18-02-2022, 10:12 AM
Je n’en reviens pas, c’est déjà vendredi fin d’après-midi, soit la fin des cours. Je rentre à la maison en bus. J’arrive et je vois que Jean m’attend. C’est une habitude chez lui, il aime bien me voir quand je rentre après une journée d’école. Nous nous faisons la bise. Il voit que je suis en forme, bien qu’un peu fatigué après cette journée. Nous prenons notre goûter ensemble dans la cuisine. Je parle de ma journée, de mes cours, de mes profs etc. Jean fait de même. C’est devenu comme un rituel entre nous. Nous ne nous cachons rien. Jean sent très bien quand je ne dis pas tout. Pour ça je peux être sûr et certain qu’il en touchera un mot à maman s’il a des doutes. C’est uniquement dans le but de me protéger. Puis j’ai besoin de parler, car si je garde tout pour moi, je risque de m’enfermer et ressasser des choses pour rien !
Je m’installe dans ma chambre et je mets un disque de Pink Floyd, « The Dark Side of the Moon ». Je feuillette une BD de « Mitacq » de la série « La Patrouille des Castors - Le Mystère de Grosbois » ! Après un quart d’heure, Jean vient frapper à la porte de ma chambre. Il me signale que Marc-Antoine est au téléphone. Ni une, ni deux, je descends l’escalier quatre à quatre. Je prends le cornet en main et je dis :
Moi : « Bonjour Marc-Antoine, comment vas-tu ?
M-A : Salut Phil. Ça va, je vais bien.
Moi : OK, tu me sonnes, il y a quelque chose de spécial ?
M-A : Si tu le souhaites, demain après-midi je pars avec Dominique et John faire de la spéléo, alors je te propose de venir avec nous. Je dois encore sonner à Ben et éventuellement à Raphaël. Je sais que Gaby n’est pas disponible.
Moi : Pour moi c’est OK. Je te préviens que Ben vient ce soir à la maison, alors pour qu’il soit prêt avec ce qu’il faut, il vaut mieux lui sonner directement.
M-A : Tu fais bien de me prévenir.
Moi : Je dois d’abord demander à mes parents, mais je suis presque certain que ce sera oui !
M-A : C’est parfait, je te demande de me confirmer ta venue et je te donnerai les renseignements de dernières minutes.
Moi : C’est super d’avoir pensé à nous M-A. Je te dis quoi dès que possible.
M-A : OK, on fait comme ça. À plus ! »
Je suis heureux de pouvoir faire de la spéléo avec Ben. J’en avais déjà fait une fois, mais c’était pratiquement une balade facile sous terre, sans plus. Je remonte à l’étage et je frappe à la porte de la chambre de Jean. Je lui explique ce que M-A me propose. Jean est ravi pour moi et il pense que nos parents seront d’accord.
Je regagne mon antre et je termine d’écouter le disque en finissant la BD. J’entends du bruit au rez-de-chaussée. Je descends et je retrouve mes parents dans le hall d’entrée, ils viennent de rentrer. J’accompagne maman à la cuisine et je l’aide à préparer le souper. Papa lit le courrier reçu, au salon. Je profite du fait que je suis avec maman pour lui dire que Marc-Antoine a téléphoné pour me demander d’aller faire de la spéléo. Maman trouve ça bien, mais elle veut savoir si je suis en ordre dans mes devoirs et mes cours. Je lui dis que c’est l’après-midi et que donc demain matin je m’occupe sans faute d’étudier !
J’entends sonner à la porte. Je vais ouvrir, ça doit être Ben qui arrive. Effectivement c’est mon chéri. A peine la porte fermée, nous nous embrassons à pleine bouche. Je vois que maman nous regarde sur le seuil de la porte de la cuisine. Elle affiche un large sourire, sachant que nous sommes très heureux de nous retrouver.
Ben vient saluer ma chère mère. Il est tout sourire d’autant plus qu’il a apporté un sac de sport en plus. Je suis certain qu’il va aller faire de la spéléo. Il me fait un clin d’œil. Je dis alors à Ben :
Moi : « Ben, tu es partant pour la spéléo demain après-midi ?
Ben : Oui, mes parents ont dit oui.
Man : Tu sais Ben, pour ma part c’est normalement « oui », mais Phil doit encore demander à son papa.
Ben : Je vois. Bon Phil tu sais ce qu’il te reste à faire !
Ben me suit et nous allons retrouver mon père dans le salon. Maman est un peu en retrait, elle observe la scène.
Ben : Bonjour Alain.
Pap : Ah tu es là Ben, bonjour !
Ben : Je pense que Phil a quelque chose à vous demander !
Pap : Très bien. Je t’écoute Phil.
Moi : Eh bien voilà Papa, M-A a téléphoné avant que vous ne rentriez maman et toi. Il me propose d’aller faire de la spéléo demain après-midi avec Ben et Raph. J’en ai parlé avec maman, elle est d’accord si je suis en ordre pour mes devoirs et la révision de mes cours. Je compte travailler demain matin pour être à jour pour l’école.
Pap : C’est très bien Phil. Je pense que tu as été complet. Je vois que ta mère semble approuver cette sortie et je te donne aussi l’autorisation d’y aller. Bien entendu je te fais confiance en ce qui concerne tes cours.
Moi : Merci Papa. Je vais respecter ce que j’ai promis.
Ben : Je dois aussi travailler pour l’école, donc demain matin je vais m’y mettre aussi.
Pap : C’est super mes garçons. Bon, nous allons prendre un apéro avant le souper.
Moi : Papa, je vais téléphoner à M-A pour confirmer ma présence demain.
Pap : Pas de souci Phil. Si tu peux avoir des précisions, ce serait une bonne idée, car au moins je saurais à quoi m’en tenir.
Moi : Oui Papa. Merci ! »
Je téléphone à M-A pour lui confirmer ma présence pour la sortie spéléo. Je précise que Ben est à la maison. M-A me donne les renseignements utiles en vue de rassurer mes parents. Il comprend très bien que même si nous avons dix-sept ans, nos parents aiment bien savoir où nous allons.
Le souper se passe très bien, c’est toujours un moment de partage en famille. C’est l’occasion de discuter d’un tas de choses. C’est un peu comme quand nous sommes avec Maman dans la cuisine, c’est l’endroit où nous nous confions à elle, où nous parlons de nos bonheurs et de nos angoisses. Nous passons ensuite la soirée dans le salon en regardant un documentaire sur l’Amazonie.
L’horloge indique déjà vingt-deux heures. Nous montons dans ma chambre après avoir souhaité une bonne nuit au reste de la famille. Nous nous déshabillons et nous passons à la salle de bain. Nous prenons une bonne douche ensemble. Nous nous savonnons mutuellement. Inutile de dire que nos appendices sont dressés. Nous poursuivons notre toilette par un nettoyage anal. Je prends mon doigt savonneux et je l’introduis dans l’anus de Ben, qui semble apprécier. Il me rend d’ailleurs la pareille. Cette introduction dans nos fondements a pour effet de nous faire bander encore plus fort. Nous nous masturbons alors l’un l’autre en savourant ce moment partagé. Notre jouissance ne se fait pas attendre, nous éjaculons autant sur le ventre de l’être aimé que sur le nôtre. L’eau de la douche efface toute trace de nos ébats. Nous nous essuyons pour rejoindre la chambre et le lit qui nous attend. Nous sommes maintenant couchés et nous écoutons un disque avant de nous endormir et ainsi retrouver le pays des rêves.
La nuit sera réparatrice car nous dormons très bien. J’ouvre un œil je vois qu’il n’est que six heures du matin et je me rendors immédiatement.
A un moment, je ressens qu’une main qui vient se poser sur mon ventre. Puis une pression sur mon côté gauche. C’est comme une barre. Je me réveille enfin et je me demande si ce n’est pas Ben qui se colle à moi, son pénis frôlant mon flanc gauche. Je tourne la tête vers lui et je vois que Ben est réveillé et qui me regarde. C’est bien son appendice dressé qui est tout contre moi. Moi-même je me rends compte que mon sexe est lui aussi raidi. J’approche ma tête de celle de Ben et mes lèvres se posent sur les siennes. Inutile de dire que nos langues en profitent pour se rejoindre, se titiller et se mettre à danser. Au bout de cinq bonnes minutes nos lèvres se séparent. Sans même parler, nous nous plaçons têtes bêches et nous goûtons aux délices du pré-cum sortant doucement du méat du gland de l’être aimé. Ma langue remonte alors du bas de la verge vers son sommet. Je sens que Ben me prodigue les mêmes caresses buccales. Une main s’attarde aux testicules en les malaxant doucement, comme deux bijoux protégés, source de vie. Ma bouche s’ouvre alors pour prendre la queue dressée de Ben et le faire se mouvoir de haut en bas entre mes lèvres. Par diverses pressions exercées par mes lèvres et ma langue, langue qui voyagent le long de cette barre de chair en allant jusqu’au gland bien décalotté. J’entends alors Ben râler de bonheur. De son côté, ce dernier n’est pas en reste, il s’affaire sur mon sexe dur comme de la pierre. Il y va franchement, gobant ainsi l’objet de ses désirs du gland jusqu’à sa base poilue, soit jusqu’au pubis. À ce rythme-là je suis certain de jouir dans les trente secondes. Ben est concentré sur mon sucre d’orge sachant que je vais arriver à l’extase sous peu. Je sens qu’il est aussi proche du moment de non-retour, j’accélère alors la cadence et de fait j’entends Ben « rugir » de plaisir et dans les dix secondes, il inonde mon palais de sa liqueur de vie. Bien entendu il n’a pas fallu trois secondes pour que de mon côté je me libère de toute la pression et que j’éjacule ma semence dans la bouche de mon amour. Comme à chaque fois, nous nous replaçons face à face pour nous embrasser et mélanger nos élixirs dans un sentiment de plénitude. Nous nous affalons ensuite sur le lit, fourbus, haletants et ivres de bonheur. Nous devons attendre une dizaine de minutes avant de sortir de notre monde, de notre bulle d’amour, en nous disant des « je t’aime » à n’en plus finir !
Ayant retrouvé nos esprits, nous allons prendre une bonne douche dans la salle de bain. Nous savons que le reste de la famille est déjà debout et qu’elle attend, au rez-de-chaussée, notre arrivée pour prendre le petit-déjeuner tous ensemble.
Je m’installe dans ma chambre et je mets un disque de Pink Floyd, « The Dark Side of the Moon ». Je feuillette une BD de « Mitacq » de la série « La Patrouille des Castors - Le Mystère de Grosbois » ! Après un quart d’heure, Jean vient frapper à la porte de ma chambre. Il me signale que Marc-Antoine est au téléphone. Ni une, ni deux, je descends l’escalier quatre à quatre. Je prends le cornet en main et je dis :
Moi : « Bonjour Marc-Antoine, comment vas-tu ?
M-A : Salut Phil. Ça va, je vais bien.
Moi : OK, tu me sonnes, il y a quelque chose de spécial ?
M-A : Si tu le souhaites, demain après-midi je pars avec Dominique et John faire de la spéléo, alors je te propose de venir avec nous. Je dois encore sonner à Ben et éventuellement à Raphaël. Je sais que Gaby n’est pas disponible.
Moi : Pour moi c’est OK. Je te préviens que Ben vient ce soir à la maison, alors pour qu’il soit prêt avec ce qu’il faut, il vaut mieux lui sonner directement.
M-A : Tu fais bien de me prévenir.
Moi : Je dois d’abord demander à mes parents, mais je suis presque certain que ce sera oui !
M-A : C’est parfait, je te demande de me confirmer ta venue et je te donnerai les renseignements de dernières minutes.
Moi : C’est super d’avoir pensé à nous M-A. Je te dis quoi dès que possible.
M-A : OK, on fait comme ça. À plus ! »
Je suis heureux de pouvoir faire de la spéléo avec Ben. J’en avais déjà fait une fois, mais c’était pratiquement une balade facile sous terre, sans plus. Je remonte à l’étage et je frappe à la porte de la chambre de Jean. Je lui explique ce que M-A me propose. Jean est ravi pour moi et il pense que nos parents seront d’accord.
Je regagne mon antre et je termine d’écouter le disque en finissant la BD. J’entends du bruit au rez-de-chaussée. Je descends et je retrouve mes parents dans le hall d’entrée, ils viennent de rentrer. J’accompagne maman à la cuisine et je l’aide à préparer le souper. Papa lit le courrier reçu, au salon. Je profite du fait que je suis avec maman pour lui dire que Marc-Antoine a téléphoné pour me demander d’aller faire de la spéléo. Maman trouve ça bien, mais elle veut savoir si je suis en ordre dans mes devoirs et mes cours. Je lui dis que c’est l’après-midi et que donc demain matin je m’occupe sans faute d’étudier !
J’entends sonner à la porte. Je vais ouvrir, ça doit être Ben qui arrive. Effectivement c’est mon chéri. A peine la porte fermée, nous nous embrassons à pleine bouche. Je vois que maman nous regarde sur le seuil de la porte de la cuisine. Elle affiche un large sourire, sachant que nous sommes très heureux de nous retrouver.
Ben vient saluer ma chère mère. Il est tout sourire d’autant plus qu’il a apporté un sac de sport en plus. Je suis certain qu’il va aller faire de la spéléo. Il me fait un clin d’œil. Je dis alors à Ben :
Moi : « Ben, tu es partant pour la spéléo demain après-midi ?
Ben : Oui, mes parents ont dit oui.
Man : Tu sais Ben, pour ma part c’est normalement « oui », mais Phil doit encore demander à son papa.
Ben : Je vois. Bon Phil tu sais ce qu’il te reste à faire !
Ben me suit et nous allons retrouver mon père dans le salon. Maman est un peu en retrait, elle observe la scène.
Ben : Bonjour Alain.
Pap : Ah tu es là Ben, bonjour !
Ben : Je pense que Phil a quelque chose à vous demander !
Pap : Très bien. Je t’écoute Phil.
Moi : Eh bien voilà Papa, M-A a téléphoné avant que vous ne rentriez maman et toi. Il me propose d’aller faire de la spéléo demain après-midi avec Ben et Raph. J’en ai parlé avec maman, elle est d’accord si je suis en ordre pour mes devoirs et la révision de mes cours. Je compte travailler demain matin pour être à jour pour l’école.
Pap : C’est très bien Phil. Je pense que tu as été complet. Je vois que ta mère semble approuver cette sortie et je te donne aussi l’autorisation d’y aller. Bien entendu je te fais confiance en ce qui concerne tes cours.
Moi : Merci Papa. Je vais respecter ce que j’ai promis.
Ben : Je dois aussi travailler pour l’école, donc demain matin je vais m’y mettre aussi.
Pap : C’est super mes garçons. Bon, nous allons prendre un apéro avant le souper.
Moi : Papa, je vais téléphoner à M-A pour confirmer ma présence demain.
Pap : Pas de souci Phil. Si tu peux avoir des précisions, ce serait une bonne idée, car au moins je saurais à quoi m’en tenir.
Moi : Oui Papa. Merci ! »
Je téléphone à M-A pour lui confirmer ma présence pour la sortie spéléo. Je précise que Ben est à la maison. M-A me donne les renseignements utiles en vue de rassurer mes parents. Il comprend très bien que même si nous avons dix-sept ans, nos parents aiment bien savoir où nous allons.
Le souper se passe très bien, c’est toujours un moment de partage en famille. C’est l’occasion de discuter d’un tas de choses. C’est un peu comme quand nous sommes avec Maman dans la cuisine, c’est l’endroit où nous nous confions à elle, où nous parlons de nos bonheurs et de nos angoisses. Nous passons ensuite la soirée dans le salon en regardant un documentaire sur l’Amazonie.
L’horloge indique déjà vingt-deux heures. Nous montons dans ma chambre après avoir souhaité une bonne nuit au reste de la famille. Nous nous déshabillons et nous passons à la salle de bain. Nous prenons une bonne douche ensemble. Nous nous savonnons mutuellement. Inutile de dire que nos appendices sont dressés. Nous poursuivons notre toilette par un nettoyage anal. Je prends mon doigt savonneux et je l’introduis dans l’anus de Ben, qui semble apprécier. Il me rend d’ailleurs la pareille. Cette introduction dans nos fondements a pour effet de nous faire bander encore plus fort. Nous nous masturbons alors l’un l’autre en savourant ce moment partagé. Notre jouissance ne se fait pas attendre, nous éjaculons autant sur le ventre de l’être aimé que sur le nôtre. L’eau de la douche efface toute trace de nos ébats. Nous nous essuyons pour rejoindre la chambre et le lit qui nous attend. Nous sommes maintenant couchés et nous écoutons un disque avant de nous endormir et ainsi retrouver le pays des rêves.
La nuit sera réparatrice car nous dormons très bien. J’ouvre un œil je vois qu’il n’est que six heures du matin et je me rendors immédiatement.
A un moment, je ressens qu’une main qui vient se poser sur mon ventre. Puis une pression sur mon côté gauche. C’est comme une barre. Je me réveille enfin et je me demande si ce n’est pas Ben qui se colle à moi, son pénis frôlant mon flanc gauche. Je tourne la tête vers lui et je vois que Ben est réveillé et qui me regarde. C’est bien son appendice dressé qui est tout contre moi. Moi-même je me rends compte que mon sexe est lui aussi raidi. J’approche ma tête de celle de Ben et mes lèvres se posent sur les siennes. Inutile de dire que nos langues en profitent pour se rejoindre, se titiller et se mettre à danser. Au bout de cinq bonnes minutes nos lèvres se séparent. Sans même parler, nous nous plaçons têtes bêches et nous goûtons aux délices du pré-cum sortant doucement du méat du gland de l’être aimé. Ma langue remonte alors du bas de la verge vers son sommet. Je sens que Ben me prodigue les mêmes caresses buccales. Une main s’attarde aux testicules en les malaxant doucement, comme deux bijoux protégés, source de vie. Ma bouche s’ouvre alors pour prendre la queue dressée de Ben et le faire se mouvoir de haut en bas entre mes lèvres. Par diverses pressions exercées par mes lèvres et ma langue, langue qui voyagent le long de cette barre de chair en allant jusqu’au gland bien décalotté. J’entends alors Ben râler de bonheur. De son côté, ce dernier n’est pas en reste, il s’affaire sur mon sexe dur comme de la pierre. Il y va franchement, gobant ainsi l’objet de ses désirs du gland jusqu’à sa base poilue, soit jusqu’au pubis. À ce rythme-là je suis certain de jouir dans les trente secondes. Ben est concentré sur mon sucre d’orge sachant que je vais arriver à l’extase sous peu. Je sens qu’il est aussi proche du moment de non-retour, j’accélère alors la cadence et de fait j’entends Ben « rugir » de plaisir et dans les dix secondes, il inonde mon palais de sa liqueur de vie. Bien entendu il n’a pas fallu trois secondes pour que de mon côté je me libère de toute la pression et que j’éjacule ma semence dans la bouche de mon amour. Comme à chaque fois, nous nous replaçons face à face pour nous embrasser et mélanger nos élixirs dans un sentiment de plénitude. Nous nous affalons ensuite sur le lit, fourbus, haletants et ivres de bonheur. Nous devons attendre une dizaine de minutes avant de sortir de notre monde, de notre bulle d’amour, en nous disant des « je t’aime » à n’en plus finir !
Ayant retrouvé nos esprits, nous allons prendre une bonne douche dans la salle de bain. Nous savons que le reste de la famille est déjà debout et qu’elle attend, au rez-de-chaussée, notre arrivée pour prendre le petit-déjeuner tous ensemble.