15-12-2021, 03:20 PM
CHAPITRE 125 : « Complexe De Bierne » « Annie »
« À quelques jours de noël. »
Annie traverse le complexe à grandes enjambées nerveuses et ce malgré son âge, l’annonce de l’arrivée de Thomas via le télé-porteur lui amenant ce regain d’énergie.
Depuis le départ de Toshio avec Tomoya qui a suivi de près la disparition mystérieuse de Florian et d’Alexandre, elle ne vit plus que dans l’attente de pouvoir enfin respirer librement en apprenant leurs retours en bonne santé.
Les nouvelles étant au demeurant assez rare car depuis le début de cette crise, seule la brève visite d’Alan et de Mickael annonçant la mauvaise nouvelle, suivit quelques mois plus tard de la missive de Thomas qui ne faisait que répéter ce qu’elle savait déjà, a brisé quelque peu l’isolement dans lequel ils se trouvent.
C’est donc quelque peu essouffler quand même qu’elle arrive à l’étage réserver à la sécurité du complexe, se dirigeant ensuite au son de cette voix qui lui fait comme toujours battre plus rapidement son cœur de femme.
Elle les retrouve en pleine discussion avec Patrice, quand Antonin la voit arriver le premier et averti Thomas d’une tape légère sur l’épaule.
Le grand blond n’a que le temps de reconnaitre celle qu’il considère un peu comme une seconde mère que déjà elle lui tombe dans les bras, les larmes aux yeux en lui couvrant le visage de baisés.
- Mon chéri comment vas-tu depuis tout ce temps ? as-tu des nouvelles de Florian et des autres ? restes-tu longtemps parmi nous ?
Thomas la repousse gentiment, en lui posant une main sur la bouche et en stoppant de ce fait le flux de paroles qui s’en échappait.
Quand il comprend après quelques secondes de ce traitement qu’elle s’est suffisamment remise, il la reprend dans ses bras pour cette fois un câlin beaucoup plus calme et qui lui permet de prendre le temps à lui donner les réponses qu’elle attend.
Ne voulant pas être indiscret sur ces retrouvailles poignantes, Antonin et ses deux amis, préfèrent quitter les lieux et aller pour chacun d’eux retrouver une personne particulièrement chère à son cœur.
Tandis qu’Alan et Mickael se dirigent droit vers la maison de Nicolas et de Tom, Antonin pour sa part prend le chemin qui mène au vieux dispensaire avec l’espoir d’y trouver Raphaël.
De penser au beau quadra rouquin, l’excitation monte en lui amenant la preuve si besoin lui en fallait sur les sentiments qu’il ressent pour ceux des amants de Florian présents sur cette planète, au détriment sans doute de ceux qu’il connait depuis toujours.
Le chemin menant à la clinique vétérinaire lui semble étrangement long, tellement l’image souriante de son responsable lui amène des bouffées de chaleurs autres que celles venant du climat tropical des lieux.
***/***
Raphaël termine de remplir quelques documents urgents, quand la porte de son bureau s’ouvre à la volée et claque en se refermant, avec en retour le déclic caractéristique annonçant sa condamnation.
Il n’a que le temps de relever la tête de sa paperasse, que déjà un ange blond vient s’assoir à califourchon sur ses genoux en lui prenant les lèvres de manière possessive.
Dire que le grand rouquin marque la surprise et un euphémisme, tellement l’action par elle-même est des plus inattendue, surtout venant de celui qui pour lui a toujours été le plus réservé de tous.
La douceur virile, l’odeur si particulière et la remontée phénoménale de leurs libidos, les retrouves très vite dépourvus de tous vêtements, Antonin reprenant la même position sur les genoux de Raphaël en lui faisant face mais surtout en engloutissant au passage la chose en pamoison jusqu’à ce que ses fesses se posent sur le coussin de poils roux.
Le petit blondinet décidemment déchainer reprend les lèvres du jeune quadra en otage, tout en se déhanchant de manière langoureuse.
Raphaël sent bien qu’à ce stade il ne tiendra pas bien longtemps, déjà que ses nerfs ressentent les picotements annonciateurs d’un plaisir fulgurant.
Il porte alors ses deux mains sur les hanches d’Antonin en le bloquant au mieux, tentant de reprendre le contrôle de ses sens.
Antonin détache son visage du sien le temps de lui envoyer un sourire carnassier annonçant qu’il ne compte pas s’en laisser compter, travaillant alors depuis l’intérieur se que son amant tente de stopper en l’immobilisant.
Raphaël comprend trop tard qu’il s’est fait avoir, quand la vague d’orgasme le prend et le libère de sa sève en plusieurs contractions puissantes.
Suit ensuite une étrange sensation de chaleur humide venant impacter son abdomen, son regard descend alors pour constater qu’il n’est pas le seul à avoir prit un énorme plaisir et que son « jeune » compagnon a lui aussi prit le sien en lui couvrant le corps de ses trainées blanches.
Les deux amants restent un moment à reprendre pieds après cette joute inattendue, un regard suffit pour renouer cette connivence des années passées.
Antonin retrouve alors cette expression de petit garçon timide, en faisant une moue si craquante que le grand rouquin se sent fondre à nouveau.
- Bonjour !!
Raphaël pouffe devant ce « bonjour » dit de façon si candide, comme s’ils ne venaient pas de faire l’amour juste avant et va pour lui répondre, quand il sent sa virilité reprendre soudainement une vigueur peu commune, vigueur qui prend Antonin par surprise en lui faisant pousser un râle de bien être qui le surprend à son tour.
- Arrhhh !!
- Bonjour !! Et…
Raphaël lorgne sur le bassin du blondinet qui connait lui aussi un redressement spectaculaire avant de terminer sa phrase.
- … rebonjour !!
- Hummm…
La deuxième session est non seulement bien plus longue, mais également plus riche en sentiments et en romantisme, les deux garçons se câlinant à l’envie en alternant avec quelques mouvements fougueux jusqu’à ne plus en pouvoir et laisser une fois de plus libre cour aux pulsions les plus incontrôlable et jouissives.
Le résultat cette fois ne prête plus à l’erreur sur le type de retrouvailles, les corps couverts de sueurs et l’odeur de musc odorant la pièce, en étant la preuve irréfutable pour qui arriverait à ce moment précis.
Raphaël se lève alors qu’il est toujours imbriqué avec Antonin, se dernier n’ayant apparemment pas l’intention de s’en libérer de suite, il noue ses jambes autour de ses reins et noue ses bras autour de son cou pour se laisser mener dans la partie privée où se trouve la douche et la chambre garder dans l’état de l’ancien maitre des lieux.
La légèreté du petit blond mais surtout le mouvement de balancier dû au déplacement jusqu’à la petite salle de douche a une nouvelle fois et contre toute attente rendu sa vigueur au sexe de Raphaël, étant lui-même le premier surpris d’autant d’endurance de sa part.
Bien entendu Antonin le ressent comme il se doit, observant d’un air à la fois étonner et confondu, les traits virils ne marquant en rien la fatigue des deux précédents rapports.
- Wouah !! Encore un peu et je pourrais penser avoir hériter des dons de Florian !!
Le grand rouquin sourit en accentuant le mouvement de balancier, tout en observant le regard soudainement révulser par les sensations du ressenti de son amant.
- Qu’est-ce que tu crois gamin, que nous autre sur Terre ne sommes pas capables d’assurer devant vous autres ?
Arriver contre la cloison de douche ou il plaque le dos d’Antonin, pour une fois encore lui donner ce qu’il attend de lui, dans un grognement quasi continu démontrant bien le plaisir qu’il prend à se sentir posséder de la sorte par cette virilité lui massant l’endroit si sensible aux hommes que certains nomment le point G.
« À quelques jours de noël. »
Annie traverse le complexe à grandes enjambées nerveuses et ce malgré son âge, l’annonce de l’arrivée de Thomas via le télé-porteur lui amenant ce regain d’énergie.
Depuis le départ de Toshio avec Tomoya qui a suivi de près la disparition mystérieuse de Florian et d’Alexandre, elle ne vit plus que dans l’attente de pouvoir enfin respirer librement en apprenant leurs retours en bonne santé.
Les nouvelles étant au demeurant assez rare car depuis le début de cette crise, seule la brève visite d’Alan et de Mickael annonçant la mauvaise nouvelle, suivit quelques mois plus tard de la missive de Thomas qui ne faisait que répéter ce qu’elle savait déjà, a brisé quelque peu l’isolement dans lequel ils se trouvent.
C’est donc quelque peu essouffler quand même qu’elle arrive à l’étage réserver à la sécurité du complexe, se dirigeant ensuite au son de cette voix qui lui fait comme toujours battre plus rapidement son cœur de femme.
Elle les retrouve en pleine discussion avec Patrice, quand Antonin la voit arriver le premier et averti Thomas d’une tape légère sur l’épaule.
Le grand blond n’a que le temps de reconnaitre celle qu’il considère un peu comme une seconde mère que déjà elle lui tombe dans les bras, les larmes aux yeux en lui couvrant le visage de baisés.
- Mon chéri comment vas-tu depuis tout ce temps ? as-tu des nouvelles de Florian et des autres ? restes-tu longtemps parmi nous ?
Thomas la repousse gentiment, en lui posant une main sur la bouche et en stoppant de ce fait le flux de paroles qui s’en échappait.
Quand il comprend après quelques secondes de ce traitement qu’elle s’est suffisamment remise, il la reprend dans ses bras pour cette fois un câlin beaucoup plus calme et qui lui permet de prendre le temps à lui donner les réponses qu’elle attend.
Ne voulant pas être indiscret sur ces retrouvailles poignantes, Antonin et ses deux amis, préfèrent quitter les lieux et aller pour chacun d’eux retrouver une personne particulièrement chère à son cœur.
Tandis qu’Alan et Mickael se dirigent droit vers la maison de Nicolas et de Tom, Antonin pour sa part prend le chemin qui mène au vieux dispensaire avec l’espoir d’y trouver Raphaël.
De penser au beau quadra rouquin, l’excitation monte en lui amenant la preuve si besoin lui en fallait sur les sentiments qu’il ressent pour ceux des amants de Florian présents sur cette planète, au détriment sans doute de ceux qu’il connait depuis toujours.
Le chemin menant à la clinique vétérinaire lui semble étrangement long, tellement l’image souriante de son responsable lui amène des bouffées de chaleurs autres que celles venant du climat tropical des lieux.
***/***
Raphaël termine de remplir quelques documents urgents, quand la porte de son bureau s’ouvre à la volée et claque en se refermant, avec en retour le déclic caractéristique annonçant sa condamnation.
Il n’a que le temps de relever la tête de sa paperasse, que déjà un ange blond vient s’assoir à califourchon sur ses genoux en lui prenant les lèvres de manière possessive.
Dire que le grand rouquin marque la surprise et un euphémisme, tellement l’action par elle-même est des plus inattendue, surtout venant de celui qui pour lui a toujours été le plus réservé de tous.
La douceur virile, l’odeur si particulière et la remontée phénoménale de leurs libidos, les retrouves très vite dépourvus de tous vêtements, Antonin reprenant la même position sur les genoux de Raphaël en lui faisant face mais surtout en engloutissant au passage la chose en pamoison jusqu’à ce que ses fesses se posent sur le coussin de poils roux.
Le petit blondinet décidemment déchainer reprend les lèvres du jeune quadra en otage, tout en se déhanchant de manière langoureuse.
Raphaël sent bien qu’à ce stade il ne tiendra pas bien longtemps, déjà que ses nerfs ressentent les picotements annonciateurs d’un plaisir fulgurant.
Il porte alors ses deux mains sur les hanches d’Antonin en le bloquant au mieux, tentant de reprendre le contrôle de ses sens.
Antonin détache son visage du sien le temps de lui envoyer un sourire carnassier annonçant qu’il ne compte pas s’en laisser compter, travaillant alors depuis l’intérieur se que son amant tente de stopper en l’immobilisant.
Raphaël comprend trop tard qu’il s’est fait avoir, quand la vague d’orgasme le prend et le libère de sa sève en plusieurs contractions puissantes.
Suit ensuite une étrange sensation de chaleur humide venant impacter son abdomen, son regard descend alors pour constater qu’il n’est pas le seul à avoir prit un énorme plaisir et que son « jeune » compagnon a lui aussi prit le sien en lui couvrant le corps de ses trainées blanches.
Les deux amants restent un moment à reprendre pieds après cette joute inattendue, un regard suffit pour renouer cette connivence des années passées.
Antonin retrouve alors cette expression de petit garçon timide, en faisant une moue si craquante que le grand rouquin se sent fondre à nouveau.
- Bonjour !!
Raphaël pouffe devant ce « bonjour » dit de façon si candide, comme s’ils ne venaient pas de faire l’amour juste avant et va pour lui répondre, quand il sent sa virilité reprendre soudainement une vigueur peu commune, vigueur qui prend Antonin par surprise en lui faisant pousser un râle de bien être qui le surprend à son tour.
- Arrhhh !!
- Bonjour !! Et…
Raphaël lorgne sur le bassin du blondinet qui connait lui aussi un redressement spectaculaire avant de terminer sa phrase.
- … rebonjour !!
- Hummm…
La deuxième session est non seulement bien plus longue, mais également plus riche en sentiments et en romantisme, les deux garçons se câlinant à l’envie en alternant avec quelques mouvements fougueux jusqu’à ne plus en pouvoir et laisser une fois de plus libre cour aux pulsions les plus incontrôlable et jouissives.
Le résultat cette fois ne prête plus à l’erreur sur le type de retrouvailles, les corps couverts de sueurs et l’odeur de musc odorant la pièce, en étant la preuve irréfutable pour qui arriverait à ce moment précis.
Raphaël se lève alors qu’il est toujours imbriqué avec Antonin, se dernier n’ayant apparemment pas l’intention de s’en libérer de suite, il noue ses jambes autour de ses reins et noue ses bras autour de son cou pour se laisser mener dans la partie privée où se trouve la douche et la chambre garder dans l’état de l’ancien maitre des lieux.
La légèreté du petit blond mais surtout le mouvement de balancier dû au déplacement jusqu’à la petite salle de douche a une nouvelle fois et contre toute attente rendu sa vigueur au sexe de Raphaël, étant lui-même le premier surpris d’autant d’endurance de sa part.
Bien entendu Antonin le ressent comme il se doit, observant d’un air à la fois étonner et confondu, les traits virils ne marquant en rien la fatigue des deux précédents rapports.
- Wouah !! Encore un peu et je pourrais penser avoir hériter des dons de Florian !!
Le grand rouquin sourit en accentuant le mouvement de balancier, tout en observant le regard soudainement révulser par les sensations du ressenti de son amant.
- Qu’est-ce que tu crois gamin, que nous autre sur Terre ne sommes pas capables d’assurer devant vous autres ?
Arriver contre la cloison de douche ou il plaque le dos d’Antonin, pour une fois encore lui donner ce qu’il attend de lui, dans un grognement quasi continu démontrant bien le plaisir qu’il prend à se sentir posséder de la sorte par cette virilité lui massant l’endroit si sensible aux hommes que certains nomment le point G.
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