27-09-2021, 11:27 AM
En quelques secondes, mon membre reprend fière allure et souligne encore plus l'indécence de mon pantalon. Mon jeune voisin s'est arrêté et me regarde avec envie tout en touchant son sexe. Sans réfléchir, je lui dis de venir dans ma chambre, que j'ai envie de le serrer contre moi, que je veux le prendre dans ma bouche et le sucer, le voir éjaculer, vite fait bien fait parce que je suis exténué et que j'en ai tout simplement envie. Quelques secondes après avoir fermé ma porte, je suis nu, je le jette sur mon lit et me couche sur lui, son corps est encore humide mais il sent bon le savon frais. Je me relève le laissant sur le dos. Presque brutalement je prends ses jambes que je replie sur sa poitrine. Toute sa nudité est exposée, sa langue lèche ses lèvres, ses tétons pointent, son sexe émerge entre ses jambes, la mouille de son gland descend vers sa raie, cette raie qui ne cache rien de sa beauté, qui met en évidence l'entrée si tentante de sa gaine. Je ne sais plus vraiment ce que je fais, la peau si douce m'attire, je me penche et je commence à le lécher goulument tout en enfilant un doigt dans son petit puits d'amour. C'est le geste de trop : il me supplie "viens vite, je sens que cela monte" et quelques secondes après ce sont des gémissement tels que "c'est bonnnnnnnnn!" et ma bouche se remplit du nectar de mon tout jeune amant. Ma semence gicle, sa bouche en est pleine, la mienne également. Nous partageons notre premier baiser alors que nos bouches ont gardé le sperme de l'autre, ce n'était plus son sperme ni le mien, c'était notre sperme. Les murs de notre palazzo sont épais, heureusement. À 6 heures, il se réveille et, toujours nu, il regagne sa chambre.
En une soirée, j'avais utilisé deux de mes trois hommes. À quand le troisième me demandais-je ?
À vrai dire, j'aspire à un peu de calme après toutes ces journées et ces nuits agitées, pleines de découvertes et de situations que je ne soupçonnais même pas. Rien jusqu'à mon arrivée à Rome ne me destinait à cette vie où j'ai découvert non seulement les possibilités de mon corps mais également ceux d'individus que je ne connaissais même pas. Et il s'agit de personnes du même sexe que moi avec qui je sens que je prends, que je vais prendre du plaisir. La raison me dit de faire une pause mais je suis confronté à une envie intellectuelle d'aller plus loin, à un besoin physique de voir ces corps nus, de sentir sur moi, dans mes mains, ces sexes merveilleusement attirants. Il n'y a pas une heure j'étais avec Stefano en train d'éjaculer avec lui et je sens que mon pénis est de nouveau disposé à s'activer. Pour un peu je suis prêt à aller frapper à sa porte mais, heureusement, la fatigue l'emporte, je me couche et c'est au moins douze heures que je vais consacrer à Morphée.
J'ai tenu trois jours sans me branler et surtout en résistant à la tentation d'aller voir Carlo chez lui. Je cède. Chez un traiteur français j'ai acheté de quoi nous nourrir et boire. Je sonne une fois, deux fois et une dernière fois : il n'y a personne. Dépité, je marche un peu au hasard tout en me dirigeant vers le Vatican. Je demande au gardien d'avertir Sylvio que j'ai un message à lui remettre, pieux mensonge. Il arrive, me fait un grand sourire et me conduit directement dans les appartements de S.E qui n'est pas là, retenu pas une séance de commission. Nous sommes seuls Sylvio et moi non pas dans le grand salon mais dans un petit boudoir beaucoup plus intime mais tout autant cosy avec un canapé très confortable. Je réalise soudain qu'il ne porte pas la soutane mais un pantalon en toile et un polo : je peux contempler son entrejambe à loisir. Ma queue est en train de durcir, je la sens s'étirer dans mon slip qui va bientôt être trop petit. Je ne me regarde pas mais je sais qu'une grosseur est visible et que celle-ci va l'être de plus en plus. Cela me gêne mais je suis content, j'espère qu'il va vite s'en apercevoir et qu'il va prendre l'initiative car je ne suis pas encore suffisamment à l'aise pour oser tendre la main ou même le regarder de manière à ce qu'il comprenne mon envie. Il a compris, sa main s'est directement glissée entre pantalon et sous-vêtement, espace facilement accessible car j'ai mis un habit sans ceinture mais avec une bordure élastique. Les choses vont vite, je suis sur ses fesses, sur sa raie que je découvre avec délectation. Son pantalon est sur ses chevilles, le mien à mi-cuisse. Nos slips protègent encore nos organes de notre vue même si leurs contours se dessinent clairement sous l'étoffe. Nos lèvres sont réunies. Je pétris ses deux lobes fessiers. Nos polos sont au sol où slips et boxers les ont rejoints. Nous sommes nus tous les deux dans la pénombre, nos membres sont au garde-à-vous alors qu'un lent mouvement les excite encore plus. Dans un coin de la pièce, il y a un fauteuil, son Eminence est assise et nous regarde. Je panique, mon sexe devient brusquement tout mou mais Sylvio me rassure, S.E apprécie certainement ce qu'Elle voit et pressent. Les caresses de Sylvio se font suffisamment précises pour que très vite je retrouve une solide érection qui me fait oublier la présence troublante de ce haut personnage de la hiérarchie. Stupeur de ma part lorsque Sylvio se penche soudain sur moi, plus précisément de mon ventre, et qu'il commence à me faire des bisous sur mon pénis qui n'en demande pas tant pour s'agiter plus que jamais. Ces bisous je les accepte avec grand plaisir, mon gland devient luisant de mon précum ce qui n'échappe pas à mon ami : il sait que mon membre va merveilleusement coulisser dans sa bouche, il s'en saisit avec avidité et je me sens dans une cavité chaude et trempée, avec une langue qui tourbillonne autour de ma couronne, qui cherche à s'introduire dans mon méat. Expérimenté comme il l'est, Sylvio sait parfaitement lorsque je suis proche du point de non-retour et il s'arrête toujours à temps. Chaque arrêt me provoque une frustration sans pareille, je proteste avec vigueur et je sens que sa langue se promène sur toute la longueur de mon membre pour récupérer mes sécrétions qu'il a l'air de beaucoup apprécié. Je suis comme dans un nuage de jouissance, je ne sais plus très bien ce qui est à moi et ce qui lui appartient lorsque je sens une main qui me caresse la raie, un doigt qui a trouvé ma corolle et qui appuie dessus, qui appuie encore et qui finalement pénètre dans mon petit trou intime, tellement intime que même moi je n'y suis jamais entré. Sylvio me suce la queue et mes testicules qu'il prend en bouche, le doigt pénètre encore plus profond en moi et doit toucher un point particulièrement sensible que j'ignore mais qui me déclenche une formidable réaction. Je ne sais pas si je pisse mais ce que je sais c'est que je ressens quelque chose que je n'ai jamais connu : des spasmes d'une folle intensité qui viennent du plus profond de moi-même, je ne contrôle plus ni ma pine ni mon cul mais je sais que mon sperme jaillit de mon corps en longs jets continus avec une force et une intensité irrésistibles. Je perds quasiment conscience, je vois Sylvio qui éjacule sur mon ventre et ma poitrine. Sylvio s'est serré contre moi, il me caresse avec une très grande tendresse, j'ai soudain l'impression que c'est un autre homme. Il me demanda pardon, qu'il souhaite que nous restions ami, simplement ami. La nuit est avancée, j'ai dormi avec lui dans sa petite chambre sans que nous nous soyons douchés, cela ne sent pas particulièrement bon. À l'aube, au contact de son corps chaud, je l'ai délicatement sucé et pris en bouche. Doucement il a éjaculé et j'en ai fait autant avant de me rendormir. Sylvio ne s'est pas véritablement réveillé.
Comme après chacune de mes frasques sexuelles, j'étais partagé entre deux sentiments contradictoires. D'une part j'ai honte de ce que je fais, moi qui ait vécu les dix-huit premières années de ma vie dans un internat catholique, entouré de prêtres et de jésuites. Mais honte surtout en pensant à mes partenaires qui, eux, sont engagés par leur foi sinon à une vie exemplaire mais tout au moins à ne pas enfreindre les règles fondamentales de la communauté à laquelle ils appartiennent. Je dois admettre que je commence à me poser des questions au sujet de Sylvio. Il est toute la journée dans les appartements de S.E, il est au service de cet homme presque nuit et jour. Est-il véritablement prêtre ou sa soutane ne serait-elle pas un moyen habile pour lui permettre d'aller et venir à sa guise, sans attirer l'attention ?
Au-delà de la honte, très relative, que j'éprouve, je dois admettre que j'aime ce que je fais, c'est-à-dire que j'aime le sexe entre homme, cette promiscuité qui existe entre les corps transpirant d'excitation, les corps frémissants de spasmes qui se répercutent jusqu'aux endroits les plus secrets, les plus intimes de mon être. Je sais, envers et contre tout, que je reverrai mes trois hommes, j'aurai envie de revoir leur service trois pièces et le parfum masculin qui en émane, même celui du vieux prêtre, attendrissant dans sa décrépitude… Mais où tout ça va me conduire, je ne le sais pas et, au fond, cela ne m'intéresse pas… mais cela m'inquiète.
Fin de la 2ème partie : ROME. 3ème partie : à suivre !
En une soirée, j'avais utilisé deux de mes trois hommes. À quand le troisième me demandais-je ?
À vrai dire, j'aspire à un peu de calme après toutes ces journées et ces nuits agitées, pleines de découvertes et de situations que je ne soupçonnais même pas. Rien jusqu'à mon arrivée à Rome ne me destinait à cette vie où j'ai découvert non seulement les possibilités de mon corps mais également ceux d'individus que je ne connaissais même pas. Et il s'agit de personnes du même sexe que moi avec qui je sens que je prends, que je vais prendre du plaisir. La raison me dit de faire une pause mais je suis confronté à une envie intellectuelle d'aller plus loin, à un besoin physique de voir ces corps nus, de sentir sur moi, dans mes mains, ces sexes merveilleusement attirants. Il n'y a pas une heure j'étais avec Stefano en train d'éjaculer avec lui et je sens que mon pénis est de nouveau disposé à s'activer. Pour un peu je suis prêt à aller frapper à sa porte mais, heureusement, la fatigue l'emporte, je me couche et c'est au moins douze heures que je vais consacrer à Morphée.
J'ai tenu trois jours sans me branler et surtout en résistant à la tentation d'aller voir Carlo chez lui. Je cède. Chez un traiteur français j'ai acheté de quoi nous nourrir et boire. Je sonne une fois, deux fois et une dernière fois : il n'y a personne. Dépité, je marche un peu au hasard tout en me dirigeant vers le Vatican. Je demande au gardien d'avertir Sylvio que j'ai un message à lui remettre, pieux mensonge. Il arrive, me fait un grand sourire et me conduit directement dans les appartements de S.E qui n'est pas là, retenu pas une séance de commission. Nous sommes seuls Sylvio et moi non pas dans le grand salon mais dans un petit boudoir beaucoup plus intime mais tout autant cosy avec un canapé très confortable. Je réalise soudain qu'il ne porte pas la soutane mais un pantalon en toile et un polo : je peux contempler son entrejambe à loisir. Ma queue est en train de durcir, je la sens s'étirer dans mon slip qui va bientôt être trop petit. Je ne me regarde pas mais je sais qu'une grosseur est visible et que celle-ci va l'être de plus en plus. Cela me gêne mais je suis content, j'espère qu'il va vite s'en apercevoir et qu'il va prendre l'initiative car je ne suis pas encore suffisamment à l'aise pour oser tendre la main ou même le regarder de manière à ce qu'il comprenne mon envie. Il a compris, sa main s'est directement glissée entre pantalon et sous-vêtement, espace facilement accessible car j'ai mis un habit sans ceinture mais avec une bordure élastique. Les choses vont vite, je suis sur ses fesses, sur sa raie que je découvre avec délectation. Son pantalon est sur ses chevilles, le mien à mi-cuisse. Nos slips protègent encore nos organes de notre vue même si leurs contours se dessinent clairement sous l'étoffe. Nos lèvres sont réunies. Je pétris ses deux lobes fessiers. Nos polos sont au sol où slips et boxers les ont rejoints. Nous sommes nus tous les deux dans la pénombre, nos membres sont au garde-à-vous alors qu'un lent mouvement les excite encore plus. Dans un coin de la pièce, il y a un fauteuil, son Eminence est assise et nous regarde. Je panique, mon sexe devient brusquement tout mou mais Sylvio me rassure, S.E apprécie certainement ce qu'Elle voit et pressent. Les caresses de Sylvio se font suffisamment précises pour que très vite je retrouve une solide érection qui me fait oublier la présence troublante de ce haut personnage de la hiérarchie. Stupeur de ma part lorsque Sylvio se penche soudain sur moi, plus précisément de mon ventre, et qu'il commence à me faire des bisous sur mon pénis qui n'en demande pas tant pour s'agiter plus que jamais. Ces bisous je les accepte avec grand plaisir, mon gland devient luisant de mon précum ce qui n'échappe pas à mon ami : il sait que mon membre va merveilleusement coulisser dans sa bouche, il s'en saisit avec avidité et je me sens dans une cavité chaude et trempée, avec une langue qui tourbillonne autour de ma couronne, qui cherche à s'introduire dans mon méat. Expérimenté comme il l'est, Sylvio sait parfaitement lorsque je suis proche du point de non-retour et il s'arrête toujours à temps. Chaque arrêt me provoque une frustration sans pareille, je proteste avec vigueur et je sens que sa langue se promène sur toute la longueur de mon membre pour récupérer mes sécrétions qu'il a l'air de beaucoup apprécié. Je suis comme dans un nuage de jouissance, je ne sais plus très bien ce qui est à moi et ce qui lui appartient lorsque je sens une main qui me caresse la raie, un doigt qui a trouvé ma corolle et qui appuie dessus, qui appuie encore et qui finalement pénètre dans mon petit trou intime, tellement intime que même moi je n'y suis jamais entré. Sylvio me suce la queue et mes testicules qu'il prend en bouche, le doigt pénètre encore plus profond en moi et doit toucher un point particulièrement sensible que j'ignore mais qui me déclenche une formidable réaction. Je ne sais pas si je pisse mais ce que je sais c'est que je ressens quelque chose que je n'ai jamais connu : des spasmes d'une folle intensité qui viennent du plus profond de moi-même, je ne contrôle plus ni ma pine ni mon cul mais je sais que mon sperme jaillit de mon corps en longs jets continus avec une force et une intensité irrésistibles. Je perds quasiment conscience, je vois Sylvio qui éjacule sur mon ventre et ma poitrine. Sylvio s'est serré contre moi, il me caresse avec une très grande tendresse, j'ai soudain l'impression que c'est un autre homme. Il me demanda pardon, qu'il souhaite que nous restions ami, simplement ami. La nuit est avancée, j'ai dormi avec lui dans sa petite chambre sans que nous nous soyons douchés, cela ne sent pas particulièrement bon. À l'aube, au contact de son corps chaud, je l'ai délicatement sucé et pris en bouche. Doucement il a éjaculé et j'en ai fait autant avant de me rendormir. Sylvio ne s'est pas véritablement réveillé.
Comme après chacune de mes frasques sexuelles, j'étais partagé entre deux sentiments contradictoires. D'une part j'ai honte de ce que je fais, moi qui ait vécu les dix-huit premières années de ma vie dans un internat catholique, entouré de prêtres et de jésuites. Mais honte surtout en pensant à mes partenaires qui, eux, sont engagés par leur foi sinon à une vie exemplaire mais tout au moins à ne pas enfreindre les règles fondamentales de la communauté à laquelle ils appartiennent. Je dois admettre que je commence à me poser des questions au sujet de Sylvio. Il est toute la journée dans les appartements de S.E, il est au service de cet homme presque nuit et jour. Est-il véritablement prêtre ou sa soutane ne serait-elle pas un moyen habile pour lui permettre d'aller et venir à sa guise, sans attirer l'attention ?
Au-delà de la honte, très relative, que j'éprouve, je dois admettre que j'aime ce que je fais, c'est-à-dire que j'aime le sexe entre homme, cette promiscuité qui existe entre les corps transpirant d'excitation, les corps frémissants de spasmes qui se répercutent jusqu'aux endroits les plus secrets, les plus intimes de mon être. Je sais, envers et contre tout, que je reverrai mes trois hommes, j'aurai envie de revoir leur service trois pièces et le parfum masculin qui en émane, même celui du vieux prêtre, attendrissant dans sa décrépitude… Mais où tout ça va me conduire, je ne le sais pas et, au fond, cela ne m'intéresse pas… mais cela m'inquiète.
Fin de la 2ème partie : ROME. 3ème partie : à suivre !