08-08-2020, 12:15 PM
2eme ANNEE Septembre : (34 / 70) (Aix) (fin)
Le lendemain matin quand ils se réveillent, Raphaël regarde la fenêtre rêveur.
- C’est de là que tu faisais des trucs cochons avec Thomas en matant « Flo » ?
- (Éric) Oui c’était pas mal chaud déjà, « Thom » était très réceptif dans ces moments-là et nous nous sommes bien éclatés !! Enfin nous ne faisions ça que l’été quand Florian passait ses après-midi en short à dévorer ses livres.
- Il vous chauffait déjà autant ?
- Pas qu’un peu !! En plus il ne se doutait de rien, tu l’aurais vu à cette époque c’était un vrai glaçon niveau sexe. Et pourtant tu n’imagines même pas comment il nous faisait kiffer grave avec sa petite bouille et son corps déjà si mignon.
- Et « Thom » ?
Éric en rit maintenant qu’il a retrouvé son ami.
- En fait il fallait le démarrer et avec « Flo » c’était du rapide, je n’avais plus ensuite qu’à l’exciter un peu et après c’était du tout bon.
- Tu dois être heureux maintenant que tu nous as tous les trois ?
- Oui c’est vrai sauf que jusqu’à maintenant ce n’est arrivé qu’une fois et ça commence à dater, j’ai très envie de nous refaire un truc tous ensemble. Tu ne te rappelles pas de notre soirée ? J’en suis encore tout retourné, dès qu’ils rentrent on essaye de se le refaire, je me sens capable de le faire toute la nuit.
Raphaël se tourne vers lui en souriant.
- Pourtant cette nuit ce n’est pas moi qui ai demandé grâce je te signale.
Éric ne répond pas mais lui rend son sourire, c’est vrai que son petit « Raph » a la pêche dès qu’il s’agit de s’éclater au lit.
Pourtant il n’a pas été avare cette nuit lui non plus mais le coup de barre qu’il a eu alors que Raphaël en redemandait encore lui vaut cette petite taquinerie.
De repenser à tout ça lui donne envie de s’occuper une nouvelle fois de son ami et une idée lui vient en regardant la fenêtre.
- Dis-moi ? Ça te dirait de te remettre comme chez toi à la fenêtre avant que Chloé n’arrive ? J’ai envie de voir le spectacle que nous lui avons donné, vu la tête qu’elle faisait ça devait être plutôt pas mal.
Raphaël comprend aussitôt et va direct s’y accouder en reprenant la position assez obscène de l’autre fois, il écarte les jambes et cambre les reins afin d’offrir à son ami une vue directe sur l’intérieur de ses fesses.
Éric en frissonne tellement il se régale de la vision qu’il en a, les testicules bien pendantes et la rosette bien visible de son copain lui donnent la suée et il en salive d’envie.
- C’est sûr qu’elle en a eu plein la vue Hi ! Hi !
Raphaël en rajoute et se tortille lascivement en donnant encore plus l’eau à la bouche à son homme qui se lève et vient doucement s’agenouiller juste derrière lui, ses mains se posent sur les fesses de Raphaël et commencent à le caresser crûment le faisant soupirer d’excitation.
Sa bouche vient ensuite mordiller la peau satinée par les deux mois passés au soleil et sa langue s’immisce dans le sillon imberbe et le lape goulûment, Raphaël passe sa main derrière la tête d’Éric et la force à y aller plus profondément encore jusqu’à ce que sa bouche soit plaquée sur sa rondelle et qu’il lui dévore le fondement avec application.
- Arhh !!!
Le jeune rouquin se déchaîne et se frotte de plus en plus nerveusement cherchant à le faire aller plus loin encore, quand il sent la langue pénétrer enfin l’entrée de sa grotte il se raidit sous le plaisir que ça lui apporte.
- J’en peux plus !! Prends-moi !!
Il n’en faut pas plus pour qu’Éric se redresse et vienne épouser la forme de son corps avec le sien, Raphaël lui attrape le sexe bien dur et le positionne pour qu’il n’ait plus qu’à pousser très fort et le prendre sans plus de fioritures.
Le beau brun derrière lui le comprend très bien et ne demande pas mieux que de le satisfaire, il entre en lui sur une poussée énergique qui le plante entièrement dans son ami savourant la chaleur et la douceur de cette gaine qui enserre aussi bien sa virilité.
- Vas-y !! Ne te retiens pas !! C’est trop bon !!
Éric le prend par les épaules et se lâche à fond, ses coups de boutoirs font s’écraser son ami contre le bâti de la fenêtre, les coups puissants qu’il lui assène avec force font gémir Raphaël de plaisir.
Pendant plusieurs minutes ce n’est plus qu’une course effrénée pour les mener à la jouissance, Raphaël prend son sexe et le branle au même rythme frénétique que les va-et-vient d’Éric dans son intimité.
- Plus fort !! Arhh !! Oui !! Vas-y c’est le pied !! Putain je vais jouir !! Défonce-moi le cul !! Ouuiii !!!!
Les paroles crues de Raphaël déchaînent encore plus son compagnon pas habitué à l’entendre parler ainsi et l’orgasme qu’il sent monter en lui est si puissant que son corps tout entier est traversé par l’immense plaisir qui lui amène la délivrance en se vidant en longues saccades qui giclent de son sexe comme des langues de feu.
Raphaël n’est plus que sensations, son corps se pâme et sa main s’active encore plus rapidement sur son sexe pour lui amener à lui aussi la délivrance tant attendue.
Éric le sentant proche de l’éjaculation se désemmanche rapidement et va s’asseoir entre ses jambes en ouvrant la bouche pour récolter le fruit de son plaisir.
De le voir ainsi les yeux fixés sur lui et les lèvres ouvertes quémandant sa pitance fait frémir Raphaël qui libère dans un râle de pur bonheur sa liqueur de vie qui macule en larges flaques crémeuses le visage et la langue qu’Éric tend vers son gland pour y recueillir les dernières gouttes de sperme qui s’en échappent encore.
Éric ne laisse pas le temps à Raphaël de réagir qu’il vient le prendre en bouche et le suce avec avidité, amusé de le voir tenter d’échapper à ses succions qui maintenant qu’il a joui lui donnent des spasmes incontrôlables de retrait dus aux réactions purement mécaniques de son cerveau devant l’extrême sensibilité de son sexe.
Les deux mains du jeune rouquin lui bloquent les joues et le repoussent avec douceur mais fermeté et le font se redresser pour lui nettoyer le visage et partager ensuite avec lui le fruit de sa jouissance en un long baiser passionné.
2eme ANNEE Septembre : (35 / 70) (Nantes) (suite)
Le repas se passe avec gaieté, toutes traces des derniers événements ayant disparu des traits de Marc qui semble heureux d’être avec ceux qu’il aime du fond du cœur et qui le lui rendent bien.
Jean et Yvonne après la journée de travail ne tiennent pas longtemps le soir et bien qu’ils auraient aimé rester un peu plus longtemps avec les deux garçons, partent se coucher en s’excusant et leur souhaitent une bonne nuit.
Arnault va préparer sa chambre en rajoutant un second matelas qu’il dépose au pied de son lit et sur lequel il va coucher laissant le grand lit aux amoureux, il pense aux paroles d’Aléxie et rêve un moment à partager son amour avec eux.
Aléxie lui plaît déjà beaucoup et la dernière phrase de celui-ci dans sa chambre quelques heures plus tôt lui laisse un espoir qu’il appelle de tout son cœur.
Il ne fera pas le trouble-fête et attendra sans plus y faire allusion de voir si déjà ce n’était pas que de simples paroles pour le calmer ou si Aléxie le pensait vraiment, c’est la réaction de Marc qu’il craint le plus car se dit-il, si il n’a rien ressenti pour lui avant pourquoi serait-il plus ouvert à cette idée maintenant.
Dans le salon devant la télé qui marche en sourdine, Aléxie n’a lui rien oublié de la conversation et cherche l’ouverture pour en parler à son ami car il a très bien ressenti la tristesse de son nouveau copain et est autant étonné que lui que Marc n’ait jamais rien ressenti envers lui.
Il veut en avoir le cœur net et après avoir surveillé du coin de l’œil Marc pour voir s’il était suffisamment détendu pour ce genre de conversation, se lance.
- J’aime bien Arnault tu sais !!
- J’ai bien vu, d’ailleurs il faudrait que tu m’expliques toutes ses œillades que vous vous êtes lancées depuis mon retour des écuries.
- Juste que nous avons fait connaissance et que j’ai appris sur vous deux des trucs assez marrants.
Marc intrigué se tourne vers lui.
- Ah oui ? Comme quoi par exemple ?
- (Aléxie en souriant) Les De Schprouttes ou ton prénom, je veux dire le vrai Hi ! Hi ! Ou encore pourquoi sa mère l’a regardé tristement et qu’il avait les larmes aux yeux quand tu m’as présenté à elle comme ton petit ami par exemple.
- (Marc amusé) Oui c’est moi qui ai trouvé ce surnom à mes parents Hi ! Hi ! Plutôt bien trouver non ? (Il prend un air sévère) Quant à mon prénom, ne t’avise pas à m’appeler comme ça un jour même pour plaisanter tu m’as bien compris ?
Aléxie les yeux brillants.
- Sinon ?
Marc le regarde dans les yeux très sérieux.
- Ce n’est pas une condition à de quelconques représailles tu sais, juste que tu me ferais mal au cœur et je ne pense pas que tu t’amuserais à ça.
Un petit moment de silence vite interrompu par Marc qui repense à la dernière phrase de son ami.
- Je n’ai pas bien compris où tu voulais en venir avec tes dernières paroles, c’est quoi cette histoire de tristesse et de larmes ?
- J’ai juste une question à te poser avant de t’en dire plus le dessus si tu le permets ?
- Ok !! Vas-y pose la.
- Tu n’as jamais été attiré par les garçons avant de me rencontrer ? Réfléchis avant de me répondre trop vite s’il te plaît.
- (Marc rougit) Non !! Enfin je ne le crois pas, pourquoi cette question ?
- Pourquoi tu rougis comme ça alors ? Je suis sûr que tu y as déjà pensé avant, pourquoi tu veux me le cacher ? Tu en as honte ?
Marc en baissant les yeux.
- Ce n’est pas ça !! Tu ne comprendrais pas et puis c’était impossible tu comprends ?
- Bah non !! Justement et j’aimerais bien que tu m’expliques.
Marc redresse la tête et regarde de nouveau son ami avec incompréhension.
- Mais enfin !! Pourquoi me poses-tu toutes ses questions ?
- Parce que je n’aime pas voir des gens que j’aime bien malheureux, voilà pourquoi.
- Mais je ne suis pas malheureux !! C’était quelqu’un de très proche et c’était impossible.
- Pourquoi c’était quelqu’un de très proche ? Ce ne l’est plus ?
- Mais si !! Écoute « Alex » !! Maintenant tu es là et je t’aime alors ne me remets pas ça en tête, j’en ai beaucoup souffert à l’époque et j’avais réussi à tourner la page sur tout ça.
- Et lui ? Tu y as pensé ? Peut-être qu’il en souffre toujours qu’est-ce que tu en sais ?
- Ah ça !! Ça ne risque pas !! Il ne pense qu’aux filles, si tu savais de qui je parle tu arrêterais tout de suite d’insister et tu te marrerais bien d’y avoir même pensé.
Aléxie en lui prenant la main.
- Détrompe-toi !! Je sais très bien qui c’est et crois-moi il en souffre toujours autant, si je t’ai parlé tout à l’heure d’Yvonne qui regardait son fils avec tristesse c’est bien parce que même elle s’en est rendu compte.
Marc comprend tout et sourit.
- Tu te mets le doigt dans l’œil, Arnault est le mec le plus hétéro que je connais et même si j’ai longtemps plus ou moins inconsciemment espéré un geste de sa part, il y a longtemps que je ne me fais plus d’illusion à son sujet. Je te jure que tout ça m’était sorti de l’esprit depuis longtemps et que c’est juste quand je t’ai aperçu pour la première fois que j’ai su ce que j’étais vraiment et ce que je voulais.
- Tu n’as jamais pensé que lui aussi pouvait attendre un geste de ta part et que s’il s’inventait toutes ses histoires de meufs c’était juste pour te ressembler ?
Marc surprit par sa véhémence.
- Tu me parais bien sûr de toi ?
- Oui je suis sûr de moi !! En fait ce n’est pas difficile puisque nous en avons parlé longuement avec Arnault pendant que tu étais sorti avec son père.
Marc en reste bouche bée.
- Quoi !!!
- Putain mais tu as de la merde dans les yeux ou quoi ? Toutes les photos accrochées aux murs de sa chambre où on ne voit que toi, elles ne datent pas d’hier. N’importe qui en les regardant un tant soit peu comprendrait que celui qui les y a mises là éprouve des sentiments beaucoup plus forts que l’amitié aussi solide soit-elle.
Marc encore sous le coup de la révélation.
- Il te l’a dit ?? Mais pourquoi à toi ?
- Tout simplement parce que je lui ai posé la question.
Marc s’assoit sur le canapé tout retourné.
- Eh bien ça alors !!! Et qu’est-ce que vous vous êtes dits d’autres si ce n’est pas trop te demander ?
- Je lui ai raconté l’histoire d’Éric qui était dans le même cas que lui avec Florian et que toute chance pour lui n’était pas perdue puisque maintenant il peut enfin partager avec Thomas et Raphaël.
- Tu lui as dit ça ??? Je n’y crois pas !! Et toi là-dedans ? Tu y as pensé ?
Aléxie se dit que là ça passe ou ça casse.
- Bien sûr, en plus il m’a posé la même question.
- (Marc ébahi) Et tu as répondu quoi ???
- (Aléxie en souriant) Je lui ai juste répondu que je n’étais pas contre mais que c’était à toi de décider.
- Non !!! Tu lui as vraiment dit ça ?? Mais tu ne le connais même pas ?
- Ce que j’en ai vu me suffit largement pour me faire une opinion tu sais ? Il me plaît beaucoup ton « Nono » et en plus je sais maintenant que c’est réciproque.
- Il t’a dit ça aussi ???
Aléxie en accentuant son sourire.
- Vu la conversation qu’on avait sur le sujet, il ne s’est pas gêné crois-moi.
- Il faut que je lui parle, il est où là ?
Aléxie en riant cette fois.
- Je crois bien qu’il s’embête pour rien.
- Comment ça ?
- Il est parti rajouter un lit pour ce soir mais je ne pense pas que ce sera nécessaire, pas toi ?
Marc reste un moment silencieux, son visage petit à petit amorce un grand sourire et enfin ses yeux se mettent à briller de malice.
- Oui mais lui ne le sait pas encore Hi ! Hi !
Le lendemain matin quand ils se réveillent, Raphaël regarde la fenêtre rêveur.
- C’est de là que tu faisais des trucs cochons avec Thomas en matant « Flo » ?
- (Éric) Oui c’était pas mal chaud déjà, « Thom » était très réceptif dans ces moments-là et nous nous sommes bien éclatés !! Enfin nous ne faisions ça que l’été quand Florian passait ses après-midi en short à dévorer ses livres.
- Il vous chauffait déjà autant ?
- Pas qu’un peu !! En plus il ne se doutait de rien, tu l’aurais vu à cette époque c’était un vrai glaçon niveau sexe. Et pourtant tu n’imagines même pas comment il nous faisait kiffer grave avec sa petite bouille et son corps déjà si mignon.
- Et « Thom » ?
Éric en rit maintenant qu’il a retrouvé son ami.
- En fait il fallait le démarrer et avec « Flo » c’était du rapide, je n’avais plus ensuite qu’à l’exciter un peu et après c’était du tout bon.
- Tu dois être heureux maintenant que tu nous as tous les trois ?
- Oui c’est vrai sauf que jusqu’à maintenant ce n’est arrivé qu’une fois et ça commence à dater, j’ai très envie de nous refaire un truc tous ensemble. Tu ne te rappelles pas de notre soirée ? J’en suis encore tout retourné, dès qu’ils rentrent on essaye de se le refaire, je me sens capable de le faire toute la nuit.
Raphaël se tourne vers lui en souriant.
- Pourtant cette nuit ce n’est pas moi qui ai demandé grâce je te signale.
Éric ne répond pas mais lui rend son sourire, c’est vrai que son petit « Raph » a la pêche dès qu’il s’agit de s’éclater au lit.
Pourtant il n’a pas été avare cette nuit lui non plus mais le coup de barre qu’il a eu alors que Raphaël en redemandait encore lui vaut cette petite taquinerie.
De repenser à tout ça lui donne envie de s’occuper une nouvelle fois de son ami et une idée lui vient en regardant la fenêtre.
- Dis-moi ? Ça te dirait de te remettre comme chez toi à la fenêtre avant que Chloé n’arrive ? J’ai envie de voir le spectacle que nous lui avons donné, vu la tête qu’elle faisait ça devait être plutôt pas mal.
Raphaël comprend aussitôt et va direct s’y accouder en reprenant la position assez obscène de l’autre fois, il écarte les jambes et cambre les reins afin d’offrir à son ami une vue directe sur l’intérieur de ses fesses.
Éric en frissonne tellement il se régale de la vision qu’il en a, les testicules bien pendantes et la rosette bien visible de son copain lui donnent la suée et il en salive d’envie.
- C’est sûr qu’elle en a eu plein la vue Hi ! Hi !
Raphaël en rajoute et se tortille lascivement en donnant encore plus l’eau à la bouche à son homme qui se lève et vient doucement s’agenouiller juste derrière lui, ses mains se posent sur les fesses de Raphaël et commencent à le caresser crûment le faisant soupirer d’excitation.
Sa bouche vient ensuite mordiller la peau satinée par les deux mois passés au soleil et sa langue s’immisce dans le sillon imberbe et le lape goulûment, Raphaël passe sa main derrière la tête d’Éric et la force à y aller plus profondément encore jusqu’à ce que sa bouche soit plaquée sur sa rondelle et qu’il lui dévore le fondement avec application.
- Arhh !!!
Le jeune rouquin se déchaîne et se frotte de plus en plus nerveusement cherchant à le faire aller plus loin encore, quand il sent la langue pénétrer enfin l’entrée de sa grotte il se raidit sous le plaisir que ça lui apporte.
- J’en peux plus !! Prends-moi !!
Il n’en faut pas plus pour qu’Éric se redresse et vienne épouser la forme de son corps avec le sien, Raphaël lui attrape le sexe bien dur et le positionne pour qu’il n’ait plus qu’à pousser très fort et le prendre sans plus de fioritures.
Le beau brun derrière lui le comprend très bien et ne demande pas mieux que de le satisfaire, il entre en lui sur une poussée énergique qui le plante entièrement dans son ami savourant la chaleur et la douceur de cette gaine qui enserre aussi bien sa virilité.
- Vas-y !! Ne te retiens pas !! C’est trop bon !!
Éric le prend par les épaules et se lâche à fond, ses coups de boutoirs font s’écraser son ami contre le bâti de la fenêtre, les coups puissants qu’il lui assène avec force font gémir Raphaël de plaisir.
Pendant plusieurs minutes ce n’est plus qu’une course effrénée pour les mener à la jouissance, Raphaël prend son sexe et le branle au même rythme frénétique que les va-et-vient d’Éric dans son intimité.
- Plus fort !! Arhh !! Oui !! Vas-y c’est le pied !! Putain je vais jouir !! Défonce-moi le cul !! Ouuiii !!!!
Les paroles crues de Raphaël déchaînent encore plus son compagnon pas habitué à l’entendre parler ainsi et l’orgasme qu’il sent monter en lui est si puissant que son corps tout entier est traversé par l’immense plaisir qui lui amène la délivrance en se vidant en longues saccades qui giclent de son sexe comme des langues de feu.
Raphaël n’est plus que sensations, son corps se pâme et sa main s’active encore plus rapidement sur son sexe pour lui amener à lui aussi la délivrance tant attendue.
Éric le sentant proche de l’éjaculation se désemmanche rapidement et va s’asseoir entre ses jambes en ouvrant la bouche pour récolter le fruit de son plaisir.
De le voir ainsi les yeux fixés sur lui et les lèvres ouvertes quémandant sa pitance fait frémir Raphaël qui libère dans un râle de pur bonheur sa liqueur de vie qui macule en larges flaques crémeuses le visage et la langue qu’Éric tend vers son gland pour y recueillir les dernières gouttes de sperme qui s’en échappent encore.
Éric ne laisse pas le temps à Raphaël de réagir qu’il vient le prendre en bouche et le suce avec avidité, amusé de le voir tenter d’échapper à ses succions qui maintenant qu’il a joui lui donnent des spasmes incontrôlables de retrait dus aux réactions purement mécaniques de son cerveau devant l’extrême sensibilité de son sexe.
Les deux mains du jeune rouquin lui bloquent les joues et le repoussent avec douceur mais fermeté et le font se redresser pour lui nettoyer le visage et partager ensuite avec lui le fruit de sa jouissance en un long baiser passionné.
2eme ANNEE Septembre : (35 / 70) (Nantes) (suite)
Le repas se passe avec gaieté, toutes traces des derniers événements ayant disparu des traits de Marc qui semble heureux d’être avec ceux qu’il aime du fond du cœur et qui le lui rendent bien.
Jean et Yvonne après la journée de travail ne tiennent pas longtemps le soir et bien qu’ils auraient aimé rester un peu plus longtemps avec les deux garçons, partent se coucher en s’excusant et leur souhaitent une bonne nuit.
Arnault va préparer sa chambre en rajoutant un second matelas qu’il dépose au pied de son lit et sur lequel il va coucher laissant le grand lit aux amoureux, il pense aux paroles d’Aléxie et rêve un moment à partager son amour avec eux.
Aléxie lui plaît déjà beaucoup et la dernière phrase de celui-ci dans sa chambre quelques heures plus tôt lui laisse un espoir qu’il appelle de tout son cœur.
Il ne fera pas le trouble-fête et attendra sans plus y faire allusion de voir si déjà ce n’était pas que de simples paroles pour le calmer ou si Aléxie le pensait vraiment, c’est la réaction de Marc qu’il craint le plus car se dit-il, si il n’a rien ressenti pour lui avant pourquoi serait-il plus ouvert à cette idée maintenant.
Dans le salon devant la télé qui marche en sourdine, Aléxie n’a lui rien oublié de la conversation et cherche l’ouverture pour en parler à son ami car il a très bien ressenti la tristesse de son nouveau copain et est autant étonné que lui que Marc n’ait jamais rien ressenti envers lui.
Il veut en avoir le cœur net et après avoir surveillé du coin de l’œil Marc pour voir s’il était suffisamment détendu pour ce genre de conversation, se lance.
- J’aime bien Arnault tu sais !!
- J’ai bien vu, d’ailleurs il faudrait que tu m’expliques toutes ses œillades que vous vous êtes lancées depuis mon retour des écuries.
- Juste que nous avons fait connaissance et que j’ai appris sur vous deux des trucs assez marrants.
Marc intrigué se tourne vers lui.
- Ah oui ? Comme quoi par exemple ?
- (Aléxie en souriant) Les De Schprouttes ou ton prénom, je veux dire le vrai Hi ! Hi ! Ou encore pourquoi sa mère l’a regardé tristement et qu’il avait les larmes aux yeux quand tu m’as présenté à elle comme ton petit ami par exemple.
- (Marc amusé) Oui c’est moi qui ai trouvé ce surnom à mes parents Hi ! Hi ! Plutôt bien trouver non ? (Il prend un air sévère) Quant à mon prénom, ne t’avise pas à m’appeler comme ça un jour même pour plaisanter tu m’as bien compris ?
Aléxie les yeux brillants.
- Sinon ?
Marc le regarde dans les yeux très sérieux.
- Ce n’est pas une condition à de quelconques représailles tu sais, juste que tu me ferais mal au cœur et je ne pense pas que tu t’amuserais à ça.
Un petit moment de silence vite interrompu par Marc qui repense à la dernière phrase de son ami.
- Je n’ai pas bien compris où tu voulais en venir avec tes dernières paroles, c’est quoi cette histoire de tristesse et de larmes ?
- J’ai juste une question à te poser avant de t’en dire plus le dessus si tu le permets ?
- Ok !! Vas-y pose la.
- Tu n’as jamais été attiré par les garçons avant de me rencontrer ? Réfléchis avant de me répondre trop vite s’il te plaît.
- (Marc rougit) Non !! Enfin je ne le crois pas, pourquoi cette question ?
- Pourquoi tu rougis comme ça alors ? Je suis sûr que tu y as déjà pensé avant, pourquoi tu veux me le cacher ? Tu en as honte ?
Marc en baissant les yeux.
- Ce n’est pas ça !! Tu ne comprendrais pas et puis c’était impossible tu comprends ?
- Bah non !! Justement et j’aimerais bien que tu m’expliques.
Marc redresse la tête et regarde de nouveau son ami avec incompréhension.
- Mais enfin !! Pourquoi me poses-tu toutes ses questions ?
- Parce que je n’aime pas voir des gens que j’aime bien malheureux, voilà pourquoi.
- Mais je ne suis pas malheureux !! C’était quelqu’un de très proche et c’était impossible.
- Pourquoi c’était quelqu’un de très proche ? Ce ne l’est plus ?
- Mais si !! Écoute « Alex » !! Maintenant tu es là et je t’aime alors ne me remets pas ça en tête, j’en ai beaucoup souffert à l’époque et j’avais réussi à tourner la page sur tout ça.
- Et lui ? Tu y as pensé ? Peut-être qu’il en souffre toujours qu’est-ce que tu en sais ?
- Ah ça !! Ça ne risque pas !! Il ne pense qu’aux filles, si tu savais de qui je parle tu arrêterais tout de suite d’insister et tu te marrerais bien d’y avoir même pensé.
Aléxie en lui prenant la main.
- Détrompe-toi !! Je sais très bien qui c’est et crois-moi il en souffre toujours autant, si je t’ai parlé tout à l’heure d’Yvonne qui regardait son fils avec tristesse c’est bien parce que même elle s’en est rendu compte.
Marc comprend tout et sourit.
- Tu te mets le doigt dans l’œil, Arnault est le mec le plus hétéro que je connais et même si j’ai longtemps plus ou moins inconsciemment espéré un geste de sa part, il y a longtemps que je ne me fais plus d’illusion à son sujet. Je te jure que tout ça m’était sorti de l’esprit depuis longtemps et que c’est juste quand je t’ai aperçu pour la première fois que j’ai su ce que j’étais vraiment et ce que je voulais.
- Tu n’as jamais pensé que lui aussi pouvait attendre un geste de ta part et que s’il s’inventait toutes ses histoires de meufs c’était juste pour te ressembler ?
Marc surprit par sa véhémence.
- Tu me parais bien sûr de toi ?
- Oui je suis sûr de moi !! En fait ce n’est pas difficile puisque nous en avons parlé longuement avec Arnault pendant que tu étais sorti avec son père.
Marc en reste bouche bée.
- Quoi !!!
- Putain mais tu as de la merde dans les yeux ou quoi ? Toutes les photos accrochées aux murs de sa chambre où on ne voit que toi, elles ne datent pas d’hier. N’importe qui en les regardant un tant soit peu comprendrait que celui qui les y a mises là éprouve des sentiments beaucoup plus forts que l’amitié aussi solide soit-elle.
Marc encore sous le coup de la révélation.
- Il te l’a dit ?? Mais pourquoi à toi ?
- Tout simplement parce que je lui ai posé la question.
Marc s’assoit sur le canapé tout retourné.
- Eh bien ça alors !!! Et qu’est-ce que vous vous êtes dits d’autres si ce n’est pas trop te demander ?
- Je lui ai raconté l’histoire d’Éric qui était dans le même cas que lui avec Florian et que toute chance pour lui n’était pas perdue puisque maintenant il peut enfin partager avec Thomas et Raphaël.
- Tu lui as dit ça ??? Je n’y crois pas !! Et toi là-dedans ? Tu y as pensé ?
Aléxie se dit que là ça passe ou ça casse.
- Bien sûr, en plus il m’a posé la même question.
- (Marc ébahi) Et tu as répondu quoi ???
- (Aléxie en souriant) Je lui ai juste répondu que je n’étais pas contre mais que c’était à toi de décider.
- Non !!! Tu lui as vraiment dit ça ?? Mais tu ne le connais même pas ?
- Ce que j’en ai vu me suffit largement pour me faire une opinion tu sais ? Il me plaît beaucoup ton « Nono » et en plus je sais maintenant que c’est réciproque.
- Il t’a dit ça aussi ???
Aléxie en accentuant son sourire.
- Vu la conversation qu’on avait sur le sujet, il ne s’est pas gêné crois-moi.
- Il faut que je lui parle, il est où là ?
Aléxie en riant cette fois.
- Je crois bien qu’il s’embête pour rien.
- Comment ça ?
- Il est parti rajouter un lit pour ce soir mais je ne pense pas que ce sera nécessaire, pas toi ?
Marc reste un moment silencieux, son visage petit à petit amorce un grand sourire et enfin ses yeux se mettent à briller de malice.
- Oui mais lui ne le sait pas encore Hi ! Hi !
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