26-10-2021, 11:42 AM
Nous revenons de la balade durant laquelle, après le départ d’André, nous avons discuté tous ensemble de la cérémonie envisagée pour rendre mémoire à Henri. Arlette et Yves trouvent que c’est une très belle idée et ils remercient Ben de s’être proposé pour lui aussi faire quelque chose. C’est alors que Christine trouve qu’André est super et qu’il ressemble plus à un grand frère pour nous deux. Je lui explique qu’il l’était lorsque j’allais dans sa famille.
Nous préparons le barbecue et dressons la table sur la terrasse. Nous nous activons tous, nous savons ce qu’il faut faire et chacun à son rôle. Je me sens tellement bien intégré dans la famille de Ben. Yves prépare l’apéro, les filles terminent la mise en place des légumes et des pâtes froides. Denis prépare la viande tandis que je donne un coup de main à Ben pour dresser la table.
Après le repas nous nous plaçons, Ben et moi, à l’ombre des arbres au fond du jardin. Nous comptons lire un livre ou une bande dessinée. Les tapis de plage sont déroulés et un grand drap de bain est déposé par-dessus. Il fait chaud et nous décidons de nous mettre à l’aise en nous mettant nus.
Finalement je me suis endormi après une petite demi-heure de lecture. C’est Ben qui me réveille pour me dire que le goûter est prêt. Je n’en reviens pas, j’ai dormi une heure et demie ! J’étais fatigué. Ben me dit que lui aussi s’est assoupi une petite heure.
Nous rejoignons le reste de la famille sur la terrasse pour manger un tiramisu préparé la veille au soir par Christine. Il est délicieux, tout le monde en redemande, le plat retourne vide à la cuisine.
Après ce goûter nous décidons de jouer à quatre au badminton. C’est donc un double que nous faisons, Christine et Denis contre Ben et moi. Nous nous amusons comme des fous, nous sommes dans la même tenue, soit nus. J’ai toujours aimé cette sensation que de sentir l’air qui frôle la peau dans son entièreté, c’est la même chose quand je nage nu dans une piscine ou dans l’océan. Puis on sent les rayons du soleil qui nous réchauffe. Bien entendu il est question de mettre de la crème solaire pour éviter les coups de soleil.
Après le souper nous restons en famille, sur la terrasse, nous jouons aux cartes et au scrabble. Il fait encore chaud, le temps est super. Je pense alors à demander à Ben si nous n’irions pas rendre visite à Christophe et Gaby pour éventuellement organiser une sortie piscine. Ben trouve l’idée très bonne. Cela fait déjà plus de trois semaines que nous n’avons plus eu de nouvelle de nos amis.
Il est onze heures, il fait déjà nuit et nous décidons d’aller nous coucher. Passage obligé par la salle de bain pour une douche bien appréciée. Puis nous voilà Ben et moi couchés sur le lit de la chambre. Ben me regarde et me dit :
Ben : « Tu es dans la lune Phil, tu rêves à quoi ?
Moi : Je me disais que nous avions passé une très belle journée. La visite d’André m’a bouleversé. Je n’avais plus pensé à Henri comme je l’ai fait aujourd’hui.
Ben : Je te comprends Phil. C’était ton premier amour, cela laisse des souvenirs impérissables, je m’en doute bien.
Moi : Tu sais Ben, je t’aime ! Henri est déjà si loin, mais j’ai toujours son visage dans un coin de ma tête.
Ben : Je sais que tu m’aimes. Nous nous faisons nos souvenirs ensemble et je suis très heureux d’être avec toi, de t’aimer. Puis tu sais que je respecte la mémoire d’Henri.
Moi : Oui Ben je le sais. Merci d’être si ouvert d’esprit.
Ben : Je suppose que tu rêvais encore à autre chose.
Moi : Oui, j’ai aimé être nu depuis la sieste jusqu’à maintenant et encore pour la nuit. Cela m’a manqué la plage naturiste de notre semaine de vacances.
Ben : Moi aussi cela m’a manqué.
Moi : Viens dans mes bras mon beau blondinet aux yeux bleus !
Ben : Bien sûr mon beau gosse ! »
Nous nous enlaçons, nous nous embrassons et ensuite nous nous aimons.
La nuit se passe au mieux, nous dormons paisiblement, comme des bienheureux. Nous avons compris que nous devions tout nous dire, nos craintes comme nos satisfactions et notre joie. Ce n’est que dans la franchise que notre amour va encore grandir. Ce job d’étudiant au supermarché a été l’occasion de faire quelque chose sans être tout le temps collés l’un à l’autre. Nous prenons nos marques et nous gardons des moments pour nous retrouver et échanger nos impressions. Puis il y a notre langage particulier, le langage des yeux ! Il y a beaucoup de choses qui sont communiquées au travers de nos regards. C’est sur ces idées que je me suis laissé aller dans les bras de Ben et bien entendu dans ceux de Morphée avec Ben !
Après cette nuit réparatrice, nous nous réveillons. J’ouvre les yeux et je vois mon Ben qui me regarde. Je me plonge alors dans son regard océan et je passe les doigts de ma main gauche dans sa chevelure couleur des blés muris au soleil d’été. Je lui demande :
Moi : « Bonjour Ben, ça fait longtemps que tu me regardes ?
Ben : Assez pour admirer mon beau gosse !
Moi : Je vois ça mon ange blond, tu as l’air d’être heureux de me contempler !
Ben : Oui Phil, je suis toujours intrigué par ton visage et ce qui se cache dans ta tête.
Moi : Je sais que je suis parfois, pour ne pas dire souvent, « secret » ou énigmatique !
Ben : Je ne te le fais pas dire !
Moi : Pourtant nous pouvons lire dans nos yeux sans devoir dire quoi que ce soit !
Ben : C’est vrai mais il reste peut-être une part d’ombre.
Moi : Je pense qu’elle s’effiloche cette part mystérieuse et ce grâce à ton contact !
Ben : Je t’aime Phil, quoi que tu puisses encore « cacher », je t’aime !
Moi : Et moi alors, je t’aime comme un fou. Merci à toi de m’aimer autant ! »
Nos lèvres se rapprochent, nos bouches accueillantes s’ouvrent pour laisser nos langues s’étreindre mutuellement. Nous sommes une nouvelles fois dans notre bulle. Nos appendices sont gonflés de sang. Ils se touchent et se collent l’un à l’autre. Nos mains caressent le corps de l’être aimé. Nos doigts se faufilent dans les cheveux ou s’attardent sur les mamelons et descendent vers le pubis. Puis enfin, ils enserrent la colonne de chair brûlante de notre amour.
Nos lèvres se séparent et sans aucun mot prononcé, nous nous plaçons tête bêche et nous savourons le sexe de l’être aimé. Nous nous donnons l’un à l’autre. Nos mouvements sont coordonnés, ils sont calqués sur notre façon à nous de nous procurer du plaisir tant au niveau du bas ventre qu’au niveau de nos lèvres qui parcourent le phallus sur toute sa longueur. La langue s’occupe du gland et du méat pour augmenter cette sensation de bonheur. Puis c’est la variation des pressions exercées par les lèvres, c’est le rythme tantôt lascif ou tantôt plus rapide, qui nous amène à un moment de satisfaction, c’est le moment où le bas ventre est tellement chaud que la jouissance commence à prendre corps, que les bourses se collent au plus près du corps et que dans les secondes qui suivent, nos semences parcourent notre bâton d’amour pour arriver au méat et ensuite se répandre en jets saccadés au fond du palais. Puis, comme nous en avons l’habitude, nous avalons un peu de ce nectar pour en laisser une partie à partager dans un profond baiser avec l’être aimé.
Nous restons affalés un moment. Ma main droite prend la main gauche de Ben, nos doigts s’enlacent. Nous sommes toujours sur notre nuage, ivres de bonheur et heureux d’être ensemble. Nos visages se font alors face et nos yeux plongent dans ceux de l’autre.
Nous sommes ramenés à la réalité par des coups frappés à la porte de la chambre. Ben répond que nous nous levons. Un baiser une nouvelle fois déposé sur les lèvres et nous sortons de ce lit douillet où nous venons de nous aimer. Direction la salle de bain pour une bonne douche partagée.
Après le petit déjeuner, Ben téléphone à Christophe. Il répond et annonce que Gaby est chez lui. La proposition de passer la journée ensemble est faite et acceptée. Nous avons rendez-vous vers dix heures trente devant l’entrée de la piscine.
A dix heures vingt, Ben et moi sommes déjà là. Deux minutes plus tard nous voyons Gaby et Christophe arriver. Nous nous faisons la bise et nous entrons dans le bâtiment. Nous prenons deux cabines, une par couple. Une fois passés par les douches, nous sautons dans l’eau à proximité des plongeoirs. Quelques longueurs sont parcourues avant de nous confronter dans des courses. Nous nous amusons follement.
Puis, c’est ensuite le moment de faire une pause et d’échanger nos histoires survenues durant les trois semaines qui viennent de s’écouler. Nous bavardons tous les quatre, nous plaisantons aussi un peu. Je peux me rendre compte que Gaby et Christophe ont l’air vraiment amoureux l’un de l’autre. Nous restons tranquilles tous les quatre, ce n’est pas la peine de nous faire remarquer, un ou des homophobes pourraient être présents dans la piscine.
Il est midi un quart et nous sortons de l’eau. Passage par les vestiaires pour se sécher et se rhabiller. C’est alors que Christophe nous propose d’aller chez lui pour dîner. Nous acceptons l’invitation. Nous décidons de faire le chemin à pied plutôt que de prendre le tram pour trois arrêts.
C’est donc peu avant treize heures que nous entrons dans l’appartement occupé par la famille de Jean-Pierre et de Christophe. Nous sommes accueillis par Jean-Pierre qui est très heureux de nous revoir. Nous sommes conviés à nous installer au salon.
Nous préparons le barbecue et dressons la table sur la terrasse. Nous nous activons tous, nous savons ce qu’il faut faire et chacun à son rôle. Je me sens tellement bien intégré dans la famille de Ben. Yves prépare l’apéro, les filles terminent la mise en place des légumes et des pâtes froides. Denis prépare la viande tandis que je donne un coup de main à Ben pour dresser la table.
Après le repas nous nous plaçons, Ben et moi, à l’ombre des arbres au fond du jardin. Nous comptons lire un livre ou une bande dessinée. Les tapis de plage sont déroulés et un grand drap de bain est déposé par-dessus. Il fait chaud et nous décidons de nous mettre à l’aise en nous mettant nus.
Finalement je me suis endormi après une petite demi-heure de lecture. C’est Ben qui me réveille pour me dire que le goûter est prêt. Je n’en reviens pas, j’ai dormi une heure et demie ! J’étais fatigué. Ben me dit que lui aussi s’est assoupi une petite heure.
Nous rejoignons le reste de la famille sur la terrasse pour manger un tiramisu préparé la veille au soir par Christine. Il est délicieux, tout le monde en redemande, le plat retourne vide à la cuisine.
Après ce goûter nous décidons de jouer à quatre au badminton. C’est donc un double que nous faisons, Christine et Denis contre Ben et moi. Nous nous amusons comme des fous, nous sommes dans la même tenue, soit nus. J’ai toujours aimé cette sensation que de sentir l’air qui frôle la peau dans son entièreté, c’est la même chose quand je nage nu dans une piscine ou dans l’océan. Puis on sent les rayons du soleil qui nous réchauffe. Bien entendu il est question de mettre de la crème solaire pour éviter les coups de soleil.
Après le souper nous restons en famille, sur la terrasse, nous jouons aux cartes et au scrabble. Il fait encore chaud, le temps est super. Je pense alors à demander à Ben si nous n’irions pas rendre visite à Christophe et Gaby pour éventuellement organiser une sortie piscine. Ben trouve l’idée très bonne. Cela fait déjà plus de trois semaines que nous n’avons plus eu de nouvelle de nos amis.
Il est onze heures, il fait déjà nuit et nous décidons d’aller nous coucher. Passage obligé par la salle de bain pour une douche bien appréciée. Puis nous voilà Ben et moi couchés sur le lit de la chambre. Ben me regarde et me dit :
Ben : « Tu es dans la lune Phil, tu rêves à quoi ?
Moi : Je me disais que nous avions passé une très belle journée. La visite d’André m’a bouleversé. Je n’avais plus pensé à Henri comme je l’ai fait aujourd’hui.
Ben : Je te comprends Phil. C’était ton premier amour, cela laisse des souvenirs impérissables, je m’en doute bien.
Moi : Tu sais Ben, je t’aime ! Henri est déjà si loin, mais j’ai toujours son visage dans un coin de ma tête.
Ben : Je sais que tu m’aimes. Nous nous faisons nos souvenirs ensemble et je suis très heureux d’être avec toi, de t’aimer. Puis tu sais que je respecte la mémoire d’Henri.
Moi : Oui Ben je le sais. Merci d’être si ouvert d’esprit.
Ben : Je suppose que tu rêvais encore à autre chose.
Moi : Oui, j’ai aimé être nu depuis la sieste jusqu’à maintenant et encore pour la nuit. Cela m’a manqué la plage naturiste de notre semaine de vacances.
Ben : Moi aussi cela m’a manqué.
Moi : Viens dans mes bras mon beau blondinet aux yeux bleus !
Ben : Bien sûr mon beau gosse ! »
Nous nous enlaçons, nous nous embrassons et ensuite nous nous aimons.
La nuit se passe au mieux, nous dormons paisiblement, comme des bienheureux. Nous avons compris que nous devions tout nous dire, nos craintes comme nos satisfactions et notre joie. Ce n’est que dans la franchise que notre amour va encore grandir. Ce job d’étudiant au supermarché a été l’occasion de faire quelque chose sans être tout le temps collés l’un à l’autre. Nous prenons nos marques et nous gardons des moments pour nous retrouver et échanger nos impressions. Puis il y a notre langage particulier, le langage des yeux ! Il y a beaucoup de choses qui sont communiquées au travers de nos regards. C’est sur ces idées que je me suis laissé aller dans les bras de Ben et bien entendu dans ceux de Morphée avec Ben !
Après cette nuit réparatrice, nous nous réveillons. J’ouvre les yeux et je vois mon Ben qui me regarde. Je me plonge alors dans son regard océan et je passe les doigts de ma main gauche dans sa chevelure couleur des blés muris au soleil d’été. Je lui demande :
Moi : « Bonjour Ben, ça fait longtemps que tu me regardes ?
Ben : Assez pour admirer mon beau gosse !
Moi : Je vois ça mon ange blond, tu as l’air d’être heureux de me contempler !
Ben : Oui Phil, je suis toujours intrigué par ton visage et ce qui se cache dans ta tête.
Moi : Je sais que je suis parfois, pour ne pas dire souvent, « secret » ou énigmatique !
Ben : Je ne te le fais pas dire !
Moi : Pourtant nous pouvons lire dans nos yeux sans devoir dire quoi que ce soit !
Ben : C’est vrai mais il reste peut-être une part d’ombre.
Moi : Je pense qu’elle s’effiloche cette part mystérieuse et ce grâce à ton contact !
Ben : Je t’aime Phil, quoi que tu puisses encore « cacher », je t’aime !
Moi : Et moi alors, je t’aime comme un fou. Merci à toi de m’aimer autant ! »
Nos lèvres se rapprochent, nos bouches accueillantes s’ouvrent pour laisser nos langues s’étreindre mutuellement. Nous sommes une nouvelles fois dans notre bulle. Nos appendices sont gonflés de sang. Ils se touchent et se collent l’un à l’autre. Nos mains caressent le corps de l’être aimé. Nos doigts se faufilent dans les cheveux ou s’attardent sur les mamelons et descendent vers le pubis. Puis enfin, ils enserrent la colonne de chair brûlante de notre amour.
Nos lèvres se séparent et sans aucun mot prononcé, nous nous plaçons tête bêche et nous savourons le sexe de l’être aimé. Nous nous donnons l’un à l’autre. Nos mouvements sont coordonnés, ils sont calqués sur notre façon à nous de nous procurer du plaisir tant au niveau du bas ventre qu’au niveau de nos lèvres qui parcourent le phallus sur toute sa longueur. La langue s’occupe du gland et du méat pour augmenter cette sensation de bonheur. Puis c’est la variation des pressions exercées par les lèvres, c’est le rythme tantôt lascif ou tantôt plus rapide, qui nous amène à un moment de satisfaction, c’est le moment où le bas ventre est tellement chaud que la jouissance commence à prendre corps, que les bourses se collent au plus près du corps et que dans les secondes qui suivent, nos semences parcourent notre bâton d’amour pour arriver au méat et ensuite se répandre en jets saccadés au fond du palais. Puis, comme nous en avons l’habitude, nous avalons un peu de ce nectar pour en laisser une partie à partager dans un profond baiser avec l’être aimé.
Nous restons affalés un moment. Ma main droite prend la main gauche de Ben, nos doigts s’enlacent. Nous sommes toujours sur notre nuage, ivres de bonheur et heureux d’être ensemble. Nos visages se font alors face et nos yeux plongent dans ceux de l’autre.
Nous sommes ramenés à la réalité par des coups frappés à la porte de la chambre. Ben répond que nous nous levons. Un baiser une nouvelle fois déposé sur les lèvres et nous sortons de ce lit douillet où nous venons de nous aimer. Direction la salle de bain pour une bonne douche partagée.
Après le petit déjeuner, Ben téléphone à Christophe. Il répond et annonce que Gaby est chez lui. La proposition de passer la journée ensemble est faite et acceptée. Nous avons rendez-vous vers dix heures trente devant l’entrée de la piscine.
A dix heures vingt, Ben et moi sommes déjà là. Deux minutes plus tard nous voyons Gaby et Christophe arriver. Nous nous faisons la bise et nous entrons dans le bâtiment. Nous prenons deux cabines, une par couple. Une fois passés par les douches, nous sautons dans l’eau à proximité des plongeoirs. Quelques longueurs sont parcourues avant de nous confronter dans des courses. Nous nous amusons follement.
Puis, c’est ensuite le moment de faire une pause et d’échanger nos histoires survenues durant les trois semaines qui viennent de s’écouler. Nous bavardons tous les quatre, nous plaisantons aussi un peu. Je peux me rendre compte que Gaby et Christophe ont l’air vraiment amoureux l’un de l’autre. Nous restons tranquilles tous les quatre, ce n’est pas la peine de nous faire remarquer, un ou des homophobes pourraient être présents dans la piscine.
Il est midi un quart et nous sortons de l’eau. Passage par les vestiaires pour se sécher et se rhabiller. C’est alors que Christophe nous propose d’aller chez lui pour dîner. Nous acceptons l’invitation. Nous décidons de faire le chemin à pied plutôt que de prendre le tram pour trois arrêts.
C’est donc peu avant treize heures que nous entrons dans l’appartement occupé par la famille de Jean-Pierre et de Christophe. Nous sommes accueillis par Jean-Pierre qui est très heureux de nous revoir. Nous sommes conviés à nous installer au salon.