07-08-2020, 03:08 PM
1re ANNEE dernier trimestre : (1/ 30) (Thillois)
Sébastien prépare ses dossiers pour la reprise des cours profitant d’être seul car Sylvain, Carole et Mélanie sont partis faire un tour dans la campagne pour que la petite fille s’aère, un peu trop prise qu’elle l’est par tous les soins qu’on lui administre et sa rééducation intensive.
Sylvain est un garçon heureux comme jamais il ne l’a été, il a le petit ami qu’il souhaitait depuis toujours et leur couple s’accorde on ne peut mieux. Le caractère actif macho de Sylvain et celui passif soumis de Sébastien leur permettent de s’éclater au lit ou ailleurs de façon quasiment idéale.
Le reste du temps c’est aussi le bonheur car ils sont raccords sur presque tout ce qui fait le quotidien d’un couple, leurs loisirs, leurs besoins de conversations, leurs goûts communs et partagent également de grands moments de tendresses.
En pensant à son homme Sébastien se masse les fesses et sourit car il sait qu’à peine rentrer il va pouvoir assouvir cette démangeaison qu’il a au bas des reins depuis qu’il est seul, apparemment ce n’est pas suffisant pour sa libido car le devant se dresse sans pudeur et l’envie de se masturber que lui envoie son cerveau devient de plus en plus impérieux.
Il arrête ce qu’il faisait en soupirant sachant bien qu’il n’arrivera plus à rien tant qu’il ne se sera pas soulagé. Une fois dans la salle de bains, il se déshabille très vite et avant d’attaquer ce pour quoi il est venu, il profite de cet état d’extrême tension pour s’admirer dans le miroir.
Le reflet de la glace lui envoie l’image d’un garçon souriant de dix-huit ans blond aux cheveux court presque en brosse et aux yeux bleu le visage fin et légèrement ovale avec les petites oreilles au lobe magnifiquement dessiné et un nez arrondi sur le bout lui donnant un air à la Tom Cruise. Après le visage son regard part le long de son corps, ses un mètre soixante-quinze lui vont bien et ses cinquante-cinq kilos lui donnent juste ce qu’il faut de muscle pour être des plus appétissants.
Le corps entièrement imberbe de nature à part aux aisselles et au pubis qui en ce moment est surmonté d’une érection qu’il ne contrôle pas et qui amène ses dix-sept centimètres plutôt fin devant son nombril le gland ne demandant qu’à sortir de sa gaine de chair rose qu’il prend en main avec un soupir de satisfaction.
Pendant qu’il se fait sa petite affaire, ses pensées vont bien sûr vers son chéri et il se masturbe les yeux fermés en ayant devant lui l’image de son homme nu. Penser à ce grand brun qui a le même âge que lui d’un mètre quatre-vingt aux cheveux coupés court tout en arrière et aux yeux d’un vert si profond qui lui donne un frisson qui lui traverse la colonne vertébrale du bas vers le haut.
Il continue mentalement et toujours en s’astiquant de plus en plus vigoureusement le sexe décalotté d’où perlent les gouttes d’excitation qui s’échappent de son méat gonflé au maximum, les soixante-cinq kilos de Sylvain lui donnent une apparence mince et sa peau mate ornée d’une fine ligne de poils partant de son sexe et remontant vers sa poitrine sans s’étaler sur son ventre ou son torse qui reste imberbe lui plaît au plus haut point.
Les sensations du plaisir dont il s’adonne commencent à lui donner chaud partout et pour se terminer dans un orgasme fort il met l’image du sexe trapu et épais qui avec l'aide des dix-huit centimètres dont il est pourvu le font grimper au ciel à chaque fois qu’il se fait prendre bien à fond et qu’il se sent "chienne" entre les bras de son "maître".
Cette pensée lui déclenche l’orgasme et ce sont les jambes tremblantes de plaisir qu’il envoie sa gourme dans le lavabo en giclées brèves mais d’une pression tel qu’il en atteint sans problème le mitigeur et le carrelage derrière celui-ci.
Il essuie toutes traces de son petit plaisir solitaire et s’en retourne terminer ce pourquoi il était resté à la maison avant qu’ils ne reviennent, que son envie jamais satisfaite ne le reprenne et qu’il n’aille exciter son compagnon pour rassasier cette fois-ci l’autre côté de sa personne tout aussi gourmande que la partie face qui déjà rien qu’à cette pensée recommence à donner des signes de redressement.
Le bruit de voix à l’extérieur active encore plus son envie de se faire prendre et quand la porte d’entrée s’ouvre il ne peut s’empêcher en les regardant entrer de se mordiller avidement les lèvres en fixant dans les yeux son compagnon qui en reconnaît les signes et sourit à la pensée de l’envie toujours présente de son ami dès qu’ils se retrouvent après s’être quitté même simplement quelques heures comme c’est le cas en ce moment.
Un signe impérieux de la tête lui montrant l’étage et les yeux de Sébastien se baissent serviles pour exécuter au plus vite les instructions de celui qui à ce moment-là n’est plus que le maître à satisfaire au mieux. Il ne demande donc pas son reste et monte à l’étage, entre dans la chambre se déshabille entièrement et se positionne à quatre pattes sur le lit les reins cambrés le ventre touchant presque le matelas et les deux mains écartant au maximum ses fesses dans l’attente de la saillie qui va le faire monter comme à chaque fois au septième ciel.
Sylvain lui laisse le temps en montant lentement les escaliers, sa matraque épaisse gonflant déjà son slip rien qu’à la pensée de son soumis l’attendant pour se faire investir. Il entre dans la chambre sans une parole la tête pleine de la vue des plus excitante qu’il a en face de lui, se déshabille entièrement et sans plus de préliminaire entre à fond d’un coup sec presque violent dans le fondement de Sébastien qui en pousse un énorme « Han !! » de bonheur.
1ere ANNEE dernier trimestre : (2/ 30) (Dernier jour à Aix)
Les valises et les sacs à dos sont prêts, il ne reste plus que quelques heures pour tous d’être ensemble jusqu’aux prochaines vacances qu’ils ont chargé Chloé, Éric et Thomas d’organiser. Ils en ont pas mal discuté et aimeraient tous se retrouver dans un camping du côté d’Arcachon et de la dune du Pilat, les cousins de Thomas promettant de faire tous leurs possibles pour convaincre leurs parents pour qu'ils donnent leurs accords afin de pouvoir les y rejoindre.
Florian est dans le salon seul avec ses grands-parents, assis dans le canapé entre eux deux et profite un maximum de la dernière occasion avant longtemps de leur faire un « super câlin » comme il dit, câlin qui consiste à les gaver de baisers jusqu’à ce que même eux qui en sont pourtant très friands lui disent en riant d’arrêter.
- (Michel) Je vous ai entendus parler des vacances d’été, ça te plairait beaucoup à ce que je vois ?
- Oh !! Oui grand père !! Mais je ne sais pas si c’est très raisonnable.
- (Maryse surprise) Comment ça ?
- Eh bien oui quoi !! Vous me payez déjà tout et je ne veux pas que vous vous priviez pour moi.
- (Michel sentant que c’est le moment de mettre certaines choses au point, ne s'en étant pas senti le courage aux dernières vacances) Ecoute « Flo » je ne sais pas qui a pu te mettre dans la tête que nous n’avions pas les moyens de subvenir à tes besoins mais je te rassure nous le pouvons parfaitement et sans nous priver alors arrête de te faire du mauvais sang et profite de ta jeunesse sans penser à toutes ses histoires d’argent.
- (Maryse) Nous avons une très bonne retraite et tu n’as pas à t’en faire, en plus avec tout l’argent que nous avons mis de côté pour toi il y a largement pour te payer tout ce que tu as envie alors n’hésite surtout pas à nous en parler si tu as besoin de quelque chose dont nous ne pensons pas.
- (Je ris et me lève amusé) Alors faudra peut-être penser à me rhabiller parce que je n’ai plus que des pantacourts maintenant, on dirait bien que j’ai grandi ses derniers mois.
- (Maryse regardant le pantalon de son petit-fils lui arrivant au-dessus des chevilles ne peut s’empêcher de rire) C’est vrai maintenant que tu nous le dis Hi ! Hi !
- (Michel amusé lui aussi mais surtout ému de savoir que s’il n’avait pas abordé le sujet Florian serait resté il en est sûr comme ça jusqu’à l’automne) Sers toi de ta carte bancaire et n’oublie pas qu’il n’y a aucun souci d’argent dans notre famille.
- (Je reste quand même sceptique craignant qu’ils disent ça pour me faire plaisir) Vous êtes sûr hein ?
- (Maryse sérieuse) Mais oui mon chéri sinon nous te l’aurions dit, tu sais bien que nous ne sommes pas comme ça.
- Entendu alors !! J’irais me racheter un ou deux pantalons quand je serais rentré à Reims.
- (Maryse amusée) Et profite en pour des sous-vêtements et des pulls, enfin tout ce qu’il te faut et je vais téléphoner à Annie pour qu’elle s’occupe de ça avec toi parce que je te connais.
- (Michel) Quant aux vacances d’été ne te fais aucun souci nous sommes d’accord pour que tu y ailles avec tes amis.
- (Je saute de joie) Merci !! Vous êtes trop super avec moi, toujours !!
- (Maryse émue) Nous t’aimons Florian, tu es notre seule famille.
- (En riant) Il y a Thomas maintenant (Je me reprends) En fait non, il y a toujours eu Thomas.
- (Michel souriant) En parlant de lui j’espère que tu as pris le temps de lui parler de toi ?
- (Etonné) Comment ça ?
- (Michel stupéfait) Où as-tu la tête mon garçon, presque tous tes amis connaissent ce don que tu as sauf celui avec qui tu veux passer ta vie, tu trouves ça normal ?
- Je sais mais c’est ce que je me dis quand il n’est pas là mais dès qu’il est près de moi j’oublie à chaque fois, sans doute parce que je trouve trop d’autres sujets de conversations avec lui. Mais je vous jure que ce n’est pas volontaire, vous me croyez j’espère ?
- (Maryse) Bien sûr mon chéri mais puisque nous en parlons je t’en prie, dis-lui avant de partir. Tu ne sais pas comment il le prendrait s’il l’apprenait par quelqu’un d’autre ou même par hasard.
- (Michel) Moi à sa place je ne le prendrais pas très bien je pense, alors ta grand-mère a raison, parle-lui en avant de partir.
- (Je me rends bien compte qu’ils ont raison et que ce ne serait pas cool qu’il apprenne ça par quelqu’un d’autre) Entendu !! J’y vais, bisous.
Je fonce alors comme un dératé chez mon grand « petit ami » et entre en trombe dans la cuisine où ils sont tous là en pleine discussion familiale. Ils sursautent en me voyant arriver et leurs yeux deviennent interrogatifs, curieux devant mon empressement.
- J’ai quelque chose à vous dire.
- (Alain s’attendant au pire) Aïe !!
- Non !! Sérieux !! C’est un truc sur moi que j’ai complètement zappé malgré les nombreuses fois où je devais vous en parler.
- (Evelyne surprise) Ah bon ? Comment ça ?
- (Je regarde Thomas en souriant) Juste que quand je suis près du grand gugusse je pense à autre chose et après quand ça me revient et bien c’est trop tard, je suis à des kilomètres et je me dis que ce sera pour la prochaine fois.
- (Alain toujours pas convaincu de mon sérieux) Comment ça, tu penses à autre chose (Il voit mon sourire) C'est rien!!! Je n'ai rien dit !!! Laisse tomber, il y a des enfants ici alors je ne préfère pas savoir.
- (Mathis en riant) Tu pousses un peu tonton !! On est plus des gosses.
- (Léa regardant son petit frère) Pour moi je suis d’accord mais toi ? Parfois je me le demande.
- (Thomas préfèrent calmer le jeu) Alors c’est quoi ton secret ?
- J’ai un « don »
- (Alain mort de rire) Mais ça Florian on le savait déjà !!
1ere ANNEE dernier trimestre : (3/ 30) (Dernier jour à Aix)
- (Etonné) Ah oui ? Vraiment ?
- (Alain devant mon étonnement se déchaîne encore plus et fini par en faire rire les autres tellement le sien est communicatif) Nous le savions tous que tu avais un « don », celui de faire des farces pendables à tout le monde sans que jamais cela ne te retombe dessus, crois-moi ça, c’est un sacré « don ».
- (Amusé car en y réfléchissant bien je me dis qu’il a raison aussi la dessus) Alors j’ai deux « dons » dont un que vous connaissez pour l’avoir subi tant de fois.
- (Evelyne amusée) J’espère que tu continueras sinon on va s’ennuyer.
- (Thomas plus pragmatique car il voit bien mon sérieux) Et l’autre alors ? C’est quoi ?
- Celui de guérir !!!
- (Alain redevenant soudainement sérieux) Explique toi s’il te plaît.
- En fait il est en plusieurs parties, la plus crédible aux yeux de tout le monde ce sont mes facultés d’opérer et de soigner les gens avec mes mains et mon cerveau (Je leur explique pendant un bon quart d’heure les deux derniers trimestres en fac et mes interventions chirurgicales au CHU.
- (Evelyne n’en croyant pas ses oreilles) Je sais que tu n’es pas un menteur « Flo » mais ce que tu viens de nous raconter est très difficile à croire tu t’en rends compte ?
- Je m’en doute bien mais je vous assure que c’est la vérité, si vous avez du mal à me croire qu’est-ce que ça va être pour la suite !!
- (Thomas qui me croit sur parole) Je n’ai jamais douté de toi tu sais alors continue, quelles sont les autres parties de ce « don » ?
- J’ai également la faculté de me guérir tout seul (Je leur raconte l’histoire de l’accident et voyant que mon récit passe encore plus mal que le précédent) Mais là je peux vous le prouver facilement.
Devant leurs airs incrédules, je fais comme avec la famille Viala. J’ouvre un tiroir et en sors un couteau très aiguisé et sans leur laisser le temps d’intervenir je m’entaille une nouvelle fois le bras au-dessus de l’évier et devant leurs têtes horrifiées par mon geste.
- Approchez et regardez bien !!
Comme l’autre fois à l’hôpital, mon sang s‘arrête très vite de couler. Je passe mon bras à l’eau pour bien montrer l’entaille profonde et je les laisse assister les yeux ébahis, à la fermeture rapide de la plaie qui au bout de quelques minutes ne laisse plus rien paraître de mon geste de tout à l’heure.
- (Evelyne stupéfaite comme les autres d’ailleurs) Mon Dieu !! Comment est-ce possible ?
- (Léa les yeux ronds) C’est de la science-fiction !!
- (Alain qui doit bien reconnaître ce que ses yeux ont vu) Comment tu fais ?
- Je n’en sais absolument rien, c’est Philippe en septembre qui m’a ouvert les yeux sur ce truc. Il se demandait pourquoi mes grands-parents étaient aussi alertes à leurs âges alors qu’avant mon arrivée chez eux ils étaient très affaiblis.
- (Evelyne qui se rappelle) C’est vrai je m’en souviens, ta grand-mère avait de graves problèmes de hanche et marchait difficilement et ton grand-père était très usé par son ancien métier. Mais alors si je comprends bien ce que tu dis, ce serait grâce à toi s’ils sont comme ça maintenant ?
- Oui et vous aussi ainsi que d’autres dans le quartier. C’est la dernière partie de ce que je voulais vous dire.
- (Alain stupéfait) Nous aussi ?
- (Thomas repense aux questions que lui a posées Annie la première fois qu’il l’a rencontrée) C’est pour ça que nous ne sommes jamais malades ?
- Et oui !!! Et aussi grâce à ça que toi ou Mathis avez une peau de pêche sans boutons ou autres trucs du genre.
- (Mathis surpris qu’on parle de lui) Qu’est-ce que j’ai à voir dans tout ça moi ? C’est vrai que je ne me rappelle pas avoir été malade ni Léa d’ailleurs !! Comment tu as fait ça ?
- En vous faisant la bise à chaque fois que je vous voyais tout simplement, et c’est pareil pour Éric ses parents ainsi que Chloé et les siens plus quelques voisins qui ont été toujours sympas avec moi.
- (Evelyne incrédule) La bise ? Juste le fait de nous embrasser ?
- En fait c’est plutôt ma salive et sans doute un de ses composants qui a fait tout le travail, vous voulez que je vous montre ? (Devant la tête qu’ils font je ne doute pas un instant qu’ils en ont plus qu’envie) Très bien !! Lequel d’entre vous a une cicatrice ou un truc qui le gêne ? (Voyant que personne ne dit rien) Je m’en doutais !! (Je reprends le couteau) Mathis !! Donne-moi ta main !!
- (La peur se lit sur son visage) Hé !! Pourquoi moi ?
- C’était au hasard !! Quelqu’un d’autre alors ? Faites-moi confiance si je vous dis que vous ne risquez rien.
- (Thomas en remontant sa manche) Vas-y « Flo » je sais très bien que tu ne me ferais rien de mal.
- (J’hésite car faire du mal même si c’est juste pour une démonstration à mon chéri ne me dit pas vraiment) Tu es sûr ?
- (Comprenant mon dilemme, Thomas me sourit et me prend le couteau des mains puis d’un geste sûr sans hésiter un seul instant, il s’entaille légèrement l’avant-bras se faisant une coupure qui aussitôt fait sortir son sang) Aller !! Un bisou maintenant !!
Comme je l’ai fait pour moi juste avant, je nettoie son bras sous le jet d’eau de l’évier et y laisse tomber une grosse goutte de salive. Le même phénomène recommence et ils observent tous la petite cicatrice qui se referme en très peu de temps laissant son bras sans aucune trace quelques minutes plus tard.
- Là !! Vous voyez !!
Sébastien prépare ses dossiers pour la reprise des cours profitant d’être seul car Sylvain, Carole et Mélanie sont partis faire un tour dans la campagne pour que la petite fille s’aère, un peu trop prise qu’elle l’est par tous les soins qu’on lui administre et sa rééducation intensive.
Sylvain est un garçon heureux comme jamais il ne l’a été, il a le petit ami qu’il souhaitait depuis toujours et leur couple s’accorde on ne peut mieux. Le caractère actif macho de Sylvain et celui passif soumis de Sébastien leur permettent de s’éclater au lit ou ailleurs de façon quasiment idéale.
Le reste du temps c’est aussi le bonheur car ils sont raccords sur presque tout ce qui fait le quotidien d’un couple, leurs loisirs, leurs besoins de conversations, leurs goûts communs et partagent également de grands moments de tendresses.
En pensant à son homme Sébastien se masse les fesses et sourit car il sait qu’à peine rentrer il va pouvoir assouvir cette démangeaison qu’il a au bas des reins depuis qu’il est seul, apparemment ce n’est pas suffisant pour sa libido car le devant se dresse sans pudeur et l’envie de se masturber que lui envoie son cerveau devient de plus en plus impérieux.
Il arrête ce qu’il faisait en soupirant sachant bien qu’il n’arrivera plus à rien tant qu’il ne se sera pas soulagé. Une fois dans la salle de bains, il se déshabille très vite et avant d’attaquer ce pour quoi il est venu, il profite de cet état d’extrême tension pour s’admirer dans le miroir.
Le reflet de la glace lui envoie l’image d’un garçon souriant de dix-huit ans blond aux cheveux court presque en brosse et aux yeux bleu le visage fin et légèrement ovale avec les petites oreilles au lobe magnifiquement dessiné et un nez arrondi sur le bout lui donnant un air à la Tom Cruise. Après le visage son regard part le long de son corps, ses un mètre soixante-quinze lui vont bien et ses cinquante-cinq kilos lui donnent juste ce qu’il faut de muscle pour être des plus appétissants.
Le corps entièrement imberbe de nature à part aux aisselles et au pubis qui en ce moment est surmonté d’une érection qu’il ne contrôle pas et qui amène ses dix-sept centimètres plutôt fin devant son nombril le gland ne demandant qu’à sortir de sa gaine de chair rose qu’il prend en main avec un soupir de satisfaction.
Pendant qu’il se fait sa petite affaire, ses pensées vont bien sûr vers son chéri et il se masturbe les yeux fermés en ayant devant lui l’image de son homme nu. Penser à ce grand brun qui a le même âge que lui d’un mètre quatre-vingt aux cheveux coupés court tout en arrière et aux yeux d’un vert si profond qui lui donne un frisson qui lui traverse la colonne vertébrale du bas vers le haut.
Il continue mentalement et toujours en s’astiquant de plus en plus vigoureusement le sexe décalotté d’où perlent les gouttes d’excitation qui s’échappent de son méat gonflé au maximum, les soixante-cinq kilos de Sylvain lui donnent une apparence mince et sa peau mate ornée d’une fine ligne de poils partant de son sexe et remontant vers sa poitrine sans s’étaler sur son ventre ou son torse qui reste imberbe lui plaît au plus haut point.
Les sensations du plaisir dont il s’adonne commencent à lui donner chaud partout et pour se terminer dans un orgasme fort il met l’image du sexe trapu et épais qui avec l'aide des dix-huit centimètres dont il est pourvu le font grimper au ciel à chaque fois qu’il se fait prendre bien à fond et qu’il se sent "chienne" entre les bras de son "maître".
Cette pensée lui déclenche l’orgasme et ce sont les jambes tremblantes de plaisir qu’il envoie sa gourme dans le lavabo en giclées brèves mais d’une pression tel qu’il en atteint sans problème le mitigeur et le carrelage derrière celui-ci.
Il essuie toutes traces de son petit plaisir solitaire et s’en retourne terminer ce pourquoi il était resté à la maison avant qu’ils ne reviennent, que son envie jamais satisfaite ne le reprenne et qu’il n’aille exciter son compagnon pour rassasier cette fois-ci l’autre côté de sa personne tout aussi gourmande que la partie face qui déjà rien qu’à cette pensée recommence à donner des signes de redressement.
Le bruit de voix à l’extérieur active encore plus son envie de se faire prendre et quand la porte d’entrée s’ouvre il ne peut s’empêcher en les regardant entrer de se mordiller avidement les lèvres en fixant dans les yeux son compagnon qui en reconnaît les signes et sourit à la pensée de l’envie toujours présente de son ami dès qu’ils se retrouvent après s’être quitté même simplement quelques heures comme c’est le cas en ce moment.
Un signe impérieux de la tête lui montrant l’étage et les yeux de Sébastien se baissent serviles pour exécuter au plus vite les instructions de celui qui à ce moment-là n’est plus que le maître à satisfaire au mieux. Il ne demande donc pas son reste et monte à l’étage, entre dans la chambre se déshabille entièrement et se positionne à quatre pattes sur le lit les reins cambrés le ventre touchant presque le matelas et les deux mains écartant au maximum ses fesses dans l’attente de la saillie qui va le faire monter comme à chaque fois au septième ciel.
Sylvain lui laisse le temps en montant lentement les escaliers, sa matraque épaisse gonflant déjà son slip rien qu’à la pensée de son soumis l’attendant pour se faire investir. Il entre dans la chambre sans une parole la tête pleine de la vue des plus excitante qu’il a en face de lui, se déshabille entièrement et sans plus de préliminaire entre à fond d’un coup sec presque violent dans le fondement de Sébastien qui en pousse un énorme « Han !! » de bonheur.
1ere ANNEE dernier trimestre : (2/ 30) (Dernier jour à Aix)
Les valises et les sacs à dos sont prêts, il ne reste plus que quelques heures pour tous d’être ensemble jusqu’aux prochaines vacances qu’ils ont chargé Chloé, Éric et Thomas d’organiser. Ils en ont pas mal discuté et aimeraient tous se retrouver dans un camping du côté d’Arcachon et de la dune du Pilat, les cousins de Thomas promettant de faire tous leurs possibles pour convaincre leurs parents pour qu'ils donnent leurs accords afin de pouvoir les y rejoindre.
Florian est dans le salon seul avec ses grands-parents, assis dans le canapé entre eux deux et profite un maximum de la dernière occasion avant longtemps de leur faire un « super câlin » comme il dit, câlin qui consiste à les gaver de baisers jusqu’à ce que même eux qui en sont pourtant très friands lui disent en riant d’arrêter.
- (Michel) Je vous ai entendus parler des vacances d’été, ça te plairait beaucoup à ce que je vois ?
- Oh !! Oui grand père !! Mais je ne sais pas si c’est très raisonnable.
- (Maryse surprise) Comment ça ?
- Eh bien oui quoi !! Vous me payez déjà tout et je ne veux pas que vous vous priviez pour moi.
- (Michel sentant que c’est le moment de mettre certaines choses au point, ne s'en étant pas senti le courage aux dernières vacances) Ecoute « Flo » je ne sais pas qui a pu te mettre dans la tête que nous n’avions pas les moyens de subvenir à tes besoins mais je te rassure nous le pouvons parfaitement et sans nous priver alors arrête de te faire du mauvais sang et profite de ta jeunesse sans penser à toutes ses histoires d’argent.
- (Maryse) Nous avons une très bonne retraite et tu n’as pas à t’en faire, en plus avec tout l’argent que nous avons mis de côté pour toi il y a largement pour te payer tout ce que tu as envie alors n’hésite surtout pas à nous en parler si tu as besoin de quelque chose dont nous ne pensons pas.
- (Je ris et me lève amusé) Alors faudra peut-être penser à me rhabiller parce que je n’ai plus que des pantacourts maintenant, on dirait bien que j’ai grandi ses derniers mois.
- (Maryse regardant le pantalon de son petit-fils lui arrivant au-dessus des chevilles ne peut s’empêcher de rire) C’est vrai maintenant que tu nous le dis Hi ! Hi !
- (Michel amusé lui aussi mais surtout ému de savoir que s’il n’avait pas abordé le sujet Florian serait resté il en est sûr comme ça jusqu’à l’automne) Sers toi de ta carte bancaire et n’oublie pas qu’il n’y a aucun souci d’argent dans notre famille.
- (Je reste quand même sceptique craignant qu’ils disent ça pour me faire plaisir) Vous êtes sûr hein ?
- (Maryse sérieuse) Mais oui mon chéri sinon nous te l’aurions dit, tu sais bien que nous ne sommes pas comme ça.
- Entendu alors !! J’irais me racheter un ou deux pantalons quand je serais rentré à Reims.
- (Maryse amusée) Et profite en pour des sous-vêtements et des pulls, enfin tout ce qu’il te faut et je vais téléphoner à Annie pour qu’elle s’occupe de ça avec toi parce que je te connais.
- (Michel) Quant aux vacances d’été ne te fais aucun souci nous sommes d’accord pour que tu y ailles avec tes amis.
- (Je saute de joie) Merci !! Vous êtes trop super avec moi, toujours !!
- (Maryse émue) Nous t’aimons Florian, tu es notre seule famille.
- (En riant) Il y a Thomas maintenant (Je me reprends) En fait non, il y a toujours eu Thomas.
- (Michel souriant) En parlant de lui j’espère que tu as pris le temps de lui parler de toi ?
- (Etonné) Comment ça ?
- (Michel stupéfait) Où as-tu la tête mon garçon, presque tous tes amis connaissent ce don que tu as sauf celui avec qui tu veux passer ta vie, tu trouves ça normal ?
- Je sais mais c’est ce que je me dis quand il n’est pas là mais dès qu’il est près de moi j’oublie à chaque fois, sans doute parce que je trouve trop d’autres sujets de conversations avec lui. Mais je vous jure que ce n’est pas volontaire, vous me croyez j’espère ?
- (Maryse) Bien sûr mon chéri mais puisque nous en parlons je t’en prie, dis-lui avant de partir. Tu ne sais pas comment il le prendrait s’il l’apprenait par quelqu’un d’autre ou même par hasard.
- (Michel) Moi à sa place je ne le prendrais pas très bien je pense, alors ta grand-mère a raison, parle-lui en avant de partir.
- (Je me rends bien compte qu’ils ont raison et que ce ne serait pas cool qu’il apprenne ça par quelqu’un d’autre) Entendu !! J’y vais, bisous.
Je fonce alors comme un dératé chez mon grand « petit ami » et entre en trombe dans la cuisine où ils sont tous là en pleine discussion familiale. Ils sursautent en me voyant arriver et leurs yeux deviennent interrogatifs, curieux devant mon empressement.
- J’ai quelque chose à vous dire.
- (Alain s’attendant au pire) Aïe !!
- Non !! Sérieux !! C’est un truc sur moi que j’ai complètement zappé malgré les nombreuses fois où je devais vous en parler.
- (Evelyne surprise) Ah bon ? Comment ça ?
- (Je regarde Thomas en souriant) Juste que quand je suis près du grand gugusse je pense à autre chose et après quand ça me revient et bien c’est trop tard, je suis à des kilomètres et je me dis que ce sera pour la prochaine fois.
- (Alain toujours pas convaincu de mon sérieux) Comment ça, tu penses à autre chose (Il voit mon sourire) C'est rien!!! Je n'ai rien dit !!! Laisse tomber, il y a des enfants ici alors je ne préfère pas savoir.
- (Mathis en riant) Tu pousses un peu tonton !! On est plus des gosses.
- (Léa regardant son petit frère) Pour moi je suis d’accord mais toi ? Parfois je me le demande.
- (Thomas préfèrent calmer le jeu) Alors c’est quoi ton secret ?
- J’ai un « don »
- (Alain mort de rire) Mais ça Florian on le savait déjà !!
1ere ANNEE dernier trimestre : (3/ 30) (Dernier jour à Aix)
- (Etonné) Ah oui ? Vraiment ?
- (Alain devant mon étonnement se déchaîne encore plus et fini par en faire rire les autres tellement le sien est communicatif) Nous le savions tous que tu avais un « don », celui de faire des farces pendables à tout le monde sans que jamais cela ne te retombe dessus, crois-moi ça, c’est un sacré « don ».
- (Amusé car en y réfléchissant bien je me dis qu’il a raison aussi la dessus) Alors j’ai deux « dons » dont un que vous connaissez pour l’avoir subi tant de fois.
- (Evelyne amusée) J’espère que tu continueras sinon on va s’ennuyer.
- (Thomas plus pragmatique car il voit bien mon sérieux) Et l’autre alors ? C’est quoi ?
- Celui de guérir !!!
- (Alain redevenant soudainement sérieux) Explique toi s’il te plaît.
- En fait il est en plusieurs parties, la plus crédible aux yeux de tout le monde ce sont mes facultés d’opérer et de soigner les gens avec mes mains et mon cerveau (Je leur explique pendant un bon quart d’heure les deux derniers trimestres en fac et mes interventions chirurgicales au CHU.
- (Evelyne n’en croyant pas ses oreilles) Je sais que tu n’es pas un menteur « Flo » mais ce que tu viens de nous raconter est très difficile à croire tu t’en rends compte ?
- Je m’en doute bien mais je vous assure que c’est la vérité, si vous avez du mal à me croire qu’est-ce que ça va être pour la suite !!
- (Thomas qui me croit sur parole) Je n’ai jamais douté de toi tu sais alors continue, quelles sont les autres parties de ce « don » ?
- J’ai également la faculté de me guérir tout seul (Je leur raconte l’histoire de l’accident et voyant que mon récit passe encore plus mal que le précédent) Mais là je peux vous le prouver facilement.
Devant leurs airs incrédules, je fais comme avec la famille Viala. J’ouvre un tiroir et en sors un couteau très aiguisé et sans leur laisser le temps d’intervenir je m’entaille une nouvelle fois le bras au-dessus de l’évier et devant leurs têtes horrifiées par mon geste.
- Approchez et regardez bien !!
Comme l’autre fois à l’hôpital, mon sang s‘arrête très vite de couler. Je passe mon bras à l’eau pour bien montrer l’entaille profonde et je les laisse assister les yeux ébahis, à la fermeture rapide de la plaie qui au bout de quelques minutes ne laisse plus rien paraître de mon geste de tout à l’heure.
- (Evelyne stupéfaite comme les autres d’ailleurs) Mon Dieu !! Comment est-ce possible ?
- (Léa les yeux ronds) C’est de la science-fiction !!
- (Alain qui doit bien reconnaître ce que ses yeux ont vu) Comment tu fais ?
- Je n’en sais absolument rien, c’est Philippe en septembre qui m’a ouvert les yeux sur ce truc. Il se demandait pourquoi mes grands-parents étaient aussi alertes à leurs âges alors qu’avant mon arrivée chez eux ils étaient très affaiblis.
- (Evelyne qui se rappelle) C’est vrai je m’en souviens, ta grand-mère avait de graves problèmes de hanche et marchait difficilement et ton grand-père était très usé par son ancien métier. Mais alors si je comprends bien ce que tu dis, ce serait grâce à toi s’ils sont comme ça maintenant ?
- Oui et vous aussi ainsi que d’autres dans le quartier. C’est la dernière partie de ce que je voulais vous dire.
- (Alain stupéfait) Nous aussi ?
- (Thomas repense aux questions que lui a posées Annie la première fois qu’il l’a rencontrée) C’est pour ça que nous ne sommes jamais malades ?
- Et oui !!! Et aussi grâce à ça que toi ou Mathis avez une peau de pêche sans boutons ou autres trucs du genre.
- (Mathis surpris qu’on parle de lui) Qu’est-ce que j’ai à voir dans tout ça moi ? C’est vrai que je ne me rappelle pas avoir été malade ni Léa d’ailleurs !! Comment tu as fait ça ?
- En vous faisant la bise à chaque fois que je vous voyais tout simplement, et c’est pareil pour Éric ses parents ainsi que Chloé et les siens plus quelques voisins qui ont été toujours sympas avec moi.
- (Evelyne incrédule) La bise ? Juste le fait de nous embrasser ?
- En fait c’est plutôt ma salive et sans doute un de ses composants qui a fait tout le travail, vous voulez que je vous montre ? (Devant la tête qu’ils font je ne doute pas un instant qu’ils en ont plus qu’envie) Très bien !! Lequel d’entre vous a une cicatrice ou un truc qui le gêne ? (Voyant que personne ne dit rien) Je m’en doutais !! (Je reprends le couteau) Mathis !! Donne-moi ta main !!
- (La peur se lit sur son visage) Hé !! Pourquoi moi ?
- C’était au hasard !! Quelqu’un d’autre alors ? Faites-moi confiance si je vous dis que vous ne risquez rien.
- (Thomas en remontant sa manche) Vas-y « Flo » je sais très bien que tu ne me ferais rien de mal.
- (J’hésite car faire du mal même si c’est juste pour une démonstration à mon chéri ne me dit pas vraiment) Tu es sûr ?
- (Comprenant mon dilemme, Thomas me sourit et me prend le couteau des mains puis d’un geste sûr sans hésiter un seul instant, il s’entaille légèrement l’avant-bras se faisant une coupure qui aussitôt fait sortir son sang) Aller !! Un bisou maintenant !!
Comme je l’ai fait pour moi juste avant, je nettoie son bras sous le jet d’eau de l’évier et y laisse tomber une grosse goutte de salive. Le même phénomène recommence et ils observent tous la petite cicatrice qui se referme en très peu de temps laissant son bras sans aucune trace quelques minutes plus tard.
- Là !! Vous voyez !!
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