08-08-2020, 11:44 AM
2eme ANNEE Septembre : (14 / 70) (Maxime la veille au soir)
L’opération de Mireille terminée, Maxime remet ses vêtements de ville et après avoir pris un bon café avec ses équipiers remonte dans sa voiture pour rentrer chez lui.
La fatigue de ses longues heures arrivant en complément d’une journée déjà bien chargée lui pique les yeux, heureusement que le trajet n’est pas très long pour retourner à son appartement et qu’il n’y a personne sur la route.
Il arrive donc assez rapidement chez lui et se gare avec un soupir de satisfaction, son lit n’attendant que lui pour passer un long moment de sommeil réparateur.
Il rentre dans son appartement et se dirige droit dans la salle de bains où il enlève ses vêtements en les laissant là où ils tombent, une douche rapide le revigore un peu et après s’être brossé les dents il va dans la cuisine pour boire un grand verre d’eau.
Il est nu car l’été n’est pas encore terminé et la chaleur de l’appartement est suffisante pour qu’il se sente bien ainsi, une fois le verre posé avec les autres dans l’évier il sourit satisfait de sa journée et se dirige tout droit dans sa chambre.
Comme il connaît parfaitement les lieux, pas besoin pour lui d’allumer la lumière et c’est dans le noir qu’il se dirige vers son lit.
C’est quand il déplace la couette et que Maxime commence à se glisser dessous que le garçon sursaute en constatant qu’il y a déjà quelqu’un dans son lit.
Bien sûr il ne se pose pas longtemps la question de savoir qui ça peut être car il n’y a qu’une personne qui possède un double de ses clés et c’est avec un énorme sourire de bonheur que le jeune homme vient se serrer tout contre le corps nu et chaud de son chéri.
Comme par miracle son envie de dormir disparaît, le contact de son ami lui déclenche une irrésistible envie de le caresser.
Sa main vient doucement se poser sur son ventre et le parcourt langoureusement, profitant du soyeux de sa peau comme d’une drogue.
Son visage s’approche de celui de Julien qui respire doucement et il commence à le couvrir de baisers de plus en plus chauds et appuyés, son intention n’étant pas de le laisser dormir mais bien qu’il se réveille afin de partager à deux un bon moment de retrouvaille.
La respiration de Julien s’accélère et son corps se love et s’imbrique encore plus contre celui de Maxime, la main de l’infirmier se fait plus ferme et descend vérifier si l’impression qu’il a de l’éveil de son ami est bien la bonne, elle rencontre en cours de route la chose qui pulse à son contact et déclenche un gémissement de bien être de la bouche sensuelle du futur jeune interne.
Les lèvres de Maxime partent alors cueillir celles toutes désirables de Julien et les deux garçons se donnent un baiser rempli de tendresse et d’affection.
- (Maxime d’une voix émue) Tu m’as manqué tu sais ?
- (Julien câlin) Et toi donc !! Mais je n’ai pas envie de parler là !! Du moins pas maintenant.
- (Maxime l’embrasse à nouveau) Ah oui ? Et de quoi tu as envie alors ?
- De toi !! Fais-moi l’amour « Max » !! Ça fait trop longtemps que j’y pense et je ne tiens plus, la preuve puisque je suis venu ce soir.
À ses paroles dites d’un ton si brûlant et implorant qu’il ne peut y résister plus longtemps, Maxime mêle sa langue à celle de son compagnon et son corps vient le recouvrir avec l’avidité de la jeunesse.
Les sexes tendus se frottent délicieusement, leurs corps frissonnent des sensations du plaisir intense de se sentir ainsi l’un contre l’autre.
Un long moment se passe ainsi jusqu’à ce qu’ils ressentent le besoin de plus, beaucoup plus et sans aucunes paroles Maxime se retourne et se positionne tête bêche au-dessus de Julien qui s’empresse de prendre avidement en bouche le sexe décalotté par leurs frottements précédents et tout humide de la liqueur sucrée qu’il avale avec délice.
Maxime de son côté en est au même point et s’active lui aussi sur le membre dressé de son ami, ça faisait si longtemps qu’ils en avaient envie que leurs mouvements deviennent frénétiques et que le point de non-retour arrive très vite, leur amenant un orgasme libérateur qui les fait se déverser chacun dans la gorge de l’autre.
Le plaisir qu’ils y prennent est puissant faisant se nouer les muscles de leurs corps en spasmes brefs et convulsifs, seul le bruit de gorge venant de chacun d’eux quand ils avalent avec gourmandise le fruit de leurs succions passionnées résonne dans la pièce.
Cela apparemment ne leur suffit pas car à peine les membres toujours raides nettoyés de toutes traces de la jouissance passée, l’envie les reprend et Maxime offre en se redressant sa rondelle aux bons soins de la bouche dévoreuse de Julien qui se régale cette fois-ci de l’autre facette qu’il aime tant et qu’il s’emploie à lubrifier ayant manifestement une idée particulière en tête.
Maxime est maintenant assis sur le visage de son ami et se laisse dévorer l’anus en écartant ses fesses le plus possible avec ses deux mains, des petits cris excités sortent de sa bouche et l’envie d’avoir en lui le magnifique bâton qu’il lui voit tressauter entre les jambes devient impérieuse.
Dans un mouvement souple, il vient s’asseoir dessus et s’empale à fond jusqu’à sentir ses bourses se poser sur la touffe de poils de son pubis.
Un petit moment d’arrêt pour se laisser le temps de reprendre un minimum le contrôle de ses sens puis il commence les allers retours rythmés qui lui envoient au cerveau des sensations de plaisirs extrêmes.
Julien se déchaîne et son bas-ventre se décolle à une vitesse de plus en plus rapide du lit, le haut des cuisses claque dans un rythme soutenu les fesses de Maxime qui commence à grimper dans des sommets de voluptés à se sentir saillir avec une telle puissance par son jeune mâle en rut.
Il prend son sexe en main et le branle maintenant avec frénésie voulant jouir en même temps que Julien dont il sent bien l’arrivée imminente de l’orgasme à la grosseur décuplée de son gland qui bute de plus en plus fort au plus profond de lui.
Une immense onde de chaleur lui prend les reins quand il sent son partenaire se bloquer en lui et y déverser sa gourme en haletant, une dernière secousse sur son sexe le fait se pâmer et jouir en tremblant de tout son corps.
Le fruit de son plaisir se répand en saccades brèves mais puissantes sur le torse et le cou de Maxime, celui-ci sent le liquide chaud l’atteindre et pousse un grognement de contentement.
Son corps s’affaisse alors, vidé de toute force après cette deuxième jouissance qui cette fois-ci le calme pour un temps.
Maxime se soulève afin de libérer le sexe qui vient de lui procurer autant de plaisir et vient s’allonger à côté de Julien les deux mains derrière la tête et les yeux fermés.
- Plus jamais tu restes si longtemps loin de moi tu m’entends ?
…….
Maxime étonné tourne son visage vers celui de son ami et constate en souriant avec tendresse que celui-ci s’est endormi.
2eme ANNEE Septembre : (15 / 70) (Paris)
Maurice est surpris de cette demande expresse d’entretien venant de la part de Léonie, la jeune femme ne l’ayant pas habitué à autant d’empressement dans ses précédents contacts avec lui.
Il lui a donc accordé ce rendez-vous en se demandant quand même ce qui motive ainsi la jeune lieutenante.
Léonie est rongée par les remords depuis ce coup de téléphone qu’elle a passé, la honte d’avoir trahi ses collègues mais surtout Florian l’amène depuis vers une dépression dont elle n’arrive pas à se sortir.
Elle était là quand Florian a pris le petit Ludovic à part et que suivit par Flavien, il a donné ses conseils de prudence au petit garçon.
Elle allait s’en retourner quand une phrase prononcée par le jeune rouquin l’a scotchée sur place, avide d’entendre la suite et se rendant compte des implications de sa découverte.
Quand elle l’a entendu parler de l’opération et de « l’activation d’une zone cérébrale » du gamin qui le fait devenir de jour en jour plus intelligent, elle n’a pu tenir sa langue devant l’implication que ça pourrait avoir sur d’autres personnes.
Maintenant elle regrette profondément son impulsivité qui l’a conduite à faire ce rapport auprès de sa hiérarchie, Camille se doute depuis ce temps-là qu’elle traîne avec elle un truc pas net mais n’a pas osé lui poser la question et commence à se détacher d’elle petit à petit elle le sent bien.
Jamais son amie lui pardonnera c’est sûr et en demandant cet entretien, elle veut se libérer de cette chape de honte qui lui noue l’estomac en même temps que lui donner sa démission.
La lettre est prête à être remise en main propre après les aveux qu’elle compte faire sur ses actes passés dont elle commence seulement à en mesurer les conséquences.
Maurice la voit entrer et remarque tout de suite la gravité de son visage, il la prie poliment de s’asseoir et attend avec impatience qu’elle prenne la parole.
Voyant bien qu’elle hésite et devient de plus en plus nerveuse, il décide donc de lui demander ce qui l’amène ici de si important pour qu’elle en soit toute retournée.
- Qu’est-ce qu’il se passe lieutenant ?
- ……………
- (Maurice étonné de son mutisme) C’est vous qui avez demandé cet entretien alors j’attends vos explications.
Les larmes commencent à rouler sur les joues de la jeune femme faisant hausser les sourcils de son patron, celui-ci commence à comprendre qu’il ne va pas être aisé pour elle de dire ce qu’elle a à dire et il décide de prendre plus de précautions dans ses paroles.
- Allons !! C’est si important que ça ?
- J’ai….fait…une…grosse bêtise, enfin si on peut appeler ça comme ça.
- Hum !!! Dans quel genre d’histoire vous êtes-vous mise ?
Léonie regarde l’homme en face d’elle.
- Je vous ai trahi !!
- (Maurice sursaute) Comment ça trahi ?
- Je travaille pour monsieur Delfosse !!
Maurice se relève d’un bon.
- Quoi !!! Mais c’est impossible !! J’ai vérifié moi-même vos antécédents.
- Des faux pour que je puisse participer à cette mission.
- Mais enfin !! Pourquoi ? Et que savez-vous au juste ? Et surtout pourquoi venir maintenant m’en parler ?
Léonie décide de tout avouer.
- Ce que je sais ? Pas grand-chose en fait, juste qu’il était étonné de votre choix de prendre des jeunes sortis de l’école pour mener à bien cette mission. Il a trouvé ça louche et il m’a infiltrée dans l’équipe grâce à un faux dossier monté de toutes pièces ou presque car je travaillais déjà pour lui.
Léonie explique ensuite tout ce qu’elle a appris et surtout ce qu’elle a révélé aux Renseignements Généraux dont Jean Delfosse en est le patron, comme lui celui de la DST.
Au fur et à mesure des explications qu’elle lui donne, Maurice respire un peu mieux car ça reste dans l’explicable sans entrer comme il l’a craint d’abord dans l’extraordinaire du secret de Florian.
Voulant tester son idée.
- C’est un coup de chance pour le jeune garçon qui s’est fait opérer, rien ne dit dans votre résumé que c’est une action volontaire de la part du jeune Florian et qu’il serait capable de la renouveler. Maintenant c’est sûr qu’un première année de médecine qui réalise ce genre d’opération ne va pas dans l’envie que j’avais de préserver Florian, pourquoi ce coup de téléphone alors que vous n’aviez rien dit jusque-là ? Vous vous rendez compte que vous avez trahi la confiance de ceux que vous considériez comme des amis ?
Léonie repart en larmes.
- Je m’en veux mais c’est trop tard maintenant (Elle sort l’enveloppe de son sac) Je vais aussitôt sorti de votre bureau donner officiellement ma démission et vous n’entendrez plus parler de moi je vous le promets. Mais !! Qu’allez-vous faire maintenant ? S’il est encore temps de faire quelque chose bien sûr !!
- (Maurice avec rudesse) Ça ne vous regarde plus !! Mais sachez jeune femme que si je suis arrivé à un tel poste ce n’est pas en faisant du tricot, maintenant je vous remercie de bien vouloir quitter mon bureau et de ne plus me faire entendre parler de vous et ne vous avisez plus à chercher un emploi dans l’administration quelle qu’elle soit car je ferai en sorte que ça ne se produise pas.
Il attend les traits durs et tirés que Léonie soit partie pour froncer les sourcils et ouvrir son coffre-fort scellé dans un des murs de la pièce, il l’ouvre et cherche un dossier qu’il trouve rapidement.
Maurice le prend et retourne s’asseoir à son bureau puis relit le dossier avec un sourire de plus en plus prononcé aux lèvres.
Quand il a fini de le parcourir, il referme le dossier et en ricanant de satisfaction va le remettre dans le coffre et refermer celui-ci.
- (Maurice se parlant à lui-même) Ah mon cher Jean !! Tu as voulu te la jouer à mes dépens mais tu ne t’attends certainement pas à ce qu’il va t’arriver si tu ne fais pas exactement ce que je te demande de faire. J’ai eu le nez creux en gardant ça secret et je me doutais bien que ça me serait utile un jour.
Il retourne tout excité à son bureau et prend son téléphone, quelques secondes d’attentes puis.
- Jean ?? C’est Maurice !!!
- ……..
- C’est au sujet d’un dossier que tu aurais entre les mains et que t’aurait rapporté ton agent infiltré dans une de mes équipes.
- ………………………………….
- Je te conseille de venir très vite me le remettre sinon !!!
- ………………
- Des menaces ? Non !! Tu crois ??
- …………….
- L’île de Ré ? Juin mille neuf cent quatre-vingt-quinze ? Ça ne te rappelle rien ?
- ………………..
- Ha ! Ha ! Ha ! Bien sûr que j’ai des preuves !! Réfléchis bien à ce que tu vas faire de ton rapport, si demain midi il n’est pas à côté de toi en face de moi dans mon bureau et bien nous verrons bien ce qu’il arrivera et qui ramassera l’autre.
- ……………..
- En tous les cas tu es prévenu et relis bien ce que tu as entre les mains, m’est avis qu’il n’y a pas grand-chose et qu’en plus il te faudra encore le prouver
- …………………
- Et oui !!! J’avais tout gardé au cas où et j’ai eu bien fait apparemment, bon !! J’ai du travail honnête moi !!! Je t’attends comme prévu !! Bye !!
Maurice raccroche sèchement.
- Pauvre mec !! Comment as-tu pu arriver à un poste pareil !!! Pff !!! Je me le demande !!!
L’opération de Mireille terminée, Maxime remet ses vêtements de ville et après avoir pris un bon café avec ses équipiers remonte dans sa voiture pour rentrer chez lui.
La fatigue de ses longues heures arrivant en complément d’une journée déjà bien chargée lui pique les yeux, heureusement que le trajet n’est pas très long pour retourner à son appartement et qu’il n’y a personne sur la route.
Il arrive donc assez rapidement chez lui et se gare avec un soupir de satisfaction, son lit n’attendant que lui pour passer un long moment de sommeil réparateur.
Il rentre dans son appartement et se dirige droit dans la salle de bains où il enlève ses vêtements en les laissant là où ils tombent, une douche rapide le revigore un peu et après s’être brossé les dents il va dans la cuisine pour boire un grand verre d’eau.
Il est nu car l’été n’est pas encore terminé et la chaleur de l’appartement est suffisante pour qu’il se sente bien ainsi, une fois le verre posé avec les autres dans l’évier il sourit satisfait de sa journée et se dirige tout droit dans sa chambre.
Comme il connaît parfaitement les lieux, pas besoin pour lui d’allumer la lumière et c’est dans le noir qu’il se dirige vers son lit.
C’est quand il déplace la couette et que Maxime commence à se glisser dessous que le garçon sursaute en constatant qu’il y a déjà quelqu’un dans son lit.
Bien sûr il ne se pose pas longtemps la question de savoir qui ça peut être car il n’y a qu’une personne qui possède un double de ses clés et c’est avec un énorme sourire de bonheur que le jeune homme vient se serrer tout contre le corps nu et chaud de son chéri.
Comme par miracle son envie de dormir disparaît, le contact de son ami lui déclenche une irrésistible envie de le caresser.
Sa main vient doucement se poser sur son ventre et le parcourt langoureusement, profitant du soyeux de sa peau comme d’une drogue.
Son visage s’approche de celui de Julien qui respire doucement et il commence à le couvrir de baisers de plus en plus chauds et appuyés, son intention n’étant pas de le laisser dormir mais bien qu’il se réveille afin de partager à deux un bon moment de retrouvaille.
La respiration de Julien s’accélère et son corps se love et s’imbrique encore plus contre celui de Maxime, la main de l’infirmier se fait plus ferme et descend vérifier si l’impression qu’il a de l’éveil de son ami est bien la bonne, elle rencontre en cours de route la chose qui pulse à son contact et déclenche un gémissement de bien être de la bouche sensuelle du futur jeune interne.
Les lèvres de Maxime partent alors cueillir celles toutes désirables de Julien et les deux garçons se donnent un baiser rempli de tendresse et d’affection.
- (Maxime d’une voix émue) Tu m’as manqué tu sais ?
- (Julien câlin) Et toi donc !! Mais je n’ai pas envie de parler là !! Du moins pas maintenant.
- (Maxime l’embrasse à nouveau) Ah oui ? Et de quoi tu as envie alors ?
- De toi !! Fais-moi l’amour « Max » !! Ça fait trop longtemps que j’y pense et je ne tiens plus, la preuve puisque je suis venu ce soir.
À ses paroles dites d’un ton si brûlant et implorant qu’il ne peut y résister plus longtemps, Maxime mêle sa langue à celle de son compagnon et son corps vient le recouvrir avec l’avidité de la jeunesse.
Les sexes tendus se frottent délicieusement, leurs corps frissonnent des sensations du plaisir intense de se sentir ainsi l’un contre l’autre.
Un long moment se passe ainsi jusqu’à ce qu’ils ressentent le besoin de plus, beaucoup plus et sans aucunes paroles Maxime se retourne et se positionne tête bêche au-dessus de Julien qui s’empresse de prendre avidement en bouche le sexe décalotté par leurs frottements précédents et tout humide de la liqueur sucrée qu’il avale avec délice.
Maxime de son côté en est au même point et s’active lui aussi sur le membre dressé de son ami, ça faisait si longtemps qu’ils en avaient envie que leurs mouvements deviennent frénétiques et que le point de non-retour arrive très vite, leur amenant un orgasme libérateur qui les fait se déverser chacun dans la gorge de l’autre.
Le plaisir qu’ils y prennent est puissant faisant se nouer les muscles de leurs corps en spasmes brefs et convulsifs, seul le bruit de gorge venant de chacun d’eux quand ils avalent avec gourmandise le fruit de leurs succions passionnées résonne dans la pièce.
Cela apparemment ne leur suffit pas car à peine les membres toujours raides nettoyés de toutes traces de la jouissance passée, l’envie les reprend et Maxime offre en se redressant sa rondelle aux bons soins de la bouche dévoreuse de Julien qui se régale cette fois-ci de l’autre facette qu’il aime tant et qu’il s’emploie à lubrifier ayant manifestement une idée particulière en tête.
Maxime est maintenant assis sur le visage de son ami et se laisse dévorer l’anus en écartant ses fesses le plus possible avec ses deux mains, des petits cris excités sortent de sa bouche et l’envie d’avoir en lui le magnifique bâton qu’il lui voit tressauter entre les jambes devient impérieuse.
Dans un mouvement souple, il vient s’asseoir dessus et s’empale à fond jusqu’à sentir ses bourses se poser sur la touffe de poils de son pubis.
Un petit moment d’arrêt pour se laisser le temps de reprendre un minimum le contrôle de ses sens puis il commence les allers retours rythmés qui lui envoient au cerveau des sensations de plaisirs extrêmes.
Julien se déchaîne et son bas-ventre se décolle à une vitesse de plus en plus rapide du lit, le haut des cuisses claque dans un rythme soutenu les fesses de Maxime qui commence à grimper dans des sommets de voluptés à se sentir saillir avec une telle puissance par son jeune mâle en rut.
Il prend son sexe en main et le branle maintenant avec frénésie voulant jouir en même temps que Julien dont il sent bien l’arrivée imminente de l’orgasme à la grosseur décuplée de son gland qui bute de plus en plus fort au plus profond de lui.
Une immense onde de chaleur lui prend les reins quand il sent son partenaire se bloquer en lui et y déverser sa gourme en haletant, une dernière secousse sur son sexe le fait se pâmer et jouir en tremblant de tout son corps.
Le fruit de son plaisir se répand en saccades brèves mais puissantes sur le torse et le cou de Maxime, celui-ci sent le liquide chaud l’atteindre et pousse un grognement de contentement.
Son corps s’affaisse alors, vidé de toute force après cette deuxième jouissance qui cette fois-ci le calme pour un temps.
Maxime se soulève afin de libérer le sexe qui vient de lui procurer autant de plaisir et vient s’allonger à côté de Julien les deux mains derrière la tête et les yeux fermés.
- Plus jamais tu restes si longtemps loin de moi tu m’entends ?
…….
Maxime étonné tourne son visage vers celui de son ami et constate en souriant avec tendresse que celui-ci s’est endormi.
2eme ANNEE Septembre : (15 / 70) (Paris)
Maurice est surpris de cette demande expresse d’entretien venant de la part de Léonie, la jeune femme ne l’ayant pas habitué à autant d’empressement dans ses précédents contacts avec lui.
Il lui a donc accordé ce rendez-vous en se demandant quand même ce qui motive ainsi la jeune lieutenante.
Léonie est rongée par les remords depuis ce coup de téléphone qu’elle a passé, la honte d’avoir trahi ses collègues mais surtout Florian l’amène depuis vers une dépression dont elle n’arrive pas à se sortir.
Elle était là quand Florian a pris le petit Ludovic à part et que suivit par Flavien, il a donné ses conseils de prudence au petit garçon.
Elle allait s’en retourner quand une phrase prononcée par le jeune rouquin l’a scotchée sur place, avide d’entendre la suite et se rendant compte des implications de sa découverte.
Quand elle l’a entendu parler de l’opération et de « l’activation d’une zone cérébrale » du gamin qui le fait devenir de jour en jour plus intelligent, elle n’a pu tenir sa langue devant l’implication que ça pourrait avoir sur d’autres personnes.
Maintenant elle regrette profondément son impulsivité qui l’a conduite à faire ce rapport auprès de sa hiérarchie, Camille se doute depuis ce temps-là qu’elle traîne avec elle un truc pas net mais n’a pas osé lui poser la question et commence à se détacher d’elle petit à petit elle le sent bien.
Jamais son amie lui pardonnera c’est sûr et en demandant cet entretien, elle veut se libérer de cette chape de honte qui lui noue l’estomac en même temps que lui donner sa démission.
La lettre est prête à être remise en main propre après les aveux qu’elle compte faire sur ses actes passés dont elle commence seulement à en mesurer les conséquences.
Maurice la voit entrer et remarque tout de suite la gravité de son visage, il la prie poliment de s’asseoir et attend avec impatience qu’elle prenne la parole.
Voyant bien qu’elle hésite et devient de plus en plus nerveuse, il décide donc de lui demander ce qui l’amène ici de si important pour qu’elle en soit toute retournée.
- Qu’est-ce qu’il se passe lieutenant ?
- ……………
- (Maurice étonné de son mutisme) C’est vous qui avez demandé cet entretien alors j’attends vos explications.
Les larmes commencent à rouler sur les joues de la jeune femme faisant hausser les sourcils de son patron, celui-ci commence à comprendre qu’il ne va pas être aisé pour elle de dire ce qu’elle a à dire et il décide de prendre plus de précautions dans ses paroles.
- Allons !! C’est si important que ça ?
- J’ai….fait…une…grosse bêtise, enfin si on peut appeler ça comme ça.
- Hum !!! Dans quel genre d’histoire vous êtes-vous mise ?
Léonie regarde l’homme en face d’elle.
- Je vous ai trahi !!
- (Maurice sursaute) Comment ça trahi ?
- Je travaille pour monsieur Delfosse !!
Maurice se relève d’un bon.
- Quoi !!! Mais c’est impossible !! J’ai vérifié moi-même vos antécédents.
- Des faux pour que je puisse participer à cette mission.
- Mais enfin !! Pourquoi ? Et que savez-vous au juste ? Et surtout pourquoi venir maintenant m’en parler ?
Léonie décide de tout avouer.
- Ce que je sais ? Pas grand-chose en fait, juste qu’il était étonné de votre choix de prendre des jeunes sortis de l’école pour mener à bien cette mission. Il a trouvé ça louche et il m’a infiltrée dans l’équipe grâce à un faux dossier monté de toutes pièces ou presque car je travaillais déjà pour lui.
Léonie explique ensuite tout ce qu’elle a appris et surtout ce qu’elle a révélé aux Renseignements Généraux dont Jean Delfosse en est le patron, comme lui celui de la DST.
Au fur et à mesure des explications qu’elle lui donne, Maurice respire un peu mieux car ça reste dans l’explicable sans entrer comme il l’a craint d’abord dans l’extraordinaire du secret de Florian.
Voulant tester son idée.
- C’est un coup de chance pour le jeune garçon qui s’est fait opérer, rien ne dit dans votre résumé que c’est une action volontaire de la part du jeune Florian et qu’il serait capable de la renouveler. Maintenant c’est sûr qu’un première année de médecine qui réalise ce genre d’opération ne va pas dans l’envie que j’avais de préserver Florian, pourquoi ce coup de téléphone alors que vous n’aviez rien dit jusque-là ? Vous vous rendez compte que vous avez trahi la confiance de ceux que vous considériez comme des amis ?
Léonie repart en larmes.
- Je m’en veux mais c’est trop tard maintenant (Elle sort l’enveloppe de son sac) Je vais aussitôt sorti de votre bureau donner officiellement ma démission et vous n’entendrez plus parler de moi je vous le promets. Mais !! Qu’allez-vous faire maintenant ? S’il est encore temps de faire quelque chose bien sûr !!
- (Maurice avec rudesse) Ça ne vous regarde plus !! Mais sachez jeune femme que si je suis arrivé à un tel poste ce n’est pas en faisant du tricot, maintenant je vous remercie de bien vouloir quitter mon bureau et de ne plus me faire entendre parler de vous et ne vous avisez plus à chercher un emploi dans l’administration quelle qu’elle soit car je ferai en sorte que ça ne se produise pas.
Il attend les traits durs et tirés que Léonie soit partie pour froncer les sourcils et ouvrir son coffre-fort scellé dans un des murs de la pièce, il l’ouvre et cherche un dossier qu’il trouve rapidement.
Maurice le prend et retourne s’asseoir à son bureau puis relit le dossier avec un sourire de plus en plus prononcé aux lèvres.
Quand il a fini de le parcourir, il referme le dossier et en ricanant de satisfaction va le remettre dans le coffre et refermer celui-ci.
- (Maurice se parlant à lui-même) Ah mon cher Jean !! Tu as voulu te la jouer à mes dépens mais tu ne t’attends certainement pas à ce qu’il va t’arriver si tu ne fais pas exactement ce que je te demande de faire. J’ai eu le nez creux en gardant ça secret et je me doutais bien que ça me serait utile un jour.
Il retourne tout excité à son bureau et prend son téléphone, quelques secondes d’attentes puis.
- Jean ?? C’est Maurice !!!
- ……..
- C’est au sujet d’un dossier que tu aurais entre les mains et que t’aurait rapporté ton agent infiltré dans une de mes équipes.
- ………………………………….
- Je te conseille de venir très vite me le remettre sinon !!!
- ………………
- Des menaces ? Non !! Tu crois ??
- …………….
- L’île de Ré ? Juin mille neuf cent quatre-vingt-quinze ? Ça ne te rappelle rien ?
- ………………..
- Ha ! Ha ! Ha ! Bien sûr que j’ai des preuves !! Réfléchis bien à ce que tu vas faire de ton rapport, si demain midi il n’est pas à côté de toi en face de moi dans mon bureau et bien nous verrons bien ce qu’il arrivera et qui ramassera l’autre.
- ……………..
- En tous les cas tu es prévenu et relis bien ce que tu as entre les mains, m’est avis qu’il n’y a pas grand-chose et qu’en plus il te faudra encore le prouver
- …………………
- Et oui !!! J’avais tout gardé au cas où et j’ai eu bien fait apparemment, bon !! J’ai du travail honnête moi !!! Je t’attends comme prévu !! Bye !!
Maurice raccroche sèchement.
- Pauvre mec !! Comment as-tu pu arriver à un poste pareil !!! Pff !!! Je me le demande !!!
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https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
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