05-11-2021, 09:52 AM
La nuit commence à tomber, le soleil est couché, le temps se rafraîchit. Nous passons un tee-shirt pour éviter d’avoir froid, ce qui ne change pas grand-chose à notre nudité, nos attributs étant toujours à l’air. Nous discutons autour de la table que nous venons de débarrasser. Nous prenons une limonade et nous mangeons des biscuits qui sont apportés par Arlette. Nous rions des blagues racontées par l’un ou l’autre. Je suis super heureux de voir que nous passons un excellent moment ensemble avec Christine et Denis.
Il se fait tard et nous décidons d’aller nous coucher. Nous laissons la salle de bain à Chris et Denis. Ben va montrer la chambre d’amis à Gaby et Christophe. Ils disposent d’un grand lit de 160. Ils sont heureux et Ben leur signale qu’il y a tout ce qu’il faut dans le tiroir de la table de nuit. Ils comprennent immédiatement de quoi il s’agit. Ben les invite à passer par la salle de bain et il leur donne deux draps pour se sécher après la douche.
Une fois les deux amis tout propres et dans leur chambre, Ben et moi nous allons nous doucher rapidement, car il semble que l’eau chaude devient de plus en plus tiède pour ne pas dire froide. Nous nous séchons et gagnons notre chambre à coucher. Une fois dans le lit, nus bien entendu, nous discutons Ben et moi sur ce que nous avons vécu durant toute cette journée. Puis nous parlons de la prochaine journée et donc de la préparation de la messe en hommage à Henri. Ben veut venir avec moi dans la famille d’André et d’Henri, ce que j’accepte de bon cœur car je sais qu’il sera là pour m’épauler.
Nous nous serons corps contre corps, nos visages se rapprochent, nos lèvres se touchent, s’effleurent tendrement. Puis enfin elles se collent littéralement l’un à l’autre pour enfin laisser place à la danse de langues impatientes de se retrouver. Nous entendons quelques cris étouffés provenant de la chambre d’amis où séjournent Gaby et Christophe. Nous rions d’entendre ce petit raffut qui nous laisse supposer l’activité exercée par nos deux amis.
Nous reprenons nous embrassades et nos mains se mettent à caresser le corps de l’être aimé. Nous nous cajolons l’un l’autre tout en continuant à nous embrasser. Nos attributs sont dressés, ils n’attendent qu’une chose ; que nous nous occupions d’eux. Je prends alors le sexe de Ben en main et je commence à le toucher doucement en remontant sur cette hampe dressée. Je décalotte le gland qui sort du prépuce. Ben calque ses caresses sur celles que j’applique. Nous nous masturbons mutuellement avec tendresse et aussi avec application. Nos regards se croisent et je vois très bien dans le sien qu’il souhaite que je l’aime encore plus que j’investisse son corps déjà chaud. Je prends le gel et deux préservatifs qui sont dans la table de nuit. Je fais signe à Ben de se mettre sur le dos au bord du lit. Je prépare sa rondelle qui n’attend que ça. Je place le bout de latex sur mon sexe en érection et je l’enduis également de gel. Je prends les jambes de mon amour et je les place sur mes épaules, me laissant donc tout l’espace pour honorer mon Ben. Je présente ma tige d’amour à l’entrée de la caverne de Ben. Je m’y introduis doucement, avec délicatesse et amour. Ben gémit déjà de bonheur, il ne ressent aucune douleur. Une fois bien ancré dans son conduit rectal, je commence mes mouvements d’aller et retour. Je sens que Ben resserre l’entrée de sa cavité me procurant quelques belles sensations. Je suis aux anges, je suis très heureux de lui faire l’amour. Je sens au bout de plusieurs minutes que la jouissance se rapproche. Mon bas ventre est chaud et j’ai la forte impression que ma sève ne va pas tarder à monter dans ma colonne de chair. Puis, dans un moment d’extrême bonheur, je sens que ma semence se déverse au fond de la capote protectrice. Ben de son côté râle lui aussi de bonheur.
Je m’affale à côté de Ben. Nous reprenons nos esprits. Cinq bonnes minutes après, c’est Ben qui me demande de me mettre à quatre pattes sur le lit. Il prépare mon orifice anal avec le gel. Je sens déjà des frissons me parcourir rien que quand Ben laisse deux doigts entrer et tourner au niveau de ma rondelle. Puis, ayant enveloppé son pénis dans le préservatif, il présente son bâton d’amour à l’entrée déjà dilatée de mon anus. Je sens sa queue pénétrer lentement, doucement dans mon fondement. Cette sensation m’électrise les intestins. Une fois bien implanté dans mon corps Ben ma fait l’amour comme jamais. Je lâche des petits cris de jouissance quand le sexe de Ben voyage en mode aller-retour dans mon antre de joie. Ben prend son temps, il profite de l’instant un maximum, me procurant un tel plaisir, une telle joie. Puis je sens que le pénis de Ben est gorgé au maximum et qu’il n’est pas loin d’atteindre le point de non-retour, alors dans un râle commun Ben jouit dans mon arrière-train. Nous nous écroulons, ivre de bonheur, trempés de sueur sur le lit.
Nous reprenons nos esprits petit à petit, encore sur notre nuage, remplis de joie et de bonheur. Nos bouches se cherchent, elles se retrouvent et nous nous embrassons amoureusement. Nos yeux sont remplis d’étoiles, nous nageons dans le bonheur. Puis nous nous chuchotons des « je t’aime ». Ma main enlace celle de Ben et nous nous laissons bercer par cette sensation de satisfaction partagée. Puis c’est ensemble que nous tombons doucement dans les bras de Morphée.
Le soleil est déjà levé depuis un bon bout de temps, ses rayons éclairent la chambre par l’interstice laissé entre les deux pans de tenture. J’ouvre les yeux, Ben semble encore dormir à poings fermés. Je regarde sa tignasse blonde qui couvre une partie de son oreiller. Je remarque les quelques poils blonds, eux aussi, qui poussent sur son menton. Il est vrai que je porte la barbe depuis quelques semaines maintenant.
Je réveille mon chéri doucement. Je lui caresse la joue avec un doigt avec délicatesse. Ben réagi d’abord doucement, puis il prend sa main gauche pour dégager mon doigt qu’il prend probablement pour une mouche. Mes caresses deviennent plus appuyées, pour enfin sortir mon Ben de son doux rêve. Il ouvre enfin les yeux. Je peux dès lors me plonger dans son regard bleu océan. Je lui dis :
Moi : « Bonjour mon bel ange blond.
Ben : Bonjour beau gosse. Nous nous embrassons.
Moi : Il va être temps de se lever, je ne veux pas être en retard chez André.
Ben : Oui c’est juste. C’est toujours OK pour je vienne avec toi ?
Moi : Oui, bien sûr Ben, j’aime que tu sois avec moi et bien plus aujourd’hui, car cela risque de ne pas être facile pour moi.
Ben : Ne t’inquiète pas Phil, je serai à tes côtés.
Moi : Merci Ben, cela me touche énormément !
Ben : C’est normal, je t’aime !
Moi : Moi aussi Ben, je t’aime ! »
Nous nous embrassons une nouvelle fois puis nous nous levons, direction salle de bain pour une douche rapide. Nous rejoignons Arlette qui nous attend devant un succulent petit déjeuner. Nous lui faisons la bise et nous nous installons pour manger. Après quelques minutes nous sommes rejoints par Christine et Denis. Ils nous saluent et prennent place autour de la table. Nous parlons ensemble et entre autres de nos deux amis Gaby et Christophe. En effet nous n’étions pas les seuls, Ben et moi, à avoir entendu les ébats des deux ados. Arlette intervient alors :
Arl : « Ne soyez pas trop regardant, je me souviens de vos premiers ébats, ce n’était pas mal non plus !
Moi : Oui, c’est vrai que vous nous en avez fait la remarque.
Arl : C’est la même chose pour vous Christine et Denis.
Chr : Oui maman, je m’en doute.
Ben : Puis n’oublions pas que nous sommes en pleine croissance sans parler des hormones.
Nous nous sommes tous mis à rire lorsque Gaby et Christophe font leur entrée dans la cuisine où nous sommes attablés. Ils sont rouges pivoine. C’est Arlette qui prend les devants et leur souhaite le bonjour en ajoutant :
Arl : N’écoutez pas les autres et soyez heureux !
Gab : Nous avons entendu ce que vous disiez juste avant vos éclats de rire.
Moi : Désolé Gaby, mais nous sommes très heureux pour vous deux.
Christo : Merci Phil, je sais que ce n’était nullement méchant de votre part.
Chr : Allez les garçons asseyez-vous. Vous êtes super craquants tous les deux ! »
Nous nous sommes remis à rire de bon cœur avec eux. Le petit déjeuner se déroule dans une très bonne ambiance. On sent toute la gentillesse qui émane de la famille de Ben. Nos deux amis sont très bien accueillis et appréciés. Il se fait tard, nous ne devons pas être en retard chez André. Nous nous levons pour débarrasser la table, mais Arlette nous demande de laisser tout en place et qu’elle s’en occupe. Nous quittons la maison avec nos deux amis Gaby et Christophe. Nous nous séparons à l’arrêt de bus, Ben et moi, nous poursuivons notre chemin à pied.
Il se fait tard et nous décidons d’aller nous coucher. Nous laissons la salle de bain à Chris et Denis. Ben va montrer la chambre d’amis à Gaby et Christophe. Ils disposent d’un grand lit de 160. Ils sont heureux et Ben leur signale qu’il y a tout ce qu’il faut dans le tiroir de la table de nuit. Ils comprennent immédiatement de quoi il s’agit. Ben les invite à passer par la salle de bain et il leur donne deux draps pour se sécher après la douche.
Une fois les deux amis tout propres et dans leur chambre, Ben et moi nous allons nous doucher rapidement, car il semble que l’eau chaude devient de plus en plus tiède pour ne pas dire froide. Nous nous séchons et gagnons notre chambre à coucher. Une fois dans le lit, nus bien entendu, nous discutons Ben et moi sur ce que nous avons vécu durant toute cette journée. Puis nous parlons de la prochaine journée et donc de la préparation de la messe en hommage à Henri. Ben veut venir avec moi dans la famille d’André et d’Henri, ce que j’accepte de bon cœur car je sais qu’il sera là pour m’épauler.
Nous nous serons corps contre corps, nos visages se rapprochent, nos lèvres se touchent, s’effleurent tendrement. Puis enfin elles se collent littéralement l’un à l’autre pour enfin laisser place à la danse de langues impatientes de se retrouver. Nous entendons quelques cris étouffés provenant de la chambre d’amis où séjournent Gaby et Christophe. Nous rions d’entendre ce petit raffut qui nous laisse supposer l’activité exercée par nos deux amis.
Nous reprenons nous embrassades et nos mains se mettent à caresser le corps de l’être aimé. Nous nous cajolons l’un l’autre tout en continuant à nous embrasser. Nos attributs sont dressés, ils n’attendent qu’une chose ; que nous nous occupions d’eux. Je prends alors le sexe de Ben en main et je commence à le toucher doucement en remontant sur cette hampe dressée. Je décalotte le gland qui sort du prépuce. Ben calque ses caresses sur celles que j’applique. Nous nous masturbons mutuellement avec tendresse et aussi avec application. Nos regards se croisent et je vois très bien dans le sien qu’il souhaite que je l’aime encore plus que j’investisse son corps déjà chaud. Je prends le gel et deux préservatifs qui sont dans la table de nuit. Je fais signe à Ben de se mettre sur le dos au bord du lit. Je prépare sa rondelle qui n’attend que ça. Je place le bout de latex sur mon sexe en érection et je l’enduis également de gel. Je prends les jambes de mon amour et je les place sur mes épaules, me laissant donc tout l’espace pour honorer mon Ben. Je présente ma tige d’amour à l’entrée de la caverne de Ben. Je m’y introduis doucement, avec délicatesse et amour. Ben gémit déjà de bonheur, il ne ressent aucune douleur. Une fois bien ancré dans son conduit rectal, je commence mes mouvements d’aller et retour. Je sens que Ben resserre l’entrée de sa cavité me procurant quelques belles sensations. Je suis aux anges, je suis très heureux de lui faire l’amour. Je sens au bout de plusieurs minutes que la jouissance se rapproche. Mon bas ventre est chaud et j’ai la forte impression que ma sève ne va pas tarder à monter dans ma colonne de chair. Puis, dans un moment d’extrême bonheur, je sens que ma semence se déverse au fond de la capote protectrice. Ben de son côté râle lui aussi de bonheur.
Je m’affale à côté de Ben. Nous reprenons nos esprits. Cinq bonnes minutes après, c’est Ben qui me demande de me mettre à quatre pattes sur le lit. Il prépare mon orifice anal avec le gel. Je sens déjà des frissons me parcourir rien que quand Ben laisse deux doigts entrer et tourner au niveau de ma rondelle. Puis, ayant enveloppé son pénis dans le préservatif, il présente son bâton d’amour à l’entrée déjà dilatée de mon anus. Je sens sa queue pénétrer lentement, doucement dans mon fondement. Cette sensation m’électrise les intestins. Une fois bien implanté dans mon corps Ben ma fait l’amour comme jamais. Je lâche des petits cris de jouissance quand le sexe de Ben voyage en mode aller-retour dans mon antre de joie. Ben prend son temps, il profite de l’instant un maximum, me procurant un tel plaisir, une telle joie. Puis je sens que le pénis de Ben est gorgé au maximum et qu’il n’est pas loin d’atteindre le point de non-retour, alors dans un râle commun Ben jouit dans mon arrière-train. Nous nous écroulons, ivre de bonheur, trempés de sueur sur le lit.
Nous reprenons nos esprits petit à petit, encore sur notre nuage, remplis de joie et de bonheur. Nos bouches se cherchent, elles se retrouvent et nous nous embrassons amoureusement. Nos yeux sont remplis d’étoiles, nous nageons dans le bonheur. Puis nous nous chuchotons des « je t’aime ». Ma main enlace celle de Ben et nous nous laissons bercer par cette sensation de satisfaction partagée. Puis c’est ensemble que nous tombons doucement dans les bras de Morphée.
Le soleil est déjà levé depuis un bon bout de temps, ses rayons éclairent la chambre par l’interstice laissé entre les deux pans de tenture. J’ouvre les yeux, Ben semble encore dormir à poings fermés. Je regarde sa tignasse blonde qui couvre une partie de son oreiller. Je remarque les quelques poils blonds, eux aussi, qui poussent sur son menton. Il est vrai que je porte la barbe depuis quelques semaines maintenant.
Je réveille mon chéri doucement. Je lui caresse la joue avec un doigt avec délicatesse. Ben réagi d’abord doucement, puis il prend sa main gauche pour dégager mon doigt qu’il prend probablement pour une mouche. Mes caresses deviennent plus appuyées, pour enfin sortir mon Ben de son doux rêve. Il ouvre enfin les yeux. Je peux dès lors me plonger dans son regard bleu océan. Je lui dis :
Moi : « Bonjour mon bel ange blond.
Ben : Bonjour beau gosse. Nous nous embrassons.
Moi : Il va être temps de se lever, je ne veux pas être en retard chez André.
Ben : Oui c’est juste. C’est toujours OK pour je vienne avec toi ?
Moi : Oui, bien sûr Ben, j’aime que tu sois avec moi et bien plus aujourd’hui, car cela risque de ne pas être facile pour moi.
Ben : Ne t’inquiète pas Phil, je serai à tes côtés.
Moi : Merci Ben, cela me touche énormément !
Ben : C’est normal, je t’aime !
Moi : Moi aussi Ben, je t’aime ! »
Nous nous embrassons une nouvelle fois puis nous nous levons, direction salle de bain pour une douche rapide. Nous rejoignons Arlette qui nous attend devant un succulent petit déjeuner. Nous lui faisons la bise et nous nous installons pour manger. Après quelques minutes nous sommes rejoints par Christine et Denis. Ils nous saluent et prennent place autour de la table. Nous parlons ensemble et entre autres de nos deux amis Gaby et Christophe. En effet nous n’étions pas les seuls, Ben et moi, à avoir entendu les ébats des deux ados. Arlette intervient alors :
Arl : « Ne soyez pas trop regardant, je me souviens de vos premiers ébats, ce n’était pas mal non plus !
Moi : Oui, c’est vrai que vous nous en avez fait la remarque.
Arl : C’est la même chose pour vous Christine et Denis.
Chr : Oui maman, je m’en doute.
Ben : Puis n’oublions pas que nous sommes en pleine croissance sans parler des hormones.
Nous nous sommes tous mis à rire lorsque Gaby et Christophe font leur entrée dans la cuisine où nous sommes attablés. Ils sont rouges pivoine. C’est Arlette qui prend les devants et leur souhaite le bonjour en ajoutant :
Arl : N’écoutez pas les autres et soyez heureux !
Gab : Nous avons entendu ce que vous disiez juste avant vos éclats de rire.
Moi : Désolé Gaby, mais nous sommes très heureux pour vous deux.
Christo : Merci Phil, je sais que ce n’était nullement méchant de votre part.
Chr : Allez les garçons asseyez-vous. Vous êtes super craquants tous les deux ! »
Nous nous sommes remis à rire de bon cœur avec eux. Le petit déjeuner se déroule dans une très bonne ambiance. On sent toute la gentillesse qui émane de la famille de Ben. Nos deux amis sont très bien accueillis et appréciés. Il se fait tard, nous ne devons pas être en retard chez André. Nous nous levons pour débarrasser la table, mais Arlette nous demande de laisser tout en place et qu’elle s’en occupe. Nous quittons la maison avec nos deux amis Gaby et Christophe. Nous nous séparons à l’arrêt de bus, Ben et moi, nous poursuivons notre chemin à pied.