22-02-2022, 05:08 PM
Épisode 12
Assis à l’extérieur, il n’y avait pas beaucoup d’air, et je n’arrivais pas à trouver la fraîcheur. Je décidai donc de me mettre torse-nu et vu que j’étais déjà trempé, je me renversai une partie de ma bouteille d’eau sur la tête. Cela me fit un bien fou. L’eau ruissela le long de mon torse et de mon dos. En descendant, les gouttes vinrent achever leurs courses en étant absorbées par mon jogging et mon boxer. Lorsqu’elles atteignirent le bas des reins, je frissonnais.
Rudy me regarda faire et il dut trouver que c’était une bonne idée car il m’imita. Je le regardai faire et j’admirais toute cette eau s’écouler le long de son corps et humidifier son pantalon. Il en avait versé une bonne quantité, et mon regard fut retenu sous sa ceinture. En effet, le liquide avait comme plaqué ses vêtements à sa peau et la forme de son pénis se dessinait à travers le coton.
Le spectacle qui m’était donné de contempler me fit frémir à nouveau, mais plutôt d’excitation. Je sentais mon pénis réagir en conséquence. Je me ressaisis, et je me fis la remarque suivante : si j’arrive à deviner assez notablement son sexe, alors ça doit être pareil pour moi. En baissant les yeux, mon hypothèse fut confirmée. C’était d’autant plus visible que je commençais à avoir une érection. Sans tarder, je m’assis pour camoufler au mieux la bosse apparente. Mes yeux étaient désormais à hauteur des hanches de Rudy. Je m’efforçais de ne pas regarder pour ne pas raidir davantage mon sexe et accroitre mes nouvelles pulsions envers un homme ou plus précisément envers Rudy.
Il finit par s’installer rapidement à côté de moi, ce qui me calma. Nous sortîmes nos sandwiches. Aujourd’hui, j’avais prévu plus gros. Ma mère m’avait préparé un gros casse-croute. Il y avait deux sandwiches ; un au pâté, cornichons, salade et un autre au jambon, tomates et emmental. J’avais également une pomme et une banane.
Nous mangeâmes en prenant notre temps. J’imaginais que c’était stratégique car nous pouvions reprendre convenablement des forces. Un pari était en jeu ! En discutant un peu, je sentais bien que Rudy était de moins en moins serein. Et pour cause. Nous étions tous les deux au même stade d’avancement de déchargement de nos camions respectifs.
Curieux d’en savoir plus sur mon collègue, je lançai un autre sujet de conversation.
- J’ai vu hier que tu t’es abonné à mon compte Instagram.
- Ouais, c’est vrai. Je fais toujours ça quand j’apprécie quelqu’un.
- Ça veut dire que tu m’aimes bien ? demandais-je.
- Oui en espérant que c’est réciproque.
- Oui, sinon, je ne t’aurais pas accepté sur insta. Et je n’aurais pas été voir tes différentes photos.
- Ah ouais, t’as été jeté un coup d’œil.
Et même bien plus pensais-je. Mais je n’allais pas lui dire que je m’étais masturbé sur une de ses photos. Ce qui me fit remémorer la photo en question et mon attirance pour sa chair. Illustration que j’avais presque à l’identique sous les yeux. Il n’était pas en serviette mais c’était pareil. Quoiqu’en réalité, c’était peut-être pire. Pire ou mieux ? J’étais si troublé que je ne savais pas plus faire la différence. Je regardais son torse miroitant d’humidité. Quelques gouttes coulaient entre ses deux pectoraux. Elles tombaient le long d’une ligne verticale. Leurs descentes étaient rythmées par les battements de cœur à peine visibles. Elles terminaient leur parcours pour venir humidifier les quelques poils situés sous le nombril. J’étais comme hypnotisé par cette nature admirable quand Rudy m’interpella.
- Eliot. Je te parle. T’es dans la lune. A moins que ça soit mes abdos que tu mattes ?
Assis à l’extérieur, il n’y avait pas beaucoup d’air, et je n’arrivais pas à trouver la fraîcheur. Je décidai donc de me mettre torse-nu et vu que j’étais déjà trempé, je me renversai une partie de ma bouteille d’eau sur la tête. Cela me fit un bien fou. L’eau ruissela le long de mon torse et de mon dos. En descendant, les gouttes vinrent achever leurs courses en étant absorbées par mon jogging et mon boxer. Lorsqu’elles atteignirent le bas des reins, je frissonnais.
Rudy me regarda faire et il dut trouver que c’était une bonne idée car il m’imita. Je le regardai faire et j’admirais toute cette eau s’écouler le long de son corps et humidifier son pantalon. Il en avait versé une bonne quantité, et mon regard fut retenu sous sa ceinture. En effet, le liquide avait comme plaqué ses vêtements à sa peau et la forme de son pénis se dessinait à travers le coton.
Le spectacle qui m’était donné de contempler me fit frémir à nouveau, mais plutôt d’excitation. Je sentais mon pénis réagir en conséquence. Je me ressaisis, et je me fis la remarque suivante : si j’arrive à deviner assez notablement son sexe, alors ça doit être pareil pour moi. En baissant les yeux, mon hypothèse fut confirmée. C’était d’autant plus visible que je commençais à avoir une érection. Sans tarder, je m’assis pour camoufler au mieux la bosse apparente. Mes yeux étaient désormais à hauteur des hanches de Rudy. Je m’efforçais de ne pas regarder pour ne pas raidir davantage mon sexe et accroitre mes nouvelles pulsions envers un homme ou plus précisément envers Rudy.
Il finit par s’installer rapidement à côté de moi, ce qui me calma. Nous sortîmes nos sandwiches. Aujourd’hui, j’avais prévu plus gros. Ma mère m’avait préparé un gros casse-croute. Il y avait deux sandwiches ; un au pâté, cornichons, salade et un autre au jambon, tomates et emmental. J’avais également une pomme et une banane.
Nous mangeâmes en prenant notre temps. J’imaginais que c’était stratégique car nous pouvions reprendre convenablement des forces. Un pari était en jeu ! En discutant un peu, je sentais bien que Rudy était de moins en moins serein. Et pour cause. Nous étions tous les deux au même stade d’avancement de déchargement de nos camions respectifs.
Curieux d’en savoir plus sur mon collègue, je lançai un autre sujet de conversation.
- J’ai vu hier que tu t’es abonné à mon compte Instagram.
- Ouais, c’est vrai. Je fais toujours ça quand j’apprécie quelqu’un.
- Ça veut dire que tu m’aimes bien ? demandais-je.
- Oui en espérant que c’est réciproque.
- Oui, sinon, je ne t’aurais pas accepté sur insta. Et je n’aurais pas été voir tes différentes photos.
- Ah ouais, t’as été jeté un coup d’œil.
Et même bien plus pensais-je. Mais je n’allais pas lui dire que je m’étais masturbé sur une de ses photos. Ce qui me fit remémorer la photo en question et mon attirance pour sa chair. Illustration que j’avais presque à l’identique sous les yeux. Il n’était pas en serviette mais c’était pareil. Quoiqu’en réalité, c’était peut-être pire. Pire ou mieux ? J’étais si troublé que je ne savais pas plus faire la différence. Je regardais son torse miroitant d’humidité. Quelques gouttes coulaient entre ses deux pectoraux. Elles tombaient le long d’une ligne verticale. Leurs descentes étaient rythmées par les battements de cœur à peine visibles. Elles terminaient leur parcours pour venir humidifier les quelques poils situés sous le nombril. J’étais comme hypnotisé par cette nature admirable quand Rudy m’interpella.
- Eliot. Je te parle. T’es dans la lune. A moins que ça soit mes abdos que tu mattes ?