14-10-2021, 02:59 PM
De retour au chalet nous en profitons pour nous dévêtir et plonger dans la piscine. Anne et Roger, ainsi qu’Adrien et Yang ont pris le pli et sont en plein accord avec leur corps, ils apprécient le fait d’être nus sans fausse pudeur. Je pense qu’ils vont poursuivre leur aventure naturiste après ce séjour. Il se pourrait bien que nous nous revoyons sur une plage naturiste au bord de l’océan.
Il va bientôt être temps de passer un moment dans le sauna qui est à température. Nous les jeunes, nous laissons d’abord la place à Anne et Roger alors que nous nous amusons dans la piscine. Ce n’est qu’un quart d’heure plus tard que nous allons dans la cabine surchauffée. Pendant que nous profitons des bienfaits du sauna, Anne et Roger s’activent pour la préparation du souper. Anne fait une omelette avec les œufs qui restent, tandis que Roger prépare un plateau avec les fromages et un autre avec les charcuteries. Le pain est placé dans la corbeille à pain et il sera coupé au fur et à mesure. Bien sûr le beurre de ferme est aussi placé sur la table.
Après une bonne douche nous les quatre jeunes nous nous habillons pour rejoindre les parents d’Adrien en vue du repas. Bien sûr Roger n’a pas oublié le vin, il a débouché deux bouteilles, l’une de blanc et l’autre de rouge.
Le repas est délicieux, toutes les denrées sont exceptionnelles car elles viennent de ce commerce alimentaire spécialisé de Munster où Roger les achetées. C’est un régal, nous savourons ce que nous mangeons.
Après ce succulent repas nous mettons de l’ordre dans la cuisine et la salle à manger. Pour le reste, nous verrons demain matin au moment de faire nos sacs de voyage, car nous quittons la chalet vers dix heures. Nous profitons du calme qui règne dans le chalet pour discuter entre nous. Roger nous propose de prendre un verre de vin car il en reste dans les bouteilles ouvertes pour le souper. C’est une très agréable soirée que nous partageons avec nos hôtes. Nous parlons de choses et d’autres mais bien plus de l’avenir et des échéances qui sont proches, tels que les révisions et les examens, ou encore les futures vacances.
Il se fait tard et il est plus que temps d’aller se coucher et de rejoindre le pays des rêves. Je pense bien que les deux amis, Adrien et Yang vont encore s’offrir quelques contacts rapprochés avant de dormir. Il va probablement en être de même pour Julien et moi. Nous saluons Anne et Roger et nous passons par la salle de bain.
Nous regagnons notre chambre et nous nous couchons sur le lit et nous embrassons. Inutile de dire que nos attributs sont dressés. Nous nous cajolons l’un l’autre pour notre plus grand plaisir. Nous poursuivons nos ébats mais chut ! pas besoin de préciser, nous savons y faire pour prodiguer beaucoup de belles sensations à l’être aimé. Je vous raconterais plus tard, ou pas !
Nous nous levons de bonne heure, il est sept heures un quart. Nous nous embrassons pour bien débuter cette journée. Nous entendons déjà du bruit dans le hall de nuit ainsi que dans la cuisine. Une bonne odeur de café vient titiller nos narines. Je pense bien que Roger est allé chercher du pain frais à la boulangerie et probablement des viennoiseries. Nous nous dépêchons et nous nous vêtons pour rejoindre les autres dans la salle à manger.
L’odeur de café se mêle maintenant à celles du chocolat chaud et des viennoiseries. La table est dressée, tout y est placé pour le plus grand bonheur des convives. Rien de tel qu’un bon petit-déjeuner pour entamer une bonne journée ! Les deux ados bayent encore aux corneilles, ils se sont plus que sûrement donné du plaisir avant de rejoindre les bras Morphée hier soir ! Pas de remarque ce matin, il faut dire que Juju et moi nous avons fait attention à ne pas être trop expansifs.
La camionnette est chargée, le chalet est rangé et nous sommes prêts à partir. La propriétaire vient nous saluer après avoir fait le tour de son bien. Tout est en ordre.
Nous quittons les Vosges vers neuf heures quarante, nous sommes en avance sur l’horaire qui a été fixé. Nous serons donc rentrés plus tôt. Le trajet se passe sans anicroche, la circulation est fluide à part notre passage par le Grand-Duché de Luxembourg où nous avons été ralentis par la présence de travaux. Nous arrivons vers quatorze heures à la maison.
Nous sommes accueillis par les deux filles. J’invite les parents d’Adrien à rentrer pour prendre une collation et les introduits dans le salon. Maman les salue et leurs propose de prendre une verre en guise d’apéritif. Une fois que tous les arrivants sont servis, papa porte un toast :
Papa : « À votre santé à tous et à l’amitié.
Rog : Merci, c’est effectivement l’amitié qui importe pour les quatre jeunes.
Papa : À l’amitié. »
Nous bavardons et racontons notre séjour dans ce chalet dans les Vosges. Nous y allons chacun de notre petite explication. Les filles écoutent et sont heureuses d’apprendre que le séjour était si profitable.
Maman invite Anne, Roger et les deux garçons à rester pour le repas. Elle propose de manger un bon plat de spaghetti. La proposition est acceptée à l’unanimité. Je savais que maman avait prévu de quoi manger, se doutant que nous aurions le ventre vide. Elle a tout préparé avec Delphine et Stéphanie. Papa va chercher deux bouteilles de Chianti pour boire pendant le repas. Les parents discutent entre eux tandis que nous, les jeunes, nous discutons entre nous. Adrien vois que les filles sont très proches et demande :
Adr : « Je ne sais pas si je peux vous poser une question les filles !
Del : Tu peux toujours Adrien, nous t’écoutons.
Adr : J’espère ne pas être indiscret, mais vous êtes ensemble, heu … comme Phil et Julien ?
Del : Que tu es bien observateur ! Oui tu as raison Stéphanie et moi sommes en couple comme nos frères.
Adr : C’est assez particulier, les frères et sœurs des deux familles qui sont en couples.
Sté : Je vois que toi aussi Adrien que tu es très attentif à Yang, je suppose que vous aussi vous êtes gays.
Yan : Oui, on ne peut rien vous cacher.
Del : Je trouve que vous êtes mignons tous les deux.
Moi : Tu vois ma chère sœur, nous avons eu l’occasion de rencontrer Yang, Adrien et ses parents lors de notre séjour dans les Fagnes. Nous avons découvert qu’ils étaient ensemble et nous leur avons prodigué des conseils pour ne pas devenir des cibles pour les homophobes de tous poils.
Adr : Oui, c’est vrai que vous avez été de bons conseils. Vous avez été pour nous comme des grands frères.
Del : Je m’en doute, connaissant Phil et Julien je sais qu’ils sont très ouverts aux autres et qu’ils sont attentifs pour tout ce qui a trait à l’homophobie tout comme nos parents d’ailleurs.
Adr : Phil nous en a déjà touché un mot. Puis en vous voyant aussi si bien dans votre peau, j’en suis conscient et je comprends encore mieux pourquoi nous sommes devenus « amis » avec vos frères.
Je vois qu’Adrien a les yeux qui s’humidifient, il se rend compte combien nous sommes devenus amis et que l’entente entre personnes différentes peut être porteuse de belles choses et que le fait de s’ouvrir aux autres apporte aussi un peu de bonheur, ne fusse qu’au niveau amitié.
Le repas se termine, nos invités sont ravis d’avoir passé un moment agréable à la maison. Nous sommes décidés à rester en contact et avons pris la décision de nous revoir lors des vacances d’été. Nous nous faisons tous la bise et nous nous promettons de nous donner des nouvelles.
Il va bientôt être temps de passer un moment dans le sauna qui est à température. Nous les jeunes, nous laissons d’abord la place à Anne et Roger alors que nous nous amusons dans la piscine. Ce n’est qu’un quart d’heure plus tard que nous allons dans la cabine surchauffée. Pendant que nous profitons des bienfaits du sauna, Anne et Roger s’activent pour la préparation du souper. Anne fait une omelette avec les œufs qui restent, tandis que Roger prépare un plateau avec les fromages et un autre avec les charcuteries. Le pain est placé dans la corbeille à pain et il sera coupé au fur et à mesure. Bien sûr le beurre de ferme est aussi placé sur la table.
Après une bonne douche nous les quatre jeunes nous nous habillons pour rejoindre les parents d’Adrien en vue du repas. Bien sûr Roger n’a pas oublié le vin, il a débouché deux bouteilles, l’une de blanc et l’autre de rouge.
Le repas est délicieux, toutes les denrées sont exceptionnelles car elles viennent de ce commerce alimentaire spécialisé de Munster où Roger les achetées. C’est un régal, nous savourons ce que nous mangeons.
Après ce succulent repas nous mettons de l’ordre dans la cuisine et la salle à manger. Pour le reste, nous verrons demain matin au moment de faire nos sacs de voyage, car nous quittons la chalet vers dix heures. Nous profitons du calme qui règne dans le chalet pour discuter entre nous. Roger nous propose de prendre un verre de vin car il en reste dans les bouteilles ouvertes pour le souper. C’est une très agréable soirée que nous partageons avec nos hôtes. Nous parlons de choses et d’autres mais bien plus de l’avenir et des échéances qui sont proches, tels que les révisions et les examens, ou encore les futures vacances.
Il se fait tard et il est plus que temps d’aller se coucher et de rejoindre le pays des rêves. Je pense bien que les deux amis, Adrien et Yang vont encore s’offrir quelques contacts rapprochés avant de dormir. Il va probablement en être de même pour Julien et moi. Nous saluons Anne et Roger et nous passons par la salle de bain.
Nous regagnons notre chambre et nous nous couchons sur le lit et nous embrassons. Inutile de dire que nos attributs sont dressés. Nous nous cajolons l’un l’autre pour notre plus grand plaisir. Nous poursuivons nos ébats mais chut ! pas besoin de préciser, nous savons y faire pour prodiguer beaucoup de belles sensations à l’être aimé. Je vous raconterais plus tard, ou pas !
Nous nous levons de bonne heure, il est sept heures un quart. Nous nous embrassons pour bien débuter cette journée. Nous entendons déjà du bruit dans le hall de nuit ainsi que dans la cuisine. Une bonne odeur de café vient titiller nos narines. Je pense bien que Roger est allé chercher du pain frais à la boulangerie et probablement des viennoiseries. Nous nous dépêchons et nous nous vêtons pour rejoindre les autres dans la salle à manger.
L’odeur de café se mêle maintenant à celles du chocolat chaud et des viennoiseries. La table est dressée, tout y est placé pour le plus grand bonheur des convives. Rien de tel qu’un bon petit-déjeuner pour entamer une bonne journée ! Les deux ados bayent encore aux corneilles, ils se sont plus que sûrement donné du plaisir avant de rejoindre les bras Morphée hier soir ! Pas de remarque ce matin, il faut dire que Juju et moi nous avons fait attention à ne pas être trop expansifs.
La camionnette est chargée, le chalet est rangé et nous sommes prêts à partir. La propriétaire vient nous saluer après avoir fait le tour de son bien. Tout est en ordre.
Nous quittons les Vosges vers neuf heures quarante, nous sommes en avance sur l’horaire qui a été fixé. Nous serons donc rentrés plus tôt. Le trajet se passe sans anicroche, la circulation est fluide à part notre passage par le Grand-Duché de Luxembourg où nous avons été ralentis par la présence de travaux. Nous arrivons vers quatorze heures à la maison.
Nous sommes accueillis par les deux filles. J’invite les parents d’Adrien à rentrer pour prendre une collation et les introduits dans le salon. Maman les salue et leurs propose de prendre une verre en guise d’apéritif. Une fois que tous les arrivants sont servis, papa porte un toast :
Papa : « À votre santé à tous et à l’amitié.
Rog : Merci, c’est effectivement l’amitié qui importe pour les quatre jeunes.
Papa : À l’amitié. »
Nous bavardons et racontons notre séjour dans ce chalet dans les Vosges. Nous y allons chacun de notre petite explication. Les filles écoutent et sont heureuses d’apprendre que le séjour était si profitable.
Maman invite Anne, Roger et les deux garçons à rester pour le repas. Elle propose de manger un bon plat de spaghetti. La proposition est acceptée à l’unanimité. Je savais que maman avait prévu de quoi manger, se doutant que nous aurions le ventre vide. Elle a tout préparé avec Delphine et Stéphanie. Papa va chercher deux bouteilles de Chianti pour boire pendant le repas. Les parents discutent entre eux tandis que nous, les jeunes, nous discutons entre nous. Adrien vois que les filles sont très proches et demande :
Adr : « Je ne sais pas si je peux vous poser une question les filles !
Del : Tu peux toujours Adrien, nous t’écoutons.
Adr : J’espère ne pas être indiscret, mais vous êtes ensemble, heu … comme Phil et Julien ?
Del : Que tu es bien observateur ! Oui tu as raison Stéphanie et moi sommes en couple comme nos frères.
Adr : C’est assez particulier, les frères et sœurs des deux familles qui sont en couples.
Sté : Je vois que toi aussi Adrien que tu es très attentif à Yang, je suppose que vous aussi vous êtes gays.
Yan : Oui, on ne peut rien vous cacher.
Del : Je trouve que vous êtes mignons tous les deux.
Moi : Tu vois ma chère sœur, nous avons eu l’occasion de rencontrer Yang, Adrien et ses parents lors de notre séjour dans les Fagnes. Nous avons découvert qu’ils étaient ensemble et nous leur avons prodigué des conseils pour ne pas devenir des cibles pour les homophobes de tous poils.
Adr : Oui, c’est vrai que vous avez été de bons conseils. Vous avez été pour nous comme des grands frères.
Del : Je m’en doute, connaissant Phil et Julien je sais qu’ils sont très ouverts aux autres et qu’ils sont attentifs pour tout ce qui a trait à l’homophobie tout comme nos parents d’ailleurs.
Adr : Phil nous en a déjà touché un mot. Puis en vous voyant aussi si bien dans votre peau, j’en suis conscient et je comprends encore mieux pourquoi nous sommes devenus « amis » avec vos frères.
Je vois qu’Adrien a les yeux qui s’humidifient, il se rend compte combien nous sommes devenus amis et que l’entente entre personnes différentes peut être porteuse de belles choses et que le fait de s’ouvrir aux autres apporte aussi un peu de bonheur, ne fusse qu’au niveau amitié.
Le repas se termine, nos invités sont ravis d’avoir passé un moment agréable à la maison. Nous sommes décidés à rester en contact et avons pris la décision de nous revoir lors des vacances d’été. Nous nous faisons tous la bise et nous nous promettons de nous donner des nouvelles.