Je vous conseille d’écouter un « Bransle gay » en lisant cette suite. J’ai découvert qu’il existe de la musique ancienne qui porte ce titre prémonitoire. Le branle était une danse dès le 16ème siècle.
Mes personnages sont, quant à eux, de grands onanistes devant l’Éternel (si j’ose utiliser cette expression). Toute ressemblance avec l’auteur de ce récit ne serait qu’une impure coïncidence.
Chapitre 12 - La rentrée (3)
Samedi 29 août 1964, en train entre Amsterdam et Interlaken
Koen ne répondit pas, il devait bien admettre que les jumeaux l’excitaient au plus haut point, mais pas assez pour lui faire oublier la rigueur scientifique. Il s’assit entre les deux puis éteignit la lumière du compartiment. Il vérifia au toucher quel membre avait le grain de beauté, c’était celui de gauche. Il alterna des caresses énergiques sur l’un et très douces sur l’autre.
Les jumeaux semblaient très concentrés et Koen ne percevait aucun signe qui pût indiquer s’ils aimaient ces branlettes. Il avait oublié de regarder sa montre pour mesurer le nombre de minutes jusqu’à l’éjaculation, il avait d’ailleurs hâte qu’elle survînt, mais les jumeaux n'étaient pas pressés. Même s’ils n’étaient pas télépathes, ils pouvaient contrôler leur éjaculation, comme les Japonais l’avaient fait à Zurich quelques semaines plus tôt. Ils devaient s’être beaucoup entraînés.
Sans prévenir, les jumeaux jouirent presqu’en même temps, juste une dizaine de secondes de décalage. Koen ralluma la lumière.
— Vous êtes convaincu, Monsieur Grotelul ? demanda Sacha.
— Pas vraiment, ce n’est peut-être que le hasard, une expérience doit être reproductible pour être validée.
— Une autre fois, fit Vania, la télépathie demande une grande concentration et nous sommes épuisés ce soir.
— Tout comme nos liquides séminaux.
— Il faudra que j’en parle au Prof Latte, dit Koen, tout en se lavant les mains.
— C’est qui ce professeur ?
— Il enseigne à Heidelberg, il a un centre de recherches sur l’orgasme. Vous feriez des sujets d’étude idéaux, il faudra me laisser votre adresse.
— Participer à une recherche sur l’orgasme ? Qu’en penses-tu, Sacha ?
— S’il faut passer par là pour convaincre le monsieur que nous sommes télépathes, je suis d’accord. On lui donnera notre adresse demain. Tu crois qu’on pourrait aussi jouer avec le zizi du monsieur ?
— S’il est d’accord. Demande-lui.
— Je n’ose pas.
— Il ne va pas te manger, tout au plus te sucer. Monsieur Grotelul, pourrions-nous jouer avec votre zizi ? Ce n’est pas dans un but scientifique, seulement dans un but éducatif.
— Je vous le permets.
— Couchez-vous, nous allons nous rincer le zizi dans le lavabo et nous sommes à vous.
Koen s’étendit sur la banquette, les jumeaux s’agenouillèrent après avoir posé une serviette sur le sol, Sacha titillait les tétons tandis que Vania s’attaquait à la bite.
— Je suis déçu, fit ce dernier, le monsieur a un plus gros zizi que le nôtre.
— Pas tellement, les nôtres peuvent encore grossir.
— Je ne pense pas, notre puberté est terminée. Et ce n’est pas la taille qui compte.
Koen faillit leur faire une théorie à ce sujet, il se retint pour savourer la lente montée du plaisir.
— Tu penses qu’on pourrait sucer le monsieur ? demanda Sacha à son frère.
— Tu veux sucer le zizi du monsieur ? Tu ne l’as jamais fait.
— Vous pouvez, dit Koen, tout ce que vous voulez.
— Le monsieur est très coopératif.
Sacha approcha sa langue du gland de Koen qui se demanda s’ils étaient vraiment des débutants, ils étaient très sûr d’eux.
— On pourrait aussi mettre un doigt dans le derrière du monsieur, proposa Vania.
— C’est sale.
— Il s’est lavé entre les fesses.
— Oui, j’avais oublié.
Vania introduisit un doigt dans le rectum et massa la prostate, il était très habile et Koen douta encore plus de l’innocence des deux frères, il eut rapidement un orgasme très intense. Sacha prit son slip bleu et nettoya le sperme sur le ventre et le torse, il ne l’avait pas avalé.
— C’était bon, Monsieur Groutelul ?
— Très bon, merci. Je me demande si c’était vraiment la première fois que vous étiez avec un autre homme.
— Nous vous assurons que c’était la première fois.
— Maman nous avait pourtant dit de nous méfier des inconnus dans le compartiment.
— Elle croit que nous sommes toujours des enfants.
— Vous avez quel âge ? questionna Koen.
— 18 ans, pourquoi ?
— Juste pour mes statistiques, je désire établir une distribution de la taille du pénis en érection en fonction de l’âge.
— Trop compliqué pour nous, fit Vania. Il se passe quoi dans les wagons-lits après le touche-pipi ?
— Le conducteur vient préparer les lits et l’on dort. Je vais l’appeler.
Koen sonna. Dirk arriva immédiatement, il ouvrit la porte avec sa clef carrée et vit les jeunes hommes nus, il leur dit :
— Il me semble que vous avez fait connaissance si j’en crois vos tenues très… légères. Dommage que la comtesse de Gueldre ne soit pas avec nous ce soir, elle vous aurait reçus avec plaisir dans son compartiment.
— Nous avons déjà joui, dit Koen.
— Je m’en doutais, dommage, vous auriez aussi pu venir dans le mien. Non, je plaisante, je n’ai pas le droit de coucher avec les voyageurs et je tiens à mon travail. Je vais préparer les lits, pourriez-vous sortir dans le couloir, en mettant au moins un slip ? Il est dommage de cacher de si belles queues, mais le règlement est le règlement.
Les jumeaux rirent en voyant Koen enfiler son sous-vêtement poisseux. Ils ne croisèrent personne et profitèrent de l’air frais qui circulait grâce aux fenêtres ouvertes, avant de se coucher et de s’endormir rapidement.
Dimanche 30 août 1964, Interlaken
Les jumeaux descendaient aussi à Interlaken, Dirk les réveilla au dernier moment. Ils eurent juste le temps de débander, de pisser, de se débarbouiller et de s’habiller. Koen regretta de ne pas avoir pu répéter l’expérience de la veille.
Le train arriva à l’heure en gare d’Interlaken Ost, à 7h21. Koen eut la surprise de voir Frédéric qui l’attendait sur le quai. Ils se firent la bise discrètement. Sacha demanda à Vania :
— Tu crois qu’ils sont amoureux, les deux messieurs ?
— Amoureux, je ne sais pas. Amants, certainement. Et nous deux, nous sommes amants ?
— Je ne sais pas, ce n’est pas très convenable entre frères, je ne t’ai encore jamais enculé. Amoureux, certainement.
— Tu es déjà là ? s’étonna Koen. Tu es parti à quelle heure de Lausanne ?
— Je suis venu hier et j’ai dormi à l’hôtel, répondit Frédéric.
— Tu étais si impatient de me revoir ?
— Oui, mon grand dadais, tu me manquais… Et aussi parce qu’Urbain était libre hier pour me conduire.
— Tu as couché avec lui en arrivant ?
— Tu es très curieux, et toi, tu as couché avec tes compagnons de compartiment ?
— J’oubliais, je dois leur demander leur adresse. Je vais te les présenter.
Koen et Frédéric se dirigèrent vers les jumeaux restés en arrière.
— Voici mon ami Frédéric. Et voici Sacha.
— Bonjour Monsieur Frédéric, moi c’est Vania.
— Je me trompe toujours, dit Koen, l’autre est donc Sacha.
— Non, je suis aussi Vania.
— Deux Vania ? Ce n’est pas possible. Nous ne saurons jamais, il y a le jumeau sans et celui avec.
— Sans et avec quoi ? demanda Frédéric.
— Un grain de beauté sur la bite.
— Tu as couché avec eux, alors.
— Une expérience scientifique très intéressante. Je te raconterai, je vais en parler au Prof Latte.
Koen sortit son carnet de sa poche en demandant :
— Pourriez-vous me donner votre adresse ?
— Ce ne sera pas nécessaire.
— Pourquoi ?
— Parce que nous allons nous voir toute l’année, Monsieur Grotelul, nous sommes dans la même école que vous.
— Comment le savez-vous ? Je ne vous l’ai pas dit.
— Nous avons lu dans vos pensées, une preuve de plus que nous sommes télépathes.
Mes personnages sont, quant à eux, de grands onanistes devant l’Éternel (si j’ose utiliser cette expression). Toute ressemblance avec l’auteur de ce récit ne serait qu’une impure coïncidence.
Chapitre 12 - La rentrée (3)
Samedi 29 août 1964, en train entre Amsterdam et Interlaken
Koen ne répondit pas, il devait bien admettre que les jumeaux l’excitaient au plus haut point, mais pas assez pour lui faire oublier la rigueur scientifique. Il s’assit entre les deux puis éteignit la lumière du compartiment. Il vérifia au toucher quel membre avait le grain de beauté, c’était celui de gauche. Il alterna des caresses énergiques sur l’un et très douces sur l’autre.
Les jumeaux semblaient très concentrés et Koen ne percevait aucun signe qui pût indiquer s’ils aimaient ces branlettes. Il avait oublié de regarder sa montre pour mesurer le nombre de minutes jusqu’à l’éjaculation, il avait d’ailleurs hâte qu’elle survînt, mais les jumeaux n'étaient pas pressés. Même s’ils n’étaient pas télépathes, ils pouvaient contrôler leur éjaculation, comme les Japonais l’avaient fait à Zurich quelques semaines plus tôt. Ils devaient s’être beaucoup entraînés.
Sans prévenir, les jumeaux jouirent presqu’en même temps, juste une dizaine de secondes de décalage. Koen ralluma la lumière.
— Vous êtes convaincu, Monsieur Grotelul ? demanda Sacha.
— Pas vraiment, ce n’est peut-être que le hasard, une expérience doit être reproductible pour être validée.
— Une autre fois, fit Vania, la télépathie demande une grande concentration et nous sommes épuisés ce soir.
— Tout comme nos liquides séminaux.
— Il faudra que j’en parle au Prof Latte, dit Koen, tout en se lavant les mains.
— C’est qui ce professeur ?
— Il enseigne à Heidelberg, il a un centre de recherches sur l’orgasme. Vous feriez des sujets d’étude idéaux, il faudra me laisser votre adresse.
— Participer à une recherche sur l’orgasme ? Qu’en penses-tu, Sacha ?
— S’il faut passer par là pour convaincre le monsieur que nous sommes télépathes, je suis d’accord. On lui donnera notre adresse demain. Tu crois qu’on pourrait aussi jouer avec le zizi du monsieur ?
— S’il est d’accord. Demande-lui.
— Je n’ose pas.
— Il ne va pas te manger, tout au plus te sucer. Monsieur Grotelul, pourrions-nous jouer avec votre zizi ? Ce n’est pas dans un but scientifique, seulement dans un but éducatif.
— Je vous le permets.
— Couchez-vous, nous allons nous rincer le zizi dans le lavabo et nous sommes à vous.
Koen s’étendit sur la banquette, les jumeaux s’agenouillèrent après avoir posé une serviette sur le sol, Sacha titillait les tétons tandis que Vania s’attaquait à la bite.
— Je suis déçu, fit ce dernier, le monsieur a un plus gros zizi que le nôtre.
— Pas tellement, les nôtres peuvent encore grossir.
— Je ne pense pas, notre puberté est terminée. Et ce n’est pas la taille qui compte.
Koen faillit leur faire une théorie à ce sujet, il se retint pour savourer la lente montée du plaisir.
— Tu penses qu’on pourrait sucer le monsieur ? demanda Sacha à son frère.
— Tu veux sucer le zizi du monsieur ? Tu ne l’as jamais fait.
— Vous pouvez, dit Koen, tout ce que vous voulez.
— Le monsieur est très coopératif.
Sacha approcha sa langue du gland de Koen qui se demanda s’ils étaient vraiment des débutants, ils étaient très sûr d’eux.
— On pourrait aussi mettre un doigt dans le derrière du monsieur, proposa Vania.
— C’est sale.
— Il s’est lavé entre les fesses.
— Oui, j’avais oublié.
Vania introduisit un doigt dans le rectum et massa la prostate, il était très habile et Koen douta encore plus de l’innocence des deux frères, il eut rapidement un orgasme très intense. Sacha prit son slip bleu et nettoya le sperme sur le ventre et le torse, il ne l’avait pas avalé.
— C’était bon, Monsieur Groutelul ?
— Très bon, merci. Je me demande si c’était vraiment la première fois que vous étiez avec un autre homme.
— Nous vous assurons que c’était la première fois.
— Maman nous avait pourtant dit de nous méfier des inconnus dans le compartiment.
— Elle croit que nous sommes toujours des enfants.
— Vous avez quel âge ? questionna Koen.
— 18 ans, pourquoi ?
— Juste pour mes statistiques, je désire établir une distribution de la taille du pénis en érection en fonction de l’âge.
— Trop compliqué pour nous, fit Vania. Il se passe quoi dans les wagons-lits après le touche-pipi ?
— Le conducteur vient préparer les lits et l’on dort. Je vais l’appeler.
Koen sonna. Dirk arriva immédiatement, il ouvrit la porte avec sa clef carrée et vit les jeunes hommes nus, il leur dit :
— Il me semble que vous avez fait connaissance si j’en crois vos tenues très… légères. Dommage que la comtesse de Gueldre ne soit pas avec nous ce soir, elle vous aurait reçus avec plaisir dans son compartiment.
— Nous avons déjà joui, dit Koen.
— Je m’en doutais, dommage, vous auriez aussi pu venir dans le mien. Non, je plaisante, je n’ai pas le droit de coucher avec les voyageurs et je tiens à mon travail. Je vais préparer les lits, pourriez-vous sortir dans le couloir, en mettant au moins un slip ? Il est dommage de cacher de si belles queues, mais le règlement est le règlement.
Les jumeaux rirent en voyant Koen enfiler son sous-vêtement poisseux. Ils ne croisèrent personne et profitèrent de l’air frais qui circulait grâce aux fenêtres ouvertes, avant de se coucher et de s’endormir rapidement.
Dimanche 30 août 1964, Interlaken
Les jumeaux descendaient aussi à Interlaken, Dirk les réveilla au dernier moment. Ils eurent juste le temps de débander, de pisser, de se débarbouiller et de s’habiller. Koen regretta de ne pas avoir pu répéter l’expérience de la veille.
Le train arriva à l’heure en gare d’Interlaken Ost, à 7h21. Koen eut la surprise de voir Frédéric qui l’attendait sur le quai. Ils se firent la bise discrètement. Sacha demanda à Vania :
— Tu crois qu’ils sont amoureux, les deux messieurs ?
— Amoureux, je ne sais pas. Amants, certainement. Et nous deux, nous sommes amants ?
— Je ne sais pas, ce n’est pas très convenable entre frères, je ne t’ai encore jamais enculé. Amoureux, certainement.
— Tu es déjà là ? s’étonna Koen. Tu es parti à quelle heure de Lausanne ?
— Je suis venu hier et j’ai dormi à l’hôtel, répondit Frédéric.
— Tu étais si impatient de me revoir ?
— Oui, mon grand dadais, tu me manquais… Et aussi parce qu’Urbain était libre hier pour me conduire.
— Tu as couché avec lui en arrivant ?
— Tu es très curieux, et toi, tu as couché avec tes compagnons de compartiment ?
— J’oubliais, je dois leur demander leur adresse. Je vais te les présenter.
Koen et Frédéric se dirigèrent vers les jumeaux restés en arrière.
— Voici mon ami Frédéric. Et voici Sacha.
— Bonjour Monsieur Frédéric, moi c’est Vania.
— Je me trompe toujours, dit Koen, l’autre est donc Sacha.
— Non, je suis aussi Vania.
— Deux Vania ? Ce n’est pas possible. Nous ne saurons jamais, il y a le jumeau sans et celui avec.
— Sans et avec quoi ? demanda Frédéric.
— Un grain de beauté sur la bite.
— Tu as couché avec eux, alors.
— Une expérience scientifique très intéressante. Je te raconterai, je vais en parler au Prof Latte.
Koen sortit son carnet de sa poche en demandant :
— Pourriez-vous me donner votre adresse ?
— Ce ne sera pas nécessaire.
— Pourquoi ?
— Parce que nous allons nous voir toute l’année, Monsieur Grotelul, nous sommes dans la même école que vous.
— Comment le savez-vous ? Je ne vous l’ai pas dit.
— Nous avons lu dans vos pensées, une preuve de plus que nous sommes télépathes.
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