, du carton et autres dérivés. Il est question de revoir les quartiers dans lesquels les sections vont faire cette récolte. Il faut que les plus jeunes puissent avoir des quantités raisonnables et les plus âgés nettement plus. Il y a certaines sociétés qui ont beaucoup de papiers glacés, soit plus lourds, et qui demandent plus de main d’œuvre. Nous connaissons les quartiers mais certains ont changé. C’est pour cette raison que le staff d’unité nous demande de voir si nous ne pouvons pas harmoniser cette nouvelle collecte.
Seconde partie, c’est la mise sur pied de la présentation de l’action Raoul Follereau. C’est une action destinée à récolter des fonds pour la lutte contre la lèpre ! Nous préparons avec les documents en notre possession un exposé sur cette thématique. Nous y accordons quelques heures. Il est déjà passé treize heures trente et nous faisons alors une pause pour manger un morceau. Quatre baguettes, un peu de beurre et du fromage font l’affaire. Il y a de l’eau et du thé comme boissons.
Vers seize heures nous sommes fins prêts pour cet exposé. Il se fera par deux pour les trois niveaux de section. Comme nous sommes six, ce sera plus facile. M-A décide de préparer chez lui mercredi après-midi un montage audio-visuel à présenter. Nous sommes d’accord de venir lui donner un coup de main.
Nous quittons le local pour rentrer à la maison. Ben rentre chez lui et moi chez mes parents. Je révise le cours pour être en ordre pour lundi matin. La soirée se passe en famille, Anne et André sont présents. Je suis très heureux de voir que ma sœur soit comblée par André et qu’ils s’aiment. Cela se voit comme le nez au milieu de la figure.
La semaine se passe au mieux. L’interro du lundi m’a apporté un dix-sept et demi sur vingt en chimie. J’en suis très heureux, d’autant plus que je suis le premier. Donc comme promis, ce mercredi à quatorze heures je vais chez M-A afin de lui donner un coup de main pour le montage diapositives. Je vois que je ne suis pas le seul, il y a Ben, bien entendu, Philippe, Alex et Gaby, il ne manque que Raphaël. Nous mettons les diapositives en ordre utile en fonction du texte qui sera dit de vive voix par les deux présentateurs. Tout semble être bien ficelé. Il ne reste plus qu’à faire une présentation « zéro » au staff d’unité et aux staffs des sections. C’est prévu samedi en quinze, en matinée, pour laisser le temps aux sections de préparer les enfants et les jeunes qui vont assister à la présentation.
En quittant le domicile de M-A, je m’adresse à Ben et je lui dit :
Moi : « Raph n’était pas présent, je me demande s’il a un problème !
Ben : Je n’en sais rien, nous pouvons passer chez lui pour en avoir le cœur net !
Moi : Très bonne idée, je pensais à la même chose que toi !
Ben : Tu sais Phil, il est peut-être malade, on ne sait jamais.
Moi : Je préfère aller chez lui pour en être certain et ne pas nous tracasser pour rien !
Ben : OK, on y va ! »
Nous allons chez Raphaël. Nous mettons une bonne dizaine de minutes. Enfin nous voilà chez lui. Ben appuie sur le bouton de la sonnette. C’est Kevin qui vient nous ouvrir. Il semble étonné de nous voir. Il nous fait entrer. Nous sommes accueillis dans la salle à manger par Geneviève. Elle nous dit que Raph est au lit avec trente-neuf de fièvre. Nous comprenons mieux son absence à la réunion.
C’est Catherine qui va voir si son frère est réveillé. Trois minutes plus tard, nous voyons Raph entrer dans la salle à manger, le visage rougi par la fièvre, les yeux vitreux et l’air hagard. On voit très nettement qu’il n’est pas bien. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement. Geneviève nous offre une limonade et nous discutons de ce que nous avons mis sur pied durant la journée. On sent bien que Raph est content de notre visite et de l’avoir mis au courant de ce que nous avions fait lors de cette réunion chez Marc-Antoine.
Le reste de la semaine se passe sans problème, les interros sont réussies, c’est le principal. Nous sommes samedi matin, Ben téléphone à la maison, c’est maman qui décroche elle m’appelle. Je prends le combiné et Ben me dit qu’il est disponible avant la réunion. Je dois normalement passer la nuit prochaine chez lui. Je suggère à Ben, vu que nous avons le temps, de passer chez Raphaël pour voir si tout va bien et s’il est guéri. Nous nous donnons rendez-vous devant chez lui à dix heures.
Je sonne et nous attendons qu’on vienne nous ouvrir. C’est Kevin qui nous ouvre la porte. Il nous souhaite la bienvenue, il est déjà plus loquace depuis qu’il nous connaît. Il nous fait entrer dans le salon et il va chercher Raphaël.
Notre ami Raph arrive, il est encore fiévreux. Il a de petits yeux et des cernes. Bref il n’est pas encore remis sur pied. A-t-il attrapé un refroidissement lors de notre sortie en spéléo ? C’est difficile à dire. C'est peu probable qu’il soit présent demain à la réunion. Il dit pourtant qu’il sera présent, il va fournir un effort pour nous tenir compagnie.
Nous quittons Raph et nous allons manger un sandwich sur le pouce en guise de repas de midi. Nous sommes arrivés en même temps que les autres pour préparer la collecte des papiers. Nous avons à notre disposition la carte de la commune et aussi des environs. Nous repérons les quartiers que nous délimitons avec des hachures de couleur. Le vert pour les louveteaux, le bleu pour la troupe éclaireur et le rouge pour les pionniers. Il a été tenu compte de la densité de population et de l’aménagement de la voirie. Pour les loups, c’est dans les parties résidentielles munies de trottoirs assez larges qu’ils seront envoyés dans le but de sonner aux portes des habitations pour demander le papier et autres cartons à prendre pour la récolte. Les scouts « éclaireurs » seront chargés des quartiers mixtes ayant des commerces et des habitations. En ce qui concerne les pionniers, ils œuvreront dans les quartiers les plus commerçants à cette collecte de papier, revues et cartons. C’est là aussi que beaucoup de revue en papier glacé sont les plus nombreuses et les plus lourdes. Les quartiers sont donc désignés : il ne reste plus qu’à proposer au staff d’unité notre projet. C’est M-A qui se charge de trouver un jour et une heure pour l’exposé du plan d’action.
Nous rentrons chez Ben en fin d’après-midi. Il reste deux parts de gâteau spécialement laissées pour nous. Ben prépare deux cacaos en guise de boisson. Le gâteau est super bon c’est Christine qui l’a confectionné. C’est un marbré café – chocolat ! Quel délice !
Nous avons passés le reste de la journée dans la chambre de Ben. Nous avons écouté un peu de musique, un vinyle du groupe HAWKWIND « Doremi fasol latido ». Avant la fin de la face « B », Denis qui est arrivé à la maison, vient frapper à la porte de la chambre. Il s’étonne du genre de musique que nous écoutons. Je lui explique que c’est mon disque et que je voulais faire connaître ce groupe à Ben ! Denis reste avec nous jusqu’à la fin du disque.
Le souper est composé d’un plat style « hochepot » soit de l’agneau préparé avec cinq ou sept légumes différents et accompagné de semoule de blé (couscous). Yves a pris une bonne bouteille de vin chilien. Il est vrai que nous commençons à avoir du vin venant d’autres continents et que cette découverte est la bienvenue.
Nous allons nous coucher non sans avoir pris notre douche. Nous nous sommes endormis assez vite, Ben avait mal à la tête, je pense qu’il a bu un verre de vin en trop. Nous aurons l’occasion de nous aimer un autre jour. Pour ma part je me suis endormi assez vite. C’est donc dans les bras de Morphée que j’ai rêvé de mon Ben d’amour.
C’est vers neuf heures que nous nous sommes réveillés. Il y a du soleil, le temps n’est pas encore à la pluie. Selon la météo, il va pleuvoir après treize heures. Nous nous levons non sans avoir au préalable échangé un baiser langoureux. Direction salle de bain, nous croisons Christine et André qui sortent de la salle d’eau. Nous leur disons bonjour et nous leur donnons un bisou sur la joue. Nous sommes nus comme des vers tous les quatre. C’est vraiment devenu une habitude tant chez moi que chez Ben.
Nous sommes sous le jet de la douche, collés l’un à l’autre. Nos attributs sont une nouvelle fois en éveil. Inutile de dire qu’ils montrent le plafond de la salle de bain. Nous commençons à nous laver mutuellement. Puis nous arrivons à hauteur du pubis de notre amour. Il ne faut pas deux secondes pour s’emparer de la barre de chair de notre compagnon. Nos lèvres se rencontrent et nos langues franchissent la barrière d’ivoire pour entrer dans une nouvelle farandole endiablée. Nos mains déposées sur le phallus tant désiré montent et descendent tout le long, entre le gland et les deux valseuses. A ce rythme nous allons bientôt arriver au moment de non-retour. Effectivement nous répandons notre sève sur nos ventres et nos pubis dans un râle commun de bonheur et de béatitude ! L’eau de la douche a vite fait de faire disparaître le résultat de notre rencontre amoureuse. Nous terminons notre douche, heureux et portés par l’amour qui nous unis !
Seconde partie, c’est la mise sur pied de la présentation de l’action Raoul Follereau. C’est une action destinée à récolter des fonds pour la lutte contre la lèpre ! Nous préparons avec les documents en notre possession un exposé sur cette thématique. Nous y accordons quelques heures. Il est déjà passé treize heures trente et nous faisons alors une pause pour manger un morceau. Quatre baguettes, un peu de beurre et du fromage font l’affaire. Il y a de l’eau et du thé comme boissons.
Vers seize heures nous sommes fins prêts pour cet exposé. Il se fera par deux pour les trois niveaux de section. Comme nous sommes six, ce sera plus facile. M-A décide de préparer chez lui mercredi après-midi un montage audio-visuel à présenter. Nous sommes d’accord de venir lui donner un coup de main.
Nous quittons le local pour rentrer à la maison. Ben rentre chez lui et moi chez mes parents. Je révise le cours pour être en ordre pour lundi matin. La soirée se passe en famille, Anne et André sont présents. Je suis très heureux de voir que ma sœur soit comblée par André et qu’ils s’aiment. Cela se voit comme le nez au milieu de la figure.
La semaine se passe au mieux. L’interro du lundi m’a apporté un dix-sept et demi sur vingt en chimie. J’en suis très heureux, d’autant plus que je suis le premier. Donc comme promis, ce mercredi à quatorze heures je vais chez M-A afin de lui donner un coup de main pour le montage diapositives. Je vois que je ne suis pas le seul, il y a Ben, bien entendu, Philippe, Alex et Gaby, il ne manque que Raphaël. Nous mettons les diapositives en ordre utile en fonction du texte qui sera dit de vive voix par les deux présentateurs. Tout semble être bien ficelé. Il ne reste plus qu’à faire une présentation « zéro » au staff d’unité et aux staffs des sections. C’est prévu samedi en quinze, en matinée, pour laisser le temps aux sections de préparer les enfants et les jeunes qui vont assister à la présentation.
En quittant le domicile de M-A, je m’adresse à Ben et je lui dit :
Moi : « Raph n’était pas présent, je me demande s’il a un problème !
Ben : Je n’en sais rien, nous pouvons passer chez lui pour en avoir le cœur net !
Moi : Très bonne idée, je pensais à la même chose que toi !
Ben : Tu sais Phil, il est peut-être malade, on ne sait jamais.
Moi : Je préfère aller chez lui pour en être certain et ne pas nous tracasser pour rien !
Ben : OK, on y va ! »
Nous allons chez Raphaël. Nous mettons une bonne dizaine de minutes. Enfin nous voilà chez lui. Ben appuie sur le bouton de la sonnette. C’est Kevin qui vient nous ouvrir. Il semble étonné de nous voir. Il nous fait entrer. Nous sommes accueillis dans la salle à manger par Geneviève. Elle nous dit que Raph est au lit avec trente-neuf de fièvre. Nous comprenons mieux son absence à la réunion.
C’est Catherine qui va voir si son frère est réveillé. Trois minutes plus tard, nous voyons Raph entrer dans la salle à manger, le visage rougi par la fièvre, les yeux vitreux et l’air hagard. On voit très nettement qu’il n’est pas bien. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement. Geneviève nous offre une limonade et nous discutons de ce que nous avons mis sur pied durant la journée. On sent bien que Raph est content de notre visite et de l’avoir mis au courant de ce que nous avions fait lors de cette réunion chez Marc-Antoine.
Le reste de la semaine se passe sans problème, les interros sont réussies, c’est le principal. Nous sommes samedi matin, Ben téléphone à la maison, c’est maman qui décroche elle m’appelle. Je prends le combiné et Ben me dit qu’il est disponible avant la réunion. Je dois normalement passer la nuit prochaine chez lui. Je suggère à Ben, vu que nous avons le temps, de passer chez Raphaël pour voir si tout va bien et s’il est guéri. Nous nous donnons rendez-vous devant chez lui à dix heures.
Je sonne et nous attendons qu’on vienne nous ouvrir. C’est Kevin qui nous ouvre la porte. Il nous souhaite la bienvenue, il est déjà plus loquace depuis qu’il nous connaît. Il nous fait entrer dans le salon et il va chercher Raphaël.
Notre ami Raph arrive, il est encore fiévreux. Il a de petits yeux et des cernes. Bref il n’est pas encore remis sur pied. A-t-il attrapé un refroidissement lors de notre sortie en spéléo ? C’est difficile à dire. C'est peu probable qu’il soit présent demain à la réunion. Il dit pourtant qu’il sera présent, il va fournir un effort pour nous tenir compagnie.
Nous quittons Raph et nous allons manger un sandwich sur le pouce en guise de repas de midi. Nous sommes arrivés en même temps que les autres pour préparer la collecte des papiers. Nous avons à notre disposition la carte de la commune et aussi des environs. Nous repérons les quartiers que nous délimitons avec des hachures de couleur. Le vert pour les louveteaux, le bleu pour la troupe éclaireur et le rouge pour les pionniers. Il a été tenu compte de la densité de population et de l’aménagement de la voirie. Pour les loups, c’est dans les parties résidentielles munies de trottoirs assez larges qu’ils seront envoyés dans le but de sonner aux portes des habitations pour demander le papier et autres cartons à prendre pour la récolte. Les scouts « éclaireurs » seront chargés des quartiers mixtes ayant des commerces et des habitations. En ce qui concerne les pionniers, ils œuvreront dans les quartiers les plus commerçants à cette collecte de papier, revues et cartons. C’est là aussi que beaucoup de revue en papier glacé sont les plus nombreuses et les plus lourdes. Les quartiers sont donc désignés : il ne reste plus qu’à proposer au staff d’unité notre projet. C’est M-A qui se charge de trouver un jour et une heure pour l’exposé du plan d’action.
Nous rentrons chez Ben en fin d’après-midi. Il reste deux parts de gâteau spécialement laissées pour nous. Ben prépare deux cacaos en guise de boisson. Le gâteau est super bon c’est Christine qui l’a confectionné. C’est un marbré café – chocolat ! Quel délice !
Nous avons passés le reste de la journée dans la chambre de Ben. Nous avons écouté un peu de musique, un vinyle du groupe HAWKWIND « Doremi fasol latido ». Avant la fin de la face « B », Denis qui est arrivé à la maison, vient frapper à la porte de la chambre. Il s’étonne du genre de musique que nous écoutons. Je lui explique que c’est mon disque et que je voulais faire connaître ce groupe à Ben ! Denis reste avec nous jusqu’à la fin du disque.
Le souper est composé d’un plat style « hochepot » soit de l’agneau préparé avec cinq ou sept légumes différents et accompagné de semoule de blé (couscous). Yves a pris une bonne bouteille de vin chilien. Il est vrai que nous commençons à avoir du vin venant d’autres continents et que cette découverte est la bienvenue.
Nous allons nous coucher non sans avoir pris notre douche. Nous nous sommes endormis assez vite, Ben avait mal à la tête, je pense qu’il a bu un verre de vin en trop. Nous aurons l’occasion de nous aimer un autre jour. Pour ma part je me suis endormi assez vite. C’est donc dans les bras de Morphée que j’ai rêvé de mon Ben d’amour.
C’est vers neuf heures que nous nous sommes réveillés. Il y a du soleil, le temps n’est pas encore à la pluie. Selon la météo, il va pleuvoir après treize heures. Nous nous levons non sans avoir au préalable échangé un baiser langoureux. Direction salle de bain, nous croisons Christine et André qui sortent de la salle d’eau. Nous leur disons bonjour et nous leur donnons un bisou sur la joue. Nous sommes nus comme des vers tous les quatre. C’est vraiment devenu une habitude tant chez moi que chez Ben.
Nous sommes sous le jet de la douche, collés l’un à l’autre. Nos attributs sont une nouvelle fois en éveil. Inutile de dire qu’ils montrent le plafond de la salle de bain. Nous commençons à nous laver mutuellement. Puis nous arrivons à hauteur du pubis de notre amour. Il ne faut pas deux secondes pour s’emparer de la barre de chair de notre compagnon. Nos lèvres se rencontrent et nos langues franchissent la barrière d’ivoire pour entrer dans une nouvelle farandole endiablée. Nos mains déposées sur le phallus tant désiré montent et descendent tout le long, entre le gland et les deux valseuses. A ce rythme nous allons bientôt arriver au moment de non-retour. Effectivement nous répandons notre sève sur nos ventres et nos pubis dans un râle commun de bonheur et de béatitude ! L’eau de la douche a vite fait de faire disparaître le résultat de notre rencontre amoureuse. Nous terminons notre douche, heureux et portés par l’amour qui nous unis !