15-10-2021, 09:48 AM
Je me réveille en sursaut, je suis trempé de sueur. Ben lui aussi est réveillé, je suis certain que c’est à cause de moi. Ben me demande si ça va, je lui réponds que oui, que j’ai fait un cauchemar. Ben m’essuie le corps humide de sueur. Puis à force de passer un peu partout, mon phallus prend de l’embonpoint, celui de Ben est dressé aussi, tel un mât de cocagne.
Ben se colle à moi, nos deux pénis sont eux aussi collés l’un à l’autre. Je regarde Ben dans les yeux, j’intercale ma main droite entre nos ventres pour ensuite descendre en direction de nos appendices. Je m’empare des deux objets de plaisir, ma main, mes doigts se répartissent sur les deux colonnes de chair pour les enserrer, puis je commence un mouvement de va et vient. Ben ferme les yeux, moi aussi je fais de même, les paupières closes, je me concentre sur cette double masturbation. Je tente de m’occuper de nos glands en les caressant avec douceur ; Ben gémit de plaisir, moi aussi. Je réalise que les caresses nous apportent plein de sensations. Des frissons me parcourent toute l’échine. Je poursuis donc mes palpations appuyées et Ben râle de plus en plus. Cela fait plus de cinq minutes que je nous masturbe, ma main commence à faiblir, Ben s’en rend compte et je sens sa main droite qui s’immisce entre nos deux corps brûlants de bonheur, sa main vient au contact de la mienne et elle prend le relais. Ben me fait alors un large sourire et nous nous roulons un patin frénétique. Je sens que je ne suis pas loin de la jouissance, je me rends compte que Ben lui aussi est prêt à lâcher la soupape pour libérer sa semence. Je place ma main gauche sur la main de Ben et j’accompagne le mouvement de va et vient qui est de plus en plus lascif. Puis, je sens ma sève qui parcourt ma colonne de chair, je sais que je vais déverser ma semence sur nos abdominaux, Ben se cabre lui aussi et je me doute qu’il va arriver à l’extase. Puis, dans un râle commun, nous nous libérons en même temps, déversant nos fluides d’amour, parcourus par des mouvements de bassin en parfaite synchronisation, nous permettant de savourer ô combien ! ce moment de bonheur partagé. C’est avec regrets que nous nous séparons pour ensuite nous embrasser avec fougue durant cinq bonnes minutes.
Quelques instants après, j’entends dans le hall de nuit quelqu’un passer devant la porte de ma chambre, je suppose que c’est maman. Je tourne la tête vers le réveil, non, ce n’est pas elle car il n’est que six heures quarante-trois. Puis quelques minutes plus tard, j’entends à nouveau des pas ; je me lève et en ouvrant la porte je vois que c’est Jean qui vient de repasser. Il sort des toilettes. Il est nu, tout comme moi. Il me voit et il vient vers moi. Il entre dans la chambre. Ben le salue. Puis je vois le visage de Jean qui s’illumine d’un large sourire, il dit alors :
Jea : « Oh là les gars, ça sent le fauve ici !
Moi : Tu crois ?
Jea : J’en suis sûr, vous n’avez pas fait que dormir me semble-t-il !
Ben : Tu ne crois pas si bien dire.
Jea : Petits cochons !
Moi : Tu ne fais pas mieux, je pense aussi que tu ne te prives pas de te faire du bien. »
Nous éclatons de rire tous les trois. C’est alors que Maman vient pour nous réveiller. Elle voit que nous sommes bien réveillés et en pleine forme. Jean retourne dans sa chambre. Ben et moi nous allons à la salle de bain et nous reprenons notre train-train quotidien. C’est notre troisième jour de travail qui va commencer.
Nous sommes comme d’habitude bien en avance devant la porte d’accès à l’arrière du magasin. Monsieur Bonjean vient juste d’arriver lui aussi. Il nous fait un large sourire. Il nous demande de faire comme la veille et qu’il en sera ainsi chaque jour. Nous nous mettons à la tâche en apportant notre aide aux autres employés en ce début de journée.
Durant cette matinée, je vois quelques personnes qui me reconnaissent. Elles viennent me saluer. A un moment je vois que Raphaël fait les courses avec sa maman, elle est en journée de récupération. Il vient me saluer de même que Ben qui passe près de nous avec un chariot rempli de boites de conserves à placer dans les rayons. Nous poursuivons notre tâche tout en parlant avec Raphaël, car nous ne pouvons pas rester sans rien faire et nous n’avons pas envie d’avoir des remarques particulières de la part du gérant.
Alors que Raphaël rejoint sa maman, j’entends une personne que j’avais déjà vue avec maman à la maison. Elles faisaient partie d’une association caritative du quartier. Cette dame parlait avec la maman de Raphaël en disant qu’elle trouvait que nous étions bien polis et serviables et que nous ne nous affichions pas devant la clientèle. Je savais qu’elle parlait du fait que nous étions gays. Comment le savait-elle, qui lui a révélé cela ? La maman de Raphaël lui répond, qu’elle est aussi, admirative et qu’elle considère que nous avons bien entendu notre place comme des jobistes et que notre vie privée n’avait pas à être divulguée. La dame s’est excusée d’avoir parlé à haute voix, car d’autres clients avaient bien compris qu’il s’agissait de nous. Je me suis senti mal, j’avais les joues en feu, j’avais peur d’une réaction de la part de quelqu’un. Puis d’un coup j’ai vu du blanc autour de moi !
Je me suis retrouvé à terre. Raphaël était penché sur moi et demandait de me laisser de l’air. Sa maman est allée directement chercher un coussin qui trainait dans la cantine pour me le mettre sous la tête. Ben est arrivé et n’osait pas s’approcher. Il se demandait ce qui m’était arrivé. C’est Raphaël qui lui a expliqué la situation. Monsieur Bonjean est arrivé lui aussi, avec un peu d’eau froide pour m’en mettre doucement sur les joues. Après cinq minutes, je me suis relevé. Le gérant m’a conduit à l’extérieur pour prendre l’air. Il me demande alors :
Bon : « Ça va mieux Phil, tu étais si blanc bien que tu eusses fort chaud.
Moi : Oui, ça va mieux. J’ai eu un étourdissement.
Bon : Mariette (la maman de Raphaël) m’a tout expliqué. Tu as eu une réaction face à une situation particulière. Je sais que toi et Benoît vous êtes gays et ensemble, cela ne me dérange pas. Tu sais que tu peux compter sur moi pour que tout se passe au mieux.
Moi : Merci monsieur, vous êtes gentil.
Bon : Je dois te dire que je vous trouve Benoît et toi d’excellents éléments, toujours à l’heure et en moins d’une demi-journée vous avez compris ce qu’il fallait faire, vous êtes très professionnels.
Moi : Merci Monsieur Bonjean.
Bon : Si ça va mieux, nous allons reprendre le boulot. Si tu veux boire un coup d’eau, n’hésite pas.
Moi : Merci. »
Nous reprenons notre travail. Raphaël vient me trouver et me demande si je vais mieux. Je lui dis que ça va. Les clients présents dans le magasin poursuivent leurs achats, certains parlent entre eux, mais je ne fais pas attention à ce qui se dit, je pense que ça vaut mieux, tant qu’on me laisse travailler tranquillement.
Je repense au cauchemar de cette nuit. En fait je me rends compte que Raphaël était là pour me venir en aide, il était fâché de voir qu’on puisse parler sur le dos de quelqu’un sur un sujet si personnel que son orientation sexuelle. Raph n’est pas homophobe, que du contraire, il sait que ce n’est pas évident pour un jeune qui est gay. Le fait d’être dans les vapes, c’est comme si j’avais été entravé, comme pieds et mains liés. Ai-je fait comme un rêve prémonitoire ? Je ne sais pas, mais toujours est-il que j’étais mal, couché sur le sol du magasin.
Il est maintenant midi, l’heure de la pause. Je rejoins Ben dans la cantine. Nous mangeons les sandwichs que maman nous a préparés. Les boissons sont à disposition vu la période de chaleur. Nous sommes rejoints par l’employé boucher, Michaël. Il me demande :
Mic : « Alors Phil, tu as fait un malaise ce matin, ça va mieux ?
Moi : Oui, ça va mieux, c’est passé.
Mic : C’est un peu embarrassant, heu, comment dire, j’ai entendu dire que vous étiez homos !
Moi : On ne va pas le nier, oui, Ben et moi nous sommes gays et nous nous aimons !
Mic : Je suis content pour vous, je vous souhaite d’être heureux.
Ben : Merci, c’est super sympa.
Mic : Vous savez, moi aussi je suis gay, mais je suis seul, j’ai eu une aventure qui s’est mal terminée !
Moi : Oh, mais tu trouveras sûrement ton âme sœur.
Mic : Merci, je sais que vous êtes supers les gars. Vous êtes les premiers étudiants aussi avenants, tant avec les clients qu’avec nous les employés.
Moi : Merci Mickaël, mais nous sommes toujours comme ça !
Mic : Je n’en doute pas. »
Nous finissons notre repas et nous allons prendre l’air à l’arrière du magasin avant de reprendre le travail.
Ben se colle à moi, nos deux pénis sont eux aussi collés l’un à l’autre. Je regarde Ben dans les yeux, j’intercale ma main droite entre nos ventres pour ensuite descendre en direction de nos appendices. Je m’empare des deux objets de plaisir, ma main, mes doigts se répartissent sur les deux colonnes de chair pour les enserrer, puis je commence un mouvement de va et vient. Ben ferme les yeux, moi aussi je fais de même, les paupières closes, je me concentre sur cette double masturbation. Je tente de m’occuper de nos glands en les caressant avec douceur ; Ben gémit de plaisir, moi aussi. Je réalise que les caresses nous apportent plein de sensations. Des frissons me parcourent toute l’échine. Je poursuis donc mes palpations appuyées et Ben râle de plus en plus. Cela fait plus de cinq minutes que je nous masturbe, ma main commence à faiblir, Ben s’en rend compte et je sens sa main droite qui s’immisce entre nos deux corps brûlants de bonheur, sa main vient au contact de la mienne et elle prend le relais. Ben me fait alors un large sourire et nous nous roulons un patin frénétique. Je sens que je ne suis pas loin de la jouissance, je me rends compte que Ben lui aussi est prêt à lâcher la soupape pour libérer sa semence. Je place ma main gauche sur la main de Ben et j’accompagne le mouvement de va et vient qui est de plus en plus lascif. Puis, je sens ma sève qui parcourt ma colonne de chair, je sais que je vais déverser ma semence sur nos abdominaux, Ben se cabre lui aussi et je me doute qu’il va arriver à l’extase. Puis, dans un râle commun, nous nous libérons en même temps, déversant nos fluides d’amour, parcourus par des mouvements de bassin en parfaite synchronisation, nous permettant de savourer ô combien ! ce moment de bonheur partagé. C’est avec regrets que nous nous séparons pour ensuite nous embrasser avec fougue durant cinq bonnes minutes.
Quelques instants après, j’entends dans le hall de nuit quelqu’un passer devant la porte de ma chambre, je suppose que c’est maman. Je tourne la tête vers le réveil, non, ce n’est pas elle car il n’est que six heures quarante-trois. Puis quelques minutes plus tard, j’entends à nouveau des pas ; je me lève et en ouvrant la porte je vois que c’est Jean qui vient de repasser. Il sort des toilettes. Il est nu, tout comme moi. Il me voit et il vient vers moi. Il entre dans la chambre. Ben le salue. Puis je vois le visage de Jean qui s’illumine d’un large sourire, il dit alors :
Jea : « Oh là les gars, ça sent le fauve ici !
Moi : Tu crois ?
Jea : J’en suis sûr, vous n’avez pas fait que dormir me semble-t-il !
Ben : Tu ne crois pas si bien dire.
Jea : Petits cochons !
Moi : Tu ne fais pas mieux, je pense aussi que tu ne te prives pas de te faire du bien. »
Nous éclatons de rire tous les trois. C’est alors que Maman vient pour nous réveiller. Elle voit que nous sommes bien réveillés et en pleine forme. Jean retourne dans sa chambre. Ben et moi nous allons à la salle de bain et nous reprenons notre train-train quotidien. C’est notre troisième jour de travail qui va commencer.
Nous sommes comme d’habitude bien en avance devant la porte d’accès à l’arrière du magasin. Monsieur Bonjean vient juste d’arriver lui aussi. Il nous fait un large sourire. Il nous demande de faire comme la veille et qu’il en sera ainsi chaque jour. Nous nous mettons à la tâche en apportant notre aide aux autres employés en ce début de journée.
Durant cette matinée, je vois quelques personnes qui me reconnaissent. Elles viennent me saluer. A un moment je vois que Raphaël fait les courses avec sa maman, elle est en journée de récupération. Il vient me saluer de même que Ben qui passe près de nous avec un chariot rempli de boites de conserves à placer dans les rayons. Nous poursuivons notre tâche tout en parlant avec Raphaël, car nous ne pouvons pas rester sans rien faire et nous n’avons pas envie d’avoir des remarques particulières de la part du gérant.
Alors que Raphaël rejoint sa maman, j’entends une personne que j’avais déjà vue avec maman à la maison. Elles faisaient partie d’une association caritative du quartier. Cette dame parlait avec la maman de Raphaël en disant qu’elle trouvait que nous étions bien polis et serviables et que nous ne nous affichions pas devant la clientèle. Je savais qu’elle parlait du fait que nous étions gays. Comment le savait-elle, qui lui a révélé cela ? La maman de Raphaël lui répond, qu’elle est aussi, admirative et qu’elle considère que nous avons bien entendu notre place comme des jobistes et que notre vie privée n’avait pas à être divulguée. La dame s’est excusée d’avoir parlé à haute voix, car d’autres clients avaient bien compris qu’il s’agissait de nous. Je me suis senti mal, j’avais les joues en feu, j’avais peur d’une réaction de la part de quelqu’un. Puis d’un coup j’ai vu du blanc autour de moi !
Je me suis retrouvé à terre. Raphaël était penché sur moi et demandait de me laisser de l’air. Sa maman est allée directement chercher un coussin qui trainait dans la cantine pour me le mettre sous la tête. Ben est arrivé et n’osait pas s’approcher. Il se demandait ce qui m’était arrivé. C’est Raphaël qui lui a expliqué la situation. Monsieur Bonjean est arrivé lui aussi, avec un peu d’eau froide pour m’en mettre doucement sur les joues. Après cinq minutes, je me suis relevé. Le gérant m’a conduit à l’extérieur pour prendre l’air. Il me demande alors :
Bon : « Ça va mieux Phil, tu étais si blanc bien que tu eusses fort chaud.
Moi : Oui, ça va mieux. J’ai eu un étourdissement.
Bon : Mariette (la maman de Raphaël) m’a tout expliqué. Tu as eu une réaction face à une situation particulière. Je sais que toi et Benoît vous êtes gays et ensemble, cela ne me dérange pas. Tu sais que tu peux compter sur moi pour que tout se passe au mieux.
Moi : Merci monsieur, vous êtes gentil.
Bon : Je dois te dire que je vous trouve Benoît et toi d’excellents éléments, toujours à l’heure et en moins d’une demi-journée vous avez compris ce qu’il fallait faire, vous êtes très professionnels.
Moi : Merci Monsieur Bonjean.
Bon : Si ça va mieux, nous allons reprendre le boulot. Si tu veux boire un coup d’eau, n’hésite pas.
Moi : Merci. »
Nous reprenons notre travail. Raphaël vient me trouver et me demande si je vais mieux. Je lui dis que ça va. Les clients présents dans le magasin poursuivent leurs achats, certains parlent entre eux, mais je ne fais pas attention à ce qui se dit, je pense que ça vaut mieux, tant qu’on me laisse travailler tranquillement.
Je repense au cauchemar de cette nuit. En fait je me rends compte que Raphaël était là pour me venir en aide, il était fâché de voir qu’on puisse parler sur le dos de quelqu’un sur un sujet si personnel que son orientation sexuelle. Raph n’est pas homophobe, que du contraire, il sait que ce n’est pas évident pour un jeune qui est gay. Le fait d’être dans les vapes, c’est comme si j’avais été entravé, comme pieds et mains liés. Ai-je fait comme un rêve prémonitoire ? Je ne sais pas, mais toujours est-il que j’étais mal, couché sur le sol du magasin.
Il est maintenant midi, l’heure de la pause. Je rejoins Ben dans la cantine. Nous mangeons les sandwichs que maman nous a préparés. Les boissons sont à disposition vu la période de chaleur. Nous sommes rejoints par l’employé boucher, Michaël. Il me demande :
Mic : « Alors Phil, tu as fait un malaise ce matin, ça va mieux ?
Moi : Oui, ça va mieux, c’est passé.
Mic : C’est un peu embarrassant, heu, comment dire, j’ai entendu dire que vous étiez homos !
Moi : On ne va pas le nier, oui, Ben et moi nous sommes gays et nous nous aimons !
Mic : Je suis content pour vous, je vous souhaite d’être heureux.
Ben : Merci, c’est super sympa.
Mic : Vous savez, moi aussi je suis gay, mais je suis seul, j’ai eu une aventure qui s’est mal terminée !
Moi : Oh, mais tu trouveras sûrement ton âme sœur.
Mic : Merci, je sais que vous êtes supers les gars. Vous êtes les premiers étudiants aussi avenants, tant avec les clients qu’avec nous les employés.
Moi : Merci Mickaël, mais nous sommes toujours comme ça !
Mic : Je n’en doute pas. »
Nous finissons notre repas et nous allons prendre l’air à l’arrière du magasin avant de reprendre le travail.