08-11-2021, 10:04 AM
Étant dans la salle de séjour, nous devons prendre garde de n’être pas trop bruyants lors de nos « activités physiques » relatives à notre libido. Il est clair que si nous faisons trop de bruits insolites, nous nous exposons à des remarques lors du petit-déjeuner. Je propose à mon chéri de nous placer têtes bêches pour nous sucer afin de faire de rester le plus discrets possible. Il est vrai que d’avoir une belle grosse queue en bouche nous évite de trop « crier » notre satisfaction. Julien accepte et trouve que c’est une excellente idée.
Nous bandons, déjà rien que parler de ce que nous voulons faire ensemble ! Inutile de dire que nous sommes en train de rentrer dans notre bulle. Nous nous embrassons avec fougue laissant nos mains se balader sur nos corps réceptifs. Nos langues sont entament un nouvelle danse tellement elles sont contentes de se retrouver. Nous décidons de nous donner du plaisir en nous suçant. C’est donc sur ce lit pliant que nous entamons notre fellation partagée.
Nous nous connaissons et nous savons très bien ce que notre amoureux aime ! Je commence par lécher le phallus de Juju partant de ses deux pommes d’amour en remontant vers le frein et le gland qui est déjà bien humide de sécrétion. Il n’en faut pas plus pour que mon chéri râle déjà de satisfaction. Je sais qu’il aime que je m’occupe de son gland et de son frein. De son côté il met déjà mon gland entre ses lèvres et laisse sa la langue passer et repasser au niveau du méat. Nous poursuivons nos succions variées pour enfin prendre à pleine bouche nos queues demanderesses de sensations. Nous nous suçons de concert comme nous en avons pris l’habitude mais en changeant parfois certaines applications. Juju râle de plus en plus et bien heureusement ses râles sont relativement sourds et ne vont pas réveiller le reste de la famille et nos deux amis. De mon côté je râle aussi tellement Juju me suce si bien. Mon sexe voyage dans la bouche de mon chéri entre ses lèvres et sa langue qui est omniprésente sur mon pénis. Je suis occupé de mon côté de varier la pression exercée sur le braquemard de mon chéri, j’alterne les mouvements lents et rapides ainsi que la pression entre mes lèvres. Ma langue ne reste pas inactive, elle voyage partout le long de son bâton de chair. Je commence à sentir dans mon ventre les premiers signes d’une éjaculation en préparation. Je pense que mon amoureux a compris car il ralentit ses succions. Je sens aussi que Julien est en mode pré-éjaculatoire. Nous nous suçons de façon assez lascive le temps de laisser la pression descendre. Nous poursuivons notre fellation partagée en sachant que nous allons bientôt libérer toute la tension dans un déferlement de semence dans nos bouches respectives ! Ça y est, je sens que je vais jouir, mon sperme va monter dans mon pénis et se déverser sur le palais de mon Juju. Oui, oh oui, je sens que je vais jouir, humm, je lâche les vannes et ma semence se répand dans la bouche de mon amour. Puis dans les deux secondes qui suivent, je sens que Julien éjacule dans ma bouche, nous nous délivrons de toute la pression en même temps ! Nous vivons un grand orgasme partagé.
Nous nous retrouvons face à face pour nous embrasser et mélanger nos spermes dans ce baiser humide. Nous sommes en connexion l’un avec l’autre, nous sommes sur notre nuage, dans notre bulle, dans notre monde ! Nous goûtons à ce mélange de nos sécrétions, heureux et remplis de bonheur. Il ne nous faut pas deux minutes pour nous retrouver dans les bras l’un de l’autre mais aussi dans ceux de Morphée.
Dans la nuit, j’entends du bruit, j’ouvre les yeux et vois que c’est Olivier qui va à la cuisine, il va chauffer le biberon d’Estéban. Je me rends compte que Julien et moi sommes couchés par-dessus le drap et la fine couverture. Mon chéri dort toujours, il n’a rien entendu. Olivier repasse par le séjour et me fait un clin d’œil, il sait très bien que nous dormons toujours nus, été comme hiver ! Je me rendors assez vite.
Je suis réveillé par une bonne odeur de café, je vois que maman est déjà levée et qu’elle s’occupe de préparer le petit-déjeuner ! Je me tourne alors vers mon Juju d’amour et lui caresse doucement la joue et sa chevelure en vue de le réveiller. Il ouvre les yeux et immédiatement il me sourit. Je lui dis :
Moi : « Bonjour mon Ange !
Jul : Bonjour mon Philou, merci pour ce réveil si délicat ».
Nous nous embrassons un court instant puis nous nous levons pour passer par la salle de bain. Nous croisons Olivier qui nous fait la bise en affichant un large sourire. C’est selon moi un sourire complice car il sait que Julien et moi nous nous aimons. Il a dû voir que nous étions enlacés lorsqu’il est passé par le séjour durant la nuit !
Nous sommes tous levés et mangeons de bon appétit, l’air marin y est pour quelque chose. Nous parlons de choses et d’autres. Nous reparlons de notre rencontre avec Adrien et Yang lors de notre séjour dans les Hautes Fagnes.
Papa nous propose de passer la journée sur la presqu’île de Quiberon tous ensemble. Nous approuvons cette idée. Nous allons donc préparer les sacs de sport ainsi que les affaires d’Estéban qui sera de la partie avec ses parents. Je me réjouis de passer du temps avec ce merveilleux poupon. Papa nous signale que nous partirons dans une heure car il doit d’abord se rendre à la poste donner deux ou trois coups de téléphone.
Je propose que nous profitions de la piscine avant de partir, nous avons le temps de nous baigner. Nous nous amusons comme des gamins dans l’eau à nous éclabousser sous le regard attendri de maman. Nous avons tous la banane, nous sourions et éclatons souvent de rire à la suite des idioties faites par l’un ou l’autre. Je n’ai jamais vu Julien aussi heureux depuis bien longtemps, je me souviens que j’avais rêvé de prendre mon Juju par la main et de courir sur la plage avant d’aller nous jeter dans la mer. J’ai envie de concrétiser ce rêve, probablement demain sur la plage d’Erdeven. Rien que d’y penser, j’ai les poils que se hérissent ! Je ne vais rien dire à mon chéri pour le moment, ce sera une surprise.
Papa revient d’avoir téléphoné. Il affiche lui aussi un large sourire. Je me demande qui il a pu appeler. Je pense que ce sont de bonnes nouvelles à voir son regard pétillant. Bref, nous nous partageons dans les voitures pour notre escapade sur la presqu’île de Quiberon.
Nous sommes désireux de la visiter et Papa est en possession du guide vert Michelin. Nous suivons ses indications et nous parcourons le rues et chemins pour découvrir deux menhirs, l’un en forme de bonnet d’Évêque (Beg-er-Goh-Lannec) et l’autre : « le menhir couché ». Nous voyons aussi quelques fontaines et deux chapelles. La première est la chapelle Saint-Clément et la seconde est la chapelle Saint-Julien. Nous pénétrons dans celle-ci pour nous recueillir un moment.
Je remarque que Julien affiche un air grave. Il est concentré, comme plongé dans ses pensées. Est-ce le nom de cette chapelle qui fait qu’il est ainsi absorbé et pensif ? Nous quittons un à un l’endroit. Julien sort en dernier, il est toujours pensif. Il se dirige vers Stéphanie, l’enlace et lui fait un gros câlin. Je vois des larmes couler sur ses joues. Le frère et la sœur échangent quelques mots. Une fois l’étreinte terminée Julien nous dit :
Jul : « Je suis assez émotif car cette chapelle Saint-Julien m’a fait penser à nos parents. Je me rends compte du chemin parcouru depuis leur départ et surtout votre soutien à Stéphanie et à moi. Merci pour m’avoir « porté » à bout de bras.
Moi : Tu sais très bien Juju que je ne t’aurais jamais abandonné !
Jul : Je le sais Phil. Je dois aussi remercier maman Fanny et papa Alain, je … ne sais plus quoi dire … vous êtes devenus mes « nouveaux parents ». Merci pour tout.
Maman et papa rejoignent Julien et l’enlacent. Nous venons de vivre un moment très fort. Julien sèche ses larmes et nous dit :
Jul : Bon, si nous allions voir cette belle tour, la Tour de Locmaria ! »
Éclats de rire ! Julien vient alors me donner un bisou sur les lèvres. Nous repartons pour aller voir cette fameuse tour. Julien a retrouvé son sourire, il fait plaisir à voir. Je sais qu’il a vraiment bouclé la boucle et qu’il ne reste plus qu’à concrétiser le rêve que j’avais fait lorsqu’il était dans le coma à l’hôpital. J’attends avec impatience d’être demain !
Nous bandons, déjà rien que parler de ce que nous voulons faire ensemble ! Inutile de dire que nous sommes en train de rentrer dans notre bulle. Nous nous embrassons avec fougue laissant nos mains se balader sur nos corps réceptifs. Nos langues sont entament un nouvelle danse tellement elles sont contentes de se retrouver. Nous décidons de nous donner du plaisir en nous suçant. C’est donc sur ce lit pliant que nous entamons notre fellation partagée.
Nous nous connaissons et nous savons très bien ce que notre amoureux aime ! Je commence par lécher le phallus de Juju partant de ses deux pommes d’amour en remontant vers le frein et le gland qui est déjà bien humide de sécrétion. Il n’en faut pas plus pour que mon chéri râle déjà de satisfaction. Je sais qu’il aime que je m’occupe de son gland et de son frein. De son côté il met déjà mon gland entre ses lèvres et laisse sa la langue passer et repasser au niveau du méat. Nous poursuivons nos succions variées pour enfin prendre à pleine bouche nos queues demanderesses de sensations. Nous nous suçons de concert comme nous en avons pris l’habitude mais en changeant parfois certaines applications. Juju râle de plus en plus et bien heureusement ses râles sont relativement sourds et ne vont pas réveiller le reste de la famille et nos deux amis. De mon côté je râle aussi tellement Juju me suce si bien. Mon sexe voyage dans la bouche de mon chéri entre ses lèvres et sa langue qui est omniprésente sur mon pénis. Je suis occupé de mon côté de varier la pression exercée sur le braquemard de mon chéri, j’alterne les mouvements lents et rapides ainsi que la pression entre mes lèvres. Ma langue ne reste pas inactive, elle voyage partout le long de son bâton de chair. Je commence à sentir dans mon ventre les premiers signes d’une éjaculation en préparation. Je pense que mon amoureux a compris car il ralentit ses succions. Je sens aussi que Julien est en mode pré-éjaculatoire. Nous nous suçons de façon assez lascive le temps de laisser la pression descendre. Nous poursuivons notre fellation partagée en sachant que nous allons bientôt libérer toute la tension dans un déferlement de semence dans nos bouches respectives ! Ça y est, je sens que je vais jouir, mon sperme va monter dans mon pénis et se déverser sur le palais de mon Juju. Oui, oh oui, je sens que je vais jouir, humm, je lâche les vannes et ma semence se répand dans la bouche de mon amour. Puis dans les deux secondes qui suivent, je sens que Julien éjacule dans ma bouche, nous nous délivrons de toute la pression en même temps ! Nous vivons un grand orgasme partagé.
Nous nous retrouvons face à face pour nous embrasser et mélanger nos spermes dans ce baiser humide. Nous sommes en connexion l’un avec l’autre, nous sommes sur notre nuage, dans notre bulle, dans notre monde ! Nous goûtons à ce mélange de nos sécrétions, heureux et remplis de bonheur. Il ne nous faut pas deux minutes pour nous retrouver dans les bras l’un de l’autre mais aussi dans ceux de Morphée.
Dans la nuit, j’entends du bruit, j’ouvre les yeux et vois que c’est Olivier qui va à la cuisine, il va chauffer le biberon d’Estéban. Je me rends compte que Julien et moi sommes couchés par-dessus le drap et la fine couverture. Mon chéri dort toujours, il n’a rien entendu. Olivier repasse par le séjour et me fait un clin d’œil, il sait très bien que nous dormons toujours nus, été comme hiver ! Je me rendors assez vite.
Je suis réveillé par une bonne odeur de café, je vois que maman est déjà levée et qu’elle s’occupe de préparer le petit-déjeuner ! Je me tourne alors vers mon Juju d’amour et lui caresse doucement la joue et sa chevelure en vue de le réveiller. Il ouvre les yeux et immédiatement il me sourit. Je lui dis :
Moi : « Bonjour mon Ange !
Jul : Bonjour mon Philou, merci pour ce réveil si délicat ».
Nous nous embrassons un court instant puis nous nous levons pour passer par la salle de bain. Nous croisons Olivier qui nous fait la bise en affichant un large sourire. C’est selon moi un sourire complice car il sait que Julien et moi nous nous aimons. Il a dû voir que nous étions enlacés lorsqu’il est passé par le séjour durant la nuit !
Nous sommes tous levés et mangeons de bon appétit, l’air marin y est pour quelque chose. Nous parlons de choses et d’autres. Nous reparlons de notre rencontre avec Adrien et Yang lors de notre séjour dans les Hautes Fagnes.
Papa nous propose de passer la journée sur la presqu’île de Quiberon tous ensemble. Nous approuvons cette idée. Nous allons donc préparer les sacs de sport ainsi que les affaires d’Estéban qui sera de la partie avec ses parents. Je me réjouis de passer du temps avec ce merveilleux poupon. Papa nous signale que nous partirons dans une heure car il doit d’abord se rendre à la poste donner deux ou trois coups de téléphone.
Je propose que nous profitions de la piscine avant de partir, nous avons le temps de nous baigner. Nous nous amusons comme des gamins dans l’eau à nous éclabousser sous le regard attendri de maman. Nous avons tous la banane, nous sourions et éclatons souvent de rire à la suite des idioties faites par l’un ou l’autre. Je n’ai jamais vu Julien aussi heureux depuis bien longtemps, je me souviens que j’avais rêvé de prendre mon Juju par la main et de courir sur la plage avant d’aller nous jeter dans la mer. J’ai envie de concrétiser ce rêve, probablement demain sur la plage d’Erdeven. Rien que d’y penser, j’ai les poils que se hérissent ! Je ne vais rien dire à mon chéri pour le moment, ce sera une surprise.
Papa revient d’avoir téléphoné. Il affiche lui aussi un large sourire. Je me demande qui il a pu appeler. Je pense que ce sont de bonnes nouvelles à voir son regard pétillant. Bref, nous nous partageons dans les voitures pour notre escapade sur la presqu’île de Quiberon.
Nous sommes désireux de la visiter et Papa est en possession du guide vert Michelin. Nous suivons ses indications et nous parcourons le rues et chemins pour découvrir deux menhirs, l’un en forme de bonnet d’Évêque (Beg-er-Goh-Lannec) et l’autre : « le menhir couché ». Nous voyons aussi quelques fontaines et deux chapelles. La première est la chapelle Saint-Clément et la seconde est la chapelle Saint-Julien. Nous pénétrons dans celle-ci pour nous recueillir un moment.
Je remarque que Julien affiche un air grave. Il est concentré, comme plongé dans ses pensées. Est-ce le nom de cette chapelle qui fait qu’il est ainsi absorbé et pensif ? Nous quittons un à un l’endroit. Julien sort en dernier, il est toujours pensif. Il se dirige vers Stéphanie, l’enlace et lui fait un gros câlin. Je vois des larmes couler sur ses joues. Le frère et la sœur échangent quelques mots. Une fois l’étreinte terminée Julien nous dit :
Jul : « Je suis assez émotif car cette chapelle Saint-Julien m’a fait penser à nos parents. Je me rends compte du chemin parcouru depuis leur départ et surtout votre soutien à Stéphanie et à moi. Merci pour m’avoir « porté » à bout de bras.
Moi : Tu sais très bien Juju que je ne t’aurais jamais abandonné !
Jul : Je le sais Phil. Je dois aussi remercier maman Fanny et papa Alain, je … ne sais plus quoi dire … vous êtes devenus mes « nouveaux parents ». Merci pour tout.
Maman et papa rejoignent Julien et l’enlacent. Nous venons de vivre un moment très fort. Julien sèche ses larmes et nous dit :
Jul : Bon, si nous allions voir cette belle tour, la Tour de Locmaria ! »
Éclats de rire ! Julien vient alors me donner un bisou sur les lèvres. Nous repartons pour aller voir cette fameuse tour. Julien a retrouvé son sourire, il fait plaisir à voir. Je sais qu’il a vraiment bouclé la boucle et qu’il ne reste plus qu’à concrétiser le rêve que j’avais fait lorsqu’il était dans le coma à l’hôpital. J’attends avec impatience d’être demain !