25-02-2022, 10:07 AM
Le trajet de retour se passe très bien. Nous arrivons à proximité du local. Je vois déjà la voiture de papa. Nous descendons des deux véhicules. Papa vient à notre rencontre. Il voit que nous sommes tous ravis de cette escapade dans les entrailles de la Terre. Il demande à Marc-Antoine s’il est désireux de nous suivre jusqu’à la maison pour le souper avec tous ceux qui ont participé à cette sortie spéléo. M-A est partant, il demande à John et à Dominique s'ils acceptent aussi l'invitation de papa. Il ne reste qu’à savoir si Raphaël veut nous suivre. Il est hésitant, papa insiste et lui dit qu’il pourra téléphoner chez ses parents et qu’il sera même reconduit s’il le fallait. Finalement Raph accepte cette invitation.
Nous rentrons à la maison suivis de nos amis « spéléos ». Maman nous accueille tous et fait entrer les invités dans le salon pour l’apéro. Je m’occupe avec Jean d’apporter les amuse-gueules et les bières Trappistes (Orval, Chimay et Rochefort) ainsi que de la limonade et des jus de fruits. Raphaël en profite pour téléphoner à ses parents en expliquant l’invitation faite pour tout le groupe à manger un bout chez « Phil » avec les gars de la spéléo.
Durant cet apéro convivial papa pose un tas de question à John et à Dominique. Ce dernier explique ceci : le site de Mont est particulièrement intéressant du point de vue spéléologique. On y répertorie de nombreux chantoirs, pertes, dolines et grottes. Citons le trou du Ry, le trou Wéron, découvert vers 1940, le trou de l’Église exploré en 1950, avec une profondeur de 85 mètres, et surtout le trou Bernard, découvert en 1949, qui est le gouffre le plus profond de Belgique avec plus de 120 mètres et qui possède plusieurs grottes et galeries souterraines.
Papa est heureux d’apprendre toutes ces choses, il faut dire que nous aussi nous sommes très heureux d’en apprendre plus. La conversation se poursuit encore à table devant un bon spaghetti bolognaise. Papa a prévu du vin italien pour l’occasion, un valpolicella. Maman parle un moment avec Raphaël, elle avait bien entendu remarqué qu’il est porteur d’un de mes shorts. Il explique qu’il aurait dû ôter son pantalon pour ensuite enfiler la salopette et que le sien était mouillé et sale. Maman lui dit qu’il peut le rapporter à une prochaine réunion, qu’il n’y a rien d’urgent.
Le repas est terminé, nos amis quittent alors la maison. Marc-Antoine se charge de reconduire Raphaël chez lui avec Dominique. Au moment que partir Raphaël fait la bise à Maman et à Anne. Il se présente devant moi et il me fait aussi la bise ainsi qu’à Ben. J’en suis tout étonné. Il me dit alors :
Rap : « Merci Phil, j’ai découvert un gars super sympa. Je sais que tu as le cœur sur la main, tu mérites bien cette marque d’affection. C’est la même chose pour toi Ben. Vous êtes deux supers gars et j’aime être avec vous, car vous savez ce que c’est que de vivre en respectant les autres.
Moi : Tu m’en vois ravi Raph. Merci pour ta remarque, cela me touche beaucoup.
Ben : Moi aussi Raph je suis content de te connaître. Je pense que nous allons devenir amis dans peu de temps.
Rap : Je le crois aussi. Merci encore pour cette invitation, c’est super de votre part.
Moi : Pas de quoi Raph, tu reviens quand tu veux.
Ben : A demain Raph.
Rap : Oui, à demain ! Merci pour tout !
Raphaël monte avec Marc-Antoine dans la voiture de Dominique. Il s’est montré sous un autre angle, il avait l’air ému. Nous rentrons dans le hall d’entrée. Je regarde Ben et je lui dis :
Moi : Je trouve que Raph était très ému d’avoir été invité à manger un bout avec nous !
Ben : Oui, je trouve aussi.
Mam : Vous avez raison les garçons. J’ai pu discuter un moment avec lui et je l’ai trouvé moi aussi très ému d’être avec nous.
Moi : A part cela, je ne sais pas trop ce qu’il pense !
Mam : Détrompe toi Phil, il m’a expliqué que même sans qu’il n’ait rein demandé, tu lui avais proposé ton short de rechange dont tu n’avais pas besoin. Il m’a dit que ça l’avait fort marqué. Il avait les yeux humides !
Ben : Alors là, je n’en reviens pas !
Moi : Tu vois Ben, je pense que Raphaël a dû avoir quelques moments difficiles lui aussi dans la vie. Il se pourrait que ce ne soit pas rose pour lui tous les jours !
Mam : Je vois que tu vas à nouveau te préoccuper de ton prochain, mon cher fils !
Ben : Jacqueline, nous serons alors deux à nous préoccuper de Raph.
Moi : C’est vrai à nous deux nous pourrons peut-être lui donner un coup de main pour qu’il puisse s’extérioriser.
Mam : Très bien les garçons, je sais bien que vous avez le cœur sur la main. Vous l’avez déjà prouvé. Ce n’est pas tout ça, mais demain est un autre jour et je pense que vous devriez prendre une douche et penser à aller dormir, il est presque vingt-deux heures !
Moi : Oui maman. Au fait merci d’avoir accepté et organisé ce souper. Je t’aime.
Mam : Allez ouste mes deux garnements. À la douche et au dodo ! »
J’ai quand même des parents ouverts et toujours prêts à rendre service, à inviter l’un ou l’autre ami ou connaissance. Puis maman est une vraie « maman poule », il suffit de voir comment elle a su écouter et parler avec Raph. Ben s’en rend compte aussi et je sais que sa famille est elle aussi très ouverte aux autres. Bon ce n’est pas tout, il est temps pour nous de monter pour prendre notre douche.
Après une bonne douche, nous arrivons dans ma chambre et nous nous couchons, nus comme d’habitude. Nous nous sommes embrassés et caressés. Étant fatigués par cette journée, nous nous sommes vite endormis et nous avons rejoints le pays des rêves.
Le soleil est déjà levé et ses rayons passent par les persiennes pour laisser des rayures sur le mur opposé à la fenêtre. Ils inondent aussi le lit et la chevelure blonde de mon ange d’amour. Je caresse alors la tête de mon Benoît, de mon amour. Il ouvre les yeux et laisse voir ses yeux bleu océan. Il me sourit et je ne peux que lui rendre un beau sourire. Je lui dis :
Moi : « Bonjour mon ange. As-tu bien dormi ?
Ben : Oh oui j’ai bien dormi, et toi ?
Moi : Bien sûr mon ange, avec toi à mes côtés je dors toujours bien !
Ben : J’en suis très heureux. Viens, embrasse-moi ! »
Je me penche vers le visage réjoui de Ben. Nos lèvres se rencontrent et se posent sur celles de l’être aimé. Nos bouches s’ouvrent pour laisser à nos langues le loisir de se rencontrer et de se donner l’une à l’autre dans une sarabande déjà connue et répétée cent fois ! Nos mains se posent sur le corps chaud de notre amant. Pas besoin de dire que nos attributs se sont dressés et palpitent d’impatience. Il n’en faut pas plus pour que nous nous en occupions. Ma main droite si pose alors sur la barre de chair de Ben. Je sens que lui aussi dépose sa main sur mon sexe bandé. Nous nous caressons en nous embrassant avec fougue. Nous sommes à nouveau dans notre bulle, nous nous cajolons. Inutile de dire que nous nous aimons d’un amour partagé. Nos lèvres se séparent et dans un regard nous savons ce que notre partenaire souhaite, nous nous plaçons têtes-bêches et nous gobons le phallus tant désiré. Que j’aime d’avoir le sucre d’orge de Ben en bouche. Quelle délectation, je parcoure ce pieu d’amour avec avidité, j’entends que Ben soupire de plus en plus. De mon côté je sens que Ben s’attache à me donner des sensations au niveau du gland, il s’attarde avec sa langue au niveau du méat. De mon côté je commence aussi à gémir de bonheur. Nous sommes tous les deux sur le point de jouir, nous commençons à connaître notre amour et nous adaptons les succions pour enfin nous guider l’un l’autre vers la libération de toute la tension hormonale accumulée et dans un râle partagé nous laissons notre liqueur d’amour s’épandre dans la bouche de l’être aimé. Nous nous embrassons en mêlant nos sèves de vie. C’est toujours un super moment partagé à deux. Des étoiles brillent dans les yeux de Ben. Il a le visage illuminé tel un ange venu d’une autre planète, de notre planète, de notre « bulle d’amour ».
Nous reprenons nos esprits, couchés l’un à côté de l’autre, nous tenant par la main. C’est seulement quand Jean vient frapper à la porte de la chambre, que nous redescendons « sur Terre ». Je dis alors :
Moi : « Rentre Jean !
Jea : Bonjour les amoureux ! Il est temps de se lever !
Ben : Bonjour Jean. As-tu bien dormi ?
Jea : Oui, comme un loir !
Moi : Papa est parti à la boulangerie ?
Jea : Oui, il ne va pas tarder à rentrer.
Moi : Merci frangin. On se lève. »
Jean quitte la chambre. Nous nous levons Ben et moi pour nous doucher. Puis nous rejoignons le reste de la famille pour un bon petit-déjeuner. Ça sent déjà le café et le chocolat chaud dans les escaliers. Papa est revenu avec de bons pistolets bien ronds ainsi qu’avec des croissants et des petits-pains au chocolat. Nous saluons tout le monde en donnant un bisou à chacun. Nous reparlons de ce que nous avions tant aimé hier dans notre voyage sous terre. Je vois que Ben a encore des étoiles dans les yeux. Maman est heureuse de nous voir si épanouis.
Une fois ce premier repas de la journée englouti, nous nous préparons pour aller à la réunion d’équipe. C’est papa qui nous y conduit. Arrivés près du local nous retrouvons Gaby et Alex qui attendent, la porte d’entrée est encore verrouillée. A peine arrivés près des deux premiers, nous entendons des pas de course derrière nous, c’est Raphaël et Philippe qui se pressent de nous rejoindre. Raphaël affiche un large sourire, ce qui est rare de sa part. Je suis certain que c’est dû à l’excellent après-midi passé à faire de la spéléo. Il tient un petit sac qu’il me remet sans attendre. Je sais que c’est le short que je lui avais prêté. Il dit alors : « Encore merci Phil ». Il ne manque plus que Marc-Antoine.
Nous rentrons à la maison suivis de nos amis « spéléos ». Maman nous accueille tous et fait entrer les invités dans le salon pour l’apéro. Je m’occupe avec Jean d’apporter les amuse-gueules et les bières Trappistes (Orval, Chimay et Rochefort) ainsi que de la limonade et des jus de fruits. Raphaël en profite pour téléphoner à ses parents en expliquant l’invitation faite pour tout le groupe à manger un bout chez « Phil » avec les gars de la spéléo.
Durant cet apéro convivial papa pose un tas de question à John et à Dominique. Ce dernier explique ceci : le site de Mont est particulièrement intéressant du point de vue spéléologique. On y répertorie de nombreux chantoirs, pertes, dolines et grottes. Citons le trou du Ry, le trou Wéron, découvert vers 1940, le trou de l’Église exploré en 1950, avec une profondeur de 85 mètres, et surtout le trou Bernard, découvert en 1949, qui est le gouffre le plus profond de Belgique avec plus de 120 mètres et qui possède plusieurs grottes et galeries souterraines.
Papa est heureux d’apprendre toutes ces choses, il faut dire que nous aussi nous sommes très heureux d’en apprendre plus. La conversation se poursuit encore à table devant un bon spaghetti bolognaise. Papa a prévu du vin italien pour l’occasion, un valpolicella. Maman parle un moment avec Raphaël, elle avait bien entendu remarqué qu’il est porteur d’un de mes shorts. Il explique qu’il aurait dû ôter son pantalon pour ensuite enfiler la salopette et que le sien était mouillé et sale. Maman lui dit qu’il peut le rapporter à une prochaine réunion, qu’il n’y a rien d’urgent.
Le repas est terminé, nos amis quittent alors la maison. Marc-Antoine se charge de reconduire Raphaël chez lui avec Dominique. Au moment que partir Raphaël fait la bise à Maman et à Anne. Il se présente devant moi et il me fait aussi la bise ainsi qu’à Ben. J’en suis tout étonné. Il me dit alors :
Rap : « Merci Phil, j’ai découvert un gars super sympa. Je sais que tu as le cœur sur la main, tu mérites bien cette marque d’affection. C’est la même chose pour toi Ben. Vous êtes deux supers gars et j’aime être avec vous, car vous savez ce que c’est que de vivre en respectant les autres.
Moi : Tu m’en vois ravi Raph. Merci pour ta remarque, cela me touche beaucoup.
Ben : Moi aussi Raph je suis content de te connaître. Je pense que nous allons devenir amis dans peu de temps.
Rap : Je le crois aussi. Merci encore pour cette invitation, c’est super de votre part.
Moi : Pas de quoi Raph, tu reviens quand tu veux.
Ben : A demain Raph.
Rap : Oui, à demain ! Merci pour tout !
Raphaël monte avec Marc-Antoine dans la voiture de Dominique. Il s’est montré sous un autre angle, il avait l’air ému. Nous rentrons dans le hall d’entrée. Je regarde Ben et je lui dis :
Moi : Je trouve que Raph était très ému d’avoir été invité à manger un bout avec nous !
Ben : Oui, je trouve aussi.
Mam : Vous avez raison les garçons. J’ai pu discuter un moment avec lui et je l’ai trouvé moi aussi très ému d’être avec nous.
Moi : A part cela, je ne sais pas trop ce qu’il pense !
Mam : Détrompe toi Phil, il m’a expliqué que même sans qu’il n’ait rein demandé, tu lui avais proposé ton short de rechange dont tu n’avais pas besoin. Il m’a dit que ça l’avait fort marqué. Il avait les yeux humides !
Ben : Alors là, je n’en reviens pas !
Moi : Tu vois Ben, je pense que Raphaël a dû avoir quelques moments difficiles lui aussi dans la vie. Il se pourrait que ce ne soit pas rose pour lui tous les jours !
Mam : Je vois que tu vas à nouveau te préoccuper de ton prochain, mon cher fils !
Ben : Jacqueline, nous serons alors deux à nous préoccuper de Raph.
Moi : C’est vrai à nous deux nous pourrons peut-être lui donner un coup de main pour qu’il puisse s’extérioriser.
Mam : Très bien les garçons, je sais bien que vous avez le cœur sur la main. Vous l’avez déjà prouvé. Ce n’est pas tout ça, mais demain est un autre jour et je pense que vous devriez prendre une douche et penser à aller dormir, il est presque vingt-deux heures !
Moi : Oui maman. Au fait merci d’avoir accepté et organisé ce souper. Je t’aime.
Mam : Allez ouste mes deux garnements. À la douche et au dodo ! »
J’ai quand même des parents ouverts et toujours prêts à rendre service, à inviter l’un ou l’autre ami ou connaissance. Puis maman est une vraie « maman poule », il suffit de voir comment elle a su écouter et parler avec Raph. Ben s’en rend compte aussi et je sais que sa famille est elle aussi très ouverte aux autres. Bon ce n’est pas tout, il est temps pour nous de monter pour prendre notre douche.
Après une bonne douche, nous arrivons dans ma chambre et nous nous couchons, nus comme d’habitude. Nous nous sommes embrassés et caressés. Étant fatigués par cette journée, nous nous sommes vite endormis et nous avons rejoints le pays des rêves.
Le soleil est déjà levé et ses rayons passent par les persiennes pour laisser des rayures sur le mur opposé à la fenêtre. Ils inondent aussi le lit et la chevelure blonde de mon ange d’amour. Je caresse alors la tête de mon Benoît, de mon amour. Il ouvre les yeux et laisse voir ses yeux bleu océan. Il me sourit et je ne peux que lui rendre un beau sourire. Je lui dis :
Moi : « Bonjour mon ange. As-tu bien dormi ?
Ben : Oh oui j’ai bien dormi, et toi ?
Moi : Bien sûr mon ange, avec toi à mes côtés je dors toujours bien !
Ben : J’en suis très heureux. Viens, embrasse-moi ! »
Je me penche vers le visage réjoui de Ben. Nos lèvres se rencontrent et se posent sur celles de l’être aimé. Nos bouches s’ouvrent pour laisser à nos langues le loisir de se rencontrer et de se donner l’une à l’autre dans une sarabande déjà connue et répétée cent fois ! Nos mains se posent sur le corps chaud de notre amant. Pas besoin de dire que nos attributs se sont dressés et palpitent d’impatience. Il n’en faut pas plus pour que nous nous en occupions. Ma main droite si pose alors sur la barre de chair de Ben. Je sens que lui aussi dépose sa main sur mon sexe bandé. Nous nous caressons en nous embrassant avec fougue. Nous sommes à nouveau dans notre bulle, nous nous cajolons. Inutile de dire que nous nous aimons d’un amour partagé. Nos lèvres se séparent et dans un regard nous savons ce que notre partenaire souhaite, nous nous plaçons têtes-bêches et nous gobons le phallus tant désiré. Que j’aime d’avoir le sucre d’orge de Ben en bouche. Quelle délectation, je parcoure ce pieu d’amour avec avidité, j’entends que Ben soupire de plus en plus. De mon côté je sens que Ben s’attache à me donner des sensations au niveau du gland, il s’attarde avec sa langue au niveau du méat. De mon côté je commence aussi à gémir de bonheur. Nous sommes tous les deux sur le point de jouir, nous commençons à connaître notre amour et nous adaptons les succions pour enfin nous guider l’un l’autre vers la libération de toute la tension hormonale accumulée et dans un râle partagé nous laissons notre liqueur d’amour s’épandre dans la bouche de l’être aimé. Nous nous embrassons en mêlant nos sèves de vie. C’est toujours un super moment partagé à deux. Des étoiles brillent dans les yeux de Ben. Il a le visage illuminé tel un ange venu d’une autre planète, de notre planète, de notre « bulle d’amour ».
Nous reprenons nos esprits, couchés l’un à côté de l’autre, nous tenant par la main. C’est seulement quand Jean vient frapper à la porte de la chambre, que nous redescendons « sur Terre ». Je dis alors :
Moi : « Rentre Jean !
Jea : Bonjour les amoureux ! Il est temps de se lever !
Ben : Bonjour Jean. As-tu bien dormi ?
Jea : Oui, comme un loir !
Moi : Papa est parti à la boulangerie ?
Jea : Oui, il ne va pas tarder à rentrer.
Moi : Merci frangin. On se lève. »
Jean quitte la chambre. Nous nous levons Ben et moi pour nous doucher. Puis nous rejoignons le reste de la famille pour un bon petit-déjeuner. Ça sent déjà le café et le chocolat chaud dans les escaliers. Papa est revenu avec de bons pistolets bien ronds ainsi qu’avec des croissants et des petits-pains au chocolat. Nous saluons tout le monde en donnant un bisou à chacun. Nous reparlons de ce que nous avions tant aimé hier dans notre voyage sous terre. Je vois que Ben a encore des étoiles dans les yeux. Maman est heureuse de nous voir si épanouis.
Une fois ce premier repas de la journée englouti, nous nous préparons pour aller à la réunion d’équipe. C’est papa qui nous y conduit. Arrivés près du local nous retrouvons Gaby et Alex qui attendent, la porte d’entrée est encore verrouillée. A peine arrivés près des deux premiers, nous entendons des pas de course derrière nous, c’est Raphaël et Philippe qui se pressent de nous rejoindre. Raphaël affiche un large sourire, ce qui est rare de sa part. Je suis certain que c’est dû à l’excellent après-midi passé à faire de la spéléo. Il tient un petit sac qu’il me remet sans attendre. Je sais que c’est le short que je lui avais prêté. Il dit alors : « Encore merci Phil ». Il ne manque plus que Marc-Antoine.