25-10-2021, 09:05 AM
Nous aidons maman et les filles pour faire les lits. Ensuite nous profitons de la piscine, c’est donc en tenue d’Eve et d’Adam que nous piquons une tête dans l’eau à bonne température. Quel bonheur de pouvoir ainsi se délasser après cette journée sur les routes et ce voyage à conduire à tour de rôle la voiture. Je commence à avoir faim, c’est probablement dû au fait que nous sommes maintenant en mode relax et que notre corps reprend petit à petit ses marques. J’en fais part à maman qui me dit que nous allons bientôt partir pour aller manger un bout dans le bourg.
Nous nous préparons pour nous rendre au restaurant. Papa avait déjà retenu une table par téléphone avant de quitter la maison. Nous sommes bien accueillis dans cet établissement. Nous prenons tous le plat du jour, soit du poisson, de la lotte pour être précis. Quel délice ! Je suis content de manger du poisson, étant au bord de la mer et près d’un port de pêche, c’est tout à fait naturel d’en profiter. Papa commande deux bouteilles de vin blanc, il choisit du Muscadet.
Le repas est excellent, nous avons très bien mangé. Maman nous propose de prendre un dessert. Nous optons pour un morceau de tarte Tatin. Nous quittons le restaurant le ventre plein et rassasiés. Nous remercions nos parents pour ce bon repas. Nous en profitons pour faire un petit tour à pied avant de rentrer à la location, question de digérer. C’est une excellente idée que de prendre l’air avant d’aller dormir.
De retour à la location Julien et moi saluons nos parents et nos sœurs. Nous passons par la salle de bain avant de rejoindre notre chambre.
C’est le moment tant attendu après cette longue journée, c’est de pouvoir avoir un instant câlin entre nous. Inutile de dire que nos lèvres se retrouvent pour se donner de petits bisous avant de laisser nos langues entrer dans la danse. Nos mains se promènent sur nos corps et s’attardent sur nos tétons qui gonflent. Nous nous occupons alors de nos membres dressés, je pose la main sur le braquemart de Juju, je décalotte le gland qui est déjà humide. Je sens que mon chéri s’empare de mon bâton d’amour pour y appliquer deux ou trois mouvements lascifs sur toute sa longueur. Nous plongeons ensemble nos regards dans celui de l’être aimé. Je sens que Julien est heureux, sa souffrance n’est plus qu’un lointain souvenir. Son regard est étincelant et à la fois apaisé. C’est alors que je lui susurre à l’oreille « Je t’aime mon chéri ». Julien me regarde plus intensément et me dit : « Merci, je t’aime Phil, mon amour ». Nos lèvres se rejoignent pour notre plus grand plaisir. Nos mains n’ont pas quitté l’objet qu’elles enserrent, nous nous collons alors l’un l’autre pour laisser nos phallus se rejoindre. Nous nous sommes compris et nos mains se posent ensemble sur nos deux membres réunis. Nous nous lançons dans une masturbation mutuelle rapprochée. Nous sommes sur notre nuage, comme hors du temps et plus rien ne compte que le bien que nous nous procurons mutuellement. Inutile de dire que nous sommes vraiment sur la même longueur d’onde et heureux : enfin nous savourons le bonheur d’être à deux. Nous éclaboussons nos ventres, nos mains de nos semences dans des râles contenus. Julien prend alors de quoi nous essuyer, ayant placé des feuilles d’essuie-tout sous son oreiller.
Nous restons enlacés en nous disant des « je t’aime », savourant le moment magique que nous venons de vivre. Il n’a pas fallu attendre longtemps avant que nous ne sombrions dans les bras de Morphée pour passer une bonne nuit.
Nous nous réveillons en même temps. Nos regards se croisent et la magie opère, nous sommes à nouveau en connexion, nos vies sont mêlées l’une à l’autre pour longtemps. Nous nous embrassons avant de quitter notre lit douillet.
Nous saluons les parents et les filles avant de prendre place autour de la table pour prendre en famille le petit-déjeuner. Inutile de dire qu’il est bien copieux : viennoiseries, baguette, Far breton, confiture, chocolat aux noisettes, café, thé, lait, … etc. Maman nous dit alors :
Mam : « Alors les garçons, vous avez bien dormi ?
Moi : Oui nous avons dormi comme des bébés.
Mam : J’en suis très heureuse. Vous avez vraiment l’air très radieux ce matin !
Jul : Oui maman Fanny, je me sens bien, je me sens heureux auprès de vous, auprès de Phil.
Moi : Je suis moi aussi si heureux d’être avec toi mon Ange.
Pap : Vous êtes de véritables rayons de soleil mes garçons. Vous faites plaisir à voir !
Del : Je suis si heureuse pour vous, je sais que vous vous aimez très fort.
Sté : Ça je peux le confirmer après les bruits entendus hier soir !
Oups, Julien et moi piquons un far. Maman et papa éclatent de rire suivis pas nos sœurs ! Ils se sont tous rendus compte que nous nous sommes « aimés » hier soir. Je sais que nos parents et la famille nous aiment et qu’ils sont très heureux de nous voir nager dans le bonheur. Je suis sûr et certain que ce séjour sera l’objet de beaucoup de bons moments à passer avec ceux que nous aimons.
Mam : Vous n’avez pas à rougir mes loulous, on se doute que vous vous êtes retrouvés après une année très difficile pour vous deux mais aussi pour nous tous.
Jul : Merci pour ces belles paroles. Je propose que nous mangions car si on continue je vais une nouvelle fois laisser des larmes inonder mes joues.
Moi : C’est la même chose pour moi. Bon appétit !
Pap : Bon appétit à vous tous.
Tous : merci papa. »
Je me sens bien et je sais que c’est la même chose pour Julien. Nous avons la vie devant nous, il ne nous reste plus qu’à la croquer à pleines dents !
Nous nous préparons pour nous rendre au restaurant. Papa avait déjà retenu une table par téléphone avant de quitter la maison. Nous sommes bien accueillis dans cet établissement. Nous prenons tous le plat du jour, soit du poisson, de la lotte pour être précis. Quel délice ! Je suis content de manger du poisson, étant au bord de la mer et près d’un port de pêche, c’est tout à fait naturel d’en profiter. Papa commande deux bouteilles de vin blanc, il choisit du Muscadet.
Le repas est excellent, nous avons très bien mangé. Maman nous propose de prendre un dessert. Nous optons pour un morceau de tarte Tatin. Nous quittons le restaurant le ventre plein et rassasiés. Nous remercions nos parents pour ce bon repas. Nous en profitons pour faire un petit tour à pied avant de rentrer à la location, question de digérer. C’est une excellente idée que de prendre l’air avant d’aller dormir.
De retour à la location Julien et moi saluons nos parents et nos sœurs. Nous passons par la salle de bain avant de rejoindre notre chambre.
C’est le moment tant attendu après cette longue journée, c’est de pouvoir avoir un instant câlin entre nous. Inutile de dire que nos lèvres se retrouvent pour se donner de petits bisous avant de laisser nos langues entrer dans la danse. Nos mains se promènent sur nos corps et s’attardent sur nos tétons qui gonflent. Nous nous occupons alors de nos membres dressés, je pose la main sur le braquemart de Juju, je décalotte le gland qui est déjà humide. Je sens que mon chéri s’empare de mon bâton d’amour pour y appliquer deux ou trois mouvements lascifs sur toute sa longueur. Nous plongeons ensemble nos regards dans celui de l’être aimé. Je sens que Julien est heureux, sa souffrance n’est plus qu’un lointain souvenir. Son regard est étincelant et à la fois apaisé. C’est alors que je lui susurre à l’oreille « Je t’aime mon chéri ». Julien me regarde plus intensément et me dit : « Merci, je t’aime Phil, mon amour ». Nos lèvres se rejoignent pour notre plus grand plaisir. Nos mains n’ont pas quitté l’objet qu’elles enserrent, nous nous collons alors l’un l’autre pour laisser nos phallus se rejoindre. Nous nous sommes compris et nos mains se posent ensemble sur nos deux membres réunis. Nous nous lançons dans une masturbation mutuelle rapprochée. Nous sommes sur notre nuage, comme hors du temps et plus rien ne compte que le bien que nous nous procurons mutuellement. Inutile de dire que nous sommes vraiment sur la même longueur d’onde et heureux : enfin nous savourons le bonheur d’être à deux. Nous éclaboussons nos ventres, nos mains de nos semences dans des râles contenus. Julien prend alors de quoi nous essuyer, ayant placé des feuilles d’essuie-tout sous son oreiller.
Nous restons enlacés en nous disant des « je t’aime », savourant le moment magique que nous venons de vivre. Il n’a pas fallu attendre longtemps avant que nous ne sombrions dans les bras de Morphée pour passer une bonne nuit.
Nous nous réveillons en même temps. Nos regards se croisent et la magie opère, nous sommes à nouveau en connexion, nos vies sont mêlées l’une à l’autre pour longtemps. Nous nous embrassons avant de quitter notre lit douillet.
Nous saluons les parents et les filles avant de prendre place autour de la table pour prendre en famille le petit-déjeuner. Inutile de dire qu’il est bien copieux : viennoiseries, baguette, Far breton, confiture, chocolat aux noisettes, café, thé, lait, … etc. Maman nous dit alors :
Mam : « Alors les garçons, vous avez bien dormi ?
Moi : Oui nous avons dormi comme des bébés.
Mam : J’en suis très heureuse. Vous avez vraiment l’air très radieux ce matin !
Jul : Oui maman Fanny, je me sens bien, je me sens heureux auprès de vous, auprès de Phil.
Moi : Je suis moi aussi si heureux d’être avec toi mon Ange.
Pap : Vous êtes de véritables rayons de soleil mes garçons. Vous faites plaisir à voir !
Del : Je suis si heureuse pour vous, je sais que vous vous aimez très fort.
Sté : Ça je peux le confirmer après les bruits entendus hier soir !
Oups, Julien et moi piquons un far. Maman et papa éclatent de rire suivis pas nos sœurs ! Ils se sont tous rendus compte que nous nous sommes « aimés » hier soir. Je sais que nos parents et la famille nous aiment et qu’ils sont très heureux de nous voir nager dans le bonheur. Je suis sûr et certain que ce séjour sera l’objet de beaucoup de bons moments à passer avec ceux que nous aimons.
Mam : Vous n’avez pas à rougir mes loulous, on se doute que vous vous êtes retrouvés après une année très difficile pour vous deux mais aussi pour nous tous.
Jul : Merci pour ces belles paroles. Je propose que nous mangions car si on continue je vais une nouvelle fois laisser des larmes inonder mes joues.
Moi : C’est la même chose pour moi. Bon appétit !
Pap : Bon appétit à vous tous.
Tous : merci papa. »
Je me sens bien et je sais que c’est la même chose pour Julien. Nous avons la vie devant nous, il ne nous reste plus qu’à la croquer à pleines dents !