19-02-2022, 08:44 AM
Épisode 9
Le reste de l’après-midi, je restais à la maison pour me reposer. Je passais du temps à jouer à la console et à traîner sur les réseaux sociaux. Je n’étais pas un influenceur, loin de là, mais il m’arrivait de poster quelques photos ou vidéos. En surfant sur Instagram, je reçu une demande d’abonnement à mon compte. C’était Rudy. L’humain étant curieux par nature et je ne faisais pas exception à la règle, j’acceptai sa demande pour en connaître un peu plus sur la vie de mon collègue.
Sur son compte, il n’y avait que des photos de lui. Il en publiait environ trois à quatre par semaine. Elles étaient pratiquement toutes prises à Saint Lô et on voyait soit des photos d’évènements soit de lui uniquement. Jamais on ne voyait d’amis ou d’autres personnes. A chaque fois qu’il apparaissait sur le réseau social, il était très souvent torse-nu. De toute évidence, il mettait son corps en avant et il pouvait se le permettre. Il était beau. C’était un peu étrange de dire ça pour un mec, mais c’était vrai. Je le trouvais réellement beau et bien fichu.
Je passais plusieurs secondes sur chaque photo pour l’analyser. Plus les images défilaient, plus j’en étais émoustillé. Ce fut à ce moment-là que je me rendis compte que je devais être bisexuel, car la vision de ses différents clichés fit gonfler de plus en plus mon pénis. Mais après tout, j’étais assez ouvert pour l’accepter.
Ne m’étant pas soulagé depuis deux jours, ce qui est plutôt inhabituel pour moi qui étais accoutumé à des masturbations quotidiennes, je me soumis à mon désir de me branler. Je fermai la porte de la chambre, descendu mon pantalon et mon caleçon à mes pieds. Je commençais par me caresser de la poitrine jusqu’à mon membre raidi tout en sélectionnant la photo de Rudy qui me plaisait et m’attirait le plus. Je choisis une image où il semblait être dans la salle de bain, en train de se prendre en photo dans le miroir. Il ne portait qu’une serviette de bain blanche à rayures noires. Je commençais à me branler tout en scrutant mon écran de téléphone. Rudy n'avait pas une once de gras. Ses pectoraux et ses abdominaux étaient superbement bien dessinés sans être celui d’un bodybuilder. Chaque abdominaux était bien visible et cela lui faisait une véritable « tablette de chocolat ». Une fine bande de poils s’étendait de son nombril jusqu’à la serviette.
Le miroir dans lequel il se photographiait était assez grand pour entrevoir une partie de la salle de bain. On pouvait y voir un lavabo blanc avec sur le côté deux brosses à dents, dentifrice, cire pour cheveux, déodorant masculin et un nécessaire de rasage. Malgré un éclairage focalisé sur la glace, je devinais une baignoire dans le fond de la pièce avec un rideau gris clair. Une petite fenêtre était placée au-dessus de la baignoire.
Je retournai sur le corps de Rudy et me regard fut attiré sur la serviette. J’apercevais un relief à l’aplomb de son nombril. Sans trop de doute, je devinais qu’il s’agissait de son sexe. Malgré mon inspection minutieuse, je n’arrivais pas bien à en définir les contours nets en raison de l’épaisseur du coton.
Quoique je pense de mon collègue, mon inconscient me faisait bien sentir que j’étais attiré physiquement et sexuellement par cet homme. Mon corps me le prouvait bien car je sentais l’orgasme monter en moi. Je fermais les yeux et je conclus mon plaisir intime par cinq jets blancs jaillissants de mon pénis venant s’étaler sur tout mon buste. Je sentais encore des gouttes de sperme couler le long de ma verge s’entremêlant à mes doigts qui tenaient toujours ma verge.
Il me fallut quelques instants pour reprendre mes esprits. Je pris une boite de mouchoirs et j’ai dû en utiliser près d’une demie-dizaine pour absorber tout l’éjaculat.
Le reste de la journée, je le passais à me reposer puis elle finit vers 21h30, l’heure de mon coucher.
Le reste de l’après-midi, je restais à la maison pour me reposer. Je passais du temps à jouer à la console et à traîner sur les réseaux sociaux. Je n’étais pas un influenceur, loin de là, mais il m’arrivait de poster quelques photos ou vidéos. En surfant sur Instagram, je reçu une demande d’abonnement à mon compte. C’était Rudy. L’humain étant curieux par nature et je ne faisais pas exception à la règle, j’acceptai sa demande pour en connaître un peu plus sur la vie de mon collègue.
Sur son compte, il n’y avait que des photos de lui. Il en publiait environ trois à quatre par semaine. Elles étaient pratiquement toutes prises à Saint Lô et on voyait soit des photos d’évènements soit de lui uniquement. Jamais on ne voyait d’amis ou d’autres personnes. A chaque fois qu’il apparaissait sur le réseau social, il était très souvent torse-nu. De toute évidence, il mettait son corps en avant et il pouvait se le permettre. Il était beau. C’était un peu étrange de dire ça pour un mec, mais c’était vrai. Je le trouvais réellement beau et bien fichu.
Je passais plusieurs secondes sur chaque photo pour l’analyser. Plus les images défilaient, plus j’en étais émoustillé. Ce fut à ce moment-là que je me rendis compte que je devais être bisexuel, car la vision de ses différents clichés fit gonfler de plus en plus mon pénis. Mais après tout, j’étais assez ouvert pour l’accepter.
Ne m’étant pas soulagé depuis deux jours, ce qui est plutôt inhabituel pour moi qui étais accoutumé à des masturbations quotidiennes, je me soumis à mon désir de me branler. Je fermai la porte de la chambre, descendu mon pantalon et mon caleçon à mes pieds. Je commençais par me caresser de la poitrine jusqu’à mon membre raidi tout en sélectionnant la photo de Rudy qui me plaisait et m’attirait le plus. Je choisis une image où il semblait être dans la salle de bain, en train de se prendre en photo dans le miroir. Il ne portait qu’une serviette de bain blanche à rayures noires. Je commençais à me branler tout en scrutant mon écran de téléphone. Rudy n'avait pas une once de gras. Ses pectoraux et ses abdominaux étaient superbement bien dessinés sans être celui d’un bodybuilder. Chaque abdominaux était bien visible et cela lui faisait une véritable « tablette de chocolat ». Une fine bande de poils s’étendait de son nombril jusqu’à la serviette.
Le miroir dans lequel il se photographiait était assez grand pour entrevoir une partie de la salle de bain. On pouvait y voir un lavabo blanc avec sur le côté deux brosses à dents, dentifrice, cire pour cheveux, déodorant masculin et un nécessaire de rasage. Malgré un éclairage focalisé sur la glace, je devinais une baignoire dans le fond de la pièce avec un rideau gris clair. Une petite fenêtre était placée au-dessus de la baignoire.
Je retournai sur le corps de Rudy et me regard fut attiré sur la serviette. J’apercevais un relief à l’aplomb de son nombril. Sans trop de doute, je devinais qu’il s’agissait de son sexe. Malgré mon inspection minutieuse, je n’arrivais pas bien à en définir les contours nets en raison de l’épaisseur du coton.
Quoique je pense de mon collègue, mon inconscient me faisait bien sentir que j’étais attiré physiquement et sexuellement par cet homme. Mon corps me le prouvait bien car je sentais l’orgasme monter en moi. Je fermais les yeux et je conclus mon plaisir intime par cinq jets blancs jaillissants de mon pénis venant s’étaler sur tout mon buste. Je sentais encore des gouttes de sperme couler le long de ma verge s’entremêlant à mes doigts qui tenaient toujours ma verge.
Il me fallut quelques instants pour reprendre mes esprits. Je pris une boite de mouchoirs et j’ai dû en utiliser près d’une demie-dizaine pour absorber tout l’éjaculat.
Le reste de la journée, je le passais à me reposer puis elle finit vers 21h30, l’heure de mon coucher.