CHAPITRE VIII
Au petit matin, la lueur du jour commence à poindre à travers les rideaux. Passés les premiers étirements, j’ouvre un œil. Alice est déjà éveillée. Allongée à mes côtés, le visage appuyé sur son coude elle me regarde d’un sourire que je ne lui connaissais encore pas, en petite culotte, son tee-shirt de nuit sur les épaules.
- Bien dormi mon chéri ? Me jette-t-elle d’une voix enjouée.
- Dans tes bras, un vrai bonheur, Alice. A réitérer sans restriction dès la nuit prochaine.
Ses yeux pétillent. Elle me tire une mèche de cheveux rebelles.
- Aie ! Tu fais quoi ?
- Tu es tout hirsute. On dirait un hérisson.
- Ben voyons, un hérisson ?
- Voyons voir si le hérisson est en forme ?
Alice passe sa main sur mon boxer sous le drap qui enveloppe nos corps encore apathiques.
- Petite forme ! Vais être obligée de te prescrire une ordonnance en urgence, à effet immédiat.
- Tu n’avais pas dit juste dormir ? Lui répliquais-je en baillant.
- Oui mais le dodo, là c’est fini. Alors voyons voir… 3 pilules bleu à prendre matin midi et soir … et trois d’un coup pour tout de suite.
- Du viagra ? n’importe quoi. Diagnostic à côté de la plaque Mademoiselle. Reviens-y un peu pour voir ?
Alice glisse à nouveau sa main sur mon boxer.
- Effectivement, il y a un peu plus d’audace dans le slip, mais je crains que ça ne suffise pas.
- Oh toi, je te sens bien coquine ce matin ?
- Ce n’est pas de ma faute si cette nuit il y avait un truc bien véloce tout contre mes fesses. Tu m’as donné envie mais je n’ai pas voulu te réveiller alors, je me suis caressée toute seule. Tiens regarde ma culotte est encore toute mouillée.
Alice me prend la main et la dirige sur son pubis. Elle la pose sur le gousset de sa culotte.
- Effectivement, incontinence avérée dis-je en riant ? t’inquiète, ça se soigne. Alors voyons voir, … couches mémère à forte absorption, deux épaisseurs pour la demoiselle s'il vous plaît.
- Quel mufle tu fais. Pff ! Des couches "mémère" pour mon minou si joli !!!
- Ben un truc antifuites efficace. Tiens regarde, ça coule encore.
Et effectivement la culotte d’Alice s’est largement humidifiée au contact de ma main.
- Faut que j’aille voir ça pour un diagnostic in situ.
Ni d’une, ni de deux, me voilà en spéléologue sous les draps. Mes lèvres courent sur la peau de son ventre d’une douceur de velours. J’évite ses seins cachés sous son tee-shirt, de peur de la gêner. Il faudra qu’on trouve une solution mais pour l’heure, il y a plus urgent. Mon nez trace la route. Il tombe dans le piège de son nombril. Je l’embrasse délicieusement. Je respire cette peau si douce, si parfumée de naturel.
- Culotte en vue, paré au diagnostic externe. Et … effectivement, gros problème !!!
Alice rit de mes gamineries. Mes lèvres courent à la lisière de sa petite culotte, s’enhardissent, glissent sur les stries du tissu, parcourent la dentelle en déposant mille baisers. De l’humidité de son gousset, dernier rempart à son intimité prisonnière, mes lèvres s’imprègnent de sa mouille abondante que je savoure avec délice. L’odeur sexuelle de la nuit me taquine les narines, comme un parfum ambré, suave, mi sucré mi salé.
Alice gémit. Elle prend ma tête entre ses mains pour la guider vers son plaisir. Ses jambes écartées me laissent carte blanche. Mes doigts s’agrippent au rebord de l’élastique, libérant doucement son sexe de l’emprise du tissu. Alice se cambre pour faciliter le mouvement. Le tissu passe en dessous de ses fesses. Seul le gousset trempé reste encore collé à son minou entièrement rasé, ultime résistance héroïque à l’attaque guerrière de mes doigts conquérants.
J’adore ce moment, lorsque le tissu quitte le sexe. Cette fraction de seconde où l’intimité se retrouve vaincue, dépourvue de toute protection où les odeurs confinées la nuit durant, dans cette jolie petite culotte sont elles aussi libérées et se répandent dans l’air ambiant. J'ai toujours trouvé frustrant une culotte trop vite retirée, jetée sans préavis comme un linge sale dont on veut se débarrasser trop rapidement.
Je pose mon oreille sur le pubis d’Alice comme s’il allait me chuchoter quelques secrets.
- Hé là, pas le moment de dormir s’écrit Alice languissante.
La voix haletante de ma petite chérie en dit long sur son état. La culotte retirée atterrit délicatement au bas du lit, un peu comme une relique inestimable. Le sexe d’Alice est tout à son image, d’une finesse sans égale, petit, effilé. J’ai rarement vu un sexe féminin aussi mince, juste un trait qu’il faut suivre pour éviter de s’égarer sur ce terrain glissant. L’entrée de sa petite grotte est marquée par le suintement abondant de ses sécrétions vaginales qui débordent largement sur son anus pour se répandre sur les draps mouillés.
- Houlà !!! Grosse fuite. Demande intervention immédiate.
- Viens … vite Pascal. J’ai trop envie.
J’embrasse ce si joli minou que l’absence de poil rend puéril. Alice se raidit et les mouvements de son bassin viennent frotter son sexe sur mes lèvres de haut en bas. Ma langue, restée aux aguets sur les lignes arrières intervient en urgence. Elle suit doucement le sillon de la volupté d’abord bien à plat pour ne rien perdre de toute cette liqueur interne puis de plus en plus incisive. La chatte d'Alice est toute chaude, bouillonnante de vie, généreuse à souhait.
- Oh oui, Pascal, c’est bon. Continue. Encore, plus vite.
Alice frémit, son bassin se tord pour épouser ma langue, pour que celle-ci s’immisce partout, dans tous les recoins de sa vulve offerte. Elle gémit davantage sur les parties qui la transportent. Je la suis, là où elle veut bien m’emmener. Son clitoris a pris une taille remarquable. Je sens bourgeonner ce petit bouton de plaisir. Alice se cabre, gémit encore plus fort et s’affale sur le matelas, haletante.
- Waouh, ça faisait longtemps.
Les yeux luisants, un sourire magistral sur son visage de petite fille rassasiée, Alice me regarde avec une douceur monumentale. La femme comblée me caresse les cheveux tendrement, dépose quelques baisers à fleur de peau. J’adore son visage marqué par le plaisir de la jouissance. Elle m’embrasse furtivement, un baiser exquis, plein de tendresse et d'amour.
- A moi de jouer dit-elle d’un ton impérial.
C’est le moment où l’alarme du réveil choisit de faire son entrée en scène.
- Oh non, pas déjà s'écrie t'elle déçue.
- Le temps passe trop vite dans tes bras ma chérie. Allez zou, on se retrouve ce soir pour la suite des festivités. Il faut que je file. J’ai une réunion importante ce matin. A ce soir ma puce.
Je récupère mes vêtements. Un dernier baiser et je réintègre mon appartement pour préparer cette nouvelle journée qui a démarré sous d’excellents auspices.
Au petit matin, la lueur du jour commence à poindre à travers les rideaux. Passés les premiers étirements, j’ouvre un œil. Alice est déjà éveillée. Allongée à mes côtés, le visage appuyé sur son coude elle me regarde d’un sourire que je ne lui connaissais encore pas, en petite culotte, son tee-shirt de nuit sur les épaules.
- Bien dormi mon chéri ? Me jette-t-elle d’une voix enjouée.
- Dans tes bras, un vrai bonheur, Alice. A réitérer sans restriction dès la nuit prochaine.
Ses yeux pétillent. Elle me tire une mèche de cheveux rebelles.
- Aie ! Tu fais quoi ?
- Tu es tout hirsute. On dirait un hérisson.
- Ben voyons, un hérisson ?
- Voyons voir si le hérisson est en forme ?
Alice passe sa main sur mon boxer sous le drap qui enveloppe nos corps encore apathiques.
- Petite forme ! Vais être obligée de te prescrire une ordonnance en urgence, à effet immédiat.
- Tu n’avais pas dit juste dormir ? Lui répliquais-je en baillant.
- Oui mais le dodo, là c’est fini. Alors voyons voir… 3 pilules bleu à prendre matin midi et soir … et trois d’un coup pour tout de suite.
- Du viagra ? n’importe quoi. Diagnostic à côté de la plaque Mademoiselle. Reviens-y un peu pour voir ?
Alice glisse à nouveau sa main sur mon boxer.
- Effectivement, il y a un peu plus d’audace dans le slip, mais je crains que ça ne suffise pas.
- Oh toi, je te sens bien coquine ce matin ?
- Ce n’est pas de ma faute si cette nuit il y avait un truc bien véloce tout contre mes fesses. Tu m’as donné envie mais je n’ai pas voulu te réveiller alors, je me suis caressée toute seule. Tiens regarde ma culotte est encore toute mouillée.
Alice me prend la main et la dirige sur son pubis. Elle la pose sur le gousset de sa culotte.
- Effectivement, incontinence avérée dis-je en riant ? t’inquiète, ça se soigne. Alors voyons voir, … couches mémère à forte absorption, deux épaisseurs pour la demoiselle s'il vous plaît.
- Quel mufle tu fais. Pff ! Des couches "mémère" pour mon minou si joli !!!
- Ben un truc antifuites efficace. Tiens regarde, ça coule encore.
Et effectivement la culotte d’Alice s’est largement humidifiée au contact de ma main.
- Faut que j’aille voir ça pour un diagnostic in situ.
Ni d’une, ni de deux, me voilà en spéléologue sous les draps. Mes lèvres courent sur la peau de son ventre d’une douceur de velours. J’évite ses seins cachés sous son tee-shirt, de peur de la gêner. Il faudra qu’on trouve une solution mais pour l’heure, il y a plus urgent. Mon nez trace la route. Il tombe dans le piège de son nombril. Je l’embrasse délicieusement. Je respire cette peau si douce, si parfumée de naturel.
- Culotte en vue, paré au diagnostic externe. Et … effectivement, gros problème !!!
Alice rit de mes gamineries. Mes lèvres courent à la lisière de sa petite culotte, s’enhardissent, glissent sur les stries du tissu, parcourent la dentelle en déposant mille baisers. De l’humidité de son gousset, dernier rempart à son intimité prisonnière, mes lèvres s’imprègnent de sa mouille abondante que je savoure avec délice. L’odeur sexuelle de la nuit me taquine les narines, comme un parfum ambré, suave, mi sucré mi salé.
Alice gémit. Elle prend ma tête entre ses mains pour la guider vers son plaisir. Ses jambes écartées me laissent carte blanche. Mes doigts s’agrippent au rebord de l’élastique, libérant doucement son sexe de l’emprise du tissu. Alice se cambre pour faciliter le mouvement. Le tissu passe en dessous de ses fesses. Seul le gousset trempé reste encore collé à son minou entièrement rasé, ultime résistance héroïque à l’attaque guerrière de mes doigts conquérants.
J’adore ce moment, lorsque le tissu quitte le sexe. Cette fraction de seconde où l’intimité se retrouve vaincue, dépourvue de toute protection où les odeurs confinées la nuit durant, dans cette jolie petite culotte sont elles aussi libérées et se répandent dans l’air ambiant. J'ai toujours trouvé frustrant une culotte trop vite retirée, jetée sans préavis comme un linge sale dont on veut se débarrasser trop rapidement.
Je pose mon oreille sur le pubis d’Alice comme s’il allait me chuchoter quelques secrets.
- Hé là, pas le moment de dormir s’écrit Alice languissante.
La voix haletante de ma petite chérie en dit long sur son état. La culotte retirée atterrit délicatement au bas du lit, un peu comme une relique inestimable. Le sexe d’Alice est tout à son image, d’une finesse sans égale, petit, effilé. J’ai rarement vu un sexe féminin aussi mince, juste un trait qu’il faut suivre pour éviter de s’égarer sur ce terrain glissant. L’entrée de sa petite grotte est marquée par le suintement abondant de ses sécrétions vaginales qui débordent largement sur son anus pour se répandre sur les draps mouillés.
- Houlà !!! Grosse fuite. Demande intervention immédiate.
- Viens … vite Pascal. J’ai trop envie.
J’embrasse ce si joli minou que l’absence de poil rend puéril. Alice se raidit et les mouvements de son bassin viennent frotter son sexe sur mes lèvres de haut en bas. Ma langue, restée aux aguets sur les lignes arrières intervient en urgence. Elle suit doucement le sillon de la volupté d’abord bien à plat pour ne rien perdre de toute cette liqueur interne puis de plus en plus incisive. La chatte d'Alice est toute chaude, bouillonnante de vie, généreuse à souhait.
- Oh oui, Pascal, c’est bon. Continue. Encore, plus vite.
Alice frémit, son bassin se tord pour épouser ma langue, pour que celle-ci s’immisce partout, dans tous les recoins de sa vulve offerte. Elle gémit davantage sur les parties qui la transportent. Je la suis, là où elle veut bien m’emmener. Son clitoris a pris une taille remarquable. Je sens bourgeonner ce petit bouton de plaisir. Alice se cabre, gémit encore plus fort et s’affale sur le matelas, haletante.
- Waouh, ça faisait longtemps.
Les yeux luisants, un sourire magistral sur son visage de petite fille rassasiée, Alice me regarde avec une douceur monumentale. La femme comblée me caresse les cheveux tendrement, dépose quelques baisers à fleur de peau. J’adore son visage marqué par le plaisir de la jouissance. Elle m’embrasse furtivement, un baiser exquis, plein de tendresse et d'amour.
- A moi de jouer dit-elle d’un ton impérial.
C’est le moment où l’alarme du réveil choisit de faire son entrée en scène.
- Oh non, pas déjà s'écrie t'elle déçue.
- Le temps passe trop vite dans tes bras ma chérie. Allez zou, on se retrouve ce soir pour la suite des festivités. Il faut que je file. J’ai une réunion importante ce matin. A ce soir ma puce.
Je récupère mes vêtements. Un dernier baiser et je réintègre mon appartement pour préparer cette nouvelle journée qui a démarré sous d’excellents auspices.
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