10-01-2022, 09:11 PM
Chapitre 11 - Excursion au Rosenlaui (2)
Samedi 22 août 1964, Hôtel Rosenlaui
Frédéric obéit et ôta le linge, son père sourit en jetant son journal sur le sol, puis dit :
— N’est-ce pas plus agréable d’être à poil quand on bande ?
— Oui, mais tu es mon père et cela me gênait que tu me voies dans cet état.
— C’est toi qui as enlevé ton linge, tu aurais pu refuser de le faire. Il faut oser dire non.
— L’autorité paternelle…
— Je n’ai pas été un père autoritaire, j’ai accepté tous vos caprices d’enfants gâtés. Tourne-toi que je voie aussi ton petit cul. Et écarte bien tes fesses.
— Je me suis lavé partout.
Charles regarda longuement son fils nu qui aurait aimé que son père donnât une appréciation sur sa bite érigée. La trouvait-il belle, assez longue ? Le père s’abstint de tout commentaire à ce sujet et dit :
— Je vais mettre les choses au point. Je ne me serais pas permis de te mater si tu étais hétérosexuel ou si je savais que tu n’avais des relations intimes qu’avec ton ami néerlandais. Ce n’est pas le cas, vous avez passé un week-end chez les architectes et tu m’as dit que vous êtes allés au bordel.
— C’est vrai.
— Et c’est surtout parce que tu t’es inscrit avec Koen pour faire partie de la Confrérie du Vincelard, tu savais que j’en fais partie, il est donc inévitable que je te voie baiser avec quelqu’un d’autre. Nous ne nous réunissons pas seulement pour déguster des vins et faire des gueuletons…
— C’est aussi vrai, dut admettre Frédéric.
— À propos, votre candidature a été acceptée. Mais il y a un règlement à respecter. Vous devrez le signer pour confirmer que vous l’acceptez. Une des clauses interdit les relations entre les personnes d’une même famille.
— Pourquoi ? Si elles sont consentantes et adultes…
— Parce que c’est de l’inceste et que c’est illégal, dit le père. Cela pourrait aussi choquer d’autres confrères. Je me plierai à cette règle et ne te toucherai pas lors des réunions au château, même pendant la nuit.
— Comment pourraient-ils contrôler ce qui se passe pendant la nuit ?
— Tu le verras bien. Il est interdit d’avoir des relations sexuelles privées, tout doit de dérouler en public et à la vue de tous. Viens te coucher sur ton lit.
Les deux lits de la chambre étaient l’un à côté de l’autre, Frédéric se coucha sur celui à la gauche de son père. Son pénis avait retrouvé un état plus conforme à la bienséance pendant la discussion, à part un filet de précum pendant du méat.
Frédéric était indécis, il n’avait pas envie d’en rester là, il avait envie de voir son père bander, tout de suite et pas à une réunion de la confrérie. Il lui demanda prudemment :
— Et lorsque nous sommes seuls, comme cet après-midi, il y a aussi un règlement ?
— Je ne te cache pas que je suis jaloux de ton jeune corps et que j’ai envie de le toucher. Mais j’aimerais que cela reste doux et sensuel. Je n’ai d’ailleurs pas pris de préservatifs. Et toi ?
— Moi non plus, mentit Frédéric, il en avait toujours une boîte dans son sac, sur les conseils de son futur médecin.
Le père ajouta :
— Et, comme tu l’as dit toi-même, ce doivent être des relations librement consenties.
— J’accepte, dit Frédéric spontanément.
— À la bonne heure !
— Je te redis que tu es un père merveilleux.
— Je n’en suis pas sûr, je ne me suis pas assez occupé de vous lorsque vous étiez plus jeunes. Je rentrais toujours tard alors que vous étiez déjà couchés.
— Tu avais beaucoup de travail, je te comprends. Tu peux te rattraper maintenant, terminer mon éducation.
— J’arrive comme la grêle après les vendanges, fit Charles en riant, tu as déjà eu d’autres précepteurs. Qui a mis sa grosse queue dans ta petite rondelle pour la première fois ?
— Euh… mon cousin, Daniel.
— Je l’aurais parié. Encore une chose : pas un mot à ta mère au sujet de nos… comment dire… jeux érotiques.
— Elle désapprouverait ?
— Je ne sais pas, mais je préfère ne pas le savoir.
— Elle n’a pas hésité à contrôler si je décalottais bien, devant mes sœurs qui se marraient.
— Cela n’avait pas forcément un aspect sexuel. Ou alors… oui, cela en avait un. Bon, je ne vais pas me mêler de tes relations avec ta mère, nous avons réglé les nôtres.
Frédéric se détendit, il savait maintenant à quoi s’en tenir. Charles se rapprocha de son fils dont la tête était posée sur deux oreillers. Il écarta ses cheveux pour dégager le front en disant :
— Tu as assez d’argent pour aller au bordel mais pas pour le coiffeur.
— C’est la mode, papa.
— Je sais, les hippies… Tu les couperas pour aller à l’armée.
Le père donne un bisou à son fils qui le lui rendit. Il débuta ensuite de tendres caresses, chatouillant les tétons, passant du haut du corps aux cuisses, il effleura les couilles, puis pris le pénis dans sa main et joua avec le prépuce. Frédéric banda et osa demander :
— Tu la trouve belle ma queue ?
— Je crains que mon jugement ne soit pas impartial. C’est la plus belle de toutes celles que j’ai vues.
— Menteur !
Charles caressait le gland lubrifié de précum, ses mouvements était assez énergiques, ce qui fit monter très rapidement l’excitation de Frédéric, trop rapidement à son goût.
— Pas si vite, dit-il, sinon je vais jouir.
Le père délaissa le pénis pendant quelques instants, ses doigts se promenèrent sur le scrotum contracté, sur le périnée et dans la raie des fesses. Frédéric ne put se retenir longtemps, sa semence se dispersa sur son ventre en de nombreux jets.
— Désolé, dit-il, j’ai été trop rapide.
— Bah, le sexe n’est pas une discipline olympique. Merci d’avoir surmonté ta pudeur et de m’avoir laissé toucher ton corps en m’offrant ta jouissance. Ce n’est pas tous les jours qu’on me fait un tel cadeau.
— De rien, tout le plaisir était pour moi.
— À toi, maintenant. On verra si tu arrives à me faire juter, je n’ai plus vingt ans.
Samedi 22 août 1964, Hôtel Rosenlaui
Frédéric obéit et ôta le linge, son père sourit en jetant son journal sur le sol, puis dit :
— N’est-ce pas plus agréable d’être à poil quand on bande ?
— Oui, mais tu es mon père et cela me gênait que tu me voies dans cet état.
— C’est toi qui as enlevé ton linge, tu aurais pu refuser de le faire. Il faut oser dire non.
— L’autorité paternelle…
— Je n’ai pas été un père autoritaire, j’ai accepté tous vos caprices d’enfants gâtés. Tourne-toi que je voie aussi ton petit cul. Et écarte bien tes fesses.
— Je me suis lavé partout.
Charles regarda longuement son fils nu qui aurait aimé que son père donnât une appréciation sur sa bite érigée. La trouvait-il belle, assez longue ? Le père s’abstint de tout commentaire à ce sujet et dit :
— Je vais mettre les choses au point. Je ne me serais pas permis de te mater si tu étais hétérosexuel ou si je savais que tu n’avais des relations intimes qu’avec ton ami néerlandais. Ce n’est pas le cas, vous avez passé un week-end chez les architectes et tu m’as dit que vous êtes allés au bordel.
— C’est vrai.
— Et c’est surtout parce que tu t’es inscrit avec Koen pour faire partie de la Confrérie du Vincelard, tu savais que j’en fais partie, il est donc inévitable que je te voie baiser avec quelqu’un d’autre. Nous ne nous réunissons pas seulement pour déguster des vins et faire des gueuletons…
— C’est aussi vrai, dut admettre Frédéric.
— À propos, votre candidature a été acceptée. Mais il y a un règlement à respecter. Vous devrez le signer pour confirmer que vous l’acceptez. Une des clauses interdit les relations entre les personnes d’une même famille.
— Pourquoi ? Si elles sont consentantes et adultes…
— Parce que c’est de l’inceste et que c’est illégal, dit le père. Cela pourrait aussi choquer d’autres confrères. Je me plierai à cette règle et ne te toucherai pas lors des réunions au château, même pendant la nuit.
— Comment pourraient-ils contrôler ce qui se passe pendant la nuit ?
— Tu le verras bien. Il est interdit d’avoir des relations sexuelles privées, tout doit de dérouler en public et à la vue de tous. Viens te coucher sur ton lit.
Les deux lits de la chambre étaient l’un à côté de l’autre, Frédéric se coucha sur celui à la gauche de son père. Son pénis avait retrouvé un état plus conforme à la bienséance pendant la discussion, à part un filet de précum pendant du méat.
Frédéric était indécis, il n’avait pas envie d’en rester là, il avait envie de voir son père bander, tout de suite et pas à une réunion de la confrérie. Il lui demanda prudemment :
— Et lorsque nous sommes seuls, comme cet après-midi, il y a aussi un règlement ?
— Je ne te cache pas que je suis jaloux de ton jeune corps et que j’ai envie de le toucher. Mais j’aimerais que cela reste doux et sensuel. Je n’ai d’ailleurs pas pris de préservatifs. Et toi ?
— Moi non plus, mentit Frédéric, il en avait toujours une boîte dans son sac, sur les conseils de son futur médecin.
Le père ajouta :
— Et, comme tu l’as dit toi-même, ce doivent être des relations librement consenties.
— J’accepte, dit Frédéric spontanément.
— À la bonne heure !
— Je te redis que tu es un père merveilleux.
— Je n’en suis pas sûr, je ne me suis pas assez occupé de vous lorsque vous étiez plus jeunes. Je rentrais toujours tard alors que vous étiez déjà couchés.
— Tu avais beaucoup de travail, je te comprends. Tu peux te rattraper maintenant, terminer mon éducation.
— J’arrive comme la grêle après les vendanges, fit Charles en riant, tu as déjà eu d’autres précepteurs. Qui a mis sa grosse queue dans ta petite rondelle pour la première fois ?
— Euh… mon cousin, Daniel.
— Je l’aurais parié. Encore une chose : pas un mot à ta mère au sujet de nos… comment dire… jeux érotiques.
— Elle désapprouverait ?
— Je ne sais pas, mais je préfère ne pas le savoir.
— Elle n’a pas hésité à contrôler si je décalottais bien, devant mes sœurs qui se marraient.
— Cela n’avait pas forcément un aspect sexuel. Ou alors… oui, cela en avait un. Bon, je ne vais pas me mêler de tes relations avec ta mère, nous avons réglé les nôtres.
Frédéric se détendit, il savait maintenant à quoi s’en tenir. Charles se rapprocha de son fils dont la tête était posée sur deux oreillers. Il écarta ses cheveux pour dégager le front en disant :
— Tu as assez d’argent pour aller au bordel mais pas pour le coiffeur.
— C’est la mode, papa.
— Je sais, les hippies… Tu les couperas pour aller à l’armée.
Le père donne un bisou à son fils qui le lui rendit. Il débuta ensuite de tendres caresses, chatouillant les tétons, passant du haut du corps aux cuisses, il effleura les couilles, puis pris le pénis dans sa main et joua avec le prépuce. Frédéric banda et osa demander :
— Tu la trouve belle ma queue ?
— Je crains que mon jugement ne soit pas impartial. C’est la plus belle de toutes celles que j’ai vues.
— Menteur !
Charles caressait le gland lubrifié de précum, ses mouvements était assez énergiques, ce qui fit monter très rapidement l’excitation de Frédéric, trop rapidement à son goût.
— Pas si vite, dit-il, sinon je vais jouir.
Le père délaissa le pénis pendant quelques instants, ses doigts se promenèrent sur le scrotum contracté, sur le périnée et dans la raie des fesses. Frédéric ne put se retenir longtemps, sa semence se dispersa sur son ventre en de nombreux jets.
— Désolé, dit-il, j’ai été trop rapide.
— Bah, le sexe n’est pas une discipline olympique. Merci d’avoir surmonté ta pudeur et de m’avoir laissé toucher ton corps en m’offrant ta jouissance. Ce n’est pas tous les jours qu’on me fait un tel cadeau.
— De rien, tout le plaisir était pour moi.
— À toi, maintenant. On verra si tu arrives à me faire juter, je n’ai plus vingt ans.
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