12-10-2021, 04:37 PM
Nous rentrons à la maison, fourbus après cette journée de travail. Maman est déjà là. Jean et Anne sont aussi présents. Nous avons à peine le temps de prendre place autour de la table de la cuisine que nous sommes tous les deux bombardés de questions. Nous racontons à tour de rôle notre journée. Nous buvons un grand verre de limonade orange tout en mangeant un petit gâteau que maman a rapporté de la pâtisserie.
Nous décidons Ben et moi d’aller prendre une bonne douche et de nous mettre à l’aise pour le souper. Nous nous déshabillons dans ma chambre et ensuite direction salle de bain pour une douche salvatrice. En effet nous sentons la transpiration. Nous mettons les tee-shirts dans le bac à linge ainsi que les slips. L’eau à bonne température, soit entre tiède et un peu chaude nous redonne un peu de peps. Nous nous savonnons mutuellement ce qui nous fait de l’effet et nos anatomies se sont gorgées de sang. Il n’en faut pas plus pour que je me mette à genou devant Ben pour enfourner délicatement son pénis dont le gland est déjà pratiquement sorti de son prépuce. Je m’attarde donc à sucer son sucre d’orge déjà bien dur. Ma langue et mes lèvres se déplacent le long de cette tige gorgée de sang. Je vois que Ben ferme les yeux et se laisse faire. Il laisse s’échapper quelques petits râles de satisfaction. Je m’applique donc à lui donner bien du plaisir, son gland est littéralement pris en sandwich par ma langue, je goûte déjà un peu de sécrétion qui s’écoule du son méat. Je poursuis mon travail délicat le long de cette barre de chair, barre qui prend d’ailleurs de plus en plus d’ampleur, elle est à sa taille maximum. Ben râle de plus en plus, je sais qu’il va arriver au point de non-retour, au moment où sa sève va prendre la direction du fond de mon palais. Je sens que Ben se raidit un peu, signe que l’explosion est imminente, effectivement, il laisse des jets de sperme partir dans ma bouche. Je sens qu’il a du mal à se tenir debout, ses genoux fléchissent un peu quand il émet des « je t’aime ». Je laisse Ben se mettre à genou pour qu’il récupère.
Après quelques minutes, c’est au tour de Ben de s’occuper de moi, de mon anatomie qui est déjà bien « en forme ». Le méat de mon gland suinte déjà, mon corps sait qu’il va connaître un très bon moment de bonheur. Ben place ses lèvres devant mon pénis, il ouvre la bouche et il avale littéralement mon appendice de plaisir. Le gland touche le fond de sa gorge, ensuite Ben me prodigue des sensations bien délicates. Puis laissant mon sexe ressortir de ses lèvres, il lèche alors celui-ci allant de sa base jusqu’au gland et de même dans l’autre sens. Il caresse mes bourses, sa langue les lèche, ce qui me procure des frissons. Puis il en met la moitié dans sa bouche et la fait rouler sur sa langue. Ben reprend ensuite la fellation et me fait monter au ciel, je râle de bonheur, les sensations sont magiques, je suis comme en dehors du temps, comme sur un nuage. Puis à ce rythme-là, je ne vais pas tarder à décharger ma semence. Mon ventre devient de plus en plus chaud, j’apprécie au plus haut point, celle qui précède la montée du sperme dans ma colonne de chair et de sang. Enfin, comme ivre de bonheur, je lâche « la purée » dans la bouche de Ben par jets saccadés et abondants. Il tousse un peu, mais en avale une bonne partie. Je me retiens au mur de la douche pour ne pas tomber tellement c’est prenant. Une fois remis de mes émotions, Ben m’embrasse et partage un peu de mon sperme qu’il a encore dans la bouche. Notre baiser terminé, je lui dis : « Je t’aime Ben ». Comme seule réponse, il m’embrasse à nouveau.
Nous terminons notre douche, les yeux remplis d’étoiles. Une fois séchés, nous regagnons la chambre pour enfiler un short. Nous descendons pour aller manger avec le reste de la famille. Nous soupons de bon appétit : cette journée à bouger dans tous les sens nous a donné faim. Nous buvons de l’eau avec un trait de grenadine. Comme dessert, nous avons droit à des abricots bien mûrs. Nous restons encore quelques minutes en famille puis nous nous mettons à bâiller. Nous saluons tout le monde et nous remontons dans la chambre pour nous mettre au lit.
Une fois installés sur le lit, nous échangeons un petit bisou sur la bouche, accompagné de « bonne nuit » et de « je t’aime » pour enfin tomber dans les bras l’un de l’autre, mais aussi dans les bras de Morphée. Il faut dire que nous sommes assez fatigués après cette première journée de travail. Je suis certain que dans deux jours nous serons habitués et que nous pourrons alors passer la soirée avec les autres membres de la famille.
La nuit fut très calme, il a fait assez chaud et nous avons dormi au-dessus des draps. Comme la veille, c’est maman qui est venue nous réveiller vers sept heures quinze. Elle nous a laissé dormir un peu plus longtemps, nous avions envisagé de nous lever vers sept heures. Maman affiche un large sourire, elle sait que les ados ont régulièrement la gaule le matin et souvent quand c’est le moment de se lever. Nous passons vite à la salle de bain pour nous rafraîchir. Nous nous vêtons d’un pantalon car nous sommes régulièrement à genoux pour réapprovisionner le bas des rayonnages.
Le petit-déjeuner est avalé, du café pour se mettre en forme et cette fois trois tranches de pain beurrées avec de la confiture. Nous quittons la maison sur nos vélos, direction le magasin, nous sommes. Arrivée à sept heures cinquante-trois. Monsieur Bonjean est ravi de voir que nous sommes bien à l’heure. Il nous détaille les tâches à accomplir durant la matinée. Nous avons assez de travail, nous sommes séparés la plupart du temps. Je suis au rayon légumes et je donne un coup de main à l’employé de ce département. Ben, quant à lui, s’occupe du rayon pains et autres pâtisseries ainsi que du rayon crèmerie où il faut vérifier les dates-limites de consommation, tant pour les fromages, les beurres, les margarines, les œufs etc.
A midi, nous sommes dans la petite cantine et nous mangeons avec la maman de Raphaël et un des bouchers. Nous parlons de nos vacances, des cours que nous allons reprendre en septembre en ajoutant que nous serons alors en rhétorique. Le boucher est ravi de voir que nous faisons un job de vacances et que nous sommes aussi de bons élèves. La maman de Raphaël nous explique que son fils va entamer des études de droit à l’université. Elle est très fière de lui. Je lui demande de remettre notre bonjour à Raph.
L’après-midi se passe très bien. Nous sentons que nous avons fait attention lorsque nous réapprovisionnons les étals, de bien fléchir les genoux et non nous pencher en avant pour éviter de se faire du mal au dos. Monsieur Bonjean vient nous trouver pour nous dire qu’il est déjà dix-sept heures et que notre journée est finie.
Le retour à la maison se fait sans problème. Il fait chaud, nous étions bien mieux dans le supermarché où il y avait déjà la climatisation. Nous prenons deux grands verres d’eau, c’est mieux que de la limonade pour se désaltérer car la limonade est trop sucrée. Nous allons prendre notre douche en restant cette fois plus sages mais en nous embrassant et en nous caressant les pectoraux et les fesses. Jean est heureux de nous revoir et souhaite faire quelque chose avec nous. Nous lui proposons d’aller faire un tour à vélo en direction de la forêt de Soignes où il fait moins chaud à l’ombre des grands hêtres. Hop nous voilà en route pour passer un peu de temps avec Jean. C’est vrai qu’il est trop jeune pour faire un job d’étudiant, mais il est partant pour l’été prochain.
De retour à la maison nous allons nous laver les mains car il est temps de souper. Maman nous a préparé aidée par Anne un bon filet américain préparé comme nous les aimons avec des crudités (salade, tomates, concombres et betterave rouge) accompagné de frites. Papa demande à Jean d’aller chercher une bouteille de vin rouge pour accompagner le repas. Tout en mangeant, nous parlons de notre journée Ben et moi mais je demande aussi à Maman et à Papa comment ça s’est passé pour eux. C’est Ben qui de son côté demande à Jean ce qu’il a fait de sa journée. Il est bien de savoir ce que les autres membres de la famille ont pu faire durant leur journée. Puis je n’oublie pas Anne, elle me dit qu’elle est allée à la piscine avec André. Je suis si heureux de voir qu’ils s’entendent bien les nouveaux amoureux.
Nous allons nous coucher après avoir bien entendu embrassé toute la famille. Pour ma part j’ai beaucoup moins mal que la veille. Je suis moins fatigué mais je sens quand même que je ne suis pas encore tout à fait habitué. Je suppose qu’il en est de même pour Ben. Nous quittons la salle de bain nus, c’est la seule tenue qui nous sied bien pour dormir. Nous nous couchons sur mon lit, nous sommes au-dessus des draps, il fait encore très chaud.
Ben ne se colle pas à moi et je tente de faire de même. Il fait si chaud que nous commençons à transpirer sans même bouger. Nous sommes en érection mais nous n’avons pas envie de nous mettre en nage pour le moment. Nous aurons bien sûr l’occasion de nous aimer plus tard, soit dans la nuit ou alors au petit matin. J’aime bien ressentir des sensations au lever du jour. Je suis certain que demain, dès l’aube, nous aurons l’occasion de nous envoyer au septième ciel. Nous nous endormons tout simplement, rompus par la fatigue d’une journée de travail. C’est donc dans les bras de Morphée que nous nous glissons pour accéder aux pays des rêves.
J’avais bien entendu laissé les deux fenêtres de ma chambre grande ouvertes pour nous donner un plus d’air pour la nuit. C’est vers cinq heures que je me suis réveillé, j’avais un peu froid, étant nu, toujours au-dessus des draps. Ben lui avait déjà pris un drap pour se couvrir. Je fais de même pour tenter de me réchauffer. Je me rendors en quelques minutes et je fais un nouveau rêve. Je vois Raphaël qui nous cherche, il est nerveux, il est rempli de haine, mais je ne sais pas envers qui. Je commence à suer et je crie car on s’en prend à Ben et je suis emporté, les mains et les pieds entravés par des liens.
Nous décidons Ben et moi d’aller prendre une bonne douche et de nous mettre à l’aise pour le souper. Nous nous déshabillons dans ma chambre et ensuite direction salle de bain pour une douche salvatrice. En effet nous sentons la transpiration. Nous mettons les tee-shirts dans le bac à linge ainsi que les slips. L’eau à bonne température, soit entre tiède et un peu chaude nous redonne un peu de peps. Nous nous savonnons mutuellement ce qui nous fait de l’effet et nos anatomies se sont gorgées de sang. Il n’en faut pas plus pour que je me mette à genou devant Ben pour enfourner délicatement son pénis dont le gland est déjà pratiquement sorti de son prépuce. Je m’attarde donc à sucer son sucre d’orge déjà bien dur. Ma langue et mes lèvres se déplacent le long de cette tige gorgée de sang. Je vois que Ben ferme les yeux et se laisse faire. Il laisse s’échapper quelques petits râles de satisfaction. Je m’applique donc à lui donner bien du plaisir, son gland est littéralement pris en sandwich par ma langue, je goûte déjà un peu de sécrétion qui s’écoule du son méat. Je poursuis mon travail délicat le long de cette barre de chair, barre qui prend d’ailleurs de plus en plus d’ampleur, elle est à sa taille maximum. Ben râle de plus en plus, je sais qu’il va arriver au point de non-retour, au moment où sa sève va prendre la direction du fond de mon palais. Je sens que Ben se raidit un peu, signe que l’explosion est imminente, effectivement, il laisse des jets de sperme partir dans ma bouche. Je sens qu’il a du mal à se tenir debout, ses genoux fléchissent un peu quand il émet des « je t’aime ». Je laisse Ben se mettre à genou pour qu’il récupère.
Après quelques minutes, c’est au tour de Ben de s’occuper de moi, de mon anatomie qui est déjà bien « en forme ». Le méat de mon gland suinte déjà, mon corps sait qu’il va connaître un très bon moment de bonheur. Ben place ses lèvres devant mon pénis, il ouvre la bouche et il avale littéralement mon appendice de plaisir. Le gland touche le fond de sa gorge, ensuite Ben me prodigue des sensations bien délicates. Puis laissant mon sexe ressortir de ses lèvres, il lèche alors celui-ci allant de sa base jusqu’au gland et de même dans l’autre sens. Il caresse mes bourses, sa langue les lèche, ce qui me procure des frissons. Puis il en met la moitié dans sa bouche et la fait rouler sur sa langue. Ben reprend ensuite la fellation et me fait monter au ciel, je râle de bonheur, les sensations sont magiques, je suis comme en dehors du temps, comme sur un nuage. Puis à ce rythme-là, je ne vais pas tarder à décharger ma semence. Mon ventre devient de plus en plus chaud, j’apprécie au plus haut point, celle qui précède la montée du sperme dans ma colonne de chair et de sang. Enfin, comme ivre de bonheur, je lâche « la purée » dans la bouche de Ben par jets saccadés et abondants. Il tousse un peu, mais en avale une bonne partie. Je me retiens au mur de la douche pour ne pas tomber tellement c’est prenant. Une fois remis de mes émotions, Ben m’embrasse et partage un peu de mon sperme qu’il a encore dans la bouche. Notre baiser terminé, je lui dis : « Je t’aime Ben ». Comme seule réponse, il m’embrasse à nouveau.
Nous terminons notre douche, les yeux remplis d’étoiles. Une fois séchés, nous regagnons la chambre pour enfiler un short. Nous descendons pour aller manger avec le reste de la famille. Nous soupons de bon appétit : cette journée à bouger dans tous les sens nous a donné faim. Nous buvons de l’eau avec un trait de grenadine. Comme dessert, nous avons droit à des abricots bien mûrs. Nous restons encore quelques minutes en famille puis nous nous mettons à bâiller. Nous saluons tout le monde et nous remontons dans la chambre pour nous mettre au lit.
Une fois installés sur le lit, nous échangeons un petit bisou sur la bouche, accompagné de « bonne nuit » et de « je t’aime » pour enfin tomber dans les bras l’un de l’autre, mais aussi dans les bras de Morphée. Il faut dire que nous sommes assez fatigués après cette première journée de travail. Je suis certain que dans deux jours nous serons habitués et que nous pourrons alors passer la soirée avec les autres membres de la famille.
La nuit fut très calme, il a fait assez chaud et nous avons dormi au-dessus des draps. Comme la veille, c’est maman qui est venue nous réveiller vers sept heures quinze. Elle nous a laissé dormir un peu plus longtemps, nous avions envisagé de nous lever vers sept heures. Maman affiche un large sourire, elle sait que les ados ont régulièrement la gaule le matin et souvent quand c’est le moment de se lever. Nous passons vite à la salle de bain pour nous rafraîchir. Nous nous vêtons d’un pantalon car nous sommes régulièrement à genoux pour réapprovisionner le bas des rayonnages.
Le petit-déjeuner est avalé, du café pour se mettre en forme et cette fois trois tranches de pain beurrées avec de la confiture. Nous quittons la maison sur nos vélos, direction le magasin, nous sommes. Arrivée à sept heures cinquante-trois. Monsieur Bonjean est ravi de voir que nous sommes bien à l’heure. Il nous détaille les tâches à accomplir durant la matinée. Nous avons assez de travail, nous sommes séparés la plupart du temps. Je suis au rayon légumes et je donne un coup de main à l’employé de ce département. Ben, quant à lui, s’occupe du rayon pains et autres pâtisseries ainsi que du rayon crèmerie où il faut vérifier les dates-limites de consommation, tant pour les fromages, les beurres, les margarines, les œufs etc.
A midi, nous sommes dans la petite cantine et nous mangeons avec la maman de Raphaël et un des bouchers. Nous parlons de nos vacances, des cours que nous allons reprendre en septembre en ajoutant que nous serons alors en rhétorique. Le boucher est ravi de voir que nous faisons un job de vacances et que nous sommes aussi de bons élèves. La maman de Raphaël nous explique que son fils va entamer des études de droit à l’université. Elle est très fière de lui. Je lui demande de remettre notre bonjour à Raph.
L’après-midi se passe très bien. Nous sentons que nous avons fait attention lorsque nous réapprovisionnons les étals, de bien fléchir les genoux et non nous pencher en avant pour éviter de se faire du mal au dos. Monsieur Bonjean vient nous trouver pour nous dire qu’il est déjà dix-sept heures et que notre journée est finie.
Le retour à la maison se fait sans problème. Il fait chaud, nous étions bien mieux dans le supermarché où il y avait déjà la climatisation. Nous prenons deux grands verres d’eau, c’est mieux que de la limonade pour se désaltérer car la limonade est trop sucrée. Nous allons prendre notre douche en restant cette fois plus sages mais en nous embrassant et en nous caressant les pectoraux et les fesses. Jean est heureux de nous revoir et souhaite faire quelque chose avec nous. Nous lui proposons d’aller faire un tour à vélo en direction de la forêt de Soignes où il fait moins chaud à l’ombre des grands hêtres. Hop nous voilà en route pour passer un peu de temps avec Jean. C’est vrai qu’il est trop jeune pour faire un job d’étudiant, mais il est partant pour l’été prochain.
De retour à la maison nous allons nous laver les mains car il est temps de souper. Maman nous a préparé aidée par Anne un bon filet américain préparé comme nous les aimons avec des crudités (salade, tomates, concombres et betterave rouge) accompagné de frites. Papa demande à Jean d’aller chercher une bouteille de vin rouge pour accompagner le repas. Tout en mangeant, nous parlons de notre journée Ben et moi mais je demande aussi à Maman et à Papa comment ça s’est passé pour eux. C’est Ben qui de son côté demande à Jean ce qu’il a fait de sa journée. Il est bien de savoir ce que les autres membres de la famille ont pu faire durant leur journée. Puis je n’oublie pas Anne, elle me dit qu’elle est allée à la piscine avec André. Je suis si heureux de voir qu’ils s’entendent bien les nouveaux amoureux.
Nous allons nous coucher après avoir bien entendu embrassé toute la famille. Pour ma part j’ai beaucoup moins mal que la veille. Je suis moins fatigué mais je sens quand même que je ne suis pas encore tout à fait habitué. Je suppose qu’il en est de même pour Ben. Nous quittons la salle de bain nus, c’est la seule tenue qui nous sied bien pour dormir. Nous nous couchons sur mon lit, nous sommes au-dessus des draps, il fait encore très chaud.
Ben ne se colle pas à moi et je tente de faire de même. Il fait si chaud que nous commençons à transpirer sans même bouger. Nous sommes en érection mais nous n’avons pas envie de nous mettre en nage pour le moment. Nous aurons bien sûr l’occasion de nous aimer plus tard, soit dans la nuit ou alors au petit matin. J’aime bien ressentir des sensations au lever du jour. Je suis certain que demain, dès l’aube, nous aurons l’occasion de nous envoyer au septième ciel. Nous nous endormons tout simplement, rompus par la fatigue d’une journée de travail. C’est donc dans les bras de Morphée que nous nous glissons pour accéder aux pays des rêves.
J’avais bien entendu laissé les deux fenêtres de ma chambre grande ouvertes pour nous donner un plus d’air pour la nuit. C’est vers cinq heures que je me suis réveillé, j’avais un peu froid, étant nu, toujours au-dessus des draps. Ben lui avait déjà pris un drap pour se couvrir. Je fais de même pour tenter de me réchauffer. Je me rendors en quelques minutes et je fais un nouveau rêve. Je vois Raphaël qui nous cherche, il est nerveux, il est rempli de haine, mais je ne sais pas envers qui. Je commence à suer et je crie car on s’en prend à Ben et je suis emporté, les mains et les pieds entravés par des liens.