08-08-2020, 11:53 AM
2eme ANNEE Septembre : (22 / 70) (Reims) (suite)
Florian raccroche lui aussi et se tourne vers la famille Viala et Thomas qui sont près de lui dans la cuisine, Annie aidée par Thomas prépare le repas le visage rayonnant de la joie d’avoir toute sa petite famille réunie autour d’elle.
Florian explique la conversation qu’il vient d’avoir avec Dorian et du coup les questions pleuvent de la part des parents qui cherchent à comprendre.
Ils sont étonnés d’apprendre la surveillance policière que le jeune homme a subie et encore plus l’étonnante suite qu’il en a découlée, faisant devenir des amis proches ceux qui étaient chargés d’épier tous ses mouvements.
- (Frédéric) Tu nous étonneras toujours autant toi !! Si j’ai bien compris tu vas les faire habiter chez Mireille ?
- Oui c’est mon intention, comme « Marco » et « Flav » d’ailleurs, elle a besoin de compagnie et n’a aucune famille alors comme ça, elle ne se sentira plus seule et devrait retrouver goût à la vie. Je ne pensais pas en acceptant de prendre les siamois que c’était sa seule compagnie sinon j’aurais refusé c’est sûr.
La conversation continue comme ça jusqu’à l’heure du dîner, l’ambiance familiale de ce repas rend tout le monde joyeux et les rires résonnent dans l’appartement pendant une grande partie de la soirée.
À un moment Florian et Thomas se regardent et leurs yeux s’allument, Florian feint de bâiller à s’en décrocher la mâchoire et bien sûr ça ne rate pas et Annie en bonne mère prend pitié du jeune homme.
- Tu devrais aller te coucher « Flo », tu m’as l’air d’en avoir besoin.
- (Je ris) En fait je l’ai fait exprès Hi ! Hi !
- (Frédéric souriant) Comment ça, tu le fais exprès ?
Je regarde les frangins en riant toujours.
- C’est pour ne pas leur donner les « abeilles » tu comprends ?
Frédéric qui de toute évidence n’a pas compris.
- Pas vraiment non.
- Hi ! Hi ! Moi je vais passer une bonne nuit avec « Thom » alors que j’en connais trois qui vont se serrer la ceinture Hi ! Hi !
- (Guillaume) Sadique va !! Et en plus ça l’amuse !! Ris bien camarade, dans quinze jours nous verrons bien qui rira le dernier. Hein les gars ?
Damien mort de rire devant la tête que fait soudainement Florian.
- Je sens que ça va pas mal satelliser dans les mois qui viennent Hi ! Hi ! Y a plutôt intérêt à réapprovisionner le service de nettoyage Hi ! Hi !
- (Annie surprise) Mais enfin de quoi tu parles ?
Frédéric capte le magnifique bol de son fils et comprend de quoi il s’agit.
- Laisse maman, il ne vaut mieux pas que tu creuses dans cette direction crois-moi. Juste qu’il va te falloir séparer comme prévu tes lessives le temps qu’ils se calment tous Hi ! Hi !
Annie comprend elle aussi.
- Ohhhh !!!!! Bandes de cochons (Elle éclate de rire) Oust !! Du balai !! Pourquoi je n’ai pas fait des filles moi ? Je vous demande un peu !
- (Aurélien stoïque) Heu !! Là je ne vois pas la différence, d’après « Caro » Ce n’est pas triste non plus coté petit plaisir chez les nanas.
Frédéric voyant les rougeurs qui colorent les joues de sa femme.
- Eh bien !! En voilà une conversation ? Obéissez à votre mère et au lit c’est compris ? Un mot de plus et je vous attache les mains et les pieds aux pieds du lit comme ça, je suis sûr que vous vous tiendrez tranquilles.
Damien qui ne sait pas tenir sa langue.
- Pff !! Encore des paroles !!
(Frédéric amusé) Ah oui !! Tu crois ça ? Et bien tu vas voir si ce ne sont que des paroles, « Aurél » ? « Thom » ? Voulez-vous bien attraper ce bavard s’il vous plaît ? Pendant que je vais chercher le nécessaire pour lui montrer qui commande ici.
Bien sûr quand il s’agit de faire une blague tout le monde est partant, Aurélien rattrape in extremis par la manche son petit frère qui voulait s’échapper comprenant parfaitement le sort qui allait lui être réservé, Thomas la ceinture gentiment et à eux deux le mènent dans sa chambre où Guillaume mort de rire et ne voulant surtout pas être en reste lui ôte ses vêtements et le laisse en caleçon.
Quand Frédéric arrive à son tour, il leur demande d’allonger Damien sur le lit et l’attache comme promis aux quatre pieds de celui-ci, il ne serre pas les liens mais fait en sorte qu’il ne lui soit pas possible de s’en défaire.
Une fois chose faite, tout le monde se recule hilare devant le spectacle, Damien entravé aux mains et aux chevilles tente d’amadouer en gentillesse l’assemblée mais c’est peine perdue et le voilà bientôt seul dans sa chambre porte fermée et lumière éteinte.
Conseil de guerre dans la chambre de Guillaume pour discuter de la suite à donner si suite il doit y avoir, chacun y va de sa proposition la plus saugrenue soit elle et ils finissent en s’amusant comme des fous à déterminer une action qui devrait mener le pauvre Damien à des strates peu communes.
Aurélien ressort pour vérifier si son père a bien l’intention de le laisser ligoter toute la nuit ou pas, réjouit d’une réponse positive, il remonte renseigner les autres et ils attendent l’heure pour mettre leur plan en pratique.
Une fois qu’ils entendent leurs parents se coucher, ils décident d’attendre encore un peu et bien leur fait car Frédéric ne peut pas s’empêcher de venir narguer une dernière fois son cadet dans sa chambre.
Enfin le silence se fait dans l’appartement et les quatre compères sortent à pas de loup accompagnés de « Tic » et « Tac » porter respectivement par Florian et Thomas.
Pendant ce temps dans la chambre des parents une discussion se fait à voix basse, le couple fort amusé de ce qu’ils ont mis en place pour mettre les garçons devant le fait accompli le lendemain matin.
- (Annie) Et s’ils n’allument pas la lumière ?
- (Frédéric) Bah !! Ce serait étonnant qu’ils lui fassent un truc sans se donner le plaisir de voir sa tête, et puis si c’est le cas nous aurons toujours le son.
- (Annie) Tu es sûr que « Dami » ne t’a pas vu mettre le caméscope ?
- (Frédéric) Attends !!! Tu me prends pour un novice ? Bien sûr qu’il n’a rien vu, je l’ai mis juste au moment de partir après avoir éteint la lumière.
- (Annie) Hi ! HI ! J’ai hâte d’être à demain, bonne nuit chéri.
- (Frédéric) Et moi donc !! Bonne nuit chérie.
2eme ANNEE Septembre : (23 / 70) (Reims) (suite)
Pendant ce temps-là, Thomas Florian et Aurélien entrent dans la chambre de Damien pendant que Guillaume va dans la cuisine chercher ce qui leur manque, les trois garçons allument la veilleuse sur le bureau et attendent le quatrième en regardant Damien avec un sourire qui lui amène des frissons dans le dos, se doutant bien qu’ils ont eu tout le temps nécessaire pour lui préparer une crasse maison.
Guillaume arrive enfin et referme soigneusement la porte derrière lui avec une main restant cachée derrière son dos, Damien joue les innocents et tente le tout pour le tout, doutant lui-même du résultat.
- (À voix basse) C’est sympa les gars d’être venu me libérer.
- (Aurélien sur le même ton) Tiens !! Nous n’avons pas parlé de cette option, pas vrai les mecs ?
Guillaume avec un grand sourire qui ne présage rien de bon pour son cadet.
- En effet, ce n’est pas l’idée qui nous est venue Hi ! Hi !
- (Damien pas rassuré) Qu’est-ce que vous allez me faire ?
- (Thomas) Juste ce que tu ne peux pas faire en ce moment.
- (J’en rajoute une louche) Tu sais les satellites ?
- (Damien surpris) Vous êtes venus pour me branler ? Waou !!! C’est cool les mecs, je peux choisir qui ça sera ?
- (Aurélien) Bah non !! Ça, tu ne peux pas, c’est déjà désigné.
- (Damien) De toute façon ce ne peut être que « Thom » parce que vous vous êtes mes frangins.
- (Guillaume) Pas tous !!
- (Damien me regarde) Non !! C’est toi Florian ? Je n’y crois pas !! (Il relève son bassin) Ça me fait chaud !! Regarde il y a la bête qui commence à réagir.
Je m’approche de lui et doucement je lui caresse le sexe à travers le caleçon, ce n’est pas du chiqué car le petit salopard bande déjà comme un poney.
- Putain le salaud !! Il est déjà tout raide !!
Je lui sors l’attirail par la fente du caleçon et je m’écarte un peu de lui pour que les autres voient bien dans quel état d’excitation avancée il est déjà, je retourne vers Damien et commence doucement à le caresser.
Son sexe grossit encore davantage et son gland se décalotte tout seul, quelques gouttes de sperme s’échappent du méat et nous prouvent qu’il est dans un état suffisamment avancé pour la suite de notre plan.
Je le manipule encore un moment en faisant attention à ne pas le faire partir car ce n’est pas vraiment le but, le salaud se régale et n’a aucune honte de se faire masturber devant tout le monde.
Quand j’arrête mes manipulations, il ouvre grand les yeux.
- Hé !! Ne t’arrête pas !! Ça allait venir !!
- Excuse-moi mais mon tour est terminé, maintenant c’est à d’autres de prendre la relève.
Damien le sexe tout baveux tendu à mort.
- Vas-y « Thom » !! Viens me secouer la bête, avec toi il y en a pour deux secondes Hi ! Hi !
Guillaume s’approche alors tout sourire devant la tête de Damien surpris qui croit mordicus que c’est lui qui va reprendre les choses en mains, c’est quand il le voit sortir de derrière son dos le pot de confiture qu’il commence à se poser réellement des questions.
Guillaume ouvre le pot et avec deux doigts en couvre entièrement le sexe de son petit frère, faisant bien le tour sans oublié les deux orphelines.
Damien amusé car croyant comprendre.
- Je te savais gourmand frangin mais alors là chapeau !!
Thom et moi, nous reprenons « Tic » et « Tac » et nous les déposons sur le lit.
- (Je leur dis en riant) Allez les gars régalez-vous Hi ! Hi !
Damien ouvre de grands yeux affolés.
- Putain les mecs !! Arrêter vos conneries !! Ils vont me bouffer la queue !!
Les deux chats s’approche du bas-ventre de Damien et le renifle d’abord en se léchant les babines, en faisant ça leurs poils de moustaches frôlent le gland du garçon qui se tend en gloussant.
- Bordel !! Ça chatouille Hi ! Hi ! Virez-les de là Hi ! Hi !
Bien sûr nous n’en faisant rien bien au contraire, les contorsions de Damien nous éclatant un maximum.
Tac commence à lécher doucement la confiture sur le sexe toujours dressé, Tic imite son frère et lèche l’entrejambe du jeune queutard.
Le contact des petites langues gourmandes tétanise le garçon qui en ferme les yeux tellement il trouve ça bon, la langue de Tac atteint le gland au moment ou celle de Tic effleure légèrement l’anneau de Damien recouvert par une coulure de confiture de fraise.
La double sensation est trop forte pour le jeune homme toujours pieds et poings liés aux montants du lit, un long râle s’échappe de sa gorge quand il s’arc-boute et qu’il prend un pied formidable, son sperme partant en une magnifique arabesque atteindre son visage convulsé par l’orgasme.
Nous le regardons hébétés car nous ne nous attendions pas du tout à ça, tout s’est déroulé si vite que la surprise a été totale.
Nous pensions qu’il ne résisterait pas aux chatouilles et qu’il subirait le supplice jusqu’au bout, mais de le voir prendre un tel plaisir et si rapidement laisse à penser que soit nous l’avions mené avec nos attouchements trop près de la délivrance, soit les petites langues des siamois ont eu un effet défiant toute concurrence.
Guillaume regarde le pot de confiture avec les yeux brillants, Aurélien surprend son regard et se moque de lui.
- Ça te donne des idées frangin ?
- Bah !! Un peu oui !! Tu as vu ça ?
Regardant son jeune frère encore amorphe.
- Dis donc « Dami » ? J’ai l’impression que ça t’a fait du bien pas vrai ?
Damien en se tortillant comme un ver.
- Pas qu’un peu Hi ! Hi ! Mais maintenant Hi ! Hi ! Retirez les Hi ! Hi ! Ça chatouille trop Hi ! Hi !
- (Thomas) En fait c’était ça ton supplice, le reste n’était pas du tout prévu. T’es vraiment un sacré queutard, ça te manquait tant que ça donc ?
- (Damien mort de rire) C’est bon les gars Hi ! Hi ! Arrêtez les Hi ! Hi !
Aurélien s’étonne qu’avec un tel bordel ses parents ne viennent pas voir ce qu’il se passe, il regarde son petit frère qui est devenu cramoisi sous les chatouilles et décide qu’il est temps d’arrêter.
- « Tic » « Tac » !! Allez ça suffit maintenant !! Venez ici ? « Flo » reprends les, je crois que c’est suffisant.
Nous reprenons avec Thomas les deux matous qui se pourlèchent encore les babines, Guillaume remballe l’attirail redevenu au repos de son petit frère dans son caleçon.
Après y avoir mis gentiment un coup de lingette sur le corps et le visage pour le nettoyer des traces « suspectes » dont il était recouvert, il sort de la chambre précédé par « Aurel » et « Thom » me laissant seul avec Damien.
En lui faisant un clin d’œil coquin.
- Tu t’en sors bien sur ce coup-là « Dami »
Damien redevenu plus calme.
- Tu trouves ? Ce serait encore mieux si tu me détachais ?
Je vérifie ses liens, ceux-ci lui laissant suffisamment de mobilité pour pouvoir dormir sans en être réellement gêné, je lui souris et après un bisou sur le front et une petite caresse flatteuse sur le caleçon, je vais pour quitter la pièce sans une parole de plus et j’éteins la lumière avant de sortir.
Une fois dans la chambre d’Aurélien, je m’allonge dans le lit près de Thomas et je reste soudain songeur.
Un truc me dérange et je n’arrive pas à mettre le doigt dessus ce qui a le don de m’énerver encore plus.
Thomas en me voyant soucieux.
- Qu’est-ce que tu as ? Tu en fais une tête ?
2eme ANNEE Septembre : (24 / 70) (Nantes) (suite)
- (Marc tendu) Je ne vois pas en quoi c’est si surprenant père ?
- Votre propension à rejeter ce que vous êtes mon fils, mais arrêtons là cette joute verbale mal venue devant notre invité. Donc jeune homme je présume que vous suivez les mêmes études que notre fils ?
- (Aléxie) Pas du tout !! Je suis en terminale S à Orléans et j’espère après mon bac pouvoir suivre des études pour ensuite passer mon brevet de pilote de ligne sur gros-porteurs.
Jean Philippe sans changer l’intonation de sa voix.
- C’est pour une personne de votre rang sociale un très bon choix, vous cherchez à vous élever dans notre société ce qui n’est pas hélas le cas de tout le monde.
Marc prend la réflexion de plein fouet.
- Tout le monde ne souhaite pas vivre sur le travail des autres et je suis très fier de la voie que j’ai choisie père.
- (Jean Philippe une octave au-dessus) Il suffit !! Votre arrogance n’est pas tolérée dans cette demeure et vous le savez bien mon fils.
- (Marc énervé) Moi arrogant ?? Mais écoutez-vous donc parler !! Je suis venu ici parce que mon ami voulait vous connaître sachez le bien et pour aucune autre raison.
- (Anne Laure à Aléxie) Et pourquoi donc jeune homme teniez-vous tant à nous rendre visite.
Aléxie craque et sa colère n’a d’égale que le dédain qu’il ressent envers eux depuis qu’il est en leur présence, il s’approche de Marc et lui prend la main doucement mais en tremblant sous le regard totalement indifférent à son geste des deux adultes en face de lui.
- Juste que je voulais me faire une image plus précise sur les parents de mon ami, des parents qui ne prennent jamais de nouvelles de leur seul enfant et qui croient tout résoudre de leurs devoirs parentaux en lui envoyant un chèque mensuel qui suffit à peine à le faire vivre correctement alors qu’eux ne se privent de rien et passent tout leur précieux temps à se croire toujours possesseurs d’un titre qui n’a plus court depuis des lustres.
Marc essaie de réconforter son ami qui tremble de plus en plus et dont la voix s’éraille sous l’effet des paroles accusatrices qu’il prononce, il l’enlace tendrement par-derrière et pose sa tête sur son cou en lui murmurant à l’oreille des paroles censées le calmer.
- Ne t’énerve pas, tu vois bien que c’est peines perdues d’avance. Ils sont aussi froids que des serpents et se demandent pourquoi je ne veux pas leur ressembler.
- (Aléxie) J’ai envie de vomir, indique-moi où sont les toilettes s’il te plaît
Marc lui indique le chemin et le laisse aller se calmer et s’aérer l’esprit, la façon cinglante qu’il a eue de vilipender ses parents lui amène et ce bien que le moment soit très mal choisi, un grand sourire aux lèvres que ses géniteurs prennent en pleine figure quand il se retourne vers eux.
***/***
Arnault qui a tout suivi de la conversation caché derrière un énorme rideau du salon retrouve Aléxie dès qu’il sort de la pièce et l’attrape par le bras en l’entraînant un peu plus loin vers une salle d’eau où celui-ci va aussitôt se rafraîchir le visage au lavabo.
Arnault avec un grand sourire amical.
- Y a pas t’as des couilles mec !! Comment tu les as sabrés !! Mais c’est pas demain qu’ils vont se retirer le balai du cul tu sais ?
Aléxie retrouve le sourire mais comment faire autrement face à « Nono » ?
- Comment Marc a-t-il pu vivre dans un merdier pareil ?
- Avec eux tu veux dire ? Bah en fait il ne les voyait pas si souvent que ça, c’est avec mes darons et moi qu’il a été élevé. Les "De Shprouttes" n’étaient jamais là et nous sommes comme deux frangins avec le « fil de fer », enfin ex « fil de fer » je devrais plutôt dire.
- (Aléxie mort de rire) Les "De Shprouttes" Hi ! Hi ! C’est comme ça que tu les appelles ?
- Bah oui pourquoi ce n’est pas leurs noms ? Ils sont tellement imbus de leurs personnes que quand ils pètent ce doit être fait avec
Il fait une révérence et lâche une caisse bien sonore.
Prroouutt !!!!
- La « manière »
Aléxie n’en peut plus et se plie en deux.
- Hi ! Hi ! T’es con !! Mais bon c’est quand même du nom de Marc que tu te moques.
- (Arnault amusé) Mais justement !! C’est lui qui l’a trouvé il y a très longtemps quand nous étions encore moujingue.
- (Aléxie redevenant sérieux) Il était comment à cette époque ?
Arnault avec un sourire en coin.
- Maigre !!
- Non !! Sérieux Arnault, j’aimerais tellement en savoir plus sur lui. Il ne parle jamais d’ici tu sais ? Personne de ses amis à Reims ne savait qu’il était de la noblesse avec des parents super-friqués. Il y a même fallu que Florian participe à un jeu pour gagner suffisamment de tunes pour qu’il puisse se rhabiller.
- (Arnault choqué) C’est quoi cette histoire ? Il n’avait qu’à me prévenir et je lui aurais envoyé le fric dont il avait besoin.
- Il est trop fier, déjà qu’avec « Flo » ça a eu du mal à passer et pourtant si tu connaissais le loustic !!
Florian raccroche lui aussi et se tourne vers la famille Viala et Thomas qui sont près de lui dans la cuisine, Annie aidée par Thomas prépare le repas le visage rayonnant de la joie d’avoir toute sa petite famille réunie autour d’elle.
Florian explique la conversation qu’il vient d’avoir avec Dorian et du coup les questions pleuvent de la part des parents qui cherchent à comprendre.
Ils sont étonnés d’apprendre la surveillance policière que le jeune homme a subie et encore plus l’étonnante suite qu’il en a découlée, faisant devenir des amis proches ceux qui étaient chargés d’épier tous ses mouvements.
- (Frédéric) Tu nous étonneras toujours autant toi !! Si j’ai bien compris tu vas les faire habiter chez Mireille ?
- Oui c’est mon intention, comme « Marco » et « Flav » d’ailleurs, elle a besoin de compagnie et n’a aucune famille alors comme ça, elle ne se sentira plus seule et devrait retrouver goût à la vie. Je ne pensais pas en acceptant de prendre les siamois que c’était sa seule compagnie sinon j’aurais refusé c’est sûr.
La conversation continue comme ça jusqu’à l’heure du dîner, l’ambiance familiale de ce repas rend tout le monde joyeux et les rires résonnent dans l’appartement pendant une grande partie de la soirée.
À un moment Florian et Thomas se regardent et leurs yeux s’allument, Florian feint de bâiller à s’en décrocher la mâchoire et bien sûr ça ne rate pas et Annie en bonne mère prend pitié du jeune homme.
- Tu devrais aller te coucher « Flo », tu m’as l’air d’en avoir besoin.
- (Je ris) En fait je l’ai fait exprès Hi ! Hi !
- (Frédéric souriant) Comment ça, tu le fais exprès ?
Je regarde les frangins en riant toujours.
- C’est pour ne pas leur donner les « abeilles » tu comprends ?
Frédéric qui de toute évidence n’a pas compris.
- Pas vraiment non.
- Hi ! Hi ! Moi je vais passer une bonne nuit avec « Thom » alors que j’en connais trois qui vont se serrer la ceinture Hi ! Hi !
- (Guillaume) Sadique va !! Et en plus ça l’amuse !! Ris bien camarade, dans quinze jours nous verrons bien qui rira le dernier. Hein les gars ?
Damien mort de rire devant la tête que fait soudainement Florian.
- Je sens que ça va pas mal satelliser dans les mois qui viennent Hi ! Hi ! Y a plutôt intérêt à réapprovisionner le service de nettoyage Hi ! Hi !
- (Annie surprise) Mais enfin de quoi tu parles ?
Frédéric capte le magnifique bol de son fils et comprend de quoi il s’agit.
- Laisse maman, il ne vaut mieux pas que tu creuses dans cette direction crois-moi. Juste qu’il va te falloir séparer comme prévu tes lessives le temps qu’ils se calment tous Hi ! Hi !
Annie comprend elle aussi.
- Ohhhh !!!!! Bandes de cochons (Elle éclate de rire) Oust !! Du balai !! Pourquoi je n’ai pas fait des filles moi ? Je vous demande un peu !
- (Aurélien stoïque) Heu !! Là je ne vois pas la différence, d’après « Caro » Ce n’est pas triste non plus coté petit plaisir chez les nanas.
Frédéric voyant les rougeurs qui colorent les joues de sa femme.
- Eh bien !! En voilà une conversation ? Obéissez à votre mère et au lit c’est compris ? Un mot de plus et je vous attache les mains et les pieds aux pieds du lit comme ça, je suis sûr que vous vous tiendrez tranquilles.
Damien qui ne sait pas tenir sa langue.
- Pff !! Encore des paroles !!
(Frédéric amusé) Ah oui !! Tu crois ça ? Et bien tu vas voir si ce ne sont que des paroles, « Aurél » ? « Thom » ? Voulez-vous bien attraper ce bavard s’il vous plaît ? Pendant que je vais chercher le nécessaire pour lui montrer qui commande ici.
Bien sûr quand il s’agit de faire une blague tout le monde est partant, Aurélien rattrape in extremis par la manche son petit frère qui voulait s’échapper comprenant parfaitement le sort qui allait lui être réservé, Thomas la ceinture gentiment et à eux deux le mènent dans sa chambre où Guillaume mort de rire et ne voulant surtout pas être en reste lui ôte ses vêtements et le laisse en caleçon.
Quand Frédéric arrive à son tour, il leur demande d’allonger Damien sur le lit et l’attache comme promis aux quatre pieds de celui-ci, il ne serre pas les liens mais fait en sorte qu’il ne lui soit pas possible de s’en défaire.
Une fois chose faite, tout le monde se recule hilare devant le spectacle, Damien entravé aux mains et aux chevilles tente d’amadouer en gentillesse l’assemblée mais c’est peine perdue et le voilà bientôt seul dans sa chambre porte fermée et lumière éteinte.
Conseil de guerre dans la chambre de Guillaume pour discuter de la suite à donner si suite il doit y avoir, chacun y va de sa proposition la plus saugrenue soit elle et ils finissent en s’amusant comme des fous à déterminer une action qui devrait mener le pauvre Damien à des strates peu communes.
Aurélien ressort pour vérifier si son père a bien l’intention de le laisser ligoter toute la nuit ou pas, réjouit d’une réponse positive, il remonte renseigner les autres et ils attendent l’heure pour mettre leur plan en pratique.
Une fois qu’ils entendent leurs parents se coucher, ils décident d’attendre encore un peu et bien leur fait car Frédéric ne peut pas s’empêcher de venir narguer une dernière fois son cadet dans sa chambre.
Enfin le silence se fait dans l’appartement et les quatre compères sortent à pas de loup accompagnés de « Tic » et « Tac » porter respectivement par Florian et Thomas.
Pendant ce temps dans la chambre des parents une discussion se fait à voix basse, le couple fort amusé de ce qu’ils ont mis en place pour mettre les garçons devant le fait accompli le lendemain matin.
- (Annie) Et s’ils n’allument pas la lumière ?
- (Frédéric) Bah !! Ce serait étonnant qu’ils lui fassent un truc sans se donner le plaisir de voir sa tête, et puis si c’est le cas nous aurons toujours le son.
- (Annie) Tu es sûr que « Dami » ne t’a pas vu mettre le caméscope ?
- (Frédéric) Attends !!! Tu me prends pour un novice ? Bien sûr qu’il n’a rien vu, je l’ai mis juste au moment de partir après avoir éteint la lumière.
- (Annie) Hi ! HI ! J’ai hâte d’être à demain, bonne nuit chéri.
- (Frédéric) Et moi donc !! Bonne nuit chérie.
2eme ANNEE Septembre : (23 / 70) (Reims) (suite)
Pendant ce temps-là, Thomas Florian et Aurélien entrent dans la chambre de Damien pendant que Guillaume va dans la cuisine chercher ce qui leur manque, les trois garçons allument la veilleuse sur le bureau et attendent le quatrième en regardant Damien avec un sourire qui lui amène des frissons dans le dos, se doutant bien qu’ils ont eu tout le temps nécessaire pour lui préparer une crasse maison.
Guillaume arrive enfin et referme soigneusement la porte derrière lui avec une main restant cachée derrière son dos, Damien joue les innocents et tente le tout pour le tout, doutant lui-même du résultat.
- (À voix basse) C’est sympa les gars d’être venu me libérer.
- (Aurélien sur le même ton) Tiens !! Nous n’avons pas parlé de cette option, pas vrai les mecs ?
Guillaume avec un grand sourire qui ne présage rien de bon pour son cadet.
- En effet, ce n’est pas l’idée qui nous est venue Hi ! Hi !
- (Damien pas rassuré) Qu’est-ce que vous allez me faire ?
- (Thomas) Juste ce que tu ne peux pas faire en ce moment.
- (J’en rajoute une louche) Tu sais les satellites ?
- (Damien surpris) Vous êtes venus pour me branler ? Waou !!! C’est cool les mecs, je peux choisir qui ça sera ?
- (Aurélien) Bah non !! Ça, tu ne peux pas, c’est déjà désigné.
- (Damien) De toute façon ce ne peut être que « Thom » parce que vous vous êtes mes frangins.
- (Guillaume) Pas tous !!
- (Damien me regarde) Non !! C’est toi Florian ? Je n’y crois pas !! (Il relève son bassin) Ça me fait chaud !! Regarde il y a la bête qui commence à réagir.
Je m’approche de lui et doucement je lui caresse le sexe à travers le caleçon, ce n’est pas du chiqué car le petit salopard bande déjà comme un poney.
- Putain le salaud !! Il est déjà tout raide !!
Je lui sors l’attirail par la fente du caleçon et je m’écarte un peu de lui pour que les autres voient bien dans quel état d’excitation avancée il est déjà, je retourne vers Damien et commence doucement à le caresser.
Son sexe grossit encore davantage et son gland se décalotte tout seul, quelques gouttes de sperme s’échappent du méat et nous prouvent qu’il est dans un état suffisamment avancé pour la suite de notre plan.
Je le manipule encore un moment en faisant attention à ne pas le faire partir car ce n’est pas vraiment le but, le salaud se régale et n’a aucune honte de se faire masturber devant tout le monde.
Quand j’arrête mes manipulations, il ouvre grand les yeux.
- Hé !! Ne t’arrête pas !! Ça allait venir !!
- Excuse-moi mais mon tour est terminé, maintenant c’est à d’autres de prendre la relève.
Damien le sexe tout baveux tendu à mort.
- Vas-y « Thom » !! Viens me secouer la bête, avec toi il y en a pour deux secondes Hi ! Hi !
Guillaume s’approche alors tout sourire devant la tête de Damien surpris qui croit mordicus que c’est lui qui va reprendre les choses en mains, c’est quand il le voit sortir de derrière son dos le pot de confiture qu’il commence à se poser réellement des questions.
Guillaume ouvre le pot et avec deux doigts en couvre entièrement le sexe de son petit frère, faisant bien le tour sans oublié les deux orphelines.
Damien amusé car croyant comprendre.
- Je te savais gourmand frangin mais alors là chapeau !!
Thom et moi, nous reprenons « Tic » et « Tac » et nous les déposons sur le lit.
- (Je leur dis en riant) Allez les gars régalez-vous Hi ! Hi !
Damien ouvre de grands yeux affolés.
- Putain les mecs !! Arrêter vos conneries !! Ils vont me bouffer la queue !!
Les deux chats s’approche du bas-ventre de Damien et le renifle d’abord en se léchant les babines, en faisant ça leurs poils de moustaches frôlent le gland du garçon qui se tend en gloussant.
- Bordel !! Ça chatouille Hi ! Hi ! Virez-les de là Hi ! Hi !
Bien sûr nous n’en faisant rien bien au contraire, les contorsions de Damien nous éclatant un maximum.
Tac commence à lécher doucement la confiture sur le sexe toujours dressé, Tic imite son frère et lèche l’entrejambe du jeune queutard.
Le contact des petites langues gourmandes tétanise le garçon qui en ferme les yeux tellement il trouve ça bon, la langue de Tac atteint le gland au moment ou celle de Tic effleure légèrement l’anneau de Damien recouvert par une coulure de confiture de fraise.
La double sensation est trop forte pour le jeune homme toujours pieds et poings liés aux montants du lit, un long râle s’échappe de sa gorge quand il s’arc-boute et qu’il prend un pied formidable, son sperme partant en une magnifique arabesque atteindre son visage convulsé par l’orgasme.
Nous le regardons hébétés car nous ne nous attendions pas du tout à ça, tout s’est déroulé si vite que la surprise a été totale.
Nous pensions qu’il ne résisterait pas aux chatouilles et qu’il subirait le supplice jusqu’au bout, mais de le voir prendre un tel plaisir et si rapidement laisse à penser que soit nous l’avions mené avec nos attouchements trop près de la délivrance, soit les petites langues des siamois ont eu un effet défiant toute concurrence.
Guillaume regarde le pot de confiture avec les yeux brillants, Aurélien surprend son regard et se moque de lui.
- Ça te donne des idées frangin ?
- Bah !! Un peu oui !! Tu as vu ça ?
Regardant son jeune frère encore amorphe.
- Dis donc « Dami » ? J’ai l’impression que ça t’a fait du bien pas vrai ?
Damien en se tortillant comme un ver.
- Pas qu’un peu Hi ! Hi ! Mais maintenant Hi ! Hi ! Retirez les Hi ! Hi ! Ça chatouille trop Hi ! Hi !
- (Thomas) En fait c’était ça ton supplice, le reste n’était pas du tout prévu. T’es vraiment un sacré queutard, ça te manquait tant que ça donc ?
- (Damien mort de rire) C’est bon les gars Hi ! Hi ! Arrêtez les Hi ! Hi !
Aurélien s’étonne qu’avec un tel bordel ses parents ne viennent pas voir ce qu’il se passe, il regarde son petit frère qui est devenu cramoisi sous les chatouilles et décide qu’il est temps d’arrêter.
- « Tic » « Tac » !! Allez ça suffit maintenant !! Venez ici ? « Flo » reprends les, je crois que c’est suffisant.
Nous reprenons avec Thomas les deux matous qui se pourlèchent encore les babines, Guillaume remballe l’attirail redevenu au repos de son petit frère dans son caleçon.
Après y avoir mis gentiment un coup de lingette sur le corps et le visage pour le nettoyer des traces « suspectes » dont il était recouvert, il sort de la chambre précédé par « Aurel » et « Thom » me laissant seul avec Damien.
En lui faisant un clin d’œil coquin.
- Tu t’en sors bien sur ce coup-là « Dami »
Damien redevenu plus calme.
- Tu trouves ? Ce serait encore mieux si tu me détachais ?
Je vérifie ses liens, ceux-ci lui laissant suffisamment de mobilité pour pouvoir dormir sans en être réellement gêné, je lui souris et après un bisou sur le front et une petite caresse flatteuse sur le caleçon, je vais pour quitter la pièce sans une parole de plus et j’éteins la lumière avant de sortir.
Une fois dans la chambre d’Aurélien, je m’allonge dans le lit près de Thomas et je reste soudain songeur.
Un truc me dérange et je n’arrive pas à mettre le doigt dessus ce qui a le don de m’énerver encore plus.
Thomas en me voyant soucieux.
- Qu’est-ce que tu as ? Tu en fais une tête ?
2eme ANNEE Septembre : (24 / 70) (Nantes) (suite)
- (Marc tendu) Je ne vois pas en quoi c’est si surprenant père ?
- Votre propension à rejeter ce que vous êtes mon fils, mais arrêtons là cette joute verbale mal venue devant notre invité. Donc jeune homme je présume que vous suivez les mêmes études que notre fils ?
- (Aléxie) Pas du tout !! Je suis en terminale S à Orléans et j’espère après mon bac pouvoir suivre des études pour ensuite passer mon brevet de pilote de ligne sur gros-porteurs.
Jean Philippe sans changer l’intonation de sa voix.
- C’est pour une personne de votre rang sociale un très bon choix, vous cherchez à vous élever dans notre société ce qui n’est pas hélas le cas de tout le monde.
Marc prend la réflexion de plein fouet.
- Tout le monde ne souhaite pas vivre sur le travail des autres et je suis très fier de la voie que j’ai choisie père.
- (Jean Philippe une octave au-dessus) Il suffit !! Votre arrogance n’est pas tolérée dans cette demeure et vous le savez bien mon fils.
- (Marc énervé) Moi arrogant ?? Mais écoutez-vous donc parler !! Je suis venu ici parce que mon ami voulait vous connaître sachez le bien et pour aucune autre raison.
- (Anne Laure à Aléxie) Et pourquoi donc jeune homme teniez-vous tant à nous rendre visite.
Aléxie craque et sa colère n’a d’égale que le dédain qu’il ressent envers eux depuis qu’il est en leur présence, il s’approche de Marc et lui prend la main doucement mais en tremblant sous le regard totalement indifférent à son geste des deux adultes en face de lui.
- Juste que je voulais me faire une image plus précise sur les parents de mon ami, des parents qui ne prennent jamais de nouvelles de leur seul enfant et qui croient tout résoudre de leurs devoirs parentaux en lui envoyant un chèque mensuel qui suffit à peine à le faire vivre correctement alors qu’eux ne se privent de rien et passent tout leur précieux temps à se croire toujours possesseurs d’un titre qui n’a plus court depuis des lustres.
Marc essaie de réconforter son ami qui tremble de plus en plus et dont la voix s’éraille sous l’effet des paroles accusatrices qu’il prononce, il l’enlace tendrement par-derrière et pose sa tête sur son cou en lui murmurant à l’oreille des paroles censées le calmer.
- Ne t’énerve pas, tu vois bien que c’est peines perdues d’avance. Ils sont aussi froids que des serpents et se demandent pourquoi je ne veux pas leur ressembler.
- (Aléxie) J’ai envie de vomir, indique-moi où sont les toilettes s’il te plaît
Marc lui indique le chemin et le laisse aller se calmer et s’aérer l’esprit, la façon cinglante qu’il a eue de vilipender ses parents lui amène et ce bien que le moment soit très mal choisi, un grand sourire aux lèvres que ses géniteurs prennent en pleine figure quand il se retourne vers eux.
***/***
Arnault qui a tout suivi de la conversation caché derrière un énorme rideau du salon retrouve Aléxie dès qu’il sort de la pièce et l’attrape par le bras en l’entraînant un peu plus loin vers une salle d’eau où celui-ci va aussitôt se rafraîchir le visage au lavabo.
Arnault avec un grand sourire amical.
- Y a pas t’as des couilles mec !! Comment tu les as sabrés !! Mais c’est pas demain qu’ils vont se retirer le balai du cul tu sais ?
Aléxie retrouve le sourire mais comment faire autrement face à « Nono » ?
- Comment Marc a-t-il pu vivre dans un merdier pareil ?
- Avec eux tu veux dire ? Bah en fait il ne les voyait pas si souvent que ça, c’est avec mes darons et moi qu’il a été élevé. Les "De Shprouttes" n’étaient jamais là et nous sommes comme deux frangins avec le « fil de fer », enfin ex « fil de fer » je devrais plutôt dire.
- (Aléxie mort de rire) Les "De Shprouttes" Hi ! Hi ! C’est comme ça que tu les appelles ?
- Bah oui pourquoi ce n’est pas leurs noms ? Ils sont tellement imbus de leurs personnes que quand ils pètent ce doit être fait avec
Il fait une révérence et lâche une caisse bien sonore.
Prroouutt !!!!
- La « manière »
Aléxie n’en peut plus et se plie en deux.
- Hi ! Hi ! T’es con !! Mais bon c’est quand même du nom de Marc que tu te moques.
- (Arnault amusé) Mais justement !! C’est lui qui l’a trouvé il y a très longtemps quand nous étions encore moujingue.
- (Aléxie redevenant sérieux) Il était comment à cette époque ?
Arnault avec un sourire en coin.
- Maigre !!
- Non !! Sérieux Arnault, j’aimerais tellement en savoir plus sur lui. Il ne parle jamais d’ici tu sais ? Personne de ses amis à Reims ne savait qu’il était de la noblesse avec des parents super-friqués. Il y a même fallu que Florian participe à un jeu pour gagner suffisamment de tunes pour qu’il puisse se rhabiller.
- (Arnault choqué) C’est quoi cette histoire ? Il n’avait qu’à me prévenir et je lui aurais envoyé le fric dont il avait besoin.
- Il est trop fier, déjà qu’avec « Flo » ça a eu du mal à passer et pourtant si tu connaissais le loustic !!
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