08-08-2020, 11:04 AM
1ere ANNEE Août : (43 / 60) (Dorian/Gérôme) (fin)
Gérôme se retire après quelques secondes, Dorian tourne la tête vers lui des papillons dans les yeux.
- T’arrête pas, c’est trop bon.
Gérôme remonte jusqu’aux lèvres du jeune homme et l’embrasse avec une extrême tendresse.
- Ce sera mieux si on se met à l’aise tu ne crois pas, j’ai l’impression d’avoir des menottes aux pieds avec mon « futal » sur les chevilles.
- C’est sûr que ce sera plus pratique Hi ! Hi !
Les deux garçons fébriles enlèvent leurs vêtements comme s’ils étaient en feu et que leurs vies en dépendaient, une fois nus ils se sautent dessus dans une joute amoureuse virile.
Gérôme n’arrive à prendre le dessus sur Dorian quand même plus jeune que lui que parce qu’il l’attrape par les genoux et qu’il les lui bloque sur sa poitrine, ainsi exposée sa rosette vient au contact du sexe toujours au zénith de Gérôme.
Celui-ci glisse dessus et arrête par la même occasion toute velléité de reprendre le combat au jeune homme qui en frémit d’impatience de se la reprendre bien profondément et de retrouver ainsi l’état de plénitude ou la première pénétration même brève l’a amené.
- (Dorian d’une voix rauque) Remets là !!!
Pendant que Dorian excité écarte ses fesses des deux mains, Gérôme guide sa queue face à sa cible et dans un « Han » puissant empale une nouvelle fois son ami qui en pousse un cri de surprise tellement c’est entré soudainement.
Gérôme surveille attentivement son amant et voyant qu’il ne donne aucun signe de douleur, reprend ses allers et retours puissants à l’intérieur du jeune homme qui en a les yeux qui en sortent de la tête tellement les sensations qu’il ressent son phénoménale.
- Ahhh !!! Oui !!! Plus fort c’est trop bon !!! Ahhh !!!
Gérôme lui aussi est aux anges, jamais il n’a ressenti ses fourmillements de plaisirs qui lui traversent le corps en ondes de plus en plus puissantes, il prend un plaisir sans commune mesure avec ce qu’il a connu jusqu’à cet instant.
Il a le regard sur le sexe de son ami qu’il trouve d’une grande beauté bien droit et assez gros.
Celui-ci frappe au rythme de ses pénétrations viriles ses pectoraux contractés, la magnifique queue qu’il a sous les yeux lui donne envie de la prendre en main et de la caresser ce dont il ne se prive pas faisant encore plus grogner de plaisir son compagnon.
Le gland décalotté et luisant l’attire et son pouce vient se frotter dessus en appuyant et massant le frein qui, il le sait très bien se le faisant souvent lui-même, est la zone la plus sensible du garçon qui en ferme les yeux et ahane sous les sensations que son corps déverse en flux continu à son cerveau exacerbé par toutes ses nouvelles découvertes pour lui.
La respiration de Dorian comme la sienne s’accélère essayant d’alimenter leurs cœurs qui battent à tout rompre, il ralentit son va-et-vient pour faire durer car il est conscient qu’ils ne tiendront pas longtemps à ce rythme.
Gérôme se baisse, prend les lèvres de son ami et l’embrasse avec avidité, leurs langues entament alors un ballet magique qui les fait frissonner de pur bonheur.
Gérôme contracte son sexe plusieurs fois au fond de la gaine qui l’enserre aussi merveilleusement déclenchant des râles de plaisirs à son amant qui a l’impression d’être encore plus rempli et masse son point « G » de façon si divine lui envoyant des ondes de chaleur qui le mène d’une façon fulgurante à la jouissance.
Gérôme sent grossir le sexe de Dorian dans sa main et sait qu’il ne pourra plus stopper l’orgasme puissant qui le gagne, il frotte le gland pour accentuer encore plus le plaisir de son ami et reprend ses coups de boutoirs puissants qui le mènent lui aussi dans un frisson de plaisir pur au point de non-retour.
La liqueur chaude qui s’échappe du méat de Dorian tétanisé par sa jouissance poisse ses doigts en même temps qu’il se répand en saccades brûlantes dans l’intimité du garçon dont les muscles internes se resserrent alors divinement sur sa queue bandée à l’extrême déversant toujours son plaisir au plus profond de son compagnon.
Quelques secondes où le monde n’existe plus autour d’eux puis les yeux qui s’ouvrent, se cherchent et se noient les uns dans les autres.
Leurs visages resplendissants se sourient de reconnaissance de s’être donné autant de plaisir puis le baiser qui scelle leur couple pour la vie.
- (Dorian ému) Tu es l’homme que je cherchais dans mes rêves les plus fous.
Gérôme épanoui par tant de bonheur.
- Toi aussi, c’était merveilleux.
Dorian après un baiser bref et brûlant.
- Je t’aime Gérôme.
Gérôme les yeux humide.
- Je t’aime Dorian.
1ere ANNEE Août : (44 / 60) (Nuit de réconciliation) (fin)
Mathis et Damien sont seuls au campement et s’astiquent le jonc comme ils le font à la moindre occasion et cela un maximum de fois chaque jour, ils sont face à face à genoux sur le lit et chacun masturbe d’une main le sexe de l’autre pendant que l’autre main s’occupe du petit sac pendant au-dessous.
Ils en sont au début de leurs « manipulations » quand ils entendent des pas et des rires égrillards se diriger dans leur direction, ils arrêtent net leur petit jeu et tendent l’oreille curieux de savoir lesquels de leurs amis peuvent bien rentrer aussi tôt.
Ils sont quelque peu soulagés quand ils comprennent que les arrivants entrent dans l’autre toile de tente et se sourient malicieusement en reprenant tranquillement leurs petites branlettes en restant toutefois vigilant à ce qui se passe à côté.
Florian et ses amis entrent sous la tente et choisissent tout naturellement la chambre maintenant libre d’Émilie et de Julien qui est toujours équipée des deux grands lits, les garçons enlèvent rapidement les quelques vêtements dont ils sont vêtus puis s’allongent en couples sur les lits et commencent à se caresser faisant monter l’envie de sexe qui les taraude depuis un bon moment déjà.
Le grand blond et le beau brun se retrouvant au-dessus des deux rouquins qui se tiennent la main en se regardant, laissant leurs deux compagnons mener le bal et faire ce qu’ils veulent de leurs corps.
Les sexes luisent de leurs excitations respectives et sont bandés au maximum de leurs capacités tant le fait de se retrouver tous les quatre décuple leurs libidos.
Éric ne sait plus où porter son regard devant les corps magnifiques qu’il a sous les yeux et qu’il découvre ou redécouvre intimement avec bonheur, il n’ose pas faire le premier pas et attend avec impatience un signe de l’un d’entre eux pour assouvir son immense envie de partage et de communion.
C’est Florian avec sa nature franche et sans fausse pudeur qui déclenche les hostilités, après un énième baiser enflammé envers Thomas qui en frissonne de plaisir.
Il se tourne vers Raphaël qui a le droit au même traitement qui le laisse sans souffle puis en se dégageant doucement des deux garçons, attrape son ami d’enfance et l’enlace fiévreusement laissant Thomas et Raphaël se découvrir tous leurs soûls.
Le cœur d’Éric cogne dans sa poitrine presque douloureusement, sentir le corps de Florian enlacer le sien est une chose qu’il a tant attendue qu’il ne réalise pas encore qu’enfin le fantasme de toute une vie est en train de se concrétiser.
Des larmes lui montent aux yeux et il serre très fort son ami contre lui en tremblant.
Florian réalise lui aussi à quel point son geste déclenche d’émotions au beau brun qu’il tient dans ses bras, lui aussi est ému de ce contact intime avec son ami et se traite de tous les noms de ne pas avoir vu clair plus tôt dans son cœur et de l’avoir laissé tout ce temps seul avec toute la tristesse qu’il a dû ressentir à être mis de côté face à ses deux amis qui apprenaient à se découvrir sans lui.
Thomas trouve étrange de tenir dans ses bras celui qui ressemble tant à Florian, les yeux vert du garçon le fixe en brillant de plaisir de pouvoir partager cet instant si intense avec ce garçon magnifique qui est devenu son ami.
Les mains de Raphaël viennent timidement explorer le corps doux et brûlant qui vibre sous ses attouchements, les visages se rapprochent et s’embrassent d’abord timidement puis avec plus de vigueur jusqu’à rompre les ultimes barrières.
Pendant un long, très long moment les garçons s’échangent et se découvrent emmêlant leurs corps, les mains palpent, caressent, masturbent, s’introduisent dans des lieux chaud et soyeux, les bouches embrassent, lèchent, sucent et picorent tout ce qui leur passe à portées ; les sexes s’exhibent, se frottent, investissent des intimités buccales et anales d’une douceur inouïe.
Les gorges râlent, crient, grognent dans une moiteur de corps en rut et une odeur piquante de muscs et de sueurs.
Un étrange carré se forme, Florian sent la bouche d’Éric le sucer avec passion alors que lui donne la réciprocité sur celui de Raphaël qui s’acharne goulûment sur Thomas, celui-ci ne reste pas inactif en faisant lui aussi une fellation gourmande sur le sexe tendu à l’extrême d’Éric.
Une étrange compétition se passe alors sans qu’il y ait eu la moindre concertation, chacun voulant donner le plus de plaisir au sexe dont il s’occupe tout en résistant du mieux qu’il peut aux succions et caresses qu’il reçoit.
Florian se régale des dix-huit centimètres bien épais au goût si particulier propre aux rouquins de Raphaël, il picore tout le long de la hampe sentant frémir son partenaire à chaque fois que ses lèvres le touchent ; ses mains ne restent pas inoccupées et s’occupent aussi bien des belles balles pendantes que de l’anus palpitant, il prépare un coup qui va déclencher à coup sûr l’orgasme de son ami mais il doit d’abord résister aux aspirations et aux palpations d’Éric qui lui dévore la queue et lui masse la corolle insinuant de temps en temps un doigt inquisiteur à l’intérieur.
Heureusement pour Florian qui n’allait pas résister encore bien longtemps à la montée de l’orgasme, Thomas arrive à ses fins et Éric cesse un moment ses attouchements pour jouir bruyamment ne résistant plus à la douceur de la bouche de son ami qu’il redécouvre avec un immense plaisir.
Florian en profite pour mener au point de non-retour un Raphaël qui est de plus en plus réceptif aux bienfaits qu’il lui donne.
Deux doigts investissent son anus pendant que « Flo » aspire goulûment jusqu’en fond de gorge le gland qui manque de l’étouffer en l’arrosant copieusement.
Raphaël s’arc-boute et râle en ôtant le sexe qu’il a en bouche pour ne pas prendre le risque de le mordre et le masturbe avec vigueur, Thomas est proche de l’orgasme son membre grossit encore plus sous les va et vient de cette main brûlante et quand il entend ses amis jouir à tour de rôle, il se lâche et libère son jus sur le visage de Raphaël qui reçoit cette manne chaude et poisseuse en ayant juste le temps de fermer les yeux.
Éric reprend ses caresses buccales sur le gourdin qu’il tient également en main, sa bouche est distendue par l’épaisseur du gland de Florian qui grossi encore plus au fur et à mesure qu’il est proche de l’éjaculation.
Il essaie de l’avaler entièrement mais peine perdue, c’est bien trop long pour qu’il y arrive.
Florian respire par saccade trop excité pour pouvoir contrôler ses poumons, il sent monter en lui le maelström de plaisir qui va enfin le libérer.
Il ne manque pas grand-chose pour qu’il déverse son jus dans cette bouche qui lui fait tant de bien, c’est quand il sent un doigt s’approcher et entrer doucement dans son intimité qu’il pousse un son rauque et jouit dans un plaisir intense.
Éric reçoit les premiers jets en fond de gorge et en apprécie la saveur musquée, ensuite il commence à se demander quand ça va arrêter et en riant il enlève finalement le sexe de sa bouche et prend en plein visage les derniers jets qui se déversent de cette queue gardant toute sa raideur qui en crachant son jus a pris des dimensions qui le laissent sans voix.
1ere ANNEE Août : (44bis/ 60) (Mathis/Damien)
Les deux jeunes entendent tout ce qui se passe comme s’ils y étaient tellement les autres ne prennent aucunes précautions pour rester discrets se croyant sans doute seuls, ils sont allongés sur le ventre ayant cessé toutes activités sur leurs membres respectifs afin de ne rien manquer au spectacle.
- (Damien) C’est sûr qu’on fait petit bras à côté.
- (Mathis) C’est chaud !!!
- (Damien surpris) Putain !! J’y crois pas !! C’est la voix de Thomas ça ?
- (Mathis sur le cul) Il y a aussi Raphaël et Éric !!!
- (Damien) Mais alors le dernier c’est « Flo » ?
- (Mathis) Qui veux-tu que ce soit d’autre ?
- (Damien) Je suis scié là !! Jamais je n’aurais pensé qu’ils fassent ça à quatre.
- En tous les cas ça a l’air de leur plaire !! Les salauds !! Qu’est-ce qu’ils se mettent, tu entends ça ?
- (Damien excité) Tu crois qu’ils se sucent ?
- Un peu oui !! Et pas que ça à mon avis, tiens !! Écoute !! Si Raphaël n’est pas en train de s’en prendre une dans le cul je me fais cureton.
- Ça me donne envie, pas toi ?
- De sucer ou d’enculer ?
- Bah les deux !!
Mathis se tourne sur le côté face à son ami qui en fait autant.
- Je te vois venir toi avec tes gros sabots, tu n’aurais pas l’idée d’essayer ?
Damien remarque le sourire qui accompagne la question ainsi que le sexe tout dur d’où s’échappe un mince filet de sperme.
- Il n’y a pas que moi à ce que je vois.
- (Mathis avec un grand sourire) Chiche on se suce ?
Damien qui se retourne pour faire face au sexe de son copain.
- En même temps ok ?
Mathis en approchant son visage du bas-ventre qui l’attire tant.
- Ok ça le fait pour moi !!
Les deux jeunes se découvrent alors d’une manière qu’ils n’avaient pas encore osé faire, les débuts sont hésitants puis très vite se rendant compte du plaisir que ça leur fait et qu’ils prennent à le faire.
Ils se sucent avec gourmandise et une bonne volonté manifeste, remplaçant leur manque de pratique par une envie de bien faire et de donner un maximum de plaisir à l’autre.
Les divers bruits venant d’à côté les stimulent encore plus, quand une nouvelle fois ils entendent le son rauque d’un des garçons qui se fait manifestement prendre bien à fond par un de ses potes.
Ils n’en peuvent plus et leurs sexes tendus à l'extrême les font se pâmer sous les ondes de plaisirs intenses que leur envoient leurs cerveaux.
Mathis sent un doigt inquisiteur le pénétrer bientôt suivit d’un deuxième, jusque-là il connaît car c’est un des trucs qu’ils se font souvent au moment de jouir pour ressentir encore plus de plaisirs.
Seulement ce soir avec tous les stimuli qu’il perçoit depuis l’autre toile, il a envie de plus et il se redresse pour se mettre à quatre pattes les jambes écartées et les reins arqués vers le matelas dans une position qui ne laisse aucune équivoque sur son envie.
Damien quand il voit son copain lui présenter son cul d’une si croustillante façon s’agenouille derrière lui et sans plus se poser de questions y entre ses quatorze centimètres dans un coup de reins magistral qui laisse Mathis la bouche grande ouverte sous le choc.
Le blondinet déjà bien préparé par les doigts de son copain encaisse sans trop ressentir la douleur, le sexe qui vient de le pénétrer d’une manière aussi directe n’étant pas beaucoup plus gros que ceux-ci.
Seulement la hampe est, elle, quelque peu plus longue et atteint une zone de son corps dont il n’avait pas conscience, une chaleur bizarre remonte à son cerveau et gonfle en lui apportant un plaisir jusque-là jamais ressenti.
Damien qui lui aussi éprouve des impressions nouvelles en pénétrant pour la première fois son petit blond, commence à aller et venir à l’intérieur de ce fourreau qui l’enserre de si merveilleuse façon et lui envoie des sensations délicieuses.
Mathis gémit de plaisir sous l’assaut, décuplant encore plus la libido de son partenaire qui accélère ses coups de reins, son sexe prend un mouvement de balancier qui remplace en mieux n’importe quelle masturbation et le mène petit à petit vers la libération de ses sens.
Damien a maintenant les mains qui s’accrochent fermement aux hanches de Mathis et fixe les épaules couvertes de sueurs dessiner à la perfection du petit blond qui gémit sous la saillie et dont les muscles internes serrent si divinement sa queue qui en ressent les effets en lui délivrant des ondes de plaisirs de plus en plus divines.
L’explosion est proche, ses jambes tremblent et des milliers d’aiguilles délicieuses remontent impérieuses le long de son membre.
Il sent son gland devenir encore plus gros et donne un dernier coup de reins encore plus puissant, se colle aux fesses de Mathis au moment où l’orgasme le raidit et le libère de son flot de sperme qui remplit l’intestin de son ami.
Mathis et lui aussi arrivent au point de non-retour, les mains fermes sur ses hanches, les coups plus virils encore de son partenaire.
Son sexe qui tape en rythme sur son pubis et le gland de plus en plus gros de Damien qui masse l’endroit si sensible dans son ventre l’envoie au septième ciel et la jouissance est si puissante qu’il s’affale sur le lit Damien toujours planté au plus profond de lui.
Le calme est revenu dans l’autre tente quand ils reprennent leurs esprits et se tournent l’un vers l’autre avec encore des milliers d’étoiles dans les yeux.
- (Mathis dans un souffle) Eh bien !! Je comprends mieux maintenant l’expression « prendre son pied ».
- (Damien en l’embrassant sur la joue) C’était super !! Les branlettes vont nous sembler bien fades derrière ça !!
- (Mathis amusé) Pourquoi tu as encore l’intention de t’en taper souvent ?
- Bah non !! Et puis j’aimerais aussi connaître ce que ça fait de se faire prendre.
- T’inquiète, tu le sauras très vite.
- (Damien avec un sourire malicieux) Faut juste que je trouve une bonne queue et pas une « tite quéquette » comme la tienne Hi ! Hi !
Mathis les yeux brillants en lui mettant son sexe toujours raide surmonté d’une petite touffe de poils blonds sous le nez.
- C’est le molosse que t’appelle une « tite quéquette » ?
Gérôme se retire après quelques secondes, Dorian tourne la tête vers lui des papillons dans les yeux.
- T’arrête pas, c’est trop bon.
Gérôme remonte jusqu’aux lèvres du jeune homme et l’embrasse avec une extrême tendresse.
- Ce sera mieux si on se met à l’aise tu ne crois pas, j’ai l’impression d’avoir des menottes aux pieds avec mon « futal » sur les chevilles.
- C’est sûr que ce sera plus pratique Hi ! Hi !
Les deux garçons fébriles enlèvent leurs vêtements comme s’ils étaient en feu et que leurs vies en dépendaient, une fois nus ils se sautent dessus dans une joute amoureuse virile.
Gérôme n’arrive à prendre le dessus sur Dorian quand même plus jeune que lui que parce qu’il l’attrape par les genoux et qu’il les lui bloque sur sa poitrine, ainsi exposée sa rosette vient au contact du sexe toujours au zénith de Gérôme.
Celui-ci glisse dessus et arrête par la même occasion toute velléité de reprendre le combat au jeune homme qui en frémit d’impatience de se la reprendre bien profondément et de retrouver ainsi l’état de plénitude ou la première pénétration même brève l’a amené.
- (Dorian d’une voix rauque) Remets là !!!
Pendant que Dorian excité écarte ses fesses des deux mains, Gérôme guide sa queue face à sa cible et dans un « Han » puissant empale une nouvelle fois son ami qui en pousse un cri de surprise tellement c’est entré soudainement.
Gérôme surveille attentivement son amant et voyant qu’il ne donne aucun signe de douleur, reprend ses allers et retours puissants à l’intérieur du jeune homme qui en a les yeux qui en sortent de la tête tellement les sensations qu’il ressent son phénoménale.
- Ahhh !!! Oui !!! Plus fort c’est trop bon !!! Ahhh !!!
Gérôme lui aussi est aux anges, jamais il n’a ressenti ses fourmillements de plaisirs qui lui traversent le corps en ondes de plus en plus puissantes, il prend un plaisir sans commune mesure avec ce qu’il a connu jusqu’à cet instant.
Il a le regard sur le sexe de son ami qu’il trouve d’une grande beauté bien droit et assez gros.
Celui-ci frappe au rythme de ses pénétrations viriles ses pectoraux contractés, la magnifique queue qu’il a sous les yeux lui donne envie de la prendre en main et de la caresser ce dont il ne se prive pas faisant encore plus grogner de plaisir son compagnon.
Le gland décalotté et luisant l’attire et son pouce vient se frotter dessus en appuyant et massant le frein qui, il le sait très bien se le faisant souvent lui-même, est la zone la plus sensible du garçon qui en ferme les yeux et ahane sous les sensations que son corps déverse en flux continu à son cerveau exacerbé par toutes ses nouvelles découvertes pour lui.
La respiration de Dorian comme la sienne s’accélère essayant d’alimenter leurs cœurs qui battent à tout rompre, il ralentit son va-et-vient pour faire durer car il est conscient qu’ils ne tiendront pas longtemps à ce rythme.
Gérôme se baisse, prend les lèvres de son ami et l’embrasse avec avidité, leurs langues entament alors un ballet magique qui les fait frissonner de pur bonheur.
Gérôme contracte son sexe plusieurs fois au fond de la gaine qui l’enserre aussi merveilleusement déclenchant des râles de plaisirs à son amant qui a l’impression d’être encore plus rempli et masse son point « G » de façon si divine lui envoyant des ondes de chaleur qui le mène d’une façon fulgurante à la jouissance.
Gérôme sent grossir le sexe de Dorian dans sa main et sait qu’il ne pourra plus stopper l’orgasme puissant qui le gagne, il frotte le gland pour accentuer encore plus le plaisir de son ami et reprend ses coups de boutoirs puissants qui le mènent lui aussi dans un frisson de plaisir pur au point de non-retour.
La liqueur chaude qui s’échappe du méat de Dorian tétanisé par sa jouissance poisse ses doigts en même temps qu’il se répand en saccades brûlantes dans l’intimité du garçon dont les muscles internes se resserrent alors divinement sur sa queue bandée à l’extrême déversant toujours son plaisir au plus profond de son compagnon.
Quelques secondes où le monde n’existe plus autour d’eux puis les yeux qui s’ouvrent, se cherchent et se noient les uns dans les autres.
Leurs visages resplendissants se sourient de reconnaissance de s’être donné autant de plaisir puis le baiser qui scelle leur couple pour la vie.
- (Dorian ému) Tu es l’homme que je cherchais dans mes rêves les plus fous.
Gérôme épanoui par tant de bonheur.
- Toi aussi, c’était merveilleux.
Dorian après un baiser bref et brûlant.
- Je t’aime Gérôme.
Gérôme les yeux humide.
- Je t’aime Dorian.
1ere ANNEE Août : (44 / 60) (Nuit de réconciliation) (fin)
Mathis et Damien sont seuls au campement et s’astiquent le jonc comme ils le font à la moindre occasion et cela un maximum de fois chaque jour, ils sont face à face à genoux sur le lit et chacun masturbe d’une main le sexe de l’autre pendant que l’autre main s’occupe du petit sac pendant au-dessous.
Ils en sont au début de leurs « manipulations » quand ils entendent des pas et des rires égrillards se diriger dans leur direction, ils arrêtent net leur petit jeu et tendent l’oreille curieux de savoir lesquels de leurs amis peuvent bien rentrer aussi tôt.
Ils sont quelque peu soulagés quand ils comprennent que les arrivants entrent dans l’autre toile de tente et se sourient malicieusement en reprenant tranquillement leurs petites branlettes en restant toutefois vigilant à ce qui se passe à côté.
Florian et ses amis entrent sous la tente et choisissent tout naturellement la chambre maintenant libre d’Émilie et de Julien qui est toujours équipée des deux grands lits, les garçons enlèvent rapidement les quelques vêtements dont ils sont vêtus puis s’allongent en couples sur les lits et commencent à se caresser faisant monter l’envie de sexe qui les taraude depuis un bon moment déjà.
Le grand blond et le beau brun se retrouvant au-dessus des deux rouquins qui se tiennent la main en se regardant, laissant leurs deux compagnons mener le bal et faire ce qu’ils veulent de leurs corps.
Les sexes luisent de leurs excitations respectives et sont bandés au maximum de leurs capacités tant le fait de se retrouver tous les quatre décuple leurs libidos.
Éric ne sait plus où porter son regard devant les corps magnifiques qu’il a sous les yeux et qu’il découvre ou redécouvre intimement avec bonheur, il n’ose pas faire le premier pas et attend avec impatience un signe de l’un d’entre eux pour assouvir son immense envie de partage et de communion.
C’est Florian avec sa nature franche et sans fausse pudeur qui déclenche les hostilités, après un énième baiser enflammé envers Thomas qui en frissonne de plaisir.
Il se tourne vers Raphaël qui a le droit au même traitement qui le laisse sans souffle puis en se dégageant doucement des deux garçons, attrape son ami d’enfance et l’enlace fiévreusement laissant Thomas et Raphaël se découvrir tous leurs soûls.
Le cœur d’Éric cogne dans sa poitrine presque douloureusement, sentir le corps de Florian enlacer le sien est une chose qu’il a tant attendue qu’il ne réalise pas encore qu’enfin le fantasme de toute une vie est en train de se concrétiser.
Des larmes lui montent aux yeux et il serre très fort son ami contre lui en tremblant.
Florian réalise lui aussi à quel point son geste déclenche d’émotions au beau brun qu’il tient dans ses bras, lui aussi est ému de ce contact intime avec son ami et se traite de tous les noms de ne pas avoir vu clair plus tôt dans son cœur et de l’avoir laissé tout ce temps seul avec toute la tristesse qu’il a dû ressentir à être mis de côté face à ses deux amis qui apprenaient à se découvrir sans lui.
Thomas trouve étrange de tenir dans ses bras celui qui ressemble tant à Florian, les yeux vert du garçon le fixe en brillant de plaisir de pouvoir partager cet instant si intense avec ce garçon magnifique qui est devenu son ami.
Les mains de Raphaël viennent timidement explorer le corps doux et brûlant qui vibre sous ses attouchements, les visages se rapprochent et s’embrassent d’abord timidement puis avec plus de vigueur jusqu’à rompre les ultimes barrières.
Pendant un long, très long moment les garçons s’échangent et se découvrent emmêlant leurs corps, les mains palpent, caressent, masturbent, s’introduisent dans des lieux chaud et soyeux, les bouches embrassent, lèchent, sucent et picorent tout ce qui leur passe à portées ; les sexes s’exhibent, se frottent, investissent des intimités buccales et anales d’une douceur inouïe.
Les gorges râlent, crient, grognent dans une moiteur de corps en rut et une odeur piquante de muscs et de sueurs.
Un étrange carré se forme, Florian sent la bouche d’Éric le sucer avec passion alors que lui donne la réciprocité sur celui de Raphaël qui s’acharne goulûment sur Thomas, celui-ci ne reste pas inactif en faisant lui aussi une fellation gourmande sur le sexe tendu à l’extrême d’Éric.
Une étrange compétition se passe alors sans qu’il y ait eu la moindre concertation, chacun voulant donner le plus de plaisir au sexe dont il s’occupe tout en résistant du mieux qu’il peut aux succions et caresses qu’il reçoit.
Florian se régale des dix-huit centimètres bien épais au goût si particulier propre aux rouquins de Raphaël, il picore tout le long de la hampe sentant frémir son partenaire à chaque fois que ses lèvres le touchent ; ses mains ne restent pas inoccupées et s’occupent aussi bien des belles balles pendantes que de l’anus palpitant, il prépare un coup qui va déclencher à coup sûr l’orgasme de son ami mais il doit d’abord résister aux aspirations et aux palpations d’Éric qui lui dévore la queue et lui masse la corolle insinuant de temps en temps un doigt inquisiteur à l’intérieur.
Heureusement pour Florian qui n’allait pas résister encore bien longtemps à la montée de l’orgasme, Thomas arrive à ses fins et Éric cesse un moment ses attouchements pour jouir bruyamment ne résistant plus à la douceur de la bouche de son ami qu’il redécouvre avec un immense plaisir.
Florian en profite pour mener au point de non-retour un Raphaël qui est de plus en plus réceptif aux bienfaits qu’il lui donne.
Deux doigts investissent son anus pendant que « Flo » aspire goulûment jusqu’en fond de gorge le gland qui manque de l’étouffer en l’arrosant copieusement.
Raphaël s’arc-boute et râle en ôtant le sexe qu’il a en bouche pour ne pas prendre le risque de le mordre et le masturbe avec vigueur, Thomas est proche de l’orgasme son membre grossit encore plus sous les va et vient de cette main brûlante et quand il entend ses amis jouir à tour de rôle, il se lâche et libère son jus sur le visage de Raphaël qui reçoit cette manne chaude et poisseuse en ayant juste le temps de fermer les yeux.
Éric reprend ses caresses buccales sur le gourdin qu’il tient également en main, sa bouche est distendue par l’épaisseur du gland de Florian qui grossi encore plus au fur et à mesure qu’il est proche de l’éjaculation.
Il essaie de l’avaler entièrement mais peine perdue, c’est bien trop long pour qu’il y arrive.
Florian respire par saccade trop excité pour pouvoir contrôler ses poumons, il sent monter en lui le maelström de plaisir qui va enfin le libérer.
Il ne manque pas grand-chose pour qu’il déverse son jus dans cette bouche qui lui fait tant de bien, c’est quand il sent un doigt s’approcher et entrer doucement dans son intimité qu’il pousse un son rauque et jouit dans un plaisir intense.
Éric reçoit les premiers jets en fond de gorge et en apprécie la saveur musquée, ensuite il commence à se demander quand ça va arrêter et en riant il enlève finalement le sexe de sa bouche et prend en plein visage les derniers jets qui se déversent de cette queue gardant toute sa raideur qui en crachant son jus a pris des dimensions qui le laissent sans voix.
1ere ANNEE Août : (44bis/ 60) (Mathis/Damien)
Les deux jeunes entendent tout ce qui se passe comme s’ils y étaient tellement les autres ne prennent aucunes précautions pour rester discrets se croyant sans doute seuls, ils sont allongés sur le ventre ayant cessé toutes activités sur leurs membres respectifs afin de ne rien manquer au spectacle.
- (Damien) C’est sûr qu’on fait petit bras à côté.
- (Mathis) C’est chaud !!!
- (Damien surpris) Putain !! J’y crois pas !! C’est la voix de Thomas ça ?
- (Mathis sur le cul) Il y a aussi Raphaël et Éric !!!
- (Damien) Mais alors le dernier c’est « Flo » ?
- (Mathis) Qui veux-tu que ce soit d’autre ?
- (Damien) Je suis scié là !! Jamais je n’aurais pensé qu’ils fassent ça à quatre.
- En tous les cas ça a l’air de leur plaire !! Les salauds !! Qu’est-ce qu’ils se mettent, tu entends ça ?
- (Damien excité) Tu crois qu’ils se sucent ?
- Un peu oui !! Et pas que ça à mon avis, tiens !! Écoute !! Si Raphaël n’est pas en train de s’en prendre une dans le cul je me fais cureton.
- Ça me donne envie, pas toi ?
- De sucer ou d’enculer ?
- Bah les deux !!
Mathis se tourne sur le côté face à son ami qui en fait autant.
- Je te vois venir toi avec tes gros sabots, tu n’aurais pas l’idée d’essayer ?
Damien remarque le sourire qui accompagne la question ainsi que le sexe tout dur d’où s’échappe un mince filet de sperme.
- Il n’y a pas que moi à ce que je vois.
- (Mathis avec un grand sourire) Chiche on se suce ?
Damien qui se retourne pour faire face au sexe de son copain.
- En même temps ok ?
Mathis en approchant son visage du bas-ventre qui l’attire tant.
- Ok ça le fait pour moi !!
Les deux jeunes se découvrent alors d’une manière qu’ils n’avaient pas encore osé faire, les débuts sont hésitants puis très vite se rendant compte du plaisir que ça leur fait et qu’ils prennent à le faire.
Ils se sucent avec gourmandise et une bonne volonté manifeste, remplaçant leur manque de pratique par une envie de bien faire et de donner un maximum de plaisir à l’autre.
Les divers bruits venant d’à côté les stimulent encore plus, quand une nouvelle fois ils entendent le son rauque d’un des garçons qui se fait manifestement prendre bien à fond par un de ses potes.
Ils n’en peuvent plus et leurs sexes tendus à l'extrême les font se pâmer sous les ondes de plaisirs intenses que leur envoient leurs cerveaux.
Mathis sent un doigt inquisiteur le pénétrer bientôt suivit d’un deuxième, jusque-là il connaît car c’est un des trucs qu’ils se font souvent au moment de jouir pour ressentir encore plus de plaisirs.
Seulement ce soir avec tous les stimuli qu’il perçoit depuis l’autre toile, il a envie de plus et il se redresse pour se mettre à quatre pattes les jambes écartées et les reins arqués vers le matelas dans une position qui ne laisse aucune équivoque sur son envie.
Damien quand il voit son copain lui présenter son cul d’une si croustillante façon s’agenouille derrière lui et sans plus se poser de questions y entre ses quatorze centimètres dans un coup de reins magistral qui laisse Mathis la bouche grande ouverte sous le choc.
Le blondinet déjà bien préparé par les doigts de son copain encaisse sans trop ressentir la douleur, le sexe qui vient de le pénétrer d’une manière aussi directe n’étant pas beaucoup plus gros que ceux-ci.
Seulement la hampe est, elle, quelque peu plus longue et atteint une zone de son corps dont il n’avait pas conscience, une chaleur bizarre remonte à son cerveau et gonfle en lui apportant un plaisir jusque-là jamais ressenti.
Damien qui lui aussi éprouve des impressions nouvelles en pénétrant pour la première fois son petit blond, commence à aller et venir à l’intérieur de ce fourreau qui l’enserre de si merveilleuse façon et lui envoie des sensations délicieuses.
Mathis gémit de plaisir sous l’assaut, décuplant encore plus la libido de son partenaire qui accélère ses coups de reins, son sexe prend un mouvement de balancier qui remplace en mieux n’importe quelle masturbation et le mène petit à petit vers la libération de ses sens.
Damien a maintenant les mains qui s’accrochent fermement aux hanches de Mathis et fixe les épaules couvertes de sueurs dessiner à la perfection du petit blond qui gémit sous la saillie et dont les muscles internes serrent si divinement sa queue qui en ressent les effets en lui délivrant des ondes de plaisirs de plus en plus divines.
L’explosion est proche, ses jambes tremblent et des milliers d’aiguilles délicieuses remontent impérieuses le long de son membre.
Il sent son gland devenir encore plus gros et donne un dernier coup de reins encore plus puissant, se colle aux fesses de Mathis au moment où l’orgasme le raidit et le libère de son flot de sperme qui remplit l’intestin de son ami.
Mathis et lui aussi arrivent au point de non-retour, les mains fermes sur ses hanches, les coups plus virils encore de son partenaire.
Son sexe qui tape en rythme sur son pubis et le gland de plus en plus gros de Damien qui masse l’endroit si sensible dans son ventre l’envoie au septième ciel et la jouissance est si puissante qu’il s’affale sur le lit Damien toujours planté au plus profond de lui.
Le calme est revenu dans l’autre tente quand ils reprennent leurs esprits et se tournent l’un vers l’autre avec encore des milliers d’étoiles dans les yeux.
- (Mathis dans un souffle) Eh bien !! Je comprends mieux maintenant l’expression « prendre son pied ».
- (Damien en l’embrassant sur la joue) C’était super !! Les branlettes vont nous sembler bien fades derrière ça !!
- (Mathis amusé) Pourquoi tu as encore l’intention de t’en taper souvent ?
- Bah non !! Et puis j’aimerais aussi connaître ce que ça fait de se faire prendre.
- T’inquiète, tu le sauras très vite.
- (Damien avec un sourire malicieux) Faut juste que je trouve une bonne queue et pas une « tite quéquette » comme la tienne Hi ! Hi !
Mathis les yeux brillants en lui mettant son sexe toujours raide surmonté d’une petite touffe de poils blonds sous le nez.
- C’est le molosse que t’appelle une « tite quéquette » ?
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