07-08-2020, 01:39 PM
1ere ANNEE avant NOEL : (3 / 12) (Chez les Lemont)
Marc et Flavien terminent à peine de monter l’escalier qui mène à l’appartement que la porte s’ouvre et qu’un petit garçon blond se jette tel un boulet de canon dans les bras de son grand frère les yeux mouillés de larmes de bonheur.
Flavien le réceptionne dans ses bras et le serre contre lui en le couvrant de bisous sur tout le visage, ses lèvres s’humectant des larmes du bambin, Marc subi de plein fouet l’émotion intense de cette scène de retrouvaille entre les deux frères, regrettant à ce moment-là d’être fils unique.
C’est quand Bastien et Henriette arrivent eux aussi sur le palier et enlacent tendrement leur grand garçon de retour parmi eux qu’il ne peut retenir les larmes qu’il contenait avec peine depuis cet instant de retrouvaille familiale. Il ne connaît pas ce genre de démonstration d’amour ayant des parents complètement insensibles envers lui, il ne se rappelle à aucun moment de sa vie avoir eu devant lui des parents tels que ceux de son ami.
Henriette plus sensible que les hommes, s’aperçoit aussitôt que le jeune homme accompagnant son fils ne va pas bien et le prend dans ses bras avec un grand sourire en guise d’accueil.
- Bienvenu chez nous mon garçon.
- (Marc devant la gentillesse de cette femme qu’il voit pour la première fois s’effondre en larmes) Merci madame et désolez de me présenter à vous comme ça.
- (Flavien regardant son ami comprend sa tristesse car il connaît les rapports qu’il a avec ses parents, c’est d’ailleurs à cause de ça entre autres qu’il l’a invité pour les fêtes sachant bien comment il les aurait passées chez lui) Aller Marco n’y pense plus !! Viens !! Que je te montre mon antre.
- (Marc fixe son ami et réussi à lui sourire) Je suis con hein ?
- (Flavien le fixe intensément) Non !! Tu es juste malheureux.
Ils rentrent dans l’appartement, Flavien l’amène dans sa chambre où ils posent leurs valises et ensuite il lui propose de faire un tour en ville histoire de lui changer les idées ; une fois dans le centre-ville, ils se posent dans un bar pour prendre un pot.
- Alors comment tu trouves Orléans ?
- (Marc sourit) Plus petit que Nantes mais ça a l’air plutôt sympa.
- (Flavien regarde l’heure à sa montre) J’ai envie d’aller au dojo voir mes potes, ça te dit ?
- S’ils sont tous comme toi je vais faire tache dans le paysage.
- Tu en fais une belle déjà de tâche !! Alors ok ?
- Bien sûr !!
Direction la salle de karaté qui n’est pas très loin en fait, sitôt arrivé Flavien est cerné par tous ses potes heureux de le voir. Certains regardent Marc en souriant car il fait dépareiller face à ses gaillards tout en muscles.
En effet du haut de son mètre soixante-quinze et de ses cinquante kilos, il ne fait pas vraiment sportif et il envie tous ses jeunes gars en pleine forme qu’il a sous les yeux.
Flavien pousse un cri de joie en voyant un garçon qui sort du vestiaire.
- Alexie !!!
Les deux garçons s’enlacent et s’embrassent heureux de se retrouver, Flavien se tourne vers Marc un grand sourire aux lèvres.
- Marc, je te présente mon cousin Alexie ; Alexie, voici mon ami de fac Marc
Les deux garçons se serrent la main et se dévisagent, un quelque chose d’indéfinissable passe entre eux ; leurs regards se fixent un instant avant que leurs mains ne se séparent. Marc ressent une attirance pour ce jeune homme au visage couvert d’acné mais qu’il trouve beau malgré tout, de sa taille mais avec une quinzaine de kilos de plus que lui, châtain aux yeux gris qu’il trouve magnifiques au demeurant.
Alexie est lui aussi attiré par ce jeune homme brun squelettique mais au visage si doux avec ses yeux noisette qui pétillent d’intelligence ; il sait que son visage en repousse plus d’un d’habitude car il se regarde souvent dans la glace et n’apprécie pas lui non plus tous ses énormes boutons qui parsèment son front et ses joues, aussi est-il fortement étonné de voir le sourire amical qu’a Marc à son égard dès le premier contact.
Flavien les observe stupéfié de ce qu’il croit déceler chez son ami et réciproquement chez son cousin, il comprend qu’entre ses deux là quelque chose est en train de se produire et ça le fait sourire car les connaissant chacun très bien, il se dit que ça ne peut être que bénéfique pour eux.
- Dis voir Alexie, ça te dirait de passer à la maison ? Il y a trop longtemps qu’on ne s’est pas vu.
1ere ANNEE avant NOEL : (4 / 12) (Chez les De Bierne)
Un mouvement à côté de lui fait se réveiller Florian, il est d’abord surpris puis se rappelle que Damien partage son lit et sourit. Il se tourne vers son ami et le regarde dormir un instant puis sans faire de bruit il se lève pour aller aux toilettes et prendre sa douche. Pendant qu’il se lave, ses pensées vont vers ses amis qu’il n’a encore pas revus à part Chloé hier soir.
Le visage de Thomas rempli son esprit et il ne peut s’empêcher de sourire à la surprise qu’il va lui faire ce matin en lui rendant visite. Il sursaute d’étonnement quand il constate que son sexe est au mieux de sa forme et dresse fièrement sa tête contre son nombril.
Pourtant en se levant il n’avait pas remarqué cette érection qui le tient maintenant raide comme un bout de bois, serait-ce le fait de penser à Thomas ? Il rit de sa bêtise et se savonne l’entrejambe profitant qu’il y en ait plus à nettoyer que d’habitude.
Quand il sort enfin de la salle de bains, tout est rentré dans l’ordre et il n’y pense plus et se dirige directement vers la cuisine prendre son petit-déjeuner. Maryse et Michel sont déjà là et après les embrassades du matin, ils discutent comme dans le bon vieux temps où c’était comme ça chaque jour.
Les marmottes dorment toujours quand Florian se lève de table et enfile un manteau prêt à sortir.
- (Maryse) Tu sors déjà ? Tu n’attends pas tes copains ?
- Bah !! Je les connais tu sais, je serai rentré avant qu’ils se lèvent. Je vais juste faire un petit coucou à « Thom »
- Tu sais que tu lui manques beaucoup ?
- A moi aussi il me manque terriblement, c’est pour ça que je vais lui faire la surprise.
- Il va être content de te voir, donne lui la bise de ma part.
- Je n’y manquerai pas grand-mère, à tout à l’heure et si les loustics se réveillent tu leur diras que je reviens très vite.
- D’accord mon doudou.
C’est au pas de course que je traverse le pâté de maisons jusque chez Thomas, une fois la grille franchie, je sonne doucement à la porte et j’entre comme à mon habitude sans attendre que quelqu’un m’en donne l’autorisation.
Ses parents au début surpris ayant perdu l’habitude de voir quelqu’un rentrer ainsi chez eux me reconnaissent et sourient en m’accueillant.
- (La mère de Thomas) Florian !! C’est bien toi mon grand !! Eh bien ça alors !! Si nous nous attendions à te voir !! J’en connais un qui va être content.
- (J’embrasse Alain et Evelyne) Il est où le blondinet ?
- (Alain) Tu le demandes ? Encore au lit comme d’habitude.
- (En souriant) Je peux aller le réveiller ?
- (Evelyne amusée) Tu connais le chemin et vas-y franchement qu’il râle un peu, quoiqu’en voyant qui c’est ce serait étonnant.
- (Mon rire remplit la pièce) J’ai ma petite idée sur la méthode.
- (Alain) Venant de toi je me doute qu’il ne va pas en revenir.
Je les quitte et monte les marches jusqu’à la chambre de mon ami, pas de bruit donc je présume à juste titre qu’il dort encore comme un loir. J’ouvre la porte, entre et referme doucement derrière moi puis mes yeux s’habituant à la pénombre qui règne dans la pièce, je distingue une touffe de cheveux blonds débordant de la couette.
Mon cœur contre toute attente s’accélère quand je m’approche de lui tel un sioux, j’ôte alors mes vêtements et doucement sans le réveiller, je me glisse également sous la couette et me serre contre lui curieux de sa réaction quand il va s’apercevoir qu’il n’est plus seul dans son lit.
Il est tourné dos à moi en chien de fusil et je prends la même position pour venir m’imbriquer contre lui. Il n’a aucune réaction et continue à dormir comme une souche, mon bras passe alors par-dessus son corps et vient se plaquer sur ses abdos. La sensation que j’ai à ce moment-là me submerge et mon sexe se redresse d’un coup me laissant pantois d’étonnement.
C’est bien la première fois que je ressens une telle excitation, en plus pour un garçon et encore en plus pour un garçon que je considère depuis toujours comme mon meilleur ami. Mes mains ne se contrôlent plus et caressent doucement ses muscles durs vallonnés parfaitement dessinés qui me font monter le sang au cerveau.
Je sens qu’il se réveille et je ne sais plus comment réagir, s’il me trouve dans cet état à le caresser comme je le fais comment va-t-il le prendre ? Aussi je m’éloigne un petit peu de lui afin que nos corps ne se touchent plus et je force ma main à transformer ses caresses en chatouilles afin de lui donner le change.
Thomas lui ne dort plus depuis un moment déjà, plus exactement depuis qu’il a entendu rire dans la cuisine et ensuite la porte de sa chambre s’ouvrir et qu’il a aperçu amusé la tignasse rousse de son ami.
1ere ANNEE avant NOEL : (5 / 12) (Chez les Dufour)
Sylvain repense toujours à cette nuit-là, quand Carole est sortie de la chambre et qu’il s’est approché de Sébastien pour l’embrasser. Leurs lèvres se sont alors soudées et son esprit a chaviré dans un doux nuage de bien être, heureusement que « Séb » le tient fermement par la taille car ses jambes flageolent sous lui ne le retenant debout que par miracle.
Sébastien s’en rend compte et doucement l’amène jusqu’au lit sans lâcher ses lèvres qu’il dévore avidement. Une fois contre celui-ci, il l’allonge délicatement se laissant entraîner par la même occasion et se retrouve au-dessus de son ami son corps contre le sien sentant l’effet de leurs baisers à la raideur de leurs entrejambes.
Les langues se cherchent toujours, elles batifolent l’une avec l’autre avec énormément de tendresse jusqu’à ce que le manque d’air les oblige à se séparer les yeux toujours fixés l’un à l’autre.
- Je t’aime Sylvain, je n’ai jamais dit ça à personne à part mes parents et ma sœur, je suis surpris autant que toi et peut-être plus encore car je n’aurais jamais pensé dire ça un jour à un garçon.
- Moi aussi je t’aime et ça depuis des années, tu ne peux pas imaginer le bonheur que je vis en ce moment. Je te croyais hétéro et je me serais satisfait de ton amitié mais de savoir que mon amour est réciproque !!! Je ne sais pas comment te décrire ce que je ressens mais crois-moi c’est fabuleux.
- J’ai envie de toi Sylvain !! C’est peut-être trop tôt, tu n’es peut-être pas prêt mais j’ai envie de te caresser, de t’embrasser et de…. (Il devient rouge d’un coup)…….te faire l’amour.
- (En se moquant gentiment) Tu te demandes si je suis prêt !!! Je rêve là !!! Bien sûr que je suis prêt et ça depuis une éternité, je ne pense qu’à ça le jour et la nuit. Quand je n’en peux plus et que je dois me soulager seul en pensant à toi, à tout ce que nous faisons dans mes fantasmes les plus débridés ; j’ai aussi envie que toi de te faire l’amour même si je ne sais absolument pas comment on s’y prend (Il renifle et rit de bon cœur) Mais avant si on allait prendre une douche ?
- (Il renifle également et rit lui aussi) Je crois que ça s’impose après cette journée de dingue.
Sylvain embrasse encore longuement son ami et en soupirant se relève et l’entraîne avec lui vers la salle de bains. Celle-ci comme dans beaucoup de logements de ce type est relativement petite aussi après avoir sorti des placards le nécessaire de toilette dont aura besoin Sébastien, il le laisse seul et tout sourire en attendant son tour redescend dans la cuisine pour se servir à boire. C‘est quand il entend les portes claquer à l’étage qu’il remonte pour se laver à son tour.
Il profite de l’eau chaude coulant sur son corps pour se repasser les dernières heures dans sa tête, bien sûr cela ne rate pas et une phénoménale érection le prend d’un coup. Il ne cède pas à la tentation de se satisfaire comme il l’aurait fait avant ce soir, se réservant pour ce qu’il ne doute pas un instant sera la plus belle nuit de sa vie.
Il se rase et se contemple dans le miroir au-dessus du lavabo, ses cheveux bruns coupés très courts au-dessus de ses yeux de chat comme dirait Mélanie, des yeux qui sont d’un vert magnifique et encore plus particulièrement ce soir, brillant d’un bonheur et d’une excitation sans pareille.
Enfin !! Satisfait du reflet de lui que lui renvoie le miroir, il se ceint les hanches d’une grande serviette de bain et c’est dans un état euphorique qu’il pénètre dans sa chambre prenant soin de refermer la porte à double tour. La chambre est baignée dans la pénombre, Sébastien est déjà couché et le dévore du regard n’attendant qu’une chose, qu’il le rejoigne le plus rapidement possible sous la couette.
Sylvain hésite un bref instant, doit-il aller prendre un sous-vêtement dans son placard ou rentrer directement nu dans le lit ne sachant pas dans quelle tenue s’est couché Sébastien. Il opte pour ne rien mettre et profitant du manque de lumière détache sa serviette d’un coup et la laisse tomber au sol en s’introduisant rapidement et pudiquement dans le lit près de son ami.
Il entend la respiration saccadée de celui-ci et prenant son courage à deux mains il vient se serrer tout contre lui constatant de par ce fait que lui aussi est nu sous la couette.
Leurs visages s’approchent, leurs lèvres se cherchent et un fabuleux baiser les unit encore une fois faisant monter leur libido à un tel point que leurs sexes en deviennent douloureux sous la tension. Sylvain n’en peut plus et son corps vient s’allonger sur celui de Sébastien épousant parfaitement ses formes, poitrine contre poitrine, lèvres contre lèvres et leurs sexes bandés se frottant avidement l’un contre l’autre.
Le silence de la pièce est ponctué des soupirs de plus en plus langoureux des deux garçons qui se caressent et explorent leurs corps avidement n’arrivant plus à se contrôler au point qu’un immense frisson les traverse et les plaque l’un à l’autre dans un orgasme de fou qui finit en apothéose quand leurs sexes dégorgent dans un parfait accord les flots de laves libératrices qui les laissent pantois et sans souffle, la respiration haletante et le corps flasque tous les sens enfin repus, pour un temps tout du moins car leurs regards se promettent qu’il ne leur faudra pas longtemps avant que leurs corps en redemandent encore et encore.
Marc et Flavien terminent à peine de monter l’escalier qui mène à l’appartement que la porte s’ouvre et qu’un petit garçon blond se jette tel un boulet de canon dans les bras de son grand frère les yeux mouillés de larmes de bonheur.
Flavien le réceptionne dans ses bras et le serre contre lui en le couvrant de bisous sur tout le visage, ses lèvres s’humectant des larmes du bambin, Marc subi de plein fouet l’émotion intense de cette scène de retrouvaille entre les deux frères, regrettant à ce moment-là d’être fils unique.
C’est quand Bastien et Henriette arrivent eux aussi sur le palier et enlacent tendrement leur grand garçon de retour parmi eux qu’il ne peut retenir les larmes qu’il contenait avec peine depuis cet instant de retrouvaille familiale. Il ne connaît pas ce genre de démonstration d’amour ayant des parents complètement insensibles envers lui, il ne se rappelle à aucun moment de sa vie avoir eu devant lui des parents tels que ceux de son ami.
Henriette plus sensible que les hommes, s’aperçoit aussitôt que le jeune homme accompagnant son fils ne va pas bien et le prend dans ses bras avec un grand sourire en guise d’accueil.
- Bienvenu chez nous mon garçon.
- (Marc devant la gentillesse de cette femme qu’il voit pour la première fois s’effondre en larmes) Merci madame et désolez de me présenter à vous comme ça.
- (Flavien regardant son ami comprend sa tristesse car il connaît les rapports qu’il a avec ses parents, c’est d’ailleurs à cause de ça entre autres qu’il l’a invité pour les fêtes sachant bien comment il les aurait passées chez lui) Aller Marco n’y pense plus !! Viens !! Que je te montre mon antre.
- (Marc fixe son ami et réussi à lui sourire) Je suis con hein ?
- (Flavien le fixe intensément) Non !! Tu es juste malheureux.
Ils rentrent dans l’appartement, Flavien l’amène dans sa chambre où ils posent leurs valises et ensuite il lui propose de faire un tour en ville histoire de lui changer les idées ; une fois dans le centre-ville, ils se posent dans un bar pour prendre un pot.
- Alors comment tu trouves Orléans ?
- (Marc sourit) Plus petit que Nantes mais ça a l’air plutôt sympa.
- (Flavien regarde l’heure à sa montre) J’ai envie d’aller au dojo voir mes potes, ça te dit ?
- S’ils sont tous comme toi je vais faire tache dans le paysage.
- Tu en fais une belle déjà de tâche !! Alors ok ?
- Bien sûr !!
Direction la salle de karaté qui n’est pas très loin en fait, sitôt arrivé Flavien est cerné par tous ses potes heureux de le voir. Certains regardent Marc en souriant car il fait dépareiller face à ses gaillards tout en muscles.
En effet du haut de son mètre soixante-quinze et de ses cinquante kilos, il ne fait pas vraiment sportif et il envie tous ses jeunes gars en pleine forme qu’il a sous les yeux.
Flavien pousse un cri de joie en voyant un garçon qui sort du vestiaire.
- Alexie !!!
Les deux garçons s’enlacent et s’embrassent heureux de se retrouver, Flavien se tourne vers Marc un grand sourire aux lèvres.
- Marc, je te présente mon cousin Alexie ; Alexie, voici mon ami de fac Marc
Les deux garçons se serrent la main et se dévisagent, un quelque chose d’indéfinissable passe entre eux ; leurs regards se fixent un instant avant que leurs mains ne se séparent. Marc ressent une attirance pour ce jeune homme au visage couvert d’acné mais qu’il trouve beau malgré tout, de sa taille mais avec une quinzaine de kilos de plus que lui, châtain aux yeux gris qu’il trouve magnifiques au demeurant.
Alexie est lui aussi attiré par ce jeune homme brun squelettique mais au visage si doux avec ses yeux noisette qui pétillent d’intelligence ; il sait que son visage en repousse plus d’un d’habitude car il se regarde souvent dans la glace et n’apprécie pas lui non plus tous ses énormes boutons qui parsèment son front et ses joues, aussi est-il fortement étonné de voir le sourire amical qu’a Marc à son égard dès le premier contact.
Flavien les observe stupéfié de ce qu’il croit déceler chez son ami et réciproquement chez son cousin, il comprend qu’entre ses deux là quelque chose est en train de se produire et ça le fait sourire car les connaissant chacun très bien, il se dit que ça ne peut être que bénéfique pour eux.
- Dis voir Alexie, ça te dirait de passer à la maison ? Il y a trop longtemps qu’on ne s’est pas vu.
1ere ANNEE avant NOEL : (4 / 12) (Chez les De Bierne)
Un mouvement à côté de lui fait se réveiller Florian, il est d’abord surpris puis se rappelle que Damien partage son lit et sourit. Il se tourne vers son ami et le regarde dormir un instant puis sans faire de bruit il se lève pour aller aux toilettes et prendre sa douche. Pendant qu’il se lave, ses pensées vont vers ses amis qu’il n’a encore pas revus à part Chloé hier soir.
Le visage de Thomas rempli son esprit et il ne peut s’empêcher de sourire à la surprise qu’il va lui faire ce matin en lui rendant visite. Il sursaute d’étonnement quand il constate que son sexe est au mieux de sa forme et dresse fièrement sa tête contre son nombril.
Pourtant en se levant il n’avait pas remarqué cette érection qui le tient maintenant raide comme un bout de bois, serait-ce le fait de penser à Thomas ? Il rit de sa bêtise et se savonne l’entrejambe profitant qu’il y en ait plus à nettoyer que d’habitude.
Quand il sort enfin de la salle de bains, tout est rentré dans l’ordre et il n’y pense plus et se dirige directement vers la cuisine prendre son petit-déjeuner. Maryse et Michel sont déjà là et après les embrassades du matin, ils discutent comme dans le bon vieux temps où c’était comme ça chaque jour.
Les marmottes dorment toujours quand Florian se lève de table et enfile un manteau prêt à sortir.
- (Maryse) Tu sors déjà ? Tu n’attends pas tes copains ?
- Bah !! Je les connais tu sais, je serai rentré avant qu’ils se lèvent. Je vais juste faire un petit coucou à « Thom »
- Tu sais que tu lui manques beaucoup ?
- A moi aussi il me manque terriblement, c’est pour ça que je vais lui faire la surprise.
- Il va être content de te voir, donne lui la bise de ma part.
- Je n’y manquerai pas grand-mère, à tout à l’heure et si les loustics se réveillent tu leur diras que je reviens très vite.
- D’accord mon doudou.
C’est au pas de course que je traverse le pâté de maisons jusque chez Thomas, une fois la grille franchie, je sonne doucement à la porte et j’entre comme à mon habitude sans attendre que quelqu’un m’en donne l’autorisation.
Ses parents au début surpris ayant perdu l’habitude de voir quelqu’un rentrer ainsi chez eux me reconnaissent et sourient en m’accueillant.
- (La mère de Thomas) Florian !! C’est bien toi mon grand !! Eh bien ça alors !! Si nous nous attendions à te voir !! J’en connais un qui va être content.
- (J’embrasse Alain et Evelyne) Il est où le blondinet ?
- (Alain) Tu le demandes ? Encore au lit comme d’habitude.
- (En souriant) Je peux aller le réveiller ?
- (Evelyne amusée) Tu connais le chemin et vas-y franchement qu’il râle un peu, quoiqu’en voyant qui c’est ce serait étonnant.
- (Mon rire remplit la pièce) J’ai ma petite idée sur la méthode.
- (Alain) Venant de toi je me doute qu’il ne va pas en revenir.
Je les quitte et monte les marches jusqu’à la chambre de mon ami, pas de bruit donc je présume à juste titre qu’il dort encore comme un loir. J’ouvre la porte, entre et referme doucement derrière moi puis mes yeux s’habituant à la pénombre qui règne dans la pièce, je distingue une touffe de cheveux blonds débordant de la couette.
Mon cœur contre toute attente s’accélère quand je m’approche de lui tel un sioux, j’ôte alors mes vêtements et doucement sans le réveiller, je me glisse également sous la couette et me serre contre lui curieux de sa réaction quand il va s’apercevoir qu’il n’est plus seul dans son lit.
Il est tourné dos à moi en chien de fusil et je prends la même position pour venir m’imbriquer contre lui. Il n’a aucune réaction et continue à dormir comme une souche, mon bras passe alors par-dessus son corps et vient se plaquer sur ses abdos. La sensation que j’ai à ce moment-là me submerge et mon sexe se redresse d’un coup me laissant pantois d’étonnement.
C’est bien la première fois que je ressens une telle excitation, en plus pour un garçon et encore en plus pour un garçon que je considère depuis toujours comme mon meilleur ami. Mes mains ne se contrôlent plus et caressent doucement ses muscles durs vallonnés parfaitement dessinés qui me font monter le sang au cerveau.
Je sens qu’il se réveille et je ne sais plus comment réagir, s’il me trouve dans cet état à le caresser comme je le fais comment va-t-il le prendre ? Aussi je m’éloigne un petit peu de lui afin que nos corps ne se touchent plus et je force ma main à transformer ses caresses en chatouilles afin de lui donner le change.
Thomas lui ne dort plus depuis un moment déjà, plus exactement depuis qu’il a entendu rire dans la cuisine et ensuite la porte de sa chambre s’ouvrir et qu’il a aperçu amusé la tignasse rousse de son ami.
1ere ANNEE avant NOEL : (5 / 12) (Chez les Dufour)
Sylvain repense toujours à cette nuit-là, quand Carole est sortie de la chambre et qu’il s’est approché de Sébastien pour l’embrasser. Leurs lèvres se sont alors soudées et son esprit a chaviré dans un doux nuage de bien être, heureusement que « Séb » le tient fermement par la taille car ses jambes flageolent sous lui ne le retenant debout que par miracle.
Sébastien s’en rend compte et doucement l’amène jusqu’au lit sans lâcher ses lèvres qu’il dévore avidement. Une fois contre celui-ci, il l’allonge délicatement se laissant entraîner par la même occasion et se retrouve au-dessus de son ami son corps contre le sien sentant l’effet de leurs baisers à la raideur de leurs entrejambes.
Les langues se cherchent toujours, elles batifolent l’une avec l’autre avec énormément de tendresse jusqu’à ce que le manque d’air les oblige à se séparer les yeux toujours fixés l’un à l’autre.
- Je t’aime Sylvain, je n’ai jamais dit ça à personne à part mes parents et ma sœur, je suis surpris autant que toi et peut-être plus encore car je n’aurais jamais pensé dire ça un jour à un garçon.
- Moi aussi je t’aime et ça depuis des années, tu ne peux pas imaginer le bonheur que je vis en ce moment. Je te croyais hétéro et je me serais satisfait de ton amitié mais de savoir que mon amour est réciproque !!! Je ne sais pas comment te décrire ce que je ressens mais crois-moi c’est fabuleux.
- J’ai envie de toi Sylvain !! C’est peut-être trop tôt, tu n’es peut-être pas prêt mais j’ai envie de te caresser, de t’embrasser et de…. (Il devient rouge d’un coup)…….te faire l’amour.
- (En se moquant gentiment) Tu te demandes si je suis prêt !!! Je rêve là !!! Bien sûr que je suis prêt et ça depuis une éternité, je ne pense qu’à ça le jour et la nuit. Quand je n’en peux plus et que je dois me soulager seul en pensant à toi, à tout ce que nous faisons dans mes fantasmes les plus débridés ; j’ai aussi envie que toi de te faire l’amour même si je ne sais absolument pas comment on s’y prend (Il renifle et rit de bon cœur) Mais avant si on allait prendre une douche ?
- (Il renifle également et rit lui aussi) Je crois que ça s’impose après cette journée de dingue.
Sylvain embrasse encore longuement son ami et en soupirant se relève et l’entraîne avec lui vers la salle de bains. Celle-ci comme dans beaucoup de logements de ce type est relativement petite aussi après avoir sorti des placards le nécessaire de toilette dont aura besoin Sébastien, il le laisse seul et tout sourire en attendant son tour redescend dans la cuisine pour se servir à boire. C‘est quand il entend les portes claquer à l’étage qu’il remonte pour se laver à son tour.
Il profite de l’eau chaude coulant sur son corps pour se repasser les dernières heures dans sa tête, bien sûr cela ne rate pas et une phénoménale érection le prend d’un coup. Il ne cède pas à la tentation de se satisfaire comme il l’aurait fait avant ce soir, se réservant pour ce qu’il ne doute pas un instant sera la plus belle nuit de sa vie.
Il se rase et se contemple dans le miroir au-dessus du lavabo, ses cheveux bruns coupés très courts au-dessus de ses yeux de chat comme dirait Mélanie, des yeux qui sont d’un vert magnifique et encore plus particulièrement ce soir, brillant d’un bonheur et d’une excitation sans pareille.
Enfin !! Satisfait du reflet de lui que lui renvoie le miroir, il se ceint les hanches d’une grande serviette de bain et c’est dans un état euphorique qu’il pénètre dans sa chambre prenant soin de refermer la porte à double tour. La chambre est baignée dans la pénombre, Sébastien est déjà couché et le dévore du regard n’attendant qu’une chose, qu’il le rejoigne le plus rapidement possible sous la couette.
Sylvain hésite un bref instant, doit-il aller prendre un sous-vêtement dans son placard ou rentrer directement nu dans le lit ne sachant pas dans quelle tenue s’est couché Sébastien. Il opte pour ne rien mettre et profitant du manque de lumière détache sa serviette d’un coup et la laisse tomber au sol en s’introduisant rapidement et pudiquement dans le lit près de son ami.
Il entend la respiration saccadée de celui-ci et prenant son courage à deux mains il vient se serrer tout contre lui constatant de par ce fait que lui aussi est nu sous la couette.
Leurs visages s’approchent, leurs lèvres se cherchent et un fabuleux baiser les unit encore une fois faisant monter leur libido à un tel point que leurs sexes en deviennent douloureux sous la tension. Sylvain n’en peut plus et son corps vient s’allonger sur celui de Sébastien épousant parfaitement ses formes, poitrine contre poitrine, lèvres contre lèvres et leurs sexes bandés se frottant avidement l’un contre l’autre.
Le silence de la pièce est ponctué des soupirs de plus en plus langoureux des deux garçons qui se caressent et explorent leurs corps avidement n’arrivant plus à se contrôler au point qu’un immense frisson les traverse et les plaque l’un à l’autre dans un orgasme de fou qui finit en apothéose quand leurs sexes dégorgent dans un parfait accord les flots de laves libératrices qui les laissent pantois et sans souffle, la respiration haletante et le corps flasque tous les sens enfin repus, pour un temps tout du moins car leurs regards se promettent qu’il ne leur faudra pas longtemps avant que leurs corps en redemandent encore et encore.
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=71.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 3
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li
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