Bonjour à tous,
Malheureusement, le temps me manque pour réagir à tous vos commentaires. Je note tout de même votre intérêt toujours présent pour l'évolution de la relation entre les deux collègues. Il est vrai que Rudy n'a pas une vie facile mais il s'en sort bien. Eliot perd son pari mais reste faire play (en apparence seulement). L'heure de la douche a sonnée, donc voici la suite. Bonne lecture et à bientôt.
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Épisode 15
En rentrant dans le vestiaire, Rudy était encore sous la douche. Je m’assis sur le banc à côté de la serviette de mon camarade. Je crus reconnaître sa serviette. Pour en être sûr, je la dépliais. C’était la même serviette blanche à rayures qu’il portait sur Instagram et sur laquelle je m’étais branlé.
Cela me procura des sensations dans mon ventre. Moi qui avais fantasmé dessus et sur son propriétaire qui était nu à quelques mètres de moi me troubla. Sans m’éterniser sur ce linge pour ne pas faire surgir d’éventuelles pulsions, je la remis à sa position d’origine.
Je me penchai pour délacer mes chaussures. Je jetai un coup d’œil vers la douche. Le rideau trop court me laissait entrevoir les pieds de Rudy baignant dans la mousse de son savon et quelques ombres.
Après avoir libéré mes pieds et retiré mes chaussettes dans un souffle de soulagement, je me débarrassai de mon T-shirt. Je sortis ma serviette et mon savon pour me préparer à prendre la place de mon collègue. Je regardai de nouveau vers la douche afin de juger si Rudy allait sortir, mais cela ne semblait pas être le cas. Je pouvais entrevoir en partie à l’intérieur à cause de cette toile étanche mal ajustée. J’arrivai à voir la robinetterie je voyais ses bras faisant des mouvements le long de son corps.
Déçu de ne pas voir davantage de son anatomie, je poursuivis mon effeuillage et je me mis en boxer. Il était complètement trempé et le tissu me collait en détaillant chaque forme. N’étant pas à l’aise avec ce dernier vêtement mouillé, je m’en séparai puis je le mis avec le reste de de mes affaires sales. Une fois rangé, j’entendis l’eau s’arrêter et le rideau s’ouvrit.
Instinctivement je regardai Rudy qui se tenait face à moi. Entièrement nu, il avait de l’eau qui ruisselait le long de ses membres. Il prit quelques seconde pour s’égoutter. J’en profitais pour découvrir non plus virtuellement, mais réellement son physique. Il était encore plus musclé que sur la photo d’hier. Mon envie alla jusqu’à explorer en dessous de la ceinture pour enfin découvrir son sexe qui fut l’objet de nombreuses représentions dans mon imaginaire.
A sa base, des poils pubiens bruns très courts me portaient à croire qu’il entretenait cette zone. Sa verge était d’une taille que je qualifiais de « légèrement au-dessus de la moyenne ». Je trouvais ses proportions harmonieuses. Ni trop fine, ni trop large contrairement à la mienne que je trouvais trop étroite mais de longueur semblable.
Derrière, se cachait ses bourses pendantes et imberbes. La peau de son pénis n’atteignait pas l’extrémité de son membre, et la moitié de son gland était découvert naturellement.
Mes meilleurs songes de la veille étaient tous rassemblés devant moi, et c’était mon collègue.
Je ne l’avais observé qu’une paire de secondes par peur qu’il m’eût jugé et qu’un malaise se fût installé. Je l’avais intégralement scruté et mémorisé. La première impression était que Rudy me plaisait. Je faisais mon possible pour chasser cette idée momentanément de mon esprit pour évider que mon sexe ne se bande devant lui.
Il sortit nu de la cabine.
- J’ai fini. Tu peux y aller.
- Merci, répondis-je avec une certaine difficulté à sortir les sons de ma gorge.
Les vestiaires étaient assez exigus. En même temps que je m’approchai de la douche, lui rejoignait le banc où je me trouvais pour récupérer sa serviette. Juste avant de se croiser, il me regarde de haut en bas, découvrant inexorablement mon anatomie la plus intime, puis il me regarda droit dans les yeux en esquissant un sourire des plus charmants.
Une fois monté dans le bac, j’étais troublé par ce que je venais de vivre.
Malheureusement, le temps me manque pour réagir à tous vos commentaires. Je note tout de même votre intérêt toujours présent pour l'évolution de la relation entre les deux collègues. Il est vrai que Rudy n'a pas une vie facile mais il s'en sort bien. Eliot perd son pari mais reste faire play (en apparence seulement). L'heure de la douche a sonnée, donc voici la suite. Bonne lecture et à bientôt.
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Épisode 15
En rentrant dans le vestiaire, Rudy était encore sous la douche. Je m’assis sur le banc à côté de la serviette de mon camarade. Je crus reconnaître sa serviette. Pour en être sûr, je la dépliais. C’était la même serviette blanche à rayures qu’il portait sur Instagram et sur laquelle je m’étais branlé.
Cela me procura des sensations dans mon ventre. Moi qui avais fantasmé dessus et sur son propriétaire qui était nu à quelques mètres de moi me troubla. Sans m’éterniser sur ce linge pour ne pas faire surgir d’éventuelles pulsions, je la remis à sa position d’origine.
Je me penchai pour délacer mes chaussures. Je jetai un coup d’œil vers la douche. Le rideau trop court me laissait entrevoir les pieds de Rudy baignant dans la mousse de son savon et quelques ombres.
Après avoir libéré mes pieds et retiré mes chaussettes dans un souffle de soulagement, je me débarrassai de mon T-shirt. Je sortis ma serviette et mon savon pour me préparer à prendre la place de mon collègue. Je regardai de nouveau vers la douche afin de juger si Rudy allait sortir, mais cela ne semblait pas être le cas. Je pouvais entrevoir en partie à l’intérieur à cause de cette toile étanche mal ajustée. J’arrivai à voir la robinetterie je voyais ses bras faisant des mouvements le long de son corps.
Déçu de ne pas voir davantage de son anatomie, je poursuivis mon effeuillage et je me mis en boxer. Il était complètement trempé et le tissu me collait en détaillant chaque forme. N’étant pas à l’aise avec ce dernier vêtement mouillé, je m’en séparai puis je le mis avec le reste de de mes affaires sales. Une fois rangé, j’entendis l’eau s’arrêter et le rideau s’ouvrit.
Instinctivement je regardai Rudy qui se tenait face à moi. Entièrement nu, il avait de l’eau qui ruisselait le long de ses membres. Il prit quelques seconde pour s’égoutter. J’en profitais pour découvrir non plus virtuellement, mais réellement son physique. Il était encore plus musclé que sur la photo d’hier. Mon envie alla jusqu’à explorer en dessous de la ceinture pour enfin découvrir son sexe qui fut l’objet de nombreuses représentions dans mon imaginaire.
A sa base, des poils pubiens bruns très courts me portaient à croire qu’il entretenait cette zone. Sa verge était d’une taille que je qualifiais de « légèrement au-dessus de la moyenne ». Je trouvais ses proportions harmonieuses. Ni trop fine, ni trop large contrairement à la mienne que je trouvais trop étroite mais de longueur semblable.
Derrière, se cachait ses bourses pendantes et imberbes. La peau de son pénis n’atteignait pas l’extrémité de son membre, et la moitié de son gland était découvert naturellement.
Mes meilleurs songes de la veille étaient tous rassemblés devant moi, et c’était mon collègue.
Je ne l’avais observé qu’une paire de secondes par peur qu’il m’eût jugé et qu’un malaise se fût installé. Je l’avais intégralement scruté et mémorisé. La première impression était que Rudy me plaisait. Je faisais mon possible pour chasser cette idée momentanément de mon esprit pour évider que mon sexe ne se bande devant lui.
Il sortit nu de la cabine.
- J’ai fini. Tu peux y aller.
- Merci, répondis-je avec une certaine difficulté à sortir les sons de ma gorge.
Les vestiaires étaient assez exigus. En même temps que je m’approchai de la douche, lui rejoignait le banc où je me trouvais pour récupérer sa serviette. Juste avant de se croiser, il me regarde de haut en bas, découvrant inexorablement mon anatomie la plus intime, puis il me regarda droit dans les yeux en esquissant un sourire des plus charmants.
Une fois monté dans le bac, j’étais troublé par ce que je venais de vivre.