05-10-2021, 09:28 AM
Nous avons passé une excellente soirée. Nous avons parlé de tout ce qui s’est passé, même de l’agression homophobe sur le marché. L’ambiance étant très bonne je me suis dit qu’il serait opportun de remettre mes cadeaux. Je vais donc chercher dans ma valise les bols bretons. Je donne d’abord les deux bols à mes parents. Ils semblent très heureux de recevoir ces présents. Puis c’est au tour de ma sœur Anne suivie de mon frère Jean ; ils sont eux aussi heureux de ce cadeau.
Puis j’ai encore cinq bols, il y a trois absents, mais il y en a deux qui sont importants. Je prends l’un d’eux, je sais bien lequel, c’est celui qui est marqué du prénom « Benoît », je tends à Ben ce paquet en même temps qu’un autre, celui à mon nom. Je demande à Ben d’ouvrir les deux paquets. Il lit alors les deux noms : « Benoît » sur l’un et « Philippe » sur l’autre. Je vois ses yeux s’embrumer, puis des larmes perler. Arlette a immédiatement compris de même que maman.
Ben : « Tu es incroyable Phil, toujours à te soucier des autres et de moi en particulier. Merci, je t’aime Phil, tu ne peux pas savoir !
Moi : Moi aussi Ben je t’aime. Lorsque tu seras là au petit déjeuner, tu auras ton bol en bonne place au milieu de ceux de la famille. Tu fais partie de la famille. »
Ben, ne sait rien dire, tous applaudissent et arborent un très large sourire. Oui Ben compte beaucoup pour moi, il est ma raison de vivre, ma raison d’aimer et nul ne pourra nous séparer. Mes parents et ceux de Ben se rendent compte que notre amour est vrai, plein de subtilités, de fantaisies aussi, mais bien réel. André reste sans voix, puis il vient vers nous. Il nous enlace et nous dit qu’il est heureux pour nous.
Nous passons à table sur la terrasse. Le barbecue est somptueux. Les légumes sont super de même que les accompagnements. Enfin le vin rosé est délicieux.
La soirée s’achève. Arlette et Yves sont fatigués de même que Christine et Denis. Je propose à Ben de rester loger. Ses parents acceptent. Ben est souriant au possible. Maman est elle aussi très heureuse d’avoir Ben pour loger sachant très bien que c’était important pour moi.
Une fois que la famille de Ben fut partie, nous nous sommes installés au salon. Nous avons Ben et moi avons raconté notre séjour. Puis vient le moment de l’épisode de l’attaque homophobe lors du marché. Je vois les yeux de Ben se charger en larmes, moi aussi j’ai les larmes qui me montent aux yeux. Je me lève et je prends Ben dans mes bras. Une fois remis de nos émotions, nous poursuivons notre récit. A la fin je dis à ma famille que je vais suivre une thérapie auprès d’un psychologue car j’en ressens le besoin. Maman me dit alors qu’elle pensait à la même chose. Ben lève la tête et dit alors :
Ben : « Je crois que je vais le faire aussi : aller consulter un psychologue car je suis un peu perdu.
Mam : Vous avez bien raison tous les deux. C’est la meilleure solution pour que vous puissiez aller de l’avant et songer à vous projeter dans l’avenir.
Moi : Je sais maman, je pense aussi que c’est mieux pour nous.
Ben : Oui, j’ai promis à mes parents que je me ferais suivre, c’est donc avec Phil que je vais le faire.
Mam : Très bien les jeunes. Je vous félicite de cette initiative.
Ben : Merci Jacqueline.
Moi : Merci maman !
Ben : Bon ce n’est pas tout. Phil, tiens, ouvre ce paquet que j’ai acheté comme souvenir.
Moi : Mais c’est quoi ce paquet, je pensais que c’était pour tes parents !
Ben : Ouvre et regarde !
Je défais le papier d’emballage. Je découvre une boîte. Je l’ouvre doucement. Puis mes yeux s‘emplissent de mille étoiles. Je découvre deux bracelets, ce sont des bracelets en cuir, sur le premier je peux lire « Phil » et l’autre « Ben ». De chaque côté du « texte » il y a un cœur gravé. Mes yeux s’inondent de larmes de bonheur. Nous allons sceller notre destinée, l’un à l’autre par le biais de ces deux bracelets. Je prends celui où il est marqué « Phil » et je le place sur le poignet gauche de Ben. Puis c’est Ben qui prend l’autre, avec la mention « Ben » et qui le place sur mon poignet gauche. Une fois ce rite accompli, nous nous embrassons avec fougue.
André, Anne, Jean et mes parents applaudissent. C’est incroyable le sentiment de bonheur qui émane de cette pièce, de ce groupe familial si soudé, si ouvert. André est très émotif, il verse des larmes et vient nous enlacer Ben et moi. Il sait que mes sentiments envers Ben sont très forts, tout comme ceux que je ressentais envers son petit frère Henri. Je lui dis que le souvenir d’Henri est gravé dans ma mémoire et que Ben le sait et il souhaite que je pense à lui de temps en temps. C’est quelque chose que personne ne pourra jamais m’enlever. On sent que l’instant est particulier. André nous regarde tous les deux et il sait que son petit frère vit en quelque sorte dans l’amitié et l’amour qui m’unit aussi à Ben. Je vois des larmes couler des yeux d’André. Anne le rejoint et ensemble, à quatre nous nous enlaçons. Jean reste planté près de nous, les yeux humides tout comme mes parents. Ben n’est pas jaloux de mon premier amour Henri, il sait qu’il n’est plus présent parmi nous, mais qu’il est présent dans ma mémoire et en partie dans mon cœur.
Il se fait tard et nous allons nous retirer dans notre chambre. Nous saluons la famille agrandie. Ben et moi comptons nous coucher, tout comme le reste de la famille. Mais auparavant, nous nous rendons dans la salle de bain et nous prenons une bonne douche. Nous allons dans ma chambre pour enfin nous étendre sur le lit. Nous reparlons encore des cadeaux qui ont été distribués et je remercie encore Ben pour ce bracelet, pour nos deux bracelets scellant ainsi notre « union » devant notre famille.
Je regarde le bracelet sur mon poignet. Je lis ce qui y est écrit, le nom « Ben » entouré de deux cœurs. Je n’en reviens toujours pas. Ben me regarde dans les yeux. Il passe une main derrière ma nuque et m’attire vers lui. Nos lèvres se rejoignent pour s’ouvrir, laissant nos langues danser entre elles. Je ferme les yeux et je savoure ce moment particulier. Il est incroyable mon Ben, mon amour, il m’a fait un très beau cadeau, très symbolique.
Nous continuons notre baiser en laissant maintenant nos mains caresser le corps de l’être aimé. Pas un centimètre-carré de peau n’est oublié. C’est ainsi que Ben s’attarde au niveau des bourses, mon pénis étant déjà bien dressé depuis quelques minutes. Ma main gauche se balade sur les fesses de Ben. Mon index s’aventure dans la raie de mon amour et vient titiller sa rosette. Nous nous retrouvons ensuite face à face, nos sexes plaqués l’un sur l’autre. Je sens que Ben veut que nous nous aimions. Je desserre l’étreinte et je plonge dans le tiroir de la table de nuit pour y prendre du gel ainsi que des préservatifs. Le visage de Ben s’illumine, des étoiles brillent dans ses yeux bleus. Ben prend le gel et il s’occupe de mon fondement. Ensuite il place le bout de latex sur son sexe gonflé et doucement vient se positionner à l’entrée de ma caverne d’amour. Je me laisse faire, heureux de m’offrir à lui, de l’accueillir dans mon corps. Ben me fait alors l’amour divinement, tendrement et amoureusement. Nous sommes maintenant dans notre bulle et plus rien n’a d’importance, sauf de nous aimer. Ben envoie sa semence au fond du préservatif en laissant échapper un râle de bonheur, quant à moi, je savoure les effets que son sexe me procure dans le fondement. Quel plaisir divin ainsi partagé.
C’est alors à moi l’occasion d’aimer Ben, de lui procurer du plaisir. Je prépare donc sa rondelle avec du gel et ensuite je passe le condom sur ma protubérance dressée. Je pénètre alors la grotte d’amour de Ben, doucement, avec délicatesse et tendresse. Je suis uni à mon amant, je l’aime mon Ben. Nous n’avons toujours pas quitté notre bulle, que du contraire, nous sommes en osmose, nous sommes unis en nous aimant simplement, en nous donnant l’un à l’autre. C’est avec passion que je lui fais l’amour, que je prends possession de son corps. Ben râle de bonheur, ce qui me rend très heureux. Puis, la pression est telle que je joui dans le préservatif en disant à Ben que je l’aime.
Une fois redescendu de notre nuage, nous nous embrassons encore et encore. Puis ivres de bonheur et de fatigue, nous nous disons des « je t’aime » en nous regardant les yeux dans les yeux. Nous sommes heureux, nous sommes unis et rien ne semble venir troubler ce merveilleux moment. Puis, doucement, tendrement, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Ben et moi dormons encore lorsque Jean frappe à la porte de ma chambre. Je n’ai rien entendu et Ben non plus d’ailleurs. Jean entre et nous voit encore partiellement enlacés, nos jambes sont croisées les unes dans les autres. Le drap de lit est au sol et nous sommes nus. Jean vient près de moi et me réveille doucement en me parlant à l’oreille. J’ouvre les yeux et je vois que Ben dort encore, je tourne la tête et je vois le visage de Jean qui affiche un large sourire. Je me rends compte que le drap n’est plus sur nous et que je bande de même que Ben. Je comprends déjà le pourquoi de ce beau sourire. Jean lui aussi est nu, il me dit que dans un quart d’heures le petit-déjeuner sera servi.
Je réveille doucement mon amour. Ben ouvre les yeux et découvre que Jean est près de moi. Je dépose mes lèvres sur celles de Ben. Il remarque aussi que nos sexes sont bien bandés : c’est la trique du matin. Finalement la tension baisse. J’invite Jean à se placer entre Ben et moi. Nous parlons de chose et d’autre, de Anne et d’André, des grands-parents qui vont nous rendre visite. Puis je vois que Jean hésite à poursuivre notre conversation.
Puis j’ai encore cinq bols, il y a trois absents, mais il y en a deux qui sont importants. Je prends l’un d’eux, je sais bien lequel, c’est celui qui est marqué du prénom « Benoît », je tends à Ben ce paquet en même temps qu’un autre, celui à mon nom. Je demande à Ben d’ouvrir les deux paquets. Il lit alors les deux noms : « Benoît » sur l’un et « Philippe » sur l’autre. Je vois ses yeux s’embrumer, puis des larmes perler. Arlette a immédiatement compris de même que maman.
Ben : « Tu es incroyable Phil, toujours à te soucier des autres et de moi en particulier. Merci, je t’aime Phil, tu ne peux pas savoir !
Moi : Moi aussi Ben je t’aime. Lorsque tu seras là au petit déjeuner, tu auras ton bol en bonne place au milieu de ceux de la famille. Tu fais partie de la famille. »
Ben, ne sait rien dire, tous applaudissent et arborent un très large sourire. Oui Ben compte beaucoup pour moi, il est ma raison de vivre, ma raison d’aimer et nul ne pourra nous séparer. Mes parents et ceux de Ben se rendent compte que notre amour est vrai, plein de subtilités, de fantaisies aussi, mais bien réel. André reste sans voix, puis il vient vers nous. Il nous enlace et nous dit qu’il est heureux pour nous.
Nous passons à table sur la terrasse. Le barbecue est somptueux. Les légumes sont super de même que les accompagnements. Enfin le vin rosé est délicieux.
La soirée s’achève. Arlette et Yves sont fatigués de même que Christine et Denis. Je propose à Ben de rester loger. Ses parents acceptent. Ben est souriant au possible. Maman est elle aussi très heureuse d’avoir Ben pour loger sachant très bien que c’était important pour moi.
Une fois que la famille de Ben fut partie, nous nous sommes installés au salon. Nous avons Ben et moi avons raconté notre séjour. Puis vient le moment de l’épisode de l’attaque homophobe lors du marché. Je vois les yeux de Ben se charger en larmes, moi aussi j’ai les larmes qui me montent aux yeux. Je me lève et je prends Ben dans mes bras. Une fois remis de nos émotions, nous poursuivons notre récit. A la fin je dis à ma famille que je vais suivre une thérapie auprès d’un psychologue car j’en ressens le besoin. Maman me dit alors qu’elle pensait à la même chose. Ben lève la tête et dit alors :
Ben : « Je crois que je vais le faire aussi : aller consulter un psychologue car je suis un peu perdu.
Mam : Vous avez bien raison tous les deux. C’est la meilleure solution pour que vous puissiez aller de l’avant et songer à vous projeter dans l’avenir.
Moi : Je sais maman, je pense aussi que c’est mieux pour nous.
Ben : Oui, j’ai promis à mes parents que je me ferais suivre, c’est donc avec Phil que je vais le faire.
Mam : Très bien les jeunes. Je vous félicite de cette initiative.
Ben : Merci Jacqueline.
Moi : Merci maman !
Ben : Bon ce n’est pas tout. Phil, tiens, ouvre ce paquet que j’ai acheté comme souvenir.
Moi : Mais c’est quoi ce paquet, je pensais que c’était pour tes parents !
Ben : Ouvre et regarde !
Je défais le papier d’emballage. Je découvre une boîte. Je l’ouvre doucement. Puis mes yeux s‘emplissent de mille étoiles. Je découvre deux bracelets, ce sont des bracelets en cuir, sur le premier je peux lire « Phil » et l’autre « Ben ». De chaque côté du « texte » il y a un cœur gravé. Mes yeux s’inondent de larmes de bonheur. Nous allons sceller notre destinée, l’un à l’autre par le biais de ces deux bracelets. Je prends celui où il est marqué « Phil » et je le place sur le poignet gauche de Ben. Puis c’est Ben qui prend l’autre, avec la mention « Ben » et qui le place sur mon poignet gauche. Une fois ce rite accompli, nous nous embrassons avec fougue.
André, Anne, Jean et mes parents applaudissent. C’est incroyable le sentiment de bonheur qui émane de cette pièce, de ce groupe familial si soudé, si ouvert. André est très émotif, il verse des larmes et vient nous enlacer Ben et moi. Il sait que mes sentiments envers Ben sont très forts, tout comme ceux que je ressentais envers son petit frère Henri. Je lui dis que le souvenir d’Henri est gravé dans ma mémoire et que Ben le sait et il souhaite que je pense à lui de temps en temps. C’est quelque chose que personne ne pourra jamais m’enlever. On sent que l’instant est particulier. André nous regarde tous les deux et il sait que son petit frère vit en quelque sorte dans l’amitié et l’amour qui m’unit aussi à Ben. Je vois des larmes couler des yeux d’André. Anne le rejoint et ensemble, à quatre nous nous enlaçons. Jean reste planté près de nous, les yeux humides tout comme mes parents. Ben n’est pas jaloux de mon premier amour Henri, il sait qu’il n’est plus présent parmi nous, mais qu’il est présent dans ma mémoire et en partie dans mon cœur.
Il se fait tard et nous allons nous retirer dans notre chambre. Nous saluons la famille agrandie. Ben et moi comptons nous coucher, tout comme le reste de la famille. Mais auparavant, nous nous rendons dans la salle de bain et nous prenons une bonne douche. Nous allons dans ma chambre pour enfin nous étendre sur le lit. Nous reparlons encore des cadeaux qui ont été distribués et je remercie encore Ben pour ce bracelet, pour nos deux bracelets scellant ainsi notre « union » devant notre famille.
Je regarde le bracelet sur mon poignet. Je lis ce qui y est écrit, le nom « Ben » entouré de deux cœurs. Je n’en reviens toujours pas. Ben me regarde dans les yeux. Il passe une main derrière ma nuque et m’attire vers lui. Nos lèvres se rejoignent pour s’ouvrir, laissant nos langues danser entre elles. Je ferme les yeux et je savoure ce moment particulier. Il est incroyable mon Ben, mon amour, il m’a fait un très beau cadeau, très symbolique.
Nous continuons notre baiser en laissant maintenant nos mains caresser le corps de l’être aimé. Pas un centimètre-carré de peau n’est oublié. C’est ainsi que Ben s’attarde au niveau des bourses, mon pénis étant déjà bien dressé depuis quelques minutes. Ma main gauche se balade sur les fesses de Ben. Mon index s’aventure dans la raie de mon amour et vient titiller sa rosette. Nous nous retrouvons ensuite face à face, nos sexes plaqués l’un sur l’autre. Je sens que Ben veut que nous nous aimions. Je desserre l’étreinte et je plonge dans le tiroir de la table de nuit pour y prendre du gel ainsi que des préservatifs. Le visage de Ben s’illumine, des étoiles brillent dans ses yeux bleus. Ben prend le gel et il s’occupe de mon fondement. Ensuite il place le bout de latex sur son sexe gonflé et doucement vient se positionner à l’entrée de ma caverne d’amour. Je me laisse faire, heureux de m’offrir à lui, de l’accueillir dans mon corps. Ben me fait alors l’amour divinement, tendrement et amoureusement. Nous sommes maintenant dans notre bulle et plus rien n’a d’importance, sauf de nous aimer. Ben envoie sa semence au fond du préservatif en laissant échapper un râle de bonheur, quant à moi, je savoure les effets que son sexe me procure dans le fondement. Quel plaisir divin ainsi partagé.
C’est alors à moi l’occasion d’aimer Ben, de lui procurer du plaisir. Je prépare donc sa rondelle avec du gel et ensuite je passe le condom sur ma protubérance dressée. Je pénètre alors la grotte d’amour de Ben, doucement, avec délicatesse et tendresse. Je suis uni à mon amant, je l’aime mon Ben. Nous n’avons toujours pas quitté notre bulle, que du contraire, nous sommes en osmose, nous sommes unis en nous aimant simplement, en nous donnant l’un à l’autre. C’est avec passion que je lui fais l’amour, que je prends possession de son corps. Ben râle de bonheur, ce qui me rend très heureux. Puis, la pression est telle que je joui dans le préservatif en disant à Ben que je l’aime.
Une fois redescendu de notre nuage, nous nous embrassons encore et encore. Puis ivres de bonheur et de fatigue, nous nous disons des « je t’aime » en nous regardant les yeux dans les yeux. Nous sommes heureux, nous sommes unis et rien ne semble venir troubler ce merveilleux moment. Puis, doucement, tendrement, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Ben et moi dormons encore lorsque Jean frappe à la porte de ma chambre. Je n’ai rien entendu et Ben non plus d’ailleurs. Jean entre et nous voit encore partiellement enlacés, nos jambes sont croisées les unes dans les autres. Le drap de lit est au sol et nous sommes nus. Jean vient près de moi et me réveille doucement en me parlant à l’oreille. J’ouvre les yeux et je vois que Ben dort encore, je tourne la tête et je vois le visage de Jean qui affiche un large sourire. Je me rends compte que le drap n’est plus sur nous et que je bande de même que Ben. Je comprends déjà le pourquoi de ce beau sourire. Jean lui aussi est nu, il me dit que dans un quart d’heures le petit-déjeuner sera servi.
Je réveille doucement mon amour. Ben ouvre les yeux et découvre que Jean est près de moi. Je dépose mes lèvres sur celles de Ben. Il remarque aussi que nos sexes sont bien bandés : c’est la trique du matin. Finalement la tension baisse. J’invite Jean à se placer entre Ben et moi. Nous parlons de chose et d’autre, de Anne et d’André, des grands-parents qui vont nous rendre visite. Puis je vois que Jean hésite à poursuivre notre conversation.