08-08-2020, 09:39 AM
1ere ANNEE juillet : (16/35) (Retour une semaine en arrière) (Nuit du cinq au six juillet) (5ème partie)
Un mouvement de mon ami le détache de moi et je sens bientôt ses jambes venir de chaque côté de mon visage et ses mains se poser doucement sur les miennes. Son souffle envoie une immense sensation de chaleur sur mon sexe bandé et ses lèvres viennent bientôt se poser dessus pour le parcourir en le picorant sur toute la longueur.
Mes mains attrapent nerveusement ses fesses douces comme une peau de bébé et appuient dessus pour qu’il se baisse suffisamment afin que je puisse sentir son sexe tout aussi dur que le mien venir s’appuyer sur ma bouche. J’attrape alors sa hampe et commence à lui sucer le gland en le frottant très fort avec mes lèvres lui donnant des tremblements de plaisirs dans les reins.
Mes mains ne restent pas inertes et caressent toute cette chair tendre à porter d’elles, ma langue descend jusqu’à la base de son sexe et vient titiller les deux « orphelines » le faisant lâcher un soupir de bien-être. Je remonte ma tête pour qu’elle puisse atteindre la zone particulièrement érogène derrière celles-ci jusqu’à pousser son excursion en terre inconnue.
J’écarte les fesses de mon ami et entreprends d’embrasser et de lui en laper l’intérieur, Thomas m’aide en se soulevant suffisamment pour que je puisse atteindre le but que je recherche. La corolle de mon ami se retrouve alors posée frémissante sur mes lèvres, je l’embrasse et ma langue comme un petit sexe tente d’y pénétrer lui déclenchant de petits gémissements de surprise.
Il ne s’occupe plus de moi maintenant et pour ressentir encore mieux mon exploration de son intimité, il s’assoit sur mon visage et se laisse dévorer l’anus en tremblant. Mon majeur rejoint l’orifice déjà bien lubrifié et commence d’agaçants petits cercles autour de son anneau qui palpite et s’ouvre d’excitation, un râle rauque me donne le ton des sensations qu’il ressent alors.
Comprenant qu’il éprouve un plaisir certain à mes attouchements tant buccaux que manuels, mon doigt entre doucement en frottant bien ses parois à chaque centimètre de sa pénétration dans l’intimité moite et chaude de mon ami qui se frotte de plus en plus sur mon visage pour accentuer au maximum les sensations qui lui chauffe les sens.
Je tente un deuxième doigt qui entre tout seul comme dans du beurre déclenchant en écho un nouveau soupir d’extase du garçon que j’aime et dont je ressens de plus en plus fort l’envie de lui faire l’amour. Mon sexe tressaute, dur comme un bout de bois et suinte de mon lubrifiant naturel qui s’échappe en continu commençant à laisser une petite flaque de sperme sur mon nombril.
Thomas se libère de ma bouche avide et se retourne pour me faire face, ses deux jambes encerclent mon bassin et ses fesses viennent se frotter à mon membre en rut. Le mouvement de balancier qu’ils leur donnent, commence à me transformer en bête fauve, ne cherchant plus qu’à pénétrer de mon dard gonflé à mort cette caverne dont la chaleur et la douceur vont, j’en suis certain, m’emmener dans un orgasme sans nom.
La pointe de mon gland se cale sur la corolle entrouverte et d’un léger coup de reins entre de quelques millimètres en elle, Thomas gémit et son corps accélère la pénétration. Son bassin s’abaisse pour permettre à ma queue d’entrer encore plus, mon gland est comme aspiré et pénètre d’un coup le laissant le souffle coupé et stoppant net sa progression.
Je ne bouge plus pour lui laisser le temps de s’habituer à la présence d’un tel engin dans son fondement vierge, sa tête s’abaisse et ses lèvres se soudent aux miennes dans un baiser de feu. Son corps reprend son chemin vers mon pubis et finit, dans un souffle rauque de Thomas, par se retrouver assis sur moi, mon sexe entièrement à l’intérieur de son corps, lui déclenchant des tremblements nerveux de tous ses membres.
- (Inquiet) Ça va « Thom » ?
- (Toujours tremblant) C’est trop bon !! Je vais jouir !!
- Attends !! Ne bouge plus, essaie de te retenir.
- Ahhh !!! Je la sens trop bien, c’est trop bon Ahhh !!!
J’essaie de rester sans bouger attendant qu’il reprenne la maîtrise de son corps, mon sexe pulse enserré comme il l’est dans cette gangue de soie à la chaleur si excitante qu’il ne me faudrait pas grand-chose pour que moi aussi je parte et lâche ma semence.
Nos lèvres se joignent à nouveau, plus calmement sachant bien qu’il nous faut juguler rapidement la pression que nos cerveaux ressentent en ce moment. Nos battements de cœurs ralentissent enfin et nous reprenons le contrôle de nos sens suffisamment pour reprendre la découverte de notre première fois.
C’est Thomas qui reprend le premier les hostilités. Ses reins s’activent d’abord lentement, nous laissant ressentir le merveilleux frottement de mon sexe à l’intérieur de ses intestins. L’envie devient pour moi irrésistible et mes mains lui prennent les hanches, mon bassin commence alors à donner des coups de plus en plus puissants coupant le souffle de mon ami, qui maintenant émet un petit feulement continu qui en dit long sur l’extrême plaisir qu’il y prend.
La position ne me convient pas vraiment et d’un mouvement fluide je le fais mettre sur le dos, je prends ses cuisses et les replie sur ses abdos, mon sexe reprend possession de son anneau et entre en lui d’un coup sec et nerveux.
- (Thomas ne pouvant se retenir crie son plaisir) Ahhhhh !!!!!
Ce son venant du plus profond de son être me transperce et me déchaîne dans un coït puissant, qui m’amène rapidement dans un état tel que mes nerfs et mes muscles se nouent et, que dans un dernier « Han !! » je me bloque au plus profond de lui et lui déverse mon amour dans un plaisir incommensurable.
Thomas n’en peut plus lui non plus, le fait de sentir ma jouissance déclenche la sienne, ses reins se cambrent me soulevant en même temps que son sexe expulse son plaisir. Nous restons affalés l’un sur l’autre complètement anéantis par l’orgasme qui nous a traversés et d’une puissance telle que nous n’en avions jamais connu.
Nous nous embrassons et nous câlinons quelques secondes quand des rires joyeux commencent à emplir la tente et que des voix dans un parfait ensemble scandent.
- (Les voix rieuses) Bon anniversaire Florian !!!
1ere ANNEE juillet : (17/35) (Retour une semaine en arrière) (Six juillet) (6ème partie) (fin)
Pas la peine de préciser que le lendemain matin ne fut pas une source de souvenir intarissable car ce n’est que vers Midi bien sonné que nous sortons tous d’un sommeil réparateur.
Le petit-déjeuner nous servit de repas et nous décidons tous de passer une après-midi loukoum à la plage. Bien sûr nous prenons les voitures car aucun d’entre nous ne se sentait le courage d’escalader la dune à pied même si certains endroits sont munis d’échelles en bois spécialement conçues pour cet effet.
Quand nous mettons le pied sur la plage quasiment déserte mise à part deux couples dans un coin, nous remarquons tout de suite qu’ils sont entièrement nus à se faire bronzer. Notre arrivée les panique et ils renfilent très vite leurs maillots en nous tournant le dos, leurs fesses parfaitement hâlées nous laissent à penser que ce n’est pas la première fois qu’ils font du naturisme et que notre arrivée ne doit pas être accueillie avec le sourire.
Comme il y a toute la place nécessaire pour leur laisser toute intimité, nous installons nos parasols et nos serviettes de plage suffisamment loin d’eux pour ne pas les gêner plus que nécessaire.
Raphaël nous regarde amusé car j’ai bien remarqué qu’il était le seul à ne pas paraître étonné de les voir aussi peu vêtu.
- Tu savais que c’était une plage naturiste ?
- Oui et non !! En fait elle ne l’est pas mais ce n’est un secret pour personne dans la région que beaucoup s’y adonnent et comme je vous l’ai déjà dit, très peu de touristes viennent ici.
- (Damien) Tu as vu leurs bronzages « Flo » ? C’est cool non ?
- (J’avoue que je trouve ça plutôt chouette) Oui ça donne envie.
- (Guillaume amusé) Chiche on le fait ?
- (Raphaël qui apparemment n’est pas contre) Pour moi ce n’est pas gênant car ça m’arrive souvent de le faire ici.
- (J’ai bien envie d’essayer) Je suis partant si personne n’y voit à redire.
- (Guillaume à haute voix pour que tous entendent) Hé !! Partant pour une aprèm naturiste les gars ? Qui est contre ?
Comme personne ne se manifeste pour donner son désaccord, je fais un clin d’œil à Damien et à Raphaël qui me font un signe de tête d’assentiment. J’ôte mes vêtements et arrivé au slip de bain, je l’enlève tout naturellement et je pars en riant me mettre à l’eau.
- Alors bande de dégonflés !! Vous venez ?
Guillaume et Raphaël sont les premiers à me rejoindre, j’en profite alors pour mieux détailler mon nouvel ami et je constate qu’en effet il est déjà bien bronzé partout et qu’il est réellement bien foutu.
Damien et Mathis sont les suivants, puis les voilà qui arrivent tous l’un après l’autre pour nous rejoindre. Thomas ne voulant surtout pas être le dernier fait fi de sa timidité et arrive en courant vers moi le visage dénotant malgré tout sa gêne par une magnifique coloration bien marquée sur ses joues.
Le dernier à venir est Aurélien, non pas à cause d’une quelconque timidité mais simplement parce qu’il est Aurélien et qu’il arrive vers nous d’une démarche nonchalante. Son attitude nous fait rire car elle reflète bien l’état d’esprit qu’il a toujours eu depuis que je le connais et qui fait que je l’adore.
Nous commençons alors une bataille rangée à nous asperger et nous couler en riants et criants à gorges déployées. Les deux couples nous regardent en souriant, discutent un petit moment et enlèvent les maillots qu’ils avaient si vite remis à notre arrivée puis se réinstallent tranquillement sur leurs serviettes de plage en nous regardant nous amuser comme des petits fous.
Un long moment passe ainsi jusqu’à ce que nous nous lassions d’être dans l’eau et que nous décidions d’un commun accord d’aller nous étendre par couple afin de profiter nous aussi du soleil.
Thomas me tend le flacon de crème solaire et s’allonge sur le ventre, je comprends ce qu’il attend de moi et lui badigeonne le dos et les fesses ne voulant surtout pas qu’il attrape un coup de soleil sur sa peau blanche de blond. Une fois satisfait de mon œuvre, je lui assène gentiment une petite claque sur le cul afin qu’il se tourne pour que je puisse également m’occuper tout en douceur de sa face avant.
J’admire son corps et son sexe au repos reposant sur son nid de poils d’un blond soyeux et doré, une fois la crème bien étalée sur tout le corps je termine en lui badigeonnant doucement le sexe et les bourses ; une fois terminé, je lui tends le flacon et prends la même position que lui auparavant.
Pendant qu’il me rend la politesse et que ses mains douces couvrent mon corps d’huile solaire dont je n’ai pas un réel besoin, je regarde mes amis et je souris en constatant qu’ils font tous pareil que nous et qu’aucun d’eux n’a de réactions indécentes. Le fait d’être ensemble ne nous faisant ressentir qu’un immense plaisir dépourvu de toutes pensées autres que celles de l’amitié.
Je me tourne alors vers les deux couples un peu plus loin et je remarque qu’ils ne nous quittent pas des yeux, quand je dis-nous il serait bon de préciser que c’est de Thomas et de moi qu’il s’agit, car c’est évident que leurs yeux sont braqués sur nous deux et que ce ne sont pas simplement des regards de curiosité qu’ils ont envers nous.
1ere ANNEE juillet : (18 /35) (Retour au présent) (Paris)
Maurice raccroche le combiné et reste un moment assis devant son bureau à réfléchir, il vient de prévenir Philippe qu’une enquête vient d’être ouverte sur son protégé. Plusieurs rapports faisant mention d’un très jeune garçon aux capacités étonnantes ont alerté ses services et il doit désigner une équipe pour vérifier le bien-fondé de tout cela et en avertir les instances supérieures s’ils s’avéraient exacts.
Heureusement le choix des personnes et la décision finale d’avertir ou non Matignon est entre ses mains mais il sait très bien qu’il marche sur des œufs et qu’il doit faire en sorte de rester crédible s’il veut pouvoir continuer comme jusqu’à aujourd’hui à protéger le garçon.
Étant tenu au courant par Philippe des faits et gestes du jeune Florian, il choisit donc en connaissance de cause les personnes qui vont être amenées à enquêter sur lui. Personnes qui d’ailleurs ne devraient pas tarder à arriver, l’heure de leurs convocations étant presque arrivée.
- Toc ! Toc ! Toc !
- Oui !! Entrer !!
- (Le planton entre et salut son supérieur) Les agents que vous attendiez sont arrivés monsieur.
- Faites les entrer et disposer merci.
Le temps pour lui de classer ses dossiers et de relire les quelques notes qu’il a fait prendre sur eux, et quatre personnes entrent et saluent. Restant au garde à vous en attendant l’ordre de se mettre au repos de cet homme que tous respectent et craignent dans le service.
- Repos messieurs dames !! Asseyez-vous, je vous demande un instant et je suis à vous.
Maurice termine de lire ses notes et regarde un à un les quatre jeunes personnes qui se tiennent devant lui attendant avec une certaine appréhension le pourquoi de cette convocation chez le grand patron.
Ils sont jeunes, la plus âgée n’a pas encore vingt-cinq ans et le plus jeune vingt-deux ans. S’il les a choisis c’est déjà pour une part à cause de cette jeunesse mais aussi et surtout à cause du fait qu’ils soient tous les quatre reconnus pour leurs empathies, ce qui arrange bien Maurice connaissant par les dires de Philippe celle énorme que développe son jeune protégé.
Il pense très clairement que cet aspect de leurs personnalités fera qu’ils s’attacheront très vite au garçon qu’ils seront chargés de surveiller et que du coup il y a de grande chance que comme son ami Espinach et beaucoup d’autres après lui, ils rédigeront leurs rapports de façon à ne pas mentir mais à ne pas tout dire non plus.
Bien sûr il sera là au cas où mais il connaît le risque qu’il courrait alors de se faire prendre et ce serait la pire des choses à arriver car dans ce cas-là un autre reprendrait tout à zéro et les photos du bébé avec les traces de brûlures disparues en quelques heures referaient surface et là !!!!
- Hum !! Bien !! J’ai une mission pour vous, elle consiste à vous intégrer dans la vie de tous les jours d’une personne qui disons-le d’après les rapports que je vais vous transmettre, pourrais intéresser au plus haut point notre gouvernement. Entendons-nous bien !! Il ne s’agit pas d’un criminel ou quoique ce soit de répréhensible venant ou pouvant venir de sa part, mais d’un jeune garçon qui aurait aux dires de certains des capacités intellectuelles défiant tous les critères en la matière connus à ce jour.
- (Dorian un des deux garçons) Un surdoué ?
- (Maurice) À mon avis oui, et je pense sincèrement qu’il n’est que cela et rien de plus. Mais aux dires des rapports que je vais vous transmettre, il apparaîtrait que son intellect soit beaucoup plus exceptionnel que ça et c’est le but de votre mission, découvrir si ce jeune garçon mérite ou non qu’on s’intéresse plus particulièrement à lui.
- (Camille une des deux filles) Et si c’est le cas ? Que lui arrivera-t-il ?
- (Maurice jouant bien son rôle) Nul ne le sait, mais je ne pense pas qu’il apprécierait forcément.
- (Dorian outré) Mais c’est dégueulasse !!
- (Maurice prenant un air sévère) Je ne vous permets pas !! Si ce garçon peut servir d’une façon ou d’une autre aux desseins de nos dirigeants, ce n’est pas à vous d’en juger. Maintenant prenez connaissance de vos feuilles de missions et envoyez-moi vos rapports chaque semaine jusqu’à ce qu’on vous rappelle. Rompez !!
Maurice sourit content de lui car la réaction du plus jeune a été dans le sens qu’il espérait, déjà même avant de connaître Florian la façon dont il a présenté les choses fait qu’ils ont déjà un a priori sur le but de leur mission.
- (Il parle tout seul dans son bureau) Espérons que j’ai visé juste en choisissant ses jeunes gens.
Il soupire et reprend le téléphone et explique à Philippe ce qu’il vient de faire ainsi que quelques conseils qu’il lui donne pour qu’il prenne toutes les précautions nécessaires afin qu’il y ait le moins de choses possible à découvrir sur son filleul.
Philippe raccroche et se lève d’un bond ce qui pour son âge surprend au plus haut point sa secrétaire. Il prend sa veste et après lui avoir demandé d’annuler tous ses rendez-vous pour les deux prochains jours, sort en vitesse et monte dans la Mercedes direction chez ses amis les De Bierne.
C’est un vrai conseil de famille et d’amis qui se déroule alors cet après-midi-là, Les Viala ainsi que les Louvain, les Delierre parents d’Éric et les Jourdan parents de Chloé.
- (Frédéric) Je crois que nous allons devoir abréger notre séjour parmi vous, il faut que je rencontre certaines personnes à Reims afin de mettre au point ce que nous venons de décider de faire ici.
- (Philippe) Tu as raison « Fred », s’il leur vient l’idée de venir fureter à l’hôpital ou à la fac même si elle est fermée, il vaudrait mieux que tous là-bas se tiennent sur leurs gardes et fassent attention aux éventuelles questions que de jeunes personnes pourraient leur poser.
- (José le père d’Éric) Mais enfin !! Qu’est-ce qu’ils veulent de Florian ?
- (Philippe) Pour l’instant juste savoir s’il y a quelque chose de vrai dans les rapports qu’ils ont reçus.
- (Marc le père de Chloé) Vous savez qui a pu les envoyer ?
- (Philippe) Certainement les professeurs envoyés par l’académie et que Florian a ridiculisé. (Marquant la colère) Pourtant je l’avais prévenu de faire profil bas avec eux mais non !! Monsieur a encore voulu faire rire tout le monde et maintenant voilà où nous en sommes arrivés.
Un mouvement de mon ami le détache de moi et je sens bientôt ses jambes venir de chaque côté de mon visage et ses mains se poser doucement sur les miennes. Son souffle envoie une immense sensation de chaleur sur mon sexe bandé et ses lèvres viennent bientôt se poser dessus pour le parcourir en le picorant sur toute la longueur.
Mes mains attrapent nerveusement ses fesses douces comme une peau de bébé et appuient dessus pour qu’il se baisse suffisamment afin que je puisse sentir son sexe tout aussi dur que le mien venir s’appuyer sur ma bouche. J’attrape alors sa hampe et commence à lui sucer le gland en le frottant très fort avec mes lèvres lui donnant des tremblements de plaisirs dans les reins.
Mes mains ne restent pas inertes et caressent toute cette chair tendre à porter d’elles, ma langue descend jusqu’à la base de son sexe et vient titiller les deux « orphelines » le faisant lâcher un soupir de bien-être. Je remonte ma tête pour qu’elle puisse atteindre la zone particulièrement érogène derrière celles-ci jusqu’à pousser son excursion en terre inconnue.
J’écarte les fesses de mon ami et entreprends d’embrasser et de lui en laper l’intérieur, Thomas m’aide en se soulevant suffisamment pour que je puisse atteindre le but que je recherche. La corolle de mon ami se retrouve alors posée frémissante sur mes lèvres, je l’embrasse et ma langue comme un petit sexe tente d’y pénétrer lui déclenchant de petits gémissements de surprise.
Il ne s’occupe plus de moi maintenant et pour ressentir encore mieux mon exploration de son intimité, il s’assoit sur mon visage et se laisse dévorer l’anus en tremblant. Mon majeur rejoint l’orifice déjà bien lubrifié et commence d’agaçants petits cercles autour de son anneau qui palpite et s’ouvre d’excitation, un râle rauque me donne le ton des sensations qu’il ressent alors.
Comprenant qu’il éprouve un plaisir certain à mes attouchements tant buccaux que manuels, mon doigt entre doucement en frottant bien ses parois à chaque centimètre de sa pénétration dans l’intimité moite et chaude de mon ami qui se frotte de plus en plus sur mon visage pour accentuer au maximum les sensations qui lui chauffe les sens.
Je tente un deuxième doigt qui entre tout seul comme dans du beurre déclenchant en écho un nouveau soupir d’extase du garçon que j’aime et dont je ressens de plus en plus fort l’envie de lui faire l’amour. Mon sexe tressaute, dur comme un bout de bois et suinte de mon lubrifiant naturel qui s’échappe en continu commençant à laisser une petite flaque de sperme sur mon nombril.
Thomas se libère de ma bouche avide et se retourne pour me faire face, ses deux jambes encerclent mon bassin et ses fesses viennent se frotter à mon membre en rut. Le mouvement de balancier qu’ils leur donnent, commence à me transformer en bête fauve, ne cherchant plus qu’à pénétrer de mon dard gonflé à mort cette caverne dont la chaleur et la douceur vont, j’en suis certain, m’emmener dans un orgasme sans nom.
La pointe de mon gland se cale sur la corolle entrouverte et d’un léger coup de reins entre de quelques millimètres en elle, Thomas gémit et son corps accélère la pénétration. Son bassin s’abaisse pour permettre à ma queue d’entrer encore plus, mon gland est comme aspiré et pénètre d’un coup le laissant le souffle coupé et stoppant net sa progression.
Je ne bouge plus pour lui laisser le temps de s’habituer à la présence d’un tel engin dans son fondement vierge, sa tête s’abaisse et ses lèvres se soudent aux miennes dans un baiser de feu. Son corps reprend son chemin vers mon pubis et finit, dans un souffle rauque de Thomas, par se retrouver assis sur moi, mon sexe entièrement à l’intérieur de son corps, lui déclenchant des tremblements nerveux de tous ses membres.
- (Inquiet) Ça va « Thom » ?
- (Toujours tremblant) C’est trop bon !! Je vais jouir !!
- Attends !! Ne bouge plus, essaie de te retenir.
- Ahhh !!! Je la sens trop bien, c’est trop bon Ahhh !!!
J’essaie de rester sans bouger attendant qu’il reprenne la maîtrise de son corps, mon sexe pulse enserré comme il l’est dans cette gangue de soie à la chaleur si excitante qu’il ne me faudrait pas grand-chose pour que moi aussi je parte et lâche ma semence.
Nos lèvres se joignent à nouveau, plus calmement sachant bien qu’il nous faut juguler rapidement la pression que nos cerveaux ressentent en ce moment. Nos battements de cœurs ralentissent enfin et nous reprenons le contrôle de nos sens suffisamment pour reprendre la découverte de notre première fois.
C’est Thomas qui reprend le premier les hostilités. Ses reins s’activent d’abord lentement, nous laissant ressentir le merveilleux frottement de mon sexe à l’intérieur de ses intestins. L’envie devient pour moi irrésistible et mes mains lui prennent les hanches, mon bassin commence alors à donner des coups de plus en plus puissants coupant le souffle de mon ami, qui maintenant émet un petit feulement continu qui en dit long sur l’extrême plaisir qu’il y prend.
La position ne me convient pas vraiment et d’un mouvement fluide je le fais mettre sur le dos, je prends ses cuisses et les replie sur ses abdos, mon sexe reprend possession de son anneau et entre en lui d’un coup sec et nerveux.
- (Thomas ne pouvant se retenir crie son plaisir) Ahhhhh !!!!!
Ce son venant du plus profond de son être me transperce et me déchaîne dans un coït puissant, qui m’amène rapidement dans un état tel que mes nerfs et mes muscles se nouent et, que dans un dernier « Han !! » je me bloque au plus profond de lui et lui déverse mon amour dans un plaisir incommensurable.
Thomas n’en peut plus lui non plus, le fait de sentir ma jouissance déclenche la sienne, ses reins se cambrent me soulevant en même temps que son sexe expulse son plaisir. Nous restons affalés l’un sur l’autre complètement anéantis par l’orgasme qui nous a traversés et d’une puissance telle que nous n’en avions jamais connu.
Nous nous embrassons et nous câlinons quelques secondes quand des rires joyeux commencent à emplir la tente et que des voix dans un parfait ensemble scandent.
- (Les voix rieuses) Bon anniversaire Florian !!!
1ere ANNEE juillet : (17/35) (Retour une semaine en arrière) (Six juillet) (6ème partie) (fin)
Pas la peine de préciser que le lendemain matin ne fut pas une source de souvenir intarissable car ce n’est que vers Midi bien sonné que nous sortons tous d’un sommeil réparateur.
Le petit-déjeuner nous servit de repas et nous décidons tous de passer une après-midi loukoum à la plage. Bien sûr nous prenons les voitures car aucun d’entre nous ne se sentait le courage d’escalader la dune à pied même si certains endroits sont munis d’échelles en bois spécialement conçues pour cet effet.
Quand nous mettons le pied sur la plage quasiment déserte mise à part deux couples dans un coin, nous remarquons tout de suite qu’ils sont entièrement nus à se faire bronzer. Notre arrivée les panique et ils renfilent très vite leurs maillots en nous tournant le dos, leurs fesses parfaitement hâlées nous laissent à penser que ce n’est pas la première fois qu’ils font du naturisme et que notre arrivée ne doit pas être accueillie avec le sourire.
Comme il y a toute la place nécessaire pour leur laisser toute intimité, nous installons nos parasols et nos serviettes de plage suffisamment loin d’eux pour ne pas les gêner plus que nécessaire.
Raphaël nous regarde amusé car j’ai bien remarqué qu’il était le seul à ne pas paraître étonné de les voir aussi peu vêtu.
- Tu savais que c’était une plage naturiste ?
- Oui et non !! En fait elle ne l’est pas mais ce n’est un secret pour personne dans la région que beaucoup s’y adonnent et comme je vous l’ai déjà dit, très peu de touristes viennent ici.
- (Damien) Tu as vu leurs bronzages « Flo » ? C’est cool non ?
- (J’avoue que je trouve ça plutôt chouette) Oui ça donne envie.
- (Guillaume amusé) Chiche on le fait ?
- (Raphaël qui apparemment n’est pas contre) Pour moi ce n’est pas gênant car ça m’arrive souvent de le faire ici.
- (J’ai bien envie d’essayer) Je suis partant si personne n’y voit à redire.
- (Guillaume à haute voix pour que tous entendent) Hé !! Partant pour une aprèm naturiste les gars ? Qui est contre ?
Comme personne ne se manifeste pour donner son désaccord, je fais un clin d’œil à Damien et à Raphaël qui me font un signe de tête d’assentiment. J’ôte mes vêtements et arrivé au slip de bain, je l’enlève tout naturellement et je pars en riant me mettre à l’eau.
- Alors bande de dégonflés !! Vous venez ?
Guillaume et Raphaël sont les premiers à me rejoindre, j’en profite alors pour mieux détailler mon nouvel ami et je constate qu’en effet il est déjà bien bronzé partout et qu’il est réellement bien foutu.
Damien et Mathis sont les suivants, puis les voilà qui arrivent tous l’un après l’autre pour nous rejoindre. Thomas ne voulant surtout pas être le dernier fait fi de sa timidité et arrive en courant vers moi le visage dénotant malgré tout sa gêne par une magnifique coloration bien marquée sur ses joues.
Le dernier à venir est Aurélien, non pas à cause d’une quelconque timidité mais simplement parce qu’il est Aurélien et qu’il arrive vers nous d’une démarche nonchalante. Son attitude nous fait rire car elle reflète bien l’état d’esprit qu’il a toujours eu depuis que je le connais et qui fait que je l’adore.
Nous commençons alors une bataille rangée à nous asperger et nous couler en riants et criants à gorges déployées. Les deux couples nous regardent en souriant, discutent un petit moment et enlèvent les maillots qu’ils avaient si vite remis à notre arrivée puis se réinstallent tranquillement sur leurs serviettes de plage en nous regardant nous amuser comme des petits fous.
Un long moment passe ainsi jusqu’à ce que nous nous lassions d’être dans l’eau et que nous décidions d’un commun accord d’aller nous étendre par couple afin de profiter nous aussi du soleil.
Thomas me tend le flacon de crème solaire et s’allonge sur le ventre, je comprends ce qu’il attend de moi et lui badigeonne le dos et les fesses ne voulant surtout pas qu’il attrape un coup de soleil sur sa peau blanche de blond. Une fois satisfait de mon œuvre, je lui assène gentiment une petite claque sur le cul afin qu’il se tourne pour que je puisse également m’occuper tout en douceur de sa face avant.
J’admire son corps et son sexe au repos reposant sur son nid de poils d’un blond soyeux et doré, une fois la crème bien étalée sur tout le corps je termine en lui badigeonnant doucement le sexe et les bourses ; une fois terminé, je lui tends le flacon et prends la même position que lui auparavant.
Pendant qu’il me rend la politesse et que ses mains douces couvrent mon corps d’huile solaire dont je n’ai pas un réel besoin, je regarde mes amis et je souris en constatant qu’ils font tous pareil que nous et qu’aucun d’eux n’a de réactions indécentes. Le fait d’être ensemble ne nous faisant ressentir qu’un immense plaisir dépourvu de toutes pensées autres que celles de l’amitié.
Je me tourne alors vers les deux couples un peu plus loin et je remarque qu’ils ne nous quittent pas des yeux, quand je dis-nous il serait bon de préciser que c’est de Thomas et de moi qu’il s’agit, car c’est évident que leurs yeux sont braqués sur nous deux et que ce ne sont pas simplement des regards de curiosité qu’ils ont envers nous.
1ere ANNEE juillet : (18 /35) (Retour au présent) (Paris)
Maurice raccroche le combiné et reste un moment assis devant son bureau à réfléchir, il vient de prévenir Philippe qu’une enquête vient d’être ouverte sur son protégé. Plusieurs rapports faisant mention d’un très jeune garçon aux capacités étonnantes ont alerté ses services et il doit désigner une équipe pour vérifier le bien-fondé de tout cela et en avertir les instances supérieures s’ils s’avéraient exacts.
Heureusement le choix des personnes et la décision finale d’avertir ou non Matignon est entre ses mains mais il sait très bien qu’il marche sur des œufs et qu’il doit faire en sorte de rester crédible s’il veut pouvoir continuer comme jusqu’à aujourd’hui à protéger le garçon.
Étant tenu au courant par Philippe des faits et gestes du jeune Florian, il choisit donc en connaissance de cause les personnes qui vont être amenées à enquêter sur lui. Personnes qui d’ailleurs ne devraient pas tarder à arriver, l’heure de leurs convocations étant presque arrivée.
- Toc ! Toc ! Toc !
- Oui !! Entrer !!
- (Le planton entre et salut son supérieur) Les agents que vous attendiez sont arrivés monsieur.
- Faites les entrer et disposer merci.
Le temps pour lui de classer ses dossiers et de relire les quelques notes qu’il a fait prendre sur eux, et quatre personnes entrent et saluent. Restant au garde à vous en attendant l’ordre de se mettre au repos de cet homme que tous respectent et craignent dans le service.
- Repos messieurs dames !! Asseyez-vous, je vous demande un instant et je suis à vous.
Maurice termine de lire ses notes et regarde un à un les quatre jeunes personnes qui se tiennent devant lui attendant avec une certaine appréhension le pourquoi de cette convocation chez le grand patron.
Ils sont jeunes, la plus âgée n’a pas encore vingt-cinq ans et le plus jeune vingt-deux ans. S’il les a choisis c’est déjà pour une part à cause de cette jeunesse mais aussi et surtout à cause du fait qu’ils soient tous les quatre reconnus pour leurs empathies, ce qui arrange bien Maurice connaissant par les dires de Philippe celle énorme que développe son jeune protégé.
Il pense très clairement que cet aspect de leurs personnalités fera qu’ils s’attacheront très vite au garçon qu’ils seront chargés de surveiller et que du coup il y a de grande chance que comme son ami Espinach et beaucoup d’autres après lui, ils rédigeront leurs rapports de façon à ne pas mentir mais à ne pas tout dire non plus.
Bien sûr il sera là au cas où mais il connaît le risque qu’il courrait alors de se faire prendre et ce serait la pire des choses à arriver car dans ce cas-là un autre reprendrait tout à zéro et les photos du bébé avec les traces de brûlures disparues en quelques heures referaient surface et là !!!!
- Hum !! Bien !! J’ai une mission pour vous, elle consiste à vous intégrer dans la vie de tous les jours d’une personne qui disons-le d’après les rapports que je vais vous transmettre, pourrais intéresser au plus haut point notre gouvernement. Entendons-nous bien !! Il ne s’agit pas d’un criminel ou quoique ce soit de répréhensible venant ou pouvant venir de sa part, mais d’un jeune garçon qui aurait aux dires de certains des capacités intellectuelles défiant tous les critères en la matière connus à ce jour.
- (Dorian un des deux garçons) Un surdoué ?
- (Maurice) À mon avis oui, et je pense sincèrement qu’il n’est que cela et rien de plus. Mais aux dires des rapports que je vais vous transmettre, il apparaîtrait que son intellect soit beaucoup plus exceptionnel que ça et c’est le but de votre mission, découvrir si ce jeune garçon mérite ou non qu’on s’intéresse plus particulièrement à lui.
- (Camille une des deux filles) Et si c’est le cas ? Que lui arrivera-t-il ?
- (Maurice jouant bien son rôle) Nul ne le sait, mais je ne pense pas qu’il apprécierait forcément.
- (Dorian outré) Mais c’est dégueulasse !!
- (Maurice prenant un air sévère) Je ne vous permets pas !! Si ce garçon peut servir d’une façon ou d’une autre aux desseins de nos dirigeants, ce n’est pas à vous d’en juger. Maintenant prenez connaissance de vos feuilles de missions et envoyez-moi vos rapports chaque semaine jusqu’à ce qu’on vous rappelle. Rompez !!
Maurice sourit content de lui car la réaction du plus jeune a été dans le sens qu’il espérait, déjà même avant de connaître Florian la façon dont il a présenté les choses fait qu’ils ont déjà un a priori sur le but de leur mission.
- (Il parle tout seul dans son bureau) Espérons que j’ai visé juste en choisissant ses jeunes gens.
Il soupire et reprend le téléphone et explique à Philippe ce qu’il vient de faire ainsi que quelques conseils qu’il lui donne pour qu’il prenne toutes les précautions nécessaires afin qu’il y ait le moins de choses possible à découvrir sur son filleul.
Philippe raccroche et se lève d’un bond ce qui pour son âge surprend au plus haut point sa secrétaire. Il prend sa veste et après lui avoir demandé d’annuler tous ses rendez-vous pour les deux prochains jours, sort en vitesse et monte dans la Mercedes direction chez ses amis les De Bierne.
C’est un vrai conseil de famille et d’amis qui se déroule alors cet après-midi-là, Les Viala ainsi que les Louvain, les Delierre parents d’Éric et les Jourdan parents de Chloé.
- (Frédéric) Je crois que nous allons devoir abréger notre séjour parmi vous, il faut que je rencontre certaines personnes à Reims afin de mettre au point ce que nous venons de décider de faire ici.
- (Philippe) Tu as raison « Fred », s’il leur vient l’idée de venir fureter à l’hôpital ou à la fac même si elle est fermée, il vaudrait mieux que tous là-bas se tiennent sur leurs gardes et fassent attention aux éventuelles questions que de jeunes personnes pourraient leur poser.
- (José le père d’Éric) Mais enfin !! Qu’est-ce qu’ils veulent de Florian ?
- (Philippe) Pour l’instant juste savoir s’il y a quelque chose de vrai dans les rapports qu’ils ont reçus.
- (Marc le père de Chloé) Vous savez qui a pu les envoyer ?
- (Philippe) Certainement les professeurs envoyés par l’académie et que Florian a ridiculisé. (Marquant la colère) Pourtant je l’avais prévenu de faire profil bas avec eux mais non !! Monsieur a encore voulu faire rire tout le monde et maintenant voilà où nous en sommes arrivés.
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