29-10-2021, 08:56 AM
Jean-Pierre nous demande ce que nous prenons comme apéro. Nous prenons un verre de vin rosé bien frais. Jean-Pierre demande de nos nouvelles. Nous lui racontons ce que nous avons fait durant les trois dernières semaines, soit le job d’étudiant, nos balades en forêt de Soignes ainsi qu’au Bois de la Cambre, ensuite, bien entendu notre dernier jour de travail en tant qu’étudiants et la réception organisée en notre honneur par le patron, M. Bonjean. J-P est heureux de voir que nous sommes toujours aussi appréciés même lors de notre job de vacances.
Gaby et Christophe sont heureux pour nous aussi, ils nous en ont parlé lors de la séance à la piscine. C’est alors que Ben raconte la journée d’hier. Il parle de la visite d’André et sa demande pour la messe commémorative en hommage à Henri. J-P me regarde, il sait que j’ai connu la perte d’un ami, mais il ne s’imagine pas à quel point cela m’émeut toujours quand on parle d’Henri. J-P me demande alors :
J-P : « Je vois que tu changes de couleur Phil. Ton visage prend un air moins ouvert.
Moi : Tu vois J-P, Henri était mon premier petit-ami ! Il est décédé il y a presque un an.
J-P : Désolé, je vois que cela te fait toujours « souffrir » !
Moi : Vous savez, je dois vous dire que bien entendu Henri reste dans ma mémoire mais j’aime Ben du plus profond de mon être et il le sait. Il sait très bien qu’Henri a été mon premier amour et cela ne change rien à notre relation actuelle.
Ben : Oui, je le confirme, nous nous aimons et je sais que Henri était un très chouette gars. Il était dans la même patrouille que Phil dans son autre troupe.
J-P : Oui, je m’en souviens, Phil tu nous en avait touché un mot à ton arrivée à la troupe. C’est une excellente idée que de faire ce genre de cérémonie.
Moi : Merci J-P.
Gab : Tu peux me dire quand aura lieu cette cérémonie, je voudrai être aussi à tes côtés !
Moi : Merci Gaby, tu n’es pas obligé de venir !
Gab : J’insiste Phil, tu es un super ami pour moi, tu m’as apporté tant de choses que je me sens redevable et que c’est la moindre des choses que de te soutenir.
Moi : Merci Gaby, merci pour ton amitié. C’est samedi à dix heures, en l’église Saint-***. à Ixelles.
J-P : Je ne sais pas si je serai présent, mais je suis de tout cœur avec toi Phil.
Moi : Merci J-P ! »
J-P se lève et vient me faire l’accolade tout comme Christophe et Gaby. Je sais qu’ils sont sincères et que ça vient du fond du cœur. Nous terminons l’apéro et nous voulons donner un coup de main à J-P et Christophe pour le dîner, nos deux amis refusent. Nous nous installons dans la salle à manger et nous mettons la table pour quand même leur donner un coup de main.
Nous mangeons un excellent spaghetti bolognese. J-P a même ouvert une bouteille de vin rouge. Nous discutons de tout et de rien durant le repas. Nous sommes heureux de nous retrouver ainsi pour un simple dîner entre amis. Oui nous pouvons compter sur nous cinq, je sais que J-P est très heureux que son petit frère Christophe ait trouvé l’amour avec Gaby. Il est aussi heureux pour Ben et moi. C’est en quelque sorte comme un grand frère, tout comme peut l’être André. Nous finissons le repas par une bonne coupe de glace, une dame-blanche avec du chocolat chaud par-dessus.
Une fois ce très bon repas à la bonne franquette terminé, nous proposons à Gaby et Christophe de venir passer l’après-midi avec nous. Gaby et Christophe sont enchantés de cette proposition tout comme J-P. Nous remercions J-P pour le repas et son accueil.
Nous quittons tous les quatre la maison des parents de Christophe et J-P. Nous parlons en chemin en vue de savoir ce que nous allons faire. Ben signale qu’on peut rentrer vers dix-sept heures pour le goûter à la maison. Gaby nous dit que de son côté, quelques copains qu’il connaît, sont au Bois de la Cambre où ils jouent souvent au ballon. Il suggère que nous les retrouvions pour faire une partie de foot avec eux. Il signale qu’il y a parmi eux un scout de la troupe. Nous sommes tous d’accord de nous y rendre.
Une fois sur place, effectivement nous apercevons quatre jeunes occupés à jouer au foot sur une des parcelles herbeuses à proximité de l’étang. Nous les rejoignons et Gaby nous fait les présentations. Je reconnais le scout, c’est Maurice, il a quinze ans. Il vient directement nous serrer la main, il nous reconnaît aussi, de même que Christophe, qui était semble-t-il déjà venu jouer avec eux et Gaby. Les autres jeunes ont l’air sympa.
Nous faisons deux équipes et directement nous partageons les deux groupes de manière égale. Je reste avec Gaby, Maurice et un jeune, tandis que Ben, Christophe et les deux autres jeunes forment l’autre équipe. Nous jouons une bonne heure ensemble en nous amusant et en riant de bon cœur. Le score final est 13 à 11. C’est l’équipe de Ben qui est désignée vainqueur. Les jeunes nous saluent car il est temps pour eux, tout comme pour nous, de rentrer.
Une fois de retour à la maison, Arlette nous demande d’aller nous laver les mains en vue de prendre le goûter. Elle est heureuse de voir que nous nous sommes bien amusés. Comme en-cas, c’est un cake aux pommes qui a été confectionné par Christine. Elle n’est pas là, elle est allée voir des amies avec Denis. Nous avons droit à du « cécémel » comme boisson. Nous racontons notre journée à Arlette, à savoir : la piscine, le dîner chez Christophe et ensuite la partie de foot au Bois de la Cambre.
Il fait encore très chaud cet après-midi. Comme le tuyau d’arrosage est déroulé en bordure de la pelouse en vue d’arroser les plantes florales en soirée, Ben décide d’ouvrir le robinet pour nous rincer les bras et la figure. Ce qui doit arriver arrive bien entendu, soit que cela se termine en bagarre d’eau. Gaby a trouvé un seau en profite pour le renverser sur moi. Puis c’est Ben qui arrose Christophe. Bref nous sommes tous trempés. Arlette nous laisse faire, elle affiche un large sourire en nous voyant nous amuser avec l’eau.
Une fois le robinet refermé, il est question de se sécher. Arlette nous apporte des draps de bain. Elle suggère d’ôter nos vêtements pour les faire sécher. Ni une, ni deux, nous nous désapons et nous nous retrouvons nus au milieu de la pelouse. Un éclat de rire général se fait entendre. Nous décidons alors de nous allonger sur les draps de bain, au soleil, pour profiter de cette fin d’après-midi. Nous sommes couchés par couple, Gaby et Christophe d’un côté et de l’autre côté, Ben et moi. Nous parlons d’un tas de choses et entre autres de la rentrée chez les scouts. Ben, Gaby et moi nous allons intégrer la section « JER » (Jeunes En Route). Nous ne savons pas quel en sera l’animateur étant donné que c’est la première année que cette section sera mise sur pied. Nous faisons le tour des animateurs que nous connaissons, nous avançons des noms, nous extrapolons, en fait cela reste une énigme.
Il est près de dix-neuf heures quand Arlette nous signale l’heure qu’il est. Elle demande si Gaby et Christophe veulent rester pour le souper. Gaby souhaite rester mais il doit prévenir Jean-Pierre, de même pour Christophe. Arlette invite Gaby à téléphoner avec Christophe à Jean-Pierre pour demander l’autorisation de rester souper.
Jean-Pierre est content de savoir où se trouve Chris et Gaby. Il accepte qu’ils restent pour le repas du soir et il demande s’ils comptent rentrer dormir ou alors s’ils logent sur place. Gaby pose la question à Arlette qui marque son accord pour le repas et le logement, J-P est lui aussi d’accord.
Gaby et Chris reviennent auprès de nous, ils ont le sourire aux lèvres, nous savons donc qu’ils restent pour manger. C’est alors que Chris nous dit qu’ils restent aussi pour loger. Ben et moi sommes très heureux d’apprendre cette nouvelle. Nous restons alors encore allongés au soleil pour profiter des derniers rayons chauds.
Yves est rentré. Il se change et vient nous voir au fond du jardin. Gaby et Chris le saluent. Chris est étonné que le papa de Ben ne dise rien car nous sommes encore nus. Chris a mis ses mains devant son anatomie. Yves le rassure tout de suite en lui disant que la nudité au sein de sa famille est normale. Il retire alors son short et son slip pour être dans la même tenue que nous. Yves nous invite à prendre l’apéro sur la terrasse.
A peine installé, nous voyons Christine et Denis arriver, eux aussi sont nus. Ils ont été prévenus de la présence de nos amis ainsi que la « tenue de peau » dans laquelle ils se trouvent. Chris est déjà moins coincé, il rit avec nous, il fait plaisir à voir. Arlette nous rejoint elle aussi pour l’apéro, elle est nue comme nous. C’est Chris qui pose quelques questions concernant le naturisme, comment nous sommes arrivés à nous mettre nus devant les autres, et encore d’autres choses. Nous lui avons expliqué tout le bien que nous en retirions ainsi que les bienfaits d’une vie « plus naturelle ».
Le repas est prêt, Arlette a acheté des saucisses, lesquelles cuisent sur le barbecue, sous la surveillance de Yves. Les viandes sont accompagnées de riz et de piperade. Nous sommes tous enchantés. Les conversations vont bon train tout au long du repas. Chris semble maintenant comme un poisson dans l’eau, il est habitué à se trouver nu au milieu d’autres personnes des deux sexes, nues également ! Le repas se termine par une coupe de glace vanille avec des fraises et de la crème chantilly.
Gaby et Christophe sont heureux pour nous aussi, ils nous en ont parlé lors de la séance à la piscine. C’est alors que Ben raconte la journée d’hier. Il parle de la visite d’André et sa demande pour la messe commémorative en hommage à Henri. J-P me regarde, il sait que j’ai connu la perte d’un ami, mais il ne s’imagine pas à quel point cela m’émeut toujours quand on parle d’Henri. J-P me demande alors :
J-P : « Je vois que tu changes de couleur Phil. Ton visage prend un air moins ouvert.
Moi : Tu vois J-P, Henri était mon premier petit-ami ! Il est décédé il y a presque un an.
J-P : Désolé, je vois que cela te fait toujours « souffrir » !
Moi : Vous savez, je dois vous dire que bien entendu Henri reste dans ma mémoire mais j’aime Ben du plus profond de mon être et il le sait. Il sait très bien qu’Henri a été mon premier amour et cela ne change rien à notre relation actuelle.
Ben : Oui, je le confirme, nous nous aimons et je sais que Henri était un très chouette gars. Il était dans la même patrouille que Phil dans son autre troupe.
J-P : Oui, je m’en souviens, Phil tu nous en avait touché un mot à ton arrivée à la troupe. C’est une excellente idée que de faire ce genre de cérémonie.
Moi : Merci J-P.
Gab : Tu peux me dire quand aura lieu cette cérémonie, je voudrai être aussi à tes côtés !
Moi : Merci Gaby, tu n’es pas obligé de venir !
Gab : J’insiste Phil, tu es un super ami pour moi, tu m’as apporté tant de choses que je me sens redevable et que c’est la moindre des choses que de te soutenir.
Moi : Merci Gaby, merci pour ton amitié. C’est samedi à dix heures, en l’église Saint-***. à Ixelles.
J-P : Je ne sais pas si je serai présent, mais je suis de tout cœur avec toi Phil.
Moi : Merci J-P ! »
J-P se lève et vient me faire l’accolade tout comme Christophe et Gaby. Je sais qu’ils sont sincères et que ça vient du fond du cœur. Nous terminons l’apéro et nous voulons donner un coup de main à J-P et Christophe pour le dîner, nos deux amis refusent. Nous nous installons dans la salle à manger et nous mettons la table pour quand même leur donner un coup de main.
Nous mangeons un excellent spaghetti bolognese. J-P a même ouvert une bouteille de vin rouge. Nous discutons de tout et de rien durant le repas. Nous sommes heureux de nous retrouver ainsi pour un simple dîner entre amis. Oui nous pouvons compter sur nous cinq, je sais que J-P est très heureux que son petit frère Christophe ait trouvé l’amour avec Gaby. Il est aussi heureux pour Ben et moi. C’est en quelque sorte comme un grand frère, tout comme peut l’être André. Nous finissons le repas par une bonne coupe de glace, une dame-blanche avec du chocolat chaud par-dessus.
Une fois ce très bon repas à la bonne franquette terminé, nous proposons à Gaby et Christophe de venir passer l’après-midi avec nous. Gaby et Christophe sont enchantés de cette proposition tout comme J-P. Nous remercions J-P pour le repas et son accueil.
Nous quittons tous les quatre la maison des parents de Christophe et J-P. Nous parlons en chemin en vue de savoir ce que nous allons faire. Ben signale qu’on peut rentrer vers dix-sept heures pour le goûter à la maison. Gaby nous dit que de son côté, quelques copains qu’il connaît, sont au Bois de la Cambre où ils jouent souvent au ballon. Il suggère que nous les retrouvions pour faire une partie de foot avec eux. Il signale qu’il y a parmi eux un scout de la troupe. Nous sommes tous d’accord de nous y rendre.
Une fois sur place, effectivement nous apercevons quatre jeunes occupés à jouer au foot sur une des parcelles herbeuses à proximité de l’étang. Nous les rejoignons et Gaby nous fait les présentations. Je reconnais le scout, c’est Maurice, il a quinze ans. Il vient directement nous serrer la main, il nous reconnaît aussi, de même que Christophe, qui était semble-t-il déjà venu jouer avec eux et Gaby. Les autres jeunes ont l’air sympa.
Nous faisons deux équipes et directement nous partageons les deux groupes de manière égale. Je reste avec Gaby, Maurice et un jeune, tandis que Ben, Christophe et les deux autres jeunes forment l’autre équipe. Nous jouons une bonne heure ensemble en nous amusant et en riant de bon cœur. Le score final est 13 à 11. C’est l’équipe de Ben qui est désignée vainqueur. Les jeunes nous saluent car il est temps pour eux, tout comme pour nous, de rentrer.
Une fois de retour à la maison, Arlette nous demande d’aller nous laver les mains en vue de prendre le goûter. Elle est heureuse de voir que nous nous sommes bien amusés. Comme en-cas, c’est un cake aux pommes qui a été confectionné par Christine. Elle n’est pas là, elle est allée voir des amies avec Denis. Nous avons droit à du « cécémel » comme boisson. Nous racontons notre journée à Arlette, à savoir : la piscine, le dîner chez Christophe et ensuite la partie de foot au Bois de la Cambre.
Il fait encore très chaud cet après-midi. Comme le tuyau d’arrosage est déroulé en bordure de la pelouse en vue d’arroser les plantes florales en soirée, Ben décide d’ouvrir le robinet pour nous rincer les bras et la figure. Ce qui doit arriver arrive bien entendu, soit que cela se termine en bagarre d’eau. Gaby a trouvé un seau en profite pour le renverser sur moi. Puis c’est Ben qui arrose Christophe. Bref nous sommes tous trempés. Arlette nous laisse faire, elle affiche un large sourire en nous voyant nous amuser avec l’eau.
Une fois le robinet refermé, il est question de se sécher. Arlette nous apporte des draps de bain. Elle suggère d’ôter nos vêtements pour les faire sécher. Ni une, ni deux, nous nous désapons et nous nous retrouvons nus au milieu de la pelouse. Un éclat de rire général se fait entendre. Nous décidons alors de nous allonger sur les draps de bain, au soleil, pour profiter de cette fin d’après-midi. Nous sommes couchés par couple, Gaby et Christophe d’un côté et de l’autre côté, Ben et moi. Nous parlons d’un tas de choses et entre autres de la rentrée chez les scouts. Ben, Gaby et moi nous allons intégrer la section « JER » (Jeunes En Route). Nous ne savons pas quel en sera l’animateur étant donné que c’est la première année que cette section sera mise sur pied. Nous faisons le tour des animateurs que nous connaissons, nous avançons des noms, nous extrapolons, en fait cela reste une énigme.
Il est près de dix-neuf heures quand Arlette nous signale l’heure qu’il est. Elle demande si Gaby et Christophe veulent rester pour le souper. Gaby souhaite rester mais il doit prévenir Jean-Pierre, de même pour Christophe. Arlette invite Gaby à téléphoner avec Christophe à Jean-Pierre pour demander l’autorisation de rester souper.
Jean-Pierre est content de savoir où se trouve Chris et Gaby. Il accepte qu’ils restent pour le repas du soir et il demande s’ils comptent rentrer dormir ou alors s’ils logent sur place. Gaby pose la question à Arlette qui marque son accord pour le repas et le logement, J-P est lui aussi d’accord.
Gaby et Chris reviennent auprès de nous, ils ont le sourire aux lèvres, nous savons donc qu’ils restent pour manger. C’est alors que Chris nous dit qu’ils restent aussi pour loger. Ben et moi sommes très heureux d’apprendre cette nouvelle. Nous restons alors encore allongés au soleil pour profiter des derniers rayons chauds.
Yves est rentré. Il se change et vient nous voir au fond du jardin. Gaby et Chris le saluent. Chris est étonné que le papa de Ben ne dise rien car nous sommes encore nus. Chris a mis ses mains devant son anatomie. Yves le rassure tout de suite en lui disant que la nudité au sein de sa famille est normale. Il retire alors son short et son slip pour être dans la même tenue que nous. Yves nous invite à prendre l’apéro sur la terrasse.
A peine installé, nous voyons Christine et Denis arriver, eux aussi sont nus. Ils ont été prévenus de la présence de nos amis ainsi que la « tenue de peau » dans laquelle ils se trouvent. Chris est déjà moins coincé, il rit avec nous, il fait plaisir à voir. Arlette nous rejoint elle aussi pour l’apéro, elle est nue comme nous. C’est Chris qui pose quelques questions concernant le naturisme, comment nous sommes arrivés à nous mettre nus devant les autres, et encore d’autres choses. Nous lui avons expliqué tout le bien que nous en retirions ainsi que les bienfaits d’une vie « plus naturelle ».
Le repas est prêt, Arlette a acheté des saucisses, lesquelles cuisent sur le barbecue, sous la surveillance de Yves. Les viandes sont accompagnées de riz et de piperade. Nous sommes tous enchantés. Les conversations vont bon train tout au long du repas. Chris semble maintenant comme un poisson dans l’eau, il est habitué à se trouver nu au milieu d’autres personnes des deux sexes, nues également ! Le repas se termine par une coupe de glace vanille avec des fraises et de la crème chantilly.