(27-02-2022, 12:38 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=4575]Titanic50[/member] !
Pas mal se moment d'observation entre les deux garçons. Rudy bande à moitié tout comme Eliot peu avant!
Ils se regardent sur toutes coutures.
Que va-t-il se passer, Rudy attendra-t-il que son collègue termine sa douche?
Bon dimanche.
Bien à toi
Philou
Bonjour Philou,
Je ne laisse pas le suspens plus longtemps et je vous diffuse le prochain épisode.
Je vous souhaite à tous une bonne lecture et un bon dimanche.
Titanic.
Épisode 17
En le saisissant, Rudy se mit sur la pointe des pieds et il déposa ses lèvres sur les miennes. Je ne renonçai pas à mon premier baiser avec un homme. Chaque seconde passée m’envahit de plaisir et d’excitation. Mon cœur accéléra la cadence. Chacune de ses pulsations amenait davantage de sang dans mon phallus qui prenait de plus en plus d’ampleur et qui s’orientait petit à petit vers le plafond. Après une quinzaine de secondes dans cette position, Rudy coupa cet instant magique. Enivré par cette nouvelle sensation presque irréelle, je mis un certain temps avant d’ouvrir les yeux sur le visage de mon collègue.
Il souriait et il semblait heureux. Moi aussi d’ailleurs. Je ne pensais pas que j’éprouverais autant de plaisir à embrasser un homme.
Mon regard glissa vers son entre jambe. De tout évidence, il était aussi excité que moi car son pénis était raidi et cambré vers le haut. Son gland était entièrement décalotté.
Il posa le savon sur les robinets et il me poussa délicatement contre le mur du fond de la douche. Il me rejoignit à l’intérieur du receveur. Il déposa ses paumes de main sur le mur, de part et d’autre de ma tête. Il se rapprocha jusqu’à ce que nos deux corps soient collés l’un à l’autre.
Sa peau était aussi torride que la situation. Il se plongea dans mon regard, sans rien dire. Le moment était intense.
Je pouvais sentir son chibre contre le mien. Il touchait mon abdomen. Il m’embrassa de nouveau. Avec sa langue, il tenta d’entrer dans ma bouche. J’acceptai son invitation et elles s’adonnèrent à un ballet de danse langoureuse.
Je passai une main derrière sa tête pour lui faire comprendre que je ne voulais pas qu’il s’arrête. Ma seconde main vint se plaquer dans son dos car je ne souhaitais pas m’abstenir de ressentir son corps contre le mien. De ressentir sa peau contre la mienne. De ressentir les battements de son cœur cogner contre ma poitrine. De ressentir son pénis se frotter fermement sur moi.
Je perdis la notion du temps et de l’espace. Les minutes passées me semblaient être des secondes et vice versa. J’oubliai que nous étions encore au travail. J’étais dans un monde paradisiaque. Et cela se nommait Rudy.
Jamais je n’avais ressenti de sensations si puissantes. Nos souffles étaient soutenus et expressifs. Sans aucun doute, mon partenaire prenait autant de plaisir que moi.
Rudy quitta mes lèvres et il se redressa interrompant notre contact corporel. Tout en me caressant le visage, nous communiquions sans parole, uniquement par le regard et nos expressions faciales. Je descendis de nouveau mes yeux en scannant chaque centimètre de sa peau. Ses pectoraux fermes et bien dessinés étaient ornés de tétons pointus. Ils se gonflaient et dégonflaient au rythme rapide de sa respiration, tout comme son ventre musclé. Depuis ce jour, je compris pourquoi on nommait les abdominaux une tablette de chocolat. Car si son ventre était comestible, je le croquerais à pleines dents tant il flirtait avec la perfection. Pour finir, sa verge trônait avec éloquence au centre de cet être. Elle tressautait à intervalle régulier témoignant de son excitation. Son gland était toujours à l’air libre, mais il était devenu rouge vif et luisant. Du liquide pré-séminal le recouvrait comme une partie de son abdomen. En jetant un coup d’œil à mon anatomie, je constatai que l’extrémité de ma bite était mouillée, et ce n’était pas de l’eau. J’avais dû déposer un peu de mon liquide sur lui et inversement. Cette conclusion renforça mes ardeurs.
D’un mouvement frénétique, je me collai à lui pour l’embrasser de nouveau. Mon envie était si vive, que je n’avais pas bien mesuré mon rapprochement, ce qui nous déséquilibra. Emporté par l’élan, nous tombâmes par terre et la tête de Rudy heurta les casiers en plastique dans un grand fracas. Nous nous retrouvions tous les deux au sol, l’un sur l’autre, nus. Sans attendre, je demandai s’il n’avait rien de brisé.
- Rien à l’exception de ton baiser, m’avoua-t-il d’un ton séduisant.
La porte du vestiaire s’ouvrit. C’était Stéphane qui entra choqué par la situation.
- Qu’est ce qu… Mais… Vous…