07-08-2020, 02:11 PM
1ere ANNEE NOEL : (8/10) (Chez les De Bierne)
- (Aurélien regarde son frère indécis) Bouge-toi Guillaume tu connais les dons de « Flo » !!!
- (Pendant que Guillaume détale à toute vitesse, Maryse commence à pleurer voyant son mari devenir tout blanc) Ça va chéri ? Parle-moi !! (Elle se retourne vers Aurélien) Il faut appeler les urgences !! Tu ne vois pas qu’il se sent mal ?
- (Aurélien d’un ton qu’il ne se reconnaît pas lui-même) Faites-moi confiance !! Je sais parfaitement ce que je fais !!
Entre-temps Chloé qui a vu partir Guillaume en pyjama comme une fusée arrive en courant, elle voit la scène et comme Maryse pousse un cri de frayeur.
- Papy !!! Mon dieu qu’est-il arrivé ? Tu as mal ? (Elle se tourne vers Maryse affolée) Vous avez appelé les urgences ?
- (Aurélien qui commence à se demander s’il a bien fait) Florian va arriver !! Ça va aller ne vous en faites pas !!
- (Chloé suffoquée) Mais !! Que veux-tu qu’il fasse ? Il n’est pas encore médecin ? (Elle fonce vers le téléphone) J’appelle les secours !!!
- (Damien qui assiste depuis quelques minutes à la scène est livide mais il attrape Chloé au passage) Attendons « Flo » (voyant qu’elle ne va pas l’écouter) Pense à ta cicatrice !!
Chloé regarde le gamin qui lui retient le bras et qui paraît si confiant, revoit la scène avec Philippe sur la disparition de cette cicatrice qui aurait toujours dû se trouver là.
Le temps de tous ses palabres a été suffisant pour qu’un bruit de porte qui s’ouvre à la volée et l’arrivée d’un Florian le visage ravagé par l’inquiétude fasse diversion.
- (Aurélien soulagé) « Flo » ton grand-père est tombé et je crois qu’il souffre du dos.
Je m’agenouille près de lui et le regarde dans les yeux puis d’un sourire j’essaie de le rassurer.
- Ça va aller grand-père je suis là (Je me tourne vers Aurélien et Guillaume) Aidez-moi à le retourner et à l’allonger sur le tapis les gars.
Ceux-ci s’exécutent aussitôt et après lui avoir détaché sa ceinture et remonter son maillot, je crache dans mes mains et le masse à l’endroit précis où un énorme hématome se dessine sur ses reins. Plusieurs minutes passent ainsi où tous me voient alterner les crachats et les massages sur la zone douloureuse, mon grand-père reprend des couleurs au fur et à mesure que son mal s’estompe et que sa peau redevient comme avant l’accident.
La stupeur de ma grand-mère n’a d’égal que celle de mon amie qui reste sans voix regardant la transformation des expressions du visage de mon grand-père aux résultats de mes massages qui de douloureuses passent par la surprise et enfin la sérénité de se sentir bien.
- (Le voyant apaisé et souriant) Aller les gars aidez-moi à le relever !!
- (Voyant son mari qui refuse les mains tendues et qui se relève seul sans problème) Mais ce n’est pas possible !!!
- (Chloé dans le même état de stupeur) Eh bien ça alors !!! (Elle voit Aurélien Guillaume et Damien sourire) C’est tout l’effet que ça vous fait ?
- (Damien maintenant rassuré lui répond gaiement) Tu vois qu’il ne fallait pas s’inquiéter ? Tu as vu « docteur Flo » dans ses œuvres une nouvelle fois.
- (Maryse ne comprenant rien à ce qui arrive) « Docteur Flo » ? Quelqu’un pourrait-il m’expliquer s’il vous plaît ?
- (Michel sourire aux lèvres tenant enlacer son petit-fils depuis qu’il s’est remis debout) Philippe m’en avait touché quelques mots mais le voir c’est autre chose. (Il regarde sa femme) D’où crois-tu que tu tiens cette santé incroyable ?
- (Maryse incrédule) Je ne comprends pas ce que tu veux dire !!
- Rappelle-toi chérie, avant que Florian n’arrive chez nous après l’accident qui a tué nos enfants !! Tu aurais été bien incapable de traverser à pied le quartier sans que cela ne te pose de gros problèmes non ? Et dix-sept ans après regarde-toi ? Tu ne tiens pas en place, il faut toujours que tu t’actives tout le temps et pour moi je ne t’en parle même pas !! Alors ? Tu ne comprends toujours pas que ton petit-fils y est pour quelque chose ?
- Mais comment est-ce possible ?
- Philippe dit que c’est un « don » qu’il a reçu, ne m’en demande pas plus !! Pour le reste je suis comme toi, je constate que ça fonctionne c’est tout !! (Il s’approche de sa femme et de Chloé et les prend par le bras) Surtout il faut que ça reste entre nous. (Il regarde les trois garçons) Je vois que vous êtes au courant donc je n’ai pas besoin de vous demander d’en faire autant.
1ere ANNEE NOEL : (9/10) (Chez les Dufour)
La soirée bat son plein et l’ambiance est à la bonne humeur, le déballage des cadeaux a ravi tout le monde même s’ils sont restés simples et utiles. C’est vers trois heures du matin que chacun regagne sa chambre et que les garçons se retrouvent enfin seuls pour se souhaiter un joyeux noël à leurs façons.
Revenant de la douche et leurs serviettes nouées autour des reins, ils sont allongés sur le dos à contempler le plafond avec juste une petite lumière d’ambiance pour distinguer les objets de la pièce. Sans se concerter, ils n’ont pas du tout envie de dormir et ils pensent tous les deux à peu près à la même chose.
Jusqu’à maintenant et bien que ça puisse paraître étonnant de leurs parts, ils n’ont encore pas fait l’amour jusqu'à l’acte final. Ils ne se sentaient pas prêt mais ce soir ils y pensent mais ne savent comment le dire craignant d’effrayer l’autre s’il n’y est encore pas décidé.
Leurs regards se croisent et voyant ça, ils commencent à ricaner sachant bien qu’ils ne vont pas tenir longtemps encore avant de commencer à s’exciter mais ils jouent le jeu et essaient de résister espérant chacun que c’est l’autre qui craquera le premier.
Sébastien se mordille les lèvres sentant bien qu’il ne va plus tenir car ce qu’il voit se redresser fièrement encore caché par la serviette de bain lui donne chaud partout. La réciproque évidemment est de mise et le chapiteau que fait la sienne ne laisse pas la place au doute.
Sylvain en est au même point que son ami et il résiste au besoin que sa main éprouve à aller soulever le drap de bain pour s’occuper de la chose tant désirée tapie en dessous. Les visages changent, l’amusement fait place rapidement à l’excitation et au désir.
Dans un parfait accord leurs têtes s’attirent et leurs lèvres se scellent annonçant le début des « hostilités », Sébastien frissonne quand il sent une main chaude se poser hardiment sur sa cuisse et remonter dans une caresse lancinante vers son sexe tendu et déjà tout humide. Au lieu de venir le prendre en main comme il s’y attendait, il marque un instant de surprise quand il la sent dévier de sa trajectoire habituelle et se diriger lentement mais fermement vers le sillon encore vierge qui abrite comme un trésor son anneau que personne encore à part lui n’a jamais touché.
Les doigts de Sylvain s’enfoncent résolument entre les deux excroissances douces comme une peau de pêche et massent délicieusement autour de l’entrée tant convoitée qu’il sent palpiter par les afflux de sang qu’envoie le cœur affolé de Sébastien. La tentation est trop grande et comme en plus il se voit encourager quand son amant écarte de lui-même ses cuisses pour lui confirmer son acceptation, son majeur appuie et pénètre doucement cette rosette qui l’enserre et palpite lui donnant des sensations exquises au bout du doigt.
Sébastien reçoit ses caresses avec un plaisir manifeste, les petits gémissements qui sortent en continu de sa gorge rendent fou Sylvain qui quitte doucement ses lèvres et parsème de petits coups de langues le corps imberbe et musclé qui s’abandonne totalement à lui. Le temps se fige tant le plaisir du jumeau est grand, ses poils se dressent et sa peau lui envoie des milliers de petites aiguilles délicieuses qui le font se pâmer et tétanisent ses muscles au fur et à mesure de l’avancée des caresses de son ami sur son corps.
Sylvain reste maître de lui malgré tout et lentement arrive vers son but final, sa langue exploratrice arrive entre les cuisses maintenant entièrement écartées et explore ce sillon lisse et doux qui frémit à chaque lapement de celle-ci. La corolle que son doigt avait continué à pénétrer doucement et maintenant à quelques centimètres de sa bouche qui remplace avidement son majeur laissant sa main se contenter maintenant de venir écarter au maximum ce magnifique fessier qui subit alors les assauts gourmands d’une bouche chaude qui assouplit cette magnifique entrée la préparant au mieux à recevoir son bâton de vie qui palpite de désir et d’impatience.
Sentant son ami dans un état second entièrement submergé par l’excitation et le plaisir des caresses qu’il lui prodigue, Sylvain remonte doucement reprendre les lèvres de Sébastien en lui soulevant doucement les cuisses, le creux de ses genoux posé sur ses épaules amenant son sexe devant l’entrée tant convoitée. Son gland entre en contact avec la rosette restée entre-ouverte et doucement pénètre à l’intérieur jusqu’à ce qu’il soit aspiré et qu’il sente les muscles internes se refermer tout autour comme dans une gangue délicieuse et d’une douceur extrême.
Sébastien ressent une chaleur énorme qui lui submerge les sens, la confiance en son ami lui a évité l’appréhension de cette première pénétration et c’est avec un réel plaisir qu’il sent son membre l’emplir petit à petit jusqu’à ce qu’enfin il soit entièrement en lui son pubis butant contre ses bourses dans un délicieux frôlement de sa toison contre la peau tendre de celles-ci.
Sylvain commence doucement à aller et venir dans cet étui accueillant qui enserre son sexe d’une façon si merveilleuse, il ressent également la chaleur qui monte d’une façon vertigineuse et son corps ne lui obéissant plus s’active maintenant dans un coït puissant l’amenant rapidement à un orgasme sans précédent qui le cloue au plus profond de son compagnon libérant sa sève en jets brefs et puissants déclenchant celui de Sébastien qui gémit submergé par un plaisir intense en envoyant le fruit de son bonheur si loin que son visage s’en trouve parsemé.
1ere ANNEE NOEL : (10/10) (Chez les Lemon)
Pour la première fois depuis plus d’un an, Alexie sourit en se rasant. Avec toutes ses cloques sur les joues ce n’est pas une chose aisée à réaliser mais ce matin il le fait de bon cœur en chantonnant de gaieté. Maintenant c’est officiel, il a un petit ami et la soirée d’hier a été enchanteresse pour lui le voyant sans cesse le couver comme la chose la plus précieuse au monde.
Il a déjà connu les regards d’envie que portaient sur lui les garçons et les filles qu’il croisait quand il avait quatorze-quinze ans, mais jamais avec cette intensité particulière qu’il a lue dans les yeux de Marc. Il rit car ils font un couple pour le moins atypique, entre ce beau brun aux yeux vert mais dont les os apparaissent derrière ce corps si fin, presque squelettique et lui du haut de ses un mètre soixante-quinze (comme Marc d’ailleurs) ses yeux gris surmontés d’une coupe en brosse châtain clair et au visage attaqué par cette plaie qui fait le malheur des ados qui en sont atteints.
Pourtant son corps musclé à la poitrine et aux abdos saillant attire toujours autant l’attention jusqu’à ce que les regards s’attardent sur sa tête et qu’ils se détournent cachant mal la répulsion qu’il inspire. Flavien lui a dit que ce n’était qu’une étape à passer mais il trouve le temps long et ne voit poindre aucune amélioration malgré les différents traitements que ses parents lui ont fait faire.
Mais bon !! Un garçon a vu au-delà de cette façade et lui a avoué qu’il l’aimait, lui aussi l’aime car le coup de cœur ressenti lors de leur première rencontre a été réciproque et l’impatience qu’ils ont eue à se retrouver chaque jour en est une preuve manifeste.
Marc est levé depuis déjà un bon moment et déjeune tranquillement avec les parents de Flavien qui le regardent amusés voyant bien l’état d’amoureux transit que son visage dégage déjà sitôt levé.
- (Henriette apprécie beaucoup le garçon assis devant elle, sa gentillesse les a conquis dès le premier jour. D’ailleurs il n’y a pas à se tromper, il suffit de voir comment Ludovic s’est pris aussitôt d’amitié avec lui) Je connais bien cette expression (Elle rit doucement) C’est celle d’un garçon amoureux et j’ai vu la même sur le visage de mon neveu ce qui me ferait penser qu’il y aurait certainement un rapport de cause à effet, je me trompe ?
- (En rougissant jusqu’aux oreilles) Non !!!
- (Elle remarque sa gêne) Tu n’as pas à en rougir tu sais !! Ce genre de chose vous tombe dessus sans crier gare et ce n’est pas parce que vous êtes deux garçons qu’il faut en avoir honte. Aimer une personne est une chose rare qu’il ne faut pas passer car il n’est jamais certain qu’elle se reproduise un jour.
- (Bastien levant les yeux de son journal en souriant) Ce qui est étonnant c’est que tu as vu en lui en dehors de son aspect physique qui pour le moment n’est pas à son avantage. Son père et moi-même en avons été également affectés pendant notre adolescence et regarde maintenant (Il rit) de vrais apollons !!! (Il voit le regard moqueur de sa femme) Quoi !! Ose dire le contraire ?
- (Sa femme les yeux pétillants de malices) Bonjour les chevilles !!! (Elle redevient sérieuse) Mais c’est vrai que ça va lui passer et il redeviendra le beau garçon amitieux et souriant que j’ai connu il n’y a pas si longtemps.
- (Marc rassuré de l’acceptation du couple pour ce qu’il éprouve envers leur neveu) Je ne dois pas le voir comme vous alors !! Pour moi il est le plus beau et ses yeux !! Vous avez vu ses yeux ? D’un gris si particulier que quand il vous fixe vous vous noyez dedans !
- (Bastien sincère) Il n’y a pas à dire mon garçon tu as trouvé la personne qui te convient, fais en sorte de le garder si tu sens qu’il peut faire ton bonheur.
- (Henriette surprise des paroles de son homme) Bastien a raison et ne t’inquiète pas pour Alexie, je suis sûr qu’il éprouve la même chose.
- (Marc ému) Vous êtes formidable de m’accepter comme ça, j’espère qu’il en sera de même de ses parents, j’espère également qu’Alexie aura le courage de m’attendre car ça ne va pas être évident dans les années qui viennent avec nos études et le fait de vivre aussi loin.
- (Henriette amicale) Pour ses parents ne te fais pas de soucis, ils ont bien remarqué hier que vous n’étiez pas que de simples amis. Pour le reste si vous vous aimez comme je le crois, la vie j’en suis sûre fera en sorte que vous puissiez vous retrouver quand le moment sera venu pour vous d’être ensemble. Et puis !! Vous n’êtes pas si éloignés que ça et il y a les vacances !! Tu sais que tu seras toujours le bienvenu chez nous et chez Alexie aussi j’en mettrais ma main à couper.
- (Bastien amusé devant la diatribe de sa compagne) Heu chérie !! Tu ne pourrais pas plutôt mettre ta langue à couper au cas où !!! J’ai besoin de tes mains moi, ne serait-ce que pour le ménage et la cuisine.
Ils rient tous les trois de bon cœur et Bastien reçoit un torchon en plein visage en guise de réponse. C’est le moment où Flavien et Ludovic entrent dans la pièce et sourient de voir l’ambiance qui y règne. Le temps de faire la bise à tout le monde que déjà « Ludo » se retrouve sur les genoux de Marc avec un sourire espiègle.
- Tu n’oublieras pas de m’apprendre la formule magique hein !! Tu me l’as promis, rappelle-toi.
- (Son père amusé) Mais de quoi tu parles mon grand ?
- Marc a une formule magique qui chasse les dragons et il a promis de me l’apprendre pour que je puisse dormir tranquillement dans ma chambre
- (Henriette souriante) C’est vrai ?
- (Marc très sérieux en apparence) Oh oui !! Et heureusement que je l’ai apprise par cœur vous savez sinon je ne serai pas ici à en parler avec vous.
- (Ludovic naïf) Tu serais où ?
- (En riant) Transformer en grosse crotte après qu’il m’ait mangé tout cru.
- (Aurélien regarde son frère indécis) Bouge-toi Guillaume tu connais les dons de « Flo » !!!
- (Pendant que Guillaume détale à toute vitesse, Maryse commence à pleurer voyant son mari devenir tout blanc) Ça va chéri ? Parle-moi !! (Elle se retourne vers Aurélien) Il faut appeler les urgences !! Tu ne vois pas qu’il se sent mal ?
- (Aurélien d’un ton qu’il ne se reconnaît pas lui-même) Faites-moi confiance !! Je sais parfaitement ce que je fais !!
Entre-temps Chloé qui a vu partir Guillaume en pyjama comme une fusée arrive en courant, elle voit la scène et comme Maryse pousse un cri de frayeur.
- Papy !!! Mon dieu qu’est-il arrivé ? Tu as mal ? (Elle se tourne vers Maryse affolée) Vous avez appelé les urgences ?
- (Aurélien qui commence à se demander s’il a bien fait) Florian va arriver !! Ça va aller ne vous en faites pas !!
- (Chloé suffoquée) Mais !! Que veux-tu qu’il fasse ? Il n’est pas encore médecin ? (Elle fonce vers le téléphone) J’appelle les secours !!!
- (Damien qui assiste depuis quelques minutes à la scène est livide mais il attrape Chloé au passage) Attendons « Flo » (voyant qu’elle ne va pas l’écouter) Pense à ta cicatrice !!
Chloé regarde le gamin qui lui retient le bras et qui paraît si confiant, revoit la scène avec Philippe sur la disparition de cette cicatrice qui aurait toujours dû se trouver là.
Le temps de tous ses palabres a été suffisant pour qu’un bruit de porte qui s’ouvre à la volée et l’arrivée d’un Florian le visage ravagé par l’inquiétude fasse diversion.
- (Aurélien soulagé) « Flo » ton grand-père est tombé et je crois qu’il souffre du dos.
Je m’agenouille près de lui et le regarde dans les yeux puis d’un sourire j’essaie de le rassurer.
- Ça va aller grand-père je suis là (Je me tourne vers Aurélien et Guillaume) Aidez-moi à le retourner et à l’allonger sur le tapis les gars.
Ceux-ci s’exécutent aussitôt et après lui avoir détaché sa ceinture et remonter son maillot, je crache dans mes mains et le masse à l’endroit précis où un énorme hématome se dessine sur ses reins. Plusieurs minutes passent ainsi où tous me voient alterner les crachats et les massages sur la zone douloureuse, mon grand-père reprend des couleurs au fur et à mesure que son mal s’estompe et que sa peau redevient comme avant l’accident.
La stupeur de ma grand-mère n’a d’égal que celle de mon amie qui reste sans voix regardant la transformation des expressions du visage de mon grand-père aux résultats de mes massages qui de douloureuses passent par la surprise et enfin la sérénité de se sentir bien.
- (Le voyant apaisé et souriant) Aller les gars aidez-moi à le relever !!
- (Voyant son mari qui refuse les mains tendues et qui se relève seul sans problème) Mais ce n’est pas possible !!!
- (Chloé dans le même état de stupeur) Eh bien ça alors !!! (Elle voit Aurélien Guillaume et Damien sourire) C’est tout l’effet que ça vous fait ?
- (Damien maintenant rassuré lui répond gaiement) Tu vois qu’il ne fallait pas s’inquiéter ? Tu as vu « docteur Flo » dans ses œuvres une nouvelle fois.
- (Maryse ne comprenant rien à ce qui arrive) « Docteur Flo » ? Quelqu’un pourrait-il m’expliquer s’il vous plaît ?
- (Michel sourire aux lèvres tenant enlacer son petit-fils depuis qu’il s’est remis debout) Philippe m’en avait touché quelques mots mais le voir c’est autre chose. (Il regarde sa femme) D’où crois-tu que tu tiens cette santé incroyable ?
- (Maryse incrédule) Je ne comprends pas ce que tu veux dire !!
- Rappelle-toi chérie, avant que Florian n’arrive chez nous après l’accident qui a tué nos enfants !! Tu aurais été bien incapable de traverser à pied le quartier sans que cela ne te pose de gros problèmes non ? Et dix-sept ans après regarde-toi ? Tu ne tiens pas en place, il faut toujours que tu t’actives tout le temps et pour moi je ne t’en parle même pas !! Alors ? Tu ne comprends toujours pas que ton petit-fils y est pour quelque chose ?
- Mais comment est-ce possible ?
- Philippe dit que c’est un « don » qu’il a reçu, ne m’en demande pas plus !! Pour le reste je suis comme toi, je constate que ça fonctionne c’est tout !! (Il s’approche de sa femme et de Chloé et les prend par le bras) Surtout il faut que ça reste entre nous. (Il regarde les trois garçons) Je vois que vous êtes au courant donc je n’ai pas besoin de vous demander d’en faire autant.
1ere ANNEE NOEL : (9/10) (Chez les Dufour)
La soirée bat son plein et l’ambiance est à la bonne humeur, le déballage des cadeaux a ravi tout le monde même s’ils sont restés simples et utiles. C’est vers trois heures du matin que chacun regagne sa chambre et que les garçons se retrouvent enfin seuls pour se souhaiter un joyeux noël à leurs façons.
Revenant de la douche et leurs serviettes nouées autour des reins, ils sont allongés sur le dos à contempler le plafond avec juste une petite lumière d’ambiance pour distinguer les objets de la pièce. Sans se concerter, ils n’ont pas du tout envie de dormir et ils pensent tous les deux à peu près à la même chose.
Jusqu’à maintenant et bien que ça puisse paraître étonnant de leurs parts, ils n’ont encore pas fait l’amour jusqu'à l’acte final. Ils ne se sentaient pas prêt mais ce soir ils y pensent mais ne savent comment le dire craignant d’effrayer l’autre s’il n’y est encore pas décidé.
Leurs regards se croisent et voyant ça, ils commencent à ricaner sachant bien qu’ils ne vont pas tenir longtemps encore avant de commencer à s’exciter mais ils jouent le jeu et essaient de résister espérant chacun que c’est l’autre qui craquera le premier.
Sébastien se mordille les lèvres sentant bien qu’il ne va plus tenir car ce qu’il voit se redresser fièrement encore caché par la serviette de bain lui donne chaud partout. La réciproque évidemment est de mise et le chapiteau que fait la sienne ne laisse pas la place au doute.
Sylvain en est au même point que son ami et il résiste au besoin que sa main éprouve à aller soulever le drap de bain pour s’occuper de la chose tant désirée tapie en dessous. Les visages changent, l’amusement fait place rapidement à l’excitation et au désir.
Dans un parfait accord leurs têtes s’attirent et leurs lèvres se scellent annonçant le début des « hostilités », Sébastien frissonne quand il sent une main chaude se poser hardiment sur sa cuisse et remonter dans une caresse lancinante vers son sexe tendu et déjà tout humide. Au lieu de venir le prendre en main comme il s’y attendait, il marque un instant de surprise quand il la sent dévier de sa trajectoire habituelle et se diriger lentement mais fermement vers le sillon encore vierge qui abrite comme un trésor son anneau que personne encore à part lui n’a jamais touché.
Les doigts de Sylvain s’enfoncent résolument entre les deux excroissances douces comme une peau de pêche et massent délicieusement autour de l’entrée tant convoitée qu’il sent palpiter par les afflux de sang qu’envoie le cœur affolé de Sébastien. La tentation est trop grande et comme en plus il se voit encourager quand son amant écarte de lui-même ses cuisses pour lui confirmer son acceptation, son majeur appuie et pénètre doucement cette rosette qui l’enserre et palpite lui donnant des sensations exquises au bout du doigt.
Sébastien reçoit ses caresses avec un plaisir manifeste, les petits gémissements qui sortent en continu de sa gorge rendent fou Sylvain qui quitte doucement ses lèvres et parsème de petits coups de langues le corps imberbe et musclé qui s’abandonne totalement à lui. Le temps se fige tant le plaisir du jumeau est grand, ses poils se dressent et sa peau lui envoie des milliers de petites aiguilles délicieuses qui le font se pâmer et tétanisent ses muscles au fur et à mesure de l’avancée des caresses de son ami sur son corps.
Sylvain reste maître de lui malgré tout et lentement arrive vers son but final, sa langue exploratrice arrive entre les cuisses maintenant entièrement écartées et explore ce sillon lisse et doux qui frémit à chaque lapement de celle-ci. La corolle que son doigt avait continué à pénétrer doucement et maintenant à quelques centimètres de sa bouche qui remplace avidement son majeur laissant sa main se contenter maintenant de venir écarter au maximum ce magnifique fessier qui subit alors les assauts gourmands d’une bouche chaude qui assouplit cette magnifique entrée la préparant au mieux à recevoir son bâton de vie qui palpite de désir et d’impatience.
Sentant son ami dans un état second entièrement submergé par l’excitation et le plaisir des caresses qu’il lui prodigue, Sylvain remonte doucement reprendre les lèvres de Sébastien en lui soulevant doucement les cuisses, le creux de ses genoux posé sur ses épaules amenant son sexe devant l’entrée tant convoitée. Son gland entre en contact avec la rosette restée entre-ouverte et doucement pénètre à l’intérieur jusqu’à ce qu’il soit aspiré et qu’il sente les muscles internes se refermer tout autour comme dans une gangue délicieuse et d’une douceur extrême.
Sébastien ressent une chaleur énorme qui lui submerge les sens, la confiance en son ami lui a évité l’appréhension de cette première pénétration et c’est avec un réel plaisir qu’il sent son membre l’emplir petit à petit jusqu’à ce qu’enfin il soit entièrement en lui son pubis butant contre ses bourses dans un délicieux frôlement de sa toison contre la peau tendre de celles-ci.
Sylvain commence doucement à aller et venir dans cet étui accueillant qui enserre son sexe d’une façon si merveilleuse, il ressent également la chaleur qui monte d’une façon vertigineuse et son corps ne lui obéissant plus s’active maintenant dans un coït puissant l’amenant rapidement à un orgasme sans précédent qui le cloue au plus profond de son compagnon libérant sa sève en jets brefs et puissants déclenchant celui de Sébastien qui gémit submergé par un plaisir intense en envoyant le fruit de son bonheur si loin que son visage s’en trouve parsemé.
1ere ANNEE NOEL : (10/10) (Chez les Lemon)
Pour la première fois depuis plus d’un an, Alexie sourit en se rasant. Avec toutes ses cloques sur les joues ce n’est pas une chose aisée à réaliser mais ce matin il le fait de bon cœur en chantonnant de gaieté. Maintenant c’est officiel, il a un petit ami et la soirée d’hier a été enchanteresse pour lui le voyant sans cesse le couver comme la chose la plus précieuse au monde.
Il a déjà connu les regards d’envie que portaient sur lui les garçons et les filles qu’il croisait quand il avait quatorze-quinze ans, mais jamais avec cette intensité particulière qu’il a lue dans les yeux de Marc. Il rit car ils font un couple pour le moins atypique, entre ce beau brun aux yeux vert mais dont les os apparaissent derrière ce corps si fin, presque squelettique et lui du haut de ses un mètre soixante-quinze (comme Marc d’ailleurs) ses yeux gris surmontés d’une coupe en brosse châtain clair et au visage attaqué par cette plaie qui fait le malheur des ados qui en sont atteints.
Pourtant son corps musclé à la poitrine et aux abdos saillant attire toujours autant l’attention jusqu’à ce que les regards s’attardent sur sa tête et qu’ils se détournent cachant mal la répulsion qu’il inspire. Flavien lui a dit que ce n’était qu’une étape à passer mais il trouve le temps long et ne voit poindre aucune amélioration malgré les différents traitements que ses parents lui ont fait faire.
Mais bon !! Un garçon a vu au-delà de cette façade et lui a avoué qu’il l’aimait, lui aussi l’aime car le coup de cœur ressenti lors de leur première rencontre a été réciproque et l’impatience qu’ils ont eue à se retrouver chaque jour en est une preuve manifeste.
Marc est levé depuis déjà un bon moment et déjeune tranquillement avec les parents de Flavien qui le regardent amusés voyant bien l’état d’amoureux transit que son visage dégage déjà sitôt levé.
- (Henriette apprécie beaucoup le garçon assis devant elle, sa gentillesse les a conquis dès le premier jour. D’ailleurs il n’y a pas à se tromper, il suffit de voir comment Ludovic s’est pris aussitôt d’amitié avec lui) Je connais bien cette expression (Elle rit doucement) C’est celle d’un garçon amoureux et j’ai vu la même sur le visage de mon neveu ce qui me ferait penser qu’il y aurait certainement un rapport de cause à effet, je me trompe ?
- (En rougissant jusqu’aux oreilles) Non !!!
- (Elle remarque sa gêne) Tu n’as pas à en rougir tu sais !! Ce genre de chose vous tombe dessus sans crier gare et ce n’est pas parce que vous êtes deux garçons qu’il faut en avoir honte. Aimer une personne est une chose rare qu’il ne faut pas passer car il n’est jamais certain qu’elle se reproduise un jour.
- (Bastien levant les yeux de son journal en souriant) Ce qui est étonnant c’est que tu as vu en lui en dehors de son aspect physique qui pour le moment n’est pas à son avantage. Son père et moi-même en avons été également affectés pendant notre adolescence et regarde maintenant (Il rit) de vrais apollons !!! (Il voit le regard moqueur de sa femme) Quoi !! Ose dire le contraire ?
- (Sa femme les yeux pétillants de malices) Bonjour les chevilles !!! (Elle redevient sérieuse) Mais c’est vrai que ça va lui passer et il redeviendra le beau garçon amitieux et souriant que j’ai connu il n’y a pas si longtemps.
- (Marc rassuré de l’acceptation du couple pour ce qu’il éprouve envers leur neveu) Je ne dois pas le voir comme vous alors !! Pour moi il est le plus beau et ses yeux !! Vous avez vu ses yeux ? D’un gris si particulier que quand il vous fixe vous vous noyez dedans !
- (Bastien sincère) Il n’y a pas à dire mon garçon tu as trouvé la personne qui te convient, fais en sorte de le garder si tu sens qu’il peut faire ton bonheur.
- (Henriette surprise des paroles de son homme) Bastien a raison et ne t’inquiète pas pour Alexie, je suis sûr qu’il éprouve la même chose.
- (Marc ému) Vous êtes formidable de m’accepter comme ça, j’espère qu’il en sera de même de ses parents, j’espère également qu’Alexie aura le courage de m’attendre car ça ne va pas être évident dans les années qui viennent avec nos études et le fait de vivre aussi loin.
- (Henriette amicale) Pour ses parents ne te fais pas de soucis, ils ont bien remarqué hier que vous n’étiez pas que de simples amis. Pour le reste si vous vous aimez comme je le crois, la vie j’en suis sûre fera en sorte que vous puissiez vous retrouver quand le moment sera venu pour vous d’être ensemble. Et puis !! Vous n’êtes pas si éloignés que ça et il y a les vacances !! Tu sais que tu seras toujours le bienvenu chez nous et chez Alexie aussi j’en mettrais ma main à couper.
- (Bastien amusé devant la diatribe de sa compagne) Heu chérie !! Tu ne pourrais pas plutôt mettre ta langue à couper au cas où !!! J’ai besoin de tes mains moi, ne serait-ce que pour le ménage et la cuisine.
Ils rient tous les trois de bon cœur et Bastien reçoit un torchon en plein visage en guise de réponse. C’est le moment où Flavien et Ludovic entrent dans la pièce et sourient de voir l’ambiance qui y règne. Le temps de faire la bise à tout le monde que déjà « Ludo » se retrouve sur les genoux de Marc avec un sourire espiègle.
- Tu n’oublieras pas de m’apprendre la formule magique hein !! Tu me l’as promis, rappelle-toi.
- (Son père amusé) Mais de quoi tu parles mon grand ?
- Marc a une formule magique qui chasse les dragons et il a promis de me l’apprendre pour que je puisse dormir tranquillement dans ma chambre
- (Henriette souriante) C’est vrai ?
- (Marc très sérieux en apparence) Oh oui !! Et heureusement que je l’ai apprise par cœur vous savez sinon je ne serai pas ici à en parler avec vous.
- (Ludovic naïf) Tu serais où ?
- (En riant) Transformer en grosse crotte après qu’il m’ait mangé tout cru.
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=71.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 3
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
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