30-09-2021, 10:25 AM
Nous nous sommes donné rendez-vous pour faire une nouvelle balade le long de la Warche avec nos nouveaux amis. Anne et Roger étant attendus chez des amis, ils ne seront pas de la partie. C’est donc à six que nous nous baladons dans cette belle nature. Il y a assez bien de neige ce qui donne un aspect très blanc aux sous-bois, laissant alors le ruisseau apparaître plus foncé qu’il n’est d’habitude. Le blanc fait en effet ressortir les autres teintes dans cette partie de la région. Le soleil apparait alors pour donner encore plus de relief aux paysages traversés.
Nous avons de quoi manger et c’est donc dans une belle clairière aménagée que nous nous sommes arrêtés pour prendre notre pose de midi. Je sors le thermos de café question de se réchauffer un peu. Nous restons dans cet endroit idyllique juste le temps de nous sustenter. Nous poursuivons notre balade en découvrant ici et là de beaux endroits. Nous traversons également ce cours d’eau en utilisant l’un ou l’autre des ponts en bois. Je remarque que deux ponts ont été façonnés par des scouts. Sur chaque extrémité des inscriptions indiquent qu’une troupe scoute de Bruxelles s’est attelée pour les monter. (Voir récit « Au camp scout ») C’est en tout cas du bel ouvrage.
De retour à notre gîte nous allons directement piquer une tête dans la piscine intérieure. Je mets avant tout le sauna en route pour qu’il soit à température pour y faire un tour. De fait une bonne demi-heure plus tard nous profitons de cette chaleur bienfaisante du sauna. Nous respectons le temps imparti et après un petit quart d’heure nous quittons cette cabine surchauffée pour nous rouler à l’extérieur, dans la neige, à l’arrière du gîte. Nous ne restons pas trop longtemps dehors et nous plongeons ensuite dans la piscine.
Anne et Roger sont de retour, ils apportent de quoi souper. Anne nous prépare du « matoufet » soit un plat typique de la région. Une fois le repas terminé, les parents de nos deux amis se préparent pour rentrer et reprendre Adrien et Yang. La tête des deux jeunes change, on sent bien qu’ils souhaitent encore rester avec nous. Adrien demande à ses parents s’ils peuvent rester loger. Bien sûr, Lucas, Julien, Mathieu et moi sommes d’accord. Après quelques palabres avec les parents, les deux amoureux ont l’autorisation de rester loger. Il faut voir Adrien se pendre au cou de sa maman pour la remercier. Je vois que Roger affiche un large sourire voyant le bonheur que cette décision apporte aux deux garçons.
La soirée se passe au coin du feu. Nous discutons de tout et de rien et nous buvons une bonne bière trappiste. Nous allons nous coucher car il est déjà une heure du matin. Je propose à Adrien des préservatifs et du gel. Je vois son visage rosir et s’éclairer en même temps. Je sais que j’ai bien fait de penser qu’ils auraient eu l’envie de s’aimer !
La nuit nous a permis de nous reposer après avoir profité d’une belle intimité pour chaque couple. Dans chaque chambre l’Amour était au rendez-vous.
Nous débutons notre dernière journée dans les Fagnes. Nous prenons notre petit-déjeuner avec nos deux amis. Adrien m’a une nouvelle fois remercié pour ce que je lui ai donné avant de rejoindre la chambre. Yang affiche lui aussi un beau sourire et il me fait un clin d’œil. Décidément ils sont super les deux garçons. Alors que nous finissons de manger les parents arrivent. Nous leur proposons une tasse de café. Nous songeons alors à ce que nous allons faire. Il est bien sûr question de sortir et de profiter une derrière fois de ces belles étendues sauvages des Hautes Fagnes.
Nous marchons donc dans la neige le long des sentiers balisés. Nous découvrons de nouveaux paysages tout aussi beaux les uns que les autres. Je prends bien entendu quelques clichés en souvenir. Roger nous propose de nous prendre en photo, tout d’abord nous quatre et ensuite à six avec nos deux amis. Je promets d’envoyer les deux photos dès que possible. Je demande à Roger de bien vouloir me donner les coordonnées en vue de faire cet envoi. C’est facile, il sort une carte de visite de son portefeuille.
Le soir nous prenons notre repas tous ensemble, à huit. C’est toujours très agréable de passer de bons moments avec des personnes aussi ouvertes. C’est toujours dans le gîte que nous prenons ce souper. C’est une nouvelle fois quelque chose de simple, soit une bonne omelette aux champignons avec des tranches de pain de campagne et du bon beurre de ferme.
C’est maintenant l’heure de nous dire au revoir. Nous nous enlaçons avec Adrien et Yang l’un après l’autre. Anne et Roger font de même, ils viennent nous enlacer en nous demandant de rester en contact.
Julien me dit, une fois que nos amis sont partis, qu’il a trouvé que Yang était très ému, ainsi qu’Adrien. Moi-même je m’en suis rendu compte. C’est Lucas qui me fait lui aussi le même réflexion. Il me semble évident que les deux garçons ont passé de très bons moments en notre compagnie et qu’il serait dommage de ne pas nous revoir !
Je propose que nous passions du temps à nous délasser en prenant un bon sauna. Nous sommes tous partants. Nous nous retrouvons dans la cabine où la chaleur nous enveloppe. Je suis avec mon Juju et nous nous tenons par la main. Je dépose ma tête sur son épaule en lui disant tout bas : « Je t’aime ». Julien me répond : « Moi aussi je t’aime ». Nous nous tournons le visage l’un vers l’autre et nos lèvres se retrouvent pour un baiser très chaud. Nous laissons nos langues entrer dans la danse. Du coin de l’œil je vois que Lucas et Mathieu en profitent aussi pour se donner de petits bisous.
Mes mains se posent sur le corps humide de mon chéri et débute des caresses sensuelles. Julien répond lui aussi à cet appel à la tendresse et vient me caresser. Inutile de dire que nos phallus sont dressés tout comme ceux de nos deux amis d’ailleurs. Je pose alors ma main sur le mât de cocagne de Juju et débute des mouvements lascifs de haut en bas et de bas en haut. Julien s’empare de mon vit et lui aussi débute ses caresses alternatives. Je vois que Lucas fait de même avec son chéri. Nous voilà alors tous les quatre en pleine masturbation par couple. Aucune gêne, c’est pour nous assez naturel en somme. La délivrance ne va pas se faire attendre, l’excitation est à son comble, chaque couple ayant vue sur l’autre ce qui multiplie semble-t-il les effets, je sais que je ne vais pas tarder à jouir et suis certain que les autres aussi sont sur le point de libérer leur semence. Oups, ça y est, je sens monter ma sève dans mon pénis cajolé par Juju, voilà, je libère mon sperme sur sa main. Dix seconde plus tard c’est sur ma main que mon chéri laisse sa semence par jets.
Nos deux amis ont déjà joui, nous n’avions, Julien et moi, pas vu leurs orgasmes partagés. Je vois qu’ils sont souriants, heureux d’avoir ressenti toute cette excitation et enfin la libération tant attendue.
Nous prenons une bonne douche avant de plonger dans la piscine. Nous restons dans l’eau un bon moment. Nous discutons ensemble de ce qui s’est passé. Lucas se souvient de moments passés lors de douches après le foot avec les gars de son équipe, où chacun se masturbait. Je me souvenais aussi de la branlette mutuelle faite à la maison avec Julien, alors que nos sœurs faisaient de même dans le divan du salon, au tout début de notre rencontre !
Une fois essuyés, nous sommes allés nous coucher. Je ne sais pas si Lucas et Mathieu vont remettre le couvert ou pas, toujours est-il que Juju et moi nous sommes à nouveau occupés à nous embrasser et à nous caresser. Nos mains se baladent sur nos corps alanguis et encore chauds. Nous nous regardons dans les yeux et je plonge mon regard dans celui de mon chéri, mon Julien d’amour. Pas besoin de parler, un regard suffit et nous nous plaçons tête bêche pour savourer le sucre d’orge que nos lèvres approchent. Déjà le gland de Juju est luisant, il n’attend qu’une chose c’est qu’on s’occupe de lui. Ma langue se dépose sur ce bouton rosé et lèche le méat déjà entrouvert. Je sens aussi que mon chéri dépose ses lèvres sur mon vit, il le lèche depuis les deux orphelines en remontant vers le prépuce à moitié ouvert. C’est parti pour que chacun apporte toute la douceur, la sensualité et le bonheur à l’autre au travers ce cette fellation réciproque. Je ne tarde pas à engouffrer cette barre de chair pour lui apporter toutes les sensations qu’elle est en droit d’attendre. Je sens aussi que mon pénis est englouti et sucé de belle manière. Nous nous complétons l’un l’autre, nous savons ce que le partenaire aime ou pas, nous sommes attentifs et réceptifs au moindre soupir, au moindre frisson, ce qui apporte de merveilleuses sensations à notre complicité et à notre perception des plaisirs partagés. Enfin, nous savons tous les deux que nous arrivons à ce moment très haut perché qu’est la préparation dans nos bas-ventres brûlants de l’orgasme qui va surgir tel un lion de son antre. Mon corps se raidit, je sais que je vais laisser ma semence jaillir tout en sachant que Juju est dans le même état, qu’il ressent lui aussi les mêmes sensations délicieuses qu’est ce moment suspendu. De fait, je jouis en même temps que mon amoureux, nous laissons l’élixir s’épandre dans notre bouche. C’est alors le moment de l’extase, un moment hors du temps, c’est la jouissance décuplée.
Il nous faut un peu de temps pour retrouver nos esprits. J’avale une partie de ce délicieux breuvage céleste en en gardant un peu pour le partager avec mon chéri. Nous nous embrassons en mélangeant nos élixirs pour notre plus grand bonheur.
C’est fourbus que nous nous mettons sous la couette, dans les bras l’un de l’autre pour attendre le passage du marchand de sable !
Nous avons de quoi manger et c’est donc dans une belle clairière aménagée que nous nous sommes arrêtés pour prendre notre pose de midi. Je sors le thermos de café question de se réchauffer un peu. Nous restons dans cet endroit idyllique juste le temps de nous sustenter. Nous poursuivons notre balade en découvrant ici et là de beaux endroits. Nous traversons également ce cours d’eau en utilisant l’un ou l’autre des ponts en bois. Je remarque que deux ponts ont été façonnés par des scouts. Sur chaque extrémité des inscriptions indiquent qu’une troupe scoute de Bruxelles s’est attelée pour les monter. (Voir récit « Au camp scout ») C’est en tout cas du bel ouvrage.
De retour à notre gîte nous allons directement piquer une tête dans la piscine intérieure. Je mets avant tout le sauna en route pour qu’il soit à température pour y faire un tour. De fait une bonne demi-heure plus tard nous profitons de cette chaleur bienfaisante du sauna. Nous respectons le temps imparti et après un petit quart d’heure nous quittons cette cabine surchauffée pour nous rouler à l’extérieur, dans la neige, à l’arrière du gîte. Nous ne restons pas trop longtemps dehors et nous plongeons ensuite dans la piscine.
Anne et Roger sont de retour, ils apportent de quoi souper. Anne nous prépare du « matoufet » soit un plat typique de la région. Une fois le repas terminé, les parents de nos deux amis se préparent pour rentrer et reprendre Adrien et Yang. La tête des deux jeunes change, on sent bien qu’ils souhaitent encore rester avec nous. Adrien demande à ses parents s’ils peuvent rester loger. Bien sûr, Lucas, Julien, Mathieu et moi sommes d’accord. Après quelques palabres avec les parents, les deux amoureux ont l’autorisation de rester loger. Il faut voir Adrien se pendre au cou de sa maman pour la remercier. Je vois que Roger affiche un large sourire voyant le bonheur que cette décision apporte aux deux garçons.
La soirée se passe au coin du feu. Nous discutons de tout et de rien et nous buvons une bonne bière trappiste. Nous allons nous coucher car il est déjà une heure du matin. Je propose à Adrien des préservatifs et du gel. Je vois son visage rosir et s’éclairer en même temps. Je sais que j’ai bien fait de penser qu’ils auraient eu l’envie de s’aimer !
La nuit nous a permis de nous reposer après avoir profité d’une belle intimité pour chaque couple. Dans chaque chambre l’Amour était au rendez-vous.
Nous débutons notre dernière journée dans les Fagnes. Nous prenons notre petit-déjeuner avec nos deux amis. Adrien m’a une nouvelle fois remercié pour ce que je lui ai donné avant de rejoindre la chambre. Yang affiche lui aussi un beau sourire et il me fait un clin d’œil. Décidément ils sont super les deux garçons. Alors que nous finissons de manger les parents arrivent. Nous leur proposons une tasse de café. Nous songeons alors à ce que nous allons faire. Il est bien sûr question de sortir et de profiter une derrière fois de ces belles étendues sauvages des Hautes Fagnes.
Nous marchons donc dans la neige le long des sentiers balisés. Nous découvrons de nouveaux paysages tout aussi beaux les uns que les autres. Je prends bien entendu quelques clichés en souvenir. Roger nous propose de nous prendre en photo, tout d’abord nous quatre et ensuite à six avec nos deux amis. Je promets d’envoyer les deux photos dès que possible. Je demande à Roger de bien vouloir me donner les coordonnées en vue de faire cet envoi. C’est facile, il sort une carte de visite de son portefeuille.
Le soir nous prenons notre repas tous ensemble, à huit. C’est toujours très agréable de passer de bons moments avec des personnes aussi ouvertes. C’est toujours dans le gîte que nous prenons ce souper. C’est une nouvelle fois quelque chose de simple, soit une bonne omelette aux champignons avec des tranches de pain de campagne et du bon beurre de ferme.
C’est maintenant l’heure de nous dire au revoir. Nous nous enlaçons avec Adrien et Yang l’un après l’autre. Anne et Roger font de même, ils viennent nous enlacer en nous demandant de rester en contact.
Julien me dit, une fois que nos amis sont partis, qu’il a trouvé que Yang était très ému, ainsi qu’Adrien. Moi-même je m’en suis rendu compte. C’est Lucas qui me fait lui aussi le même réflexion. Il me semble évident que les deux garçons ont passé de très bons moments en notre compagnie et qu’il serait dommage de ne pas nous revoir !
Je propose que nous passions du temps à nous délasser en prenant un bon sauna. Nous sommes tous partants. Nous nous retrouvons dans la cabine où la chaleur nous enveloppe. Je suis avec mon Juju et nous nous tenons par la main. Je dépose ma tête sur son épaule en lui disant tout bas : « Je t’aime ». Julien me répond : « Moi aussi je t’aime ». Nous nous tournons le visage l’un vers l’autre et nos lèvres se retrouvent pour un baiser très chaud. Nous laissons nos langues entrer dans la danse. Du coin de l’œil je vois que Lucas et Mathieu en profitent aussi pour se donner de petits bisous.
Mes mains se posent sur le corps humide de mon chéri et débute des caresses sensuelles. Julien répond lui aussi à cet appel à la tendresse et vient me caresser. Inutile de dire que nos phallus sont dressés tout comme ceux de nos deux amis d’ailleurs. Je pose alors ma main sur le mât de cocagne de Juju et débute des mouvements lascifs de haut en bas et de bas en haut. Julien s’empare de mon vit et lui aussi débute ses caresses alternatives. Je vois que Lucas fait de même avec son chéri. Nous voilà alors tous les quatre en pleine masturbation par couple. Aucune gêne, c’est pour nous assez naturel en somme. La délivrance ne va pas se faire attendre, l’excitation est à son comble, chaque couple ayant vue sur l’autre ce qui multiplie semble-t-il les effets, je sais que je ne vais pas tarder à jouir et suis certain que les autres aussi sont sur le point de libérer leur semence. Oups, ça y est, je sens monter ma sève dans mon pénis cajolé par Juju, voilà, je libère mon sperme sur sa main. Dix seconde plus tard c’est sur ma main que mon chéri laisse sa semence par jets.
Nos deux amis ont déjà joui, nous n’avions, Julien et moi, pas vu leurs orgasmes partagés. Je vois qu’ils sont souriants, heureux d’avoir ressenti toute cette excitation et enfin la libération tant attendue.
Nous prenons une bonne douche avant de plonger dans la piscine. Nous restons dans l’eau un bon moment. Nous discutons ensemble de ce qui s’est passé. Lucas se souvient de moments passés lors de douches après le foot avec les gars de son équipe, où chacun se masturbait. Je me souvenais aussi de la branlette mutuelle faite à la maison avec Julien, alors que nos sœurs faisaient de même dans le divan du salon, au tout début de notre rencontre !
Une fois essuyés, nous sommes allés nous coucher. Je ne sais pas si Lucas et Mathieu vont remettre le couvert ou pas, toujours est-il que Juju et moi nous sommes à nouveau occupés à nous embrasser et à nous caresser. Nos mains se baladent sur nos corps alanguis et encore chauds. Nous nous regardons dans les yeux et je plonge mon regard dans celui de mon chéri, mon Julien d’amour. Pas besoin de parler, un regard suffit et nous nous plaçons tête bêche pour savourer le sucre d’orge que nos lèvres approchent. Déjà le gland de Juju est luisant, il n’attend qu’une chose c’est qu’on s’occupe de lui. Ma langue se dépose sur ce bouton rosé et lèche le méat déjà entrouvert. Je sens aussi que mon chéri dépose ses lèvres sur mon vit, il le lèche depuis les deux orphelines en remontant vers le prépuce à moitié ouvert. C’est parti pour que chacun apporte toute la douceur, la sensualité et le bonheur à l’autre au travers ce cette fellation réciproque. Je ne tarde pas à engouffrer cette barre de chair pour lui apporter toutes les sensations qu’elle est en droit d’attendre. Je sens aussi que mon pénis est englouti et sucé de belle manière. Nous nous complétons l’un l’autre, nous savons ce que le partenaire aime ou pas, nous sommes attentifs et réceptifs au moindre soupir, au moindre frisson, ce qui apporte de merveilleuses sensations à notre complicité et à notre perception des plaisirs partagés. Enfin, nous savons tous les deux que nous arrivons à ce moment très haut perché qu’est la préparation dans nos bas-ventres brûlants de l’orgasme qui va surgir tel un lion de son antre. Mon corps se raidit, je sais que je vais laisser ma semence jaillir tout en sachant que Juju est dans le même état, qu’il ressent lui aussi les mêmes sensations délicieuses qu’est ce moment suspendu. De fait, je jouis en même temps que mon amoureux, nous laissons l’élixir s’épandre dans notre bouche. C’est alors le moment de l’extase, un moment hors du temps, c’est la jouissance décuplée.
Il nous faut un peu de temps pour retrouver nos esprits. J’avale une partie de ce délicieux breuvage céleste en en gardant un peu pour le partager avec mon chéri. Nous nous embrassons en mélangeant nos élixirs pour notre plus grand bonheur.
C’est fourbus que nous nous mettons sous la couette, dans les bras l’un de l’autre pour attendre le passage du marchand de sable !