08-08-2020, 11:27 AM
1ere ANNEE Août : (60/ 60) (Dernier jour) (fin)
Patrice entre dans le bureau après avoir frappé trois petits coups à la porte, le commissaire lève les yeux et sourit en reconnaissant celui qui petit à petit est devenu un ami.
- Ah !! Patrice !! Jamais en retard à ce que je vois ?
- Hé non !! Vous allez bien commissaire ?
- Comme un vieux qui prend de l’âge mon jeune ami, tu as demandé à me voir ? C’est officiel ou officieux ?
- Moitié-moitié !! Disons que la première partie est officieuse et que si tu es d’accord et bien la seconde deviendra officiel.
- Alors commence donc par m’expliquer la première (Mattiony se lève et va à la cafetière) Un petit jus ça te dit ?
- Volontiers oui !! Ma démarche concerne les amoureux, ça ne devrait pas t’étonner ?
- (Mattiony lui tend son gobelet) Sucre ? Non en effet pas vraiment, et je présume que ton idée serait qu’ils ne restent pas trop éloignés l’un de l’autre.
- (Patrice prend un sucre) Merci !! Je pensais même qu’ils pourraient faire équipe
Le commissaire en haussant les sourcils.
- Police ou DST ?
Patrice tourne lentement son café en regardant dans les yeux son collègue, il soupire et boit une gorgée avant de reprendre.
- Ni l’un ni l’autre ou tout du moins pas comme tu l’imagines, je pensais qu’ils pourraient être affectés à la brigade de la PJ chargée de la surveillance des VIP. Mon patron est déjà d’accord pour y faire muter Dorian si bien sûr tu es d’accord également pour en faire de même avec Gérôme.
- (Mattiony réfléchi) Et perdre par là même mon meilleur élément sur le terrain !!
- C’est exactement ce qu’a répondu mon patron mais il est prêt à le faire pour eux.
- Et je présume que ton VIP n’est autre qu’un certain Florian de Bierne ?
- Dans le mille Émile !!! Heu !! Pardon je ne voulais pas être grossier.
- (Mattiony amusé) Ils sont amis avec lui n’est-ce pas ?
- (Patrice avec un grand sourire) On peut dire ça oui.
- Tu parles d’un boulot !! Moi j’appellerais plutôt ça de très longues vacances payées par le contribuable.
- (Patrice avec un petit rire) Je crois aussi Hi ! Hi ! Mais de toute façon tu sais très bien que Florian y aura droit, alors une année ou deux plus tôt qu’est-ce que ça y fait ? Et puis autant que ce soit eux qui en profitent, non ?
- Sûrement après tout !!
- Tu serais d’accord alors ?
Le commissaire y va d’un grand sourire.
- Je vais y perdre au change assurément mais top là !!
Patrice se lève et lui serre chaleureusement la main.
- Merci beaucoup !! Mon patron m’a dit de te dire que si tu étais ok, il faudrait que tu l’appelles pour mettre les choses aux points. J’aimerais que ce soit une surprise pour eux tu comprends ?
- (Mattiony se lève à son tour) Entendu je le ferai, ils ont de la chance d’avoir un ami comme toi. Malgré tout il faudra que Gérôme signe à un moment ou un autre sa demande officielle de mutation, mais je dois pouvoir m’arranger pour que cela se fasse au dernier moment pour garder l’effet de surprise.
Patrice en ouvrant la porte pour sortir.
- Encore une fois merci commissaire, n’hésitez pas à me contacter si vous avez besoin de quoi que ce soit. Je me ferais une joie et un devoir de vous rendre service.
Patrice se retrouve dans la rue et chantonne en allumant une cigarette, le premier point étant réglé, il ne lui reste plus qu’à retourner finir sa journée avec les autres sur la plage.
***/***
Raphaël est avec son père au bureau, attendant avec impatience l’heure d’aller retrouver ses copains.
Une question lui arrive subitement aux lèvres, il n’y avait pas pensé plus tôt mais maintenant elle le turlupine suffisamment pour qu’il la pose.
- P’pa ? J’y pense tout d’un coup ? Ils repartent bien tous demain matin ?
Jean lève les yeux de sa paperasse.
- Oui pourquoi tu me demandes ça ? Tu le sais aussi bien que moi.
- Et pour le campement ? Ils n’auront jamais le temps de tout démonter avant de partir ?
- (Jean sursaute) Tiens !! Mais tu as raison !! Je sais que la camionnette doit passer dans la journée, mais je n’ai pas posé la question. Parle leur en tout à l’heure qu’ils ne soient pas pris de court avec ça, peut être que le mieux serait d’en démonter deux ce soir et la dernière demain avant de partir.
- (Raphaël pensif) Bah !! Sinon au pire je m’en occuperais quand ils ne seront plus là.
- Ce n’est pas à toi de le faire, ou tout du moins pas tout seul. Ils doivent comprendre qu’ils sont suffisamment adultes pour ne pas laisser tout le boulot aux autres, dis-leur de faire comme j’ai dit et tu verras qu’ils trouveront ça tout à fait normal.
- Entendu p’pa !!
***/***
Le repas de midi sur la plage est très convivial si ce n’est Léonie qui leur semble bizarre car elle n’a pas décroché une parole depuis le matin, ils pensent que c’est dû à la séparation imminente et la laissent tranquille.
Raphaël leur a parlé pour le nettoyage du camp et ils décident de rentrer plus tôt afin de se mettre tous à la tâche, à eux tous cela ne devrait pas prendre très longtemps en plus.
Dernières baignades et derniers jeux moins à la franche rigolade que d’habitude toutefois mais c’est très compréhensible de leur part étant donné le contexte particulier de cette journée.
***/***
Juste avant le dîner les deux tentes sont démontées et tout le matériel ne servant pas pour la nuit proprement rangé pour qu’il n’y ait plus qu’à le charger, un grand lit commun dans la dernière tente leur permet d’enlever déjà les séparations et toute la nourriture restante et emmenée chez Franck qui les en remercie et qui les invite à prendre leurs petits-déjeuners au restaurant le lendemain matin.
Dernier dîner quelque peu morose malgré tout suivi d’une dernière ballade sur la dune, ensuite voulant tous être en forme pour le départ, ils vont tous se coucher assez tôt et ils s’endorment tous rapidement.
2eme ANNEE Septembre : (01/ 70) (Le kidnapping)
Éric et Thomas sont les premiers levés, ils sortent de la tente et s’habillent sans faire de bruit ne voulant réveiller personne pour ce qu’ils ont prévu de faire.
Arrivé devant chez Jean qui les attend déjà devant la porte avec une valise manifestement pleine à craquer, ils l’embrassent amicalement et sans plus tarder emmènent le bagage jusqu’à la Ford où ils la casent au fond du coffre afin qu’elle soit le moins visible possible.
Ils retournent ensuite au campement et en se souriant à l’avance de leur blague, ils enlèvent un à un les piquets autour de la tente jusqu’à ce que celle-ci s’effondre sous les cris de surprises de ceux qui dormaient encore à l’intérieur.
Le remue-ménage est assez impressionnant, quelques voisins alertés par le boucan arrivent et constatant la plaisanterie s’amusent beaucoup eux aussi à les voir essayer de se dépêtrer de la grande toile qu’ils ont sur le dos.
Thomas et son complice se sauvent jusqu’à chez Franck et s’installent morts de rires à la table réservée où les attendent de grosses cafetières fumantes et un énorme tas de tartines, ils en sont à leur deuxième bol de café quand ils entendent une cavalcade et se regardent en soupirant sachant très bien ce qui va leur arriver.
Ils sont soulevés de terre et emmener tambour battant sous les douches où ils se retrouvent tout habillés sous l’eau glacée, ils se laissent faire en gardant le sourire ce qui finit par payer car leurs amis ne les entendant pas brailler comme ils s’y attendaient les laissent finalement tranquille sans trop les chahuter.
C’est en tremblant de froid malgré tout qu’ils regagnent le restaurant, Franck les voyant dans cet état leur amène quelques serviettes.
Une fois débarrassés de leurs vêtements trempés et séchés avec les serviettes, ils se réinstallent en slip pour reprendre leurs petits-déjeuners sous les quolibets plutôt coquins de leurs amis.
- (Mathis) Ce n’était pas la peine de les garder, de toute façon on voit à travers alors !!
- (Éric amusé) C’est un peu fait exprès figure toi, comme ça la bande de cochons que vous êtes peut se rincer l’œil.
- (Chloé en riant) Pour ce qu’il y a à mater Hi ! Hi ! Les escargots sont rentrés dans leurs coquilles à ce que je vois Hi ! Hi !
- (Éric sur le même ton) Ce n’est pas plus mal !! Ça vous évitera de faire des complexes.
Je vais m’asseoir sur les genoux de Thomas en le regardant dans les yeux, ma main part direct lui caresser la nuque le connaissant suffisamment pour connaître sa réaction.
- Voyons voir le temps qu’il va mettre à sortir, Oups !!! Rapide le gallinacé Hi ! Hi !
Je quitte ses genoux et regarde avec amusement et envie la barre qui maintenant tend le sous-vêtement au maximum.
- Eh bien !!! Tu n’as pas honte ? Devant tout le monde en plus !!
Je capte aussitôt le visage d’Éric qui se mordille la lèvre inférieure et aussi sec je vais également m’asseoir sur ses genoux en le regardant avec amusement, le contact de mon corps sur le sien lui développe instantanément la bête qui était jusqu’à présent recroquevillée par l’eau froide.
- Hum !!! C’est la levée de rideau aussi là-dedans à ce que je vois.
Les regards égrillards et moqueurs de toute la bande sur la partie de leur anatomie en pleine gloire les font rougir instantanément et leurs mains partent dans un parfait accord tenter de cacher au mieux cette marque manifeste d’excitation.
Franck qui a assisté à toute la scène en a les larmes aux yeux à force de rire et gentiment pour qu’ils reprennent un semblant de pudeur leur amène à chacun une serviette de plage pour qu’ils s’en entourent les reins.
- Tenez les gars !! Emballez-vous là-dedans !! Et vous laissez les tranquille, j’aimerais bien vous voir à leurs places. En plus bande de cochons vous êtes dans le même état qu’eux alors vous feriez mieux d’essayer de vous calmer sinon on va croire que mon établissement est en fait un énorme lupanar Hi ! Hi ! Ah !! Jeunesse !!
A ces paroles amicales, il nous est bien forcé de constater qu’en plus il a raison et que la plupart d’entre nous tiennent une érection manifeste qui déforme de très belle façon nos pantalons.
Flavien, Aurélien et Guillaume qui eux n’en sont pas affectés s’éclatent un maximum en se foutant de notre gueule.
- (Guillaume) Ce ne sont pas des gars normaux mais plutôt une vraie bande de phoques Hi ! Hi !
- (Flavien écroulé de rire) Je n’aurais pas employé ces termes mais en y réfléchissant bien je trouve que ça leur va bien Hi ! Hi !
- (Carole faisant la moue) Et dire que ce n’est même pas pour nous les filles qu’ils sont dans cet état !!
- (Léa amusée) Dommage quand même d’avoir tous ces beaux mecs excités autour de nous et qu’ils ne nous regardent même pas.
Chloé les yeux pétillants de malice mais qui ne rate pas une miette du spectacle.
- C’est à nous dégoûter d’être des filles Hi ! Hi ! C’est sûr que si nous étions des mecs il en serait tout autrement, pas vrai les queutards ?
Elle entend la porte s’ouvrir, se retourne et voit Raphaël entrer dans la salle.
- Tiens voilà le dernier de la bande ? Voyons voir combien il va mettre de temps à se transformer en rouquin à trois pattes.
Raphaël qui n’a rien suivi des derniers événements s’approche de ses amis et capte tout de suite l’état pour le moins gênant de leurs entrejambes, la vue de Thomas et Éric qui en soupirant devant son regard interrogateur ont ouvert en même temps leurs serviettes met instantanément le beau rouquin dans un état de transe et son sexe vient magnifiquement déformer son short devant le regard égrillard des autres.
- (Chloé) Qu’est-ce que je vous disais ? Il ne reniera pas ses copains celui-là Hi ! Hi !
2eme ANNEE Septembre : (02/ 70) (Le kidnapping) (suite)
Cette petite séance de foutage de gueule aura au moins eu le mérite de remonter le moral des troupes, les œillades de convoitise que n’arrête pas d’envoyer Florian à ses trois amis ne passent pas longtemps inaperçus.
Thomas discrètement envoie un léger coup de coude à Éric en lui montrant le petit rouquin qui n’arrête pas de les regarder, celui-ci fait un signe à Raphaël qui remarque également le manège et sourit.
Un signe de la tête vers le plafond lui fait comprendre où son ami veut en venir et il lui fait aussitôt un magnifique clin d’œil.
- Dites les gars !! Ça vous dirait de monter dans ma chambre pour vous changer ?
- (Éric parfaitement raccord) Merci « Raph » !! Je ne nous voyais pas traverser le camping en slip.
Thomas qui comprend le stratagème.
- Faudrait juste que quelqu’un aille chercher des affaires de rechange, tu veux bien faire ça pour nous Florian ?
Je sursaute en entendant mon prénom trop pris dans ma contemplation de leurs corps.
- Hein !! Quoi !!! Ah oui, des vêtements !! Ok j’y vais !!
- (Raphaël souriant) Tu n’auras qu’à nous rejoindre en haut chez mes parents, c’est la deuxième porte à ta droite en haut de l’escalier.
- Ok
Pendant qu’ils le voient partir en courant, ils quittent le restaurant par l’arrière et font rapidement les quelques mètres qui les séparent de l’appartement où vit Raphaël. Jean les voit arriver dans cette tenue pour le moins surprenante et sourit.
- Eh bien !! Qu’est ce qu’il se passe encore ?
Raphaël explique en deux mots.
- Ils vont se changer dans ma chambre, Florian arrive avec des fringues (Il rit) sèches Hi ! Hi !
Ils montent les escaliers quand Raphaël à mi-chemin se retourne vers son père.
- Heu !! P’pa !! T’inquiète pas si nous restons un moment en haut, j’ai plein de truc à leur dire avant qu’ils partent.
- (Jean en gardant son sérieux) C’est vrai que tu vas être un moment sans les voir, prenez tout votre temps les gars !!
Raphaël reprend son ascension et retrouve ses deux amis dans sa chambre.
- (Éric) Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
- (Thomas amusé) Eh bien on attend « Flo »
- (Raphaël) Oui mais encore ?
Thomas prenant un air de conspirateur.
- Si on l’allumait un peu pour voir ?
- (Éric) Hum !! Ça va encore nous retomber dessus je vous le dis.
- (Raphaël les yeux brillants) Tu entends quoi par l’allumer ?
- (Thomas) Le faire baver quoi !! Qu’il ne tienne plus à l’envie de s’envoyer en l’air.
- (Raphaël) Oui mais après ?
- (Thomas en riant) Quand il sera chaud bouillant, on se rhabille vite fait et on sort dehors rejoindre les autres.
- (Raphaël septique) Ça ne marchera pas, tu ne te rappelles donc pas la dernière fois ?
- (Thomas) Oui mais là ce n’est pas pareil, nous sommes tous là.
- (Éric) Tu oublies juste un truc essentiel mon pote.
- (Thomas surpris) Ah oui !! Et quoi donc ?
Éric en souriant à pleines dents.
- Son « don » tout simplement, tu sais bien que quand il est excité nous le devenons autant que lui.
Thomas en lui rendant son sourire.
- Ah oui !! Et alors où est le problème ?
Raphaël en regardant fixement Thomas.
- J’ai compris !! Toi aussi tu as envie ? C’est ça ?
- (Thomas) Pourquoi ? Pas vous ?
- (Éric égrillard) Ah d’accord !! En gros tu veux qu’on l’excite à mort et après qu’on s’envoie en l’air ?
Thomas leur faisant son sourire le plus craquant.
- Eh bien !! Quand même !! Vous êtes durs à la comprenette le matin vous deux, ce n’est pas possible !! On va se taper une grosse demi-journée de train ou de voiture alors un petit câlin tous ensemble avant ce n’est pas du luxe, non ?
Éric regardant son ami les yeux pleins d’envie.
- C’est sûr !! Et on l’attend comment le rouquin ?
Raphaël la langue légèrement pendante.
- À poils face à la fenêtre comme ça, il aura une belle vue sur nos popotins en entrant le gaillard, mon avis que ça va lui faire un choc Hi ! Hi !
Éric en virant sa serviette et son slip.
- Vendu comme ça Hi ! Hi !
Thomas en imitant son copain.
- Il va en prendre plein les mirettes c’est sûr.
Raphaël en se déshabillant avec frénésie.
- Je vous adore les gars Hi ! Hi !
Les voilà tous les trois nus accoudés à la fenêtre, ils discutent de tout et de rien en attendant l’arrivée de Florian.
Le sexe dressé au zénith en attendant d’être tous les quatre comme ils se le sont promis afin de pouvoir s’éclater comme ils en crèvent d’envie depuis que l’idée leur est venue.
- (Raphaël) Pour moi et Florian il n’y aura pas de tentations mais pour vous deux ça va être dur, non ?
Éric comprenant où il veut en venir.
- Je reconnais que tu n’as pas tort, mais bon !! C’est déjà bien si nous pouvons en profiter quand nous sommes ensemble.
Raphaël après un moment de réflexion.
- Je ne t’en voudrais pas si vous le faisiez tu sais ? Maintenant ce n’est plus pareil, je sais bien que j’aurais du mal à résister si j’étais tout le temps avec Thomas ou Florian.
Thomas tourne la tête vers lui et le regarde attentivement.
- C’est vrai ? Tu tiens à ce point-là à nous ?
Raphaël en restant les yeux plantés dans les siens.
- Bien sûr sinon crois-tu vraiment qu’on serait là à en parler ?
- (Éric) « Flo » n’est pas près de nous et ne peut pas déformer notre jugement et je pense comme « Raph », pas toi ?
- (Thomas hésitant) En fait je serais tenté à penser comme vous mais je me demande si c’est la chose à faire, et puis je trouve que si ça reste comme nous en avons tous convenu (Il cherche ses mots) Eh bien, ce sera plus fort entre nous et surtout cela évitera à celui qui est seul d’y penser et d’avoir mal au cœur.
- (Raphaël) Je comprends, excuse-moi.
- (Thomas) Tu n’as pas à t’excuser tu sais ? Je suis sûr que nous y avons tous pensé, attendons de voir ce que Florian en dira et puis nous verrons.
Éric en rigolant et en se tenant la queue toujours raide comme un manche à balai.
- En attendant il y a popole qui ne se pose pas autant de questions, qu’est-ce qu’il fout le nain ? J’ai trop envie moi !!
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