07-08-2020, 02:27 PM
1ère ANNEE NOUVEL AN : (16/20) (Chez les Viala)
Ils prennent le temps de ranger les valises et de montrer à leurs invités comment ils vont passer les quelques nuits ici, Thomas ne dit rien quand il comprend qu’il va partager la chambre avec Philippe. Annie apprécie à sa juste valeur le silence du jeune homme et lui en donne l’explication.
- Nous ne savions pas que vous étiez ensemble toi et « Flo » et puis ensuite nous n’avons pas trouvé mieux comme disposition des chambres car je ne voyais pas Philippe dormir dans la chambre avec les garçons.
- (Thomas souriant) C’est très bien comme ça, (Gêné par ce qu’il va dire, il baisse la tête n’osant pas regarder Annie) Nous nous sommes mis d’accord avec « Flo » pour ne pas brûler les étapes et attendre qu’il soit un peu plus âgé pour aller plus loin vous comprenez ? Donc je pense sincèrement que c’est très bien comme ça ne vous en faites pas pour moi.
- (Annie décidément conquise par Thomas) Écoute Thomas !! Déjà une pas de vouvoiement entre nous d’accord ? Moi c’est Annie et mon mari Frédéric, ensuite Florian m’a… non !! Nous a parlé de cette histoire d’âge qui vous stresse tous les deux ; je suis juge pour enfant et je suis donc bien placée pour connaître la loi sur les relations entre personnes majeures et personnes mineures, aussi je peux te certifier qu’il n’y a rien tu m’entends !! Absolument rien qui vous empêche d’être ensemble. (Voyant qu’il va parler) Laisse-moi finir s’il te plaît, Florian a dix-sept ans et demi il est donc majeur sexuellement au titre de la loi et vous n’avez pas à vous en faire ; tu n’es pas de sa famille et il n’a aucune dépendance quelle qu’elle soit avec toi, il est consentant (Elle rit) Du moins je l’espère pour toi et donc rien ne vous empêche de vous aimer tel que vous l’entendez.
- (Ahuri n’en croyant pas ses oreilles) Vous... heu !! Je voulais dire tu es sûr ?
- (Amusé) On ne peut plus sûr crois-moi (Elle a un frisson devant la beauté de son sourire) Je suis heureuse pour vous deux, vous vous méritez bien ; il me semble que vous êtes amis depuis longtemps non ?
- (Son regard se fait rêveur quand il répond) Oh oui !! Nous étions grand comme ça (En riant il met une main à vingt centimètres du sol pour Florian et l’autre nettement plus haute pour lui) en fait nous sommes amis depuis toujours ainsi qu’avec Éric et Chloé.
- (Annie séduite par l’humour du beau jeune homme) Et dis-moi ? As-tu souvent été malade ?
- (Surpris par la question) Heu !!! Non !! Je dirais même jamais.
- (Annie pas surprise du tout s’attendant d’ailleurs à la réponse de Thomas) Et tes autres amis ?
- (Il réfléchit et s’étonne lui-même de ne jamais y avoir fait attention) Je ne crois pas non !! En fait j’en suis sûr !! D’ailleurs dans le quartier je ne me souviens pas d’avoir jamais vu un médecin, c’est bizarre quand on y pense tu ne trouves pas ? Pour mes parents et les voisins c’est pareil, sûrement qu’il y a un micro climat ou un truc comme ça où on habite sinon je ne vois pas comment expliquer ça.
- Tu vas dire que je suis curieuse et tu n’es pas obligé de me répondre mais qu’est ce qui t’attire vers Florian ? Je ne doute pas qu’un beau garçon comme toi ne doit pas avoir beaucoup de mal à faire des conquêtes.
- (Il rougit du compliment ce qui fait chaud au cœur à Annie qui le trouve de plus en plus charmant) Je veux bien te répondre ce n’est pas ça le problème, juste que je n’ai aucune réponse. J’aime « Flo » depuis tout petit, comme ami au début puis je ne me rappelle pas quand exactement je me suis rendu compte que c’était plus sérieux et puis je n’ai jamais fait attention aux autres. Sans doute que certaines et même aussi certains ont dû essayer mais je n’y ai jamais répondu parce que je savais ce que je voulais et tu sais Annie ? Quand j’ai su que Florian ressentait lui aussi des sentiments pour moi, ça a été le plus beau jour de ma vie car même si je l’espérais de tout mon cœur, il y avait peu de chance que ce soit réciproque.
- (Annie aimant déjà ce garçon qui lui ouvre en grand son cœur) Et tes parents ils sont au courant ? Florian m’a dit pour ses grands-parents qui t’aiment beaucoup et qui sont heureux de vous savoir ensemble désormais, mais tes parents ? Ils voient ça comment ?
- (Nouveau sourire toute en blancheur du jeune homme) Michel et Maryse sont les grands-parents que je n’ai jamais eu la chance de connaître et mes parents sont en adoration pour « Flo », d’ailleurs quand je leur ai dit que j’aimais un garçon et que Florian leur a dit que c’était lui, vous auriez vu leurs sourires !!! Je pense que si ça avait été quelqu’un d’autre ils l’auraient accepté également mais en sachant que c’était lui, ils étaient comme des gosses à rires aux éclats de ses pitreries à la façon qu’il leur a annoncée (Il rit) à mes dépens bien entendu.
Voyant qu’elle ne va pas manquer de lui poser la question il lui raconte, amusé, la matinée où Florian est arrivé chez eux et tout ce qui en a découlé jusqu’à ce qu’ils se retrouvent mort de rires et heureux d’avoir déclaré leur passion au grand jour.
Annie s’essuie les yeux une fois son fou rire passé imaginant sans peine les scènes décrites par Thomas. Il est grand temps pour eux maintenant de retourner auprès des autres ; juste le temps d’ailleurs car à peine cinq minutes plus tard ils entendent des rires très reconnaissables dans la cage d’escalier et c’est avec empressement qu’ils mettent en place le petit plan dont ils ont débattu en arrivant.
Thomas se précipite dans la chambre de Frédéric et Annie, ceux-ci sachant très bien qu’aucun des garçons ne se permettrait d’y rentrer sans leurs autorisations ; Maryse et Michel vont s’asseoir un grand sourire aux lèvres dans le coin le moins à la vue du canapé et Philippe avec ses hôtes se mettent à la table côté salle à manger là où ils seront le plus visibles.
La porte s’ouvre laissant entrer les quatre copains, Aurélien les ayant croisés en bas de chez eux rentrant également de sa visite à des copains de lycée, ils feignent à part Aurélien qui n’est au courant de rien la surprise en voyant Philippe et Florian pousse un cri de joie non feint bien qu’il les sache là en apercevant ses grands-parents.
1ère ANNEE NOUVEL AN : (17/20) (Chez les Viala)
Bien sûr comme d’habitude ce fut un grand moment de tendresse Florian les câlinant à l’envi tantôt l’un tantôt l’autre jusqu’à ce qu’enfin ils soient tous trois rassasiés et reviennent lentement au monde qui les entoure. Tous sont muets et l’émotion à fleur de peau, Damien voyant que de la place se libère vient lui aussi embrasser les grands-parents bientôt suivis des deux autres sous le regard surpris et ému de leurs parents.
Quand Aurélien dit qu’il va se préparer pour la soirée, Annie prend Florian à part pour lui parler.
- Tu accepterais de te déguiser « Flo » ? Tu sais ce matin Frédéric a été ému autant que moi de te savoir aussi attacher à nous et en plaisantant m’a dit que nous avions maintenant un quatrième enfant, un gros bébé d’un mètre soixante-cinq pour cinquante kilos. Alors ça m’a donné une idée pour lui faire une farce, je pense qu’en plus tes grands-parents vont bien s’amuser également.
- D’accord !! (Je souris, amusé par l’idée et adorant en plus faire le clown) Je devrais m’habiller en quoi ?
- (Annie retenant mal son envie de rire) Tu le verras bien !! Pour que personne te voit, tu iras faire ta toilette en dernier et tu iras t’habiller dans la chambre d’Aurélien, tu es d’accord ?
- Oui bien sûr !!
- Alors on fait comme ça mais ne dis rien à personne hein ? Il n’y a que nous deux au courant.
Je suis curieux comme tout de savoir quelles frusques je vais avoir à endosser et c’est en trépignant d’impatience que je les laisse les uns après les autres aller se préparer. Le premier de retour est bien sûr « Aurel » qui entre, habillé comme un prince en costume cravate ce qui le change complètement étant habitué à le voir en jeans et en tee-shirt.
Ensuite c’est au tour de Frédéric qui comme son fils aîné nous arrive superbement vêtu montrant à tous que c’est un bel homme qui prend toujours autant soin de lui malgré ses années de mariages qui auraient pu comme beaucoup mener à un laisser-aller en prenant du ventre par exemple.
Annie, elle, met plus de temps mais c’est bien normal étant la seule femme de la famille, elle nous arrive vêtue d’une magnifique robe parme à volant qui lui donne un air de jeunesse et une beauté à couper le souffle. Le regard des hommes sur elle étant reçu de sa part mieux que n’importe quelle flatterie.
Guillaume à son tour réapparaît dans un très beau costume noir aux fines rayures blanches le faisant ressembler à un mafioso de l’époque d’Al Capone ; c’est Damien qui me prive d’un bon mot en lui disant en riant qu’il ne lui manquait plus que le Borsalino pour faire réel ce qui fait se rengorger celui-ci qui du coup se redresse en marchant à la Aldo Maccionne, ce qui déclenche un éclat de rire général.
Damien est magnifique quand il se présente devant nous, en costume et chemise blanche avec juste une touche de noir donnée par un mouchoir noir plier en triangle et placer pile-poil comme il faut à l’intérieur de sa poche à gauche sur sa poitrine.
C’est à mon tour maintenant et sans rien faire paraître de mon amusement et de ma curiosité je passe devant tout le monde et vais prendre ma douche. Une fois celle-ci terminée, c’est avec empressement que je fonce dans la chambre d’Aurélien pour y découvrir enfin ce qui m’y attend.
Je referme soigneusement la porte derrière moi et je vais rapidement déballer ce qu’il y a dans les deux grands sacs poser sur le lit ; quand j’ouvre le premier, j’éclate de rire n’en croyant pas mes yeux et de plus en plus hilare pose devant moi ce qui va être ma tenue pour une partie tout au moins de la soirée.
Pendant ce temps-là toute la famille s’active, Frédéric prépare son appareil photo ne voulant pas manquer de garder un souvenir de ce qu’il sent va être un moment mémorable ; les rires s’échappant de la pièce les mettent tous déjà dans un état de fou rire qu’ils ont du mal à dominer tant il est communicatif.
Philippe qui connaît bien ce rire est déjà lui plié en deux sur un des fauteuils et pendant qu’Annie va le plus doucement possible chercher Thomas qui a déjà les larmes aux yeux d’entendre le rire cristallin de son ami, les autres font déjà tous la queue devant les toilettes ne voulant pas prendre de risque car les conséquences sur leurs magnifiques costumes seraient désastreuses.
Thomas après lui aussi s’être soulagé la vessie va se cacher derrière la porte qui donne coté couloir de façon à ce que Florian en entrant ne puisse pas le voir. Annie est la dernière à sortir des toilettes en ayant profité pour se rafraîchir le visage sachant bien qu’il est inutile de retoucher son maquillage étant donné l’état où elle se trouve déjà.
Elle tape comme convenu à la porte de la chambre pour signaler à Florian qu’on attend plus que lui pour prendre l’apéritif recevant pour toute réponse un éclat de rire monstrueux accompagner d’un « OUAINNNN !!! » qui manque de l’empêcher de rejoindre les autres tellement son fou rire est déjà fort.
Je me regarde dans la glace le ventre crispé par les douleurs que m’envoient mes abdos contractés tellement l’énorme fou rire inextinguible me reprend à la vue de ce que me renvoie la glace. Je ferme les yeux et respire profondément retrouvant ainsi un semblant de contrôle sur mon corps, j’ouvre la porte et me couche par terre sur le ventre puis avance lentement dans le salon avec en bouche l’énorme…..
1ère ANNEE NOUVEL AN : (18/20) (Chez les Viala)
……..tutute accrochée par la grosse pince à mon Babygro à une seule jambe façon Mimosa le fils à Popeye, dans une main je tiens un énorme biberon et l’autre m’aide comme elle peut à avancer en rampant jouant des jambes comme un serpent.
J’arrive à l’entrée du salon en poussant des « OUAIN !!! OUAIN !!! » de bébé n’arrivant que de justesse à garder un semblant de sérieux. Quand ils me voient arriver, ils partent tous en live dans un délire de rire et de larmes ; content de mon effet et en prenant une certaine habitude j’arrive à me déplacer de plus en plus vite en tétant comme un malade ma grosse tutute et en levant le plus haut possible vers Frédéric mon énorme biberon rempli d’un liquide blanc ressemblant à du lait.
De voir arriver Florian avec son Babygro avec à l’intérieur de celui-ci l’énorme couche le faisant ressembler à un gros bébé roux les cheveux dressés sur la tête en épis multiple déclenche un ramdam phénoménal.
Philippe toujours dans son fauteuil est rejoint par Frédéric qui n’arrive plus à reprendre sa respiration les yeux embués de larmes et le visage rouge tomate prêt à exploser.
Annie et Aurélien se tiennent à la table, leurs jambes ayant du mal à les supporter et poussent des couinements qu’ils n’arrivent pas malgré tous les efforts qu’ils font à essayer de les contenir.
Mes grands-parents se tiennent l’un l’autre leurs visages congestionnés par le fou rire qui leur font lever les pieds en l’air pour éviter les douleurs aiguës qui crispent leurs muscles.
Mais je crois que les pires de tous sont Guillaume et Damien qui se roulent par terre et ferment les yeux pour ne plus voir l’énorme bébé suçant sa tute avec de grands mouvements de bouche en levant toujours fièrement son biberon au-dessus de sa tête et poussant des « AREU !! AREU !! tonitruants. Ils sont pris tous les deux dans un phénoménal délire de rire, le pantalon blanc de Damien ne résistant pas à l’énorme auréole venant se dessiner au niveau de son entrejambe.
J’entends des « Pitié !! Arrête !! Stop !!! T’es fou on va mourir !! » Et que sais-je encore pendant les cinq longues, très longues minutes où ne me retenant plus j’en rajoute et j’en rajoute tant que je peux jusqu’à ce que je m’arrête enfin constatant que certains ont de plus en plus de mal à respirer.
Philippe voyant que je me calme et qu’il arrive à reprendre le dessus sur son cerveau qui lui envoie encore quelques vagues de spasmes nerveux fait un premier essai pour reprendre la parole. Essai complètement incompréhensible tellement sa voix est entrecoupée d’éclats de rire qu’il n’arrive pas à maîtriser faisant par là même repartir les autres de plus belle.
Encore cinq bonnes minutes passent agrémenter de reniflement et de quelques départs de feu vite maîtriser avant qu’il ne retente de prendre la parole et s’adresse à Frédéric qui depuis un bon moment déjà me tourne le dos afin de ne plus me regarder et de pouvoir reprendre le contrôle de son corps.
Je vois bien que ce n’est pas gagné d’avance pour lui et quand je pousse un « Areu ???» interrogatif, ses épaules tressautent de plus belle ainsi que le fou rire à peine calmer des autres.
- (Philippe entre deux essais de respiration) Arrête « Flo » s’il te plaît, sinon on n’y arrivera jamais
- (Je le regarde en faisant mes yeux de grenouille) Areu ???
- (La vue que je donne doit être quand même pas à être piqué des hannetons car il repart aussi sec dans un fou rire tonitruant)
Dès que j’en vois un ou une qui lève les yeux sur moi, je refais le même regard rond interrogatif et surpris et lance le même « Areu ??» en levant mon biberon vers lui ou elle qui systématiquement le ou la refait partir de plus belle.
- (Aurélien en se tenant les côtes) Arrête « Flo » je t’en prie ; ça fait trop mal !!
Je n’ai juste qu’à me tourner vers lui sans rien faire d’autre pour qu’une crise le reprenne et le plie sur la table.
- (Philippe laisse passer quelques secondes supplémentaires pour laisser à tous le temps de s’en remettre) Frédéric ? Tu voulais un gros bébé et bien je crois que tu es servi là !!
- (Frédéric les yeux rouges d’avoir trop pleuré s’essuie les joues d’un revers de sa manche) Je crois bien oui (Il me regarde enfin faisant un effort Monstrueux pour parler) Et encore moi c’est parce que j’ai parlé de toi comme un nouveau bébé arrivant chez nous, imagine ton amoureux s’il te voyait en ce moment ce qu’il pourrait en penser ?
- (Une voix bien connue derrière moi me fait me retourner le visage figé par la stupeur) Eh bien je dirais que j’ai encore un sacré moment à attendre avant qu’il devienne suffisamment adulte pour pouvoir l’embrasser.
La joie de voir Thomas en fait tomber la tutute de ma bouche restant ouverte de stupeur. Je me lève et vais pour me précipiter de joie dans ses bras ne me rappelant plus que j’ai les deux jambes prises dans le pyjama d’enfant et je m’étale de tout mon long dans un cri de surprise.
Les voilà tous repartis de plus belle dans un fou rire sans commune mesure qui élargie encore plus l’auréole déjà impressionnante du pantalon de Damien.
Ils prennent le temps de ranger les valises et de montrer à leurs invités comment ils vont passer les quelques nuits ici, Thomas ne dit rien quand il comprend qu’il va partager la chambre avec Philippe. Annie apprécie à sa juste valeur le silence du jeune homme et lui en donne l’explication.
- Nous ne savions pas que vous étiez ensemble toi et « Flo » et puis ensuite nous n’avons pas trouvé mieux comme disposition des chambres car je ne voyais pas Philippe dormir dans la chambre avec les garçons.
- (Thomas souriant) C’est très bien comme ça, (Gêné par ce qu’il va dire, il baisse la tête n’osant pas regarder Annie) Nous nous sommes mis d’accord avec « Flo » pour ne pas brûler les étapes et attendre qu’il soit un peu plus âgé pour aller plus loin vous comprenez ? Donc je pense sincèrement que c’est très bien comme ça ne vous en faites pas pour moi.
- (Annie décidément conquise par Thomas) Écoute Thomas !! Déjà une pas de vouvoiement entre nous d’accord ? Moi c’est Annie et mon mari Frédéric, ensuite Florian m’a… non !! Nous a parlé de cette histoire d’âge qui vous stresse tous les deux ; je suis juge pour enfant et je suis donc bien placée pour connaître la loi sur les relations entre personnes majeures et personnes mineures, aussi je peux te certifier qu’il n’y a rien tu m’entends !! Absolument rien qui vous empêche d’être ensemble. (Voyant qu’il va parler) Laisse-moi finir s’il te plaît, Florian a dix-sept ans et demi il est donc majeur sexuellement au titre de la loi et vous n’avez pas à vous en faire ; tu n’es pas de sa famille et il n’a aucune dépendance quelle qu’elle soit avec toi, il est consentant (Elle rit) Du moins je l’espère pour toi et donc rien ne vous empêche de vous aimer tel que vous l’entendez.
- (Ahuri n’en croyant pas ses oreilles) Vous... heu !! Je voulais dire tu es sûr ?
- (Amusé) On ne peut plus sûr crois-moi (Elle a un frisson devant la beauté de son sourire) Je suis heureuse pour vous deux, vous vous méritez bien ; il me semble que vous êtes amis depuis longtemps non ?
- (Son regard se fait rêveur quand il répond) Oh oui !! Nous étions grand comme ça (En riant il met une main à vingt centimètres du sol pour Florian et l’autre nettement plus haute pour lui) en fait nous sommes amis depuis toujours ainsi qu’avec Éric et Chloé.
- (Annie séduite par l’humour du beau jeune homme) Et dis-moi ? As-tu souvent été malade ?
- (Surpris par la question) Heu !!! Non !! Je dirais même jamais.
- (Annie pas surprise du tout s’attendant d’ailleurs à la réponse de Thomas) Et tes autres amis ?
- (Il réfléchit et s’étonne lui-même de ne jamais y avoir fait attention) Je ne crois pas non !! En fait j’en suis sûr !! D’ailleurs dans le quartier je ne me souviens pas d’avoir jamais vu un médecin, c’est bizarre quand on y pense tu ne trouves pas ? Pour mes parents et les voisins c’est pareil, sûrement qu’il y a un micro climat ou un truc comme ça où on habite sinon je ne vois pas comment expliquer ça.
- Tu vas dire que je suis curieuse et tu n’es pas obligé de me répondre mais qu’est ce qui t’attire vers Florian ? Je ne doute pas qu’un beau garçon comme toi ne doit pas avoir beaucoup de mal à faire des conquêtes.
- (Il rougit du compliment ce qui fait chaud au cœur à Annie qui le trouve de plus en plus charmant) Je veux bien te répondre ce n’est pas ça le problème, juste que je n’ai aucune réponse. J’aime « Flo » depuis tout petit, comme ami au début puis je ne me rappelle pas quand exactement je me suis rendu compte que c’était plus sérieux et puis je n’ai jamais fait attention aux autres. Sans doute que certaines et même aussi certains ont dû essayer mais je n’y ai jamais répondu parce que je savais ce que je voulais et tu sais Annie ? Quand j’ai su que Florian ressentait lui aussi des sentiments pour moi, ça a été le plus beau jour de ma vie car même si je l’espérais de tout mon cœur, il y avait peu de chance que ce soit réciproque.
- (Annie aimant déjà ce garçon qui lui ouvre en grand son cœur) Et tes parents ils sont au courant ? Florian m’a dit pour ses grands-parents qui t’aiment beaucoup et qui sont heureux de vous savoir ensemble désormais, mais tes parents ? Ils voient ça comment ?
- (Nouveau sourire toute en blancheur du jeune homme) Michel et Maryse sont les grands-parents que je n’ai jamais eu la chance de connaître et mes parents sont en adoration pour « Flo », d’ailleurs quand je leur ai dit que j’aimais un garçon et que Florian leur a dit que c’était lui, vous auriez vu leurs sourires !!! Je pense que si ça avait été quelqu’un d’autre ils l’auraient accepté également mais en sachant que c’était lui, ils étaient comme des gosses à rires aux éclats de ses pitreries à la façon qu’il leur a annoncée (Il rit) à mes dépens bien entendu.
Voyant qu’elle ne va pas manquer de lui poser la question il lui raconte, amusé, la matinée où Florian est arrivé chez eux et tout ce qui en a découlé jusqu’à ce qu’ils se retrouvent mort de rires et heureux d’avoir déclaré leur passion au grand jour.
Annie s’essuie les yeux une fois son fou rire passé imaginant sans peine les scènes décrites par Thomas. Il est grand temps pour eux maintenant de retourner auprès des autres ; juste le temps d’ailleurs car à peine cinq minutes plus tard ils entendent des rires très reconnaissables dans la cage d’escalier et c’est avec empressement qu’ils mettent en place le petit plan dont ils ont débattu en arrivant.
Thomas se précipite dans la chambre de Frédéric et Annie, ceux-ci sachant très bien qu’aucun des garçons ne se permettrait d’y rentrer sans leurs autorisations ; Maryse et Michel vont s’asseoir un grand sourire aux lèvres dans le coin le moins à la vue du canapé et Philippe avec ses hôtes se mettent à la table côté salle à manger là où ils seront le plus visibles.
La porte s’ouvre laissant entrer les quatre copains, Aurélien les ayant croisés en bas de chez eux rentrant également de sa visite à des copains de lycée, ils feignent à part Aurélien qui n’est au courant de rien la surprise en voyant Philippe et Florian pousse un cri de joie non feint bien qu’il les sache là en apercevant ses grands-parents.
1ère ANNEE NOUVEL AN : (17/20) (Chez les Viala)
Bien sûr comme d’habitude ce fut un grand moment de tendresse Florian les câlinant à l’envi tantôt l’un tantôt l’autre jusqu’à ce qu’enfin ils soient tous trois rassasiés et reviennent lentement au monde qui les entoure. Tous sont muets et l’émotion à fleur de peau, Damien voyant que de la place se libère vient lui aussi embrasser les grands-parents bientôt suivis des deux autres sous le regard surpris et ému de leurs parents.
Quand Aurélien dit qu’il va se préparer pour la soirée, Annie prend Florian à part pour lui parler.
- Tu accepterais de te déguiser « Flo » ? Tu sais ce matin Frédéric a été ému autant que moi de te savoir aussi attacher à nous et en plaisantant m’a dit que nous avions maintenant un quatrième enfant, un gros bébé d’un mètre soixante-cinq pour cinquante kilos. Alors ça m’a donné une idée pour lui faire une farce, je pense qu’en plus tes grands-parents vont bien s’amuser également.
- D’accord !! (Je souris, amusé par l’idée et adorant en plus faire le clown) Je devrais m’habiller en quoi ?
- (Annie retenant mal son envie de rire) Tu le verras bien !! Pour que personne te voit, tu iras faire ta toilette en dernier et tu iras t’habiller dans la chambre d’Aurélien, tu es d’accord ?
- Oui bien sûr !!
- Alors on fait comme ça mais ne dis rien à personne hein ? Il n’y a que nous deux au courant.
Je suis curieux comme tout de savoir quelles frusques je vais avoir à endosser et c’est en trépignant d’impatience que je les laisse les uns après les autres aller se préparer. Le premier de retour est bien sûr « Aurel » qui entre, habillé comme un prince en costume cravate ce qui le change complètement étant habitué à le voir en jeans et en tee-shirt.
Ensuite c’est au tour de Frédéric qui comme son fils aîné nous arrive superbement vêtu montrant à tous que c’est un bel homme qui prend toujours autant soin de lui malgré ses années de mariages qui auraient pu comme beaucoup mener à un laisser-aller en prenant du ventre par exemple.
Annie, elle, met plus de temps mais c’est bien normal étant la seule femme de la famille, elle nous arrive vêtue d’une magnifique robe parme à volant qui lui donne un air de jeunesse et une beauté à couper le souffle. Le regard des hommes sur elle étant reçu de sa part mieux que n’importe quelle flatterie.
Guillaume à son tour réapparaît dans un très beau costume noir aux fines rayures blanches le faisant ressembler à un mafioso de l’époque d’Al Capone ; c’est Damien qui me prive d’un bon mot en lui disant en riant qu’il ne lui manquait plus que le Borsalino pour faire réel ce qui fait se rengorger celui-ci qui du coup se redresse en marchant à la Aldo Maccionne, ce qui déclenche un éclat de rire général.
Damien est magnifique quand il se présente devant nous, en costume et chemise blanche avec juste une touche de noir donnée par un mouchoir noir plier en triangle et placer pile-poil comme il faut à l’intérieur de sa poche à gauche sur sa poitrine.
C’est à mon tour maintenant et sans rien faire paraître de mon amusement et de ma curiosité je passe devant tout le monde et vais prendre ma douche. Une fois celle-ci terminée, c’est avec empressement que je fonce dans la chambre d’Aurélien pour y découvrir enfin ce qui m’y attend.
Je referme soigneusement la porte derrière moi et je vais rapidement déballer ce qu’il y a dans les deux grands sacs poser sur le lit ; quand j’ouvre le premier, j’éclate de rire n’en croyant pas mes yeux et de plus en plus hilare pose devant moi ce qui va être ma tenue pour une partie tout au moins de la soirée.
Pendant ce temps-là toute la famille s’active, Frédéric prépare son appareil photo ne voulant pas manquer de garder un souvenir de ce qu’il sent va être un moment mémorable ; les rires s’échappant de la pièce les mettent tous déjà dans un état de fou rire qu’ils ont du mal à dominer tant il est communicatif.
Philippe qui connaît bien ce rire est déjà lui plié en deux sur un des fauteuils et pendant qu’Annie va le plus doucement possible chercher Thomas qui a déjà les larmes aux yeux d’entendre le rire cristallin de son ami, les autres font déjà tous la queue devant les toilettes ne voulant pas prendre de risque car les conséquences sur leurs magnifiques costumes seraient désastreuses.
Thomas après lui aussi s’être soulagé la vessie va se cacher derrière la porte qui donne coté couloir de façon à ce que Florian en entrant ne puisse pas le voir. Annie est la dernière à sortir des toilettes en ayant profité pour se rafraîchir le visage sachant bien qu’il est inutile de retoucher son maquillage étant donné l’état où elle se trouve déjà.
Elle tape comme convenu à la porte de la chambre pour signaler à Florian qu’on attend plus que lui pour prendre l’apéritif recevant pour toute réponse un éclat de rire monstrueux accompagner d’un « OUAINNNN !!! » qui manque de l’empêcher de rejoindre les autres tellement son fou rire est déjà fort.
Je me regarde dans la glace le ventre crispé par les douleurs que m’envoient mes abdos contractés tellement l’énorme fou rire inextinguible me reprend à la vue de ce que me renvoie la glace. Je ferme les yeux et respire profondément retrouvant ainsi un semblant de contrôle sur mon corps, j’ouvre la porte et me couche par terre sur le ventre puis avance lentement dans le salon avec en bouche l’énorme…..
1ère ANNEE NOUVEL AN : (18/20) (Chez les Viala)
……..tutute accrochée par la grosse pince à mon Babygro à une seule jambe façon Mimosa le fils à Popeye, dans une main je tiens un énorme biberon et l’autre m’aide comme elle peut à avancer en rampant jouant des jambes comme un serpent.
J’arrive à l’entrée du salon en poussant des « OUAIN !!! OUAIN !!! » de bébé n’arrivant que de justesse à garder un semblant de sérieux. Quand ils me voient arriver, ils partent tous en live dans un délire de rire et de larmes ; content de mon effet et en prenant une certaine habitude j’arrive à me déplacer de plus en plus vite en tétant comme un malade ma grosse tutute et en levant le plus haut possible vers Frédéric mon énorme biberon rempli d’un liquide blanc ressemblant à du lait.
De voir arriver Florian avec son Babygro avec à l’intérieur de celui-ci l’énorme couche le faisant ressembler à un gros bébé roux les cheveux dressés sur la tête en épis multiple déclenche un ramdam phénoménal.
Philippe toujours dans son fauteuil est rejoint par Frédéric qui n’arrive plus à reprendre sa respiration les yeux embués de larmes et le visage rouge tomate prêt à exploser.
Annie et Aurélien se tiennent à la table, leurs jambes ayant du mal à les supporter et poussent des couinements qu’ils n’arrivent pas malgré tous les efforts qu’ils font à essayer de les contenir.
Mes grands-parents se tiennent l’un l’autre leurs visages congestionnés par le fou rire qui leur font lever les pieds en l’air pour éviter les douleurs aiguës qui crispent leurs muscles.
Mais je crois que les pires de tous sont Guillaume et Damien qui se roulent par terre et ferment les yeux pour ne plus voir l’énorme bébé suçant sa tute avec de grands mouvements de bouche en levant toujours fièrement son biberon au-dessus de sa tête et poussant des « AREU !! AREU !! tonitruants. Ils sont pris tous les deux dans un phénoménal délire de rire, le pantalon blanc de Damien ne résistant pas à l’énorme auréole venant se dessiner au niveau de son entrejambe.
J’entends des « Pitié !! Arrête !! Stop !!! T’es fou on va mourir !! » Et que sais-je encore pendant les cinq longues, très longues minutes où ne me retenant plus j’en rajoute et j’en rajoute tant que je peux jusqu’à ce que je m’arrête enfin constatant que certains ont de plus en plus de mal à respirer.
Philippe voyant que je me calme et qu’il arrive à reprendre le dessus sur son cerveau qui lui envoie encore quelques vagues de spasmes nerveux fait un premier essai pour reprendre la parole. Essai complètement incompréhensible tellement sa voix est entrecoupée d’éclats de rire qu’il n’arrive pas à maîtriser faisant par là même repartir les autres de plus belle.
Encore cinq bonnes minutes passent agrémenter de reniflement et de quelques départs de feu vite maîtriser avant qu’il ne retente de prendre la parole et s’adresse à Frédéric qui depuis un bon moment déjà me tourne le dos afin de ne plus me regarder et de pouvoir reprendre le contrôle de son corps.
Je vois bien que ce n’est pas gagné d’avance pour lui et quand je pousse un « Areu ???» interrogatif, ses épaules tressautent de plus belle ainsi que le fou rire à peine calmer des autres.
- (Philippe entre deux essais de respiration) Arrête « Flo » s’il te plaît, sinon on n’y arrivera jamais
- (Je le regarde en faisant mes yeux de grenouille) Areu ???
- (La vue que je donne doit être quand même pas à être piqué des hannetons car il repart aussi sec dans un fou rire tonitruant)
Dès que j’en vois un ou une qui lève les yeux sur moi, je refais le même regard rond interrogatif et surpris et lance le même « Areu ??» en levant mon biberon vers lui ou elle qui systématiquement le ou la refait partir de plus belle.
- (Aurélien en se tenant les côtes) Arrête « Flo » je t’en prie ; ça fait trop mal !!
Je n’ai juste qu’à me tourner vers lui sans rien faire d’autre pour qu’une crise le reprenne et le plie sur la table.
- (Philippe laisse passer quelques secondes supplémentaires pour laisser à tous le temps de s’en remettre) Frédéric ? Tu voulais un gros bébé et bien je crois que tu es servi là !!
- (Frédéric les yeux rouges d’avoir trop pleuré s’essuie les joues d’un revers de sa manche) Je crois bien oui (Il me regarde enfin faisant un effort Monstrueux pour parler) Et encore moi c’est parce que j’ai parlé de toi comme un nouveau bébé arrivant chez nous, imagine ton amoureux s’il te voyait en ce moment ce qu’il pourrait en penser ?
- (Une voix bien connue derrière moi me fait me retourner le visage figé par la stupeur) Eh bien je dirais que j’ai encore un sacré moment à attendre avant qu’il devienne suffisamment adulte pour pouvoir l’embrasser.
La joie de voir Thomas en fait tomber la tutute de ma bouche restant ouverte de stupeur. Je me lève et vais pour me précipiter de joie dans ses bras ne me rappelant plus que j’ai les deux jambes prises dans le pyjama d’enfant et je m’étale de tout mon long dans un cri de surprise.
Les voilà tous repartis de plus belle dans un fou rire sans commune mesure qui élargie encore plus l’auréole déjà impressionnante du pantalon de Damien.
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