25-01-2022, 03:20 PM
Durant cet après-midi au bahut, je suis resté focalisé sur ce que Patrice m’avait confié durant la pause de midi. Je retrouve Marie à la récréation de l’après-midi. Je lui parle de Patrice, sans pour autant dire qu’il est gay. Je parle surtout de son ambition de faire du théâtre. Elle connait bien le responsable du groupe de théâtre, elle compte lui parler de Patrice.
Après les cours je rentre à la maison. Jean est déjà rentré, il m’attend pour le goûter. Nous mangeons ensemble des tranches de cramique avec une tasse de « cécémel ». Nous parlons de notre journée et je raconte ma rencontre avec Patrice et son envie de faire du théâtre. De son côté Jean me raconte ses flirts avec les filles de sa classe lors des récréations.
Je révise mes leçons pour être à jour dans mes études et pour être prêt en cas d’interrogation surprise. Ce serait trop bête de perdre des points qui sont faciles à gagner. Chaque point est important pour le travail journalier.
Avant le retour de mes parents, je téléphone à Ben pour avoir de ses nouvelles. Il me dit que de son côté tout va bien dans sa classe. Il a eu deux interros où il a eu presque le maximum. Il est comme moi, il ne veut pas être surpris et il veut être à jour dans toutes les matières. Je lui raconte mon repas de midi avec Patrice. Ben est impressionné d’apprendre qu’un jeune gars puisse parler de son homosexualité sans avoir peur. Bien entendu qu’il sait que je suis gay, donc ça facilite l’aveu. Puis je parle de mon rendez-vous avec Raphaël qui est prévu pour le lendemain. Ben me dit que j’ai bien fait de prévoir de lui rendre visite pour l’aider à faire le tri dans ses pensées.
Pour le souper toute la famille est là, André est également présent, il est placé à côté de Anne. Nous parlons de notre journée, de l’école, des interros, etc. Je signale à mes parents que demain en fin d’après-midi j’irai chez Raphaël pour discuter avec lui. Maman me demande de faire attention si ses parents sont homophobes. Je sais très bien que je vais devoir être sur mes gardes, mais je crains plus pour Raph que pour moi. La soirée se passe bien, nous regardons un feuilleton à la télévision : « Chapeau melon et bottes de cuir ».
Il est déjà vingt-deux heures quinze et il est temps d’aller dormir. Jean monte déjà à l’étage et j’embrasse mes parents. Je vais ensuite dans ma chambre et je me prépare pour prendre ma douche. Je rejoins Jean à la salle de bain, il est déjà sous le jet d’eau chaude. Il m’invite à venir auprès de lui, comme ça nous économisons de l’eau chaude, ainsi il en restera encore assez pour le reste de la famille. Nous finissons en même temps Jean et moi. C’est donc nus que nous regagnons nos chambres en croisant Anne et André dans le hall de nuit, bien entendu ils sont nus comme des vers eux aussi.
Je me mets sous les couvertures en écoutant avec le casque un disque de « Led Zeppelin », le n°3. Alors que je suis plongé dans l’écoute de la face « B », je remarque que la porte de ma chambre s’ouvre. La tête de Jean apparaît. Je lui fais signe d’entrer et j’ôte le casque de mes oreilles. Jean me dit :
Jea : « Désolé, j’ai frappé mais tu n’as pas entendu avec ton casque et comme il y avait encore de la lumière, je suis entré.
Moi : Tu as bien fait.
Jea : Je voulais te poser une question.
Moi : Je t’écoute, mais ne reste pas là planté, viens te coucher près de moi dans le lit, tu vas avoir froid.
Jea : Merci Phil. (Jean se couche dans mon lit sous les couvertures) J’ai réfléchi à ce que tu m’as dit à quatre heures, je suis sûr que Patrice t’as parlé d’autre chose que de théâtre ! Est-ce que je me trompe ?
Moi : Heu, qu’est ce qui te fais dire ça ?
Jea : Je sais que tu aides les autres et quand tu m’as parlé de lui, je savais qu’il n’y avait pas que le théâtre, mais qu’il avait parlé de lui, comme on parle à un ami ou à un confident !
Moi : Oui Jean, oui il s’est confié à moi. Il m’a dit que je ne lui avais pas posé la question de savoir pour quelle raison il m’a choisi comme parrain.
Jea : J’en étais sûr !
Moi : Il m’a dit que c’est parce que je suis gay, que j’ai sauvé un scout de mon équipe durant le camp et qu’il a confiance en moi. Puis il a ajouté qu’il croyait bien que lui aussi est gay.
Jea : Je n’en reviens pas, il est si jeune et il se pose déjà ce genre de question. Il te parle de lui et il se confie, c’est incroyable.
Moi : J’ai demandé à Marie de parler aux responsables du théâtre pour qu’il puisse éventuellement passer un entretien pour un rôle.
Jea : C’est super. Tu as eu raison.
Moi : Puis je sais que je vais l’aider, du moins s’il le souhaite, pour qu’il puisse vivre sa sexualité sans trop de problème, surtout en ce qui concerne l’homophobie !
Jea : Tu as encore raison Phil, mais fais attention à toi.
Moi : Je sais Jean, je sais que je dois moi aussi me prémunir face à ce fléau !
Jea : Je compte sur toi … je ne veux pas te perdre. Je t’aime mon grand frérot ! »
Jean me fait un câlin, un câlin fraternel. Je sais très bien que Jean est inquiet car il a peur que je sois une nouvelle fois face à des malades qui ne respectent pas les autres, qui pensent avoir raison et sont les « étalons » de la société. Jean se repositionne à côté de moi dans le lit. Il me regarde et je fais de même. J’aime bien cette complicité avec mon petit frère. Il est si attentif depuis les vacances en Vendée où je …
Nous continuons à parler ensemble. Je lui demande s’il a une copine depuis la rentrée scolaire. Il me répond évasivement, je pense donc qu’il a des vues sur une élève de sa classe. Il me demande alors si ça va toujours bien avec Ben. Je réponds que oui, nous sommes certains que l’un et l’autre nous pouvons nous faire confiance, c’est une question de respect. Au fur et à mesure de la conversation je sens que Jean va s’endormir. Je lui suggère d’aller dans son lit à deux reprises, mais il trouve toujours un point de vue à soulever et donc à débattre. Je lui pose une question, mais je n’obtiens pas de réponse. Je remarque qu’il s’est endormi. Je décide de le laisser dormir avec moi et j’éteins la lampe de chevet.
La nuit se passe bien, je sais que Jean est là auprès de moi et qu’il est un super frère. C’est vers six heures trente-cinq que je me réveille. Jean dort toujours. Il est paisiblement positionné, la tête vers moi, une respiration régulière, le visage reposé et comme un sourire encore endormi sur ses lèvres. Je le regarde et je me dis qu’avec son visage d’ange il doit quand même bien faire craquer les filles et qu’il pourrait aussi être désiré par les garçons, tout en sachant qu’il est hétéro.
Jean ouvre les yeux, il me regarde et il me dit :
Jea : « Bonjour frérot !
Moi : Bonjour Jean, tu as bien dormi ?
Jea : Oui, tu ne m’as pas envoyé dans ma chambre pour dormir.
Moi : Non Jean, tu dormais si bien que je n’ai pas voulu te réveiller pour que tu ailles dans ton lit.
Jea : Merci. Ça me rappelle quand parfois j’allais te rejoindre dans ton lit quand nous étions encore de jeunes enfants.
Moi : Oui, c’est vrai et c’est aussi moi qui allais te rejoindre dans ton lit.
Jea : Je ne te cache pas que ça m’a fait plaisir de dormir avec toi cette nuit.
Moi : Et à moi donc. On devrait le refaire de temps en temps !
Jea : Oui, c’est une très bonne idée.
Moi : Bon je pense qu’il est temps de se lever. Allez « ouste » la petite marmotte !
Jea : Tu peux parler !
Nous éclatons de rire et nous nous levons. Jean se retourne, je me suis aperçu qu’il a la gaule du matin. Moi aussi d’ailleurs, mais je ne me cache pas.
Moi : Tu sais Jean, tu bandes, c’est normal, tu n’as pas besoin de te cacher.
Jea : Oui, mais bon je ne voulais pas … enfin tu vois !
Moi : Oui, je vois que nous sommes dans le même état. Une bonne douche tiède et ça ira mieux. »
Nous allons à la salle de bain, nos sexes pointent vers le plafond. Je rentre dans la douche et je règle la température de l’eau. Jean me rejoint, nous sommes tous les deux encore bien bandés. Je décalotte mon gland plusieurs fois sous l’eau en tenant mon sexe en main. Jean fait de même et il continue quelques mouvements d’aller-retour sur son pénis. Je n’y tiens plus, je prends ma colonne de chair et je commence moi aussi à me masturber lascivement. Bref après dix secondes nous nous masturbons face à face. Il y a déjà pas mal de temps que cela ne nous est plus arrivé. Jean affiche un large sourire ce qui me donne aussi la banane. Nous jouissons assez vite sur la paroi de la douche. Nous ne disons rien et nous nous lavons. Ensuite Jean lave mon dos et je fais le sien par la suite. Une fois essuyés nous revenons chacun dans notre chambre.
Le petit déjeuner est servi. Le café est dans le thermos. Maman demande à Jean où il a dormi car son lit n’est pas défait. Il explique qu’il m’a rejoint hier soir pour discuter et qu’il s’est endormi dans mon lit. C’est alors l’occasion de rappeler à Maman que cet après-midi je vais chez Raphaël pour discuter avec lui. Jean ajoute qu’il doit songer à préparer un exposé mais qu’il n’a pas encore de camarade de classe avec lui. Il va devoir demander à l’un ou l’autre élève de sa classe de faire un binôme avec lui.
Nous saluons Maman avant d’aller prendre notre bus. Juste avant de refermer la porte d’entrée nous apercevons Anne et André qui descendent les escaliers. Nous leur disons « bonjour » de loin et nous partons vers l’arrêt de bus.
La matinée se passe bien. Pas d’interro aujourd’hui. Nous avons eu deux heures de physique suivies par deux heures de français. Durant le quart d’heure de récréation je retrouve Marie et Isabelle à notre endroit habituel. Marie parle déjà des vacances de Noël avec Isabelle. Pour ma part, c’est encore loin. Je ne sais pas si nous n’allons pas avoir quelques jours avec l’équipe JER durant cette même période. Ça me rappelle les quelques jours passés à Pâques avec les deux filles et les parents de Marie.
Je rentre en bus et arrive à la maison avant Jean : c’est plutôt rare. J’en profite pour mettre la table sur la terrasse vu le beau temps qui règne. Je regarde dans le frigo et je vois que le repas est déjà prêt : c’est un plat froid composé d’un pain de viande, de salade, de tomates et de betteraves rouges, le tout accompagné de pommes de terre froides. Ça a l’air vraiment appétissant.
Après les cours je rentre à la maison. Jean est déjà rentré, il m’attend pour le goûter. Nous mangeons ensemble des tranches de cramique avec une tasse de « cécémel ». Nous parlons de notre journée et je raconte ma rencontre avec Patrice et son envie de faire du théâtre. De son côté Jean me raconte ses flirts avec les filles de sa classe lors des récréations.
Je révise mes leçons pour être à jour dans mes études et pour être prêt en cas d’interrogation surprise. Ce serait trop bête de perdre des points qui sont faciles à gagner. Chaque point est important pour le travail journalier.
Avant le retour de mes parents, je téléphone à Ben pour avoir de ses nouvelles. Il me dit que de son côté tout va bien dans sa classe. Il a eu deux interros où il a eu presque le maximum. Il est comme moi, il ne veut pas être surpris et il veut être à jour dans toutes les matières. Je lui raconte mon repas de midi avec Patrice. Ben est impressionné d’apprendre qu’un jeune gars puisse parler de son homosexualité sans avoir peur. Bien entendu qu’il sait que je suis gay, donc ça facilite l’aveu. Puis je parle de mon rendez-vous avec Raphaël qui est prévu pour le lendemain. Ben me dit que j’ai bien fait de prévoir de lui rendre visite pour l’aider à faire le tri dans ses pensées.
Pour le souper toute la famille est là, André est également présent, il est placé à côté de Anne. Nous parlons de notre journée, de l’école, des interros, etc. Je signale à mes parents que demain en fin d’après-midi j’irai chez Raphaël pour discuter avec lui. Maman me demande de faire attention si ses parents sont homophobes. Je sais très bien que je vais devoir être sur mes gardes, mais je crains plus pour Raph que pour moi. La soirée se passe bien, nous regardons un feuilleton à la télévision : « Chapeau melon et bottes de cuir ».
Il est déjà vingt-deux heures quinze et il est temps d’aller dormir. Jean monte déjà à l’étage et j’embrasse mes parents. Je vais ensuite dans ma chambre et je me prépare pour prendre ma douche. Je rejoins Jean à la salle de bain, il est déjà sous le jet d’eau chaude. Il m’invite à venir auprès de lui, comme ça nous économisons de l’eau chaude, ainsi il en restera encore assez pour le reste de la famille. Nous finissons en même temps Jean et moi. C’est donc nus que nous regagnons nos chambres en croisant Anne et André dans le hall de nuit, bien entendu ils sont nus comme des vers eux aussi.
Je me mets sous les couvertures en écoutant avec le casque un disque de « Led Zeppelin », le n°3. Alors que je suis plongé dans l’écoute de la face « B », je remarque que la porte de ma chambre s’ouvre. La tête de Jean apparaît. Je lui fais signe d’entrer et j’ôte le casque de mes oreilles. Jean me dit :
Jea : « Désolé, j’ai frappé mais tu n’as pas entendu avec ton casque et comme il y avait encore de la lumière, je suis entré.
Moi : Tu as bien fait.
Jea : Je voulais te poser une question.
Moi : Je t’écoute, mais ne reste pas là planté, viens te coucher près de moi dans le lit, tu vas avoir froid.
Jea : Merci Phil. (Jean se couche dans mon lit sous les couvertures) J’ai réfléchi à ce que tu m’as dit à quatre heures, je suis sûr que Patrice t’as parlé d’autre chose que de théâtre ! Est-ce que je me trompe ?
Moi : Heu, qu’est ce qui te fais dire ça ?
Jea : Je sais que tu aides les autres et quand tu m’as parlé de lui, je savais qu’il n’y avait pas que le théâtre, mais qu’il avait parlé de lui, comme on parle à un ami ou à un confident !
Moi : Oui Jean, oui il s’est confié à moi. Il m’a dit que je ne lui avais pas posé la question de savoir pour quelle raison il m’a choisi comme parrain.
Jea : J’en étais sûr !
Moi : Il m’a dit que c’est parce que je suis gay, que j’ai sauvé un scout de mon équipe durant le camp et qu’il a confiance en moi. Puis il a ajouté qu’il croyait bien que lui aussi est gay.
Jea : Je n’en reviens pas, il est si jeune et il se pose déjà ce genre de question. Il te parle de lui et il se confie, c’est incroyable.
Moi : J’ai demandé à Marie de parler aux responsables du théâtre pour qu’il puisse éventuellement passer un entretien pour un rôle.
Jea : C’est super. Tu as eu raison.
Moi : Puis je sais que je vais l’aider, du moins s’il le souhaite, pour qu’il puisse vivre sa sexualité sans trop de problème, surtout en ce qui concerne l’homophobie !
Jea : Tu as encore raison Phil, mais fais attention à toi.
Moi : Je sais Jean, je sais que je dois moi aussi me prémunir face à ce fléau !
Jea : Je compte sur toi … je ne veux pas te perdre. Je t’aime mon grand frérot ! »
Jean me fait un câlin, un câlin fraternel. Je sais très bien que Jean est inquiet car il a peur que je sois une nouvelle fois face à des malades qui ne respectent pas les autres, qui pensent avoir raison et sont les « étalons » de la société. Jean se repositionne à côté de moi dans le lit. Il me regarde et je fais de même. J’aime bien cette complicité avec mon petit frère. Il est si attentif depuis les vacances en Vendée où je …
Nous continuons à parler ensemble. Je lui demande s’il a une copine depuis la rentrée scolaire. Il me répond évasivement, je pense donc qu’il a des vues sur une élève de sa classe. Il me demande alors si ça va toujours bien avec Ben. Je réponds que oui, nous sommes certains que l’un et l’autre nous pouvons nous faire confiance, c’est une question de respect. Au fur et à mesure de la conversation je sens que Jean va s’endormir. Je lui suggère d’aller dans son lit à deux reprises, mais il trouve toujours un point de vue à soulever et donc à débattre. Je lui pose une question, mais je n’obtiens pas de réponse. Je remarque qu’il s’est endormi. Je décide de le laisser dormir avec moi et j’éteins la lampe de chevet.
La nuit se passe bien, je sais que Jean est là auprès de moi et qu’il est un super frère. C’est vers six heures trente-cinq que je me réveille. Jean dort toujours. Il est paisiblement positionné, la tête vers moi, une respiration régulière, le visage reposé et comme un sourire encore endormi sur ses lèvres. Je le regarde et je me dis qu’avec son visage d’ange il doit quand même bien faire craquer les filles et qu’il pourrait aussi être désiré par les garçons, tout en sachant qu’il est hétéro.
Jean ouvre les yeux, il me regarde et il me dit :
Jea : « Bonjour frérot !
Moi : Bonjour Jean, tu as bien dormi ?
Jea : Oui, tu ne m’as pas envoyé dans ma chambre pour dormir.
Moi : Non Jean, tu dormais si bien que je n’ai pas voulu te réveiller pour que tu ailles dans ton lit.
Jea : Merci. Ça me rappelle quand parfois j’allais te rejoindre dans ton lit quand nous étions encore de jeunes enfants.
Moi : Oui, c’est vrai et c’est aussi moi qui allais te rejoindre dans ton lit.
Jea : Je ne te cache pas que ça m’a fait plaisir de dormir avec toi cette nuit.
Moi : Et à moi donc. On devrait le refaire de temps en temps !
Jea : Oui, c’est une très bonne idée.
Moi : Bon je pense qu’il est temps de se lever. Allez « ouste » la petite marmotte !
Jea : Tu peux parler !
Nous éclatons de rire et nous nous levons. Jean se retourne, je me suis aperçu qu’il a la gaule du matin. Moi aussi d’ailleurs, mais je ne me cache pas.
Moi : Tu sais Jean, tu bandes, c’est normal, tu n’as pas besoin de te cacher.
Jea : Oui, mais bon je ne voulais pas … enfin tu vois !
Moi : Oui, je vois que nous sommes dans le même état. Une bonne douche tiède et ça ira mieux. »
Nous allons à la salle de bain, nos sexes pointent vers le plafond. Je rentre dans la douche et je règle la température de l’eau. Jean me rejoint, nous sommes tous les deux encore bien bandés. Je décalotte mon gland plusieurs fois sous l’eau en tenant mon sexe en main. Jean fait de même et il continue quelques mouvements d’aller-retour sur son pénis. Je n’y tiens plus, je prends ma colonne de chair et je commence moi aussi à me masturber lascivement. Bref après dix secondes nous nous masturbons face à face. Il y a déjà pas mal de temps que cela ne nous est plus arrivé. Jean affiche un large sourire ce qui me donne aussi la banane. Nous jouissons assez vite sur la paroi de la douche. Nous ne disons rien et nous nous lavons. Ensuite Jean lave mon dos et je fais le sien par la suite. Une fois essuyés nous revenons chacun dans notre chambre.
Le petit déjeuner est servi. Le café est dans le thermos. Maman demande à Jean où il a dormi car son lit n’est pas défait. Il explique qu’il m’a rejoint hier soir pour discuter et qu’il s’est endormi dans mon lit. C’est alors l’occasion de rappeler à Maman que cet après-midi je vais chez Raphaël pour discuter avec lui. Jean ajoute qu’il doit songer à préparer un exposé mais qu’il n’a pas encore de camarade de classe avec lui. Il va devoir demander à l’un ou l’autre élève de sa classe de faire un binôme avec lui.
Nous saluons Maman avant d’aller prendre notre bus. Juste avant de refermer la porte d’entrée nous apercevons Anne et André qui descendent les escaliers. Nous leur disons « bonjour » de loin et nous partons vers l’arrêt de bus.
La matinée se passe bien. Pas d’interro aujourd’hui. Nous avons eu deux heures de physique suivies par deux heures de français. Durant le quart d’heure de récréation je retrouve Marie et Isabelle à notre endroit habituel. Marie parle déjà des vacances de Noël avec Isabelle. Pour ma part, c’est encore loin. Je ne sais pas si nous n’allons pas avoir quelques jours avec l’équipe JER durant cette même période. Ça me rappelle les quelques jours passés à Pâques avec les deux filles et les parents de Marie.
Je rentre en bus et arrive à la maison avant Jean : c’est plutôt rare. J’en profite pour mettre la table sur la terrasse vu le beau temps qui règne. Je regarde dans le frigo et je vois que le repas est déjà prêt : c’est un plat froid composé d’un pain de viande, de salade, de tomates et de betteraves rouges, le tout accompagné de pommes de terre froides. Ça a l’air vraiment appétissant.