08-08-2020, 12:28 PM
2eme ANNEE Septembre : (42 / 70) (Grégory) (fin)
Vanyel s’assoit alors dans un fauteuil avec une tasse vide qu’il tend à Diego qui commençait à servir les autres, Djemi tape la discute avec Grégory sur les derniers cancans de la caserne.
Il leur parle de leur amie Colline qui aurait fait cocu son mec avec un toubib du centre de secours fraîchement arrivé à Reims.
La connaissant parfaitement, ils savent très bien que ça ne durera pas alors qu’avec leur collègue ce serait récurrent.
Les potins vont bon train et tous n’attendent qu’une chose, qu’elle annonce officiellement qu’elle est avec le toubib.
Quand ils sont ensemble, ils sont pires que des commères et n’étant pas dans les mêmes équipes, ils ont chacun leurs histoires à raconter.
Djemi qui est le plus ancien, est celui qui connaît les plus vieilles rumeurs car tout au long de sa carrière, il en a entendu des vertes et des pas mûres.
Bien sûr leurs conversations sautent rapidement du coq à l’âne, les gens bizarres ou sympas rencontrés de-ci de-là au cours de leurs missions.
Ils parlent aussi de cinéma et bien sûr comme tous hommes qui se respecte, de sexe.
Ils en arrivent aux achats de sex-toys que Vanyel et Djemi utilisent à l’occasion pour que ce dernier leur fasse une révélation.
- Agathe a essayé un gode sur moi et je peux comprendre que les gays aiment se faire sodomiser.
Surprise générale à cette annonce pour le moins surprenante de sa part qui les laisse sans voix quelques secondes.
Vanyel légèrement provocateur.
- Ah oui ? Et tu n’as pas envie d’essayer avec une vraie ?
Diego qui en rajoute une louche.
- À force de côtoyer des gays, ça vous donne des idées !
- (Djemi en riant) Je suis hétéro, je n’ai pas du tout envie de faire quoique ce soit avec un mec! Agathe et moi avons juste exploré de nouvelles voies dans notre sexualité.
- (Grégory mort de rire) On peut en effet appeler ça comme ça ! Tu n’es pas aussi sage que tu en as l’air. Moi qui pensais que tu étais un hétéro classique…
- (Djemi en le taquinant) Tu es encore un peu jeune pour juger les gens si vite!
« Greg » avec ses vingt-deux ans étant le plus jeune du groupe.
Grégory faussement honteux.
- Bon d’accord, je me tais.
Vanyel en lui donnant un petit coup de coude.
- Non mais tu as raison, « Djem » cache bien son jeu. Si tu savais…sexuellement, je crois que c’est le pire d’entre nous. Le pire, c’est Agathe. Un petit bout de femme mais elle…
Djemi plaque sa main sur la bouche de son ami pour le faire taire.
- N’en rajoute pas plus sur Agathe ou je raconte le plus croustillant sur ton compte.
- Mm-mm.
Djemi amusé retire sa main.
- D’accord. Je ne dirais pas que…
Djemi remet aussi sec sa main sur sa bouche.
- Bon, et si on parlait d’autre chose ? J’adore la tarte au citron et vous ?
Explosion de rires sauf pour Vanyel qui commence à étouffer et repousse assez vivement la main qui le bâillonne.
- (Diego) Au fait, ça ne dérange pas Anatéo qu’on soit là ? Il t’attendait peut-être puisqu’il était sur le canapé.
Vanyel en souriant à son ami.
- Il écrivait et s’est endormi, donc je suppose que non. Comme je l’ai dit tout à l’heure, « Ana » est vraiment adorable. J’ai de la chance de l’avoir.
Diego en soupirant.
- Oh oui!
Vanyel en le fixant dans les yeux.
- Toi, faut vraiment que tu te trouves quelqu’un ou que tu parles à Gianni.
- Pas question !
Diego stoppe là la conversation. Vanyel, Grégory et Djemi échangent un regard rempli de lassitude.
Ils pensent que Diego devrait faire quelque chose plutôt que de toujours se plaindre.
La rupture due à la tromperie de son ex lui a laissé une plaie ouverte qu’il n’arrive pas à refermer, ils le comprennent bien mais ils n’attendent qu’une chose, c’est que Diego remonte la pente car sinon la dépression le guette et ses amis n’aiment pas le voir comme ça.
Une fois la cafetière terminée, Djemi annonce qu’il est temps de partir.
Ils sont tous bons pour faire la grasse matinée demain, après tout ils méritent bien ses petits congés après avoir autant assuré pendant les derniers tours d’astreinte.
Les trois hommes font un bout de chemin ensemble puis Grégory leur fait un signe au revoir et les quitte pour rejoindre son appartement où il espère que Julien et Élodie seront rentrés.
2eme ANNEE Septembre : (43 / 70) (Retour à Aix) (suite)
Il est très tard ou plutôt très tôt ce matin quand Florian et Thomas débarquent du train en gare d’Aix en Provence, le temps est encore doux et ils marchent tranquillement pour rejoindre un emplacement réservé aux taxis.
Ils attendent pas loin d’un quart d’heure en désespérant qu’il y en ait un qui arrive enfin, voyant que ce n’est toujours pas le cas ils se décident à téléphoner à Éric pour qu’il vienne les chercher.
Celui-ci arrive dix minutes plus tard accompagné de Raphaël ce qui nous fait sourire, comprenant par le fait qu’ils étaient encore ensemble cette nuit.
Une fois les valises dans le coffre, nous montons dans la voiture et Éric reprend la route aussitôt.
Raphaël en se retournant vers nous.
- Alors les gars ? Ça a été ses deux jours à Reims ?
- (Thomas) Pour ça oui Hi ! Hi !
Éric nous jetant de brefs coups d’œil dans le rétro.
- Qu’est ce qui s’est passé encore ?
Nous sommes obligés de leur raconter de long en large les dernières quarante-huit heures et bien sûr quand arrive l’histoire du caméscope, c’est un délire de rires dans la voiture.
Éric en s’essuyant les yeux.
- J’aurais bien voulu voir ça Hi ! Hi !
Je sors un dvd gravé de ma poche intérieure.
- Qu’à cela ne tienne mon grand Hi ! Hi ! Vous ne direz pas que nous ne pensons pas aux copains Hi ! Hi !
Raphaël les yeux brillants.
- J’ai hâte de voir ça !! Il y a toute la soirée ?
- (Thomas) Non!! Juste la partie qui concerne Damien, l’autre partie était trop « personnelle » et il n’y a qu’Annie et Frédéric qui l’ont.
- (Éric) Et la vieille dame ? Elle va bien ?
- Oui t’inquiète, j’ai fait ce qu’il faut pour.
Thomas qui repense à cette nuit-là.
- J’ai vu « Flo » à l’œuvre et croyez-moi les gars c’est super-impressionnant, il y a même fallu rentrer en catimini dans l’hôpital pour pas que « Flo » soit pris d’assaut comme le lendemain quand nous y sommes revenus.
Raphaël faisant de grands yeux étonnés.
- À ce point-là !!!
- Bah !! Il en rajoute beaucoup tu sais parce que le lendemain c’est autant après lui qu’ils en avaient, j’ai lâché le beau gosse dans les couloirs et en revenant fallait faire gaffe pour pas se casser la gueule Hi ! Hi !
Thomas me regarde étonné.
- Comment ça ?
Éric qui a très bien compris l’allusion.
- Elles ne portent pas de culottes les infirmières ? Quelles cochonnes quand même Hi ! Hi !
Thomas qui comprend enfin.
- Oh !!!
Raphaël en le regardant amusé.
- Ne change surtout pas « Thom » c’est comme ça qu’on t’aime tu sais ?
Le sourire de Raphaël commence à nettement m’exciter et je sens un énorme tiraillement dans mon pantalon, discrètement je mets la « chose » en place pour être plus « confortable » et je laisse venir la suite.
Je suis curieux de voir si le simple fait que je sois excité comme un malade va se ressentir sur mes compagnons, les yeux de Raphaël se voilent lentement passant de l’amusement à notre conversation vers un regard de plus en plus carnassier où l’envie commence à se lire à l’intérieur.
Côté Thomas ce n’est pas mieux car quand il se trémousse comme ça, c’est aussi parce qu’il a des pensées coquines qui le gagnent, quant à Éric ses yeux dans le rétro ne me trompe pas et quand je tends mes jambes pour redonner un peu de mou au-devant de mon pantalon pour que mon sexe soit moins serrer, un léger coup de volant pour redresser la voiture me dis qu’il y pense très fort lui aussi.
Raphaël décidément très perspicace quand il s’agit de ça détourne son regard vers ma braguette et frémit en voyant la forme plus que suggestive qu’elle a prise.
- Vous ne ressentez rien d’un seul coup les gars ?
Éric voulant savoir s’il pense la même chose que lui.
- Comme quoi ?
- (Raphaël) J’ai l’impression que Florian a des envies très précises parce que moi depuis cinq minutes je bande comme un baudet.
Thomas louche lui aussi sur ma braguette pour se rendre compte.
- Ouah !! Tu ne te trompes pas, la vache !! Il va se péter le futal s’il continue comme ça
- (Éric en riant) C’est pour ça que depuis tout à l’heure j’ai l’impression d’avoir un deuxième levier de vitesse Hi ! Hi !
Je les regarde tour à tour en souriant.
- Je ne disais rien pour voir si vous seriez toujours aussi réceptifs et ça a l’air de marcher, je vais tester le truc encore un peu en m’excitant encore plus pour voir vos réactions à tous les trois. Essayer de résister du mieux que vous pourrez, au pire j’ai vu qu’il y a des couvertures dans le coffre alors je vous laisse trouver une solution.
Je ne dis plus rien et me renfonce le plus confortablement possible sur la banquette, je m’imagine alors sur la plage tous les quatre nus en train de nous caresser et ma libido monte de plusieurs crans, mon cœur s’accélère et je sens mon pouls battre à tout rompre.
2eme ANNEE Septembre : (44 / 70) (Retour à Aix) (fin)
Mon sexe durcit encore plus et mon regard devient brûlant, je capte les yeux de Raphaël et je sens mon sang bouillir dans mes veines. Ma main touche celle de Thomas qui frissonne au contact de ma peau sur la sienne, mes yeux se portent dans le cou d’Éric et l’envie irrépressible me prend d’y plaquer ma bouche pour sentir le contact de cette chair si tentante.
La tension dans la voiture devient de plus en plus forte et c’est Éric qui craque le premier et freine brusquement en se garant sur le bas-côté, je n’avais pas remarqué qu’il avait changé de destination et qu’il était sorti de la ville, aussi quand malgré la nuit j’aperçois un bosquet d’arbres ça me surprend tout autant que les deux autres qui n’y avaient eux non plus pas fait attention.
Éric à peine le moteur arrêté sort de l’auto et vient de mon côté, ouvre ma portière à la volée et me saute dessus pour m’embrasser à pleine bouche. J’entends son cœur cogner dans sa poitrine et je reste stupéfié de le voir aussi excité après moi, je n’ai pas le temps de me poser plus de questions que je suis sorti de mon siège par deux bras puissants et emmener rapidement sur une couverture que viennent de mettre en place Raphaël et Thomas avec une rapidité tout aussi étonnante.
Ils sont maintenant tous les trois à me serrer contre eux et à me toucher partout, j’avoue que je n’en mène pas large d’un seul coup et je me dis que j’ai dû y aller un peu fort pour les mettre dans un état pareil. Je tente de me calmer mais je dois être en autoallumage car je n’y arrive pas, de ma gorge s’échappe soudainement un son presque inaudible qui affole encore plus les sens déjà en exergue de mes amis.
Raphaël est le plus touché des trois, il arrache ses vêtements avec une espèce de folie dans les yeux puis se jette à quatre pattes les jambes tremblantes écartées en me tendant ses fesses avec impatience. Ses yeux ne lâchent plus les miens quand je m’agenouille derrière lui en ôtant moi aussi avec rudesse mes vêtements qui sont maintenant un rempart à mon envie de le saillir.
Il s’offre à moi en cambrant les reins sans me quitter des yeux, ses lèvres gonflées d’envies attrapent les miennes quand je me positionne derrière lui et le pénètre en poussant un gémissement de pur bonheur.
Thomas et Éric ne restent pas les bras ballant tout aussi enfiévré que Raphaël et viennent nous rejoindre nus et excités à mort eux aussi. Éric passe sous « Raph » et lui tète le gland comme un veau tète sa mère, Thomas s’est agenouillé derrière moi et sa langue me dévore l’intérieur des fesses en essayant du mieux qu’il peut de suivre mes coups de reins qui saillissent toujours Raphaël.
La sueur me coule dans le dos aussitôt léché par Thomas qui maintenant me recouvre de son corps et s’empale en moi avec une vigueur telle que je ne peux retenir un cri purement animal en sentant son membre gavé de sang prendre possession de mon intimité.
Plus rien ne pourrait nous arrêter, Raphaël ahane de bonheur sous les coups de buttoirs; Je mets une légère claque sur l’épaule d’Éric qui le suce toujours avec autant de fougue, il tourne sa tête vers moi et comprend tout de suite mon envie et vient aussitôt se positionner comme son ami m’offrant à son tour ses merveilleuses fesses qu’il écarte de ses mains fébriles le torse poser sur la couverture.
Ma main attrape le sexe prêt à cracher son jus de Raphaël et d’un bref massage du gland le fait partir d’un seul coup, recevant dans ma paume le fruit de son plaisir, il s’affale au sol vaincu par l’orgasme, haletant comme un forcené pour reprendre une respiration normale.
Je me déplace rapidement en prenant soin malgré tout que Thomas reste en moi pour venir me plaquer contre Éric à qui je donne le sperme de Raphaël à boire, il ne demande pas mieux et sa langue râpeuse lèche ma paume en la nettoyant goulûment pendant que d’un coup nerveux je rentre en lui et lui fait connaître à son tour un orgasme terrible qui le secoue des pieds à la tête en lâchant de longs jets de sperme sur la couverture.
Thomas maintenant que j’ai achevé mes deux premiers amants réclame son tour et s’allonge sous moi en ne me laissant pas le temps de changer de position, ses mains prennent mes hanches et ses jambes se posent sur mes épaules; Ses yeux pétillent d’excitation et en deviennent presque transparents, mes reins s’abaissent doucement pour amener mon sexe entre ses fesses et quand je sens mon gland buter contre son anus, ses mains appuient fortement sur mon bassin pour que je le pénètre.
Mon sexe surchauffé entre en lui et mes lèvres s’accrochent aux siennes, mes reins dansent alors un ballet qui nous emmène dans un autre monde. Sa poitrine à la douceur extrême frotte tel de la soie contre la mienne, nos tétons érigés se touchent et nous électrisent.
Sa langue s’enroule autour de la mienne et mes yeux se noient dans les siens, ses mains donnent le rythme de ma pénétration et mon gland bute de plus en plus loin en lui; Une énorme chaleur me prend le corps et je sens venir la jouissance qui commence par me vriller les reins et s’amplifie pour transformer mon sexe en un objet de purs plaisirs qui vibre et durcit jusqu’à me tétaniser dans un orgasme qui me fait crier de délivrance.
Quand je reprends conscience après un long moment dans « l’ailleurs », je vois mon Thomas les yeux et la bouche grands ouverts qui revient lui aussi petit à petit à la réalité de cette nuit torride, mon ventre est tout poisseux de sa semence et nous nous sourions nos corps enfin calmés.
Raphaël et Éric viennent se serrer contre nous et nous restons un long moment ainsi sans la moindre parole, un long frisson les prend tous les trois quant au bout de quelques minutes mon regard s’allume et qu’un sourire coquin illumine mon visage.
Raphaël s’en aperçoit et ses yeux s'arrondissent de stupeur voyant bien où ça va encore tous les mener.
- Oh non !!!!!!!!!
Vanyel s’assoit alors dans un fauteuil avec une tasse vide qu’il tend à Diego qui commençait à servir les autres, Djemi tape la discute avec Grégory sur les derniers cancans de la caserne.
Il leur parle de leur amie Colline qui aurait fait cocu son mec avec un toubib du centre de secours fraîchement arrivé à Reims.
La connaissant parfaitement, ils savent très bien que ça ne durera pas alors qu’avec leur collègue ce serait récurrent.
Les potins vont bon train et tous n’attendent qu’une chose, qu’elle annonce officiellement qu’elle est avec le toubib.
Quand ils sont ensemble, ils sont pires que des commères et n’étant pas dans les mêmes équipes, ils ont chacun leurs histoires à raconter.
Djemi qui est le plus ancien, est celui qui connaît les plus vieilles rumeurs car tout au long de sa carrière, il en a entendu des vertes et des pas mûres.
Bien sûr leurs conversations sautent rapidement du coq à l’âne, les gens bizarres ou sympas rencontrés de-ci de-là au cours de leurs missions.
Ils parlent aussi de cinéma et bien sûr comme tous hommes qui se respecte, de sexe.
Ils en arrivent aux achats de sex-toys que Vanyel et Djemi utilisent à l’occasion pour que ce dernier leur fasse une révélation.
- Agathe a essayé un gode sur moi et je peux comprendre que les gays aiment se faire sodomiser.
Surprise générale à cette annonce pour le moins surprenante de sa part qui les laisse sans voix quelques secondes.
Vanyel légèrement provocateur.
- Ah oui ? Et tu n’as pas envie d’essayer avec une vraie ?
Diego qui en rajoute une louche.
- À force de côtoyer des gays, ça vous donne des idées !
- (Djemi en riant) Je suis hétéro, je n’ai pas du tout envie de faire quoique ce soit avec un mec! Agathe et moi avons juste exploré de nouvelles voies dans notre sexualité.
- (Grégory mort de rire) On peut en effet appeler ça comme ça ! Tu n’es pas aussi sage que tu en as l’air. Moi qui pensais que tu étais un hétéro classique…
- (Djemi en le taquinant) Tu es encore un peu jeune pour juger les gens si vite!
« Greg » avec ses vingt-deux ans étant le plus jeune du groupe.
Grégory faussement honteux.
- Bon d’accord, je me tais.
Vanyel en lui donnant un petit coup de coude.
- Non mais tu as raison, « Djem » cache bien son jeu. Si tu savais…sexuellement, je crois que c’est le pire d’entre nous. Le pire, c’est Agathe. Un petit bout de femme mais elle…
Djemi plaque sa main sur la bouche de son ami pour le faire taire.
- N’en rajoute pas plus sur Agathe ou je raconte le plus croustillant sur ton compte.
- Mm-mm.
Djemi amusé retire sa main.
- D’accord. Je ne dirais pas que…
Djemi remet aussi sec sa main sur sa bouche.
- Bon, et si on parlait d’autre chose ? J’adore la tarte au citron et vous ?
Explosion de rires sauf pour Vanyel qui commence à étouffer et repousse assez vivement la main qui le bâillonne.
- (Diego) Au fait, ça ne dérange pas Anatéo qu’on soit là ? Il t’attendait peut-être puisqu’il était sur le canapé.
Vanyel en souriant à son ami.
- Il écrivait et s’est endormi, donc je suppose que non. Comme je l’ai dit tout à l’heure, « Ana » est vraiment adorable. J’ai de la chance de l’avoir.
Diego en soupirant.
- Oh oui!
Vanyel en le fixant dans les yeux.
- Toi, faut vraiment que tu te trouves quelqu’un ou que tu parles à Gianni.
- Pas question !
Diego stoppe là la conversation. Vanyel, Grégory et Djemi échangent un regard rempli de lassitude.
Ils pensent que Diego devrait faire quelque chose plutôt que de toujours se plaindre.
La rupture due à la tromperie de son ex lui a laissé une plaie ouverte qu’il n’arrive pas à refermer, ils le comprennent bien mais ils n’attendent qu’une chose, c’est que Diego remonte la pente car sinon la dépression le guette et ses amis n’aiment pas le voir comme ça.
Une fois la cafetière terminée, Djemi annonce qu’il est temps de partir.
Ils sont tous bons pour faire la grasse matinée demain, après tout ils méritent bien ses petits congés après avoir autant assuré pendant les derniers tours d’astreinte.
Les trois hommes font un bout de chemin ensemble puis Grégory leur fait un signe au revoir et les quitte pour rejoindre son appartement où il espère que Julien et Élodie seront rentrés.
2eme ANNEE Septembre : (43 / 70) (Retour à Aix) (suite)
Il est très tard ou plutôt très tôt ce matin quand Florian et Thomas débarquent du train en gare d’Aix en Provence, le temps est encore doux et ils marchent tranquillement pour rejoindre un emplacement réservé aux taxis.
Ils attendent pas loin d’un quart d’heure en désespérant qu’il y en ait un qui arrive enfin, voyant que ce n’est toujours pas le cas ils se décident à téléphoner à Éric pour qu’il vienne les chercher.
Celui-ci arrive dix minutes plus tard accompagné de Raphaël ce qui nous fait sourire, comprenant par le fait qu’ils étaient encore ensemble cette nuit.
Une fois les valises dans le coffre, nous montons dans la voiture et Éric reprend la route aussitôt.
Raphaël en se retournant vers nous.
- Alors les gars ? Ça a été ses deux jours à Reims ?
- (Thomas) Pour ça oui Hi ! Hi !
Éric nous jetant de brefs coups d’œil dans le rétro.
- Qu’est ce qui s’est passé encore ?
Nous sommes obligés de leur raconter de long en large les dernières quarante-huit heures et bien sûr quand arrive l’histoire du caméscope, c’est un délire de rires dans la voiture.
Éric en s’essuyant les yeux.
- J’aurais bien voulu voir ça Hi ! Hi !
Je sors un dvd gravé de ma poche intérieure.
- Qu’à cela ne tienne mon grand Hi ! Hi ! Vous ne direz pas que nous ne pensons pas aux copains Hi ! Hi !
Raphaël les yeux brillants.
- J’ai hâte de voir ça !! Il y a toute la soirée ?
- (Thomas) Non!! Juste la partie qui concerne Damien, l’autre partie était trop « personnelle » et il n’y a qu’Annie et Frédéric qui l’ont.
- (Éric) Et la vieille dame ? Elle va bien ?
- Oui t’inquiète, j’ai fait ce qu’il faut pour.
Thomas qui repense à cette nuit-là.
- J’ai vu « Flo » à l’œuvre et croyez-moi les gars c’est super-impressionnant, il y a même fallu rentrer en catimini dans l’hôpital pour pas que « Flo » soit pris d’assaut comme le lendemain quand nous y sommes revenus.
Raphaël faisant de grands yeux étonnés.
- À ce point-là !!!
- Bah !! Il en rajoute beaucoup tu sais parce que le lendemain c’est autant après lui qu’ils en avaient, j’ai lâché le beau gosse dans les couloirs et en revenant fallait faire gaffe pour pas se casser la gueule Hi ! Hi !
Thomas me regarde étonné.
- Comment ça ?
Éric qui a très bien compris l’allusion.
- Elles ne portent pas de culottes les infirmières ? Quelles cochonnes quand même Hi ! Hi !
Thomas qui comprend enfin.
- Oh !!!
Raphaël en le regardant amusé.
- Ne change surtout pas « Thom » c’est comme ça qu’on t’aime tu sais ?
Le sourire de Raphaël commence à nettement m’exciter et je sens un énorme tiraillement dans mon pantalon, discrètement je mets la « chose » en place pour être plus « confortable » et je laisse venir la suite.
Je suis curieux de voir si le simple fait que je sois excité comme un malade va se ressentir sur mes compagnons, les yeux de Raphaël se voilent lentement passant de l’amusement à notre conversation vers un regard de plus en plus carnassier où l’envie commence à se lire à l’intérieur.
Côté Thomas ce n’est pas mieux car quand il se trémousse comme ça, c’est aussi parce qu’il a des pensées coquines qui le gagnent, quant à Éric ses yeux dans le rétro ne me trompe pas et quand je tends mes jambes pour redonner un peu de mou au-devant de mon pantalon pour que mon sexe soit moins serrer, un léger coup de volant pour redresser la voiture me dis qu’il y pense très fort lui aussi.
Raphaël décidément très perspicace quand il s’agit de ça détourne son regard vers ma braguette et frémit en voyant la forme plus que suggestive qu’elle a prise.
- Vous ne ressentez rien d’un seul coup les gars ?
Éric voulant savoir s’il pense la même chose que lui.
- Comme quoi ?
- (Raphaël) J’ai l’impression que Florian a des envies très précises parce que moi depuis cinq minutes je bande comme un baudet.
Thomas louche lui aussi sur ma braguette pour se rendre compte.
- Ouah !! Tu ne te trompes pas, la vache !! Il va se péter le futal s’il continue comme ça
- (Éric en riant) C’est pour ça que depuis tout à l’heure j’ai l’impression d’avoir un deuxième levier de vitesse Hi ! Hi !
Je les regarde tour à tour en souriant.
- Je ne disais rien pour voir si vous seriez toujours aussi réceptifs et ça a l’air de marcher, je vais tester le truc encore un peu en m’excitant encore plus pour voir vos réactions à tous les trois. Essayer de résister du mieux que vous pourrez, au pire j’ai vu qu’il y a des couvertures dans le coffre alors je vous laisse trouver une solution.
Je ne dis plus rien et me renfonce le plus confortablement possible sur la banquette, je m’imagine alors sur la plage tous les quatre nus en train de nous caresser et ma libido monte de plusieurs crans, mon cœur s’accélère et je sens mon pouls battre à tout rompre.
2eme ANNEE Septembre : (44 / 70) (Retour à Aix) (fin)
Mon sexe durcit encore plus et mon regard devient brûlant, je capte les yeux de Raphaël et je sens mon sang bouillir dans mes veines. Ma main touche celle de Thomas qui frissonne au contact de ma peau sur la sienne, mes yeux se portent dans le cou d’Éric et l’envie irrépressible me prend d’y plaquer ma bouche pour sentir le contact de cette chair si tentante.
La tension dans la voiture devient de plus en plus forte et c’est Éric qui craque le premier et freine brusquement en se garant sur le bas-côté, je n’avais pas remarqué qu’il avait changé de destination et qu’il était sorti de la ville, aussi quand malgré la nuit j’aperçois un bosquet d’arbres ça me surprend tout autant que les deux autres qui n’y avaient eux non plus pas fait attention.
Éric à peine le moteur arrêté sort de l’auto et vient de mon côté, ouvre ma portière à la volée et me saute dessus pour m’embrasser à pleine bouche. J’entends son cœur cogner dans sa poitrine et je reste stupéfié de le voir aussi excité après moi, je n’ai pas le temps de me poser plus de questions que je suis sorti de mon siège par deux bras puissants et emmener rapidement sur une couverture que viennent de mettre en place Raphaël et Thomas avec une rapidité tout aussi étonnante.
Ils sont maintenant tous les trois à me serrer contre eux et à me toucher partout, j’avoue que je n’en mène pas large d’un seul coup et je me dis que j’ai dû y aller un peu fort pour les mettre dans un état pareil. Je tente de me calmer mais je dois être en autoallumage car je n’y arrive pas, de ma gorge s’échappe soudainement un son presque inaudible qui affole encore plus les sens déjà en exergue de mes amis.
Raphaël est le plus touché des trois, il arrache ses vêtements avec une espèce de folie dans les yeux puis se jette à quatre pattes les jambes tremblantes écartées en me tendant ses fesses avec impatience. Ses yeux ne lâchent plus les miens quand je m’agenouille derrière lui en ôtant moi aussi avec rudesse mes vêtements qui sont maintenant un rempart à mon envie de le saillir.
Il s’offre à moi en cambrant les reins sans me quitter des yeux, ses lèvres gonflées d’envies attrapent les miennes quand je me positionne derrière lui et le pénètre en poussant un gémissement de pur bonheur.
Thomas et Éric ne restent pas les bras ballant tout aussi enfiévré que Raphaël et viennent nous rejoindre nus et excités à mort eux aussi. Éric passe sous « Raph » et lui tète le gland comme un veau tète sa mère, Thomas s’est agenouillé derrière moi et sa langue me dévore l’intérieur des fesses en essayant du mieux qu’il peut de suivre mes coups de reins qui saillissent toujours Raphaël.
La sueur me coule dans le dos aussitôt léché par Thomas qui maintenant me recouvre de son corps et s’empale en moi avec une vigueur telle que je ne peux retenir un cri purement animal en sentant son membre gavé de sang prendre possession de mon intimité.
Plus rien ne pourrait nous arrêter, Raphaël ahane de bonheur sous les coups de buttoirs; Je mets une légère claque sur l’épaule d’Éric qui le suce toujours avec autant de fougue, il tourne sa tête vers moi et comprend tout de suite mon envie et vient aussitôt se positionner comme son ami m’offrant à son tour ses merveilleuses fesses qu’il écarte de ses mains fébriles le torse poser sur la couverture.
Ma main attrape le sexe prêt à cracher son jus de Raphaël et d’un bref massage du gland le fait partir d’un seul coup, recevant dans ma paume le fruit de son plaisir, il s’affale au sol vaincu par l’orgasme, haletant comme un forcené pour reprendre une respiration normale.
Je me déplace rapidement en prenant soin malgré tout que Thomas reste en moi pour venir me plaquer contre Éric à qui je donne le sperme de Raphaël à boire, il ne demande pas mieux et sa langue râpeuse lèche ma paume en la nettoyant goulûment pendant que d’un coup nerveux je rentre en lui et lui fait connaître à son tour un orgasme terrible qui le secoue des pieds à la tête en lâchant de longs jets de sperme sur la couverture.
Thomas maintenant que j’ai achevé mes deux premiers amants réclame son tour et s’allonge sous moi en ne me laissant pas le temps de changer de position, ses mains prennent mes hanches et ses jambes se posent sur mes épaules; Ses yeux pétillent d’excitation et en deviennent presque transparents, mes reins s’abaissent doucement pour amener mon sexe entre ses fesses et quand je sens mon gland buter contre son anus, ses mains appuient fortement sur mon bassin pour que je le pénètre.
Mon sexe surchauffé entre en lui et mes lèvres s’accrochent aux siennes, mes reins dansent alors un ballet qui nous emmène dans un autre monde. Sa poitrine à la douceur extrême frotte tel de la soie contre la mienne, nos tétons érigés se touchent et nous électrisent.
Sa langue s’enroule autour de la mienne et mes yeux se noient dans les siens, ses mains donnent le rythme de ma pénétration et mon gland bute de plus en plus loin en lui; Une énorme chaleur me prend le corps et je sens venir la jouissance qui commence par me vriller les reins et s’amplifie pour transformer mon sexe en un objet de purs plaisirs qui vibre et durcit jusqu’à me tétaniser dans un orgasme qui me fait crier de délivrance.
Quand je reprends conscience après un long moment dans « l’ailleurs », je vois mon Thomas les yeux et la bouche grands ouverts qui revient lui aussi petit à petit à la réalité de cette nuit torride, mon ventre est tout poisseux de sa semence et nous nous sourions nos corps enfin calmés.
Raphaël et Éric viennent se serrer contre nous et nous restons un long moment ainsi sans la moindre parole, un long frisson les prend tous les trois quant au bout de quelques minutes mon regard s’allume et qu’un sourire coquin illumine mon visage.
Raphaël s’en aperçoit et ses yeux s'arrondissent de stupeur voyant bien où ça va encore tous les mener.
- Oh non !!!!!!!!!
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=71.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 3
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li