26-02-2022, 03:34 PM
Épisode 16
Je me retournai pour fermer le rideau de douche et je vis Rudy de dos. C’était la première fois qu’il m’était donné de regarder ses fesses musclées et qui plus est recouvertes d’eau. Mon collègue ne s’aperçut pas que je l’étudiais. Je fermai le rideau puis je commençai à régler la température de l’eau.
En manœuvrant les robinets, je constatai que mon sexe n’était pas raide mais qu’il avait commencé à gonfler. Je fus saisi d’une honte instantanée. Rudy avait souri en me croisant car j’avais une mi-molle. Ma honte prit le dessus et elle avait eu pour effet immédiat de calmer toute excitation. Ma verge reprit sa taille normale.
Tout en me passant de l’eau sur le corps, j’essayais de me rasséréner et de relativiser la situation. Si ça se trouve, ma verge s’était seulement agrandie quand j’étais dans la douche en train de regarder les fesses de Rudy. Mais alors pourquoi il avait souri en me croisant ? C’est sûr qu’il vit mon pénis qui n’était pas totalement au repos. Pourquoi ne s’est-il pas moqué ? Et alors son sourire, que voulait-il dire ?
- Eliot ?
Mince. Que voulait-il ? Allait-il profiter que j’étais sous l’eau pour se moquer ? Tant pis, il fallait que je lui répondisse.
- Oui ?
- Tu as oublié ton savon sur le banc.
- Ah merde.
Deux solutions s’ouvrirent à moi. Soit, je lui demandais de me l’apporter, soit je sortais de la cabine, le sexe au repos, pour aller le chercher. Cela lui prouverait que ce ne fut pas lui qui m’excitait, ce qui, bien évidemment, n’était pas la réalité. Bon allez ! Il fallait battre le fer tant qu’il était encore chaud. Je décidai d’aller récupérer mon flacon de savon.
- Merci, je viens le chercher.
Je coupai l’eau. J’ouvris le rideau. Je me retrouvai nez à nez avec Rudy qui tenait mon savon dans la main. Surpris, je restais tétanisé devant lui. Il avait eu le temps de se sécher, mais il n’avait pas encore enfilé un seul vêtement.
- Pas la peine de sortir. Le voilà, m’annonça-t-il.
Saisi par sa beauté naturelle, je restais immobile devant lui. Le surmontant légèrement depuis le bac de douche, je regardai mon savon qu’il tenait horizontalement à côté de sa hanche gauche. Je ne pus m’empêcher de regarder de nouveau son pénis. A la différence de tout à l’heure, il avait grossi. Il était dans le même état que moi deux minutes auparavant.
Mon cerveau réveilla instinctivement mon sexe que je sentais s’étoffer.
Rudy et moi nous observions mutuellement. Je plongeai mon regard dans le sien à la recherche de ses pensées. Il resta impassible ce qui avait le don de le rendre encore plus énigmatique. Je me noyais dans ses yeux verts. Le temps était comme suspendu. En dehors des bruits parasites de l’activité de l’entrepôt, aucun son n’émanait des vestiaires. Il rompit notre lien intense pour venir égarer sa vue sur le reste de mon corps. Sans aucune timidité, j’en fis de même. Il me regarda à nouveau au plus profond de mes iris. Il ouvrit la bouche et il brisa ce silence monastique.
- Vas-y. Prend ton savon.
Étant un peu plus haut que lui, je me penchai pour récupérer mon gel douche.
Je me retournai pour fermer le rideau de douche et je vis Rudy de dos. C’était la première fois qu’il m’était donné de regarder ses fesses musclées et qui plus est recouvertes d’eau. Mon collègue ne s’aperçut pas que je l’étudiais. Je fermai le rideau puis je commençai à régler la température de l’eau.
En manœuvrant les robinets, je constatai que mon sexe n’était pas raide mais qu’il avait commencé à gonfler. Je fus saisi d’une honte instantanée. Rudy avait souri en me croisant car j’avais une mi-molle. Ma honte prit le dessus et elle avait eu pour effet immédiat de calmer toute excitation. Ma verge reprit sa taille normale.
Tout en me passant de l’eau sur le corps, j’essayais de me rasséréner et de relativiser la situation. Si ça se trouve, ma verge s’était seulement agrandie quand j’étais dans la douche en train de regarder les fesses de Rudy. Mais alors pourquoi il avait souri en me croisant ? C’est sûr qu’il vit mon pénis qui n’était pas totalement au repos. Pourquoi ne s’est-il pas moqué ? Et alors son sourire, que voulait-il dire ?
- Eliot ?
Mince. Que voulait-il ? Allait-il profiter que j’étais sous l’eau pour se moquer ? Tant pis, il fallait que je lui répondisse.
- Oui ?
- Tu as oublié ton savon sur le banc.
- Ah merde.
Deux solutions s’ouvrirent à moi. Soit, je lui demandais de me l’apporter, soit je sortais de la cabine, le sexe au repos, pour aller le chercher. Cela lui prouverait que ce ne fut pas lui qui m’excitait, ce qui, bien évidemment, n’était pas la réalité. Bon allez ! Il fallait battre le fer tant qu’il était encore chaud. Je décidai d’aller récupérer mon flacon de savon.
- Merci, je viens le chercher.
Je coupai l’eau. J’ouvris le rideau. Je me retrouvai nez à nez avec Rudy qui tenait mon savon dans la main. Surpris, je restais tétanisé devant lui. Il avait eu le temps de se sécher, mais il n’avait pas encore enfilé un seul vêtement.
- Pas la peine de sortir. Le voilà, m’annonça-t-il.
Saisi par sa beauté naturelle, je restais immobile devant lui. Le surmontant légèrement depuis le bac de douche, je regardai mon savon qu’il tenait horizontalement à côté de sa hanche gauche. Je ne pus m’empêcher de regarder de nouveau son pénis. A la différence de tout à l’heure, il avait grossi. Il était dans le même état que moi deux minutes auparavant.
Mon cerveau réveilla instinctivement mon sexe que je sentais s’étoffer.
Rudy et moi nous observions mutuellement. Je plongeai mon regard dans le sien à la recherche de ses pensées. Il resta impassible ce qui avait le don de le rendre encore plus énigmatique. Je me noyais dans ses yeux verts. Le temps était comme suspendu. En dehors des bruits parasites de l’activité de l’entrepôt, aucun son n’émanait des vestiaires. Il rompit notre lien intense pour venir égarer sa vue sur le reste de mon corps. Sans aucune timidité, j’en fis de même. Il me regarda à nouveau au plus profond de mes iris. Il ouvrit la bouche et il brisa ce silence monastique.
- Vas-y. Prend ton savon.
Étant un peu plus haut que lui, je me penchai pour récupérer mon gel douche.