07-08-2020, 03:45 PM
(Modification du message : 08-08-2020, 09:08 AM par laurentdu51100.)
1ere ANNEE vacances d’été : (4/15) (Chez les Dufour)
Les deux garçons se collent alors l’un à l’autre et commencent les caresses sur tous leurs corps jusqu’à ce que le plaisir soit à fleur de peau et qu’ils ne tiennent plus à l’envie de ne faire plus qu’un. Sylvain met son homme à quatre pattes au-dessus de lui les fesses au-dessus de son visage et pendant que celui-ci s’occupe de son sexe raide en l’embrassant, lui donnant des petits coups de langue et en le tétant comme un gros biberon. Sylvain ne reste pas inactif pendant qu’une de ses mains malaxe les deux magnifiques testicules pendant devant ses yeux, l’autre prépare doucement avec un puis deux et enfin le sentant bien dilaté trois doigts qui investissent le fourreau où son épée conquérante va bientôt y retrouver la chaleur et le soyeux qui lui convient tant.
Un râle de désir s’échappe de la gorge de Sébastien quand le majeur de son ami caresse et masse le point le plus sensible à l’intérieur de son être lui envoyant des vagues de chaleurs et de plaisirs. Son sexe se plaque à son ventre et ses testicules remontent comme un yoyo pour finir par se coller au périnée indiquant à Sylvain qu’il est temps pour lui d’arrêter ses attouchements s’il ne veut pas que son compagnon parte trop vite alors que lui est maintenant prêt à le prendre.
Il change alors de position permettant ainsi à Sébastien de se reprendre quelque peu, une fois sur le dos un oreiller sous les reins, le jeune blondinet ramène ses genoux vers sa poitrine, laissant apparaître une nouvelle fois à la vue excitée de Sylvain, son anus grand ouvert et palpitant dont l’antre d’un rouge vif le fait saliver et lui amène sur le sexe le lubrifiant naturel de son pré-sperme qui s’échappe du méat en un long filet luisant et transparent.
Sylvain à genoux se rapproche encore plus de son ami jusqu’à ce que d’une main il rapproche son gland des abords de la rosette et doucement commence à pousser pour qu’une infime partie seulement pénètre son homme qu’il sent très vite s’énerver sous lui de la lenteur à laquelle il se fait prendre.
Sébastien attrape alors les fesses de Sylvain de ses deux mains et d’un geste ferme presque brutal tant l’excitation du jeune homme est grande, le ramène vers lui et se fait enfin empaler sentant le gland puis la hampe entrer entièrement en lui, lui déclenchant un cri de plaisir enfin assouvi.
Sylvain en profite pour amener ses lèvres contre les siennes et l’embrasser avec fougue tandis qu’il bouge ses reins pour attiser le plaisir de son ami, le sexe toujours entièrement entré en lui. Les mains de Sébastien sont toujours posées sur les fesses nerveuses et musclées dont il sent les fossettes au creux des muscles fessiers se former quand celui-ci se cambre au plus profond de lui.
Un lent, très lent mouvement de va-et-vient qui amène sa hampe à la limite de la sortie du fourreau jusqu’au plus profond de celui-ci s’entame alors. Pendant plus de cinq minutes Sylvain joue ainsi avec les nerfs de Sébastien qui sent doucement arriver l’orgasme qui va le clouer par son intensité et le laisser la respiration haletante et le cœur battant affalé sur le lit.
La pénétration s’accélère progressivement et les « Han ! Han ! » s’échappant des gorges des deux amants prouvent l’arrivée imminente de leur libération. C’est quand en percevant les deux trois mouvements nerveux et saccadés de Sylvain qui jouit et libère sa liqueur de vie dans le fondement de Sébastien que celui-ci lâche toute sa jute qui vient atterrir sur son visage pâmé par l’orgasme violent qui vient de le terrasser.
Les deux garçons effondrés l’un sur l’autre ouvrent les yeux encore brillants de plaisir et se sourient mutuellement montrant ainsi la reconnaissance qu’ils ont l’un vers l’autre de l’intensité de cette joute amoureuse qui vient une nouvelle fois de les mener au septième ciel.
Leurs lèvres se cherchent et se scellent dans un baiser langoureux et torride à la fois, leurs doigts se nouent les uns dans les autres marquant l’extrême attachement qui lie les deux garçons. Les baisers peu à peu diminuent de fréquence et d’intensité jusqu’à ce que les deux amoureux s’endorment enfin sereins et repus le sourire toujours aux lèvres.
Quand le réveil sonne à quatre heures du matin, il reçoit dès la première sonnerie un oreiller rageur qui l’envoie à l’autre bout de la chambre sans pour autant cesser de sonner. Du coup et heureusement pour eux s’ils voulaient partir de bonne heure, ils sont obligés de se lever pour l’éteindre et la tête dans le cul ils décident d’aller déjeuner et de réveiller Carole.
1ere ANNEE vacances d’été : (5 /15) (Chez les Lorias)
Marc hésite à entrer aussi Aléxie doit gentiment le pousser à franchir la porte de l’appartement où lui et ses parents vivent. Il n’a pas revu les parents de son ami depuis les fêtes de Noël et il se demande s’ils auront toujours le même accueil envers lui car depuis lors ils ont eu le temps de réfléchir au couple qu’il forme avec leur fils.
Anne et Bruno sont dans le salon et ne les ont pas entendus entrer, ils sont en pleine conversation justement sur les garçons et plus particulièrement sur le petit Ludovic et de la rapidité avec laquelle il se remet de son opération.
- (Anne) C’est une sacrée chance que Flavien et Marc connaissaient ce garçon, grâce à ce jeune Florian, Aléxie a retrouvé son visage d’avant et « Ludo » est encore en vie.
- (Bruno) Je t’avouerais que j’ai eu du mal à croire tout ce qu’ils nous ont dit mais comment douter après avoir vu la guérison de notre fils.
- (Anne) C’est vrai que ça a été un vrai miracle, en moins de deux semaines il avait repris une apparence normale.
- (Bruno) J’espère que nous aurons l’occasion de le remercier, et puis j’en ferais autant pour Marc quand il arrivera car c’est aussi grâce à lui.
- (Anne) Je l’aime beaucoup ce jeune homme, il est très calme et gentil, Flavien a dit à ma sœur que Florian lui a fait faire des examens pour voir quel est son problème de maigreur et il espère qu’il va trouver pour que Marc se remplume un peu car c’est vrai qu’il lui manque quelques kilos. Après ça il sera certainement encore plus mignon j’en suis sûre.
- (Bruno) C’est un sacré coup quand même d’apprendre qu’Aléxie aime un garçon.
- (Anne) Il n’y peut rien c’est comme ça, le mieux c’est de faire en sorte qu’il le vive bien. Et puis il s’est trouvé quelqu’un de bien que j’aime beaucoup, imagine qu’il est amené une fille qui ne nous aurait pas plus ? Ça n’aurait pas été mieux non plus.
Bruno qui voit une ombre dans le couloir comprend que les garçons sont là à l’écoute de leur conversation, il fait un clin d’œil à sa femme en montrant l’endroit de la tête.
- (Bruno) Mais je trouve quand même que notre fils est trop bien pour lui, il aurait pu choisir beaucoup mieux vu comment il est beau gosse. Au lieu de son squelette à pattes même si c’est un gars gentil, avoue qu’il n’a rien pour lui on ne voit que la peau sur les os à ce garçon.
En disant cela, ils se sont levés sans faire de bruit et sont partis se mettre le long du mur à l’entrée du couloir attendant la réaction qui ne tarde d’ailleurs pas d’arriver venant de son fils.
- (Aléxie rouge de colère qui entre dans le salon tel un bouledogue) Et s’il me plaît comme il est à moi !! De quoi je me mêle enfin !!
Marc entre derrière lui blanc comme un linge et cherche des yeux les parents de son ami, voyant le salon vide il se retourne et tombe nez à nez avec eux écroulés de rires devant la hargne de leurs fils parlant toujours au canapé vide trop en colère pour s’apercevoir qu’ils n’y sont plus.
Anne voyant le visage défait du jeune homme reprend immédiatement son sérieux car c’est sûr qu’en laissant son mari faire cette petite farce elle n’a pas pensé un seul instant que cela le blesserait autant. Elle vient alors vers Marc et le prend dans ses bras en l’embrassant gentiment sur la joue.
Aléxie se rend compte enfin qu’il se passe quelque chose de pas normal et c’est en se retournant qu’il voit le tableau de son père le fixant mort de rire et de sa mère enlaçant gentiment son petit ami.
- Vous saviez qu’on était là ? C’est encore une de tes farces pourries hein p’pa ? Et tu trouves ça drôle ? Regarde dans quel état tu as mis « Marco » maintenant !! C’est malin !!
- (Bruno se tourne alors vers sa femme et voit lui aussi la pâleur de Marc et son extrême tristesse) Mais c’était pour plaisanter !! J’ai vu votre ombre dans le couloir alors j’ai voulu rire un peu à vos dépens.
- (Aléxie toujours en colère) Je t’avais pourtant dit que Marc était super-émotif, déjà à cause de ses parents qui n’en ont rien à faire de lui ou si peu. Décidément je me demande parfois qui sont les gosses et qui sont les adultes.
- (Bruno ne sachant trop quoi répondre se rendant bien compte de sa bourde) Je... J’avoue que ce n’était pas malin, allez Marc excuse cette bêtise et vient t’asseoir. Pardonne-moi j’ai agi sans réfléchir, je voulais juste vous faire râler un peu.
Anne amène doucement vers le canapé le jeune homme encore tremblant qui reprend petit à petit des couleurs et s’essaie de sourire devant cet homme se sentant soudain très mal à l’aise. Bruno le regarde gentiment et trouve que malgré tout ce garçon a beaucoup de charme et quand son fils vient s’asseoir contre lui et le prend dans ses bras, il ne peut empêcher la petite larme d’émotion venir lentement s’écouler sur sa joue à la vue de ce jeune couple qui malgré ses dires précédents même s’ils étaient prononcés pour plaisanter va très bien ensemble.
L’émotivité de Marc touche toute la famille qui se met en quatre pour lui faire oublier cet épisode pour le moins sordide, c’est Aléxie qui en est le plus touchant berçant son ami avec une telle tendresse qu’il en fait vibrer la corde familiale rendant ses parents particulièrement attendris devant autant de gentillesse.
- (Anne après le repas se lève) Bon !! Je vais finir de préparer la chambre d’ami.
- (Aléxie surpris) Pourquoi ? Il y a eu le feu dans la mienne ?
Bruno se met alors à rire à gorge déployée devant la tête que fait sa femme comprenant que les deux garçons n’ont pas l’intention de dormir autrement qu’ensemble.
- (Bruno mort de rire) Non il n’y a pas eu le feu dans ta chambre mon fils mais j’ai l’impression que cette nuit il risque d’y en avoir un.
- (Anne comprenant l’allusion devient rouge cerise) Oh !!! Chéri !! Ne va pas leur mettre un tas d’idées en tête.
- (Bruno toujours écroulé) Ah !! Parce que tu crois qu’ils ne les avaient pas déjà ?
1ere ANNEE vacances d’été : (6 /15) (chez les Lemont)
Le film se termine et Flavien sourit en remarquant que son petit frère s’est endormi dans ses bras, il fait un signe de tête à ses copains pour leur montrer le tableau ce qui ne manque pas de les faire sourire également. Bastien et Henriette sont déjà au lit et Flavien commence lui aussi à ressentir la fatigue du voyage et de la journée.
Guillaume lui aussi a un coup de barre et il commençait à piquer du nez sur le fauteuil, quand il comprend que ses amis ne vont plus tarder il se lève lui aussi et à moitié dans le gaz avec juste un léger geste de la main en signe d’au revoir, il gagne la chambre de Ludovic où un lit d’appoint lui a été installé.
Flavien se lève doucement tenant toujours précieusement le petit bonhomme dans ses bras et après un salut à ses amis part lui aussi se coucher. Florian et Thomas se regardent n'espérant qu’un geste de l’autre pour en faire autant, ils comprennent ensemble ce que chacun attend et se mettent à rire doucement pour ne pas réveiller ceux qui dorment.
- (Thomas) On y va ?
- Je vais prendre une douche avant.
- Je peux venir avec toi ?
J’ai vu en arrivant que la douche était adaptée à la carrure du grand et que donc elle était largement assez spacieuse pour nous deux, aussi c’est avec un grand sourire que je lui réponds.
- Hum !! Je ne sais pas si c’est bien raisonnable, il ne faudrait pas qu’en me voyant nu tu aies envie d’abuser de mon jeune corps toujours vierge.
- (Thomas amusé) C’est en tout bien tout honneur que je te demande ça, tu sais, loin de moi la pensée d’abuser d’un si petit garçon.
- Hé !! N’abuse pas tout de même !! J’ai grandi depuis, il y a même fallu que je me rachète de nouvelles fringues alors tu vois.
- (Thomas se lève et prend la main de son copain) Non !! Sans déconner !! Viens par ici que je vérifie si tu dis vrai.
Je me lève et me colle à lui en riant, je suis encore loin de ses un mètre quatre-vingt mais ma tête dépasse maintenant légèrement sa poitrine mes cheveux chatouillant même le dessous de son menton.
- Alors ? Tu vois que j’ai raison, encore un an et je serais aussi grand que toi.
- (En riant) Va falloir encore que tu avales des litres de soupe pour y arriver Hi ! Hi !
- Beurk !!! Et puis en plus je suis sûr que tu me préfères plus petit que toi.
- (Thomas prend les joues de Florian entre ses deux mains, baisse la tête et l’embrasse) Je pense que tu as raison.
- Ah !! Tu vois !! (Sourire coquin) En plus ce n’est pas vrai pour tout.
- (Les yeux brillant) Ah oui ? Je ne vois pas de quoi tu parles.
- Rhaaa !! Viens prendre ta douche et je te montrerais moi de quoi je parle.
- Et dire que c’est moi qui ne devais pas abuser de toi.
- (En riant) Je ne vois pas le rapport.
Ils se dirigent toujours main dans la main vers la salle de bains où ils s’enferment pour préserver leur intimité. Pendant que Thomas fait couler l’eau de la douche, Florian se déshabille entièrement et quand son ami une fois l’eau à bonne température se retourne, il reste bouche ouverte devant le petit corps fin musclé sec et imberbe qu’il découvre devant ses yeux. Mais aussi de la chose se trouvant entre ses jambes qui du fait de sa petite taille et de sa minceur paraissent encore plus démesurées.
C’est une des rares fois pour Thomas que Florian se montre à lui en pleine lumière car les occasions où ils sont nus ensemble sont le plus souvent dans la pénombre de la chambre. Florian ne remarque pas le trouble qu’il occasionne et file sous la douche dévoilant ses petites fesses rondes et toutes blanches à la convoitise de Thomas.
- (Je le regarde figé devant moi) Hé !! Tu viens ou quoi ?
Thomas réagit aux paroles de son ami en sortant de son nuage, il se tourne pour ôter lui aussi ses vêtements en priant pour que son érection se calme avant de devoir le rejoindre sous la douche. La vue du petit rouquin comme à chaque fois lui ayant déclenché sa libido qui lui fait dresser fièrement son sexe entre ses jambes.
Florian repère très vite son manège et comprend aussitôt dans quel état de raideur se trouve le jeune homme qui lui présente ses fesses sous les yeux, ne le laissant pas lui non plus insensible à la nudité magnifique même de dos du grand blond dont il a la chance d’être le petit ami.
- (Je file sous le jet d’eau chaude avant que mon début d’érection ne se voie trop) Aller viens « Thom » elle est bonne, ce n’est pas grave si tu bandes (Je ris) Au contraire comme ça, il y en aura plus à laver.
Je sens le courant d’air de la porte qui s’ouvre puis le corps de mon ami qui se plaque contre le mien, ses mains m’enserrent le ventre et sa bouche vient déposer tout un paquet de bisous sur mon cou qui en attrape la chair de poule tellement cette sensation me fait un bien fou.
Je me retourne et nos lèvres s’ajustent alors au millimètre dans un baiser passionné, nos mains se gavant de la douceur de nos dos et pour ma part de ses belles fesses pommés couvertes d’un fin duvet blond presque transparent; Je le sens trembler sous mes caresses et son sexe dur se frotter sur mon ventre, le mien dans le même état tape plus bas entre ses jambes tantôt sous ses bourses tantôt dans son sillon fessier.
La sensation est divine pour moi et je crois bien que pour « Thom » c’est pareil voire pire car il ne tarde pas à émettre de longs soupirs en se frottant à moi d’une façon de plus en plus forte et rythmée, m’amenant moi aussi pas loin du point de non-retour car mon gland se retrouve entre ses fesses caressées par son duvet blond qui fait bouillir mon sang et fait pulser de plus en plus fort mon sexe maintenant décalotté et tendu comme jamais.
Ses lèvres viennent se nicher dans mon cou et j’entends son souffle court et ses petits râles de plaisir annonçant sa proche jouissance, j’attrape alors ses fesses et je les malaxe fermement en profitant pour faire glisser mon sexe à l’intérieur en brèves impulsions saccadées.
Quand mon gland bute doucement sur son anneau, il se cabre, pousse un long gémissement et son corps tremble quand il se répand sur mon ventre. Je me retiens de ne pas pousser plus fort afin de pénétrer dans cette gaine qui me paraît si douce au moment où j’expulse moi aussi le fruit de mon plaisir entre ses cuisses dans un orgasme qui me prend les reins et remonte lentement en ondes très fortes à mon cerveau.
L’eau chaude nous coulant toujours dessus finit par nous faire revenir à la réalité et les yeux toujours dans les yeux nous reprenons nos ablutions. Une fois terminées, nous nous séchons et chacun une grande serviette de bain autour de la taille et nos vêtements sous les bras, nous rentrons dans la chambre avec dans le regard l’envie qui nous tient de continuer ce que nous venons de commencer d’une si plaisante manière.
Les deux garçons se collent alors l’un à l’autre et commencent les caresses sur tous leurs corps jusqu’à ce que le plaisir soit à fleur de peau et qu’ils ne tiennent plus à l’envie de ne faire plus qu’un. Sylvain met son homme à quatre pattes au-dessus de lui les fesses au-dessus de son visage et pendant que celui-ci s’occupe de son sexe raide en l’embrassant, lui donnant des petits coups de langue et en le tétant comme un gros biberon. Sylvain ne reste pas inactif pendant qu’une de ses mains malaxe les deux magnifiques testicules pendant devant ses yeux, l’autre prépare doucement avec un puis deux et enfin le sentant bien dilaté trois doigts qui investissent le fourreau où son épée conquérante va bientôt y retrouver la chaleur et le soyeux qui lui convient tant.
Un râle de désir s’échappe de la gorge de Sébastien quand le majeur de son ami caresse et masse le point le plus sensible à l’intérieur de son être lui envoyant des vagues de chaleurs et de plaisirs. Son sexe se plaque à son ventre et ses testicules remontent comme un yoyo pour finir par se coller au périnée indiquant à Sylvain qu’il est temps pour lui d’arrêter ses attouchements s’il ne veut pas que son compagnon parte trop vite alors que lui est maintenant prêt à le prendre.
Il change alors de position permettant ainsi à Sébastien de se reprendre quelque peu, une fois sur le dos un oreiller sous les reins, le jeune blondinet ramène ses genoux vers sa poitrine, laissant apparaître une nouvelle fois à la vue excitée de Sylvain, son anus grand ouvert et palpitant dont l’antre d’un rouge vif le fait saliver et lui amène sur le sexe le lubrifiant naturel de son pré-sperme qui s’échappe du méat en un long filet luisant et transparent.
Sylvain à genoux se rapproche encore plus de son ami jusqu’à ce que d’une main il rapproche son gland des abords de la rosette et doucement commence à pousser pour qu’une infime partie seulement pénètre son homme qu’il sent très vite s’énerver sous lui de la lenteur à laquelle il se fait prendre.
Sébastien attrape alors les fesses de Sylvain de ses deux mains et d’un geste ferme presque brutal tant l’excitation du jeune homme est grande, le ramène vers lui et se fait enfin empaler sentant le gland puis la hampe entrer entièrement en lui, lui déclenchant un cri de plaisir enfin assouvi.
Sylvain en profite pour amener ses lèvres contre les siennes et l’embrasser avec fougue tandis qu’il bouge ses reins pour attiser le plaisir de son ami, le sexe toujours entièrement entré en lui. Les mains de Sébastien sont toujours posées sur les fesses nerveuses et musclées dont il sent les fossettes au creux des muscles fessiers se former quand celui-ci se cambre au plus profond de lui.
Un lent, très lent mouvement de va-et-vient qui amène sa hampe à la limite de la sortie du fourreau jusqu’au plus profond de celui-ci s’entame alors. Pendant plus de cinq minutes Sylvain joue ainsi avec les nerfs de Sébastien qui sent doucement arriver l’orgasme qui va le clouer par son intensité et le laisser la respiration haletante et le cœur battant affalé sur le lit.
La pénétration s’accélère progressivement et les « Han ! Han ! » s’échappant des gorges des deux amants prouvent l’arrivée imminente de leur libération. C’est quand en percevant les deux trois mouvements nerveux et saccadés de Sylvain qui jouit et libère sa liqueur de vie dans le fondement de Sébastien que celui-ci lâche toute sa jute qui vient atterrir sur son visage pâmé par l’orgasme violent qui vient de le terrasser.
Les deux garçons effondrés l’un sur l’autre ouvrent les yeux encore brillants de plaisir et se sourient mutuellement montrant ainsi la reconnaissance qu’ils ont l’un vers l’autre de l’intensité de cette joute amoureuse qui vient une nouvelle fois de les mener au septième ciel.
Leurs lèvres se cherchent et se scellent dans un baiser langoureux et torride à la fois, leurs doigts se nouent les uns dans les autres marquant l’extrême attachement qui lie les deux garçons. Les baisers peu à peu diminuent de fréquence et d’intensité jusqu’à ce que les deux amoureux s’endorment enfin sereins et repus le sourire toujours aux lèvres.
Quand le réveil sonne à quatre heures du matin, il reçoit dès la première sonnerie un oreiller rageur qui l’envoie à l’autre bout de la chambre sans pour autant cesser de sonner. Du coup et heureusement pour eux s’ils voulaient partir de bonne heure, ils sont obligés de se lever pour l’éteindre et la tête dans le cul ils décident d’aller déjeuner et de réveiller Carole.
1ere ANNEE vacances d’été : (5 /15) (Chez les Lorias)
Marc hésite à entrer aussi Aléxie doit gentiment le pousser à franchir la porte de l’appartement où lui et ses parents vivent. Il n’a pas revu les parents de son ami depuis les fêtes de Noël et il se demande s’ils auront toujours le même accueil envers lui car depuis lors ils ont eu le temps de réfléchir au couple qu’il forme avec leur fils.
Anne et Bruno sont dans le salon et ne les ont pas entendus entrer, ils sont en pleine conversation justement sur les garçons et plus particulièrement sur le petit Ludovic et de la rapidité avec laquelle il se remet de son opération.
- (Anne) C’est une sacrée chance que Flavien et Marc connaissaient ce garçon, grâce à ce jeune Florian, Aléxie a retrouvé son visage d’avant et « Ludo » est encore en vie.
- (Bruno) Je t’avouerais que j’ai eu du mal à croire tout ce qu’ils nous ont dit mais comment douter après avoir vu la guérison de notre fils.
- (Anne) C’est vrai que ça a été un vrai miracle, en moins de deux semaines il avait repris une apparence normale.
- (Bruno) J’espère que nous aurons l’occasion de le remercier, et puis j’en ferais autant pour Marc quand il arrivera car c’est aussi grâce à lui.
- (Anne) Je l’aime beaucoup ce jeune homme, il est très calme et gentil, Flavien a dit à ma sœur que Florian lui a fait faire des examens pour voir quel est son problème de maigreur et il espère qu’il va trouver pour que Marc se remplume un peu car c’est vrai qu’il lui manque quelques kilos. Après ça il sera certainement encore plus mignon j’en suis sûre.
- (Bruno) C’est un sacré coup quand même d’apprendre qu’Aléxie aime un garçon.
- (Anne) Il n’y peut rien c’est comme ça, le mieux c’est de faire en sorte qu’il le vive bien. Et puis il s’est trouvé quelqu’un de bien que j’aime beaucoup, imagine qu’il est amené une fille qui ne nous aurait pas plus ? Ça n’aurait pas été mieux non plus.
Bruno qui voit une ombre dans le couloir comprend que les garçons sont là à l’écoute de leur conversation, il fait un clin d’œil à sa femme en montrant l’endroit de la tête.
- (Bruno) Mais je trouve quand même que notre fils est trop bien pour lui, il aurait pu choisir beaucoup mieux vu comment il est beau gosse. Au lieu de son squelette à pattes même si c’est un gars gentil, avoue qu’il n’a rien pour lui on ne voit que la peau sur les os à ce garçon.
En disant cela, ils se sont levés sans faire de bruit et sont partis se mettre le long du mur à l’entrée du couloir attendant la réaction qui ne tarde d’ailleurs pas d’arriver venant de son fils.
- (Aléxie rouge de colère qui entre dans le salon tel un bouledogue) Et s’il me plaît comme il est à moi !! De quoi je me mêle enfin !!
Marc entre derrière lui blanc comme un linge et cherche des yeux les parents de son ami, voyant le salon vide il se retourne et tombe nez à nez avec eux écroulés de rires devant la hargne de leurs fils parlant toujours au canapé vide trop en colère pour s’apercevoir qu’ils n’y sont plus.
Anne voyant le visage défait du jeune homme reprend immédiatement son sérieux car c’est sûr qu’en laissant son mari faire cette petite farce elle n’a pas pensé un seul instant que cela le blesserait autant. Elle vient alors vers Marc et le prend dans ses bras en l’embrassant gentiment sur la joue.
Aléxie se rend compte enfin qu’il se passe quelque chose de pas normal et c’est en se retournant qu’il voit le tableau de son père le fixant mort de rire et de sa mère enlaçant gentiment son petit ami.
- Vous saviez qu’on était là ? C’est encore une de tes farces pourries hein p’pa ? Et tu trouves ça drôle ? Regarde dans quel état tu as mis « Marco » maintenant !! C’est malin !!
- (Bruno se tourne alors vers sa femme et voit lui aussi la pâleur de Marc et son extrême tristesse) Mais c’était pour plaisanter !! J’ai vu votre ombre dans le couloir alors j’ai voulu rire un peu à vos dépens.
- (Aléxie toujours en colère) Je t’avais pourtant dit que Marc était super-émotif, déjà à cause de ses parents qui n’en ont rien à faire de lui ou si peu. Décidément je me demande parfois qui sont les gosses et qui sont les adultes.
- (Bruno ne sachant trop quoi répondre se rendant bien compte de sa bourde) Je... J’avoue que ce n’était pas malin, allez Marc excuse cette bêtise et vient t’asseoir. Pardonne-moi j’ai agi sans réfléchir, je voulais juste vous faire râler un peu.
Anne amène doucement vers le canapé le jeune homme encore tremblant qui reprend petit à petit des couleurs et s’essaie de sourire devant cet homme se sentant soudain très mal à l’aise. Bruno le regarde gentiment et trouve que malgré tout ce garçon a beaucoup de charme et quand son fils vient s’asseoir contre lui et le prend dans ses bras, il ne peut empêcher la petite larme d’émotion venir lentement s’écouler sur sa joue à la vue de ce jeune couple qui malgré ses dires précédents même s’ils étaient prononcés pour plaisanter va très bien ensemble.
L’émotivité de Marc touche toute la famille qui se met en quatre pour lui faire oublier cet épisode pour le moins sordide, c’est Aléxie qui en est le plus touchant berçant son ami avec une telle tendresse qu’il en fait vibrer la corde familiale rendant ses parents particulièrement attendris devant autant de gentillesse.
- (Anne après le repas se lève) Bon !! Je vais finir de préparer la chambre d’ami.
- (Aléxie surpris) Pourquoi ? Il y a eu le feu dans la mienne ?
Bruno se met alors à rire à gorge déployée devant la tête que fait sa femme comprenant que les deux garçons n’ont pas l’intention de dormir autrement qu’ensemble.
- (Bruno mort de rire) Non il n’y a pas eu le feu dans ta chambre mon fils mais j’ai l’impression que cette nuit il risque d’y en avoir un.
- (Anne comprenant l’allusion devient rouge cerise) Oh !!! Chéri !! Ne va pas leur mettre un tas d’idées en tête.
- (Bruno toujours écroulé) Ah !! Parce que tu crois qu’ils ne les avaient pas déjà ?
1ere ANNEE vacances d’été : (6 /15) (chez les Lemont)
Le film se termine et Flavien sourit en remarquant que son petit frère s’est endormi dans ses bras, il fait un signe de tête à ses copains pour leur montrer le tableau ce qui ne manque pas de les faire sourire également. Bastien et Henriette sont déjà au lit et Flavien commence lui aussi à ressentir la fatigue du voyage et de la journée.
Guillaume lui aussi a un coup de barre et il commençait à piquer du nez sur le fauteuil, quand il comprend que ses amis ne vont plus tarder il se lève lui aussi et à moitié dans le gaz avec juste un léger geste de la main en signe d’au revoir, il gagne la chambre de Ludovic où un lit d’appoint lui a été installé.
Flavien se lève doucement tenant toujours précieusement le petit bonhomme dans ses bras et après un salut à ses amis part lui aussi se coucher. Florian et Thomas se regardent n'espérant qu’un geste de l’autre pour en faire autant, ils comprennent ensemble ce que chacun attend et se mettent à rire doucement pour ne pas réveiller ceux qui dorment.
- (Thomas) On y va ?
- Je vais prendre une douche avant.
- Je peux venir avec toi ?
J’ai vu en arrivant que la douche était adaptée à la carrure du grand et que donc elle était largement assez spacieuse pour nous deux, aussi c’est avec un grand sourire que je lui réponds.
- Hum !! Je ne sais pas si c’est bien raisonnable, il ne faudrait pas qu’en me voyant nu tu aies envie d’abuser de mon jeune corps toujours vierge.
- (Thomas amusé) C’est en tout bien tout honneur que je te demande ça, tu sais, loin de moi la pensée d’abuser d’un si petit garçon.
- Hé !! N’abuse pas tout de même !! J’ai grandi depuis, il y a même fallu que je me rachète de nouvelles fringues alors tu vois.
- (Thomas se lève et prend la main de son copain) Non !! Sans déconner !! Viens par ici que je vérifie si tu dis vrai.
Je me lève et me colle à lui en riant, je suis encore loin de ses un mètre quatre-vingt mais ma tête dépasse maintenant légèrement sa poitrine mes cheveux chatouillant même le dessous de son menton.
- Alors ? Tu vois que j’ai raison, encore un an et je serais aussi grand que toi.
- (En riant) Va falloir encore que tu avales des litres de soupe pour y arriver Hi ! Hi !
- Beurk !!! Et puis en plus je suis sûr que tu me préfères plus petit que toi.
- (Thomas prend les joues de Florian entre ses deux mains, baisse la tête et l’embrasse) Je pense que tu as raison.
- Ah !! Tu vois !! (Sourire coquin) En plus ce n’est pas vrai pour tout.
- (Les yeux brillant) Ah oui ? Je ne vois pas de quoi tu parles.
- Rhaaa !! Viens prendre ta douche et je te montrerais moi de quoi je parle.
- Et dire que c’est moi qui ne devais pas abuser de toi.
- (En riant) Je ne vois pas le rapport.
Ils se dirigent toujours main dans la main vers la salle de bains où ils s’enferment pour préserver leur intimité. Pendant que Thomas fait couler l’eau de la douche, Florian se déshabille entièrement et quand son ami une fois l’eau à bonne température se retourne, il reste bouche ouverte devant le petit corps fin musclé sec et imberbe qu’il découvre devant ses yeux. Mais aussi de la chose se trouvant entre ses jambes qui du fait de sa petite taille et de sa minceur paraissent encore plus démesurées.
C’est une des rares fois pour Thomas que Florian se montre à lui en pleine lumière car les occasions où ils sont nus ensemble sont le plus souvent dans la pénombre de la chambre. Florian ne remarque pas le trouble qu’il occasionne et file sous la douche dévoilant ses petites fesses rondes et toutes blanches à la convoitise de Thomas.
- (Je le regarde figé devant moi) Hé !! Tu viens ou quoi ?
Thomas réagit aux paroles de son ami en sortant de son nuage, il se tourne pour ôter lui aussi ses vêtements en priant pour que son érection se calme avant de devoir le rejoindre sous la douche. La vue du petit rouquin comme à chaque fois lui ayant déclenché sa libido qui lui fait dresser fièrement son sexe entre ses jambes.
Florian repère très vite son manège et comprend aussitôt dans quel état de raideur se trouve le jeune homme qui lui présente ses fesses sous les yeux, ne le laissant pas lui non plus insensible à la nudité magnifique même de dos du grand blond dont il a la chance d’être le petit ami.
- (Je file sous le jet d’eau chaude avant que mon début d’érection ne se voie trop) Aller viens « Thom » elle est bonne, ce n’est pas grave si tu bandes (Je ris) Au contraire comme ça, il y en aura plus à laver.
Je sens le courant d’air de la porte qui s’ouvre puis le corps de mon ami qui se plaque contre le mien, ses mains m’enserrent le ventre et sa bouche vient déposer tout un paquet de bisous sur mon cou qui en attrape la chair de poule tellement cette sensation me fait un bien fou.
Je me retourne et nos lèvres s’ajustent alors au millimètre dans un baiser passionné, nos mains se gavant de la douceur de nos dos et pour ma part de ses belles fesses pommés couvertes d’un fin duvet blond presque transparent; Je le sens trembler sous mes caresses et son sexe dur se frotter sur mon ventre, le mien dans le même état tape plus bas entre ses jambes tantôt sous ses bourses tantôt dans son sillon fessier.
La sensation est divine pour moi et je crois bien que pour « Thom » c’est pareil voire pire car il ne tarde pas à émettre de longs soupirs en se frottant à moi d’une façon de plus en plus forte et rythmée, m’amenant moi aussi pas loin du point de non-retour car mon gland se retrouve entre ses fesses caressées par son duvet blond qui fait bouillir mon sang et fait pulser de plus en plus fort mon sexe maintenant décalotté et tendu comme jamais.
Ses lèvres viennent se nicher dans mon cou et j’entends son souffle court et ses petits râles de plaisir annonçant sa proche jouissance, j’attrape alors ses fesses et je les malaxe fermement en profitant pour faire glisser mon sexe à l’intérieur en brèves impulsions saccadées.
Quand mon gland bute doucement sur son anneau, il se cabre, pousse un long gémissement et son corps tremble quand il se répand sur mon ventre. Je me retiens de ne pas pousser plus fort afin de pénétrer dans cette gaine qui me paraît si douce au moment où j’expulse moi aussi le fruit de mon plaisir entre ses cuisses dans un orgasme qui me prend les reins et remonte lentement en ondes très fortes à mon cerveau.
L’eau chaude nous coulant toujours dessus finit par nous faire revenir à la réalité et les yeux toujours dans les yeux nous reprenons nos ablutions. Une fois terminées, nous nous séchons et chacun une grande serviette de bain autour de la taille et nos vêtements sous les bras, nous rentrons dans la chambre avec dans le regard l’envie qui nous tient de continuer ce que nous venons de commencer d’une si plaisante manière.
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=71.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 3
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li